Réduire le Risque de Crédit grâce au partage de l information
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- Frédéric Bernier
- il y a 8 ans
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2 Réduire le Risque de Crédit grâce au partage de l information Comme les outils de gestion des risques élargissent l accès au crédit, améliorent la croissance économique et renforcent le role des consommateurs. Oscar Madeddu Algérie - 30 Juin
3 Sommaire Débarrassons-nous des préjugés Pays développés et émergents: des contrastes instructifs Le partage de l information e le bénéfices pour l économie
4 Bienvenue à Dharavi! Plus grand bidonville d Asie (Bombay) Population: 500 à 600 mille habitants Prime à la Pauvreté : 5 à 25 fois ce que paient les riches pour des services équivalents Eau $ 1.12 vs. $0.03 (m) Anti-diarrhéiques $20.00 vs. $ 2.00 Riz $ 0.28 vs. $ 0.24 Agences bancaires à Dharavi: ZERO Seule source de crédit: prêteurs locaux TEG moyen annuel: 600% -1000% Garanties: bondage sur des générations Méthodes de recouvrement musclées Les habitants de Dharavi ne sont pas vus comme une cible par les Banques et IF 4
5 Au bas de la pyramide se trouve une Dharavi mondiale! Pouvoir d achat en US$ Population en millions > $ $ $ ère Tranche Tranches $ 1500 < $ 1500 Tranche 4 Tranche 5 > 4000 Source: Strategy & Business Issue 26, 2002 Booz, Allen 5
6 PMEs: même problème, l accès au crédit est limité 80% des institutions en Chine dénoncent l accès au financement comme la contrainte majeure au développement Finance Inflation Policy Instability Source: Batra, Kaufmann and Stone (2003) Anticompetitive practices Corruption Taxes and regulations Exchange rate 6
7 PME: plus l entreprise est petite, plus l accès au crédit est difficile Deux tiers du besoin en fonds de roulement doit être financé par d autres sources que les banques % des besoins d exploitation financés par les prêts bancaires China Korea Thailand India PME Grand Entreprise Source: World Bank Investment Climate Surveys 7
8 PME et Consommateurs réclament plus de crédit et de confiance, mais... L industrie du financement continue de privilégier les entreprises Corporate, notamment en raison : Du manque d informations internes et externes sur les demandeurs de crédit De l inexistence ou de la faiblesse de la culture de la Banque de Détail De la complexité technique de la Banque de Détail (équilibre coûts revenus fragile) La croyance que le Corporate credit soit le «bon credit» pour antonomase 1. Le Crédit aux Grandes Entreprises est-il plus profitable que le crédit de détail? NON 2. Le Crédit aux Grandes Entreprises est-il moins risqué que le crédit de détail? NON 8
9 Le crédit aux Grandes Entreprises est-il plus profitable? Comparaison des portefeuilles Corporate et Retail: Banco XYZ, El Salvador Portefeuille Consommation (80% du total) Avg. APR 25,6% 56% Portefeuille Corporate et Entreprises Corporate 6.62% Entreprises 16.00% Crédits sur Opérations avec l'etranger 11.59% 9
10 Le crédit aux Grandes Entreprises est-il plus profitable? Le secteur bancaire Allemand est résistant au changement (2200 banques, 30% des banques de l UE) Les municipalités et l Etat sont des actionnaires majeurs d institutions de crédit 4 grandes banques privées cibles d abord le Corporate Banking plutôt que l activité de détail Citibank a transformé en 73 une société de crédit secondaire (KKB) en banque du consommateur Le coefficient d exploitation de Citibank est aujourd hui de 43% inférieur à celui des banques Les sociétés spécialisées (ex. VW Finance) dépassent aujourd hui les banques Dans l ensemble des pays de l OCDE le portefeuille des banques Allemandes est le plus concentré sur le credit Corporate Par conséquence les Banques Allemandes ont la plus faible rentabilité sur l OCDE 10
11 Les portefeuilles Corporate sont-ils moins risqués? COMPANY Enron Tyco Global Crossing Im Clone World Com Xerox Adelphia Martha Stewart Omnimedia Qwest Dynegy Sunbeam +Haut(US$) Bas(US$)
12 Encore un exemple si vous n étiez pas convaincus LA PERTE 25 Milliards US$ LES BANQUES LE CLIENT UBS Citibank Deutsche Bank Bank of America Morgan Stanley Credit Suisse First Boston SanpaoloIMI, Banca Intesa, etc 12
13 Sommaire Débarrassons-nous des préjugés Pays développés et émergents: des contrastes instructive Le partage de l information et les bénéfices pour l économie
14 La transformation de l industrie du Crédit Conso aux US par le partage de l information sur le crédit En 68 le premier Credit Bureau gérait manuellement 3,6 millions d enregistrements Dans les années 70 le partage de l information débute de façon industrielle aux US Le même C/ Bureau gère aujourd hui fichiers en ligne sur 300 millions de clients Il n est pas seul: trois concurrents majeurs opèrent sur ce marché avec les mêmes données La concurrence assure qualité de l information, investissements réguliers dans la technologie, prix bas, services à valeur ajoutée, externalisation Chaque année le secteur du crédit achète 1 milliard d enregistrements sur les particuliers et les PME (4 million/jour de travail). 70% des infos achetées incluent un bureau-score (particuliers et PME) 14
15 Comment l industrie de l information a-t-elle transformé celle du crédit? TYPE DE CREDIT % des foyers bénéficiant d au moins un crédit 55% 74% Nombre de foyers bénéficiant d un crédit 29,7 m 75 m Crédits Automobile 11 m 32 m Crédits immobiliers 13 m 44 m 15
16 Un cas d étude: Inde Un problème majeur : la faible productivité des banques 16
17 Un cas d etude: Inde Près de 70% des pertes de productivité sont dues aux mauvaises procédures de rating et a la baisse automatisation 17
18 Un cas d étude: Inde Les contraintes d accès au crédit sont essentiellement dues à: 1) absence de partage de l information; 2) faiblesse/absence des outils de gestion du risque; 3) manque d automatisation (*) (*) Debut du Credit Bureau en
19 Un cas d étude: Inde Résultat? Un développement ridicule des produits de financement du consommateur Un accès au crédit pour les ménages et PME extrêmement réduit Une pénétration 17 fois plus faible qu aux USA et 5,5 fois qu en Europe Un marché considérable de clients potentiels restant totalement à explorer 19
20 Comme les autorités peuvent contribuer? 2001: La State Bank of India, la HDFC, Dun & Bradstreet et Trans Union signent un accord opérationnel (% actionnaire : ) Obstacles légales : Problème: restrictions a partager les information entre les banques, les Ets. Financiers et les organizationsde crédit publiques Solution: La Reserve Bank of India impose aux institutions de crédit d obtenir dans tous cas le consentement du client a partager les info avec le C.B. Le 5 Avril, 2004 Le Crédit Bureau commence l activite Nouvelle législation en préparation: Le institutions financières de crédit peuvent partage les donnes sans consentement du client Une loi spécifique pour le Credit Bureau va être en place (contient droits et devoirs de consommateurs, operateurs, superviseurs) 20
21 Sommaire Débarrassons-nous des préjugés Pays développés et émergents: des contrastes instructifs Le partage de l information e le bénéfices pour l économie
22 L outil pour le partage de l info: le Crédit Bureau La Banque Mondiale classifies les CB sur 6 paramètres 1 point est attribue pour chaque paramètre acquis En 2004 seulement 14 nations sur 120 on obtenu un 6 complet Garante le droits des consommateurs ( voire / corriger leurs donnes) Contient tous les crédits majeurs de l 1% de revenue pro-capita Contient 5 ou plus années d information historique Contient informations des banques et autres institutions (Soc. Fin.; commerce au détail; services; téléphonie, etc.) Contient des information sur particuliers et entreprises 1 Contient des informations positives et négatives Source: World Bank s Doing Business in
23 Le partage de la totalité de l information au C.B. est clé Amélioration des taux de défauts % d amélioration % d amélioration 1.18 Info négative seule Info positive et négative Banques seules Banques et Ets spécialisés Source: Barron and Staten (2000). Note: Le graphique montre la simulations des défauts avec un taux d acceptation du 60% 23
24 Le partage de la totalité de l information au C.B. est Clé Augmentation du % de demandeurs qui obtiennent un crédit % de hausse 83.4 Info bancaire seule Banques et Ets de crédit Source: Barron and Staten (2000). Note: Le graphique montre la simulations du crédit disponible avec un taux de défauts de 3% 24
25 Le Credit Bureau développe le crédit 100% Credit consommation/ GDP 80% 60% 40% 20% 0% <2 2 to to to 475 >475 Couverture (consommatueurs/1000 adultes) quintiles Source: World Bank s Doing Business in
26 Le CB élevés la réputation internationale des nations Le Ratings de la solidité du système financier du pays augments avec la présence du Credit Bureau car le risque est mieux surveillé Without C.B. With C.B. Source: World bank s Doing Business in 2005, IMF Global Stability Report 2004, Moody s rating of financial system soundness 26
27 Des coûts inférieurs avec la Reputational collateral Les droits de prêteurs: théorie et practice du recouvrement souvent divergent La valeur de la garantie est proportionnelle a l efficacité des règles de faillite En Algérie, en moyenne, il faut: 49 procédures; 407 jours; coûts 28,7% du montant a recouvrer Dans un environnent peux protége le prêteurs augmentent le prix, la garantie refusent crédit Le partage de l information, particulier ment dans le PED fonctionne mieux que les droit légales World Bank Credit Reporting Systems Project - Février
28 Le Credit Bureau réduits les contraintes pour les PMEs Contraintes Probabilité pour les PME d obtenir du crédit 49% 40% 27% 28% Sans le C.B. Avec le C.B. Sans le C.B. Avec le C.B. Source: Enquête World Bank dans 52 pays - ( Love and Mylenko 2003); 28
29 Le CB: un aide au développement du crédit et de l économie Pour le consommateurs: Majeur accessibilité au crédit avec un bonne histoire du crédit ( reputational collateral ) Des intérêt beaucoup plus bas et plus de choix grâce a la concurrence entre le banques Rapidité, qualité du service et de la relations avec la banque Éducation au financement et compréhensions des droits des devoir du consommateur Pour les banques & institutions financières, de services, de telefomie, de détaille: Meilleures décisions (plus rapides, efficaces, automatiques et moins subjectives) Plus de volumes, moins de pertes, meilleures revenues, bonne qualité du portefeuille Possibilité de pratiquer des prix bases sur le risque réel des clients, fidélisation augmentée Meilleur control du portefeuille existant, en anticipant le sur-indettement ( Serial borrowers ) Complaisance avec BASEL II (nécessite d outils sophistiques de risk management - le C.B. ainsi comme le agences de rating fournissent des informations indépendants) Prévention de fraudes Pour l économie nationale Un rating international plus haut Un coût général du crédit plus bas Une accessibilité au e plus ample pour un vaste parte de la population (la plus vulnérable) Réduction du risque systémique du crédit et du taux de défaut Évolution du système de payement avec des outils avancés (ex. cartes) qui s affirment Investissements encouragés et stimulation de la croissance économique Création d infrastructure de l information e technologique avancée pour l industrie du crédit. 29
30 Réduire le Risque de Crédit grâce au partage de l information Merci Oscar Madeddu Algérie - 30 Juin
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