Réseau Bécassines - Lettre d information n 10 - Octobre Éditorial
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- Joseph Gilbert
- il y a 5 ans
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1 Réseau Bécassines - Lettre d information n 10 - Octobre 2013 Éditorial L abondance des pluies au cours de l automne-hiver 2012/13 aura offert des conditions d accueil optimales aux bécassines dans notre pays. Conséquence : une saison sans soucis majeurs, mais aussi sans relief, avec des oiseaux disséminés dans toutes les zones humides pérennes ou temporaires. La récolte de plumages organisée par le CICB confirme cette impression générale. Le nombre d ailes et de rectrices analysées reste au-dessus de la moyenne des huit années précédentes, même si un léger recul est noté par rapport à la saison 2011/12, la meilleure de cette période. La saison 2013/14 se présente également plutôt bien. La chaleur et l humidité entretenue par des précipitations régulières, en Russie européenne et en Scandinavie, ont sans doute facilité la vie des limicoles dans leurs sites de reproduction : pas de pénurie de zones humides pour installer les nids et nichées, nourriture disponible en abondance. Une arrivée massive de bécassines en juillet-août en Biélorussie nous a été signalée et pourrait être de bon augure. En France, les premiers éléments issus des bagueurs et des bécassiniers font état d une saison assez bien partie. L analyse des données de baguage visant à une nouvelle estimation des taux de survie et du taux de croissance de la population est achevée et publiée. Nous y revenons dans cette lettre d information en espérant vous fournir une "traduction pédagogique" la plus claire et la plus précise possible des modèles mathématiques compliqués utilisés par "notre" chercheur du CNRS. Sachez, qu en résumé, il n y a pas péril en la demeure pour ces paramètres démographiques. La fin de l année 2013 s annonce déterminante pour le Réseau Bécassines à deux titres. Le premier est un audit de nos programmes par le Conseil scientifique de l ONCFS. C est pour nous l'occasion de présenter nos (et vos) travaux et de recueillir les critiques constructives des membres du Conseil pour faire progresser les recherches. Le second concerne notre pilier ès bécassines. Après 40 ans de bons et loyaux services ornithologiques (quand on aime, on ne compte pas!) Gilles voit se profiler un avenir tout en temps libre. Les mailles du filet "retraite" auront donc fini par le capturer! A moins que des "formes" bien disposées tout au long du parcours l aient attiré dans la nasse! Cela dit, il y a de très bonnes chances pour que les bécassines aient laissé une forte empreinte et que la "repasse" fasse son effet! A vos filets, nasses et autres matoles, et bonne saison à tous! Yves Ferrand Passage de témoin à la tête du réseau.. Gilles Leray prend une retraite bien méritée. «J ai eu un grand plaisir à travailler avec vous sur trois espèces passionnantes. Merci à tous, et bonne saison 2013/14.» Damien Coreau, technicien de l Environnement, rejoint le réseau Bécassines en tant qu administrateur national. Damien est entré à l ONCFS en 2001 au sein de réseau Ours Brun. En 2008, il rejoint le service départemental du Vaucluse en tant qu agent technique de l Environnement. Suite à sa réussite au concours de technicien de l Environnement en 2011, il est nommé au réseau Bécasse et assure, entre autres, la coordination du suivi "en temps réel" en automnehiver. Depuis plusieurs mois, Damien s initie aux activités du réseau Bécassines en compagnie de Gilles. Plusieurs d entre vous le connaissent déjà. C est donc en technicien "averti" qu il prend les rênes du réseau. Direction des Etudes et de la Recherche - CNERA Avifaune migratrice Réseau Bécassines, 39 bd Albert Einstein, cs 42355, Nantes cedex 3 Tél. : fax : courriel : rezobecassines@oncfs.gouv.fr
2 LES NOUVELLES DU RESEAU A l heure actuelle, le Réseau Bécassines ONCFS/ FNC/FDC/CICB compte 132 bagueurs répartis dans 52 départements. En 2013, face au peu d engouement pour le stage de perfectionnement prévu initialement (un seul candidat), une formation complète a été donnée à 9 stagiaires. Tous ont passé avec succès l'examen final et viendront étoffer le réseau. Il est cependant dommage que les quelques jours de perfectionnement que nous proposons recueillent aussi peu d enthousiasme. Le montage des filets, la capture, le démaillage, la manipulation des oiseaux nécessitent de l expérience. Trois jours complets dévolus à ces exercices sont un appoint important pour ceux d entre vous qui ont peu d occasions de sorties. Patrice Lavoué détient, avec son équipe, le record 2012 avec 223 bécassines baguées pour 276 captures. Félicitations aux charentais! Six départements dépassent les 100 captures (les deux espèces confondues) : le Cantal, l Eure, la Gironde, la Loire-Atlantique, la Lozère et la Saône-et-Loire. C est également un excellent résultat. L Ain, l Aisne, le Doubs, le Loiret, les Hautes-Pyrénées et la Vendée n ont pas démérité avec un score compris entre 50 et 100 oiseaux. A eux seuls ces 12 départements ont réalisé 80 % des captures. Un petit effort en Camargue et dans le Nord du pays reste à fournir afin de couvrir l essentiel des régions d accueil des bécassines migratrices et hivernantes en France Bécassine des marais Bécassine sourde Nombre de bécassines des marais et bécassines sourdes baguées chaque année par le Réseau. Départements avec au moins un bagueur opérationnel en septembre Trois années successives de stabilité des captures Avec 1677 bécassines baguées, le niveau des captures en 2012 s avère très proche de celui des saisons 2010 et Dans le détail, les bécassines des marais représentent 1460 oiseaux et les bécassines sourdes 217. Aucune bécassine double n a été capturée même si quelques unes ont été vues ici ou là. Droits réservés 2 Lettre d information n 10 - octobre 2013
3 Bécassine des marais Bécassine sourde Répartition géographique des captures de bécassines des marais et de bécassines sourdes en LES RÉUNIONS RÉGIONALES Comme l an passé, huit réunions régionales ont été organisées ce printemps. Certaines furent reportées pour cause d intempéries : il ne faisait pas bon mettre un pied dans la Manche ou dans l Aisne en mars, rappelez-vous! Le bilan de ces réunions régionales depuis plusieurs années est indéniablement positif et vous êtes nombreux à les solliciter. C est un élément fort du fonctionnement du Réseau. Environ 60 % des bagueurs participent chaque année aux réunions mais ce sont souvent les mêmes qui reviennent! Une rencontre annuelle avec l administrateur national, en toute convivialité, permet de poser des questions, résoudre des problèmes et parfaire son expérience. Pensez-y! NOUVELLES DE L'ETE Des inondations importantes au printemps en Russie européenne et en Europe centrale ont offert des conditions d accueil idéales pour la nidification des bécassines dans ces régions. Des précipitations fréquentes et des températures audessus des normales saisonnières en juin-juillet ont complété un tableau quasi-parfait et probablement contribué à un succès reproducteur élevé pour les limicoles. Pour la petite histoire, nos collègues biélorusses ont bagué 1500 bécassines entre le 10 juillet et le 11 août à leur station de baguage située dans les plaines de Pripyat. Du jamais vu! Contrairement à l an passé, le passage traditionnel de la Madeleine (22 juillet) semble avoir été absent en L absence d un bon coup de vent d est en août a entraîné une migration toute en douceur avec des oiseaux s acheminant petit à petit vers le Sud-Ouest et le Sud. Au moment où nous rédigeons cette lettre d information, Vincent Rotureau (FDC 85) a apparemment pris un bon départ avec plus de 150 oiseaux bagués depuis le début août. Les informations qui nous sont parvenues des bécassiniers témoignent d un très bon début de saison, en particulier dans le Nord de la France. A suivre. Lettre d information n 10 - octobre
4 Depuis le printemps 2012, un monitoring des effectifs nicheurs de bécassines des marais est en place en Russie européenne. Il s appuie sur le dénombrement des mâles chanteurs dans plus d une centaine de sites (> 30 ha) répartis dans 7 grandes régions écologiques : toundra du Sud, forêt-toundra, taïga du Nord, taïga du Sud, forêt mixte, forêt de feuillus et forêt-steppe. Au printemps 2013, 130 territoires ont été recensés sur une superficie totale de près de ha. Bien qu ils ne fassent l objet d aucune recherche spéciale, 5 nids et 2 nichées ont été également découverts dans la République de Mordovie, dans la Province de Penza et dans la Région de Moscou. LES NOUVELLES DE RUSSIE Régions écologiques Densités en 2013 (couples/km²) I - toundra du Sud 4,4 (marais tourbeux) à 8,5 (tourbières arbustives) II - forêt-toundra 3,4 (grands marais collinéens) à 5 (zones inondables et vallées) III - taïga du Nord 0,4 (clairières humides) à 4,2 (tourbières) V - taïga du Sud 2,1 (tourbières à sphaignes) à 25 (marais tourbeux) VI - forêt mixte 2 (forêt inondée) à 19 (parties sèches de zones inondables) VII - forêt de feuillus 6,4 (zones inondables) à 8,3 (prairies humides avec tourbières) VIII - forêt-steppe 4,2 (prairies humides avec tourbières) à 5,8 (marais tourbeux) Le printemps 2013 apparaît comme une bonne année pour la plupart des régions écologiques. Les effectifs sont partout supérieurs à ceux de En taïga du Nord, en forêt mixte et en forêt de feuillus, où des données anciennes sont disponibles, ce sont même les meilleurs résultats depuis les printemps 2003 et Cette bonne année en termes d effectifs nicheurs s est très probablement accompagnée d un succès reproducteur également élevé comme en témoigne les observations faites en début de migration en Biélorussie et lors des passages de fin d été début automne en France. Localisation des sites de recensement des effectifs nicheurs de bécassines des marais en Russie européenne. Les chiffres de 1 à 13 regroupent les zones d étude. Les chiffres de I à VIII définissent les grandes régions écologiques : I- toundra du Sud, II- forêttoundra, III-taïga du Nord, IV- taïga du Centre, V- taïga du Sud, VI-forêt mixte, VII- forêt de feuillus, VIII- forêt-steppe. Les densités de couples/km² varient d une région écologique à l autre et à l intérieur de la même région en fonction des types d habitats. Les densités les plus fortes ont été enregistrées dans les parties inondées de marais tourbeux de taïga du Sud : 25 couples/km²! Le détail des résultats obtenus en 2013 est présenté dans le tableau ci-après. Photo : Sergueï Fokin Nid de Bécassine des marais 4 Lettre d information n 10 - octobre 2013
5 ACTUALITES SCIENTIFIQUES Estimation des taux de survie des bécassines des marais hivernant en France Trente ans après les dernières estimations des taux de survie chez la Bécassine des marais, un travail fondé sur les données de baguage récoltées par le Réseau permet de les réactualiser*. Comme vous le savez, les oiseaux bagués se composent d individus encore en migration et d autres ayant atteint leurs sites d hivernage. Il nous fallait faire un choix entre ces deux "populations". En hivernage, les oiseaux forment une population relativement fermée (pas ou peu d émigration/immigration en dehors des vagues de froid). De plus, la population hivernant en France présente plus d intérêt dans la mesure où les paramètres démographiques qui lui sont liés sont en prise directe (et unique) avec l activité cynégétique de notre pays. Pour ces deux raisons nous avons sélectionné ce groupe d oiseaux dans le jeu de données disponible. Au final, l analyse a reposé sur 4029 bécassines baguées entre novembre et février, 113 reprises à la chasse et 150 contrôles réalisés au moins une fois au cours d une saison différente de celle du baguage. *Péron G., Ferrand Y., Leray G. & O. Gimenez Waterbird demography as indicator of wetland health : The French-wintering common snipe population. Biological Conservation 164: Le "décor" étant posé, venons-en aux analyses ce qui est singulièrement plus compliqué! Le modèle mathématique utilisé est fondé sur la capture puis le contrôle et/ou la reprise des oiseaux. Jusque là, tout va bien. Ce modèle est dit multi-états car il prend en compte plusieurs possibilités qui peuvent paraître triviales mais qui "dirigent" les calculs. Tout d abord, parmi les bécassines baguées nous avons distingué celles présentes dans la zone de baguage et celles en dehors de la zone de baguage. En d autres termes, il s agit de prendre en compte la fidélité au site d hivernage. Classiquement dans ce type d étude, nous avons considéré des oiseaux morts récemment, dont l information sur la reprise est disponible, d autres disparus du site, considérés comme morts depuis plus d un an mais pour lesquels nous sommes en réalité sans nouvelles. A chaque cas est affectée une probabilité. Là où les choses se compliquent un peu plus c est qu une bécassine baguée au début de la saison a plus de chance (ou plutôt de malchance!) de se faire tuer qu une bécassine baguée à quelques jours de la fermeture. Il faut donc en tenir compte. La solution choisie pour résoudre ce problème est de considérer une survie hivernale mensuelle qui est la probabilité pour un individu de survivre jusqu à la fin de l hiver selon qu il a été marqué en novembre, décembre, janvier ou février. Photo : Maurice Benmergui - ONCFS Lettre d information n 10 - octobre
6 De plus, comme fort heureusement un certain nombre de bécassines survivent à l hiver, une survie estivale a également été calculée pour la période comprise entre la fin février et le début novembre, ce qui fait évidemment un bel "été"! Mais les statisticiens ne sont pas trop regardants sur les classifications saisonnières! Au final, la survie annuelle est le produit de la survie mensuelle hivernale des oiseaux bagués en novembre par la survie estivale. Plusieurs éléments peuvent avoir un effet sur la survie : l année (des conditions météorologiques, par exemple, peuvent conduire à une mortalité plus ou moins forte), l âge (en général, les jeunes moins expérimentés résistent moins bien que les adultes qui en vont vu d autres!). Nous les avons intégrés aux calculs et rajouté un autre plus original : la localisation du baguage. Nous ne sommes pas allés très loin mais avons distingué une zone côtière d une zone intérieure, en raison de conditions climatiques et de pressions de chasse jugées différentes. C est aussi la base des deux grands flux migratoires auxquels nous avons coutume de nous référer. Voilà pour le détail des "costumes" statistiques, venons-en aux résultats ce qui est bien sûr le plus intéressant. Après différentes étapes pour définir le meilleur modèle (dont nous dispenserons vos neurones!), celui retenu intègre finalement un effet de la zone géographique sur la survie hivernale et la fidélité au site, un effet de l âge sur la fidélité au site, un effet de l année sur la reprise et le contrôle et un effet de l état sur la survie et la probabilité de reprise. Ouf! Un petit temps de repos pour digérer tout ça et passer aux estimations qui sont résumées dans le tableau ci-dessous. Zone côtière Zone intérieure Taux de survie annuel 0,52 0,44 Taux de survie estival 0,63 (0,45 0,78) Taux de survie hivernal des oiseaux vivant dans la zone de baguage Les intervalles de confiance sont calculés à 95 %. 0,95 (0,87 0,98) 0,92 (0,79 0,97) Les taux de survie annuels des bécassines des marais hivernantes en France se situent donc autour de 50 %. Sans être extraordinaires, ce sont des valeurs assez courantes pour une espèce gibier. Le plus étonnant est la différence entre les zones côtière et intérieure avec une valeur plus basse pour cette dernière, ce qui reste difficile à expliquer. Aucune différence significative n a été mise en évidence entre les taux de survie des adultes et des jeunes de première année. Notez enfin que la survie estivale est clairement plus faible que la survie hivernale ce qui laisse à penser que les conditions rencontrées par les oiseaux au cours des migrations et pendant la période de reproduction ont un impact fort sur l état des populations. Photo : Maurice Benmergui - ONCFS La proportion de jeunes dans la population en novembre est considérée comme un indicateur réaliste du taux de recrutement (nombre de jeunes femelles qui atteignent l âge d un an / femelle nicheuse, un peu compliqué mais c est la définition en usage!) dans la population de bécassines des marais hivernant en France. Sur cette base, le taux d accroissement de la population a pu être modélisé en fonction des valeurs de l âge-ratio enregistrées en novembre. Un taux d accroissement < 1 correspond à une population en déclin, égal à 0 à une population stable et > 1 à une population en croissance. Les résultats montrent que des proportions de jeunes de première année < 0,54 en zone côtière et < 0,61 en zone intérieure conduisent à un déclin de chacune de ces deux sous-populations (figure page suivante). 6 Lettre d information n 10 - octobre 2013
7 Taux de croissa nce de la population Age-ratio (% de jeunes de première année en novembre) Taux d accroissement de la population de bécassines des marais en hivernage en France pour différentes valeurs d âge-ratio (proportion de jeunes de première année dans la population en novembre). Ligne pleine : zone côtière, ligne pointillée : zone intérieure. Plages gris clair : intervalle de confiance à 95 %, plage gris foncé : recouvrement des intervalles de confiance. Grâce aux analyses de plumages faites en étroite collaboration avec le CICB, une estimation de la proportion de jeunes de première année en novembre est disponible. Bonne nouvelle : si on se réfère au modèle proposé, les valeurs d'âge-ratio en novembre estimées depuis 2006/07 s'avèrent, pour le moment, toutes au-dessus du seuil de déclin de la population (figure ci-dessous). Faut-il pour autant en conclure que la population de bécassines des marais en hivernage en France est en croissance? Sans doute pas. La prudence nous amène à considérer qu à minima elle est stable. L ensemble des résultats demandent à être confirmés par de nouvelles données car les sites de baguage impliqués dans l analyse ne sont finalement pas très nombreux et pourraient ne pas refléter la situation des bécassines des marais sur l ensemble du territoire national. Le traitement de ces données amène aussi des recommandations pratiques pour optimiser l effort de baguage en vue d une estimation la plus précise possible des paramètres démographiques, ce qui est le but principal de l activité du Réseau. Ainsi, travailler sur des sites diversifiés en termes de pression de chasse (de la forte pression au territoire en réserve) et centrer le baguage sur l hivernage en délaissant quelque peu la période de migration est une option à privilégier à l avenir. Bien sûr les captures sont plus aléatoires, plus difficiles et donc moins nombreuses mais rappelons nous que le baguage n est qu un outil qui permet de répondre à une question scientifique. Et c est bien cette question qui doit primer, en l occurrence : quelle est la tendance démographique des populations de bécassines des marais qui hivernent en France? Pour ceux qui souhaitent se plonger dans les mathématiques et dans l anglais scientifique, contacter yves.ferrand@oncfs.gouv.fr pour recevoir le fichier pdf de cet article. Publication des actes du colloque de Saint- Pétersbourg Evolution de la proportion de jeunes de première année parmi les plumages de bécassines des marais récoltés en novembre depuis 2006/07 dans les zones côtière et intérieure et valeurs seuil correspondant au déclin de la population pour chacune des zones. Le 7 ème European Woodcock & Snipe Workshop s est tenu à Saint-Pétersbourg en mai Deux ans plus tard (ce qui est un délai raisonnable pour ce genre de document!), les Actes viennent d être publiés. En 92 pages on y retrouve l essentiel des communications, soit sous la forme d articles complets, soit limitées à un résumé. Localisation du Workshop oblige, un peu plus de la moitié des 27 articles présentés sont dus à nos collègues russes. Un article de portée générale traite de l utilisation des nouvelles technologies dans l étude des migrations de la bécasse des bois. Sept Lettre d information n 10 - octobre
8 articles sont consacrés entièrement aux bécassines. Pour ceux que la langue anglaise ne rebute pas, nous avons des exemplaires à votre disposition. (contacter été gratifiées de cet appendice technologique. Reste à savoir si des données exploitables ont été enregistrées par le Geolocator. Soyez vigilants, si vous avez connaissance d un autre oiseau équipé de la sorte, prévenez-nous le plus rapidement possible. Photo : Robert Delrieu La bécassine sourde et le GLS Vous connaissez tous la bécassine sourde, peutêtre un peu moins le GLS (ou Geolocator system). Il s agit d un petit capteur de lumière qui permet d enregistrer l heure de lever et de coucher du soleil, et donc la durée du jour. Comme ces variables sont liées à la longitude et à la latitude, un GLS embarqué sur un oiseau doit permettre de calculer des coordonnées géographiques et de le positionner chaque jour. Pas d affolement tout de même, la précision est au mieux. de 100 kilomètres! Utilisé avec succès sur la bécassine double par une équipe suédoise, nous avons testé cet appareil sur des bécasses des bois avec un succès plutôt mitigé. Toujours est-il que le 23 octobre 2013, Robert Delrieu, membre de notre réseau et chasseur dans le Cantal, a prélevé une bécassine sourde munie d un GLS à une patte et d une bague espagnole à l autre patte! Renseignements pris auprès de nos collègues ibériques, cet oiseau a été bagué et équipé dans le Sud-Est de l Espagne par une équipe en liaison avec l Université de Lund, en Suède, initiateur des recherches sur la bécassine double. Des bécassines des marais ont également 8 Lettre d information n 10 - octobre 2013
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