Talents multiples, conseils uniques. Galette des rois 20 janvier 2014
|
|
- Basile Laframboise
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Talents multiples, conseils uniques Galette des rois 20 janvier 2014
2 Talents multiples, conseils uniques Est-ce qu on va s en sortir?
3 Un économiste c est quelqu un qui va expliquer demain pourquoi ce qu il avait prédit hier ne s est pas produit aujourd hui! 3
4 Cheminement Actualité conjoncturelle USA Japon Emergents Zone Euro Et la France? Force Faiblesses Conclusion : Et moi à titre perso? 4
5 Les Etats-Unis, le retour? Une fin d année 2014 au canon Le taux de croissance a atteint en rythme annuel 4,1 % La consommation des ménages progresse de 0,5 % et le taux d épargne a baissé et se situe désormais à 4,2 % Le chômage est tombé à 7 % (création de plus de emplois par mois ) Reprise des cours de l immobilier Les interrogations La gestion de la sortie du Quantitative Easing (75 Mds $ par mois!!) 5 5
6 Le Japon, fuite en avant? Dette publique de 250 % du PIB Vieillissement de la population à grande vitesse -> faible demande Déflation depuis 20 ans par répression financière et par gains de productivité Les quatre flèches de l Abenomics du Premier Ministre Shinzo Abe Augmentation des liquidités avec un objectif d inflation à 2 % relance de l économie Réformes structurelles de libéralisation Assainissement budgétaire (hausse de 3 points de la TVA au 1er avril 2014) Ouverture du marché du travail et ouverture plus générale du Japon? Attention à la sortie 6 6
7 Les pays émergents à la recherche d un nouveau souffle Les vieux pays émergents sous tension : économique, sociale et politique (Situations plurielles) Tensions depuis l été 2013 Réduction des exportations Dépréciation de la monnaie / inflation Croissance des pays émergents et en développement en recul 2011 : 6,5 % 2012 : 4,9 % 2013 : 4,5 % 2014 : 5,1 % Chine : l ère dangereuse du passage à une société de consommation (50 % de la production industrielle, 8 % de la consommation mondiale) Le Brésil : en attendant les jeux, le retour à la réalité Croissance réduite à 0,9 % en 2012, au mieux 2,5 % en 2013 Déficits commerciaux, déficits publics et corruption 7 7
8 La Chine face à ses problèmes Fin du mode de développement extensif fondé sur l exportation, l investissement et l endettement interne Déclin de la population active à partir de
9 Fin de la grande mondialisation? Valeur du commerce international en milliards de dollars Le commerce international a progressé deux fois plus vite que le PIB ; depuis la crise, il progresse au mieux comme le PIB Facteurs conjoncturels et structurels 9 9
10 Et la Zone euro? Croissance potentielle faible Contrainte de désendettement toujours présente Faiblesse de l investissement Doutes sur la solidarité des membres de la zone euro Les incertitudes Nécessité de négocier un nouvel accord avec la Grèce Tensions politiques et sociales au sein des pays membres (France ) 10 10
11 Qu est ce qu on fait? Face aux crises et au ralentissent économique, tous les Etats ont fait la même chose. 11
12 Le dopage monétaire pour sortir de la crise Les banques centrales ont adopté une politique de faible taux et de création de monnaie La dette publique augmente, celle des ménages aussi 12
13 Mais des effets collatéraux La baisse des taux a généré de nombreuses bulles spéculatives (internet, immobilier ) 13 13
14 Et l Europe? Pour l Europe, toutes ces difficultés sont un peu la croisée des chemins. 14
15 L Europe se coupe t elle en deux? Les dettes du sud sont des créances du nord Attention à la fin du dopage monétaire Crise obligataire par remontée des taux Ralentissement économique car diminution des crédits et sélection accrue (encore..) 15
16 Et la France, la bombe à retardement de l Europe? 16 16
17 Faiblesses Déficit public structurel Fiscalité lourde avec des cotisations sociales plus élevées que dans le reste de l Europe Poids important des dépenses publiques : plus de 57 % du PIB contre 40 % aux Etats-Unis, 44 % au Japon ou 48 % au Royaume-Uni, rôle important des dépenses sociales : un tiers du PIB Taux de marge des entreprises historiquement bas Désindustrialisation au profit du tertiaire Niveau d éducation en retrait Epargne «confisquée» par l immobilier 17 17
18 Le déficit structurel global 18
19 Le déficit commercial La France a décroché à partir de 2002 en matière de commerce extérieur avec à la clef une réduction de près de moitié de ses parts de marché à l exportation Déficit 2011 : plus de 74 milliards d euros Déficit 2012 : 67 milliards d euros (déficit produits manufacturiers 33 milliards d euros) Parts de marché de la France dans le commerce international 19 19
20 La France n est pas assez internationalisée La France n est pas compétitive car elle subit la mondialisation La mondialisation est en France une mondialisation de consommation et non une mondialisation de production La France devrait importer plus et mieux L Allemagne importe au total 73 % de plus que la France L Allemagne importe 45 % de plus de biens intermédiaires que la France 20
21 L Allemagne et la mondialisation gagnante En euros Coût horaire de la MO France 35 Allemagne 32 Allemagne avec les importations 28 L élasticité prix des exportations en volume : variation des ventes par rapport à 1 % de hausse du prix Suède (-0,1) Allemagne (-0,4) Italie (-0,6) France -(0,8) Espagne (-0,8) Le niveau de gamme des exportations françaises 22 % du haut de gamme 61 % du milieu de gamme 17 % du bas de gamme 21
22 La mauvaise utilisation de l épargne La bulle immobilière mobilise l épargne des ménages 22
23 La France est un pays de services 23
24 Un temps de travail inférieur aux autres 24
25 Des taux de marge dans l industrie faibles 25
26 Atouts France Augmentation de la population Endettement maîtrisé des agents privés Internationalisation aboutie des grandes entreprises La productivité reste bonne tout comme l effort de recherche développement Qualités des infrastructures Poids du tertiaire amené à connaître à terme une croissance plus forte que l industrie Too big to fall 26 26
27 La productivité des salariés Source Eurostat 2011 Productivité de la MO par heure de travail en 2010 Indice 100 = UE à 27 Pays-Bas 135,8 Belgique 135,7 France 133,5 Allemagne 123,9 Irlande 125,7 Danemark 120,3 Autriche 114,8 Espagne 107,8 Grèce 77,8 Zone euro 113,7 27
28 Une productivité élevée de la MO Temps Moyenne des heures travaillées par personne Emploi total (nombre de personnes occupées) Heures travaillées pour l'emploi total(en milliers) PIB par heure travaillée en % des E-U (USA=100) Pays Belgique ,4 France ,8 Allemagne ,9 Grèce ,7 Italie ,8 Japon ,5 Pologne ,8 Espagne Suède ,3 Royaume-Uni ,7 Etats-Unis Zone Euro ,5 Données extraites le 17 déc. 2013, 17h35 UTC (GMT), de OECD.Stat 28
29 La France est-elle encore riche? Patrimoine de la France : milliards d euros (+0,4 % en 2012) (INSEE 2012) Les Français aiment la terre et le liquide milliards d euros de patrimoine pour les Français fin 2012 : 8 fois le revenu disponible brut 73 % en actifs non financiers (essentiellement immobilier) Actifs financiers nets : milliards d euros Actions et titres d OPCVM : 1011 milliards d euros dont la moitié en actions non cotées Les Français, de véritables fourmis Le taux d épargne des ménages français : 15,6 % en 2013 L épargne financière : autour de 6 % du RevDispBrut Taux d investissement logement : autour de 9 % 29
30 Une faiblesse «psychologique» La taille des entreprises française est trop petite : Peur de l ouverture du capital Financement inadapté Relatif échec des mesures ISF et PEA Coût global Cap risq/crédit Capitalisme familial Grandissez! 30
31 Qui finance les entreprises? Le financement des entreprises en France : 80 % s effectue via le crédit bancaire 20 % s effectue par les marchés Pays anglo-saxons : rapport inversé Les PME dépendent quasiexclusivement des banques 31
32 Le financement aux US Le financement obligataire supplée la contraction des crédits bancaires aux Etats-Unis (fonds de pension) 32
33 En France, des grandes théories économiques à la réalité les principales mesures de la Loi de Finances 33
34 La loi de finances Pour les particuliers : Une seule vraie réforme d ensemble importante : celle des plus values Revalorisation du barème de l IR Pour les entreprises : Les mesures concernent principalement les grandes entreprises 34
35 Rappel sur les précédentes mesures Frais professionnels : plafonnement frais forfaitaires et IK RSI : suppression abattement 10 % pour frais pour gérants majoritaires Dividendes : suppression prélèvement libératoire barème progressif, charges sociales gérants SARL 35
36 Barème de l impôt Les particuliers Revenus 2012 : 6 tranches avec une tranche marginale d imposition de 45 % Revenus 2013 : pas de nouveauté sinon la revalorisation des tranches Quotient familial : nouvel abaissement du plafond à revenu égal augmentation mécanique de l impôt pour les foyers ayant des enfants à charge Revenus 2012 : Plafonnement à par ½ part supplémentaire Revenus 2013 : Plafonnement à par ½ part supplémentaire 36
37 Impôt sur le revenu Crédit d impôt pour travaux dans l habitation principale : nouveaux aménagements à partir du 01/01/ N ouvrent plus droit au CI panneaux photovoltaïques équipements de récupération des eaux de pluie Propriétaires- bailleurs ne peuvent plus bénéficier du CI Pour bénéficier du CI il faut réaliser des dépenses dans le cadre d un bouquet de travaux : dépenses dans au moins 2 catégories dans les 6 catégories existantes (sauf si revenus modestes) Taux = 25 % si bouquet 15 % si pas bouquet (revenus modestes) 37
38 Impôt sur le revenu Niches fiscales (réductions et crédits d impôts) = avantage maximum par foyer fiscal encore réduit Revenus 2012 : Plafonnement à % du revenu net imposable par foyer fiscal Revenus 2013 : Plafonnement à par foyer fiscal quelle que soit sa composition 38
39 Plus values mobilières des particuliers Plus-values de cessions de valeurs mobilières : Depuis 2013 imposition obligatoire au barème progressif de l impôt sur le revenu sauf pour les dirigeants Rappel : 2012 : taxation au taux forfaitaire de 24 % + Prélèvements sociaux imposition globale 39,5% (sans abattement) Rappel : depuis 1 er janvier 2013 : Pour les particuliers simples investisseurs = Principe d'une imposition des plus-values au barème progressif de l'impôt sur le revenu après abattement pour durée de détention égal à : 20 % entre 2 et 4 ans de détention 30 % entre 4 et 6 ans de détention 40 % au-delà de 6 ans de détention Maintien de la taxation aux prélèvements sociaux à 15,5 % 39
40 Plus values mobilières des particuliers Plus-values de cessions de valeurs mobilières : Depuis 2013 imposition obligatoire au barème progressif de l impôt sur le revenu sauf pour les dirigeants Pour les particuliers simples investisseurs = Principe reste = imposition des plus-values au barème progressif de l'impôt sur le revenu après abattement pour durée de détention Nouveauté apportée par la loi de finances : Le taux de l abattement est modifié rétroactivement à compter du 01/01/2013. Il est majoré : 50% % entre 2 et 8 ans de détention 65% % au-delà de 8 ans de détention Maintien de la taxation aux prélèvements sociaux à 15,5 % 40
41 Plus values mobilières des particuliers dirigeants Attention désormais le dirigeant est quasiment traité de la même manière qu un simple investisseur mais régime spécial si : - Cessions de titres de PME acquis ou souscrit dans les 10 ans de sa création - Cession de titres dans un groupe familial - Cessions de titres de PME par les dirigeants prenant leur retraite 41
42 Plus values mobilières des particuliers dirigeants Rappel : en 2013 pour les «dirigeants», suite à la révolte des pigeons, maintien d'une imposition au taux forfaitaire de 19 % (sans abattement pour durée de détention) sous certaines conditions En 2014 pour les «dirigeants» = Régime de droit commun avec abattement 42
43 Plus-values mobilières Avant : en cas de départ à la retraite Exonération d impôt sur le revenu si détention pendant au moins 8 ans (abattement d 1/3 par année de détention au-delà de la 5 ème ) mais maintien des prélèvements sociaux (15.5 %) Conditions pour les associés prenant leur retraite Détenir au moins 25% du capital Exercer son activité professionnelle dans la société Dans les 24 mois précédant ou suivant la cession : Cesser toute fonction dans la société Faire valoir ses droits à la retraite 43
44 Plus values mobilières Maintenant en cas de départ à la retraite du dirigeant Nouveauté applicable à compter du 01/01/2014 = Imposition au barème progressif avec abattement «général» majoré + abattement fixe Plus-values bénéficient :» Abattement proportionnel majoré 50 % entre 1 et 4 ans de détention 65 % entre 4 et 8 ans de détention 85 % au-delà de 8 ans de détention» Sous certaines conditions d un abattement fixe de Articulation : Abattement fixe s applique sur le gain net avant abattement proportionnel majoré 44
45 Immobilier Principales mesures et «nouveautés» Cas d exonération de la plus-value : Cession de la résidence principale Cession d un immeuble détenu depuis + de 22 ans (abattement progressif par année détention à partir de la 5 ème année) Mesure qui s applique depuis le 1 er septembre 2013 Cession d un immeuble et réinvestissement dans la résidence principale Si pas d exonération : Taux d imposition de 19 % + plus prélèvements sociaux au taux de 15.5 % soit une imposition globale de 34.5 % Abattement pour année de détention différent pour le calcul de l Impôt sur la plus-value et des PS exonération au bout de 22 ans pour la plus-value exonération au bout de 30 ans pour prélèvements sociaux 45
46 Immobilier Principales mesures et «nouveautés» Mesure exceptionnelle pour les ventes entre le 1 er septembre 2013 et 31 aout 2014 : Abattement exceptionnel de 25% Quelle que soit la durée de détention de l immeuble Sur l assiette nette imposable de la plus-value (c est-à-dire après abattement «classique») Sur la base de l IR et des PS 46
47 Les entreprises Crédit d Impôt pour la Compétitivité et l Emploi (CICE) Base du crédit = 4% de la masse salariale qui n excédent pas 2,5 SMIC pour rémunérations 2013 Base du crédit = 6% de la masse salariale qui n excédent pas 2,5 SMIC pour rémunérations 2014 Crédit calculé à l année civile quelle que soit la date de clôture de l exercice comptable 47
48 Les entreprises Crédit d Impôt pour la Compétitivité et l Emploi (CICE) Imputable sur impôt (IR ou IS) ou remboursable immédiatement pour PME, JEI et entreprises nouvelles PME = vos entreprises 250 salariés CA < 50 millions d Total bilan < 43 millions d Le CICE : jusqu à quand? 48
49 Les entreprises TVA depuis 01/01/2014 : Taux réduit de 5.5 % n a pas été ramené à 5 % pour les produits et services de 1ère nécessité contrairement à ce qui avait été annoncé Taux de 7 % passe à 10 % (travaux d habitation (sauf exceptions) et restauration) Taux normal passe de 19.6 à 20 % 49
50 Les entreprises Cas particuliers : bâtiment Travaux d amélioration de la qualité énergétique des logements achevés depuis plus de 2 ans : taux de TVA passe de 7% à 5,5 % au 1 er janvier 2014 Travaux portant sur des locaux d habitation TVA reste à 7% pour les travaux qui ont fait l objet d un devis et d un acompte avant le 31/12/2013 (voir nos lettres d information de décembre 2013 et janvier 2014) 50
51 Les entreprises Nouveauté : dispositif d auto-liquidation de TVA dans le secteur du bâtiment en cas de sous-traitance à partir du 01/01/2014 Travaux de construction, y compris ceux de réparation, de nettoyage, d entretien, de transformation et de démolition en relation avec un bien immobilier Le sous-traitant n a plus de TVA ni à facturer, ni à déclarer, ni à payer. Mention «auto-liquidation sur facture» C est le preneur (entreprise principale) qui liquide la TVA 51
52 Les entreprises Rappel sur les mentions obligatoires sur les factures DUO a tiré plusieurs fois la sonnette d alarme sur l importance des mentions obligatoires sur les factures Constat : encore beaucoup trop de factures non conformes sanctions très lourdes : 150 par facture non conforme 52
53 Les entreprises Rappel sur les obligations en matière de télé-déclaration et télépaiement A compter du 01/10/2014 : toutes les déclarations de TVA devront être télétransmises 53
54 Contrôles fiscaux Les entreprises Nouvelles normes pour fichiers à fournir en cas de contrôle d une comptabilité informatisée Droits des contrôleurs renforcés : accès à plus de pièces, de fichiers notamment éléments gestion, éléments analytiques DUO devrait prochainement publier une lettre spéciale sur ce thème 54
55 Les entreprises L heure est à la rigueur en matière d apprentissage Crédit d impôt (CI) : pour 2014 réservé aux apprentis en première année de cycle de formation qui préparent un diplôme de niveau < ou = à BAC + 2 Dispositif transitoire pour 2013 (1/2 crédit) Prime : l indemnité de 1000 versée par les régions est supprimée à compter du 01/01/2014 pour les entreprises de plus de 10 salariés 55
56 Fiscalité des entreprises Du nouveau en matière de CFE / CVAE Cotisation minimum : - nouveau barème - plafonnement du montant à payer quand recettes < 10 K Taxe additionnelle à la CVAE pour frais de CCI : : Diminution du taux : 2013 : 6,304 % / 2014 : 5,59 % 56
57 Fiscalité des entreprises Délai supplémentaire pour déclarer et payer l IS pour les bilans 31/12/2013 Alignement de la date limite de dépôt du solde de l IS avec la date limite de dépôt de la déclaration de résultats : 15 mai 2014 au lieu du 15 avril
58 Fiscalité des entreprises Un petit coup de pouce à la TVTS Nouveau barème déterminé en fonction du type de carburant et de l année de mise en service du véhicule : taxe de 20 à 600 maximum : véhicule diesel mis en service avant 1997 : 600 minimum : véhicule essence mis en service depuis 2011 : 20 Barème en plus. L ancien continue à s appliquer Taxe à payer = ancienne taxe + nouvelle taxe 58
59 Nouveautés sociales 2014 LE TEMPS PARTIEL: loi de sécurisation juin 2013 A compter du 1 er janvier 2014: la durée minimale hebdomadaire est fixée à 24 H Les contrats en cours au 1 er janvier 2014 peuvent continuer jusqu à fin 2015 (voir convention ou accord de branche) DEROGATIONS: - Etudiants de de 26 ans poursuivant ses études - Entreprises de travail temporaire d insertion et associations intermédiaires - Demandes présentées par le salarié: personnelles, plusieurs activités, - Dérogation conventionnelle (ex:pharmacie) 59
60 Suite Temps Partiel - A/c du 1 er janvier 2014, chacune des heures complémentaires donne lieu à une majoration de salaire de 10% dans la limite de 1/10 ème de la durée du travail, au delà la majoration est de 25%. DERNIERE MINUTE: le ministère du travail a décidé de reporter l application au 30 juin
61 Mutuelle, Santé et Prévoyance Imposition des cotisations patronales sur les garanties complémentaires «frais de santé» : La participation de l employeur à un régime de prévoyance complémentaire collectif et obligatoire était jusqu à présent exclue, sous certaines limites, du revenu imposable du salarié. 61
62 Mutuelle, Santé et Prévoyance La loi de finances 2014 (n du 29 décembre 2013, parution au Journal Officiel le 30 décembre 2013) rend imposables les cotisations patronales sur les garanties complémentaires «frais de santé» dès le 1er euro. Elles sont ainsi ajoutées à la rémunération prise en compte pour le calcul de l impôt sur le revenu (IR). 62
63 Mutuelle, Santé et Prévoyance Ces changements s appliquent aux rémunérations avec effet rétroactif au 1 er janvier 2013, Ce qui oblige les employeurs à ajuster, le net imposable 2013 des salariés et à en tenir compte pour l établissement de la DADS. 63
64 Mutuelle, Santé et Prévoyance Cependant, l attestation fiscale établie par nos soins, et qui sera à remettre aux salariés, intégrera, s il y a lieu, au net imposable la part patronale de la complémentaire frais de santé. 64
65 Alors? On va s en sortir? Dans toute situation, il y a des avantages à exploiter 65
66 Des opportunités dans le changement Révolutions technologiques Connexion croissante des produits avec production d un nombre croissant de données Développement du cloud robots, nanotechnologie, génétique, nouveaux modes de production (imprimante 3 D) Nouveaux modes de consommation passage de la société d acquisition à la société d usage (location) : vélo, voiture, maison, logiciels, clouds Secteurs en fort développement Silver économie Santé Loisirs Télécommunications Services 66
67 On va s en sortir? Collectivement ça va être très difficile Individuellement aussi, mais vous pouvez y arriver : Imaginatifs (production ET commercial) Remise en cause Différenciation «Ceux qui sortent s en sortent» Gestionnaires Suivi : Prévision/Réalisation/Analyse Rigueur 67
68 Vive la galette! 68
FISCALITE DES PARTICULIERS ET DU PATRIMOINE
FISCALITE DES PARTICULIERS ET DU PATRIMOINE BAREME TRAITEMENTS ET SALAIRES PEA Fin du gel du barème : Revalorisation de 0,8% de l ensemble des tranches applicables aux revenus de 2013. Plafonnement du
Plus en détailLes principales dispositions de la loi de finances pour 2014 publiée au Journal officiel le 30 décembre 2013
Les principales dispositions de la loi de finances pour publiée au Journal officiel le 30 décembre 2013 IMPÔT SUR LE REVENU Barème CGI. art.197 Décote CGI. art. 197 Barème non revalorisé en 2012 et 2013
Plus en détailLes principales dispositions du projet de loi de finances pour 2014 adopté en première lecture à l Assemblée nationale du 19 novembre 2013
Les principales dispositions du projet de loi de finances pour adopté en première lecture à l Assemblée nationale du 19 novembre 2013 IMPÔT SUR LE REVENU Barème CGI. art.197 Décote CGI. art. 197 Barème
Plus en détailTurbulences fiscales : quelles décisions pour éviter les trous d air?
Turbulences fiscales : quelles décisions pour éviter les trous d air? Programme de la soirée Loi de finances rectificative 2013 Loi de finances 2014 et cocktail! Loi de finances 2014 et loi de finances
Plus en détailPACTE DE RESPONSABILITÉ
PACTE DE RESPONSABILITÉ ET DE SOLIDARITÉ Loi de finances rectificative pour 2014 Loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2014 10 septembre 2014 1 LES PRINCIPALES MESURES SOCIALES DU
Plus en détailRéunions patrimoniales Janvier Février 2013
Réunions patrimoniales Janvier Loi de Finances pour 2013 et 3 ème Loi de finances Rectificative pour 2012 Le présent document vous est transmis à titre personnel, il a été réalisé sur la base de l environnement
Plus en détailLA REFORME FISCALE 2014 APPLICATION PRATIQUE AUX CHEFS D ENTREPRISES. 11 février 2014 CGPME AIN
LA REFORME FISCALE 2014 APPLICATION PRATIQUE AUX CHEFS D ENTREPRISES 11 février 2014 CGPME AIN 1 La réforme fiscale 2014 Application pratique 8 aux chefs d entreprises Jacques - Vincent PIROUX Expert -
Plus en détailLes principales dispositions de la loi de finances pour 2013 du 20 décembre 2012
Les principales dispositions de la loi de finances pour 2013 du 20 décembre 2012 PLAFONNEMENT GLOBAL (CGI. art. 2000 A) Montant du plafonnement global des niches fiscales CGI. art. 2000 A Le montant du
Plus en détailRéunion du 22 janvier 2014
Actualité fiscale et sociale Comprendre les enjeux et anticiper les risques Réunion du 22 janvier 2014 A. 1, bis avenue Foch - BP 209-94102 Saint-Maur-des-Fossés Cedex T. +33 (0)1 55 12 07 00 F. +33 (0)1
Plus en détailMesures patrimoniales de la loi de finances 2014, de la loi de finances rectificatives pour 2013
Sources : Mesures patrimoniales de la loi de finances 2014, de la loi de finances rectificatives pour 2013 Loi de finances 2014 : http://www.assembleenationale.fr/14/ta/ta0267.asp Loi de finances rectificatives
Plus en détailLa Lettre COFIGE Patrimoine Octobre 2013 - N 12. Projet de loi de finances 2014 Projet de loi de financement de la Sécurité Sociale 2014
Madame, Monsieur, Le projet de loi de finances pour 2014 a été présenté en Conseil des ministres le 25 septembre. Le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2014 a été quant à lui rendu
Plus en détailNécessité d un «électrochoc» fiscal
Les Analyses du Centre Jean Gol Nécessité d un «électrochoc» fiscal Janvier 2014 Administrateur délégué : Richard Miller Directrice : Laurence Glautier Directeur scientifique : Corentin de Salle Les analyses
Plus en détailDIMINUTION DU DÉFICIT PUBLIC : LES REFORMES ENVISAGEES. 26 Août 2011.
DIMINUTION DU DÉFICIT PUBLIC : LES REFORMES ENVISAGEES 26 Août 2011. Introduction 2 Introduction Le Gouvernement a annoncé le 24 août 2011, suite au Conseil des ministres, des mesures afin de réduire le
Plus en détailREFORME FISCALE 2014 EN PRATIQUE!
REFORME FISCALE 2014 EN PRATIQUE! L'ACTUALITE 12 février 2014 CGPME Ain Le 11 février dernier La CGPME de l'ain a organisé une réunion d'information pratique à la Chambre des Professions libérales, pour
Plus en détail- Abrogation de la TVA «sociale» : La hausse de 1,6% de la TVA, qui devait entrer en vigueur le 1 er octobre 2012 devrait être abrogée.
- Abrogation de la TVA «sociale» : La hausse de 1,6% de la TVA, qui devait entrer en vigueur le 1 er octobre 2012 devrait être abrogée. - Contribution exceptionnelle sur la fortune : Une contribution exceptionnelle
Plus en détailSPECIAL LOI DE FINANCES 2015
SUPPLEMENT JANVIER 2015 SPECIAL LOI DE FINANCES 2015 DUO SOLUTIONS A SELECTIONNÉ POUR VOUS DANS LA LOI DE FINANCES POUR 2015 ET DANS LA LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE POUR 2014 LES MESURES QUI VOUS CONCERNENT.
Plus en détailLFR2013. 1 er janvier. conclus à compter du 1 er janvier 2014
MESURES TEXTES ENTREE EN VIGUEUR FISCALITE DES ENTREPRISES TVA au taux réduit et TVA sur les travaux : Dans les logements, maintien du taux 7 % au-là du 1 er janvier Le taux TVA 7 % est maintenu au-là
Plus en détailCommission des Affaires économiques. «De gauche et fier de l être!» Lutter contre les idées reçues les plus répandues
Commission des Affaires économiques «De gauche et fier de l être!» Lutter contre les idées reçues les plus répandues La protection des épargnants «Le Gouvernement ne protège pas les petits épargnants comme
Plus en détailRéforme fiscale : Le grand soir fiscal? ANGERS le 3 juillet 2012
Réforme fiscale : Le grand soir fiscal? ANGERS le 3 juillet 2012 REFORME FISCALE CALENDRIER Réforme présentée en Conseil des Ministres le 4 juillet 2012 (audit de la Cour des comptes réalisé) Date à laquelle
Plus en détail1. IMPOT SUR LE REVENU
FLASH FISCAL janvier 2014 LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE 2013 et LOI DE FINANCES 2014 La loi de finances rectificative pour 2013 et la loi de finances pour 2014 ont été publiées au Journal Officiel du 30
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailFiscalité de l épargne et financement des entreprises. Eléments de constat et propositions
Le 11 février 2013 Fiscalité de l épargne et financement des entreprises Eléments de constat et propositions Les lois de finances adoptées au cours de ces deux dernières années ont appréhendé les revenus
Plus en détailActualité Juridique & Fiscale
Octobre 2012 2012 Actualité Juridique & Fiscale Sommaire Sommaire Projet de loi de finances 2013 I - Mesures concernant directement l assurance-vie II - Autres mesures relatives à la fiscalité du patrimoine
Plus en détailLes Patrimoniales 2013
Les Patrimoniales 2013 La nouvelle fiscalité dans votre stratégie patrimoniale Nathalie ROUVIERE Crédit Agricole Banque Privée Bruno DUCASTEL Amundi Gestions Spécialisées page 1 La gestion de patrimoine
Plus en détail> Abréviations utilisées
Aide-mémoire fiscalité des particuliers 2015 > Abréviations utilisées BNC : bénéfices non commerciaux IR : impôt sur le revenu NP : nue-propriété PFL : prélèvement forfaitaire libératoire PVI : plus-value
Plus en détail30/01/2013. Actualité fiscale et sociale: Les conséquences des lois de finances
30/01/2013 Actualité fiscale et sociale: Les conséquences des lois de finances 1.Fiscalité des particuliers 2. Fiscalité des entreprises 3. Actualité sociale 1.Fiscalité des particuliers 1/ Réforme du
Plus en détailNewsletter - Mesures fiscales de la loi de Finances pour 2013
Newsletter - Mesures fiscales de la loi de Finances pour 2013 Octobre 2012 Sommaire 1. IMPOT SUR LE REVENU... 2 2. TAXATION DES REVENUS DU CAPITAL AU BAREME PROGRESSIF... 3 3. TAXATION DES PLUS-VALUES
Plus en détailPrésentation de la loi de finances 2013
Expertise Comptable Audit Social Juridique Notre vocation est de mesurer la valeur Notre ambition, vous aider à la créer Conseils Présentation de la loi de finances 2013 Actualités sociales et fiscales
Plus en détailla fiscalité des valeurs mobilières en 2015
la fiscalité des valeurs mobilières en 2015 loi de finances 2015 loi n 2014-1654 du 29 décembre 2014 web conference - 10-02-2015 1 les lois de finances 2013 et 2014 régime des plus values simplification
Plus en détailLETTRE D INFORMATION DU DEPARTEMENT FISCAL FEVRIER 2013
LETTRE D INFORMATION DU DEPARTEMENT FISCAL FEVRIER 2013 LES PRINCIPALES MESURES PATRIMONIALES DE LA LOI DE FINANCES POUR 2013 ET DE LA LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE POUR 2012 La présente lettre a pour
Plus en détailPrésentation de la loi de finances pour 2013 et rappels des dispositifs des lois de finances rectificatives pour 2012
Présentation de la loi de finances pour 2013 et rappels des dispositifs des lois de finances rectificatives pour 2012 Présentation par l Ordre des avocats de Narbonne 1 Partie 1 : La fiscalité des particuliers
Plus en détailRENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE
RENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE Conférence de presse 13 mars 2012 SOMMAIRE Introduction p. 3 CALCULS DE RENTABILITE IMMOBILIERE Cinq exemples avec des prélèvements sociaux portés à 15,5 %...p.
Plus en détailJeudi 20 septembre 2012
Jeudi 20 septembre 2012 Actualité fiscale / 3 ème trimestre 2012 1 ère partie : Actualité législative : 2 ème loi de finances rectificative pour 2012 Projet de budget 2013 Pierre-Jean Ferry Stéphanie Seneterre-Durand
Plus en détailRÉFORMES FISCALES. www.gestionprivee.banquepopulaire.fr. Document à caractère publicitaire
www.gestionprivee.banquepopulaire.fr BPCE Société Anonyme à directoire et conseil de surveillance au capital de 155 742 320 - Siège social : 50, avenue Pierre-Mendès-France - 75201 Paris Cedex 13 R.C.S
Plus en détailCompétitivité française : Quelques constats
Compétitivité française : Quelques constats Gilbert Cette Banque de France et Université d Aix-Marseille Gilbert Cette 1 Sommaire 1.1 Dégradation alarmante 1.2 Dégradation stoppée 1.3 En particulier vis-à-vis
Plus en détailFISCALITÉ 2014 LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE 2013 LOI DE FINANCES 2014
1 FISCALITÉ 2014 LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE 2013 LOI DE FINANCES 2014 2 Fiscalité 2014 SOMMAIRE I. Imposition des revenus II. Optimisation de l impôt sur le revenu III. Imposition des plus-values IV.
Plus en détailLACOURTE NOTE FISCALE OCTOBRE 2012
Le projet de Loi de finances pour 2013 présenté en Conseil des Ministres vendredi 28 septembre 2012 constitue la première pierre de l architecture de la politique fiscale du Gouvernement. Il vient bouleverser
Plus en détailLa situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux
La situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux 21 novembre 2014 Gilbert Cette 1. Définitions et sources Valeur ajoutée aux coûts des
Plus en détailLe plafonnement des impôts directs : mise en place du «bouclier fiscal»
Le plafonnement des impôts directs : mise en place du «bouclier fiscal» Ce qu il faut retenir Article 74 de la loi de finances pour 2006 Dans la situation actuelle, il peut arriver que le montant total
Plus en détailPrésenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget
Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget 1 Une reprise de l activité qu il faut conforter La reprise est en cours : +1,0%
Plus en détailOBSERVATOIRE DE L EPARGNE EUROPEENNE
Conférence de presse du 22 juin 2001 Fiscalité des produits d épargne: une comparaison internationale Il n existe pas de véritable point de vue européen en matière de fiscalité des produits d épargne.
Plus en détailA l'attention de Monsieur Jacques - Vincent PIROUX,
A l'attention de Monsieur Jacques - Vincent PIROUX, Pour faire suite à la réunion sur la réforme fiscale 2013 de ce 18 février dernier qui a rassemblé une 50aine de chefs d'entreprises inquiets, Monsieur
Plus en détail- Suppression de la Taxe Professionnelle en 2011 remplacée dans le panier communal par - Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) (taux communal) -
- Suppression de la Taxe Professionnelle en 2011 remplacée dans le panier communal par - Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) (taux communal) - Cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises (CVAE)
Plus en détailLoi de finances pour 2011. Loi de finances rectificative pour 2010. Loi de financement de la sécurité sociale pour 2011
Lois budgétaires pour 2011 Loi de finances pour 2011 Loi de finances rectificative pour 2010 Loi de financement de la sécurité sociale pour 2011 1 Qui sommes nous? Service d ingénierie patrimoniale au
Plus en détailFLASH SPECIAL. Décembre 2012
FLASH SPECIAL Décembre 2012 LOIS DE FINANCES DE FIN D ANNEE 2012 La fin d année 2012 aura été riche en actualité fiscale: Une loi de finances pour 2013 dont les vifs débats avaient commencé dès l été 2012
Plus en détailSITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE
SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation
Plus en détail11 juin 2014. Dossier de presse à l occasion de la présentation du PLFR 2014
11 juin 2014 Dossier de presse à l occasion de la présentation du PLFR 2014 - 2 - Sommaire Le Pacte de responsabilité et de solidarité pour la croissance et l emploi... 5 Les dates clés du pacte de responsabilité
Plus en détailNOTE D INFORMATION. L Assemblée Nationale a adopté en décembre 2013 la loi de finances pour 2014 et la loi de finances rectificative pour 2013.
36 rue de Monceau 75008 Paris 62 rue de la République 69002 Lyon www.seine-saone.fr NOTE D INFORMATION Date : 20 janvier 2014 Objet : Loi de finances pour 2014 Loi de finances rectificative pour 2013 Madame,
Plus en détailComité Directeur Confédéral Intervention économique. 16 mars 2011
Comité Directeur Confédéral Intervention économique 16 mars 2011 En 2010, le déficit budgétaire s est élevé à 148,8 milliards d euros Déficit public en 2010 s est élevé à 7,7 % du PIB Dette publique en
Plus en détailLES FICHES ARGU DU GROUPE SOCIALISTE, RÉPUBLICAIN ET CITOYEN LE COLLECTIF BUDGÉTAIRE 12 JUILLET 2012
LES FICHES ARGU DU GROUPE SOCIALISTE, RÉPUBLICAIN ET CITOYEN LE COLLECTIF BUDGÉTAIRE 12 JUILLET 2012 FICHE N 1 UN COLLECTIF BUDGÉTAIRE POUR REDRESSER NOS FINANCES PUBLIQUES L e projet de loi de Finances
Plus en détailPREAMBULE. Les 3 statuts possibles de l entrepreneur :
1 PREAMBULE Les 3 statuts possibles de l entrepreneur : 1. Le «quasi salarié» : Le dirigeant de SA et de SAS ou le gérant minoritaire de SARL. Sa rémunération relève des traitements et salaires. Il peut
Plus en détailDES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET
Cette fiche élaborée par la commission économie du Parti de Gauche révèle les 4 "erreurs" fondamentales issues de l'argumentaire que Monsieur Lenglet a opposé à Jean-Luc Mélenchon lors de l'émission des
Plus en détailItalie IMPOSITION DES RESIDENTS ITALIENS
Italie IMPOSITION DES RESIDENTS ITALIENS Déductions et crédits d impôt Réductions d impôts Imposition des plus-values Imposition des revenus financiers Régimes spéciaux concernant les expatriés L impôt
Plus en détailCOMPRENDRE LA BOURSE
COMPRENDRE LA BOURSE La fiscalité simplifiée des valeurs mobilières Ce document pédagogique n est pas un document de conseils pour investir en bourse. Les informations données dans ce document sont à titre
Plus en détailPARTICULIERS FISCALITÉ
PARTICULIERS FISCALITÉ 2014 SOMMAIRE CE QUI CHANGE EN 2014 p.4 1 - IMPÔT SUR LE REVENU p.6 2 - IMPÔT DE SOLIDARITÉ SUR LA FORTUNE p.7 3 - REVENUS DE CAPITAUX MOBILIERS p.7 4 - PLUS-VALUES DE CESSION DE
Plus en détailSumatra Patrimoine vous présente les dernières mesures fiscales 2011
Sumatra Patrimoine vous présente les dernières mesures fiscales 2011 - Mesures concernant le patrimoine - Mesures concernant l assurance vie - Zoom sur quelques dispositions du Projet de Loi de Finances
Plus en détailUniversitéClients CA 23 février 2012. Quels placements privilégier en 2012?
UniversitéClients CA 23 février 2012 Quels placements privilégier en 2012? 2012, quels placements privilégier? Quel contexte économique et financier? Les principales nouveautés fiscales sur les revenus
Plus en détailPlafonnement fiscal des investissements et bouclier fiscal. Du constat au conseil
Plafonnement fiscal des investissements et bouclier fiscal Du constat au conseil Intervenants Félix CICERON, Directeur de l ingénierie patrimoniale, Expert& Finance José SOTO, Directeur des partenariats
Plus en détailLoi de finances rectificative pour 2010 et Loi de finances pour 2011. Loi de finances pour 2011
Loi de finances rectificative pour 2010 et Loi de finances pour 2011 Loi de finances pour 2011 La loi de finances pour 2011 ne bouleverse pas notre fiscalité. Les principales dispositions sont relatives
Plus en détailDISPOSITIONS FISCALES DE LA LOI DE FINANCES 2015
DISPOSITIONS FISCALES DE LA LOI DE FINANCES 2015 Abdellatif ZAGHNOUN Directeur Général des Impôts OEC, 22 janvier 2015 Contexte d élaboration de la LF 2015 Recommandations des Assises Nationales sur la
Plus en détailAvertissement : ceci est un corrigé indicatif qui n engage que son auteur
DCG UE4 DROIT FISCAL - session 2014 Proposition de CORRIGÉ 2014 dcg-lyon.fr Avertissement : ceci est un corrigé indicatif qui n engage que son auteur DOSSIER 1 TAXE SUR LA VALEUR AJOUTÉE - 5 points 1.
Plus en détailLA LETTRE DES ADHÉRENTS
LA LETTRE DES ADHÉRENTS NUMÉRO SPÉCIAL LOI DE FINANCES - 15 JANVIER 2014 N 2/2014 LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE POUR 2013 INTRODUCTION La loi de finances rectificative pour 2013, définitivement adoptée
Plus en détailTerritoires et Finances
Territoires et Finances Étude sur les finances des communes et des intercommunalités Bilan 2 14 et projections 215-217 214 : une forte baisse de l épargne brute et des investissements qui cristallisent
Plus en détailENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010
Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques
Plus en détailACTUALITE DES EXPATRIES. Fiscalité : comment déclarer vos revenus de 2010? Aspects russes et français. CCIFR 3 mars 2011 Swisshôtel Krasnye Holmy
ACTUALITE DES EXPATRIES Fiscalité : comment déclarer vos revenus de 2010? Aspects russes et français CCIFR 3 mars 2011 Swisshôtel Krasnye Holmy André LOUP RESIDENCE FISCALE RESIDENCE FISCALE FRANCE Les
Plus en détailPanorama de l actualité fiscale. Séminaire APL 30 Octobre 2012
Panorama de l actualité fiscale Séminaire APL 30 Octobre 2012 Plan I. Introduction Chronologie des évènements II. Projet de loi de finance 2013 Impôt sur le Revenu Fiscalité des revenus du capital Fiscalité
Plus en détailQuestions générales sur le Pacte
QUESTIONS-RÉPONSES Questions/réponses sur le pacte de responsabilité et de solidarité Questions générales sur le Pacte QUAND CES MESURES SERONT-ELLES TRADUITES DANS LA LOI? Certaines mesures entrent en
Plus en détailREVOIR LE FINANCEMENT DE L ASSURANCE MALADIE EN BASCULANT DES COTISATIONS SOCIALES VERS D AUTRES SOURCES DE FINANCEMENT
REVOIR LE FINANCEMENT DE L ASSURANCE MALADIE EN BASCULANT DES COTISATIONS SOCIALES VERS D AUTRES SOURCES DE FINANCEMENT Revoir le mode de financement de notre système d Assurance-maladie, institution à
Plus en détailQUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?
Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique
Plus en détailSUR LES RETRAITES PAR REPARTITION DU SECTEUR PRIVE ET LES FONDS DE PENSION
DOSSIER RETRAITES: MAI 2003 SUR LES RETRAITES PAR REPARTITION DU SECTEUR PRIVE ET LES FONDS DE PENSION 1. LE SYSTEME DE RETRAITES PAR REPARTITION 1.1. INTRODUCTION Les régimes de retraites des travailleurs
Plus en détailM. BONUS Louis. mercredi 15 octobre 2014. Le 10/11/2014
M. BONUS Louis mercredi 15 octobre 2014 1 Sommaire Sommaire... 2 La méthode de raisonnement... 3 Le graphique... 4 Le tableau de synthèse... 4 Les données saisies... 19 Les tableaux intermédiaires de calcul...
Plus en détailFINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC
FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC Rabat, 19 octobre 21 M. Ahmed HAJOUB Adjoint au Directeur du Trésor et des Finances Extérieures chargé du pôle macroéconomie I- Consolidation budgétaire: expérience
Plus en détailLes politiques de réduction du coût salarial en Belgique
Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération
Plus en détailLes nouvelles mesures fiscales et sociales. de 2015. Les mesures 2015 à connaître pour vous-même et votre entreprise.
Les nouvelles mesures fiscales et sociales de 2015 Les mesures 2015 à connaître pour vous-même et votre entreprise. Les nouvelles mesures fiscales et sociales de 2015 1. Nouvelles mesures fiscales Les
Plus en détailDépenses nationales totales 3.0 3.4 2.3
Chiffres clés pour l'économie belge Pourcentages de variation en volume - sauf indications contraires Dépenses de consommation finale des particuliers 2.0 2.6 1.4 Dépenses de consommation finale des pouvoirs
Plus en détailExtrait du Bulletin Officiel des Finances Publiques-Impôts DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES. Identifiant juridique : BOI-ANNX-000435-20150410
Extrait du Bulletin Officiel des Finances Publiques-Impôts DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES Identifiant juridique : BOI-ANNX-000435-20150410 DGFIP autres annexes ANNEXE - RSA - RPPM - Liste de
Plus en détailProjet de Loi de Finances 2014. Les principales réformes
Projet de Loi de Finances 2014 Les principales réformes La fiscalité sur les plus-values immobilières C est inédit dans l histoire, la réforme sur les plus-values immobilières a été inscrite au BOFIP (donc
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailPacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du 17/06/2014 Angoulême
Pacte de responsabilité et de solidarité Réunion du 17/06/2014 Angoulême 1 Le Pacte : quel contexte? Contexte national: la reprise économique se dessine, mais le chômage frappe encore trop fort notre pays.
Plus en détailEn collaboration avec GROUPE ACTICONSEIL. Epargne salariale, assurances, retraite collective Quelles opportunités pour votre activité?
HSBC Intervention du 18 janvier 2011 En collaboration avec GROUPE ACTICONSEIL Epargne salariale, assurances, retraite collective Quelles opportunités pour votre activité? Les enjeux sociaux et patrimoniaux
Plus en détailLA LETTRE DE L EPARGNE ET DE LA RETRAITE DU CERCLE DE L EPARGNE. N 3 juillet 2014
LA LETTRE DE L EPARGNE ET DE LA RETRAITE DU CERCLE DE L EPARGNE N 3 juillet 2014 L Edito de Philippe Crevel L épargnant des temps nouveaux frappe à la porte En 2017, les «digital natives» auront pris le
Plus en détail2. FRANCE - Plus-values Cession de fonds de commerce et clientèles libérales
Lettre mensuelle Mai 2005 SOCIETES 1. UE FRANCE - Intégration fiscale Déduction des pertes subies par des filiales situées dans d autres Etats Membre de l UE 2. FRANCE - Plus-values Cession de fonds de
Plus en détailGestion & Actualité. La note d information du CGL SOMMAIRE. Plus-values immobilières 2012 Une déclaration unique Un timbre de 35 euros
EXTRAITS DU N 47 NOVEMBRE 2011 Gestion & Actualité La note d information du CGL SOMMAIRE Page 2 Page 3 Page 4 A apprécier Plus-values immobilières 2012 Une déclaration unique Un timbre de 35 euros Vers
Plus en détailLOI DE FINANCES POUR 2014 LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE POUR 2013 LOI SUR LA FRAUDE FISCALE L essentiel
Le 14 mars 2014 LOI DE FINANCES POUR 2014 LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE POUR 2013 LOI SUR LA FRAUDE FISCALE L essentiel FISCALITE DES ENTREPRISES... 3 Hausse du taux effectif de l IS des grandes entreprises
Plus en détailL impôt sur le revenu des personnes physiques Calcul Plafonnement des Niches et Actions. Réunion CEGECOBA ASSAPROL 21 mai 2015.
L impôt sur le revenu des personnes physiques Calcul Plafonnement des Niches et Actions Réunion CEGECOBA ASSAPROL 21 mai 2015 intervenante: Karine SALVAT CONSEILLER en INVESTISSEMENT FINANCIER 1 Objectif
Plus en détailRéformes socio-économiques
Réformes socio-économiques Le 27 novembre 2011, suite à la dégradation de la note belge par l agence Standard & Poor s, les six partis ont conclu, dans l urgence, un accord sur le budget et sur la réforme
Plus en détailBASE DE DONNEES - MONDE
BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détailNote d actualité : Analyse de la loi de finances 2013
Note d actualité : Analyse de la loi de finances 2013 Les premières mesures gouvernementales en matière d imposition des revenus (IR) et d impôt de solidarité sur la fortune (ISF) sont désormais connues.
Plus en détailBIG Expert. Simulateur. Epargne professionnelle
BIG Expert Simulateur Epargne professionnelle Epargne salariale et épargne retraite Ł Un contexte favorable un système de retraite en difficulté une fiscalité des revenus dissuasive une perte de vitesse
Plus en détail1) L impôt sur le revenu des personnes physiques
DIRECTION DE LA LEGISLATION FISCALE Sous-Direction E - Bureau E 2 139, RUE DE BERCY - TELEDOC 568 75572 PARIS CEDEX 12 DLF/E/DO/2006000762 Fiscalités étrangères FE n 11/06 Anne Galmace 01 53 18 92 24 Fax
Plus en détailPlan de soutien à l élevage français
Plan de soutien à l élevage français MEMENTO Entreprises fragilisées dans le secteur agricole : quels outils pour quelles problématiques? Ce mémento récapitule de façon synthétique les outils existants
Plus en détailFiscalité de l épargne. Eric Vacher Conseiller pour les affaires fiscales
Fiscalité de l épargne Eric Vacher Conseiller pour les affaires fiscales Mercredi 9 Janvier 2013 Un engagement électoral Proposition 14 de François HOLLANDE «La contribution de chacun sera rendue plus
Plus en détailActualité Juridique & Fiscale
Septembre 2011 2011 Actualité Juridique & Fiscale Sommaire Sommaire I Petits-enfants venant à une succession par suite de la renonciation de leur auteur, enfant unique : impossibilité d appliquer l abattement
Plus en détailLe cadre fiscal et social de l épargne salariale pour l épargnant
Janvier 2015 Le cadre fiscal et social de l épargne salariale pour l épargnant France métropolitaine et D.O.M. (hors Mayotte) BANQUE DE GRANDE CLIENTÈLE / ÉPARGNE ET ASSURANCE / SERVICES FINANCIERS SPÉCIALISÉS
Plus en détailAVANTAGES EN NATURE 4 AVANTAGE EN NATURE REPAS 4 TITRES - RESTAURANT 4 AVANTAGE EN NATURE LOGEMENT (EVALUE FORFAITAIREMENT) 4
LETTRE D ACTUALITE SOCIALE GROUP S MANAGEMENT SERVICES DONNEES ET CHIFFRES CLES POUR 2015 SOCIAL : GENERALITES ET ELEMENTS DE COTISATIONS 2 SMIC ET MINIMUM GARANTI 2 PLAFOND DE LA SECURITE SOCIALE 2 FORFAIT
Plus en détailLoi de finances pour 2014 et loi de finances rectificative pour 2013 : Quels sont les principaux changements?
Le 27 janvier 2014 Loi de finances pour 2014 et loi de finances rectificative pour 2013 : Quels sont les principaux changements? I. POUR LES ENTREPRISES 1.1 Nouvelle taxe exceptionnelle sur les hautes
Plus en détailL Info sociale réservée aux dirigeants d entreprise présentée par RV Assurance & Courtage
L Info sociale réservée aux dirigeants d entreprise présentée par RV Assurance & Courtage N 2 Edito Cher partenaire, La fin du premier semestre 2013 s achève dans une ambiance économique et sociale morose
Plus en détailLA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE
LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition
Plus en détail