Intégration: le parcours du combattant. L intégration des étrangers occupe. Loterie ou métissage? CENTRE SOCIAL PROTESTANT I M P R E S S U M

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1 S O M M A I R E F E N Ê T R E S D O S S I E R P R I S E D E P E D I T I O N S L L E C T U R E S Loterie ou métissage? En juin, la Suisse vibrera peut-être aux exploits de Blerim Dz i, Valon Behrami ou Johan Djourou, trois Helvètes pur jus de l équipe nationale de football qui disputera la Coupe du monde en Allemagne. La présence de ces joueurs aux patronymes plutôt exotiques aux côtés des Alexander Frei, Ludovic Magnin ou Pascal Zuberbühler sera sans doute largement interprétée comme le signe que la Suisse réussit fort bien à intégrer ses étrangers. Ou en tout cas à leur donner la chance de pouvoir créer, eux aussi, l un des rares événements rassemblant toutes les parties de la Suisse autour d une même passion. Attention pourtant à l effet déformant de cette image d une Suisse qui se métisserait grâce à son attitude à l égard des étrangers. Le succès sportif décroché par des ressortissants de la migration, même de la deuxième génération, peut notamment s expliquer par le fait que le sport reste un des rares ascenseurs sociaux à disposition de certaines catégories d étrangers, pour qui la réussite scolaire ou l accès à l emploi demeurent bien plus difficiles que pour d autres. Pour un Valon Behrami parvenu au pinacle, combien de sportifs d une même origine confinés dans l échec scolaire ou le chômage? Le sport reste, il est vrai, un moteur d intégration formidable, grâce à ses effets positifs contre les préjugés, notamment parce qu il encourage la coexistence de personnes d origines différentes autour d un même but. Mais le secret d une politique d intégration réside-t-il dans une utilisation circonstancielle des qualités d un étranger? Un certain nombre de politiciens voudraient nous le faire croire en proposant de limiter l entrée en Suisse aux seuls migrants performants, doués et compétents plutôt que d ouvrir nos portes à des personnes moins directement intéressantes. Une vraie politique d intégration ne saurait se contenter de laisser se développer un système de loterie conditionnant, en logique ultralibérale, l accueil des migrants à l utilité qu on peut en tirer à court terme. Au contraire, il est plus intéressant de donner confiance aux étrangers en leur indiquant que leurs propres efforts pour s intégrer s inscrivent dans une perspec- EDITION VAUDOISE TRIMESTRIEL MAI 2006/2 Intégration: le parcours du combattant L intégration des étrangers occupe une bonne partie des débats autour de la politique en Suisse à leur égard. Pour beaucoup, il faut favoriser le séjour de ceux qui «font les efforts» pour s intégrer et renvoyer ceux qui n y consentiraient pas. La problématique est beaucoup plus complexe, comme le révèlent les trajectoires de deux migrants lancés dans une course au service de l intégration. Portraits de deux hommes, Déo Negamiyimana et Migjen Kajtazi actuellement employés au CSP (sur la photo de gauche à droite), chargés précisément de promouvoir les questions d intégration dans les régions de Nyon et Yverdon-les-Bains. Avant d être engagé au CSP en septembre 2004, Migjen Kajtazi avait exercé pas moins de dix boulots à durée déterminée, depuis son arrivée en Suisse en 1998: serveur de bistrot, agent de sécurité pour une discothèque, collaborateur social à la FAREAS, employé de la Bibliothèque universitaire à Lausanne,

2 S O M M A I R E F E N Ê T R E S U R... Editorial p. 1 La course à l'intégration pp. 1-3 S'intégrer pour survivre p. 4 Un «plombier polonais» p. 5 Climat menaçant p. 6 Lois sur l'asile et sur les étrangers p. 7 Editions La Passerelle p. 8 D O S S I E R tive partagée, collectivement souhaitée. A cet égard, beaucoup de relais dans les institutions, les municipalités et les cantons sont encore à créer. A l image d une équipe de football, un pays doit composer avec toutes sortes d individualités pour créer une communauté nationale. Dans ce but, les dispositifs d accueil et d intégration des étrangers en Suisse doivent impérativement S O M Mêtre A I Rrenforcés. E Gabriel de Montmollin directeur F E N Ê T R E S U R... Reconnaissance Si Dle O SCSP S I Epeut R continuer à aider des personnes à sortir d une difficulté, à offrir de nouvelles prestations en Pfonction R I S E D E de Pbesoins O S I T I Oidentifiés, N si le CSP peut continuer à salarier 60 personnes dans des domaines professionnels pointus, D U C S Pdiversifiés et complémentaires, c est grâce aux pouvoirs publics, qui lui reconnaissent un professionnalisme B É N É V O L Aet T une complémentarité nécessaires, c est grâce au soutien de certaines fondations, E D I T I O N S et Lde A l EERV, P A S S E Rentre E L L E autres, mais aussi et spécialement grâce au L Esoutien C T U R Edes S milliers de particuliers qui font un don, ou plusieurs dons par année, ou qui couchent le CSP sur leur testament. L indépendance du CSP, c est cette diversité de contributions. Nous en sommes très reconnaissants. Un I Mgrand P R E SMerci S U M! A G E N D A P R I S E D E P O S I T I O N D U C S P E D I T I O N S L A P A S S E R animateur auprès d adolescents difficiles, employé dans un magasin de skis Dans cette dernière activité, Migjen réglait les fixations des clients et leur faisait l article sur les modèles de skis les plus récents, alors qu il n a jamais chaussé de lattes de sa vie! Question débrouille, notre interlocuteur en connaît un bout, car quand on débarque en Suisse comme lui, on ne peut pas compter sur des jobs à long terme. Pourtant, il s estime chanceux par rapport à beaucoup de ses compatriotes installés en Suisse. «J ai pu compter sur l aide de mon frère qui vivait déjà ici depuis 1991 et qui m a soutenu sans compter pour que j achève mes études.» Car, parallèlement à ses activités professionnelles, Migjen a décroché un postgrade de criminologie à l Université de Lausanne, après avoir obtenu une licence en droit dans son pays. Mais là aussi, notre interlocuteur veut souligner un statut de privilégié. Fils de l écrivain kosovar Mehmet Kajtazi, auteur de quatorze romans dont l un écrit en Suisse dans les années nonante, Migjen explique que cette ascendance a évidemment représenté un atout au moment d arriver avec la troisième vague de la migration kosovare en Suisse, déclenchée en Un précédent exode avait déjà eu lieu dans les années quatrevingt, avec le départ forcé d une partie de l intelligentsia kosovare pour la Suisse, au moment des premières tensions significatives dans la région. C est parmi ces exilés que quelques-uns des futurs leaders politiques, en poste aujourd hui en Kosovë, se sont mis en évidence et formés, dans un pays que des saisonniers kosovars avaient largement contribué à faire connaître depuis le début des années soixante. Les relations entre la Suisse et la Kosovë ne datent donc pas d hier, mais pour Migjen, il faut améliorer la connaissance de sa communauté qui veut à tout prix s intégrer en Suisse, surtout la génération née ici. Nourrissant les mêmes aspirations que les jeunes Suisses, elle n est pas intéressée à retourner au pays, comme le projetait encore la génération de leurs parents. Aujourd hui, l échec scolaire massif chez les élèves issus de cette migration fragilise cependant les rêves d intégration. Pour Migjen, la Suisse doit réfléchir à des structures permettant à ces «segundos» de mieux réussir le passage à l école. Dans cette optique, Suisses et L E C T U R E S populations étrangères doivent toujours mieux se connaître, finalité pour laquelle ce collaborateur du CSP depuis vingt mois s engage à bras-le-corps dans la région de Nyon. A Yverdon, c est Déo Negamiyimana qui relaie le conseil à la promotion de l intégration auprès des communautés suisses et étrangères du Nord vaudois. Là aussi, ce réfugié burundais, arrivé en Suisse en 2001, souhaite qu un effort conséquent soit fourni en sorte que toutes les communautés apprennent à se connaître et profitent les unes des autres. «Suisse, ton identité fout le camp», a même osé écrire Déo quelques mois après son arrivée dans notre pays. «En ne prenant pas la peine d apprendre à connaître les populations qui débarquent chez elle, la Suisse se coupe d un apport important de forces vives et contredit ainsi sa tradition et son identité», explique ce Burundais, qui se fait un plaisir de repérer les fausses idées qu une population peut nourrir sur une autre: «Quand un Suisse vient manger chez moi, il s étonne systématiquement de ce que les plats ne sont pas épicés, comme si tout ce qui venait d Afrique devait l être.» Autre idée toute faite qui fait obstacle au rapprochement des populations, la manière de marquer son respect à l égard d un interlocuteur: «Souvent, un Africain baisse les yeux pour exprimer son attachement à l égard de son vis-à-vis, ce qui, ici, passe pour de la soumission, du mensonge ou du mépris», raconte Déo, véritable passeur entre les cultures: n a-t-il pas publié une enquête dans un quotidien suisse sur le patois vaudois? A l époque, il faisait des piges pour les journaux afin d assurer des revenus. Car, contrairement à Migjen, Déo a eu toutes les peines du monde à décrocher régulièrement des emplois. Entre 2003 et 2005, il a envoyé un grand nombre de dossiers significatifs de candidature à des employeurs, le plus souvent en réponse à des annonces parues dans la presse. Quasi aucune n a débouché sur un entretien, même pas chez trois œuvres d entraide pour des postes de communication pourtant complètement dans les cordes de Déo. Une chose se confirme, il n est pas toujours évident de trouver de l embauche quand on est étranger en Suisse. Et même si en l occurrence le CSP Vaud n a pas longuement hésité avant d engager Migjen et Déo, il reste encore de gros progrès à accomplir avant le A G E N D A mai 2006/2

3 De gauche à droite: Claudia Gessler, Déo Negamiyimana, Migjen Kajtazi et Mikhaël de Souza, actuellement chargés de la promotion de l'intégration dans le canton de Vaud constat qu à valeurs égales, tout le monde a sa chance dans notre pays. Si le CSP, par exemple, peut se targuer d une politique d engagement cohérente dans ses secteurs liés à la migration, il lui reste encore beaucoup à faire pour intégrer quelques-uns de ses représentants dans son comité ou au cœur des autres secteurs. Mais attention à la discrimination positive, quand bien même il est parfois difficile de rester insensible aux terribles parcours de certains migrants. La trajectoire de Déo s avère particulièrement édifiante de ce point de vue. Seul rescapé d une tuerie qui a anéanti tous les membres de sa famille lors de la guerre civile au Burundi, il a demandé l asile en Suisse après avoir appris, alors qu il séjournait à Fribourg pour un colloque, que sa maison avait été incendiée et son épouse kidnappée. «Pendant six mois, je l ai crue morte, raconte à mi-voix Déo, et puis un jour, j ai reçu un mail où elle m annonçait qu elle était en vie.» Désormais, Déo et Migjen travaillent à promouvoir l intégration dans le canton de Vaud, bénéficiant du précieux bagage d avoir vécu de l intérieur le parcours d un migrant débarquant en Suisse. Mais cette activité n est pas strictement réservée à ce type de profil, pour la raison notamment que seule l expérience personnelle vaudrait comme visa pour aborder intelligemment la question. Dans ce domaine, le sentimentalisme ne fait d ailleurs pas la meilleure politique: «Les bons sentiments ne favorisent pas toujours l intégration, surtout quand ils conduisent à considérer tout étranger comme une victime», avertit Magaly Hanselmann, chargée de la promotion du mandat d intégration du CSP jusqu en mars 2006, et désormais en poste à Amnesty International (voir son interview en page 4). «Ils créent une logique de miroir inversé et permettent ainsi à l extrême droite de stigmatiser systématiquement les étrangers.» A entendre les différents acteurs rassemblés autour de ces questions en Suisse, l effort de s intégrer doit impérativement s accompagner de celui d intégrer. En ce sens, les artisans du durcissement systématique des lois sur l asile et des étrangers caricaturent les problèmes quand ils prétendent que seuls les migrants montrant des signes manifestes d intégration doivent recevoir un permis. Le refus d une autorisation de séjour indique l échec des conditions d accueil dans le pays hôte autant qu une éventuelle difficulté pour un migrant à entrer en contact avec la population. Et quand on sait combien exercer un emploi est facteur d intégration, on peut difficilement prétendre que les étrangers ne consentent pas aux efforts requis: «Les personnes qui arrivent en Suisse sont obligées de faire des efforts d intégration, pour leur propre survie, leur insertion dans le monde du travail et l avenir de leurs enfants», observe Magaly Hanselmann. Difficile de lui donner tort: avant d entrer au CSP, Migjen a exercé dix emplois précaires et Déo envoyé sans résultat un nombre impressionnant de dossiers de candidature GM mai 2006/2

4 s intégrer pour survivre Chargée du mandat de promotion de l intégration des étrangers confié au CSP par la Commission fédérale des étrangers et le canton de Vaud, Magaly Hanselmann évoque ici quelques aspects déterminants visant à favoriser l insertion des migrants dans la société suisse. Témoignage d'une personne très concernée au moment de quitter le CSP 1. Quelles sont les mesures que doivent prendre les pouvoirs publics afin de favoriser l intégration des étrangers? D abord, il s agit de développer un concept d accueil des nouveaux arrivants dans une commune: ses responsables peuvent par exemple inviter ces derniers, Suisses, migrants ou étrangers, à une soirée de bienvenue au cours de laquelle on leur détaille des offres ciblées en matière d intégration, et où on leur présente par ailleurs les principaux services de l administration locale. Deuxièmement, il convient de favoriser l apprentissage d une langue nationale, avec une méthode, des prix et une géographie adaptés. Enfin, il s agit de définir une politique d immigration qui permette aux personnes immigrées de ne pas être trop précarisées. Que penser de la thèse qui prétend que ce sont les étrangers qui doivent faire tous les efforts pour s intégrer, autrement dit qu ils doivent «mériter» la Suisse? Les étrangers font énormément d efforts pour s intégrer. C est, me semble-t-il, une évidence. Il est clair que les personnes étrangères arrivant en Suisse sont «obligées» de se démener pour leur propre survie, leur insertion dans le monde du travail et l avenir de leurs enfants. Elles cotisent aux assurances sociales et paient leurs impôts. En fait l effort doit être consenti de part et d autre. La société d accueil doit également mettre à disposition des nouveaux arrivants des moyens et faciliter ces efforts d intégration, comme je l indique plus haut. Mais le cadre légal lié à la politique migratoire suisse est actuellement très restrictif, voire contraire aux droits humains élémentaires. Il conduit à une précarisation et à une «clandestinisation» de plus en plus grandes des personnes immigrées. Selon moi, les autorités politiques qui proposent ce type de durcissement se conduisent de manière extrêmement irresponsable. Entre l apprentissage de la langue du pays d accueil et l exercice d un métier, quel est le meilleur vecteur d intégration? L apprentissage de la langue est un élément clé de cette insertion sociale. Il permet l autonomie des personnes immigrées, l accès à leur citoyenneté avec l exercice de la liberté d expression et celui du droit de réponse. Il élargit l accès au marché du travail de telle sorte que les personnes puissent être financièrement autonomes. L accès à des postes dans d autres domaines que l activité de nettoyage, la restauration, le travail dans le secteur industriel ou la construction, secteurs de l économie suisse où travaillent une majorité de migrants et où ils sont en général très peu rémunérés, est fortement conditionné par la maîtrise de la langue du pays d accueil. Il existe pourtant d autres obstacles plus objectifs à l intégration professionnelle comme les statuts de séjour précaires ou la non-reconnaissance des diplômes et des expériences professionnelles dans le pays d origine. Ces obstacles impliquent une déqualification systématique des personnes immigrées à leur arrivée en Suisse. Tout un symbole! Propos recueillis par GM 1 Depuis le 1 er avril 2006, le mandat de promotion de l'intégration est exercé pour le CSP par quatre personnes: Claudia Gessler (Renens), Tania Allenbach-Stevanato (Aigle), Migjen Kajtazi (Nyon), Déo Negamiyimana (Yverdonles-Bains). Mai 2006/2

5 un «plombier polonais» Assemblée générale le 12 juin S O M M A I R E Le Centre social protestant tiendra son Assemblée générale le 12 juin à 20 heures, à La Fraternité, place Arlaud 2, 1003 Lausanne Vous y êtes les bienvenus! Jean-Yves Savoy évoque le souvenir de son grand-père maternel, venu en Suisse de Silésie en Eté-automne 2005, la vie politique suisse est en effervescence. Votation pour l acceptation ou le refus de l extension des accords bilatéraux sur la libre circulation aux dix nouveaux pays membres de l Union européenne. Un personnage imaginaire, mythique ou réel, je ne sais, hante la campagne qui précède ce vote: le plombier polonais. Celui qui est censé prendre du travail chez nous et casser les prix sur le marché de l emploi en Suisse! Dans le même temps, nous nous préparons à fêter les 90 ans de ma mère. C est bien sûr l occasion de faire un peu d histoire en pensant à sa biographie. Je découvre alors, mais je le savais, que mon grand-père maternel, que je n ai pas connu, est arrivé en Valais en Quelques années plus tôt, il avait quitté sa ville natale de Münsterberg, en Silésie, actuellement Ziebice, en Pologne. Il est parti en direction de Koblenz pour se former comme horloger, puis à Strasbourg et Marseille. Il a remonté le Rhône et s est établi à Sierre, puis à Sion où sa descendance assure encore aujourd hui la continuité du commerce qu il a créé il y a plus de cent ans maintenant. Ces quelques détails peuvent paraître anecdotiques. Mais ils m ont soudain fait prendre conscience que j étais moi-même petit-fils, non d un plombier polonais, mais d un petit artisan venu s établir en Suisse au terme d un périple migratoire reflétant une époque où déjà la migration était une chance pour certains et aussi un enrichissement pour notre pays. Pour continuer dans l actualité politique de notre pays, à l heure où la campagne de votation contre la nouvelle Loi sur les Etrangers et contre la nouvelle Loi sur l Asile bat son plein, je me dis que si les lois de l époque avaient été si restrictives, je ne serais peut-être pas de ce monde et j aurais manqué beaucoup de belles choses de la vie! Car il a bien fallu que mon grand-père soit accueilli en Suisse comme migrant, qu il y trouve des lois lui permettant de s y établir et de s y marier. Certes, il est difficile de gérer aujourd hui le flux migratoire mondial, mais cela ne devrait pas empêcher de légiférer en sauvegardant des règles élémentaires qui respectent la dignité humaine quelle que soit la provenance des femmes, des hommes et des enfants qui se présentent. Jean-Yves Savoy conseiller conjugal Rapport d activités Le rapport d activités 2005 est sorti. Vous y trouverez bien sûr les comptes et budget de notre institution, mais aussi les statistiques indicatives de nos consultations individuelles dans chaque secteur, et encore un écho de toutes les autres activités menées par ceux-ci: animation de cours sur un domaine particulier de compétence, publications, réponses aux journalistes sur les sujets qui nous concernent. Intervenir publiquement en lien avec les problématiques rencontrées en consultation reste un axe important de notre activité, et permet d informer un plus grand nombre de personnes à la fois que dans une consultation en face à face. Apparaît aussi dans ce rapport la marque vive d une particularité du CSP: le travail «intersecteurs», la collaboration, l information qui s instaure, de manière formelle et informelle entre l Accueil et les secteurs de consultations, entre assistantes sociales, juristes et conseillers conjugaux, à propos d un cas précis, ou sur une thématique moins connue de l un d entre eux. Tous s accordent pour trouver que le client sort gagnant d une telle collaboration, et que ce fonctionnement fait office de formation permanente et d échanges constants sur les valeurs qui nous animent au CSP. N hésitez pas à nous le demander au ou par mail à info@csp-vd.ch. EV Mai 2006/2

6 Se séparer et après? S O M M A I R E F E N Ê T R E S U R... D O S S I E R F E N Ê T R E S U R... P R I S E D E P O S I T I O N D U C S P E D I T I O N S L A P A S S E R Climat menaçant Durcissement des lois concernant les étrangers L E C T U R E S A G E N D A Groupe de partage et de soutien pour personnes séparées ou D O S S I E R divorcées Le Conseil conjugal, en plus des consultations de couple, offre P Rune I S E D E P O S I T I O N nouvelle «prestation». Dominique Lorenz, en tandem avec un collègue conseiller conjugal A C T Uà A L I T É D U C S P ProFa, propose un groupe de partage et de soutien à des personnes qui ont vécu une séparation ou un divorce. Il s agit de s engager dans une démarche d évolution personnelle, menée sur six mois, à raison E Dd une I T I O N S L A P A S S E R E L L E soirée par quinzaine, de 20h à 21h30. Rompre un sentiment de solitude, L E C T U R E S partager ses expériences, aborder les émotions de colère, de culpabilité qui peuvent ébranler, parler des relations avec les personnes de son entourage: voilà quelquesuns des aspects qui pourront être abordés. Le durcissement des lois concernant Un groupe est arrivé au terme de les étrangers (LEtr et LAsi) entraîne de son périple en mai. Un nouveau fait toutes sortes de discriminations, qui groupe démarrera en octobre. A G E N D A vont au-delà de celles qu il est prévu Si vous êtes intéressé-e, vous pouvez d ores et déjà prendre contact, d inscrire dans les lois, et qui sont dénoncées par les référendums (voir le pour obtenir des renseignements tableau ci-contre). Ces discriminations, ou vous inscrire, au n de téléphone insidieuses, découlent du climat généré par ces durcissements. On peut redire, en préambule, que la définition subjective des étrangers change dans notre pays: les Européens n en sont bientôt plus. On peut rappeler encore et toujours qu avant, c étaient bien eux «nos Juin à La Frat : étrangers», ceux qui menaçaient notre cohésion nationale avec leurs habitudes le foot venues d ailleurs: les Italiens, les Espagnols, les Portugais. Toutes nationalités à l honneur qui maintenant bénéficient des mêmes La salle de La Frat vivra en juin droits que les Suisses grâce aux accords au rythme du «Mundial», avec bilatéraux. retransmission sur grand écran Les étrangers, les vrais, les indésirables, des matches de l équipe espagnole sont désormais tous ceux qui viennent et de l'équipe suisse (en tout cas). des pays non-européens, pour qui il est Vous serez accueilli dans une prévu de refuser une autorisation de ambiance conviviale! séjour par principe. La seule exception, Place Arlaud 2; pour les horaires qui implique de fait une discrimination et tous les détails, voir sur le site basée sur la situation sociale, concerne les travailleurs extrêmement qualifiés qu on ne peut trouver sur le marché suisse ou européen Sous prétexte de chasser les abus, on modifie des lois, avec des arguments qui créent un climat de suspicion générale sur les personnes étrangères. Parce qu on est étranger, on devient un abuseur potentiel. Cela peut déboucher sur la discrimination à l embauche par exemple: qui voudrait engager une personne potentiellement moins honnête que les autres? Une étude du Forum suisse pour l étude des migrations a clairement démontré que les jeunes Kosovars ou Turcs rencontrent plus de difficultés encore à trouver une place d apprentissage, alors même qu ils ont accompli toutes leurs classes ici par exemple. Nous rencontrons aussi des hommes et femmes tout à fait qualifiés qu on n engagera pas pour des postes en contact avec la clientèle dans une banque ou une assurance, s ils se trouvent avoir la peau noire. Le travail étant un des facteurs d intégration principaux, comment reprocher ensuite aux mêmes personnes de ne pas «faire d effort pour s intégrer»? Cette discrimination et cette non-reconnaissance des efforts réels d intégration faits par la majorité des migrants comporte le risque de favoriser un repli sur la communauté d origine, qui renforcera le cercle vicieux de la non-intégration. L amplification de ce climat délétère représente un grand danger pour la cohésion sociale et nationale du pays. Myriam Schwab Ngamije assistante sociale à La Fraternité Mai 2006/2

7 Lois sur l asile et sur les étrangers: voter deux fois non! En adoptant, en décembre dernier, les projets de révision de la Loi sur l asile et de la Loi sur les étrangers, les Chambres fédérales ont décidé, consciemment, de faire de notre pays une terre particulièrement inhospitalière pour tout étranger qui y chercherait protection ou un avenir meilleur. Confronté quotidiennement au sort tragique de nombreux requérants et migrants, le Centre social protestant vous encourage à voter deux fois non en vous présentant un argumentaire rédigé par Caritas Vaud, déjà publié dans leur journal de mars Merci à eux de nous avoir autorisés à le reproduire ici. Non à la loi sur l'asile! Non à la loi sur les étrangers! Discriminatoire Elle frappe d'une décision de non-entrée en matière toute personne qui demande asile et protection, au simple titre qu'elle n'a pas de pièce d'identité, peu importe la raison qui l'a poussée à quitter son pays. Elle établit deux poids et deux mesures entre les ressortissants de l'union européenne et tous les autres étrangers qui constituent plus de 40% de la population étrangère en Suisse. Inhumaine Elle supprime toute espérance de régularisation de sa situation à un requérant débouté, quand bien même le retour en son pays s'avère dangereux, voire impossible. Fini l'admission à titre humanitaire! Elle interdit toute demande de regroupement familial qui interviendrait après cinq ans de séjour des parents en Suisse, et elle en multiplie les obstacles dans les autres situations. Intransigeante Elle condamne un requérant débouté à quitter sans délai son centre d'accueil, à perdre son droit à toute aide sociale pour devoir attendre, dans la plus grande précarité, un incertain retour dans son pays. Barbare Pour quelque 100'000 sans-papiers, vivant et travaillant en Suisse, elle ne prévoit aucune possibilité de régularisation de leur séjour. Elles autorisent de condamner jusqu'à 2 ans de détention, quiconque s'oppose à un retour contraint dans son pays d'origine, même si cette personne a de graves raisons de s'opposer à son retour. Inacceptable Elle nous contraint, nous, citoyens suisses, à nous déclarer d'accord avec l'application de l'ensemble de cette nouvelle loi, qui bafoue les droits fondamentaux de la personne humaine et nous fait honte. Elle nous contraint, nous, citoyens suisses, à toujours considérer les étrangers comme des «profiteurs», alors qu'ils contribuent activement à la richesse de notre pays et à notre bien-être. Mai 2006/2

8 E D I T I O N S L A P A S S E R E L L E L E C T U R E S Nouveautés 2006 La Vie devant Eux Recueil de renseignements pratiques dédié aux jeunes du canton de Vaud. A G E N D A Ce guide se veut une aide pratique pour tous les aspects de l existence. Des assurances au logement, de l argent à la santé, de la formation A C T U A L Iaux T É loisirs, jusqu aux grandes questions existentielles. 227 pages d informations, ponctuées d une aventure en bandes dessinées: Lucille et Fred mènent un voyage assez étrange, dans un monde plutôt bizarre, pour aller où? Fr En coédition avec pro juventute. ex. Divorcer Renseignements juridiques. Nouvelle édition Fr. 5. ex. Encore disponibles: Nombre Duo-duel. Etapes de vie en couple. Jean-Yves Savoy, coédité avec Labor et Fides, Fr. 26. Couple et aventure. Le couple et l arrivée de l enfant. Jean-Yves Savoy, Fr. 22. Le couple et les dettes. Petit guide juridique, Fr. 6. Se séparer. Renseignements juridiques, Fr. 3. Aspects juridiques de l union libre, Fr. 15. Familles recomposées. Un guide juridique Fr. 18. A commander aux Editions La Passerelle, Beau-Séjour 28, 1003 Lausanne. % Fax Courriel: passerelle@csp-vd.ch Nom, prénom: Rue: N postal et ville: CCP A votre service à Lausanne Service social polyvalent Service de consultations juridiques Service de consultations conjugales et familiales Jet Service: Service pour les jeunes de 16 à 25 ans (apprenti-e-s, bourse du travail, droit des jeunes) La Fraternité: Service social pour personnes immigrées Point Fixe: Service de S prévention O M M A I R sida E Dans le reste du É D I canton T O Jet Service Riviera: Vevey Consultations juridiques: B R È Bex, V E S Montreux, Morges, Nyon, Orbe, Payerne, Renens, Vevey, Yverdon-les-Bains Consultations conjugales: F E N Payerne, Ê T R E S U R... Yverdon-les-Bains Ramassage, Galetas, boutiques: D O S S I E R Montreux, Morges, Lausanne, Le Mont, Payerne, Yverdon-les-Bains Le CSP vit de dons, legs, subventions et de son activité de vente P R I de S E seconde D E P O S I T I O N main. Renseignements: D U C S P % Fax: Courriel: info@csp-vd.ch En partenariat avec Caritas, EPER et SOS-Asile: E D I T I O N S L A P A S S E R E Le SAJE (Service d aide juridique aux exilé-e-s), rue Enning 4, CP 3864, 1002 Lausanne L E C T U R E S % Fax: Courriel: info@saje-vaud.ch Les Nouvelles du CSP Paraît quatre fois par an Editeur responsable Centre social protestant Vaud Beau-Séjour 28, 1003 Lausanne A G E N D A % Fax Courriel: info@csp-vd.ch Rédactrice en chef Evelyne Vaucher Guignard Ont collaboré à ce numéro: Gabriel de Montmollin, Jean-Yves Savoy, A C TMyriam U A L Schwab I T É Ngamije, l'équipe du mandat de promotion de l'intégration Photos Alban Kakulya Dessins Mix et Remix Conception Agence WGR Réalisation Jacqueline Yung Impression Imprimerie Paperforms SA, Villars-Sainte-Croix

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