Journée Nationale de la Qualité de l Air 25 septembre Zoom sur le département du Jura
|
|
- Lucie Dumais
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Journée Nationale de la Qualité de l Air 25 septembre 2015 Zoom sur le département du Jura ATMO Franche-Comté regroupe dans son entité, 4 collèges : - les services de l Etat (l ARS, la DREAL et l ADEME), - les collectivités territoriales dont le Grand Dole, ECLA, le conseil départemental du Jura, le PNRHJ, etc, - les industriels (SOLVAY, SYDOM du Jura, ORSIMA, etc) - les organismes et personnes qualifiées (Université de Franche-Comté, Météo-France, France Nature Environnement ) Au total, une cinquantaine de partenaires siègent à ATMO Franche-Comté. Agrée par le ministère de l environnement pour la surveillance de l air ambiant, ATMO Franche-Comté est en charge, d une manière plus large, de la surveillance de l environnement atmosphérique : - Surveillance de l Air ambiant, ses polluants chimiques (dioxyde d azote, ozone, hydrocarbures, phytosanitaires ) et particulaires (particules, métaux ), prévision de la qualité de l air, - Mesure des pollens dans l air ambiant, - Evaluation de la qualité de l air intérieur et recherche des sources de pollution, - Animation de l observatoire régional Air Climat Energie. Pour assurer sa mission de surveillance de la qualité de l air, ATMO Franche-Comté dispose d une vingtaine de stations automatisées répartis sur l ensemble du territoire franc-comtois en fonction des enjeux, de 4 stations mobiles naviguant sur l ensemble de la Franche- Comté, de préleveurs spécifiques, et de 2 plateformes de modélisation (prévision et évaluation de la qualité de l air). Pour mener à bien ses missions, ATMO Franche-Comté emploie 18 collaborateurs. 1
2 1- Les stations de surveillance de la qualité de l air dans le Jura Dans le Jura, le dispositif de stations automatisées est constitué de : - 2 stations de typologie urbaine, à Dole et à Lons le Saunier. Placées en ville, hors de l influence immédiate d une voie de circulation ou d une installation industrielle, les stations urbaines sont représentatives de l air respiré par la majorité des habitants d une agglomération. - 3 stations de typologie industrielle, à Tavaux, Damparis et Châtenois Disposées à proximité des activités émettrices (SOLVAY, ORSIMA), ces stations sont représentatives de l exposition maximale des zones soumises directement à une pollution d origine industrielle. 2- Les polluants surveillés en continu sur le Jura Les polluants surveillés de manière continue sur le département du Jura sont : - Le dioxyde de soufre (SO 2 ), - L Ozone (O 3 ), - Les particules PM10, - Le dioxyde d azote (NO 2 ), Toutes les informations nécessaires pour comprendre l origine et les effets sanitaires et environnementaux sont retrouvables sur le lien suivant puis en cliquant sur «en savoir plus». 2
3 3- Et en complément l ambroisie!!! De manière bisannuelle, une surveillance des pollens d ambroisie, en lien direct avec le plan de lutte contre l ambroisie et le Plan régional Santé Environnement 2, est effectuée de juillet à septembre. Cette plante invasive fait l objet d une attention toute particulière, compte tenu de son très fort pouvoir allergissant. Une camlpagfne est actuellement en cours sur Dole et Bletterans, 2 zones fortement envahies par l ambroisie. Toutes les informations nécessaires pour comprendre l origine et les effets sanitaires des pollens sont retrouvables sur le lien suivant puis en cliquant sur «en savoir plus sur les pollens». 4- Qu en est-il de la qualité de l air dans le Jura? En 2014, état à miseptembre 2015 a. Analyse par polluant POINT SUR LES PARTICULES EN SUSPENSION DE MOINS DE 10 MICRONS (PM10) : Les particules PM10 (de diamètre inférieur à 10 microns) sont les polluants atmosphériques les plus souvent à l origine des pics de pollution. La qualité de l air franc-comtoise a été particulièrement bonne en 2014, en comparaison aux années précédentes. Néanmoins, 3 épisodes de pollution sont à déplorer. Déclenchements des procédures d urgence 3 épisodes de pollution engendrant des Déclenchements de la procédure d information et de recommandation (mars, avril et décembre 2014) PM10 EN FRANCHE-COMTÉ EN 2014 Valeur limite : 50 μg/m3 à ne pas dépasser plus de 35 jours par an Année exceptionnelle : très en dessous de la valeur limite de 35 jours : Maximum 8 jours à Lons-le-Saunier Point sur la valeur limite de 40 μg/m3 en moyenne annuelle Aucun dépassement : Valeur maximum 22 μg/m3 à Lons-le- Saunier et Besançon Victor Hugo Objectif de Qualité atteint : inférieur à 30 μg/m3 3
4 PM10 DANS LE JURA EN 2014 Nb de dépassements de la concentration de 50 μg/m3 (à ne pas dépasser plus de 35 jours par an) Concentration en moyenne annuelle LONS-LE-SAUNIER 8 22 μg/m3 DOLE 5 15 μg/m3 CHATENOIS 0 10 μg/m3 Concernant les PM10 dans le Jura, la concentration de 50 μg/m3 en moyenne journalière a été relativement peu dépassée, et les concentrations en moyenne annuelle sont inférieures à l objectif de qualité (30 μg/m3). A noter enfin que des pics de pollution aux particules PM10 avaient été observés en 5 jours en mars 2014 et 3 jours en avril Pour 2015, à cet instant, le nombre de dépassements de la concentration de 50 μg/m3 (à ne pas dépasser plus de 35 jours par an) est de 6, 0 et 7 respectivement pour Dole, Chatenois et Lons le Saunier, ce qui laisse apercevoir une légère dégradation en 2015 par rapport à Les valeurs maximales enregistrées pour ces 3 sites sont de 21, 14 et 16 dépassements. Dole et Lons le saunier en 2011, Chatenois en A noter 2 épisodes importants de pollution en 2015 : du 9 au 11 mars, et du 16 au 23 mars. Cartographie de l épisode de pollution aux PM10 4
5 POINT SUR LES AUTRES PRINCIPAUX POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES : AUTRES PRINCIPAUX POLLUANTS EN FRANCHE-COMTÉ PM2,5 Valeur limite de 25 μg/m3 en moyenne annuelle Aucun dépassement : maximum de 14 µg/m3 à Besançon Prévoyance AUTRES PRINCIPAUX POLLUANTS EN FRANCHE-COMTÉ EN 2014 NO2 (OXYDES D AZOTE) O3 (OZONE) Pas de pic de pollution et aucun dépassement Pas de pic de pollution constaté de la valeur mais dépassement de limite de 40 μg/m3 en la valeur cible à moyenne annuelle Besançon Prévoyance (maximum de 37 (120 μg/m3 dépassé μg/m3 à Besançon 27 jours). Mégevand SO2 R.A.S. Pour les PM2,5 dans Jura, la station lédonienne a relevé une concentration moyenne annuelle de PM2,5 de 12 μg/m3, en dessous de la valeur limite, mais encore au-dessus de l objectif de qualité (10 μg/m3). Dans le Jura, 3 stations mesurent les NO2 toute l année : Lons-le-Saunier, Tavaux et Damparis. Il est à noter qu'une surveillance du NO2 est faite sur Dole uniquement en période hivernale (novembre à mars). Les concentrations en moyenne annuelle sont inférieures à la valeur limite (40 μg/m3) et au niveau critique pour la végétation (30 μg/m3). NO2 DANS LE JURA EN 2014 Concentration en moyenne annuelle LONS-LE-SAUNIER 15 μg/m 3 TAVAUX 11 μg/m 3 DAMPARIS 15 μg/m 3 Concernant le dioxyde de soufre, 2 stations le mesurent à proximité de l usine SOLVAY : Tavaux et Damparis ; les concentrations en moyenne annuelle, respectivement de 4 et 8 µg/m3 sont nettement inférieures à l objectif de qualité (50 µg/m3) ainsi qu au niveau critique pour la végétation (20 µg/m3). A noter que des mesures sont réalisées annuellement sur le site de Chatenois, à la demande de HOLCIM (en 2014). Les valeurs enregistrées sont toutes inférieures à celles observées sur Tavaux et Damparis Enfin, concernant l ozone dans le Jura, il n y a pas de dépassement de la valeur cible (25 jours à plus de 120 μg/m3 en moyenne sur 8 heures) mais l objectif de qualité vise l absence de dépassement à terme. Il est à noter qu'en 2013, le nombre de jours de dépassement de 120 μg/m³ en moyenne sur 8 heures enregistré sur Lons-le-Saunier était de 33 jours, l'année 2014 a été nettement plus clémente. O3 DANS LE JURA EN 2014 Nombre de dépassements de 120 µg/m3 en moyenne sur 8 heures LONS-LE-SAUNIER 11 DOLE 3 5
6 Pour 2015, pour l ozone, 43 et 26 dépassements de la valeur de 120 µg/m3 en moyenne sur 8 heures ont été enregistrés, à cet instant de l année, respectivement pour Lons le saunier et Dole. A noter également des épisodes de pollution, en lien direct avec la chaleur de l été Cartographie de l épisode de pollution à l ozone du 7 août 2015 Zoom sur Dole b. La qualité de l air vue par les indices ATMO 6
7 Zoom sur Lons le Saunier Les données en détail sur c. Zoom sur l étude Ambroisie Le graphe d à côté présente le nombre de pollens d ambroisie observés sur 4 sites franc-comtois. Il met en évidence, la problématique locale de cette plante et de ses pollens, même si, une partie des pics de pollens d ambroisie peuvent être mis en relation directe avec les vents provenant de la vallée Rhône-Alpes. 7
8 5- En savoir plus. Les données de qualité de l air 2014 et 2015 en détail sur : Les études menées (et leurs rendus) sur la qualité de l air ambiant en 2014 à Saint- Claude, les études en air intérieur menées dans des établissements recevant du public à Lons le Saunier, le bilan de la qualité de l air en 2014 en détail dans Le rapport d activités 2014 d ATMO Franche-Comté disponible sur le site web à l adresse comte.org/files/atmofc/5-donnees_qualite_air/4- publications/publications_pdf/ig_rapport-activites_2014- vcompressee_atmofc_e.pdf 8
LIAISON A50 A57 TRAVERSEE
LIAISON A5 A57 TRAVERSEE SOUTERRAINE DE TOULON SECOND TUBE (SUD) ANALYSE DES DONNEES DE QUALITE DE L AIR NOVEMBRE 27 A JANVIER 28 TOULON OUEST, PUITS MARCHAND, TOULON EST Liaison A5 A57 Traversée souterraine
Plus en détailBILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011
18/06/2012 QUALITAIR CORSE BILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011 Bilan PSQA 2010-2015 version 2012 Savelli Page blanche TABLE DES MATIERES Introduction... 1 1 Composition et financement de l association... 2
Plus en détailQualité de l environnement intérieur de bâtiments performants en énergie : premiers résultats d exploitation des données de la base nationale OQAI-BPE
Qualité de l environnement intérieur de bâtiments performants en énergie : premiers résultats d exploitation des données de la base nationale OQAI-BPE DERBEZ Mickaël Chef de projet CSTB/OQAI Objectifs
Plus en détailEtude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg
Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg Simulation état 2006 Avec le soutien de la Communauté Urbaine de Strasbourg Strasbourg Communauté Urbaine ASPA
Plus en détailQuelle qualité de l air au volant? Premiers éléments de réponse en Ile-de-France
Quelle qualité de l air au volant? ---------------------------- Les automobilistes sont nettement plus exposés à la pollution atmosphérique que les piétons, même à proximité des grands axes. Tel est le
Plus en détailde l air pour nos enfants!
B u l l e t i n d e l O Q A I n 1 Crèches et lieux d enseignement : de l air pour nos enfants! Le programme de l OQAI «Lieux de vie fréquentés par les enfants» a débuté en 2006. Une première phase de recueil
Plus en détailTableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014»
Projet d ensemble commercial Ametzondo Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Remarques : Aucune émission ne sera prise en compte sur le parking pour un fonctionnement dominical.
Plus en détailZoom sur le métier de technicien(ne) d exploitation
Bulletin trimestriel - mai - juin Zoom sur le métier de technicien(ne) d exploitation L équipe d Atmo Auvergne se compose de 12 personnes réparties dans les pôles : administration, études/communication,
Plus en détailDOSSIER : L OZONE SOUS TOUTES SES COUTURES
DOSSIER : L OZONE SOUS TOUTES SES COUTURES Avec le soleil et la chaleur de l été, c est aussi les épisodes de pollution à l ozone qui reviennent. Le dossier ci-dessous propose de répondre aux 12 questions
Plus en détailLa gamme SAM ARGOPOL
La gamme SAM ARGOPOL La gamme : SAM ARGOPOL 2 Les systèmes d acquisition SAM ARGOPOL La gamme SAM ARGOPOL se compose d un ensemble de stations d acquisition de données. Robustes, fiables, modulaires, elles
Plus en détailResponsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON
Responsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON P.1/11 Sommaire Préambule... 3 1. Politique sectorielle... 4 1.1 Objectif... 4 1.2 Portée...
Plus en détailIII RESULTATS LE LONG DU TRACE PREFERENTIEL DE LA LIGNE 2
FUTURE LIGNE 2 DE TRAMWAY DE L'AGGLOMERATION DE MONTPELLIER Etat initial des principaux traceurs de la pollution liée au trafic routier Résumé Rédacteur : AFM Date : 29/1/3 pages I CONTEXTE Etude réalisée
Plus en détailSurveiller la qualité de l air avec les élèves
Surveiller la qualité de l air avec les élèves L air que nous respirons est à la fois l affaire et la responsabilité de tous. La santé publique, l environnement et les conditions de vie future sur Terre,
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailIntroduction 1. 1/ Présentation de l étude 2. 1.1/ Contexte environnemental du port 2. 1.2/ Mode opératoire de l étude 3. 2/ Résultats de l étude 5
EVALUATION DE LA QUALITE DE L AIR SUR LA ZONE DU PORT DE NICE Janvier - Mars / Août - Septembre 25 SOMMAIRE Introduction 1 1/ Présentation de l étude 2 1.1/ Contexte environnemental du port 2 1.2/ Mode
Plus en détailÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN
ÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN 2015 Révision du Plan de Protection de l Atmosphère
Plus en détail1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.
1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin
Plus en détailBilan de la qualité de l air en Franche-Comté www.atmo-franche-comte.org
Bilan de la qualité de l air en Franche-Comté www.atmo-franche-comte.org Sommaire I. Bilan social d ATMO Franche-Comté 4 I.1. Point sur les mouvements de personnel 4 I.2. Accueil de stagiaires 4 3 I.3.
Plus en détailDISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88)
DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88) Ce document a été réalisé en collaboration avec APAVE Alsacienne SAS 3 rue de l Euron BP 21055 Maxeville 54522 LAXOU Cedex Références
Plus en détailVéhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès
Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès Andre Douaud Ancien Directeur Technique Constructeurs Français Automobiles CCFA À Rabat, Avril 21 Moteurs et Carburants
Plus en détailpour les canalisations de transport 14 avril 2010-1 -
Arrêté multifluide du 4 août t 2006 pour les canalisations de transport 14 avril 2010-1 - Une volonté de l administration L ancien arrêté portant règlement de sécurité des ouvrages de transport de gaz
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailBilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France. Olivier Laguitton
Bilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France Olivier Laguitton Saint Etienne, le 18 février 2013 Contenu de la présentation Le contexte du développement durable Passage en revue de la législation
Plus en détail] sommaire. > N Spécial > Juin 2009 > EDITO P. 2 P. 3 P. 4-6 P. 7-8 P. 9 P. 10-11. P. 12 L union fait la force Les laboratoires spécialisés
> N Spécial > Juin 2009 > EDITO L ASPA dans l air du temps Il est des intuitions qui portent en elles le germe d une œuvre remarquable. «L alliance locale pour surveiller la qualité de l air», telle était
Plus en détailDANSE, CHANT ET SPECTACLE LE SEJOUR INFOS PRATIQUES. Adresse du séjour
LE SEJOUR Référence > SPECTCR2014 Agrément > JEUNESSE ET SPORTS Dates > Du 19/10/2013 au 02/11/2013 Ages > de 12 à 17 ans A partir de > 420,00 Frais de dossier > 19,00 /personne Chanteurs, musiciens ou
Plus en détailConcerne : Avis relatif à la problématique de l ozone Note de cabinet CAB/RD/RW/JPD/DD/2003 du 27.08.2003 N CSH : 7915
SPF Santé publique, Sécurité de la Chaîne alimentaire et Environnement Bruxelles, le 29.09.2003 Monsieur le Ministre Demotte CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE Concerne : Avis relatif à la problématique de l
Plus en détailPrise en compte des aspects sanitaires dans les Plans Régionaux pour la Qualité de l Air.
Prise en compte des aspects sanitaires dans les Plans Régionaux pour la Qualité de l Air. Bilan des études d impact sanitaires de la pollution atmosphérique urbaine réalisées Ce document a été réalisé
Plus en détailDÉVELOPPER LE GAZ NATUREL DANS LES TRANSPORTS
DÉVELOPPER LE GAZ NATUREL DANS LES TRANSPORTS Les enjeux pour la transition énergétique Didier Lebout, Strategy and Development Director Gazprom Marketing and Trading France Deauville, 28 juin 2013 Dans
Plus en détailSurveillance de la qualité de l air : Description du système français d'assurance qualité
Surveillance de la qualité de l air : Description du système français d'assurance qualité NOVEMBRE 2010 Tatiana Macé (LNE) François Mathé (EMD) Eva Léoz-Garziandia (INERIS) PREAMBULE Le Laboratoire Central
Plus en détailLA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ
avril 2013 NOTE D INFORMATION LA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ En tant qu exploitant des centrales de production d électricité, EDF met en
Plus en détailAbschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015
Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence
Plus en détailPourquoi étudier l aérosol atmosphérique?
Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Impact Climatique Impact sanitaire Les particules atmosphériques sont avant tout étudiées pour leurs impacts sur le climat et sur la santé humaine. 39 Réchauffement
Plus en détailBilan décennal des catastrophes naturelles en France
Bilan décennal des catastrophes naturelles en France SOMMAIRE BILAN DÉCENNAL EN TERMES DE NOMBRE ET DE TYPE DE CATASTROPHES NATURELLES BILAN EN TERME DE VICTIMES.. 2 5 BILAN DÉCENNAL EN TERMES ÉCONOMIQUES
Plus en détailL enfouissement des déchets ultimes
L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E LE CENTRE D ENFOUISSEMENT TECHNIQUE (C.E.T.)
Plus en détailla climatisation automobile
Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous
Plus en détailEvolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR
Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales
Plus en détailEmissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC)
Emissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) SNCF DRH EPIC Prévention et Santé COMPOSITION DES EMISSIONS DIESEL MELANGE COMPLEXE DE SUBSTANCES
Plus en détailRéduction de la pollution d un moteur diesel
AUBERT Maxime SUP B Professeur accompagnateur : DELOFFRE Maximilien SUP B Mr Françcois BOIS PAGES Simon SUP E Groupe n Réduction de la pollution d un moteur diesel Introduction L Allemand Rudolf Diesel
Plus en détailCertu. Les zones 30 en France Bilan des pratiques en 2000
Certu Les zones 30 en France Bilan des pratiques en 2000 Pourquoi des zones 30? Introduites dans le code la route par le décret du 29 novembre 1990, les zones 30 délimitent des secteurs de la ville où
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre
Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de
Plus en détailArrêté du 11 mars 2015 relatif aux annonces de réduction de prix à l'égard du consommateur
Guylaine BOURDOULEIX Objet: DocPratic n 226 N 226-21/04/2015 Modèle de PV d AGO de changement de gérant dans la SARL Lorsqu il y a un changement de gérant de la SARL, l assemblée générale ordinaire décidant
Plus en détailTechniSim Consultants 2 rue Saint Théodore 69003 Lyon Tél : 04 72 33 91 67 Email : technisim@wanadoo.fr
Réf. : 090 510 082A V1 Valbonne Sophia Antipolis TechniSim Consultants 2 rue Saint Théodore 69003 Lyon Tél : 04 72 33 91 67 Email : technisim@wanadoo.fr Zone d Aménagement Concertée (ZAC) des Clausonnes
Plus en détailEmis le : 5/08/2011 Mis à jour : 10/2014
Emetteur : CRMA Limousin Page 1 sur 6 1. Quelle réglementation s applique à mon entreprise? Emis le : 5/08/2011 Toute entreprise artisanale ou industrielle est soumise au règlement sanitaire départemental.
Plus en détailNe brûlons plus nos déchets verts à l air libre!
En savoir QUIZZ + Plan de Protection de l Atmosphère des Bouches-du-Rhône 1 2 3 4 J ai le droit de brûler mes déchets de tonte de pelouse en petite quantité dans ma cour non exposée à la route. Mes déchets
Plus en détailRéunion du Comité de Suivi des Projets de l'enjeu Eau
Réunion du Comité de Suivi des Projets de l'enjeu Eau SURFRIDER FOUNDATION EUROPE Mettre en place des actions d'information pour la reconquête des milieux utilisés pour des activités nautiques Remerciements
Plus en détailFICHE TECHNIQUE : NOTION DE CONSERVATION
LE SERVICE D INFORMATION ET DE DOCUMENTATION SID, Mars 2009 DE LA FONDATION ALLIANCE FRANÇAISE FICHE TECHNIQUE : NOTION DE CONSERVATION D UN FONDS D ARCHIVES D UNE ALLIANCE FRANÇAISE. SOMMAIRE Les objectifs...
Plus en détailCARTOGRAPHIE FINE DES NIVEAUX DE DIOXYDE D AZOTE DANS LE COEUR DENSE DE L AGGLOMÉRATION PARISIENNE. Janvier 2012
CARTOGRAPHIE FINE DES NIVEAUX DE DIOXYDE D AZOTE DANS LE COEUR DENSE DE L AGGLOMÉRATION PARISIENNE Janvier 2012 AIRPARIF Surveillance de la Qualité de l Air en Ile-de-France Cartographie fine des niveaux
Plus en détailCompte rendu des utilisations du calculateur TITAN au LACy
Le Laboratoire de l Atmosphère et des Cyclones (LACy) UMR (8105) Université de la Réunion CNRS Météo France 15 avenue René Cassin, 97715 Saint Denis messag.,cedex 9 Compte rendu des utilisations du calculateur
Plus en détaill entretien des chaudières
Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d
Plus en détailL échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détailEnsemble nous aurons l air meilleur!
Les bons gestes au quotidien pour préserver la qualité de notre air Ensemble nous aurons l air meilleur! Saviez-vous que nous avons besoin d un litre et demi d eau et de 14 000 litres d air par jour pour
Plus en détailRÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010
Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,
Plus en détailPrix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement
Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement A l initiative de François Loos Ministre délégué à l Industrie Page 1 Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l
Plus en détailDossier de presse. Opération vacances à la neige : accueillir les vacanciers en toute sécurité, une préoccupation majeure pour les services de l état
Dossier de presse Opération vacances à la neige : accueillir les vacanciers en toute sécurité, une préoccupation majeure pour les services de l état le mercredi 11 janvier 2015 à la Clusaz Contact : Service
Plus en détailÉcole du Paysage et de l'horticulture
Convention de stage École du Paysage et de l'horticulture 14480 Saint Gabriel Brécy Concernant l'élève : Nom : Prénom : Date de naissance : En classe de : CAPA Seconde BAC Pro Dans l'option : Productions
Plus en détailInventaire des émissions des opérations terrestres et maritimes au Port de Montréal
Rapport Final: Inventaire des émissions des opérations terrestres et maritimes au Port de Montréal Préparé pour: Transports Canada Région du Québec Preparé par: SNC-Lavalin Environnement Inc. Le 31 mars,
Plus en détailBovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4
Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux
Plus en détailL immobilier d entreprise artisanale
e s c a L immobilier d entreprise artisanale n l B e E n j e u x L i v r S t r a t é g i P r o p o s i t i o n s Ile-de-France Rhône-Alpes Le Livre Blanc de l immobilier d entreprise artisanale Pourquoi?
Plus en détailL Observatoire officiel hôtelier & para-hôtelier du Grand Lyon réalisé pour le compte de la CCI de Lyon et du Grand Lyon
Les résultats du mois de février 2014 L Observatoire officiel hôtelier & para-hôtelier du Grand Lyon réalisé pour le compte de la CCI de Lyon et du Grand Lyon GRAND LYON, les performances de février 2014
Plus en détailSOMMAIRE. I - Synthèse de l'activité 2014... 2. II - Secteur "Logement" métropole... 4
SOMMAIRE I - Synthèse de l'activité 2014... 2 II - Secteur "Logement" métropole... 4 ACTIVITE LOGEMENTS NEUFS + EXISTANTS... 4 ACTIVITE LOGEMENTS NEUFS... 9 ACTIVITE LOGEMENTS EXISTANTS... 13 ACTIVITE
Plus en détailLES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE?
LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE? Jean-Pierre SAWERYSYN 1 Matthieu OGET 2 Corinne SCHADKOWSKI 3 Judith TRIQUET 3 1 Professeur honoraire de l Université de Lille I, vice-président
Plus en détailÉpreuve collaborative
Épreuve collaborative Épreuve collaborative 1. Faire une présentation de quelqu idé fort relativ au mix énergétique (ou bouquet énergétique). (Exposé de 5 minut maximum) 2. Faut-il encore brûler le charbon?
Plus en détailIncitations financières véhicules 2014
Marque : Consommation de carburant C02 inférieures ou égales à 100 g/km de 101 à 120 g/km VOITURE Énergie : Essence Les déplacements Comprendre Incitations financières véhicules 2014 Pour des véhicules
Plus en détailLA A RESPIRATION CELLULAIRE
Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles
Plus en détailLa collecte et la gestion des données dans le cadre de la prospection d énergie solaire
Conférence SIG 2012 - ESRIFRANCE La collecte et la gestion des données dans le cadre de la prospection d énergie solaire Serge MANG-JOUBERT GAIAGO Eric VIDALENC - ADEME 1 Auteurs : Rodrigo MARIONI, Serge
Plus en détailCHU BESANCON EC10100 11-01-2011 BZ020668 EE133 15 h36. Liste des marchés conclus article 133
Traitement No 10813134 DATDEB... 01/01/2010 DATFIN... 31/12/2010 FOUDEB... 0 FOUFIN... ZZZZZZ MONTANT... 4000 TYPEMAR... T Liste 1. Marchés entre 4.000 et 19.999,99 euros. 006178 SODEL SAINT DIE CEDEX
Plus en détailETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00
ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE Atelier de 14h30 16h00 Objectifs Identifier les zones en difficultés afin d éviter des fermetures De maintenir des effectifs suffisants dans les CFA
Plus en détailPrescriptions Techniques
Prescriptions Techniques Application du décret n 2004-555 du 15 juin 2004 relatif aux prescriptions techniques applicables aux Canalisations et Raccordements des installations de transport, de distribution
Plus en détailACTION 1 L utilisation des chevaux de trait pour les travaux communaux. Rapport d étude 3
ACTION 1 L utilisation des chevaux de trait pour les travaux communaux Rapport d étude 3 LES DIFFERENTES UTILISATIONS DU CHEVAL DE TRAIT DANS LES COMMUNES FRANÇAISES Le cheval apparait aujourd hui comme
Plus en détailEXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON
REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement
Plus en détailBilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes
ATMO Poitou-Charentes, centre régional de surveillance de la qualité de l air Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes Crédit-photo : Gérard Sulmont (RNSA) Référence : POLN_EXT_12_193
Plus en détail1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES
AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des
Plus en détailGouvernance des mesures de sécurité avec DCM-Manager. Présentation du 22 mai 2014
Gouvernance des mesures de sécurité avec DCM-Manager Présentation du 22 mai 2014 Gérer les actifs logiciels et leur répartition Maîtriser le durcissement des configurations Suivre l application des correctifs
Plus en détailJournée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau
Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin
Plus en détailSELLE Masse d'eau AR51
SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution
Plus en détailLES FORMALITÉS DE DÉDOUANEMENT À L IMPORT
LES FORMALITÉS DE DÉDOUANEMENT À L IMPORT Les formalités accomplies auprès du GUCE par les transitaire / CAD se résument aux opérations suivantes : Dépôt de la déclaration en douane et obtention du BAE,
Plus en détailChauffage au bois. à la qualité de l AIR. Vallée de l Arve
Chauffage au bois ATTENTION à la qualité de l AIR Vallée de l Arve Tous acteurs de la qualité de l air! Sommaire Chauffage au bois, un enjeu important pour la qualité de l'air... 3 Le chauffage au bois,
Plus en détailQuelles perspectives de développement pour le gaz naturel dans les transports?
Quelles perspectives de développement pour le gaz naturel dans les transports? Le regard de Gazprom Marketing and Trading France 29 octobre 2014 Sommaire 1. Les atouts du GNV pour les transitions énergétiques
Plus en détail5 Avril 2013. Evolution de la construction neuve dans l espace Rhône Avignon Vaucluse AURAV LES PUBLICATIONS DE L AGENCE
LES PUBLICATIONS DE L AGENCE Evolution de la construction neuve dans l espace Rhône-Avignon-Vaucluse La n de l «âge d or» de la maison individuelle? aurav agence d'urbanisme Rhône Avignon Vaucluse 5 Avril
Plus en détailSITUATION DE LA RESSOURCE EN EAU DANS LA DROME
SITUATION DE LA RESSOURCE EN EAU DANS LA DROME Bulletin trimestriel d août 2013 - Situation été - L Observatoire de l eau informe sur la situation de la ressource dans la Drôme au cours de l été Pluviométrie
Plus en détailURSA, l isolation optimisée pour les ERP et les bâtiments HQE
URSA, l isolation optimisée pour les ERP et les bâtiments HQE Siège social Agence commerciale Usine de laine de verre Usine de polystyrène extrudé URSA et URSA PUREONE 1 2 URSA, industriel international
Plus en détailPerspectives d applications de la télédétection en grandes culture à court et moyen terme dans le Sud-Ouest
Perspectives d applications de la télédétection en grandes culture à court et moyen terme dans le Sud-Ouest Jean-François DEJOUX CESBIO & Luc CHAMPOLIVIER CETIOM Télédétection en agriculture : nouveau
Plus en détailEnquête Nationale sur le devenir des diplômés de
Enquête Nationale sur le devenir des diplômés de DUT 2010 Génie Mécanique et Productique Résultats de l IUT de Reims-Châlons-Charleville (Note de synthèse sur les diplômés de formation initiale hors alternance)
Plus en détailInfluence du changement. agronomiques de la vigne
Influence du changement climatique sur les résultatsr agronomiques de la vigne à l'aide du modèle STICS Iñaki García a de Cortázar Atauri Unité CSE - Avignon Réunion Protection du Vignoble Changement Climatique
Plus en détailCollège Avril 2015. Mise en service de l infrastructure de recharge de véhicules électriques sur le département des Hautes-Alpes
Collège Avril 2015 Mise en service de l infrastructure de recharge de véhicules électriques sur le département des Hautes-Alpes Contexte et enjeux Les enjeux du véhicule électrique sont multiples : Réduire
Plus en détailBallon Air de Paris Pour la première fois au monde, l air est visible
Ballon Air de Paris Pour la première fois au monde, l air est visible DOSSIER DE PRESSE 15 Mai 2008 1 Sommaire Un projet sans précédent né d une volonté commune Un outil impactant pour informer les Parisiens
Plus en détailTableau de bord économique du tourisme en Maurienne Hiver 2005/2006
Tableau de bord économique du tourisme en Maurienne Hiver 2005/2006 Modane, 15 décembre 2006 François VICTOR 1 Les points à traiter Quel bilan pour l activité touristique en Maurienne pour l hiver 2005/2006?
Plus en détailL accueil. des gens du voyage. direction générale de l Urbanisme de l Habitat et de la Construction LOI DU 5 JUILLET 2000
direction générale de l Urbanisme de l Habitat et de la Construction LOI DU 5 JUILLET 2000 L accueil des gens du voyage Ministère de l'équipement, des Transports et du Logement direction générale de l
Plus en détailObjectif. La capacité de l appareil de production à répondre à la demande. La demande client en matière d éco-rénovation.
CERA Février 2011 Objectif Définir les stratégies les plus adéquates pour dynamiser rapidement le marché de l éco-rénovation au regard de : la demande client en matière d éco-rénovation l état du parc
Plus en détailServices de la Maison de l Emploi. Etapes d un projet. Organismes d accompagnement. Contacts utiles COORDONNEES ET PLAN D ACCES
COORDONNEES ET PLAN D ACCES Poste Ste Suzanne Police Centre Ville Petite Hollande Bethoncourt Maison de l Emploi du Pays de Montbéliard 10, avenue du Maréchal De Lattre de Tassigny BP 36315 25206 Montbéliard
Plus en détailLa mobilisation des statistiques énergie pour les schémas territoriaux en Rhône-Alpes
La mobilisation des statistiques énergie pour les schémas territoriaux en Rhône-Alpes Yves Pothier DREAL Rhône-Alpes 21/11/2014 Crédit photo : Arnaud Bouissou/MEDDE Direction régionale de l'environnement,
Plus en détailTOTAL EXCELLIUM DIESEL l assurance d une consommation maîtrisée
TOTAL EXCELLIUM DIESEL l assurance d une consommation maîtrisée COnCEnTRÉ DE TECHnOLOGiE Maîtrisez vos consommations grâce au concentré de technologie TOTAL EXCELLIUM DIESEL ) ) Une meilleure protection
Plus en détailPAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE?
PAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE? F R A N Ç O I S E B E R T H O U D G D S E C O I N F O / C N R S w w w. e c o i n f o. c n r s. f r F r a n c o i s e. B e r t h o u d @ g
Plus en détailne définition de l arbre.
LA PHYSIOLOGIE DES ARBRES. U ne définition de l arbre. L es arbres sont des êtres vivants qui occupent une place à part dans le monde végétal. Ils sont indispensables à la vie sur terre et ils ont largement
Plus en détailGaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d
Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes à l habitation et aux déplacements d des ménagesm Exemple d un ménage de 3 personnes habitant un logement de 100m² à Lille Métropole Mars
Plus en détailDossier de presse. Création de l observatoire sanef 1 ère étude scientifique des comportements au volant sur autoroute JUILLET 2012
Dossier de presse SOMMAIRE Présentation...3 Une étude scientifique pour dresser un état des lieux des comportements sur autoroute...4 L occupation des voies : des résultats venant confirmer l importance
Plus en détailL emploi lié au tourisme dans le Territoire de Belfort
Chiffres clés 1 207 emplois en moyenne sur l année 2011 dans le Territoire de Belfort*. Soit 850 emplois en équivalent temps plein (dont plus de 700 en zone urbaine). 2,4 % de l emploi total du département.
Plus en détail