Elevage Infos. Bilan de la campagne d analyse d herbe Résultats 2013 SOMMAIRE
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- Lucie Gobeil
- il y a 8 ans
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1 Elevage Infos SOMMAIRE Bilan campagne d analyse d herbe p 1 AgriNIR p 2 Cap ECO p 3 Ovins p 5 Bovins Lait p 6 GEHODES p 8 Contact EDE Chambre d Agriculture Elevage - Tél Bilan de la campagne d analyse d herbe 2013 Depuis 8 ans, la Chambre d Agriculture et les groupes de développement vous proposent d appliquer l analyse d herbe sur vos exploitations pour vous aider à mieux piloter votre fertilisation dans un souci d optimisation des charges d engrais P et K, et d une meilleure valorisation des engrais de ferme. Mis au point par l INRA, cette méthode mesure l état de nutrition de la prairie en phosphore (IP) et en potasse (IK). Pour une bonne nutrition, les indices doivent se situer entre 80 et 100. Si les indices sont supérieurs à 100, on peut diminuer la fertilisation. A l inverse si les indices sont inférieurs à 80, vous pouvez augmenter les doses apportées analyses ont été réalisées depuis 2005 dont 125 en Résultats 2013 IP : 125 de moyenne IK : 87 de moyenne Il y a de nombreux cas où l analyse d herbe permet de faire une économie d engrais, sans prendre le risque de compromettre le rendement. Le conseil «Diminuer l apport» sur les parcelles ayant un indice supérieur à 100 a été observé dans : - 83% des parcelles pour le phosphore (IP), c est-à-dire environ 4 parcelles sur % des parcelles pour la potasse (IK), c est-à-dire environ 1 parcelle sur 4. Le conseil «Augmenter les doses apportées» sur les parcelles ayant un indice inférieur à 80 a été observé dans : Jean Baptiste QUILLET : % des parcelles pour le phosphore (IP), c est-à-dire 1 parcelle sur % des parcelles pour la potasse (IK), c est-à-dire environ 1 parcelle sur 3. Le maintien des pratiques de fertilisation a été conseillé sur près d 1 parcelle sur 10 pour la fertilisation phosphorée (12%) et sur près de 2 parcelles sur 5 pour la fertilisation potassique (41%). Tout comme les analyses de terre, les indices P-K sont des repères importants pour les agriculteurs afin d optimiser leurs itinéraires techniques. Si vous souhaitez réaliser des analyses l an prochain, nous organiserons une nouvelle campagne de prélèvement. N 40 Octobre 2013
2 Page 2 AgriNIR : Optimisez vos rations hivernales! Pour être précis dans le calcul de ses rations, il est nécessaire de connaître la valeur alimentaire de ses fourrages. La qualité des fourrages est très différente d une année à l autre suivant le stade de récolte. Pour toutes les espèces fourragères, la valeur alimentaire se dégrade plus on se rapproche de la floraison. Il faut cependant faire un compromis entre qualité et quantité. Période optimale pour la récolte. Valeur énergétique des graminées au 1 er cycle Source : Eilyps AgriNIR : Un outil d analyses de fourrages Cet outil permet d analyser la valeur alimentaire des ensilages et enrubannages d herbe, du foin et de l ensilage de maïs. Attention pour les légumineuses pures, seuls les foins de luzerne peuvent être analysés aujourd hui. La famille ensilage et enrubannage de luzerne sera mise en place pendant l automne. Il est impossible d analyser les autres légumineuses pures. Les résultats sont obtenus en quelques minutes pour un coût raisonnable. Vous pourrez ensuite optimiser votre ration et adapter les quantités de concentrés à distribuer. Des analyses régulières pour une ration précise et économe AgriNIR permet d avoir des résultats d analyses rapidement. On peut donc très facilement multiplier le nombre d analyses pour avoir une ration adaptée à ce que les animaux consomment à un moment précis de l année. Un échantillon ne peut en aucun cas représenter la récolte de l année. Le schéma ci-dessous illustre l intérêt de réaliser plusieurs analyses sur l année. En effet, à l intérieur d un silo, la récolte de plusieurs parcelles sont présentes. La qualité est-elle homogène à l intérieur d une même parcelle et entre différentes parcelles? Chaque semaine des permanences seront dédiées aux analyses de fourrages Les résultats vous seront communiqués dans les 10 jours Dès l automne, des rendez vous seront organisés près de chez vous pour analyser en direct vos fourrages Si vous êtes intéressés, contactez Jean Baptiste QUILLET ou retournez directement le coupon ci joint Jean Baptiste QUILLET :
3 Page 3 Cap ECO : analyser ses coûts de production pour améliorer ses marges Cap ECO est un logiciel informatique qui permet d analyser la productivité et les coûts opérationnels dans les systèmes de production bovins viande. Présentation du logiciel Cap ECO a pour objectif d évaluer la production de viande des ateliers ainsi que les charges d alimentation et d élevage. C est un calcul automatisé mettant en relation coûts et productivité en vue d un appui technico-économiques auprès des éleveurs. Cet outil a été élaboré par l Institut de l élevage (IDELE) suite à la demande de plusieurs organismes tels que Coop de France, les Chambres d agriculture, France Conseil Elevage, CER France et IDELE. Le logiciel Cap ECO bovins viande a 3 missions principales : (Source: IDELE) - calculer et chiffrer la production de viande de l exploitation en mobilisant les données concernant l IPG (Identification Pérenne Généralisée qui enregistre les mouvements des bovins sur l exploitation) ainsi que les données commerciales (poids et prix de vente des animaux) - chiffrer les coûts opérationnels (concentrés et fourrages achetés, coûts des intrants pour la production des fourrages et céréales intra-consommées, frais d élevage). Source : IDELE Exemple 1 : Positionnement de l élevage enquêté sur le coût d élevage en alimentation et frais d élevage (FDE) en /100 kg vif par rapport à la moyenne des fermes du même système de production. - présenter les marges de progrès par comparaison à un référentiel
4 Page 4 Source : IDELE Exemple 2 : Positionnement de l élevage enquêté sur le coût alimentaire en /kg vif par rapport à la moyenne des fermes du même système de production. Il est possible de rajouter un commentaire en fin de diagnostic permettant de conseiller pour améliorer les résultats. Tous les producteurs de viande bovine sont concernés par cet outil de diagnostic que ce soit par type de système de production (naisseurs, naisseurs-engraisseurs et engraisseurs) ou par type d exploitation, spécialisé ou mixte (viande, viande-céréales, laitviande, ). Les coûts sont rapportés au 100 kg de viande vive produite sur l atelier. Ils prennent en compte les coûts liés à l alimentation des bovins viande et les frais d élevage réellement dépensés au niveau de l exploitation. Les coûts alimentaires intègrent les charges d approvisionnement en aliments du commerce et les charges de production des fourrages et concentrés produits sur l exploitation. L enquête annuelle sur les coûts de production sera réalisée à partir de ce logiciel et il sera également utilisé pour les formations coûts de production ainsi que pour les éleveurs qui feront un appui technique. Florian LEPINASSE Claude VINCENT :
5 Page 5 Utilisation de l enrubannage pour les brebis Technique souple de la récolte à la distribution, l enrubannage a trouvé sa place dans bon nombre de systèmes fourragers. Son utilisation reste soumise à des règles strictes afin de limiter les problèmes sanitaires. En permettant de faucher plus précocement sans prendre de risque de voir l herbe se mouiller, cette technique offre la possibilité de récolter des fourrages plus tôt avec des valeurs alimentaires meilleures par rapport à un foin plus tardif. De plus ce type de récolte permet des repousses plus conséquentes sur la campagne de production d herbe, en effet la production d herbe de printemps représente 75 % de la production annuelle en fourrages. De plus pour les légumineuses, ce mode de récolte est quasi obligatoire pour les 1ères coupes, permettant de récolter rapidement des parcelles qui ont parfois tendances à être salies (adventices) au printemps, et pour les suivantes de garder un maximum de feuilles à la récolte comme à la distribution, donc d améliorer la valeur azotée du fourrage. Avec cette technique, de la récolte, jusqu à la distribution, des précautions doivent être prise sous peine de générer des problèmes sanitaires, surtout de type listériose. Afin d éviter cela : - mettre en œuvre des qualités de récolte et de conservation irréprochables : absence de taupinières, taux de matière sèche supérieur à 40 %, absence de trous dans les films plastiques lors de la conservation - rationner le fourrage à 1 Kg de matière sèche par brebis et par jour avec foin et paille à disposition à volonté en fin de gestation. - distribuer un minéral enrichi en vitamine B1 - ne pas utiliser d enrubannage présentant des taux de matière sèche inférieur à 40% en particulier pour les fins de gestation et le début de lactation. Garder ce genre de fourrages pour des brebis vides en reprise d état. Jean François RENAUD : limiter si possible l accès aux jeunes agneaux car l ingestion de brins d enrubannage par des agneaux de moins de 2 mois, peut entrainer des troubles digestifs, ayants des effets négatifs sur leur croissance. L enrubannage peut être distribué de deux façons : Rationner à 1 Kg par brebis, ce mode de distribution est très adapté pour des brebis en fin de gestation (limitant les prolapsus), en lactation permet de limiter les risques sanitaires en l associant avec du foin ou de la paille. Cette distribution doit se faire mécaniquement car la distribution manuelle est souvent difficile. A volonté dans un râtelier, pour des brebis en lactation, en vérifiant la consommation par les animaux. En effet suivant la densité des bottes et le type de râtelier, le fourrages est plus ou moins facilement préhensible par la brebis. La norme est pour une botte de 120X120 de 40 Brebis minimum pour cette dimension il y a environ 220 Kg de matière sèche quelque soit son humidité, et en dessous de 1,5 Kg de matière sèche, le niveau d ingestion est insuffisant. Il faut compter 2 Kg de matière sèche en moyenne et par jour.
6 Page 6 Additifs alimentaires De nombreux additifs sont proposés dans le commerce. Sur le papier, ils sont tous parfaits mais les résultats sont variables en fonction du type d additif et des conditions dans lesquelles ils sont utilisés. Les additifs sont censés prévenir les troubles métaboliques, rétablir les équilibres nutritionnels ou améliorer les performances techniques. La prévention par l amélioration de la qualité physique ou chimique des rations doit toujours être privilégiée et le gain économique doit systématiquement être évalué. Dans certaines situations particulières, certains additifs se justifient mais c est loin d être une généralité. Ils paraissent attractifs d autant que les essais mis en avant laissent souvent apparaitre des effets intéressants. Il convient cependant de regarder dans quelles conditions ces essais ont été réalisés. Elles sont quelquefois très éloignées des conditions dans lesquelles vos animaux se trouvent habituellement (par exemple, Il est évident que l apport d un élément dont on aura préalablement carencé les animaux dans l essai aura un effet marqué). Avant d acheter un produit, il faut donc s assurer qu il répond à un besoin et qu il est rentable (toute modification des performances ne se traduit pas obligatoirement par un retour sur investissement). On peut classer la majorité de ces produits en 4 catégories : Les substances tampon : Ce sont des substances à vocation digestive utilisées pour lutter en particulier contre l acidose ruminale. Elles sont constituées en majorité de bicarbonate de sodium qui neutralise les acides issus de la fermentation des aliments dans la panse. Le bicarbonate est normalement apporté en quantité suffisante par la salive (2 à 3 kg par jour). Il se peut cependant que le ph de la panse descende en dessous de la normale. Ce phénomène peut avoir trois origines : Un défaut physique de la ration avec un indice de fibrosité trop faible qu il convient d étudier pour le prévenir (hachage des ensilages, apports d aliments de structure : foin ou paille, % de concentrés dans la ration, matériel de distribution et temps de mélange ) Ce défaut de fibrosité entrainera une moindre rumination et par conséquent une diminution de la production de salive. Un défaut chimique qui dépend de plusieurs facteurs combinés de la ration : le taux de cellulose, le taux d amidon dont la fraction amidon ruminal et la dégradabilité du maïs ensilage. (Classiquement, une quantité de concentré importante associée à un maïs riche en grains, haché finement conduit souvent à l acidose) L absence de transition alimentaire est la troisième cause d acidose. Face à des changements alimentaires «brutaux»,sans transitions ou si l on est obligé de distribuer de l ensilage juste après récolte en cours de fermentations. Une fois la ou les causes identifiées, s il n est pas possible de prévenir les troubles métaboliques, l apport de bicarbonate de soude dans les rations acidogènes à raison de 250 à 300 g/j/vl doit être envisagé. En revanche l apport de 50 grammes par jour et par vache est totalement inutile. Une complémentation injustifiée de 250 g de bicarbonate sur l année représente un coût de par an pour 60 vaches. Les hépato-protecteurs : Ils sont constitués d une combinaison de plusieurs éléments, essentiellement la méthionine, la bétaïne, la choline et le sorbitol. Le principe est de limiter l engorgement du foie en favorisant l évacuation des graisses mobilisées en début de lactation. Des résultats expérimentaux montrent qu un apport de méthionine ou de choline protégée contre la dégradation dans le rumen dans les semaines autour du vêlage peut améliorer l ingestion, la production laitière ou l état du foie. L effet n est pas systématique et dépend du niveau de production, de l état d engraissement des vaches au tarissement et de la ration.
7 Page 7 Les éléments non protégés sont détruits à 90% dans la panse, ce qui rend l objectif initial inaccessible. Des précautions simples comme les limitations de l état d engraissement autour du vêlage et des pertes d état du début de lactation en respectant l équilibre énergie/azote de la ration permettent une activité normale du foie(une cure pour un troupeau de 60 vaches représente 250 à 300 de coût injustifié). Le mono propylène glycol : C est un précurseur du glucose qui évite l accumulation de corps cétoniques dans le sang. Attention aux étiquettes, Il est conseillé de préférer les apports de propylène glycol par rapport au glycérol. Il permet de combattre l acétonémie qui se traduit par une baisse d appétit, un amaigrissement rapide, une baisse de production laitière, une hausse de TB, une baisse de TP, et une augmentation des problèmes de reproduction. Il s utilise, soit en préventif sur les vaches à risques (vaches trop grasses au vêlage et fortes productrices). Il faut administrer 200 à 300 g/jour de propylène glycol en début de lactation. Cet apport de propylène glycol qui dose 1.7 UFL/ kilo distribué 10 jours avant vêlage et sur le premier mois de production représente un apport de 20 UFL soit un complément de 0.5 UFL/j qui peut s avérer intéressant sur des vaches hautes productrices et/ou des rations déficitaires en énergie. La généralisation de l utilisation de ce produit est particulièrement encouragée par les fabricants de robots de traite. Les préconisations sont fréquemment de plusieurs semaines avant et après vêlage. Il n existe pas de raison justifiant systématiquement des périodes aussi larges. Une conduite rigoureuse de l alimentation avec une mise à disposition réellement à volonté de la ration, des aliments de qualité dans une ration équilibrée réduisent le risque d acétonémie. Une bonne maîtrise de l état d engraissement des vaches en fin de lactation et pendant le tarissement permet de limiter le nombre d animaux à risque. Eric CHARTIER Marc CUZUEL Caroline GODARD Jean Claude SABOURIN : Soit en curatif sur des animaux présentant des signes d acétonémie. L intervention doit avoir lieu dès les premiers signes de perte d appétit. Il faut administrer 250 ml de propylène glycol matin et soir pendant une semaine (ou 300 grammes par jour de propionate de sodium). Dans les élevages où l écart vêlagevêlage est important, le nombre de vaches taries avec un état d engraissement supérieur à la note objectif peut être important. Tous ces animaux sont candidats au traitement préventif qui devrait durer une quinzaine de jours avant et après vêlage. Pour des raisons pratiques de distribution, le produit qui doit être distribué au DAC ou par drogage est rarement apporté avant la mise-bas. Dans ce cas un traitement pendant les 3 à 4 semaines suivant le vêlage est envisageable. A noter que l utilisation de propylène coûte environ 20 pour 24 jours de traitement pour une vache soit 1200 annuels pour le traitement systématique d un troupeau de 60 vaches. Les levures et probiotiques : Le principe est de mélanger des microorganismes aux aliments pour améliorer la santé ou la production des vaches laitières. Ces micro-organismes sont des bactéries, des levures, des champignons ou des enzymes. Malgré des essais in vitro prometteurs, les résultats in vivo sont souvent décevants. Les traitements proposés coûtent entre 800 et 1500 pour 60 vaches pendant 180 jours (Un engagement de 1200 doit induire une production supplémentaire de 0,5 litres par jour et par animal pendant 180 jours). En résumé, les additifs ce n est pas automatique. Tous ces produits peuvent avoir un bénéfice mais dans des conditions bien précises et sur des durées limitées. Privilégiez toujours la qualité des rations et la conduite du troupeau avant d acheter des additifs et assurez-vous que le bénéfice l emporte sur le coût. Sur les études de groupe, le coût constaté de ces additifs va de 1 à 9 des mille litres soit entre 500 et pour litres produits.
8 Page 8 GEHODES «Gestion des Hommes et Développement Economique et Social des Entreprises» Les exploitations agricoles ont subi ces dernières décennies de nombreuses évolutions : mécanisation, nouvelles techniques, évolutions des pratiques agricoles, réglementation, accroissement de la taille des exploitations et des troupeaux, développement des exploitations en forme sociétaire L exploitation agricole familiale est devenue une entreprise avec toutes ses composantes : production, comptabilitégestion, commercialisation, gestion des ressources et des relations humaines. Face à ces changements, les exploitations sont confrontées à de nouveaux besoins de compétences. Conscients des profonds changements que vivent les entreprises agricoles de la région et des enjeux humains associés, les Chambres d agriculture de la Région Centre s investissent sur la thématique de la gestion des ressources humaines. Cet investissement se traduit par la mise en œuvre d un programme régional intitulé «GEHODES». Ce programme permet de constituer un réseau de conseillers spécialisés qui travaillent en commun pour mutualiser et partager leurs savoir-faire dans les différents domaines des Ressources Humaines. GEHODES vous propose des prestations variées (cofinancées par le Conseil régional). Les diagnostics «relation employeursalarié», «relation entre associés» ou «ergonomie» vous permettent de réaliser un état des lieux avec un regard extérieur et d identifier des pistes d amélioration. Les différents champs d intervention de GEHODES Accompagnement de projet Gestion de l emploi Conditions de travail Gestion des relations Stratégie des Ressources Humaines Installation Transmission Mise en œuvre du changement Organigramme Profil de poste Fiche de poste Recrutement Entretien d embauche Intégration Droit du travail Aides à l embauche Coût du salarié Ergonomie Organisation du travail Gestion du temps Médiations Fonctionnement de groupe (CUMA, sociétés, point de vente ) Relations employeurs-salariés Communication interpersonnelle Développement personnel Encadrement-Management Gestion prévisionnelle des emplois et des compétences Rémunération Plan de formation Michel LHERITIER :
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