Vers une poétique de l anonymat urbain
|
|
- Hervé Lévesque
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Vers une poétique de l anonymat urbain Anne Jarrigeon * Université de Paris IV (CELSA), GRIPIC & Laboratoire «Communication et politique» (CNRS) L anonymat urbain semble constitutif de la grande ville. Bien plus décrié que véritablement analysé, son fonctionnement au quotidien met en jeu de manière spécifique le corps, les apparences et la communication non verbale. Il s agit ici de dessiner les pistes d une véritable poétique de l anonymat, à la croisée de l anthropologie urbaine et de la sémiologie, et visant à interroger, au-delà de la simple présence des corps dans des espaces urbains particuliers, le statut du voir / être-vu contemporain. La rupture par rapport à la tradition physiognomonique dont relèvent souvent les études du corps communiquant, permet d envisager une nouvelle forme de prise en compte du corps et de ses multiples médiations. Le corps et la ville n y sont pas réduits à leur seule lisibilité, qui est articulée aux régimes du visible et du visuel, contribuant à façonner la discipline des regards et des corps dans les expériences triviales proposées par l urbain. Des corps urbains (boulevard Haussmann, Paris) * anne.jarrigeon-celsa@paris4.sorbonne.fr Tous les clichés illustrant ce travail ont été réalisés par l auteure. 89
2 MEI «Espace, corps, communication», nº 2, 2004 Introduction L anonymat urbain est tellement évident dans l imaginaire associé à la grande ville qu il n est quasiment jamais interrogé. La nostalgie d une sociabilité de type villageoise pousse bien souvent les sociologues et les ethnologues à analyser les logiques de quartier, la production de l entre soi ou la construction de l authentique. Ils privilégient le local et les moments de convivialité à l indifférence générale, considérée comme un fléau de la vie urbaine, selon une tradition remontant au XIX e siècle. Il n est pourtant pas si simple de passer inaperçu selon les lieux de la ville, quand on est trop noir, trop blonde, handicapé ou simplement trop vieux. Le passage d identités de reconnaissance à d autres formes identitaires, prises dans le ronronnement d une soi-disant indifférence généralisée mérite qu on s y arrête un peu, et peut-être même qu on aborde par là les phénomènes urbains contemporains. Colette Pétonnet avait ouvert la voie il y a une vingtaine d années, en proposant un programme de recherche sur «l anonymat comme pellicule protectrice». Elle invitait les ethnologues à décrire cette forme particulière de réserve à l égard d autrui, rendant possible la vie individuelle au milieu de la multitude. Dans ces situations, le discours est moins absent qu en retrait, laissant une place prépondérante au corps et à ce qu il est convenu d appeler la communication non verbale. On peut se demander à quoi tient le respect (ou non) des distances proxémiques, l orientation des regards, le poids de certaines présences ou l enchantement lié à d autres. Que se passe-t-il entre les gens lorsque la foule semble se saisir des lieux? Comment se construit la mise en visibilité réciproque des individus en situation d anonymat? Par quels processus de communication sont données à voir, et même à lire, des formes de singularité dans la masse? Quel rôle jouent les stéréotypes liés au corps et à ses multiples médiations dans la structuration des interactions en public? Fait de silence, ou se déroulant dans le bruit, l anonymat a les apparences d une sorte de corps à corps urbain relevant d une véritable poétique. S y jouent la possibilité d une dilution de l individuel dans le collectif, du surgissement du déterminé dans l indéterminé, mais aussi la traversée du singulier, du geste singulier par exemple, par le non singulier, par le social et d une certaine façon par l histoire. C est bien une poétique qu il s agit d amorcer, non pas au sens des poètes 2 et des rhéteurs, ni tout à fait au sens de Pierre Sansot 3 qui accorde une importance cruciale aux rêveries des citadins et à 2 3 Pétonnet, Colette, 987. «L anonymat comme pellicule protectrice». La ville inquiète. Le temps de réflexion. Paris : Gallimard, 256 pages Encore que les poètes se soient souvent saisis des thématiques de l anonymat et la foule depuis le XIX e siècle, contribuant très fortement à la fabrication de l imaginaire urbain. Sansot, Pierre, 97. Poétique de la ville. Paris : Klincksieck, 423 p. 90
3 Vers une poétique de l anonymat urbain A. Jarrigeon l expressivité des lieux, mais au sens étymologique de fabrication, d entrecroisement de perspectives, d objets, de pratiques et de signes produisant l anonymat urbain quotidien. Chercher à saisir les infimes ajustements identitaires qui en constituent les rouages conduit, de fait, à aborder le corps de façon spécifique et à rompre avec la tradition classique, visant à instaurer une grammaire du corps. La lisibilité des corps et les codes qui la construisent doit être située précisément dans le champ de la pratique interprétative quotidienne, et articulée avec le statut du visible dans les expériences proposées par l urbain. J évoquerai ici les conditions d une approche communicationnelle du corps, à la croisée de la sémiologie, de l ethnologie critique et de l anthropologie visuelle, avant de déplacer la question des identités anonymes portées par les corps vers une économie plus générale des regards et des modes de voir dans l espace public. Le corps en situation d anonymat se présente comme un lieu important de production, de différenciation, et de confrontation des régimes de visibilité contemporains. Analyser son mode d inscription dans les interactions, c est placer au cœur de l approche de l urbanité contemporaine ce qui contribue à ordonner celle-ci et à lui donner forme : le regard, le voir, le visuel. Y est à l œuvre une discipline des regards et des corps dont les implications politiques revêtent une importance considérable sur les scènes d exposition spécifiques que constituent les espaces publics urbains. Saisir le corps à corps urbain De la grammaire du corps Aborder le corps en contexte urbain, c est chercher à le saisir non pas par ses techniques, comme y invite Marcel Mauss, mais plutôt à partir de la catégorie de l espace. Il s agit d emblée de l observer in situ, dans la densité de ses interactions avec les autres corps, mais aussi avec les cadres qui configurent ses expériences. Aborder le corps par le truchement de l anonymat urbain et des formes d extériorité sur lequel il repose, instaure une rupture par rapport aux innombrables théories sur le langage du corps, ayant servi de modèle aux analyses de la communication non verbale. Ces travaux tournent presque tous autour d un code nécessaire mais éternellement insatisfaisant pour décrire et décrypter la rhétorique du corps. Les recherches de la seconde moitié du XX e siècle s inscrivent de ce point de vue dans la longue tradition physiognomonique remontant à l Antiquité grecque et visant à instaurer une sorte de grammaire du corps expressif. Des théories d Hippocrate à l Institution Oratoire de Quintilien en passant par les écrits d Aristote, de Mauss, Marcel, 966 : «Les techniques du corps», Sociologie et anthropologie. Paris : PUF, 483 pages. 9
4 MEI «Espace, corps, communication», nº 2, 2004 l œuvre de Lebrun à celle de Lavater, des tentatives du Docteur Duchenne aux enseignements plus récents de Paul Ekman, ces travaux ont en commun de privilégier l élaboration de codes interprétatifs et placent au cœur du problème l impossible transcription du corps. Les approches fondées sur l étude des interactions corporelles initiées par Efron, Birdwhistell ou Scheflen ont d ailleurs elles-mêmes échoué, malgré leur impératif pragmatique, parce qu elles aboutissaient finalement à des grammaires interactionnelles aussi rigides que les précédentes. Deux femmes, deux hommes, deux mannequins (rue Caumartin, Paris, 2004) Retour sur soi (boulevard Haussmann, Paris, 2004) Homme en noir avec mannequins, (Forum des Halles, Paris, 2004) Il ne s agit évidemment pas à partir de cette posture critique de produire une nouvelle typologie des éléments recouverts par la catégorie de la gestualité, et encore moins d élaborer d autres grilles interprétatives, réduisant de toute façon le corps à sa lisibilité. Mais plutôt de sortir de cette tradition d analyse du langage corporel et de s ancrer dans les observations des interactions corporelles. Au-delà de la figuration, l interaction? La mise en jeu du corps en situation d anonymat dépasse pourtant la stratégie de présentation de soi en public, théorisée si brillamment par Erving Goffman. Elle ne saurait être prise en compte seulement à partir de la référence au rôle du corps dans la communication interpersonnelle. Elle relève bien plus, ou du moins tout autant, de processus de construction, de circulation et d appropriation des gestes. Ces mouvements impliquent une multitude de médiations images ou dispositifs qui construisent l univers perceptif de la ville autant qu ils façonnent l imaginaire du corps contemporain. La matérialité urbaine ne doit pas être négligée ou réduite à l inertie d un simple décor interchangeable. Des formes architecturales aux images de publicités couvrant les murs, du mobilier urbain aux représentations figuratives de la renaissance, des illustrations de Top Santé Ray Birdwhistel s est d ailleurs lui-même exprimé sur l échec de son entreprise dans un texte présenté par Yves Winkin (Winkin, Yves, 98. La nouvelle communication. Paris : Seuil, 372 pages) 92
5 Vers une poétique de l anonymat urbain A. Jarrigeon magazine aux gravures de dandy du XIX e siècle, toutes ces instances de médiation donnent à lire quelque chose du corps urbain, constituant les fondements d un dispositif du corps, au sens de Michel Foucault. De la ressemblance et autres formes de circulations Dans cette optique, la dichotomie classique entre corps vivant et corps figuré n a plus lieu d être. Le corps réel et ses multiples harmoniques doivent êtres analysés ensemble, dans une perspective qui dépasse l hypothèse interactionniste. On peut constamment tisser des liens entre les interactions directes et d autres situations elles-mêmes observées in situ ou cristallisées dans la peinture, dans les médias ou dans les formes de la ville elle-même. Erving Goffman semble avoir négligé l épaisseur historique et la plasticité des comportements, autant qu il a eu tendance à désémiotiser la ville. On trouve pourtant une intuition de cette nécessaire prise en compte des médiations du corps aux origines de la sociologie, chez Marcel Mauss lui-même 2. La mise en circulation généralisée des pratiques et des images du corps Êtres crânes (boulevard Haussmann, Paris, 2004) relève d une approche intersémiotique sensible, permettant de rendre compte des modalités de télescopage, de rencontre ou de superposition entre les espaces de pratiques et les espaces symboliques liés au corps. Certains motifs du corps à corps urbain contemporain réactualisent des patterns anciens ou venus d ailleurs. Cette archéologie des gestes qui mobilise une véritable anthropologie visuelle, offre des perspectives de rapprochements théoriques et expérimentaux entre l ethnologie et la sémiotique. Je la mets à l épreuve dans mon travail sur plusieurs terrains à Paris, tous choisis en fonction du statut accordé à la gestualité et à leurs qualités d espace public. J ai retenu des lieux très fréquentés, véritablement possédés par la foule, où les modes de communication à l œuvre échappent aux logiques de l entre 2 Foucault, Michel, 975. Surveiller et punir, Paris, Gallimard, 38 pages «Une sorte de révélation me vint à l hôpital. J étais malade à New York. Je me demandais où j avais déjà vu des demoiselles marchant comme mes infirmières. J avais le temps d y réfléchir. Je trouvais enfin que c était au cinéma. Revenu en France, je remarquais, surtout à Paris, la fréquence de cette démarche ( ) en fait la mode américaine, grâce au cinéma, commençait à arriver chez nous. C était une idée que je pouvais généraliser» (Mauss, op. cit., p. 368) 93
6 MEI «Espace, corps, communication», nº 2, 2004 soi, de communauté ou de quartier. Il s agit principalement de la Piazza Beaubourg, du Forum, des Halles, du Parc de la Villette, du métro et de quelques rues de la capitale. Les observations, souvent réalisées au moyen d un appareil photo ou d une caméra, peuvent être associées à des images venues d ailleurs, permettant par là de constituer des corpus expérimentaux. La sémiotique de la ressemblance à l œuvre dans cette recherche ne peut prétendre indiquer les sens de circulation, ni reconstituer des chaînes de causalité, quoique cela soit parfois revendiqué par les acteurs sur un mode citationnel. C est par exemple le cas au Forum des Halles en ce qui concerne la claudication très particulière de certains jeunes hommes associés au mouvement Hip hop, qui prennent soin de relever une des jambes de leur pantalon, en référence plus ou moins directe aux esclaves noirs du continent américain. Le mollet mis à nu et le déséquilibre de la démarche sont là pour rappeler les chaînes et les fers. Ils entrent dans un système de renvois intersémiotiques complexes dessinant toute une mythologie des origines dans laquelle le cinéma, la musique rap, ses clips, et plus généralement la médiatisation du mouvement Hip hop ont joué un grand rôle. On a affaire ici à une revendication identitaire dépassant les clivages culturels, religieux ou ethniques, et qui correspond du point de vue de la scène publique à un effacement du singulier devant le collectif, le groupe d appartenance. Les stéréotypes, efficaces dans le mouvement de singularisation et de désingularisation des apparences lors des pratiques de l urbain, constituent une part importante de cette poétique de l anonymat à l œuvre. Dépasser l alternative entre interaction et figuration du corps, refuser de réduire le corps à sa seule lisibilité et aux grammaires qui lui correspondent ne conduit à pas à nier l existence de formes transmises et de tours interprétatifs partagés. Cela invite à interroger le statut de ces parcours par lesquels advient la reconnaissance au cours d expériences urbaines qui mobilisent autre chose que la lecture. Le Forum des Halles, en plein cœur de Paris, constitue une «porte intérieure de la ville» (Pierre Sansot, 976) présentant la banlieue aux Parisiens. Presque toutes les lignes de métro et de RER s y rejoignent dans un espace essentiellement souterrain. Sorte de point de passage obligé, il offre une scène publique d exposition à la fois commerciale et identitaire particulièrement riche pour exhiber les formes de circulation sociale des modèles (vestimentaires mais aussi gestuels) des vitrines à la rue et réciproquement. Le Parc de la Villette, au contraire, est un espace choisi et non un lieu incontournable. En périphérie, son architecture et les nombreuses manifestations auxquelles il prête son cadre vert, proposent un ensemble de discours sur le corps : scientifiques, artistiques ou ergonomiques, selon les instances énonciatrices. Espace de loisir, c est également un espace de rencontre, répondant à une logique de courtoisie. Les regards et les corps y jouissent d une très grande liberté de mouvement. 94
7 Vers une poétique de l anonymat urbain A. Jarrigeon Entre-voir urbain : de la discipline des regards et des corps Ni le corps, ni la ville d ailleurs, ne sauraient effectivement être abordés seulement sous l angle de leur lisibilité. Le refus d une grammaire du corps s accompagne d un égal refus d une prise en compte de l urbain sur ce seul mode de la lisibilité dans laquelle la ville ne serait plus qu un espace de repérage, un espace signalisé. Prendre pour objet le corps à corps urbain, c est implicitement s engager à qualifier «l esthésie contemporaine», ainsi que le souhaitait Georg Simmel aux prémisses de la sociologie urbaine. Loin de vouloir négliger cette dimension sensuelle, cette érotique particulière des déplacements urbains, et du rapport à la foule, «cette corporéité qui n est pas réductible au corps qui se voit», comme le souligne Patrick Baudry 2, loin de succomber à la tyrannie signalétique qui guide une large part des travaux sur les villes, je m attarderai pourtant tout de même sur ce qui se voit et se laisse voir, sur ce qui s impose ou se dissimule. J envisagerai les modalités de cette «conscience de l œil» chère à Richard Sennett 3, parce que s y trouve en jeu le fonctionnement même de l anonymat et de l espace public. Je laisserai de côté ici l univers perceptif de la ville au profit d une focalisation momentanée sur les rapports d extériorité et les modes de voir. Je convoquerai pour seule phénoménologie une phénoménologie de la perception visuelle. Du visible au lisible Que peut-on voir en ville? Que donne-t-on à voir de soi? Que peut-on voir ensemble? La question du regard, surplombe à certains égards toutes les autres, parce que «l urbain agence le retrait de l individu dans son corps et dans ce corps qui l expose», selon l expression de Patrick Baudry 4. Ce régime d exposition soumet, de fait, le corps à un mode d appréhension qui s apparente à certain rapport écriture-lecture. Les apparences sont fondamentales en situation d anonymat. Les parures du corps, par exemple, relèvent effectivement d un régime de lisibilité plus ou moins clairement établi, et donnant lieu à toutes sortes d interprétations, de qualifications, mais aussi d erreurs. Ainsi se joue constamment une guerre du faux dans la trivialité des pratiques interprétatives. Les stéréotypes corporels, façonnés par la mode et le marketing, sont convoqués constamment, mais souvent détournés au profit d ajustements identitaires plus Simmel, Georg, 98 : «Essai sur la sociologie des sens», Sociologie et épistémologie. Paris, PUF, 238 pages. Baudry, Patrick, 2003 : «L espace public du corps urbain», L urbain et ses imaginaires. Textes réunis par Patrick Baudry et Thierry Paquot. Pessac, Maison des Sciences de l homme d Aquitaine, 2 pages Sennett, Richard, La conscience de l œil. Paris : Ed de la passion, 269 pages ibid, p
8 MEI «Espace, corps, communication», nº 2, 2004 fins. La lisibilité des corps est un enjeu déterminant dans le fonctionnement du voir / être-vu quotidien. Elle tend à faire du corps individuel une métonymie du corps social. Elle donne une prise solide par sa mise en œuvre dynamique : on peut contrôler son image, forcer la lecture, provoquer la reconnaissance. En somme, elle structure un niveau de la circulation des signes auquel la publicité participe de manière massive. Par son omniprésence évidemment, mais surtout par le traitement qu elle fait subir aux corps et par le mode d inscription imagier qu elle propose. Il n est pas du tout certain d ailleurs, que les images publicitaires «hyperritualisent» ce qui constituerait nos propres rituels sociaux, ainsi que le soutient Erving Goffman. Par leur omniprésence et leur immensité, elles réaffirment des modes de structuration relationnelle stéréotypés, traversant tant les images que les interactions. Elles ne commentent pas seulement les interactions réelles, mais informent, au sens strict, les rituels sociaux. Au-delà du visible, expériences photographiques Il ne faut surtout pas négliger cette surface des lisibilités, qui sert de support à toute une sémiologie spontanée, et fournit un socle reconnaissable, rassurant, à une autre approche du visible qui, au-delà du lisible, offre une perspective phénoménologique sur le rapport visuel au monde. Car c est bien en dehors de la «tyrannie du lisible», selon l expression de Georges Didi Huberman 2 que se joue profondément l expérience de l urbain. Le voir/être-vu n est soumis que de façon superficielle à ces processus de décodage. C est également en dehors de la domination du visible dans lequel des brèches sont perceptibles. Ce sont bien plus les entrelacs, les écarts entre ce qui est soumis au regard et ce qui lui échappe, entre le visible et l invisible, entre les impressions et surimpressions visuelles qui traversent le corps à corps urbain. «Il faut revenir en deçà du visible représenté, aux conditions même du regard, de présentation, de figurabilité», affirme le critique d art 3. Les images présentes dans la ville ne m intéressent au fond qu en tant qu elles contribuent à façonner les manières de voir les corps. Ce n est pas tant leur contenu figuratif, ni leur discours latent qui nourrit la pratique du regard, que leur configuration des modes de voir. Il faut donc rendre compte de cette économie générale des regards, telle qu elle se cristallise de manière cruciale dans des situations soumises au poids du visible et de l exposition. 2 3 Goffman, Erving, 977. «La ritualisation féminine». Actes de la recherche en sciences sociales n 4, Présentation et représentations du corps. Paris : Minuit, 35 pages Didi-Huberman, Georges, 990. Devant l image. Paris : Minuit, 332 pages ibid, p
9 Vers une poétique de l anonymat urbain A. Jarrigeon Monter, descendre (Forum des Halles, Paris, 2003) Circuler (Forum des Halles, Paris, 2003) Sur le terrain, j ai expérimenté les agencements visuels, les processus triviaux d ordonnancement du regard à l aide d un appareil photo. Je ne cherchais pas à produire des images illustratives, et encore moins des images représentatives des situations ou des comportements, ni à les soumettre à une analyse, mais à me donner la possibilité d expérimenter le réel par un truchement. «L acte photographique» en tant que tel revêt dans cette ethnographie une très grande importance. J ai parcouru les lieux, cherchant à saisir les points de vue et les possibilités de focalisation offertes par l architecture. J ai ensuite cherché à comprendre comment un photographe pouvait (ou ne pouvait pas) se glisser dans le voir/être-vu, en arrachant à la foule des images de ses individus. Il m a été facile de réaliser des portraits au téléobjectif des visiteurs et habitués de la Piazza Beaubourg. Personne ne me remarquait dans ce dispositif architectural édifiant, orientant tous les visages et les corps par le moyen essentiel d une façade-miroir et d une célèbre pente. Au Forum des Halles, en revanche, il m a été presque impossible, aux heures d affluence, de sortir de la foule. Le lieu n offre aucun espace perspectif, on est jeté les uns sur les autres, et saisi ensemble dans une fluidité régie par une injonction à circuler. J ai eu du mal à photographier les visages, on m a remarquée très vite, on m a opposé de la résistance. Les caractéristiques labyrinthiques et souterraines du lieu et sa fréquentation par une population de jeunes hommes stigmatisés jeunes de banlieue pas forcément très nombreux, pas nécessairement de banlieue, mais très visibles et lus comme tels par l ensemble des autres en fait un lieu d exercice particulièrement vigilant du regard. L anonymat urbain relève de cette discipline du regard dans laquelle s entrecroisent des manières de faire image, des manières d être là pour voir, et des discours instituants. J ai rencontré au Forum des Halles des personnes qui m ont opposé le droit à l image, leur image, ce qui ne se serait sans doute pas produit ailleurs, sur la Piazza Beaubourg ou au Parc de la Villette. Je n ai pas respecté ce droit, ni dans ma pratique photographique ni dans la réalisation de mon film ethnographique sur le parc de la Villette et pour cause, l extériorité constitutive de l anonymat urbain était le sujet du film j ai plutôt cherché à expérimenter ses limites, et la Dubois, Philippe, 990. L acte photographique. Paris : Nathan, 305 pages 97
10 MEI «Espace, corps, communication», nº 2, 2004 façon dont il contribue de manière légale à l instauration d un ordre visuel. Il m est apparu que se trouvait là, dans la prise en compte de l architecture, des regards qu elle rend possible, des textes et des représentations qui fabriquent un mode de voir officiel, la possibilité d une analyse de l articulation entre le voir singulier et le voir-ensemble au cœur de l anonymat. Voir, être-vu (boulevard Haussmann, Paris, 2004) Conclusion. Parcours du singulier dans l espace public Dans un contexte de démultiplication des images, il paraît d autant plus important de s interroger sur la structuration du visible contemporain que s exerce à travers lui des modes de différenciations identitaires fondamentaux. Que peut-on laisser voir en public? Où s arrête l ostensible? Où commence l ostentatoire? Autant de questions dont l actualité n aura échappé à personne. Le dispositif de regard et la discipline des corps qui lui correspond rendent parfois difficile d accès l indifférence polie et mutuelle à laquelle auraient droit les urbains anonymes. Cette liberté d accès constitue pourtant l un des fondements de la pensée de l espace public, comme le rappelle Isaac Joseph, reprenant ainsi Georg Simmel et Hannah Arendt. Décrit théoriquement comme un «espace ouvert», «un ordre de visibilité destiné à recevoir une pluralité d usages ou de perspectives, impliquant une profondeur», comme un lieu sensible dans lequel 98
11 Vers une poétique de l anonymat urbain A. Jarrigeon l étranger serait accueilli dans l indifférence, «l espace public» laisse assez peu de place à la singularité portée par les corps. C est dans la référence à ces utopies pratiques, ayant façonné la pensée de la ville et de l urbain, que la problématique de l anonymat quotidien prend tout son sens. Les lieux de Paris qui constituent mon terrain d enquête répondent aux impératifs (théoriques et politiques) de l espace public. Ils proposent effectivement dans le tissu urbain des situations de rencontre et d ouverture, échappant à la prédominance de logiques territoriales ou communautaires 2. On peut y voir des individus venant d univers multiples, de tous âges, de tous milieux sociaux, de toutes les nationalités ou horizons culturels. C est bien dans ces situations, où la plasticité de l espace public joue vraiment qu il faut observer les ajustements identitaires, les possibilités de recouvrement des significations qui permettent aux uns de passer inaperçus, aux autres de se faire remarquer, ou d être extirpés de l indifférence malgré eux. Dans les pratiques urbaines, l être-ensemble se définit autant par les parcours visuels et physiques, que par l agencement et l articulation de régimes de visibilité et de lisibilité spécifiques. Il relève fondamentalement d un voir-ensemble dont il faut analyser les conditions de possibilité. Ainsi se dessine le projet d une poétique de l anonymat mettant en jeu les corps individuels et le corps collectif. Bibliographie Agamben, Giorgio, 990. La communauté qui vient. Théorie de la singularité quelconque. Seuil, 02 pages Goffman, Erving, 973. La mise en scène de la vie quotidienne, t. et 2. Paris : Minuit Merleau-Ponty, Maurice, 200. Phénoménologie de la perception. Paris : Gallimard, 530 pages Mondzain, Marie-Josée (dir.), 2003, Voir ensemble. Autour de Jean Toussaint Desanti. Paris : Gallimard, 246 pages Nancy, Jean-Luc, 996. Être singulier pluriel. Paris : Galilée, 20 pages 2 Joseph, Isaac, 998, La ville sans qualité. La Tour-d Aigues : Éd. de l Aube, 209 pages On peut toutefois analyser les pratiques d appropriation spatiale voire de territorialisation dans chacun de ces lieux. Une observation attentive permet même de réaliser des cartographies très précises, quasiment au mètre près. 99
12
L ambiance des foules anonymes Eléments d anthropologie poétique des espaces publics parisiens
Anne Jarrigeon L ambiance des foules anonymes Eléments d anthropologie poétique des espaces publics parisiens Présentation Anne Jarrigeon anne.jarrigeon@gmail.com Anne Jarrigeon est docteur en Sciences
Plus en détailLE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION
LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION Face à une rationalisation croissante du secteur social et médico-social, accentuée par les effets de crise, comment un directeur de structure
Plus en détailFiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique)
1 Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique) La programmation neurolinguistique (PNL) fournit des outils de développement personnel et d amélioration de l efficacité relationnelle dans
Plus en détailLe Centre Georges Pompidou, Paris.
Le Centre Georges Pompidou, Paris. 1- L OEUVRE : Titre de l œuvre Centre Georges Pompidou aussi surnommé Beaubourg d après le nom du quartier dans lequel il fut construit. Nom de l auteur ou de l artiste
Plus en détailJour 1. Origines et évolution du marketing
Jour 1 Origines et évolution du marketing Origines et évolution du marketing Jour 1 Cette journée est consacrée à la présentation de la discipline au travers de trois sous-thèmes : l histoire du marketing,
Plus en détail«Source» - Elena PAROUCHEVA, installation monumentale, Amnéville-les-Thermes, Concours Européen Supélec Sciences et Technologies dans l'art Européen
Concours Européen Supélec Sciences et Technologies dans l'art Européen «Source» - Elena PAROUCHEVA, installation monumentale, Amnéville-les-Thermes, présentée par Frédéric LESUR, Supélec 92 Illustrations
Plus en détailBABEL LEXIS : UN SYSTÈME ÉVOLUTIF PERMETTANT LA CRÉATION, LE STOCKAGE ET LA CONSULTATION D OBJETS HYPERMÉDIAS
Quatrième colloque hypermédias et apprentissages 275 BABEL LEXIS : UN SYSTÈME ÉVOLUTIF PERMETTANT LA CRÉATION, LE STOCKAGE ET LA CONSULTATION D OBJETS HYPERMÉDIAS Anne-Olivia LE CORNEC, Jean-Marc FARINONE,
Plus en détailLa Participation, un cadre de référence(s) Support de formation Pays et Quartiers d Aquitaine Mars 2011
+ La Participation, un cadre de référence(s) Support de formation Pays et Quartiers d Aquitaine Mars 2011 Présentation Cheikh Sow (Anthropologue au CLAP Sud-Ouest) et Mehdi Hazgui (Sociologue- Consultant)
Plus en détailBureau D Accueil des Artistes et Professionnels Etrangers (BAAPE)
Bureau D Accueil des Artistes et Professionnels Etrangers (BAAPE) Février 2008 SOMMAIRE Communiqué de presse de synthèse... 3 1. Le Bureau d accueil des Artistes et Professionnels Etrangers (BAAPE)........
Plus en détailMédiation traduction. De la matière aux langages. 1/ Au fait, les Arts plastiques, qu est-ce que c est? 2/ Pourquoi traduire une œuvre?
1/ Au fait, les Arts plastiques, qu est-ce que c est? Médiation traduction De la matière aux langages 2/ Pourquoi traduire une œuvre? 3/ La rencontre avec une œuvre : une «enquête» en 3 étapes 4/ Et maintenant
Plus en détailUne nouvelle muséologie pour le musée moderne
Une nouvelle muséologie pour le musée moderne André Desvallées, dir., Vagues, une anthologie de la nouvelle muséologie André Desvallées, dans cet extrait de Vagues, une anthologie de la nouvelle muséologie
Plus en détailDISCOURS INSTITUTIONNEL DISCOURS PUBLICITAIRE: APPROCHE DÉLIMITATIVE
PROFESSIONAL COMMUNICATION AND TRANSLATION STUDIES, 2 (1-2) / 2009 11 DISCOURS INSTITUTIONNEL DISCOURS PUBLICITAIRE: APPROCHE DÉLIMITATIVE Lavinia SUCIU Politehnica University of Timişoara Résumé: La prémisse
Plus en détailLe processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins?
Le processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins? Laurent QUENEC HDU Descriptif : Le métier de cadre de santé est en constante évolution : le cadre est aujourd
Plus en détailLa danse contemporaine à la maternelle
La danse contemporaine à la maternelle «Quand une image présente ne nous fait pas penser à des milliers d images absentes, il n y a pas d imagination» G.Bachelard Danse et Arts visuels-a partir de Matisse-Ecole
Plus en détailCOMMENT PARLER DES LIVRES QUE L ON N A PAS LUS?
Né dans un milieu où on lisait peu, ne goûtant guère cette activité et n ayant de toute manière pas le temps de m y consacrer, je me suis fréquemment retrouvé, suite à ces concours de circonstances dont
Plus en détailAnne Cauquelin, L'invention du paysage.
Anne Cauquelin, L'invention du paysage. Anne Cauquelin, L'invention du paysage, QUADRIGE, PUF, 2000, 2002 [1ère édition Libriarie Plon, 1989]. Analyse historique de la notion de paysage : - Qu'est ce qu'un
Plus en détailChapitre 1 Comprendre l évolution du marketing
Chapitre 1 Comprendre l évolution du marketing Ce que vous allez apprendre Définir le marketing et comprendre son rôle Comprendre les différentes évolutions du marketing Comprendre les nouveaux enjeux
Plus en détailLa distribution et le marketing numériques
La distribution et le marketing numériques E-commerce : un développement solide L e-commerce transforme la manière avec laquelle les clients ont accès et achètent leurs produits. Avec, en point d orgue,
Plus en détailchapitre 1 ORIENTATION : LES ÉTUDES EN MANAGEMENT Par Christine GUESDON avec l aide de Jean TULOUP et de Mustapha BENKALFATE
chapitre 1 ORIENTATION : LES ÉTUDES EN MANAGEMENT Par Christine GUESDON avec l aide de Jean TULOUP et de Mustapha BENKALFATE 8 Chapitre 1 L engouement pour les formations en management, au sein des écoles
Plus en détailAgence du patrimoine immatériel de l État
Agence du patrimoine immatériel de l État Les richesses de l immatériel sont les clés de la croissance future Rapport de la commission de l économie de l immatériel 2006 Le mot du directeur général L APIE
Plus en détailDanseur / Danseuse. Les métiers du spectacle vivant
Les métiers du spectacle vivant Filière : artistique Domaine : art chorégraphique Appellations voisines : artiste chorégraphique Autres métiers du domaine : chorégraphe, maître de ballet, notateur Danseur
Plus en détailRencontre avec un singe remarquable
Rencontre avec un singe remarquable Ce spectacle, inspiré du Kathakali, est une invitation au voyage, à la découverte d une culture aux multiples couleurs pour un récit plein de rêve et de magie Spectacle
Plus en détail«LA FRANCE EST CAPABLE DE GRANDS ÉVÉNEMENTS. LA FRANCE A BESOIN DE SE PROJETER»
28/04/15 1 «LA FRANCE EST CAPABLE DE GRANDS ÉVÉNEMENTS. LA FRANCE A BESOIN DE SE PROJETER» Le 6 novembre 2014, le Président de la République a officiellement annoncé la candidature de la France à l organisation
Plus en détailConsumer. Fiche Synthétique. Journey. Enquête sur les parcours d achat Secteur Automobile Véhicules neufs
Fiche Synthétique Consumer Journey Enquête sur les parcours d achat Secteur Automobile Véhicules neufs Février 2014 1 1 CONTEXTE En 2013, le marché automobile français a réalisé sa pire performance depuis
Plus en détailwww.u-bordeaux3.fr Master professionnel Conception de projets multimédia et de dispositifs numériques Médiation, médiatisation des savoirs
www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Conception de projets multimédia et de dispositifs numériques Médiation, médiatisation des savoirs Dix années d expérience en formation de chef de projet multimédia
Plus en détailQu est-ce qu une problématique?
Fiche méthodologique préparée par Cécile Vigour octobre 2006 1 Qu est-ce qu une problématique? Trois étapes : 1. Définition de la problématique 2. Qu est-ce qu une bonne problématique? 3. Comment problématiser?
Plus en détailLa communication non verbale. Communication analogique et anthropologie de la communication
La communication non verbale REC-communication non verbale La communication non verbale correspond à l expression du visage et aux postures du corps que l on adopte : c est le langage du corps. Le langage
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailTerritoire Créatifs? L'apport de l'art, des artistes, et des lieux de la culture dans le développement territorial.
Laboratoire d'ingénierie d'idées, Paris. www.liid.fr Territoire Créatifs? L'apport de l'art, des artistes, et des lieux de la culture dans le développement territorial. Raphaële Bidault-Waddington Artiste
Plus en détailL E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s
L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s Stéphane Safin Psychologue - Ergonome Lucid Group -
Plus en détailConsumer. Fiche Synthètique. Journey. Enquête sur les parcours d achat Secteur Fournisseurs d accès à internet (FAI)
Fiche Synthètique Consumer Journey Enquête sur les parcours d achat Secteur Fournisseurs d accès à internet (FAI) Juillet 2013 1 Le secteur des télécommunications a subi des modifications qui ont permis
Plus en détail«L impact de l interculturel sur la négociation» construire des intérêts matériels ou des enjeux quantifiables
Le Centre de Langues et de Traduction de l Université Libanaise vous invite à prendre part au colloque international : «L impact de l interculturel sur la négociation» qui se tiendra dans les locaux du
Plus en détailLa communication interculturelle entre milieux professionnels
La communication interculturelle entre milieux professionnels DiaLogue 13 heures 45, un visiteur entre chez Flat2A, entreprise spécialisée dans la conception et la réalisation de parcours spectacles multisensoriels.
Plus en détailDIRECTION DE LA COMMUNICATION ET DES PARTENARIATS DOSSIER DE PRESSE E-GUIDEZ VOUS! LA NOUVELLE APPLICATION DU CENTRE POMPIDOU
DIRECTION DE LA COMMUNICATION ET DES PARTENARIATS DOSSIER DE PRESSE E-GUIDEZ VOUS! LA NOUVELLE APPLICATION DU CENTRE POMPIDOU LA NOUVELLE APPLICATION DU CENTRE POMPIDOU 1 er avril 2015 SOMMAIRE direction
Plus en détail10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF
10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX
Plus en détailDEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV. Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche
DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche 2015 1 PRESENTATION DE LA STRUCTURE RAViV est un réseau solidaire de compagnies et structures franciliennes de spectacle vivant
Plus en détailLes aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie.
Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Sarah CAILLOT, Psychologue Réseau Breizh IMC- Pôle MPR St-Hélier (Rennes)- Journée Inter-régionale
Plus en détailDIU Soins Palliatifs et d Accompagnement.
DIU Soins Palliatifs et d Accompagnement. Centre - Pays de Loire CHRU Tours COMMUNICATION «Conflits internes et Cohérence personnelle» SOMMAIRE Introduction page 3 Communication Page 4 Les paramètres d
Plus en détailGRAVER LA PAIX Projet de création artistique collective dans le cadre des Rencontres de Genève Histoire et Cité Construire la Paix (14-16.05.
GRAVER LA PAIX Projet de création artistique collective dans le cadre des Rencontres de Genève Histoire et Cité Construire la Paix (14-16.05.2015) LE PROJET DÉTAILLÉ Présentation générale Graver la Paix
Plus en détailNous avons besoin de passeurs
1 Nous avons besoin de passeurs «Lier pratiques culturelles et artistiques, formation tout au long de la vie et citoyenneté» François Vercoutère Du point de vue où je parle, militant d éducation populaire
Plus en détailSociété française des intérêts des auteurs de l écrit
Société française des intérêts des auteurs de l écrit Le droit de prêt La rémunération pour copie privée numérique La retraite complémentaire des écrivains et des traducteurs L action culturelle Les livres
Plus en détailNature et formes du don : résumé
Nature et formes du don : résumé Par Gildas RICHARD La réflexion méthodique sur la notion de don a été, jusqu à présent, l apanage presque exclusif de deux grands types de discours : D une part, le discours
Plus en détailS organiser autrement
S organiser autrement Dominique Tibéri enseignant en cycle 3 et formateur à l IUFM Nancy (54) propose ici une alternative à la préparation de classe telle qu elle est demandée par l Institution. Préparer
Plus en détailWilliam Pezet monsieurpixel@gmail.com
Du grain à moudre est un projet d installation multimédia qui utilise le moulin à café à la fois comme interface interactive mais aussi comme base imaginaire pour son propos William Pezet monsieurpixel@gmail.com
Plus en détailContacts. Calendrier de l appel à projets
CAHIER DES CHARGES Contacts Département de la Seine-Saint-Denis Direction de la Culture, du Patrimoine, du Sport et des Loisirs Mission «La Culture et l Art au Collège» micaco@cg93.fr / 01 43 93 83 37
Plus en détailPoste 4 le montage. Le montage
1/11 Le montage Conseils et astuces pour le montage de clips vidéo Situations de montage modèles Exercice pratique Information aux enseignants: logiciel de traitement vidéo 2/11 Un montage parfait! Description
Plus en détail«Quand le territoire devient source d inspiration et souffle d expression créative : Présentation du Festival Art-Pierre-Terre»
«Quand le territoire devient source d inspiration et souffle d expression créative : Présentation du Festival Art-Pierre-Terre» Cet exposé vous est présenté par Liliane Gordos,Stéphanie Natalis, Bernadette
Plus en détailThéâtre - Production théâtrale Description de cours
Théâtre - Production théâtrale Description de cours SESSION 1 (TRONC COMMUN) Histoire de l'architecture L objectif du cours est de cerner les principaux styles de l histoire de l architecture. Le contenu
Plus en détailCANDIDATURE AUX FONCTIONS DE DIRECTEUR GENERAL DE L ENSAM
CANDIDATURE AUX FONCTIONS DE DIRECTEUR GENERAL DE L ENSAM 1 ère partie Déclaration d intention JEAN-PAUL HAUTIER ADMINISTRATEUR PROVISOIRE ET DIRECTEUR DE LA RECHERCHE DE L ENSAM DIRECTEUR ES QUALITE DE
Plus en détailLa Tête à Toto par Henri Bokilo
La Tête à Toto par Henri Bokilo Fabriques de sociologie dyonisiennes - Rennes - juillet 2012 Les Fabriques de Saint-Denis (http://www.les-seminaires.eu/les-fabriques-de-sociologie-93/) associent des habitants,
Plus en détaileduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel
eduscol Ressources pour la voie professionnelle Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel Français Présentation des programmes 2009 du baccalauréat professionnel Ces documents
Plus en détailPrésentation de la démarche et méthodologie qualitative Claire Boileau Anthropologue
Santé Communautaire et accès aux soins en contexte tropical Présentation de la démarche et méthodologie qualitative Claire Boileau Anthropologue Introduction Principes des recherches qualitatives Les étapes
Plus en détailUne tradition qui évolue
Une nouvelle marque La Vaudoise Assurances Une tradition qui évolue Sommaire 12 avril 2011: la Vaudoise Assurances fait peau neuve en présentant son nouveau visage à ses publics, ses collaborateurs, ses
Plus en détailLES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION
LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION DES NOMBRES par Jean-Luc BREGEON professeur formateur à l IUFM d Auvergne LE PROBLÈME DE LA REPRÉSENTATION DES NOMBRES On ne conçoit pas un premier enseignement
Plus en détailUn contrat de respect mutuel au collège
Apprentissage du respect - Fiche outil 01 Un contrat de respect mutuel au collège Objectifs : Décrire une action coopérative amenant élèves et adultes à s interroger sur leurs propres comportements en
Plus en détailInterview avec Pascale Garnier, docteur en sociologie et professeur en sciences de l'éducation à l'université Paris 13
Interview avec Pascale Garnier, docteur en sociologie et professeur en sciences de l'éducation à l'université Paris 13 Pascale GARNIER est docteur en sociologie, professeur en sciences de l'éducation à
Plus en détailRÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - 1 er cycle
RÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - er cycle Direction générale de la formation des jeunes Octobre 006 Introduction Dans le
Plus en détailPremière journée d étude : intergénérationnel et medias. Le 7 novembre 2008
Première journée d étude : intergénérationnel et medias Le 7 novembre 2008 Maison des étudiants de Bordeaux 3 Dossier de Presse Contact : 05.57.12.45.71 Corinne.destal@u-bordeaux3.fr Organisé par l ISIC
Plus en détailANNE VICTOR Studio All Rights Reserved
ANNE VICTOR Studio All Rights Reserved ANNE VICTOR Studio Studio de design textile spécialisé dans la création de motifs et illustrations exclusifs destinés aux secteurs de la mode, de la maison, des accessoires,
Plus en détailAPPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE
1 APPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE Nous, signataires, acteurs culturels en Bretagne, individuels et associations, demandons aux élus et institutionnels de soutenir
Plus en détailLES NOTES EN BAS DE PAGE
LES NOTES EN BAS DE PAGE 2 Les notes en bas de page Les notes en bas de page, références de citations, constituent le casse-tête des étudiant-e-s. Par souci d uniformisation et de simplification, il convient
Plus en détailLes notions d agent et d acteur en sociologie
Les notions d agent et d acteur en sociologie Il nous était demandé d apporter quelques éléments sur la façon dont les sociologues utilisent les notions d agent et d acteur, et plus particulièrement sur
Plus en détailSeul à sol Création 2005
Crédit photo : dl-studio.org Seul à sol Création 2005 PIECE CHOREGRAPHIQUE HIP HOP POUR UN DANSEUR DUREE : 30 MINUTES. TOUT PUBLIC Avec le soutien du Centre culturel Mosaïque de Collinée, de l addm22,
Plus en détailLe rôle des médias dans le renouvellement de la pédagogie de l enseignement des langues
Le rôle des médias dans le renouvellement de la pédagogie de l enseignement des langues Michel Boiron, directeur du CAVILAM mboiron@cavilam.com, www.leplaisirdapprendre.com Dans le cadre de l apprentissage
Plus en détailLes Fondations du groupe Bouygues
Les Fondations du groupe Bouygues Depuis près de 20 ans, le groupe Bouygues participe au développement économique et social des régions et pays dans lesquels il est implanté, que ce soit par des initiatives
Plus en détailAcheter sur internet: réglementation et contrôle, pièges à éviter, conseils utiles
Acheter sur internet: réglementation et contrôle, pièges à éviter, conseils utiles Journée de formation Clés pour consommer intelligemment Fraud Prevention Month 14 mars 2014 PROGRAMME Réglementation et
Plus en détail1. L ENTREPRISE 2. CARACTERISTIQUES ET DEROULEMENT DE LA PRESTATION CHARTE QUALITE 2.1. DEMARCHE VOLONTAIRE 2.2. REALISATION DE L AUDIT
REGLEMENT DU DISPOSITIF CHARTE QUALITE 1. L ENTREPRISE Cette prestation est réservée à toute personne physique ou morale immatriculée au Répertoire des Métiers, quelle que soit la forme juridique que revêt
Plus en détailLa P N L appliquée à la vente
La P N L appliquée à la vente Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Objectifs : Maîtriser les outils de programmation de la démarche commerciale. Programmer les objectifs de la réussite commerciale.
Plus en détailLE FACTEUR HUMAIN AU COEUR DE L INTELLIGENCE COLLECTIVE
LE FACTEUR HUMAIN AU COEUR DE L INTELLIGENCE COLLECTIVE Catherine Monnin, Chargée de cours en communication Institut de logistique, économie et management de technologie Chaire de logistique, économie
Plus en détailFormation à la systémique pour consultants et personnels RH
J.A. Malarewicz Conseil Conseil, Formation, Supervision, Coaching S.A.S. au capital de 8OOO TVA : FR 36478450471 SIRET : 478 450471 00014 N formateur 11921445592 Région IdF 11 rue du Professeur Leroux
Plus en détailLIVRET DU CANDIDAT LES DEUX OPTIONS FACULTATIVES DANSE AU BACCALAURÉAT
LIVRET DU CANDIDAT LES DEUX OPTIONS FACULTATIVES DANSE AU BACCALAURÉAT EPS / DANSE ART / DANSE Elèves du lycée Bréquigny à Rennes, Avril 2014 1 Les deux options facultatives danse au BAC Ce livret a été
Plus en détailLe mécénat d entreprise
Le mécénat d entreprise Ubiqus Paris, le 1 er octobre ] Sommaire Ouverture... 3 Georges CHABIN, Directeur de la communication... Qu est-ce que le mécénat?... 3 Maxine HEBERT, Responsable du Mécénat, société
Plus en détailMARION TILLOUS. SOUTENANCE 09.07.09. Madame, messieurs,
MARION TILLOUS. SOUTENANCE 09.07.09. Madame, messieurs, Je vous remercie de votre présence aujourd hui et de l attention que vous avez bien voulu porter à mon travail. Je remercie particulièrement Francis
Plus en détailLes obstacles : Solutions envisageables :
1. Quels sont les obstacles auxquels les citoyens européens doivent faire face dans l exercice de leurs droits? Que pourrait-on faire pour alléger ces obstacles? Les obstacles : Tout d abord, il y a un
Plus en détailRÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE
, chemin de la côte Saint-Antoine Westmount, Québec, HY H7 Téléphone () 96-70 RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE À TRANSMETTRE AU PARENTS Année scolaire 0-0 Document adapté par Tammy
Plus en détailL alliance du quali et du quanti «Critique de l opposition entre quali & quanti et réflexions sur leur articulation»
L alliance du quali et du quanti «Critique de l opposition entre quali & quanti et réflexions sur leur articulation» Par Daniel Bô La distinction des études entre le «quali» et le «quanti» est communément
Plus en détailGRILLE D ANALYSE D UNE SEQUENCE D APPRENTISSAGE
GRILLE D ANALYSE D UNE SEQUENCE D APPRENTISSAGE 1 - LA DEFINITION DES OBJECTIFS DE LA SEQUENCE : - Ai-je bien identifié l objectif de la séquence? - Est-il clairement situé dans la progression générale
Plus en détailEpithète. Person a. i!(mouton de vapeur) i! Epithète. et Person a
Epithète et Person a Marionnettes habitées et déshabitées. Epithète et Person a i!(mouton de vapeur) i! -Jeux de masque sur, dans, avec, contre le masque! -Corps qui «fait face»! -Personnages échappés
Plus en détailManagement Interculturel
Management Interculturel La mondialisation et l ouverture des marchés ont permis l interconnexion des mondes. Ces phénomènes ont en même temps accéléré la mutation des modes de pensée et de consommation.
Plus en détailC EST QUOI L ESPACE?
C EST QUOI L ESPACE? c est quoi un espace Un espace est un lieu plus ou moins bien délimité dans lequel on peut se situer. On peut distinguer l intérieur de l extérieur d un espace, son dedans de son dehors.
Plus en détailLe design de service, tout le monde en parle. Mais après tout, qu est-ce que c est?
Wallonie Design confie une thématique pour la réalisation d un «focus» mensuel, à des spécialistes en design. Chaque article est réalisé par une agence, un designer ou un enseignant dans le domaine du
Plus en détailCARTOGRAPHIE DE L EMPLOI SUR LINKEDIN EN FRANCE
ANALYSE LINKEDIN / ODOXA CARTOGRAPHIE DE L EMPLOI SUR LINKEDIN EN FRANCE Principaux enseignements L analyse proposée par Odoxa avec LinkedIn sur l emploi à partir de données chiffrées portant sur l ensemble
Plus en détailMÉMOIRES DU XXe SIÈCLE EN RÉGION RHÔNE-ALPES APPEL À PROJETS 2015
MÉMOIRES DU XXe SIÈCLE EN RÉGION RHÔNE-ALPES APPEL À PROJETS 2015 ATTENTION : UNE SEULE SESSION EN 2015 La Région Rhône-Alpes et l État, DRAC Rhône-Alpes, ont souhaité mettre conjointement en place le
Plus en détailLES RESEAUX SOCIAUX SONT-ILS UNE MODE OU UNE REELLE INVENTION MODERNE?
LES RESEAUX SOCIAUX SONT-ILS UNE MODE OU UNE REELLE INVENTION MODERNE? Hugo Broudeur 2010/2011 2ieme année Télécom SudParis SOMMAIRE Introduction... 3 A) Des réseaux sociaux pour tout le monde... 4 1)
Plus en détailSport Business Cup. Deux costumes pour un même but
Sport Business Cup Deux costumes pour un même but QUI SOMMES-NOUS? 10 étudiants en formation MBA-ESG spécialisation management du sport Dotés d une expertise en management, marketing, communication et
Plus en détailun module de simulation des évolutions urbaines http://geopensim.ign.fr Présentation
un module de simulation des évolutions urbaines http://geopensim.ign.fr 12 mars 2009 Anne Ruas Annabelle Mas Julien Perret Présentation Plateforme open source d analyse et de simulation des évolutions
Plus en détailTable des matières. Partie I Les enjeux 1. Avant-propos Préface Introduction. Chapitre 1 Les enjeux de l expérience client 3
Avant-propos Préface Introduction XV XVII XXI Partie I Les enjeux 1 Chapitre 1 Les enjeux de l expérience client 3 1. Une nouvelle ère du développement économique 3 1.1. La digitalisation de l économie
Plus en détailFORMATION : POSTURE COACH, LES METIERS D ACCOMPAGNEMENT
FORMATION : POSTURE COACH, LES METIERS D ACCOMPAGNEMENT Que vous soyez parent, enseignant, formateur, pédagogue, coach, manager Que votre activité professionnelle ou simplement la quête de vous-même vous
Plus en détailCahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré
Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Référence : Circulaire n 2010-037 du 25 février 2010 relative au dispositif d'accueil, d'accompagnement et de formation des enseignants
Plus en détailContacts presse : Académie : Nathalie Champlong - 0696 85 97 70 Medef : Patrick Lecurieux Durival 0696 28 31 07
Contacts presse : Académie : Nathalie Champlong - 0696 85 97 70 Medef : Patrick Lecurieux Durival 0696 28 31 07 Présentation de la «Semaine Ecole Entreprise» 2 Thème de la semaine 3 Programme de la semaine
Plus en détailLe Marketing Mobile, des marques
Le Marketing Mobile, le nouvel Eldorado communicationnel des marques RAPPEL Engage your customers NO YES > L émergence des smartphones et des tablettes a bouleversé la vie quotidienne des Français : 47%
Plus en détailCe document a été mis en ligne par le Canopé de l académie de Montpellier pour la Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel.
Ce document a été mis en ligne par le Canopé de l académie de Montpellier pour la Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel. Ce fichier numérique ne peut être reproduit, représenté,
Plus en détailORGANISER UNE EXPOSITION DE PRODUCTION D ELEVES OU DES REPRESENTATIONS EXPOSER QUOI?
ORGANISER UNE EXPOSITION DE PRODUCTION D ELEVES OU DES REPRESENTATIONS EXPOSER QUOI? Des productions en maîtrise de la langue o A l écrit: suite/fin d album, critiques littéraires, carnets de lecture o
Plus en détailJean-Claude Kaufmann "L'invention de soi - Une théorie de l'identité"
Séminaire de sociologie des migrations et des relations interethniques. Jean-Claude Kaufmann "L'invention de soi - Une théorie de l'identité" Introduction Le collectif comme ressource L'identité fournit
Plus en détailUn atelier philo pour se reconnaitre hommes et femmes
Débat et argumentation Un atelier philo pour se reconnaitre hommes et femmes à travers le partage d expériences «La question se pose de savoir si le lien social ne se constitue que dans la lutte pour la
Plus en détailProjet de programme pour l enseignement d exploration de la classe de 2 nde : Informatique et création numérique
Projet de programme pour l enseignement d exploration de la classe de 2 nde : Informatique et création numérique 19 mai 2015 Préambule L informatique est tout à la fois une science et une technologie qui
Plus en détailCompte rendu du séminaire sur les RPS qui a eu lieu mardi 4 février à la MMSH
Compte rendu du séminaire sur les RPS qui a eu lieu mardi 4 février à la MMSH En introduction : référence au site rps.hypotheses.org Un questionnaire anonyme sera mis en ligne d ici peu. Un petit film
Plus en détailLes «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques
Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques Parmi les trois domaines d activités proposés aux élèves volontaires dans le cadre de l accompagnement éducatif, «l aide aux devoirs
Plus en détailLES RELATIONS PUBLIQUES
Andrea Catellani, Caroline Sauvajol-Rialland LES RELATIONS PUBLIQUES Préfaces Jean-Luc Letouzé Thierry Libaert DES MÊMES AUTEURS Caroline Sauvajol-Rialland, Infobésité, Vuibert, 2013. Caroline Sauvajol-Rialland,
Plus en détail