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1 OONPIDENTIL OIT/TJNouve11es..ESbIidos/R 41 BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL Prograirine des Nations Unios pour le dve1oppeuent Seoteur assistance tochnique RAPPORT aux GOUVERNEINTS DE LA PRANOE ET DU ROYAUME-UNI sur IA IV.[AIN-DOEUVRE auc NOUVELLES -EEBRIDES BIT Gonve 1969 //II/IiI/IihI//!llh/!iI/I/flhI//I/J/IIj

2 TABLE DES MAT IEE Page INTRODUCTION 1 PREMIERE PARTIE : GENERALITES 3 Gographie 3 Constitution 3 0. Institutions re1igieuss 4 B. Organisatioxi conomique 4 ETUDE DE L& SITUATION J0TUELLE BE LA MAIN-B' PROBABLE 6 DEUXIE1Vffi P.ARTIE A. La population et la main-d'oeuvre en Caractristiques démographiques 6 La main-d'oeuvre 7 B. Projections de la population et de la maind'oeuvre des 11ouve11es-Thrides en 1972 et en Projections démographiqies 9 Projections de la main-d'oeuvre Emploi par groupe d'activits et par groupe professionnel 13 Einploi par groupe d'activits 13 Ernploi par principau groupes professiomiels 15 D. Oatégorie oii existe une pnurie de maind'oeuvre 18 M&biers qua1ifis, emplois de bureau et de services oi ii y a actuellenient pnurie d'autochtones comptents 18 Besoins de main-d'oeuvre entrains iar la croissance de 1'conomie 20 E. Instruction et forination Instruction et formation régu1ire (a 1'eception de la formation professioimelle) 21 2 Pormation professiormelle Nécessit d'une formation technique 24

3 TROISIE1VLE PARTIE CONCLUSIONS ET REC0IANDATIONS 27 Runion de rensoignoment concernant la main-d'oeuvre Enquête our l'emploi dans leo tabiissomento 28 2, Rapports par los agents do district 28 Perfectionnement des qualifications et compétencos 29 Projot do perfoctiorn-iement do la main-d'oeuvre 29 Commission des bourses 30 C, Progranrie d'autochtonisation 31 D. Poursuite do l'assistance techniciue 32 ANNEThS Annexo I - Rcpartition de la population des Nouvelles-brides par groupe ethnique on 1967 (Effeotil' et pourcentage) Annexe II - Rpartition do ieffoctif do la population, par go et par sexe, pour la population totale et pour la population autochtono, en 1967 Aimexe III - Repartition do la population des Nouvelles-Cbrides par rcgion gcographicjue ot par groupe ethnique, on 1967 Annexo IV - Effectif et pourcentage do la population totalo des deux zones urbaines et suburbainos dos Nouvelles-Cbridos, par groupo othnique, on 1967 Amiexo V - Ensemble do la maind'oouvro total occupc par grand sectour Cconomique et chmours, par groupe ethniue et par soxo, en 1967 Annexe VI - Population autochtone en 1967 ot population, caloulce par projection, en 1972 et 1977, par groupo d'âge (Effectii's en milliers)

4 Anne:xe VII - Main-d'oeuvre autochtone en 1967 et main-d'oeuvre, oa1cu1e par projection, en 1972 et 1977, pa groupe dtage et par see (En milliers) Annexe VIII - Total de la population occupe, par groupe ethnique, rparti par branche d'activit et principaux goupes proessiomiels, en 1967 Annee IX - Emplois dans le sectour mon5taire p artis paz' brancbe daetivit6 effectif total et e±'fecti±' jar group? ethnique, en 1967 knnexe X - Rpartition (effectif et pourcentage) de l'emploi, par groupe pro'essionne1, pour los travailleurs autochtones et non autochtones du seoteur montair.e, en 1967 Amaexe XI - Nombre des tablissenents d'ensoignement e-b do formation, d'après le degré ou le genire, dans l'enseignement britannique et français en 1968 Aimexe XII - Nombre des tablissements d'enseignoment et do forlati,oi1, d'après le degr ou le genre, danis l'enseignement britannique et français en 1968

5 INTRODUO TION A lasuite d'une deraande reçue des gouverneinents de la Prance et du P.oyaume-Uni, gui administrent en commun les Nouvel1es-brides, le Bureau international du Travail a charge le professeur Walter Elkan, de l'universit de Durban, en Grande-Bretagne, d!uné brve mission, du 12 au 19 aocit 1967, aux Nouvei1es-brid.es, en vue d'1a'oorer une propositiorconcernant la nature, la portie et le moment d'une mission chargée d'étudier u1trieurement la situation de la main-doeuvre dans les lies, En consguonco do ses recoiiriandations, le BIT a dsign M. games P. etoalf, du ministère du Travail aux Etats-Unis, pour effectuer cette engute. ha mission a eu lieu au cours d'une partie des mois de janvier et février 1969, Ses principaux objectifs taiont les suivants Evaluer lee ressources et besoins actuels et prvcls.rlbles en raain-dtoeuvre, en s'attaohant particulièrenent a. ce gui concerne i'instruction et la formation, Elaborer un programme continu d'information sur la main-d'oeuvrc visant a. fournir lee renseignements ncessaires a. la plan!- fication du dveloppement économigue ainsi gu'a. i1amnagement1 des programmes d'enseignement et do formation professioimelle a) Dterminer les renseignemenbs disponibies sur les ressources et bosoms en main-d1oeuvre et en évaluer l'utilit aux fins d'anénagement des programmes d'enseignement et de formation; determiner les lacunes que présentent ces données et proposer lee mesures nécessaires a. l'obtention des renseignements complémentaires requis. d) Proposer les mesures administratives propres a. 1exécution du progrmmie précédent en matière de main-clioeuvre. Durant la mission, l'expert a béncfioic du plus grand concours dea fonctionnaires do l'etat, des institutions publigues et privces auxguelies ii a rendu visits et do nombreux particuliers gu'il a rencontrés dans l'exécution do sa tâche. he Directeur general du BIT leur adresse see ohaleureux remerciements iour l'assistance et la cooperation si gcncrousement accordces a. l'expert. 1 Of. le "Memorandum to the Goverment of the New ebrides and Preliminary Assessment of the Manpower Situation ", Ref. N.UNDP/TA a-2-1, document ronco, BIT.

6 2 Jie rapport se divise en trois parties. La premiere présente des renseignements sur la gographie ainsi que sur 1organisation conomique et sociale du pays. La deuieme tudie la situation actuelle do la main-d'oeuvre et sa situation probable future. La troisième rásurae los principales conclusions ot rocomnaiidations do la mission.

7 3 PREMIERE PRTIE GENERALITES A. ographie 1. Ltarchipel des Nouve11es-brides runit, en forine d'y, plus d.e 70 lies au milieu du Pacifique occidental, a quelque mule kilomètres au sud-est des lies Salomon, 500 kiiomètres au nord-est de la NouveUe-Calédonie et mule kiiomètres des lies Fiji. En 1967, 63 des lies deltarchipei taient habites par une population d'en.viroii persomies, cur une superficie totale d.'environ kilomètres carrés. Lee lies varient en tendue de mois d'un ojart de 1m2 a plus de 3.500; douze su1ement s'tendent sur une superficie de plus de 250 km2. B. Constitution Les Nouvelles-brides se trouvent dane une situation poiitique particuiière. En vertu de l'accord de 1914 entre la Grande-Bre-bagne et la Prance, i!archipei est acl,ministré conjointern.ent par lee deux gouvernements. Iieurs nationaux bénéficient de droits égaux quant a la residence, a la liberté individuelie et au commerce. Chaque puissance conserve sa souveraineté cur sec ressortissants, mais ne peut exercer dtautorité scparée cur l'aroh±pel. Les ressortissants des tierces puissances qui resident dans l'archipel sont tenus d'opter pour ie régime juridique soit britannique soit français; et, en fait, us so trou'ent sous la protection et 1tautort6 do la puissance pour iaqueiie us optent. Les travaiileurs étrangers Venus dans itarchipel par decision ou permission de i'un des deux gouvernemente. so trouvent places sous la tutelle administrative dudit gouvernemènt. Lee autochtones no peuven.t dépendre de itune ou l'autre puissanqe, pas plus qu'ils ne peuvent accjucrir dane i'archipei un tatut de sujet ou citoyen de i'un ou l'autre do ces gouverneinen-bs. A Ia tête de l'adminictration conjoin-be so trouvent los auts-commissaires britannique et français, agissant par l'intermédiaire de leurs représentants beaux, les commissaires residents britannique et français. En fonction de cette situation politique, on trouve aux Nouvelles-ébridos trois administrations Les gouvernements français et britannique empboient du personnel aussi bien métropolitain quo local pour mettro en oeuvre leurs programmes respectifs 1 SOURCE Anglo-French_Condominium Nev ebrides 1965 et Rapport annuel sux los Nouv Tes-Tebrides, publie par l'imprimerie royale britannique,

8 - 4-? d'enseignement et de sant; construire. et ntretenir les difices et le materiel qu'ils possèdent; rcaliser des projets de developpement social et économique, et s'acquitter des ±'onctions administratives normales. Le troisième service gouverneinental, c'est i!administration conjointe du Condominium, assurce en c.onmun par los.eux gouvernements, qui fournit dos services tels ue leo pastes et telecommunications, leo douanes, es travauxpublics, la meteorologie et lavuigarisation agricole. 4. Aucun impôt direct riest perçu par l'une ou ltautred'es deu puissances dans los Nouvelles-Cbrides, de sorte quela masse de leurs ressources budgtairës doit venir do la iietropole. Los services assurcs par.ltadinistaion du Condominium, sont finances au moyen de recettes provei.ant des ta'es perçues pour les services (iar eempie leo potes et téléoommunicatians), ainsi que des droits d'impartation et d'eportation. Outre is budget des services normau:, le Condominium administre aussi deux caisses spécialos de dcveloppement. La prernire, c'est la caisse do dcveioppement local, qui sort au petits projeto de d4veloppement, dont la plupart viennent completer le programme de travaux publics. Cette caise sot alimentce pr l'ecedent des recettes du Condominium our sos depenses. La seconde estoelle du plan conjoint do developpement, qui sert a des projets pius on6reux, comine la construction do nouveaux appotements, l'extension du rósoau routiër, la construction d'acroqrts,etc. En general, cette caisse ost allmentce par des contributions correspondantes des gouvernements britaimique et francai C. Institutions roil louses 5. Leo institutions religleusos jouent. un grand role en matière d'ensoignement et do sant. Plus do 90 pour cent des ecoles primaires britanniques sont organisces par cinq. services benevoles do l'egiise protestante et près do 45 pour cent des Ccolos prflnaires françaises par Uéglise catholique romaine, Leo missions, tant protostantes quo catboliques, entretiennent des hôpitaux, des clinicjues,etc. D. Org ani ationéconom. 6. Les Nduvelles-Cbrides ant une conomie ess:entiellement primaire et agricole qui depend laremeit du bammerco international. En dehors do l'agriculture et du bàtiment, ii n'y a guère d'activité. Le gros do la production agricole cot exporté. Le sec-beur manufacturler so borne essentielleinent a. un traitement simple de denrees, alirnentaires. 7, En 1967, on Cvaluait au total los eportations dollars australiens et los importations a

9 5 De loin le plus important, :le copra reprsentait1amoitl de la valour totale des exportatlons ( dollars australiens). On estime que 60 pour cent environdu copra est fourni.actuellement par la population autocbtone (pourcentage qul augmente avec los arines). Au deuxième rang des exportations, en valeur, so plaçait, en 1967, le manganese, aveo dollars australiens, mais I 'unique mine a ét I'erme 1 nne 'dernière et cette exportation a cess. Le poisson congel se situalt au troisième rang, avec une valour do dollars australiens.viennent ensuite le cacao ( ); laviande en conserv'(l27.235) et conelée. (69.041); le café (décortiqué et en bales ); eb le bois d'oeuvre (pin de Kaurl, et bois do Santal', ). 8. La plupart des produits importés en 1967 consistalent en articles de consomination (la plupart non durables) et en matérlaux do construction.

10 DEUXIEII PARTIE ETUDE DE LA SITUATION ACTUELLE DLA MAIN-D'OEUVREET DE SON EVOLUTION PUTURE PROBABLE A. LA POPULAT ION ET LA MAIN-Dt OEUVRE EN CaractéristiQjles démographiques 9. Le recosernent de la population effectué en rnai et juin 1967 et le premier qui alt jamais eu lieu en Nouvelles-brides, a indiqu une population totale de personnes. Sur cc total, quelque porsoiines ont effeotivernent dnornbres et on estirne ciue autres s'y sont refuse a) Composition ethnique 10. Los autochtonos sont des Mlansiens, En 1967, ils taient au nombre dtenviron , colt plus de 92 pour cent de la population totale dnombre. Le second des principau groupes ethnicjues, form d'europens et do quasieuropens, reprsente presque 4 pour cent du total. Le recta comprend tous les autres groupes ethniques combings, soit moms de du total de la population 4 pour cent 1cc Polynésiens, Micronsiens et autres IIlansiens en forment 1cc dou tiers (voir annee I). b) Corn ositlon ai1 see et par e 11. Caractristique notable, la population des Nouvelles- brides no comprend quo 47 pour cent do femmes. L1annoe II montre la prpondérance des hommes dans chaque groupe d'âge, aussi bien pour ltensemble do la population que, plus encore, pour los autocht ones. 12. Une seconde caractristique frappante de la population est sa relative jeunesse. Soi:anto-douze pour cant des autochtones ont mains de trente ans et environ 46 pour cent moms do 15. Ces proportions so retrouvont naturellonient dans la population totale, oô. los proportions dans chaque groupe d'ge no cant quo lgèrement rduites. Lec deu caractristiques précites ant une influence cur l'effectif futuir do la inain-doeuvre, La jeunesse d.c la lation assure un effectif grandissant do popu-- nouveau arrivants cur le rnarch du travail au cours des prochaines la supériorit annec, tand.is quo nurnrique des hommes, combine suprieur do participation avec leur tau très ltconornie non agricolo, indique une croissance plus rapid.e do la main-d'oeuvre dans cc secteur quo dans son ensemble.

11 c) parti ti onghi La population des 6 lies quo le recensenient dc 1967 a indiqu cornnie 1abitées vane do 11 a Seules douze.iles comptent un million ou plus d.c r5sidents (vein annee III); et leur groupe orme ls çjuatxe cinquimes de lapopulation totale. Sur eec douze iles, Ia population rsidente eat autoohtone a 80 pour cent. La oonoewbration des autres groupe ethniques y est encore plus forte environ 95 pour cent des Europeans ou quasi- Europeens et 93 pour cent des autee groupos ethniques. Presque toute ia population d'origine trangère so trouve cur lee deu seules lies ürbanisces. Lee deu zones urbaines sont cello de Port Vila dane l'lie d'efate et colic de Luganville (dite aussi Santo) cur l'lle do Santo. La population totalo (urbaine ot peniurbaine) tait de personnes en 1967, colt pius do 17 pour cent do la population totale. Toutefois, 13 pour cent seulement do la population autochtone totale idaient dane los deu zones, contre presue 73 pour cent pour la population non oniginaire (amaee IV). Dane la plupará des lies, y compiis dix sur lee douze los plus peuplees, la donsitc dela population est faible et ne dépasse pas tine personne par cinq hectares. Toutefois, 12 lies so trouvent quelque 7 pour cent de la population autochtone) comptent do deuc a 10 persoirnes. l'ha; et, cur ces douze, aix (aveo 4 pour cent do la population autoobtone) eomptcnt plus d.c 5 personnes a l'ha. Ii ressort d.0 recensernent qu'en 1967 le quart de la population âgée do 15 ans ct davantage vivait sun une lie autre que cello do sa naissance. Il éxiste done une gande mobilité g4ographique des travaillours, poig une ocictc qui so livre pninoipalernent è. 1' agriculture. 2 La Inaind'oewvTe En 1967, l'effebtif do la main-d'oeuvre Ctait do personnos. Près d.c 5.Q00 occupaient un einploi, tandis que moms d.c 200 remplissaient 1s stnictes conditions imposces par Ic recensement d.c 1967 pour être classces oornme chômeurs (an.nexe V).. ux fins du present rapport, la maind'oeuvre occupee a ±'ait i.'ob jet d'un double classemont connie dans le recsement do Le premier l'a rcprtie entre l'agriculture d.c subsistance et l'agriculture ptsanne, avee lea definitions ci-après i) g'icu1ture desuhsstance. Tous ceux qul travaillent pour leur compte propré, ainsi quo lee travailleurs famuliaux ui se livrent a la culture pour la seule

12 consomination d.e la ±amille et, ventuellement, d.0 village. Tous ous travailleurs so trouvent complètement c-n dehors d.c oonqmie montaire (aucune rcolte commerciale). ii) Agculture pr. sanne horticulture ot Tous les travaillaurs cc livrant ossentiellement a uno agriculture d.c subsistance, avec production occasionneile d.tune rcolte commerciale (dtord.inairc le copra) pour saisfaire leurs besoins limitcs d.c numraire. En ±'ait, ces travailleurs participent ooaasionnoilemont l'conornie montairo, mais, scion la definition du recensement, us sent consid.eres comma rentrant dans le socteur d.c sub-sistanco. Le second do cos grands sectours est colui do ltcconomie monctaire qui comprend. tous 1cc travailleurs occupes è. l'agriculture commorcialo (plantations d.c copra, Clevage d.c b6tail, etc.) ainsi qu toutes les autros activitcs d.c caractère industriel, commercial, religieu et ad.rninistratif. Pès des trois quarts d.e la main-d'oeuvre totale occupce so livraient. l'agriculture colt d.c subsistance, scit paysanne; le restu, colt environ porsonnos, travaillant d.ans le sectour monctaire (annee V). La main--d. oeuvre autochtone so chifrait. environ personncs, colt presquo 93 pour cent a0 la main-d'oeuvre totalo occupce (tous groupes ethniques rcunis). Lo gros (q.uatre cinuièmes exactemont) des travaillours so livrant a l'agriculture do subsistance et a l'agriculture paysanne est formc d.'autochtonos. Dc ccc dorniers, 6600, soit 20 pour cent, travaillaient d.ans le socteur monctaire. La main-d'oeuvre formco des Europens, des Asiens et des autres originairos d.'ules du Pacifiquo (tous autres groupes othniciues) d.cpassait lcgèrement personnos, soit environ 7 pour cent do la main-d'oeuvre totale do l'archipoi. Plus do dos travailiours do cc groupe (97 pour cent do ceu ayant un emploi) so trouvaient dans lo socteur monctaire. OaractCristiquo romarguable, la main-d'oeuvre autochtone comprend. uno proportion rolativoment elovee do femmes (46 pour cent). Le f alt tiont ltinclusion, dans la main-d'oeuvre, des travailleurs d.0 soctour do subsistance at do l'agriculture paysanna. Dans le sectour monctairo, la participation feminine est moindre 19 pour cent dee autochtouos seulement. Socondo caractcristiquo inhabituolle, cette autochtone ost jeune Lo tableau ci-après rnontro quo los travailleurs d.c mains do 30 ans reprcsentent 45 pour cent,

13 9 proportion très leve, qui atteint 62 pour cent, Si. Uon e1ut los travailleurs du socteur do subsistanco ot de l'agriculture paysanne. Groupo d'ge partition on pourcontage do la main-doeuvre autochtone Del5à29 Do30à44 De45à64 65 et au-delà Ensemble Secteur montaire B. PROJEOTI ONS DE LA POPUILP.T ION ET BE LA MAIN-B' OEUVRE DES NOUVELLES-EJ3RIDES EN 1972 ot Pr,jections démographiquos Lo recenscment do 1967 a donn 2,5 pour cent comme taux actuel do croissance do la population autochtone. A supposer cjue ce tau reste constant et en utilisant des estimations brutes des taux de mortalit par groupes Jge ot par see, d'après les renseignements 1imits quo fournit le recenseinent, on a calcu1 par projection des estimations dmographiques en 1972 et 1977 (almexe VI). Aucune projection analogue n'a été faite pour la population non originaire, car son effectif et sa composition seront essentiellement détermins par los courhes futures d'irnmigration et d'émigration qu'il est très cufficilo do prédire. On a d'ailleurs considéré que do tolles projections no prsentoraient qu!un intér&t unite, car la prcsente Ctudo s'attache essentiellemont. lt4volution do la main-dtoeuvre autochtone. On estime que cotto population pourrait s'elever, do moms do en 1967, a environ on 1972 et a. presque on 1977, Donc, si le taux do croissanco qui ressort du reconsoment est exact et sil roste constant la population autochtono totale s'accroitra do près de 30 pour cent au cours de la pcriode dcomialo do 1967 a Avec cette croissance dernographique, on estimo quo lâgo moyen baissora, tandis quo la proportion do la population do moms do 30 ans s'elevera do 72 pour cent en 1967 a. 73 en 1972 et près do 75 on 1977.

14 Projections do la main-d'oeuvre a) Maind'oouvre totals u moyen des taux de participation a 1'aotivit économique (c'est-a-dire de la proportion de la population qui, dans chaque groupe d'ge et scion le see, fait partie de la maind'oeuvre) appliqucs. aux estimations dinographiques obtenues par projections, on parvient, pour 1972 ot 1977, a une projection do la main-d'oeuvre autochtone (aimee VII). On notera que pour ctab1ir ces estimations, on s'est servi des projections dmographiques prcites ot on a suppos que los tau de participation a l'activitó eonomique no so modifioraient pas. Dane ces hypotheses, on trouve que la main-d'oeuvre totals s'lve de son effectif de moms do en 1967 a près de en 1972 et a presque en Ces effoctifs seront atteints avec des accroissements annuels moyens de 700 travail1eur entre 1967 et Entre 1972 et 1977, cette moyenne thpassera 900, is nornbro des jeunes atteignant l'âge de travaillor continuant a augmenter rapidement, sous i1effot de la forte proportion actuello des groupes d'âge tree jeunes (due manifestement, en grando partie, au mosuros prices eec dernières annéos pour diminuer is tau do morta1it infanti1e) b) Main-d'oeuvre disponiblo our le seol5eur niontaire Au fins du prsent rapport, un intr-b plus particulier s'attache a la partie des nouveaux arrivants sur le march du travail qui souhaitent entrer dans is secteur montaire (c'est-adire so livrer a dautros activits quo cellos do l'agriculture do subsistance ot do i'agriculture paysamie). De tous los renseignements disponibles, ii ressort que le taux d'aocroissoment do cc groupo sera trcs suprieur e. celul do i ensemble do la maind oeuvre. Trois factours essontiels sent a. la base do ia participation accrue au secteur montaire.0e ont i) It'amElioration_Qualitative euantitative de 1'onseent. La spoctacuiairo amlioration, tant quantitative quo qualitative, do l'enseignement donn a. la population autoohtone au cours do la dernière dcennie, dane los eoies taut francophones qu'angiophones, entralne un accroissèment rapide do la proportion des jounes qui, en arrivant a 11tge do travailler, souhaitent is faire dane le secteur montaire. L'eprience onseigno quo l'un des effete do itinstruction,

15 dans un pays comme los Nouvelles-Thrides, est do d&iourner du mode tradtiomiel dexistence et do pousser a répondre aux appels ot aux attraits du monde moderne0 lie degr d'instruction requis pour changer ainsi ltat dtesprit vane avec chacun mais ±1 no fait guère do doute cjue le phénomène so produit aux Nouvellos-brides et queueffectif entrant dans le secteur monétaire sera en rapport direct avec celui de la scolarisatiqn1 La eunessje la Instruite ou non, la jeunesse, dans toutesooiét, souhaite changer los modes de vie anciens son dsir do inodalités nouvelles et l'animation des zones urbaines attireront bon nombre dans le secteur inontairo (on so souviendra quo dans cc secteur, 62 pour cent des autochtones ont mains do trente ans) La forte concentration do la population dans los classes los plus jeunes, qui aura pour effet dtaccroltre a lavenir la proportion des adolescents dans la mnain-dtoeuvre, aura aussi celui dtaugmonter la proportion des travailleurs qui dsirent passer dans le secteur monétaire. Le besoin randissant do numrairechez1esautocirt7ones Il est manifesto que peu d autochtonos peuvent vivre aujourdhui sans quelque num4raire Il on faut notamment pour sacg.uitter des impts locaux et des frais do scolarit. lie plus, los autochtonos sont do nouveaux oonsommateurs tout dc±gns.pour los radios a pile, los lampos lectriques, los coutoaux, los vêtemonts et los divers alimonts conservs ou prparés Ii1autochtono, en fait, so présente comme un consommateur particulièronient ratiomiel, qul stest habitue a acheter los articles qui lui sont vraimont utiles dans lo milieu oa ii vit, lie bosom do numérsire pour ces articles do consommation, voire do nombreuses indications d'une tendance grandissante a laccumulation do capitaux dtinvestissemont (achats rcents do torros, formation do coopératives d'épargne et dassociation do crdit mutuel, eto.), montrent quo la nouvolle gnration d'autochtones aura un bosom grndissant do numérairo, La plupart so le procureront ii'obabiemeni en néooltant du cop-a sur -leur foiids9 nais cou± qui vivent dtns dos rgions ot los bonnes -borros n'abondnt pas pourraiont bien se trouver deplus en plus poussés dana lesocteur montaire. 32. Une indication do la participation grandissaute des autochtones au secteur montaire, ctest la croissance dmographique constate dans la zone urbaino et suburbaine do Port Vila. Do 1965 a 196 7, le recensemont do 1967 a montré quo, dans cette rgion, la population autochtono accrue a raison do pnesquo 9 pour cent par an. Etant donné ce tau, il semble quo la

16 main-d'oeuvre awbochtone du secteur montaire doive augmenter, estinie-t-on, a raison do 3,5 pour con-b par an enbre 1967 et 1972 et d'environ 4 pour cent entre 1972 et 1977 (soit plus d1une fois c-b doinje le tau: de croissance do la main-d'oeuvre globale)q Dane ces hypothses, on pout concluro quo la main-d'oeuvre don-b disposer' le sec-beur montaire passora de persoimes en près do 7,800 en 1972 c-b on 1977, a raison accroissement airnuel moyen de 250 entre 1967 et 1972 c-b presquo 350 ontre 1972 et a) 0han'emonts escorn.tés dane los canevas d'em.loi 33, lies travailleurs autoch-bones du secteur inontaire peuvent so répartir en trois catgories génra1es, quant a leur mode do travail. 34. Le premier groupo comprond ceux qui sont passes de facon permanente dane le seatcur monétaire, Ce son-b essen-biellement lee plus instrui-bs (ou ceux qui on-b eu la chance do travaillor chez des employcurs assez Patients et assez compben-bs pour former dcc travailleurs doucs mais sans instuc-bion) qui peuvent brouver un einploi dane des professions offran-b do belles perspectives do carrière en cc qui concerne -ban-b lee gains que la position. 35 ho second group comprond ceux qui travaillont dane lo sectour monc-bairo pendant des priodes relabivemont longues (6 a 18 mois) puis rebournen-b dans leur village ct reviennent chercher un emploi dane le secteur iaonctaire après un a six mois0 lie mme cycle so poursuit indefinimen-b, une pcriode do expliquen-b cc canevas d'emploi Deux raisons des Obligations familiales on-b oblige i'intcressc a rebourner au villago la plupart des employeur fl'accordont pas do congc a leur personnol, don-b lo village natal so trouvo d'ordjnaire dane une autre lie at qui n'a done aibernative que do cesser do travailler d'autre1 pour so rendro ohez lui 36. lie troisièmo groupe comprond ceu qué pendañ-b do brèves perodes, qui ne travaillen-b pour satisfaire leurs bosoms minima on numcrairo0 On soupconne psxnai cc groupe un fort degrc do chmage poton-biel. Quand d'emploi, ils ron-brent ccc travailleurs no trouvcn-b pas au village c-b repronnent lours acbivi-bcs agricolos normales. Do coito facon, us son-b "occupcs" au recensemont; et ieur incapacitc de trouvor sens du un au-bre travail no 1 On notera aussi quo lee logements qu1on trouve dans lee villes o-b dane lee plantations eon-b souven-b infcrjeurs a ceux qui existent dans les llages ctiors quo l'auteur a visi-bes.

17 pose d'ordinaire que des probj.,èmes 1imits d'ordre social et persoimel. Toutefois, 005 travailleurs constituent des ressources humaines qui pourraient semp1oyer dane le secteur naonêtaire et ne pas recourir a eux entraine une sous-utilisation desdites roes ources Caractristique importante, cc troisième groupe présente une grande variabi1it. Ainsi une ca1amit naturelle, coinme un cyclone, qui détruit la plus grande partie des cultures autochtones, le fait augmenter au point que le chomage pout devenir pour un an ou deux un grave problèrae eccial et conomique. Los memos facteurs qui entralnent une augmentation rapide del'effectif do la main-d'oeuvre disponible pour le secteur mon&aire entramneront aussi probablemont une modification de l'importance relative des trois groupes prcits. lie premier et le second augmenteront en importance, aux dpens du troisième. 0. EMPLOI PAR G.ROUPE D1AOTIVITES ETPAR GROUPEPROPESSIONNEL 1. Eai groupe d'activités a) artition do la population totals occujée Comme ii a dit dans le précédent exos au sujet do la main-d'oeuvre, le nombr total des persoimes occupes àux Nouvelles-ébrides en 1967 était de , dont , soit près des trois quarts, dane l'agriculture do subsistance et paysaime. Sur ces , moms do no s'occupaient qu'à l'agriculture do subsistance (voir annexe VIII). Les autres travailleurs agricoles font occasionnellemont une culture coinmor-. ciale (dtordinaire le copra) mais il n'en roste pas moms qu!on l.s considère comme appartenant essentiellenent áu secteur agricole de subsistance bien qutils solent certaineniont a la 1imitedr secteur monctairo Sur lee personnes occupes dane le secteur montaire, une grande partie s'emploie a l'agriculture commerciale, soit 2.00 (29 pour cent) (annexe IX) Après le socteur agricole, vient l'enseignemont, avec 832 travailleurs. Puis cc succèd.ent, pax ordre dtimportance, quatre groupes dtacti.v1ts occupant de 700 a 800 travailleijrs,à savoir le commerce do groc et de dtai1, lea services do transport, la construction et los services personnels, Parmi lee aotivités restantes, sept souleinant occupaient plus de 100 travailleurs, a savoir services publics, non classes ailleurs (515) services medicaux et sanitaires (472) services religieux (2775; pêche et preparation du Poisson (2695;

18 mcaniquo at ontretien (161); industrie manufactrière (142); servicos ö)eau d'1octricit et dhygièno (112). Los branches occupant mains do 100 travailleurs sont la sylviculture at los scierios; los constructions at rparations navalos; leo communications los loisirs, hotels, cafés et restaurants; los autres services professionnels; ot las activités diverses. b) Re artition ontre activités solon 10 roupe othnique Oomme on pout s'y attondre, des diffcrencos tres marqucos entralnont la rcpartition do l'omploi par branche dactivitcs, solon qu?il sagit d'autochtonos et do non-autochtonos (EuropCons, quasi-europ6ans, Asians ot origin.aires dos autres villas du Pacifiquo). Ainsi, ltagriculture do subsistanco at l'agriculture paysnnne occupont 80 pour con" dos autochtoncs et 3 pour cant seulumont doe autres groupos. Los differences qui provoquent la repartition dos deu groupos entre los branches du scctour monctairo son Cgaloinent saisissantes. En gcncral, la proportion dos autochtones dans une branche d'activitc est en rapport direcrb avec lmportance numcrique relative dos manoeuvres qua cotto activitc occupe. Plus lo pourcentage ost Clove, plus ltest Cgalcmont la proportion dos autochtones (on trouvora a lannexe VIII la repartition par grands groupos profcssionnols dans chaquo brancho d'activitc). Par eemple, la proportion do l'emploi total revenant au autochtones Ctait excoptionnellement ClovCe dans l'agriculture commercialo, la sylviculture et los sciorios, los services de transports et los services porsonnelo (annexo IX),c?ostàdire los quatre branches qui comptent le pourcontage lo plus Clove do manocuvres (annoxo VIII), 43, A cotta affirmation gcncrale font oxcoption los branchos d'activjtés qui fournissont principalomont dos services publics et religioux, a savoir los sorvicos mcdicaux at sanitairos, l'cnsoignemont, ltegliso, los sorvices de police. Los nombreux autochtonos occupant leo professions d?onsoignants, travailleurs médicaux et sanita±rcs, pasteurs, agents do police at petits employcs do ltetat. donnent, dans coo quatre branches, uno très 1 On a exclu do la présonte liste une brancho qui occupait plus do 100 travaillaurs en Il sagit des mines do manganese, avec un effectif do 398 personnes, quo l'on a cessc dtexploiter en 1968, cc qui a entra±nc lo, disparition de cette branche aux Nouvelles-Cbrides,

19 forte proportion, bien quo cello des manoeuvres y sot relativement faible 44. II ressort clairement d.c cetto analyse qu'en dehors des services publics et re1igieu, la participation des autochtones au secteur monétaire a eu tendanco a tre torte au bas d.c 1'che11e des qualifications. I'effectif des travaillours non autochtones, soit 2.300, dont la plupart sont des rsidents temporaires occupant des pastes pour lesquels on ne trou've pas dans la population locale los qu1ification vou1ues, met. en relief la 21êcossit d'un perfeotionnement rofesiomiel dos autocht ones. 2. Emploi par cc irofessionnels a) partition do la main-d 'oeuvre totale occu Ce 45. Ic tableau ci-après d.omie, a la date do 1967, la repartition, tant en chiffres abso1us quten pourcontago, do ltemploi total par principaux groupes profossionnels dans le socteur monctaire, Prineipaux groupes professloarnels Effecti Pourontage Ensemble du sectour monctaire ,0 Professions libcralos, dirigeants et cadres ,8 Personnel d.c maitriso at do bureau ,9 Travaillours qualifics ot spccialis4s ,8 Manoeuvres ,5 h) RCartitjon Drofessiolmelle par roudoment etinaicue 46 En rcpartissant l?effectif total des travaillurs en autochtones et nonautochtonos, on dcgago dune façon saisissanto los diffcrenes qui entrainent la rcpartition professionnle des par brancho d'activitc. Ii resort do l'annexe X quo 5 pour cent deux groupes et qutindicuait dcjè. la prcccdente analyse d.c ltemploi 1. Icc autochtones sont particulièremont nombreux dans la fonction publique britannique, du fait d.tun plan tendant a renaplacer le plus rapidement possible le personnel iuctropolitain par du personnel local.

20 seulemont des autochtones appartionnent la categoric des professions libra1es, dirigeants et cadres (oi. a peu près tous sont, soit dos employcs d.c ltetat, soit do petits ontreproneurs du coimnerco do dtai1 et des transports) tandis quo la proportion des non-autoehtones dans cc groupe atteint presquo 38 pour cent. A itautre oxtremite do la gainme de.s qualifications professionnollos, on trouvo parmi los manoeuvres quelq.ue 64 pour cent dtautochtones, contre nions de 22 pour cent do non-autochtones. La catcgorie des travailleurs qualifics et specialises no conipte que 16 pour cent du total dos trava11eurs autochtones contre 26 pour cent des non-autochtonos. La reunion dans une seulo catcgorie des travailleurs qualifics et des travaillours spccialiscs cache dos difesrences encore plus saisissantes du niveau dos qualifications ontro les groupos precits. Des entretiens avec des cmployeurs do toutos los principalos branches du secteur monctaire ont rcvc1c quo presquo tous les travaillours inanuels qualifics sont des non-autotchtonos. Donc, 5tj1 Ctait possible do repartir cc groupe en qualifies et specialiscs, on trouverait qutà loxcoption do quelques-uns, los autochtones no figurent quo parmi los spccialises alors quo los non-autochtones occupent presque tous los emplois qualifics. Au scm des deu: groupornents ethuiquos, la proportion du personnel do maitrise et do bureau ntatteignait qu'envron 15 pour cent du total. Si, du total do 11omploi dans lo socteur monctaire, on exciut los services publics et religioux, ii deviont manifesto quo otest ossentiellomont dans cos activitcs et non pas dans lo sec-beur prive quo los autochtones ont ou accs aux professions supcrieuros. Alors quo lour proportion parnli le porsonnol do aitriso ot do bureau attoint 15 pour cent du total do l'effoctif travaillant dans lo seotour monctaire, ollo tombo a 2 pour cent soulemont si, dos statistiques do l'emploi, on oxclut los travaillours des services publics et religioux (cost-à-dire ceux qui, dans le rocensem.ent do 1967, ont etc classcs comme onsoignant personnel infirmier, etc.,ot qui ont CtC forrncs sur place a. ces professions d'encadremont do do bureau). Cotto baisso cot coriaponsce par un rolèvemont rnarquc do la proportion des manoouvres, qui atteint 77 pour cent dans lo socteur privc, contro 64 pour cent si on inclut los servicos publics et religioux dans le total. 50, Ces statistiquos confirmont Ia conclusion prcccdente solon laquelle ii y a lieu d'ctmclioror los qualifications do la main-d'oeuvre autochtono. Ellos suggèrent aussi quo le nombre dos professions hautcriiont qualifices qu'assumo actuollomont un personnel contractuol vonu do la m4tropole pourrait ournir des omplois suffisants pour absorber pendant do nonabreusos anncos la gcncrabion autochtono plus jeune, mioux instruite et plus

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