ARCHIVES DE L ADMINISTRATION DE LA TRÉSORERIE DU SERVICE PUBLIC FÉDÉRAL FINANCES DOSSIER D ÉTUDE ET DE PRÉPARATION DU TABLEAU DE TRI 2009

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "ARCHIVES DE L ADMINISTRATION DE LA TRÉSORERIE DU SERVICE PUBLIC FÉDÉRAL FINANCES DOSSIER D ÉTUDE ET DE PRÉPARATION DU TABLEAU DE TRI 2009"

Transcription

1 ALGEMEEN RIJKSARCHIEF EN RIJKSARCHIEF IN DE PROVINCIËN ARCHIVES GÉNÉRALES DU ROYAUME ET ARCHIVES DE L ÉTAT DANS LES PROVINCES ARCHIEFBEHEERSPLANNEN EN SELECTIELIJSTEN TABLEAUX DE GESTION ET TABLEAUX DE TRI 76 ARCHIVES DE L ADMINISTRATION DE LA TRÉSORERIE DU SERVICE PUBLIC FÉDÉRAL FINANCES DOSSIER D ÉTUDE ET DE PRÉPARATION DU TABLEAU DE TRI 2009 par Glenn MAES Bruxelles 2011

2

3 ARCHIVES DE L ADMINISTRATION DE LA TRÉSORERIE DU SERVICE PUBLIC FÉDÉRAL FINANCES DOSSIER D ÉTUDE ET DE PRÉPARATION DU TABLEAU DE TRI 2009 par Glenn MAES Bruxelles 2011

4 4

5 REMERCIEMENTS J adresse tout d abord mes remerciements chaleureux à Karel Velle, l Archiviste général du Royaume, et Rolande Depoortere, chef de la section «Surveillance archivistique, avis et coordination de la collecte et de la sélection», pour m avoir confié cette mission. Je remercie ensuite Jean-Pierre Arnoldi, administrateur général de l Administration de la Trésorerie du SPF Finances, et Serge Lesens, commisssaire des Monnaies, pour la confiance qu ils m ont accordée, et qu ils accordent aux Archives de l État et pour m avoir accueilli dans leur institution. J aimerais ensuite adresser mes sincères remerciements à tous les collaborateurs de la Trésorerie et de la Monnaie royale de Belgique pour leur aide dans la collecte, le classement et le traitement des données. Par ailleurs, j adresse un remerciement particulier à Jean Hambursin et Marleen Magelinckx qui sont intervenus en tant que personnes de contact au nom de la Trésorerie. J adresse également mes remerciements sincères à Guido Biebaut, chef du service financier de la Monnaie royale. Pour terminer, je souhaite remercier tous mes collègues des Archives de l État qui m ont soutenu dans l élaboration de cette publication. Je remercie en particulier deux collègues ayant beaucoup d expertise en ce qui concerne les archives au SPF Finances, à savoir Geert Leloup, également attaché à la section «Surveillance» et Luc Vandeweyer de la section «Gestion des collections des Archives générales du Royaume : période contemporaine». Merci à tous! Sans votre soutien et votre aide, cette publication n aurait jamais pu voir le jour. Il me reste encore à dire que la collaboration avec toutes ces personnes fut très agréable et que j espère que les Archives de l État et la Trésorerie pourront conserver cette bonne collaboration dans le futur. Glenn Maes décembre

6

7 TABLE DES MATIÈRES REMERCIEMENTS...1 TABLE DES MATIERES...7 LISTE DES SOURCES ET TRAVAUX...9 SOURCES...9 SOURCES PUBLIÉES...9 TRAVAUX...9 SITES WEB...10 LISTE DES ABRÉVIATIONS...13 INTRODUCTION...15 ADMINISTRATION DE LA TRÉSORERIE...17 CADRE HISTORICO-INSTITUTIONNEL...19 HISTORIQUE...19 COMPÉTENCES ET ACTIVITÉS...20 ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT...23 ORGANIGRAMMES...29 PRODUCTION, GESTION ET TRI DES ARCHIVES...58 PRINCIPES ET TERMES DE BASE DE L ARCHIVISTIQUE...58 ANALYSE DE LA PRODUCTION DES ARCHIVES...59 DESCRIPTION DES PLUS IMPORTANTES SERIES D ARCHIVES...61 PRESENTATION DU CONCEPT DE TRI

8 8

9 LISTE DES SOURCES ET TRAVAUX SOURCES De Federale Staatsschuld. Syllabus voor de personeelsleden van niveau A van de FOD Financiën, juin 2007, 79 p. Organigramme officieux de l Administration de la Trésorerie, Organigramme officieux de la Monnaie royale de Belgique, Rapport d inspection de Geert Leloup et Luc Vandeweyer concernant leur visite à l Administration de la Trésorerie, 16 januari Syllabus voor de medewerkers van niveau A van het Agentschap van de Schuld met betrekking tot de verschillende aangeboden producten, non édité, juin 2007, 78 p. SOURCES PUBLIÉES Annuaire administratif, 1926, n 196. Moniteur belge, TRAVAUX BEYENS (E.), Gids van de Federale Administratie. Deel I: De federale ministeries, Bruxelles, Service fédéral d Information, 1997, 503 p. BOURGEOIS (P.). Le Ministère des Finances. Étude de l administration centrale et répertoires des services publics et commissions. Deuxième partie: , Bruxelles, Archives générales du Royaume et Archives de l État dans les Provinces, Miscellanea Archivistica, Studia, 75, 1995, 451 p. BOURGEOIS (P.), Le Ministère des Finances ( ). III. Aperçu des compétences, Bruxelles, Archives générales du Royaume et Archives de l État dans les Provinces, Miscellanea Archivistica, Studia, 88, 192 p. BUFFEL (L.), De modernisering van de boekhouding van de Federale Overheid: algemene opzet, in: Bulletin de documentation, Bruxelles, Service Public fédéral Finances, 69, 2009, p CARNEL (S.), COPPIETERS (G.), PIRLOT (V.), PLISNIER (F.), sous la direction de YANTE (J.-M.) et TALLIER (P-A.), Guide des organismes d intérêt public en Belgique. Tome I: Le phénomène parastatal en Belgique, 19 e -20 e siècle. Partie introductive, Bruxelles, Archives générales du Royaume et Archives de l État dans les Provinces, Guides, 70, 2008, 5 tomes.

10 Liste des abréviations COPPENS (H.), Archiefterminologie (AT2). Nederlandse versie van de Terminologie archivistique en usage aux Archives de l Etat en Belgique (1994) aangevuld met lijsten van redactionele vromen, ontwikkelingsstadia en uiterlijke vormen uit Archiefterminologie 1990) en met verwijzing naar Archiefterminologie voor Vlaanderen en Nederland (2003), Bruxelles, Archives générales du Royaume et Archives de l État dans les Provinces, Miscellanea Archivistica, Manuale, 49, 223 p. COSEMANS (A.), Ministère des finances: ancien fonds, n os 1-229, ( ) : inventaire, Bruxelles, Archives générales du Royaume, Instrument de recherche à tirage limité, 73, 31 p. COSEMANS (A.), Ministère des finances: ancien fonds, n os ( ): inventaire, Bruxelles, Archives générales du Royaume, Instrument de recherche à tirage limité, 75, 1989, 15 p. DESMAELE (P.), Le Ministère des finances. Étude de l évaluation structurelle de l Administration centrale et des ses organes consultatifs. Première partie : , Bruxelles, Archives générales du Royaume et Archives de l État dans les Provinces, Miscellanea Archivistica, Studia, 9, 1990, 239 p. JACQUEMIN (M.), Inventaire des archives de l Office national du Ducroire ( ), Bruxelles, Archives générales du Royaume et Archives de l État dans les Provinces, Inventaires, 426, 124 p. LELOUP (G.), Archief van de Federale Overheidsdienst Budget en Beheerscontrole, Bruxelles, Archives générales du Royaume et Archives de l État dans les Provinces, Tableaux de gestion et tableaux de tri, 34, 91 p. LELOUP (G.), Inventaris van het archief van de administratie Thesaurie en Staatsschuld met betrekking tot de na de Tweede Wereldoorlog doorgevoerde muntsanering, Bruxelles, Archives générales du Royaume et Archives de l État dans les Provinces, Inventaires, 423, 34 p. LELOUP (G.), Inventaris van het archief van de Banque nationale de Belgique, Bruxelles, Archives générales du Royaume et Archives de l État dans les Provinces, Inventaires, 421, 88 p. LELOUP (G.), Inventaris van het archief van de Banque nationale de Belgique met betrekking tot de na de Tweede Wereldoorlog doorgevoerde muntsanering, Bruxelles, Archives générales du Royaume et Archives de l État dans les Provinces, Inventaires, 422, 216 p. SITES WEB Administration du Trésor: treasury.fgov.be (consulté le 10/07/2009). Agence de la Dette : (consulté le 03/07/2009). Caisse nationale des Dépôts et Consignations: (consulté le 11/11/2009). Cellule d audit interne de la Trésorerie: auditinternetresorerie.be (consulté le 28/07/2009). 10

11 Liste des abréviations Financement de l État et Marchés financiers: treasury.fgov.be/intera3 (consulté le 1/11/2009). Monnaie royale de Belgique: (consulté le 11/11/2009). Office national des Valeurs mobilières : (consulté le 24/08/2009). Questions financières, internationales et européennes: iefa.fgov.be (consulté le 11/09/2009). Service central des Dépenses fixes allocations familiales: (consulté le 24/08/2009). Service central des Dépenses fixes pensions: (consulté le 24/08/2009). Service central des Dépenses fixes - traitements: (consulté le 24/08/2009). Service des Grands-Livres: (consulté le 11/11/2009). 11

12

13 LISTE DES ABRÉVIATIONS AfDB AsDB ASEM BEI BNB CCE DIMONA DMS Ecofin FADELS Fedcom FTP FMI IADB IBLC IDA IEFA IIA LCCE Medex MRB OBCE OCCH OECD OLO OND African Development Bank Asian Development Bank Asia-Europe Meeting Banque européenne d Investissement Banque nationale de Belgique Communauté économique européenne Déclaration immédiate / Onmiddellijke Aangifte Database Management System Conseil européen des Ministres de l Économie et des Finances Fonds d Amortissement des Emprunts du Logement social Compatibilité européenne File Transfer Protocol Fonds monétaire international Inter-American Development Bank Institut belgo-luxembourgeois du Change International Development Association Questions financières internationales et européennes Institute of internal Auditors Lois coordonnées sur la Comptabilité de l État Expertise médicale Monnaie royale de Belgique Office belge du Commerce extérieur Office central de Crédit hypothécaire Organization for Economic Co-operation and Development Obligation linéaire - Lineaire Obligatie Office national du Ducroire 13

14 Liste des abréviations ONG ONSS SA SAP SCDF SICAF SNCB SPF TI TVA UE UME Organisation non gouvernementale Office national de Sécurité sociale Société anonyme Systems, Applications, Data and Products in Computer Processing Service central des Dépenses fixes Société d Investissement à Capital fixe Société nationale des Chemins de Fer belges Service Public fédéral Technologie de l information Taxe sur la Valeur ajoutée Union européenne Union économique et monétaire 14

15 INTRODUCTION QU ENTEND-ON PAR TABLEAU DE TRI? Un tableau de tri est une liste systématique d archives, mentionnant le délai de conservation et la destination définitive. Il indique, en d autres termes, quels documents resteront conservés et quels documents peuvent être détruits après l expiration de leur délai de conservation administratif. UN INSTRUMENT DE MANAGEMENT Un tableau de tri est un instrument utile pour simplifier le fonctionnement d une institution, car c est un instrument essentiel pour la gestion de documents (records management) et la gestion de l information, et par conséquent également pour la gestion des connaissances de l institution. Les archives ne sont en effet pas composées de documents séparés, mais de documents formés dans un contexte (voir plus loin) et qui documentent le fonctionnement de l institution. Une bonne gestion des archives est un maillon crucial dans un échange d informations simplifié. Le tableau de tri permet de gérer des locaux et serveurs, car il donne un aperçu des séries d archives devant être conservées ou non. Une série d archives ne devant être conservée que durant une période limitée, demande un traitement moins rigoureux qu une série d archives entrant en considération pour une conservation permanente. Les archives susceptibles d'être détruites, ne doivent par exemple pas être conditionnées dans des boîtes d archives non acides. Les locaux destinés à la conservation d archives pouvant être détruites à terme, doivent également satisfaire à des exigences moins sévères que les locaux destinés à la conservation d archives pérennes. En outre, le tableau de tri est un instrument utile pour la prévention des doubles classements, parce que les collaborateurs des différents services ne savent souvent pas quelles archives sont formées ailleurs. Un tel double classement peut être incontestablement très utile comme document de travail, mais il est inutile de conserver ces doubles plus longtemps. Cela coûte de l espace ou de l espace-disque, si bien que la conservation de classements doubles coûte de l argent inutile. Ce tableau de tri peut en outre servir de base pour un plan de classement, une liste des emplacements (une liste indiquant où les documents se trouvent dans le local d archives) ou un inventaire des archives. Enfin, le tableau de tri peut être utilisé pour suivre et améliorer le flux de documents -et dans son prolongement- le flux de travail. Les archives sont en effet la documentation des processus de travail dans une institution, ce qui implique qu un document d archive ne peut pas être vu de manière détachée de son contexte. Si aucune bonne politique d archives n a été développée, les documents vont rapidement s entasser jusqu à ne former qu un «un tas de papiers et banques de données informatiques» sans aucune utilité informative. Ils peuvent alors eux-mêmes donner une mauvaise information. Une mauvaise information est pire qu une absence d information. Il est plus utile est évidemment d avoir une bonne information. LE CONTEXTE DE LA PUBLICATION Les Archives de l État aspirent à (faire) établir à long terme des tableaux de tri pour toutes les administrations centrales du SPF Finances. C est dans ce cadre que les Archives de l État ont pris, de leur propre initiative, contact avec la Trésorerie et ont formulé la proposition d établir un tableau de tri. 15

16 Introduction La loi relative aux archives du 24 juin 1955, dont les articles un à six ont été modifiés par la loi du 6 mai , stipule en effet qu un Service public fédéral est soumis, pour ce qui concerne la gestion des archives, à la surveillance de l Archiviste général du Royaume. Concrètement, ces dispositions stipulent qu un service public ne peut éliminer aucun document sans l autorisation de l Archiviste général du Royaume. Les archives à conserver doivent en outre être transférées après trente ans aux Archives de l État. Il y avait déjà auparavant des contacts entre les Archives de l État et la Trésorerie. Ainsi, notre collègue Geert Leloup a établi en 2008 un inventaire des archives du Service d Assainissement de la Monnaie. Dans ce cadre, Geert Leloup et Luc Vandeweyer qui était alors l inspecteur des archives centrales pour le SPF Finances- ont effectué quelques visites préparatoires et ont déjà donné quelques indications pour aider la Trésorerie à améliorer la gestion de ses archives. LA RÉALISATION DU TABLEAU DE TRI La présente publication a été mise sur pied en plusieurs étapes. La première lettre d introduction, adressée à l administrateur général, a été envoyée le 28 mai Le 15 juin, une session d information à laquelle tous les directeurs et chefs de service étaient invités a eu lieu. Les visites d inspection ont alors commencé à partir du 24 juin 2009 avec une visite au Service Personnel et Organisation. Après quelques mois, toutes les visites ont pu être clôturées. L information, provenant surtout des interviews, a été complétée par les travaux publiés et d autres sources écrites, comme les études institutionnelles du Ministère des Finances de Pascale Bourgeois et Bernard Desmaele. On disposait en outre de nombreux rapports annuels, organigrammes et plans de classement fournis par plusieurs collaborateurs de l Administration de la Trésorerie. Après chaque visite, les collaborateurs des différents services ont reçu un projet de version du tableau de tri. Il leur a alors été demandé de vérifier ce projet et de faire connaître leurs éventuelles remarques à l auteur. Pendant la seconde moitié du mois d octobre et tout le mois de novembre, la partie introductive, le cadre historico-institutionnel et la description des procédures pour la formation et la gestion des archives ont été rédigés. Ce tableau de tri a ensuite été approuvé par le chef de section de la Section Surveillance archivistique, avis et coordination de la collecte et de la sélection et par l Archiviste général du Royaume. Pour finir, il a été validé et sanctionné en février 2010 par l Archiviste général du Royaume et par l administrateur général, et traduit en français durant l été Loi du 6 mai 2009 portant sur des dispositions diverses (Moniteur Belge du 19/05/2009, p ). 16

17 ADMINISTRATION DE LA TRÉSORERIE

18

19 CADRE HISTORICO-INSTITUTIONNEL HISTORIQUE Dans cette première partie, le but n est absolument pas d expliquer tout l historique de la Trésorerie, mais bien d esquisser le cadre historique des compétences et de l organisation structurelle. Les lecteurs souhaitant plus d informations peuvent consulter entre autres les publications de Bernard Desmaele et Pascale Bourgeois ainsi que les introductions des inventaires de Geert Leloup. Cette introduction historique est également basée en grande partie sur ces travaux. Après l indépendance de la Belgique, l ancien Département des Finances du Royaume Uni des Pays-Bas fut transformé en Ministère des Finances et une centralisation générale fut organisée d après le modèle français. Les compétences du Syndicat d amortissement néerlandais ont été scindées, ce qui a fait naître deux institutions, à savoir l Enregistrement des Domaines et le Trésor. Le Ministre des Finances a été désigné comme seul chef du Trésor 2. La mission principale de la Trésorerie était la transcription des transactions du Trésor. Elle n était toutefois pas responsable de la gestion pécuniaire proprement dite du Trésor, vu que cette tâche relevait de la compétence des comptables de l État, et que le Caissier de l État effectuait effectivement les transactions. Ces comptables ne travaillaient d ailleurs pas directement pour l Administration du Trésor mais étaient attachés à d autres services du Ministère des Finances et autres 3. En outre, l amortissement de la dette constituait dès le début une partie importante de ses activités. La dette de l Etat trouve son origine dans la dette de l Etat commune du Royaume des Pays-Bas, dont la Belgique devra rembourser une partie à partir de De plus, la nouvelle Belgique contracta immédiatement de nouvelles dettes 4. Par la loi du 15 mai 1846 et son arrêté d exécution du 28 octobre 1850, les anciennes directions provinciales furent remplacées par les «agents du Trésor». Ceux-ci étaient nommés par le Roi et étaient au service de l Administration. Ces agents étaient établis dans les bureaux de la Banque nationale de Belgique. Leur principale tâche était d effectuer la comptabilité des collaborateurs de la Banque nationale qui effectuaient les paiements 5. Jusqu aux années 1920, les tâches de la Trésorerie sont restées en grande partie inchangées 6, mais à partir des années 1930, l administration a acquis petit à petit un plus grand nombre de compétences. La lourde crise économique des années 1930 causa en effet des problèmes aux (petits) épargnants, ce qui a fait que l administration se sentit obligée de prendre des mesures. Pour donner la possibilité aux épargnants de se protéger de banquiers avides, la Trésorerie développa un cadre législatif pour les institutions financières 7. À partir des années 1970, le contexte international devint de plus en plus important. La Communauté économique européenne (CEE) fondée en 1967 jouera un rôle de plus en plus éminent, une tendance que l administration belge devait anticiper. La Trésorerie fit cela en créant en 1977 un service spécial pour les relations internationales (voir l organigramme p. 49). 2 Ibidem, p BOURGEOIS (P.), Le Ministère des Finances ( ). III. Aperçu des Compétences, Bruxelles, Archives générales du Royaume et Archives de l État dans les Provinces, Miscellanea Archivistica, Studia, 88, p Ibidem, p Ibidem, p BEYENS (E.), Gids van de Federale Administratie. Deel I: De federale ministeries, Bruxelles, Service fédéral d Information, 1997, p Ibidem, p

20 Administration de la Trésorerie Cadre historique et institutionnel Depuis sa création, l administration a fait l objet de trois changements de nom. Durant la première période, de 1831 à 1862, elle s appelait Administration du Trésor public. En 1862, elle fut rebaptisée Administration de la Trésorerie et de la Dette publique 8. L administration a conservé ce nom jusqu en 1971, lorsqu elle reçut son nom actuel, Administration de la Trésorerie 9 COMPÉTENCES ET ACTIVITÉS Les compétences de la Trésorerie reposent sur trois grands piliers: la comptabilité centralisée de l État, la gestion de la dette de l Etat et le paiement des salaires et pensions des membres du personnel de la plupart des services publics. À côté de ces tâches principales, elle suit les marchés financiers, elle exerce la surveillance sur la gestion financière des institutions d utilité publique 10 (institutions décentralisées possédant généralement la personnalité juridique 11 ) et elle gère trois caisses différentes : la Caisse des Dépôts et des Consignations, la Caisse nationale des Calamités et la Caisse nationale des Pensions de Guerre. L Administration de la Trésorerie exerce donc toute une série d activités que j expliquerai cidessous, par service. La cellule d Audit interne évalue de manière autonome, objective et indépendante, la qualité du fonctionnement de l administration. L Auditeur interne entend par audit interne l ensemble des mesures mises en œuvre par la direction générale, le management et le personnel pour s assurer d une assurance raisonnable quant à l accomplissement des objectifs (cf. l utilisation économique et efficace des ressources disponibles ; la maîtrise des risques ; l intégrité, la fiabilité et le caractère exhaustif des informations de gestion ; le respect des lois et des règlements, des politiques générales, des programmes, des plans et des procédures internes ; la prévention de la fraude) 12. La méthode appliquée suit la déontologie de l Institute for Internal Auditors (IIA), dont l audit interne de la Trésorerie fait également partie. La cellule n agit pas uniquement de manière répressive, mais également proactive La Trésorerie belge joue un rôle important dans les relations internationales des finances belges. Le Service Relations internationales offre aux entreprises belges souhaitant investir dans les pays en voie de développement la possibilité de demander un crédit et fournit la nationalisation ou le transfert de propriété privée à propriété de l État belge à l étranger. Cette direction est également le premier point d information pour les institutions financières internationales et représente la Belgique dans la politique financière bilatérale et multilatérale. Ainsi, elle est entre autres un membre actif permanent du Club de Paris, une organisation internationale qui tente d harmoniser les crédits de plusieurs pays En 1938, le nom néerlandais désignant l institution fut légèrement adapté et 'Openbare Schuld' (Dette publique) fut remplacé par Staatsschuld (Dette de l État), si bien que le nouveau nom devint Bestuur der Thesaurie en Staatsschuld (Administration de la Trésorerie et Dette de l Etat). La dénomination française Trésorerie et Dette publique resta cependant inchangée. DESMAELE (B.), op.cit., p Pour de plus amples informations concernant les changements de nom, voir : DESMAELE (B.), op.cit., p , 97, 103 et BOURGEOIS (P.). Le Ministère des Finances. Étude de l évolution structurelle de l administration centrale et des organes consultatifs. Première partie: , Bruxelles, Archives générales du Royaume et Archives de l État dans les Provinces, Miscellanea Archivistica, Studia, 9, p treasury.fgov.be/home_nl.htm#opdracht (consulté le 29/07/2009). 11 CARNEL (S.), COPPIETERS (G.), PIRLOT (V.), PLISNIER (F.), sous la direction de YANTE (J.-M.), TALLIER (P-A.), Guide des organismes d intérêt public en Belgique. Tome I: Le phénomène parastatal en Belgique, 19 e -20 e siècle. Partie introductive, Bruxelles, Archives générales du Royaume et Archives de l État dans les Provinces, Guides, 70, 2008, p auditinternetresorerie.be/auditfunctie/auditfunctie.htm (consulté le 27/10/2009). 13 iefa.fgov.be (consulté le 27/10/2009). 20

21 Administration de la Trésorerie Cadre historique et institutionnel Le Service Personnel et Organisation s occupe de la gestion du personnel et coordonne ensuite les formations offertes aux membres du personnel. Le Service Logistique veille à la gestion des bâtiments, à l accueil et à la sécurité. Il le fait en collaboration avec le Conseiller à la prévention, qui dépend directement des services centraux du SPF Finances. Évidemment, le marché financier est suivi de près. Le Service Marchés financiers assiste le Ministre des Finances dans sa prise de décision relative aux marchés financiers et aux institutions financières. Il se concentre en outre principalement sur la législation bancaire et boursière et sur la législation relative à la gestion de la dette de l État 14, qui est officiellement reprise dans le budget à partir de En outre, la Trésorerie joue également un rôle important dans le domaine juridique et elle prépare la législation nationale et la ratification des directives européennes par la Belgique. Les autres services de la Trésorerie et éventuellement d autres institutions publiques - peuvent s adresser à ce service pour des conseils juridiques. En outre, ce service traite également tous les litiges juridiques relatifs aux marchés financiers. L une des compétences les plus importantes, déjà depuis le 19ème siècle, est la gestion de la dette publique (maintenant: fédérale), ainsi que de la dette de quelques autres institutions, comme le Fonds d Amortissement des Emprunts du Logement social (FADELS) et la dette garantie 16. Le Service du Support de la Dette fournit un soutien à tous les autres services effectuant des tâches relatives à la dette publique. Cette direction imprime les valeurs officielles lors de l émission d emprunts de l Etat fédéral et des obligations de l Etat. Elle imprime également du matériel de promotion principalement distribué par l Agence de la dette. De plus, elle traite les titres au porteur remboursés jusqu en 2004, un système qui n existera plus à partir de Jusqu en 2005, elle triait et traitait tous les titres relatifs à la Dette publique émis par la Banque nationale. Depuis 2005, la Banque nationale traite ellemême ces titres et le Service du Support de la Dette est uniquement chargé du contrôle de ce traitement. Ce service est en outre le premier point d information pour toute personne physique ou morale ayant des questions sur les coupons ou titres au porteur. De tels titres ont longtemps joué un rôle de premier plan dans le paysage d investissement belge, mais disparaîtront bientôt totalement 17. L Agence de la Dette, qui fait partie de la Trésorerie mais qui est édifiée comme une banque (cf. infra), gère la dette publique dans la pratique. Ses compétences sont réglées par une loi de qui gère la politique monétaire pour la gestion des titres publics. Sa tâche principale est la contraction d emprunts et l émission de titres de dette ou obligations. Elle vend différents types de titres publics. Ces titres de dette sont ouverts aussi bien aux investisseurs particuliers que professionnels. L État contracte, pour ainsi dire, un emprunt vis-à-vis du «client» (c.-à-d. l acheteur, un client d un investissement). Ci-après, nous analysons quelques exemples de titres de l État qui sont offerts à la vente : Les obligations linéaires (OLO) dont des obligations à terme moyen émises en différentes tranches. Elles sont émises en euros et ont une échéance fixe à laquelle elles peuvent être rachetées ou prolongées. À partir de 2000, l État n émet de nouvelles obligations que tous les deux mois. En dehors de ces dates, elles ne peuvent être achetées que sur le marché secondaire. 14 treasury.fgov.be/intera3/nl_msf.htm (consulté le 10/07/2009). 15 Loi du 19/12/1997 portant le budget des Voies et Moyens pour l année budgétaire 1998 (Moniteur belge du 30/12/1997, p ). 16 De Federale Staatsschuld. Syllabus voor de personeelsleden van niveau A van de FOD Financiën, juin 2007, p La suppression des titres au porteur: la fin d une période, Infofolder Deutsche Bank, 2008, p Loi du 02/01/1991 relative au marché des titres de la dette publique et aux instruments de la politique monétaire (Moniteur belge du 25/01/1991, p. 1524). 21

22 Administration de la Trésorerie Cadre historique et institutionnel Les certificats de trésorerie s adressent plutôt à des investisseurs professionnels et sont émis pour maximum un an. Ils sont toujours exprimés en euros. Normalement, la Trésorerie fait deux émissions par mois. Les obligations du Trésor sont des titres à taux fixe pour trois, cinq ou huit ans, destinés à des particuliers. L avantage par rapport aux certificats de trésorerie (ou en anglais Belgian Treasury Bills), est qu ils sont beaucoup plus flexibles pour l investisseur nonprofessionnel. Les bons d Etat sont un produit d investissement à la mesure du particulier. Il s agit de titres à court terme avec une durée de trois, cinq ou huit ans. Le bon d Etat est cependant plus flexible et se concentre plutôt sur les investisseurs particuliers. Depuis 1995, il n est plus possible de contracter un simple emprunt entre un particulier et l État. La Banque nationale de Belgique et la Banque de la Poste sont les agents de paiement de l Agence de la Dette, mais pour vendre ses produits, l Agence collabore avec des partenaires du secteur privé. Ces points de vente sont répartis en deux catégories : les Primary Dealers peuvent vendre et suivre les produits de la Trésorerie, les tâches des Secondary Dealers sont établies par dealer dans un contrat séparé et peuvent donc différer par dealer. Enfin, un consommateur peut également s inscrire au nominatif pour un emprunt, ce qui est alors inscrit dans le Grand livre de la Dette publique. L emprunt classique a cependant disparu. Au lieu de cela, les «emprunts verts» visant à investir de manière écologique ont été instaurés depuis Ensuite, la Trésorerie veille également à la Comptabilité générale de l État. La Direction Comptabilité générale contrôle les comptes et les comptes de gestion de toutes les institutions de l administration fédérale. Sur la base de ces données, elle établit des états récapitulatifs offrant un aperçu de la comptabilité de ces institutions. La Trésorerie est d ailleurs un intermédiaire important entre les services du contentieux de l Administration des Impôts et du Recouvrement et les personnes physiques ou morales à qui le fisc doit encore une somme d argent, pour des raisons juridiques. L Administration des Impôts et du Recouvrement verse l argent dû au Comptable du contentieux, qui transmet à son tour, l argent à l intéressé. La mission et le service de la Trésorerie qui sont le mieux connus auprès de la plupart des fonctionnaires, sont le Service central des Dépenses fixes ou SCDF, car celui-ci paie entre autres les salaires, suppléments, allocations familiales et primes de naissances des fonctionnaires fédéraux statutaires et contractuels, des ministres et des secrétaires d Etat 19. En outre, il paie les pensions des fonctionnaires fédéraux, des collaborateurs de certains parastataux et même de certaines entreprises publiques (e.a. la Poste et Belgacom) 20. L Office national des Valeurs mobilières est chargé de la protection contre la dépossession involontaire des titres au porteur, comme prescrit dans la loi du 24 juillet Les personnes dont les titres ont été perdus ou volés, ou les personnes ayant été dépouillées de leurs titres au moyen d une escroquerie, peuvent former opposition contre leur vente. L Office national des Valeurs mobilières enregistre ces titres dans un bulletin paraissant quatre fois par an. Dès que le titre paraît dans le Bulletin, l émetteur doit suspendre toutes les ventes et paiements, auxquels le titre donnerait droit. L émetteur doit retenir le titre et en avertir l Office national des Valeurs mobilières 22. La radiation du Bulletin ou en termes 19 et (consultés le 24/07/2009) (consulté le 24/08/2009). 21 Loi du 24 juillet 1921 relative à la dépossession involontaire des titres au porteur (Moniteur belge, 10/08/1921, p. 6470) (consulté le 10/11/2009). 22

23 Administration de la Trésorerie Cadre historique et institutionnel juridiques: la mainlevée s effectue de la même manière que l opposition. Dès que la mainlevée est accordée, le titre peut à nouveau être mis en circulation de manière normale. La Caisse des Dépôts et Consignations nationale «conserve» l argent et les titres mis en dépôt à l État par des tiers. L argent ou les titres peuvent être mis en dépôt pour diverses raisons. Les notaires peuvent conserver durant maximum un mois des sommes reçues suite à une affaire traitée et qui sont versées sur les comptes de tiers et qui sont supérieures à 2478,94 euros. Ensuite, ils doivent déposer ces montants à la Caisse des Dépôts et des Consignations ou une institution de crédit reconnue. Dans ce cas, ils effectuent eux-mêmes la gestion durant deux ans, si elle n est pas réclamée par les ayant droits 23. En outre, toute personne physique ou morale peut déposer de son plein gré de l argent ou des titres. Cela peut également se faire par des maisons de repos et de soins qui mettent en dépôt le montant dû à la Caisse des Dépôts et Consignations, pendant une certaine période. En langage juridique, on appelle cela le «cantonnement», qui peut soit se faire librement, soit être imposé, soit être autorisé par une décision judiciaire. Les cantonnements judiciaires relèvent cependant de la compétence des Agences de la Caisse des Dépôts et Consignations, qui appartient à l Administration de l Enregistrement et des Domaines 24. Enfin, la Caisse des Dépôts et Consignations gère les créances résultant de jugements et qui sont au bénéfice ou à charge de l État 25. Les deux autres caisses liées à la Trésorerie sont la Caisse nationale des Calamités et la Caisse nationale des Pensions de Guerre. La première paie toutes les indemnités approuvées par le Fonds des Calamités, alors qu elle prend à sa charge le paiement des pensions de guerre (cette caisse est cependant gérée de facto par le SCDF). ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT La structure organisationnelle de la Trésorerie comporte aujourd hui encore des caractéristiques typiques du 19ème siècle. Les directions et services n ont toujours pas de véritable nom, mais sont au contraire désignés par un nombre ordinal, comme avant la réforme Copernic. On parle par exemple de Première Direction, de Deuxième Bureau. Nous remarquons en outre que le nombre ordinal de la direction ou du service a parfois été adapté si une direction a été supprimée, mais parfois cette adaptation n a pas eu lieu. C est pourquoi il semble parfois que certaines directions ont été négligées. On observe également que l on s est parfois écarté de la nomenclature courante, de sorte que le nom «Service» émerge et que les dénominations Service, Direction et Bureau sont utilisées par chacun. Enfin, on remarque également que la tâche que les services effectuent depuis le 19 ème siècle est également le critère pour le regroupement des fonctionnaires en différents services. De ce fait, l organigramme ressemble plus à une description de fonction sommaire qu à un véritable organigramme. Chaque direction a au départ une tâche bien définie, mais à mesure que le temps progresse, les tâches des services deviennent de plus en plus complexes. Cette partie esquisse dans les grandes lignes l évolution organisationnelle de la Trésorerie, depuis sa création jusqu à nos jours. La loi sur la comptabilité de l État de 1846 réglait pour la première fois la manière dont la comptabilité de l État belge devait être menée, et constituait donc la base légale la plus importante des processus qui réglaient le fonctionnement de la Trésorerie 26. Dans le courant du 20 ème siècle, cette loi fut régulièrement adaptée par diverses nouvelles lois, qui furent 23 Arrêté royal du 10/01/2002 relatif à la gestion des sommes, titres et valeurs au porteur reçus par un notaire et au contrôle de la comptabilité des notaires (Moniteur belge du 12/01/2002, p. 936) (consulté le 15/11/2009). 25 Loi du 06/02/1970 relative à la prescription des créances à charge ou au profit de l État et des provinces (Moniteur belge du 28/02/1970, p. 1975). 26 Loi du 15/05/1941 relative à la comptabilité de l État (Moniteur belge du 19/05/1846, p. 1243). 23

24 Administration de la Trésorerie Cadre historique et institutionnel coordonnées et regroupées en 1991 et qui existent généralement en tant que Lois coordonnées sur la comptabilité de l État (LCCE) 27. À partir de 1834, la Trésorerie connut trois «subdivisions» (ou «divisions») qui reflétaient les trois piliers de ses tâches de l époque, à savoir : la Comptabilité générale (Grand livre de la Trésorerie, recettes et cautionnements), les dépenses et, enfin, la dette publique (voir organigramme p. 31). Cette organisation structurelle reçût, quelques décennies plus tard, une base légale avec la loi de 1864 et l arrêté royal du 28 octobre L Arrêté royal du 15 décembre 1862 établissait ensuite les tâches du Trésor public et stipulait qu il était responsable de l administration comptable de l administration des Douanes et Accises et de l Enregistrement et des Domaines. À partir de 1863, la Caisse des Dépôts et des Consignations relevait également de la compétence de la Trésorerie 29, raison pour laquelle une quatrième direction fut créée (voir organigramme p. 34). Une commission, composée de cinq membres, était responsable de la surveillance de cette caisse. Cette commission était présidée par le (dernier Premier) Président de la Cour des Comptes et était composée d un député, désigné par la Chambre des Représentants, d un sénateur, désigné par le Sénat et de deux membres désignés par le Roi. Elle est toujours active 30. En 1878, le bureau pour tous les paiements relatifs à l armée s est développé en une direction à part entière (voir organigramme p. 36). Des exemples de telles dépenses sont la solde des miliciens, toutes dépenses militaires et le paiement des indemnités de servitudes militaires 31, par exemple aux propriétaires de bâtiments ayant subi des dégâts suite à des activités militaires. Une Commission désignée par le Roi jugeait si un propriétaire entrait ou non en ligne de comte pour une indemnisation. À partir de 1894, une distinction claire fut établie entre la dette publique au porteur et la dette publique inscrite (ou le grand livre de la dette de l État, à ne pas confondre avec le grand livre de la Trésorerie) avec pour conséquence le fait que la direction Dette Publique a été scindée en une Direction de la Dette Inscrite et une Direction Dette Publique au Porteur, qui continua à traiter, en premier lieu, l indicateur général et les pensions (voir organigrammes, p ). Ensuite, les services furent légèrement réorganisés et la dernière direction était principalement chargée de la comptabilité des autres administrations du Ministère des Finances et les dépenses dans le cadre du service militaire. En 1908, le service du contentieux, ce qui correspond au plus récent comptable du contentieux (cfr. comptables), fut transféré vers la même direction que les Consignations et porta pour la première fois le même nom. La comptabilité des autres administrations du Ministère des Finances déménagea vers la Comptabilité générale. La direction à laquelle cette tâche appartint jusqu en 1908, maintint uniquement sa tâche initiale, à savoir le paiement des propriétaires ayant subi des dégâts suite à des activités dans le cadre du service militaire (voir organigramme p. 39). La manière dont la Trésorerie fonctionnait durant la Première Guerre mondiale n est pas tout à fait claire, ce qui est d ailleurs le cas pour tout le Ministère des Finances. D après Desmaele, 27 LELOUP (G.), Archief van de FOD Budget en Beheerscontrole. Archiefselectielijst, Bruxelles, Archives générales du Royaume et Archives de l État dans les Provinces, Tableaux de gestion et tableaux de tri, 34, 91 p. 28 BOURGEOIS (P.), Le Ministère des Finances ( ), III. Aperçu des compétences, Bruxelles, Archives générales du Royaume et Archives de l État dans les Provinces, Studia, 88, 1996, p Arrêté royal du 15/12/1862 (Moniteur belge du 01/01/1863, p. 5). 30 Arrêté royal du 18/03/1935 coordonnant les lois relatives à l organisation et au fonctionnement de la Caisse des Dépôts et Consignations et y apportant des modifications en vertu de la loi du 31 juillet 1934, p Les notes de cette commission de surveillance n iraient pas plus loin que les annotations sur la comptabilité. Apparemment, elles sont systématiquement détruites par l Administration de la Trésorerie. 31 Loi du 02/04/1873 qui alloue des indemnités du chef des servitudes militaires (Moniteur belge du 05/04/1873, p. 934). 24

25 Administration de la Trésorerie Cadre historique et institutionnel l impact de l occupant allemand se serait limité à la conservation de l administration belge telle qu elle existait avant la guerre 32. La guerre causa beaucoup de dégâts, non seulement sur le plan émotionnel mais également sur le plan matériel. C est pourquoi le Ministre des Finances mit sur pied, en 1920, un service pour le remboursement des dégâts de guerre (voir organigramme p. 40). La guerre eut ensuite pour conséquence le fait que beaucoup de personnes avaient perdu leurs titres au porteur. Les titres au porteur avaient cependant la particularité que la personne qui pouvait présenter les titres, pouvait également être considérée comme propriétaire et donc pouvait avoir droit à leurs avantages, ce qui fait qu un commerce en titres qui changeaient involontairement de propriétaire est apparu. Afin de protéger les propriétaires légitimes, la loi relative à la dépossession involontaire des titres au porteur fut promulguée le 24 juillet 1921 et le Bureau national des Valeurs mobilières fut créé 33. Cette même année, la direction qui payait les militaires fut également jointe au Service des Pensions. Enfin, une direction à part entière pour le Budget fut créée. Celle-ci s est encore accrue durant l entre-deux-guerres pour devenir une Administration du Budget et du Contrôle des Dépenses (l actuel SPF Budget et Contrôle de gestion) 34. La loi du 10 juin 1937 donna au Ministre des Finances la possibilité de régler les finances de tout le secteur public. La Direction Crédit public fut créée pour lui donner le soutien administratif nécessaire à cet effet 35. Cette direction réglait d une part la législation pour le crédit public mais contrôlait d autre part les autres institutions publiques. À partir de 1937, on décrivit plus clairement ce qu on entendait par Affaires générales et il est apparu que cela concernait souvent des questions spécifiques relatives à la politique financière (voir organigramme p. 44). Parfois, la Direction Personnel et Organisation fut également mise au rang des Affaires générales, mais sa situation n est pas tellement claire. Durant la Seconde Guerre mondiale, l occupant allemand a créé une administration militaire qui avait en principe dû reprendre la tâche de l administration belge, jusqu à ce qu une nouvelle administration civile puisse à nouveau reprendre ses tâches. Cette administration militaire n était toutefois rien de plus qu un organe de contrôle, car elle ne semblait pas être en était de remplacer l administration belge 36. Contrairement à ce qui était le cas pour la Première Guerre mondiale, nous disposons d un organigramme pour les années d occupation de la Seconde Guerre mondiale. Ainsi, en 1942, le Service Dette Inscrite et le Service Pensions ont été scindés et un Service Paiements à part entière fut créé (voir organigramme p. 45). Après la Seconde Guerre mondiale, plusieurs services temporaires qui devaient effectuer des missions spécifiques ont été créés au sein de la Trésorerie. Le Service de l assainissement monétaire suivit avec la Banque nationale de Belgique l «Opération Gut» menée fin 1944, où tous les billets de banque ayant une valeur de plus de 100 francs belges devaient obligatoirement être déclarés et furent en partie échangés et en partie bloqués. Dans ce cadre, le service était également responsable de la coordination des déclarations tardives. Les crédits bloqués ont ensuite été débloqués pas à pas, ce qui a permis le fait que ce service ait pu être progressivement réduit et finalement être abrogé en Un autre service temporaire, le 32 DESMAELE (B.), op.cit., p Loi du 24 juillet 1921 concernant la possession extérieure involontaire de titres au porteur (Moniteur belge, 10/08/1921, p. 6470). 34 LELOUP (G.), Archief van de Federale Overheidsdienst Budget en Beheerscontrole. Archiefselectielijst, Bruxelles, Archives générales du Royaume et Archives de l État dans les Provinces, Tableaux de gestion et tableaux de tri, 34, p BOURGOIS (P.), Aperçu des compétences, op.cit., p DESMAELE (B.), op.cit., p LELOUP (G.), Inventaris van het archief van de administratie Thesaurie en Staatsschuld met betrekking tot de na de Tweede Wereldoorlog doorgevoerde muntsanering, Bruxelles, Archives générales du Royaume et Archives de l État dans les Provinces, Inventaires, 423, p

26 Administration de la Trésorerie Cadre historique et institutionnel Service des réquisitions de l occupant, était quant à lui chargé de l indemnisation des citoyens dont les possessions personnelles avaient été réquisitionnées par l occupant allemand. Après 1945, l organigramme fut réorganisé et les contours de l actuelle organisation ont commencé à se dessiner. La dénomination direction fut d abord remplacée par service. Le premier service était un service d encadrement général, dont relevaient la documentation, l organisation et la gestion du personnel. Le deuxième et troisième service était le Service Crédit public et Dette de l État (voir organigramme p. 47). Le nouveau Service central des Dépenses fixes (SCDF), fut créé en et devient le successeur direct du Service Central de la Liquidation des Opérations de 1939, mais étant entendu que le SCDF soit mieux structuré. Il était déjà composé à l époque des trois grands piliers que l on connaît encore aujourd hui : service d étude général, prêts et pensions. En 1961, les services ont été scindés en directions 39 et le nombre de services augmenta. De plus, cet organigramme offre pour la première fois une vision de l organisation plus détaillée de la Monnaie, bien qu elle fut déjà transférée de l Administration des Douanes et Accises à la Trésorerie en La Monnaie était alors organisée en deux services: un service administratif, qui dirigeait e.a. la comptabilité, et un service technique, qui frappait effectivement la monnaie. La Direction Relations financières avec l Étranger fut créée en 1964 et fut le précurseur direct du Service Relations Européennes et Internationales actuel. De 1964 à 1968, la Monnaie royale avait un service temporaire Comptage des Titres qui avait pour mission de compter tous les titres (voir organigramme p. 49). Le Service Questions Monétaires internationales fut créé en 1977 et opérait en parallèle du Service Relations Financières avec l Etranger, mais le premier s occupait surtout des questions purement monétaires tandis que le second s occupait des questions plutôt économiques (bien qu il n y avait pas toujours une distinction claire dans la répartition des tâches entre les deux services). La Direction Questions Monétaires internationales fut cependant à nouveau supprimée en 1978 et fut incorporée à la Direction Relations avec l Étranger (le Service Relations internationales après la fusion) 41. Ce service a connu une croissance impressionnante durant les années 1970 et le début des années 1980, également grâce aux relations européennes toujours plus intensives (voir organigramme p. 51). L année 1986 connut une réorganisation de l organigramme. Certains services furent groupés dans une direction générale, mais mis à part l introduction de la nouvelle dénomination, il n y a en fait aucune modification à signaler. Il y avait dans l ensemble deux DG, à savoir la Trésorerie et la Dette de l État et la Comptabilité générale, dont relevaient les services de paiement et les caisses 42 (voir organigramme p ). En 1995, il a été tenté de rationaliser à nouveau l administration en réorganisant quelque peu l organigramme. Les services Relations internationales, Affaires générales et Crédit public ont bien été regroupés, mais non transformés en une direction générale. Les deux autres directions générales n ont pas été touchées 43. Les Services Organisation et Personnel ont été transformés au même moment en Service Logistique et Personnel et Organisation. Depuis lors, les deux services sont sous la direction d un même responsable (voir organigramme p ). 38 BOURGEOIS (P.), Aperçu, op.cit., p BOURGEOIS (P.), Évolution, op.cit., p BOURGEOIS (P.), Aperçu, op.cit., p BOURGEOIS (P.), Aperçu, op. cit., p BOURGEOIS (P.), Évolution, op. cit., p BOURGEOIS (P.), Évolution, op. cit., p

27 Administration de la Trésorerie Cadre historique et institutionnel Sur base d études effectuées par des consultants externes à partir de 1993, il a été décidé de scinder le Service de la Dette en un Service du Support de la Dette et l Agence de la Dette. Cette scission devait théoriquement être effectuée à partir de L Agence de la Dette avait surtout pour objectif d aborder les problèmes pour l accès à la zone euro et servait surtout à attaquer en profondeur la pression concurrentielle que la Belgique aurait à subir 44. Le Service du Support de la Dette est désormais composé de trois directions, à savoir la Direction Prévisions de Trésorerie, la Direction Comptabilité Situation mensuelle de la Dette et la Direction Service financier des Emprunts et Imprimerie. La structure de l Agence de la Dette scindée est à nouveau inspirée de la structure d une banque et est divisée en un Front Office, un Middle Office et un Back Office. Le Front Office gère principalement la dette de l Etat et rédige les titres de dette. Le Morning Committee, nommé le jour de la réunion, est composé des collaborateurs de ce Front Office. Les Middle et Back Office n ont pas de réunion formelle. Le Secrétariat et l Audit interne de l Agence de la Dette, à ne pas confondre avec l Audit Interne de la Trésorerie, est partagé par les trois directions. Enfin, l Agence a encore un service ICT propre à elle, qui est indépendant du service ICT de la Trésorerie et qui est rattaché au Back Office de l Agence. À l exemple de Coperfin, l implémentation de la réforme Copernic au Ministère des Finances, un Audit Interne qui est membre de l Institute for Internal Auditors (IIA) 45 a été créé en 2000 par l Administration de la Trésorerie. Il est composé de deux auditeurs: un du rôle linguistique néerlandais et un autre du rôle linguistique français. Cette cellule rend directement compte à l Administrateur général de la Trésorerie, mais agit indépendamment pour pouvoir effectuer ses contrôles de manière objective. Si la tendance actuelle s intensifie, on s attend à ce que la Trésorerie se trouve, dans les prochaines années, devant l une des plus grandes restructurations de son histoire. Le SPF Finances souhaite rationaliser son fonctionnement pour pouvoir répondre au défi moderne de la deuxième décennie du 21 ème siècle. Ces efforts de restructuration ont finalement été couronnés par l arrêté royal du 3 décembre 2009 venant d être publié, dans lequel il est question d une Administration générale de la Trésorerie. 46 Quelques autres plus petites adaptations de l organigramme sont déjà planifiées. Il existe des plans concrets pour créer une cellule d audit intégrée au niveau du SPF Finances, ce qui reviendrait en fait à une fusion de la cellule d audit existante au sein du SPF, à savoir celle de la Trésorerie et celle de l Administration des Impôts et du Recouvrement. La véritable fusion est planifiée pour le 1 er janvier En outre, il y a, au moment de la rédaction, encore deux comptables pour les Contentieux, un Néerlandophone et un Francophone, ayant chacun cinq collaborateurs à leur service. On parle d une fusion possible des cellules néerlandophone et francophone à court terme bien qu il y ait aucune certitude à ce sujet. Des modifications auront également lieu au Service de la Dette. Le Grand livre de la Dette publique de l État (inscrite) peut, après deux ans de bons et loyaux services, prendre sa retraite. Ce service sera transformé en un nouveau service des «Emprunts verts» dans lequel il est possible de contracter des emprunts auprès de l État pour des projets écologiques. La date précise d entrée en vigueur n est pas encore connue mais ce sera probablement encore en 2010 ou Les réformes les plus importantes iront cependant de pair avec l introduction du système Fedcom. Le projet Fedcom est un système informatique pour la gestion comptable et vise l introduction d une nouvelle structure comptable fédérale et le développement d un progiciel 44 (consulté le 03/07/2009). 45 Arrêté royal du 12/01/2000 modifiant l arrêté royal du 29 octobre 1971 fixant le règlement organique du Ministère des Finances, ainsi que les dispositions particulières y assurant l exécution du Statut des agents de l État (Moniteur belge du 13/05/2000, p ), Coperfin à la Trésorerie et autres services, document à télécharger sur : (consulté le 05/11/2009). 46 Arrêté royal organique du 3 décembre 2009 des services opérationnels du Service public fédéral Finances (Moniteur belge du 09/12/2009, p )., 27

Rédiger un tableau de tri

Rédiger un tableau de tri Brochures de recommandations et de conseil 11 Rédiger un tableau de tri è Conseils sur la stratégie et la méthode à suivre Version mars 2012 Archives générales du Royaume et Archives de l État dans les

Plus en détail

ALGEMEEN RIJKSARCHIEF EN RIJKSARCHIEF IN DE PROVINCIËN ARCHIVES GÉNÉRALES DU ROYAUME ET ARCHIVES DE L ÉTAT DANS LES PROVINCES

ALGEMEEN RIJKSARCHIEF EN RIJKSARCHIEF IN DE PROVINCIËN ARCHIVES GÉNÉRALES DU ROYAUME ET ARCHIVES DE L ÉTAT DANS LES PROVINCES ALGEMEEN RIJKSARCHIEF EN RIJKSARCHIEF IN DE PROVINCIËN ARCHIVES GÉNÉRALES DU ROYAUME ET ARCHIVES DE L ÉTAT DANS LES PROVINCES ARCHIEFBEHEERSPLANNEN EN SELECTIELIJSTEN TABLEAUX DE GESTION ET TABLEAUX DE

Plus en détail

ARCHIVES DE : SERVICE D INFORMATION SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE (SIST), BELNET, HAUTE REPRÉSENTATION BELGE POUR LA POLITIQUE SPATIALE

ARCHIVES DE : SERVICE D INFORMATION SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE (SIST), BELNET, HAUTE REPRÉSENTATION BELGE POUR LA POLITIQUE SPATIALE ALGEMEEN RIJKSARCHIEF EN RIJKSARCHIEF IN DE PROVINCIËN ARCHIVES GÉNÉRALES DU ROYAUME ET ARCHIVES DE L ÉTAT DANS LES PROVINCES ARCHIEFBEHEERSPLANNEN EN SELECTIELIJSTEN TABLEAUX DE GESTION ET TABLEAUX DE

Plus en détail

ARCHIVES DU SERVICE PUBLIC FÉDÉRAL SÉCURITÉ SOCIALE DIRECTION GÉNÉRALE INDÉPENDANTS DOSSIER D ÉTUDE ET DE PRÉPARATION DU TABLEAU DE TRI 2009

ARCHIVES DU SERVICE PUBLIC FÉDÉRAL SÉCURITÉ SOCIALE DIRECTION GÉNÉRALE INDÉPENDANTS DOSSIER D ÉTUDE ET DE PRÉPARATION DU TABLEAU DE TRI 2009 ALGEMEEN RIJKSARCHIEF EN RIJKSARCHIEF IN DE PROVINCIËN ARCHIVES GÉNÉRALES DU ROYAUME ET ARCHIVES DE L ÉTAT DANS LES PROVINCES ARCHIEFBEHEERSPLANNEN EN SELECTIELIJSTEN TABLEAUX DE GESTION ET TABLEAUX DE

Plus en détail

Compte général de l État pour 2008

Compte général de l État pour 2008 Compte général de l État pour 2008 166e Cahier de la Cour des comptes Complément 3 Compte de la Trésorerie Compte des variations du patrimoine Compte synthétique des opérations de l État COMPTE GÉNÉRAL

Plus en détail

Aspects fiscaux des placements en société

Aspects fiscaux des placements en société Aspects fiscaux des placements en société Sommaire 1. Généralités 2. Exploiter d abord l épargne fiscale 2.1. L engagement individuel de pension via une assurance externe (EIP) 2.2. Une pension libre complémentaire

Plus en détail

Les archives... c est quoi?

Les archives... c est quoi? Brochures de recommandations et de conseil 5 Les archives... c est quoi? Archiver... pourquoi? Archiver... comment? Archives générales du Royaume et Archives de l État dans les Provinces Section Surveillance,

Plus en détail

Économie, connaiss.de base Réponse 1. Économie, connaiss.de base Question 1 Affaires bancaires. Économie, connaiss.

Économie, connaiss.de base Réponse 1. Économie, connaiss.de base Question 1 Affaires bancaires. Économie, connaiss. Économie, connaiss.de base Question 1 Économie, connaiss.de base Réponse 1 Quels sont les six types de banques les plus importants? les grandes banques les banques cantonales les banques régionales/caisses

Plus en détail

La gestion du compte de l État

La gestion du compte de l État FINANCES PUBLIQUES TRÉSORERIE Nouvelle convention MINÉFI/Banque de France La gestion du compte de l État Article d Olivier Cuny, administrateur civil à l Agence France Trésor, en collaboration avec Dominique

Plus en détail

N 110 S É N A T. 7 mai 2014 PROPOSITION DE LOI. relative aux comptes bancaires inactifs et aux contrats d assurance vie en déshérence.

N 110 S É N A T. 7 mai 2014 PROPOSITION DE LOI. relative aux comptes bancaires inactifs et aux contrats d assurance vie en déshérence. N 110 S É N A T SESSION ORDINAIRE DE 2013-2014 7 mai 2014 PROPOSITION DE LOI relative aux comptes bancaires inactifs et aux contrats d assurance vie en déshérence. (procédure accélérée) Le Sénat a modifié,

Plus en détail

CoperfinFlash Extra. L équipe se forme. Dans ce numéro: Qui sont vos nouveaux managers? Mise en oeuvre de la nouvelle structure

CoperfinFlash Extra. L équipe se forme. Dans ce numéro: Qui sont vos nouveaux managers? Mise en oeuvre de la nouvelle structure L équipe se forme... CoperfinFlash Extra L équipe se forme Depuis début avril, l équipe de nos N-1 est au grand complet: Jean-Marc DELPORTE devient le nouvel Administrateur général de notre entité Impôts

Plus en détail

GESTION DES ARCHIVES

GESTION DES ARCHIVES GESTION DES ARCHIVES Principes et législation NOTIONS FONDAMENTALES D ARCHIVISTIQUE Définition de l archive Définition du producteur d archives Les outils de gestion des archives Principes Outils fondés

Plus en détail

ARCHIVES DE LA DIRECTION GÉNÉRALE CENTRE DE CRISE SERVICE PUBLIC FÉDÉRAL INTÉRIEUR DOSSIER D ÉTUDE ET DE PRÉPARATION DU TABLEAU DE TRI 2009

ARCHIVES DE LA DIRECTION GÉNÉRALE CENTRE DE CRISE SERVICE PUBLIC FÉDÉRAL INTÉRIEUR DOSSIER D ÉTUDE ET DE PRÉPARATION DU TABLEAU DE TRI 2009 ALGEMEEN RIJKSARCHIEF EN RIJKSARCHIEF IN DE PROVINCIËN ARCHIVES GÉNÉRALES DU ROYAUME ET ARCHIVES DE L ÉTAT DANS LES PROVINCES ARCHIEFBEHEERSPLANNEN EN SELECTIELIJSTEN TABLEAUX DE GESTION ET TABLEAUX DE

Plus en détail

PROSPECTUS CREDITS HYPOTHECAIRES A USAGE PRIVE CREAFIN N.V. DUWIJCKSTRAAT 17-2500 LIER REGISTRE DES PERSONNES MORALES MALINES 455.731.

PROSPECTUS CREDITS HYPOTHECAIRES A USAGE PRIVE CREAFIN N.V. DUWIJCKSTRAAT 17-2500 LIER REGISTRE DES PERSONNES MORALES MALINES 455.731. PROSPECTUS CREDITS HYPOTHECAIRES A USAGE PRIVE CREAFIN N.V. DUWIJCKSTRAAT 17-2500 LIER REGISTRE DES PERSONNES MORALES MALINES 455.731.338 2 SOMMAIRE 1. Qu est-ce qu un crédit hypothécaire? 2. Qui peut

Plus en détail

Concerne : Protocole Orientation usagers SPF Sécurité sociale et autorité fédérale

Concerne : Protocole Orientation usagers SPF Sécurité sociale et autorité fédérale Service public fédéral Sécurité sociale Service public fédéral Sécurité sociale Place Victor Horta 40 boîte 20 1060 Bruxelles Personne de contact Machteld Ory 02/528.63.18 machteld.ory@minsoc.fed.be Concerne

Plus en détail

Nature et risques des instruments financiers

Nature et risques des instruments financiers 1) Les risques Nature et risques des instruments financiers Définition 1. Risque d insolvabilité : le risque d insolvabilité du débiteur est la probabilité, dans le chef de l émetteur de la valeur mobilière,

Plus en détail

Un outil de pilotage stratégique en matière de gestion du personnel

Un outil de pilotage stratégique en matière de gestion du personnel Kader en doelstelling van de hervorming Het gesolidariseerde pensioenfonds van de RSZPPO Impact op de evolutie van de pensioenlasten voor de provinciale en lokale besturen Un outil de pilotage stratégique

Plus en détail

La dissolution et la liquidation en un seul acte

La dissolution et la liquidation en un seul acte La dissolution et la liquidation en un seul acte La loi du 25 avril 2014 portant des dispositions diverses en matière de Justice a apporté de nouvelles modifications à l'article 184, 5 du Code des sociétés

Plus en détail

3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux

3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux 3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux (111) Cette section présente une liste d actions recommandées qui devraient être mises en place par le gouvernement central

Plus en détail

ARCHIVES DES SERVICES EXTÉRIEURS DE LA DIRECTION GÉNÉRALE DES ÉTABLISSEMENTS PÉNITENTIAIRES TABLEAU DE TRI

ARCHIVES DES SERVICES EXTÉRIEURS DE LA DIRECTION GÉNÉRALE DES ÉTABLISSEMENTS PÉNITENTIAIRES TABLEAU DE TRI ALGEMEEN RIJKSARCHIEF EN RIJKSARCHIEF IN DE PROVINCIËN ARCHIVES GÉNÉRALES DU ROYAUME ET ARCHIVES DE L ÉTAT DANS LES PROVINCES ARCHIEFBEHEERSPLANNEN EN SELECTIELIJSTEN TABLEAUX DE GESTION ET TABLEAUX DE

Plus en détail

PROSPECTUS. PROSPECTUS 14 valable à compter du 01.01.2010

PROSPECTUS. PROSPECTUS 14 valable à compter du 01.01.2010 20 PROSPECTUS PROSPECTUS 14 valable à compter du 01.01.2010 Article 47 2 de la loi du 4 août 1992 relative aux Crédits Hypothécaires et l article 4 de l Arrêté royal du 5 février 1993 portant diverses

Plus en détail

Surveillance dosimétrique Note législative

Surveillance dosimétrique Note législative VL/NB Bruxelles, le 17 mars 2014 Surveillance dosimétrique Note législative 1 Un nouveau texte de loi vient de paraître. Il s agit de : Loi du 26 janvier modifiant la loi du 15 avril 1994 relative à la

Plus en détail

Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section sécurité sociale

Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section sécurité sociale Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section sécurité sociale CSSS/14/118 DÉLIBÉRATION N 14/063 DU 2 SEPTEMBRE 2014 RELATIVE À LA COMMUNICATION DE DONNÉES À CARACTÈRE PERSONNEL PAR L

Plus en détail

NOTE CIRCULAIRE IMMATRICULATION DES VÉHICULES DIPLOMATIQUES. (05 mars 2014)

NOTE CIRCULAIRE IMMATRICULATION DES VÉHICULES DIPLOMATIQUES. (05 mars 2014) Direction du Protocole P1.1 NOTE CIRCULAIRE IMMATRICULATION DES VÉHICULES DIPLOMATIQUES (05 mars 2014) Le Service public fédéral Affaires étrangères, Commerce extérieur et Coopération au Développement

Plus en détail

Changer de nom ou de prénom

Changer de nom ou de prénom Changer de nom ou de prénom Introduction Sous certaines conditions, une personne peut changer de nom ou de prénom. La procédure diffère légèrement selon qu il s agit d un changement de nom ou de prénom.

Plus en détail

Répertoire des instruments juridiques nationaux En rapport avec le fonctionnement des ONG en République Démocratique du Congo

Répertoire des instruments juridiques nationaux En rapport avec le fonctionnement des ONG en République Démocratique du Congo Répertoire des instruments juridiques nationaux En rapport avec le fonctionnement des ONG en République Démocratique du Congo Par G. KAHASHA ka NASHI Avocat Avec l assistance d une équipe du Cabinet KAHASHA

Plus en détail

Nomination des membres du Comité consultatif indépendant d experts de la Surveillance

Nomination des membres du Comité consultatif indépendant d experts de la Surveillance CONSEIL EXÉCUTIF EB126/25 Cent vingt-sixième session 30 décembre 2009 Point 7.2 de l ordre du jour provisoire Nomination des membres du Comité consultatif indépendant d experts de la Surveillance Rapport

Plus en détail

Comptes statutaires résumés Groupe Delhaize SA

Comptes statutaires résumés Groupe Delhaize SA Comptes statutaires résumés Groupe Delhaize SA Le résumé des comptes annuels de la société Groupe Delhaize SA est présenté ci-dessous. Conformément au Code des Sociétés, les comptes annuels complets, le

Plus en détail

Formes d investissement. Points forts & points faibles.

Formes d investissement. Points forts & points faibles. Formes d investissement. Points forts & points faibles. 1 Sommaire Introduction: Comment se constituer un portefeuille d investissement? 03 1. Dépôts et titres à court terme 07 1.1 Comptes d épargne réglementés

Plus en détail

Document d information n o 4 sur les pensions

Document d information n o 4 sur les pensions Document d information n o 4 sur les pensions Épargnes privées de retraite Partie 4 de la série La série complète des documents d information sur les pensions se trouve dans Pensions Manual, 4 e édition,

Plus en détail

Formes d investissement : points forts et points faibles

Formes d investissement : points forts et points faibles Formes d investissement : points forts et points faibles Table des matières Introduction: Comment se constituer un portefeuille d investissement?....4 I Dépôts et titres à court terme...7 1.1 Comptes d

Plus en détail

DES MEUBLES INCORPORELS

DES MEUBLES INCORPORELS de meubles incorporels (aussi appelée saisie-arrêt) est une procédure au moyen de laquelle il est possible pour un créancier d appréhender les biens dématérialisés constituant le patrimoine de son débiteur

Plus en détail

Quand peut-on se débarrasser d'un document?

Quand peut-on se débarrasser d'un document? Quand peut-on se débarrasser d'un document? En principe, quand toute contestation à son sujet est devenue impossible, c'est-à-dire quand le délai de prescription est dépassé. Mais ces délais sont très

Plus en détail

Les sept piliers de la sécurité sociale

Les sept piliers de la sécurité sociale Les sept piliers de la sécurité sociale 1) L Office National des Pensions (ONP) Très brièvement, il y a en Belgique un régime de pension légale, mais aussi des pensions complémentaires. On parle souvent

Plus en détail

Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section sécurité sociale

Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section sécurité sociale Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section sécurité sociale CSSS/13/065 DÉLIBÉRATION NR. 13/019 DU 5 MARS 2013 RELATIVE À LA COMMUNICATION DE DONNÉES À CARACTÈRE PERSONNEL À L ADMINISTRATION

Plus en détail

Demande d accès aux données de la Banque-Carrefour des Entreprises et de la base de données «Activités ambulantes et foraines»

Demande d accès aux données de la Banque-Carrefour des Entreprises et de la base de données «Activités ambulantes et foraines» Formulaire à renvoyer complété au Service de Gestion de la Banque-Carrefour des Entreprises, Bd du Roi Albert II, 16 à 1000 Bruxelles Helpdesk : Tél. : 02/277 64 00 e-mail : helpdesk.bce@economie.fgov.be

Plus en détail

GUIDE POUR L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL DES DESSINS ET MODÈLES INDUSTRIELS EN VERTU DE L ARRANGEMENT DE LA HAYE

GUIDE POUR L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL DES DESSINS ET MODÈLES INDUSTRIELS EN VERTU DE L ARRANGEMENT DE LA HAYE GUIDE POUR L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL DES DESSINS ET MODÈLES INDUSTRIELS EN VERTU DE L ARRANGEMENT DE LA HAYE (mis à jour en janvier 2015) Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle GENÈVE

Plus en détail

Envoi et réception des documents sociaux par voie électronique

Envoi et réception des documents sociaux par voie électronique 2008 Envoi et réception des documents sociaux par voie électronique EASYPAY GROUP Juli 2008 Table des matières Introduction... 3 Simplification administrative... 3 Participation au développement durable...

Plus en détail

LOIS. LOI n o 2014-617 du 13 juin 2014 relative aux comptes bancaires inactifs et aux contrats d'assurance vie en déshérence (1) NOR : FCPX1402615L

LOIS. LOI n o 2014-617 du 13 juin 2014 relative aux comptes bancaires inactifs et aux contrats d'assurance vie en déshérence (1) NOR : FCPX1402615L LOIS LOI n o 2014-617 du 13 juin 2014 relative aux comptes bancaires inactifs et aux contrats d'assurance vie en déshérence (1) NOR : FCPX1402615L L Assemblée nationale et le Sénat ont adopté, Le Président

Plus en détail

Les motifs de saisine de la commission de réforme

Les motifs de saisine de la commission de réforme Accueil > CDG71 > Santé au travail > Commission de réforme > Les motifs de saisine de la commission de réforme Les motifs de saisine de la commission de réforme Dernière modification le 22/07/2013 L'accident

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES DES PRIMARY DEALERS EN VALEURS DU TRESOR DU ROYAUME DE BELGIQUE

CAHIER DES CHARGES DES PRIMARY DEALERS EN VALEURS DU TRESOR DU ROYAUME DE BELGIQUE ROYAUME DE BELGIQUE SERVICE PUBLIC FEDERAL FINANCES ADMINISTRATION DE LA TRESORERIE Avenue des Arts, 30 B-1040 BRUXELLES CAHIER DES CHARGES DES PRIMARY DEALERS EN VALEURS DU TRESOR DU ROYAUME DE BELGIQUE

Plus en détail

Nécessité d un «électrochoc» fiscal

Nécessité d un «électrochoc» fiscal Les Analyses du Centre Jean Gol Nécessité d un «électrochoc» fiscal Janvier 2014 Administrateur délégué : Richard Miller Directrice : Laurence Glautier Directeur scientifique : Corentin de Salle Les analyses

Plus en détail

COMMUNIQUÉ DE PRESSE Argenta Bank- en Verzekeringsgroep SA

COMMUNIQUÉ DE PRESSE Argenta Bank- en Verzekeringsgroep SA COMMUNIQUÉ DE PRESSE Argenta Bank- en Verzekeringsgroep SA Résultats exceptionnels d Argenta pour l année de crise 2011 La cinquième banque de Belgique n a pas désappris le métier du banquier de détail.

Plus en détail

INDEX... 2 INTRODUCTION... 4 PÉRIODE... 4

INDEX... 2 INTRODUCTION... 4 PÉRIODE... 4 Monitoring Marchés publics Utilisation des applications d e-procurement dans les services de l Etat fédéral Avril 2013 Juin 2013 1 Index INDEX... 2 INTRODUCTION... 4 PÉRIODE... 4 RAPPORT POUR LES SERVICES

Plus en détail

AVIS D OUVERTURE DE L OFFRE SUR LES ACTIONS DE LA SOCIETE «BEST LEASE»

AVIS D OUVERTURE DE L OFFRE SUR LES ACTIONS DE LA SOCIETE «BEST LEASE» AVIS D OUVERTURE DE L OFFRE SUR LES ACTIONS DE LA SOCIETE «BEST LEASE» ADMISSION DES ACTIONS DE LA SOCIETE «BEST LEASE» AU MARCHE PRINCIPAL DE LA BOURSE : La Bourse a donné, en date du 25/06/2013, son

Plus en détail

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Annexe à la Déclaration de responsabilité de la direction englobant le contrôle interne en matière de rapports financiers (non vérifiée) Exercice 2011-2012

Plus en détail

LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4

LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4 Décembre 2003 Département Finances Développement Économique LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4 APPLICABLES A COMPTER DU 1 ER JANVIER 2004 Le Comité de Finances Locales, lors de sa séance du

Plus en détail

Journal Officiel - Numéro Spécial - 18 août 2006. 47 ème année OFFICIEL. de la République Démocratique du Congo. Cabinet du Président de la République

Journal Officiel - Numéro Spécial - 18 août 2006. 47 ème année OFFICIEL. de la République Démocratique du Congo. Cabinet du Président de la République 1 47 ème année JOURNAL OFFICIEL de la République Démocratique du Congo Cabinet du Président de la République LA NOMENCLATURE DES ACTES GENERATEURS DES RECETTES ADMINISTRATIVES, JUDICIAIRES, DOMANIALES

Plus en détail

FICHE «INTÉRÊTS LÉGAUX». Pour l année 2015 : 2,5% Avis publié au Moniteur belge du 30/01/2015.

FICHE «INTÉRÊTS LÉGAUX». Pour l année 2015 : 2,5% Avis publié au Moniteur belge du 30/01/2015. FICHE «INTÉRÊTS LÉGAUX». HAUTEUR BASE LÉGALE MODE DE CALCUL TAUX D INTÉRÊT LÉGAL Pour l année 2015 : 2,5% Avis publié au Moniteur belge du 30/01/2015. -Loi du 05/05/1865 relative au prêt à l intérêt. (M.B.

Plus en détail

Fiche info-financière Assurance-vie pour une combinaison des branches 21 et 23. Top Rendement 1. Type d assurance-vie

Fiche info-financière Assurance-vie pour une combinaison des branches 21 et 23. Top Rendement 1. Type d assurance-vie Fiche info-financière Assurance-vie pour une combinaison des branches 21 et 23 Top Rendement 1 Type d assurance-vie Assurance-vie individuelle avec taux d intérêt garanti (branche 21). En ce qui concerne

Plus en détail

En avril 2006, un citoyen produit sa déclaration de revenus 2005. En septembre de la même année, il constate une erreur dans sa déclaration initiale et produit une déclaration amendée à laquelle il joint

Plus en détail

INASTI. Visite par une délégation du Selfemployed Scheme and Workfare (Corée)

INASTI. Visite par une délégation du Selfemployed Scheme and Workfare (Corée) INASTI Visite par une délégation du Selfemployed Scheme and Workfare (Corée) INASTI A. Les services opérationnels B. Dépistage des travailleurs indépendants C. Perception des cotisations A. Les services

Plus en détail

Déclaration IPP 2015. Conférence de presse. Johan Van Overtveldt. 28 avril 2015 North Galaxy. Ministre des Finances

Déclaration IPP 2015. Conférence de presse. Johan Van Overtveldt. 28 avril 2015 North Galaxy. Ministre des Finances Déclaration IPP 2015 Conférence de presse Johan Van Overtveldt Ministre des Finances 28 avril 2015 North Galaxy 1 Agenda Rentrées des déclarations La déclaration 2015 Nouveau calcul d impôt Montant épargne-pension

Plus en détail

Tarif des principales opérations sur valeurs mobilières

Tarif des principales opérations sur valeurs mobilières Tarif des principales opérations sur valeurs mobilières Tarif en vigueur au er août 25 Achat et vente de titres 3. Fonds 3.2 Actions, warrants et certificats fonciers 4.3 Strips VVPR, droits de souscription

Plus en détail

Editorial. Chère lectrice, cher lecteur,

Editorial. Chère lectrice, cher lecteur, Version de : juillet 2013 Le point sur... Informations fournies par le ministère fédéral des Finances Les mécanismes européens de stabilité Sur la voie de l Union de la stabilité 1 2 3 4 ème volet Editorial

Plus en détail

Conseils & Accompagnement

Conseils & Accompagnement Conseils & Accompagnement Se lancer comme indépendant en personne physique ou en société? Aidez-vous de notre tableau comparatif pour prendre votre décision. N'hésitez pas à contacter nos conseillers pour

Plus en détail

Instructions administratives relatives au site web CHECKDOC et à l application DOCSTOP

Instructions administratives relatives au site web CHECKDOC et à l application DOCSTOP Service public fédéral Intérieur Direction générale institutions et population Service Population et Cartes d identité Instructions administratives relatives au site web CHECKDOC et à l application DOCSTOP

Plus en détail

DURÉE DE CONSERVATION DES DOCUMENTS EN DROIT LUXEMBOURGEOIS DESTINE AUX ENTREPRISES COMMERCIALES

DURÉE DE CONSERVATION DES DOCUMENTS EN DROIT LUXEMBOURGEOIS DESTINE AUX ENTREPRISES COMMERCIALES In colaboration with DES DOCUMENTS EN DROIT LUXEMBOURGEOIS DESTINE AUX ENTREPRISES COMMERCIALES Vous trouverez ci-dessous un guide consacré aux durées de conservation des documents en vertu du droit luxembourgeois

Plus en détail

> Guide 28 juillet 2008

> Guide 28 juillet 2008 > Guide 28 juillet 2008 Le travailleur frontalier Dans notre région frontalière, environ 5600 personnes résidant en Belgique traversent chaque jour la frontière pour venir travailler en France. Se pose

Plus en détail

SHARE DU COMPARTIMENT SHARE JAPAN

SHARE DU COMPARTIMENT SHARE JAPAN SHARE (ci-après la «Société») Société d Investissement à Capital Variable Siège social : 12, rue Eugène Ruppert, L-2453 Luxembourg R.C.S. Luxembourg N B 28.744 AVIS AUX ACTIONNAIRES DU COMPARTIMENT SHARE

Plus en détail

LES SOCIETES DE GESTION DE PATRIMOINE FAMILIAL

LES SOCIETES DE GESTION DE PATRIMOINE FAMILIAL LES SOCIETES DE GESTION DE PATRIMOINE FAMILIAL (SPF) www.bdo.lu 2 Les Sociétés de Gestion de Patrimoine Familial (SPF) TABLE DES MATIERES AVANT-PROPOS 3 1. INTRODUCTION 4 2. ACTIVITES D UNE SPF 2.1 Activités

Plus en détail

Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export

Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Depuis 2012, un ensemble d actions est engagé au service du renforcement

Plus en détail

Notes d allocution de la présidente et première dirigeante de la SADC, Michèle Bourque

Notes d allocution de la présidente et première dirigeante de la SADC, Michèle Bourque 1 Notes d allocution de la présidente et première dirigeante de la SADC, Michèle Bourque Autorité de règlement de faillite : le nouveau rôle de la SADC CD Howe Institute 9 juin 2014 INTRODUCTION Bonjour,

Plus en détail

Décret n 2008-517 du 20 mai 2008

Décret n 2008-517 du 20 mai 2008 Décret n 2008-517 du 20 mai 2008 Décret n 2008-517 du 20 mai 2008 fixant les modalités d organisation et de fonctionnement des Agences régionales de Développement. RAPPORT DE PRESENTATION En application

Plus en détail

Promotions économiques régionales

Promotions économiques régionales Le fil rouge pour la création d entreprise Lausanne Région Association de la Région Cossonay - Aubonne - Morges Association de la Région du Gros-de-Vaud INTRODUCTION Ce livret, édité par les trois associations

Plus en détail

Déclaration de succession: modifications importantes en Flandre

Déclaration de succession: modifications importantes en Flandre Déclaration de succession: modifications importantes en Flandre Avenue Lloyd Georges 11 I 1000 Bruxelles www.notairesberquin.be Eric Spruyt, notaire-associé Berquin Notaires scrl, Prof. KU Leuven et Fiscale

Plus en détail

Note méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1.

Note méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1. Version intégrale Note méthodologique 1. Les tableaux des ressources et des emplois dans les comptes nationaux L élaboration des comptes nationaux de la Belgique s effectue conformément à la méthodologie

Plus en détail

BANQUE NATIONALE DE SERBIE BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE MISSION DE M. BOSCHMANS

BANQUE NATIONALE DE SERBIE BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE MISSION DE M. BOSCHMANS BANQUE NATIONALE DE SERBIE BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE MISSION DE M. BOSCHMANS 1884/85 Commencement des opérations de la BNS La Banque nationale de Serbie exprime ses remerciements au Département de la

Plus en détail

Notre engagement de service

Notre engagement de service Heures d ouverture Lundi 8.30-12h 13-16h Mardi 8.30-12h 13-16h Mercredi 8.30-12h Jeudi 8.30-12h 13-16h Vendredi 8.30-12h Ou sur rendez-vous en dehors des heures d ouverture Notre engagement de service

Plus en détail

Orchestre national de Belgique et Théâtre royal de la monnaie Cycle du personnel

Orchestre national de Belgique et Théâtre royal de la monnaie Cycle du personnel Orchestre national de Belgique et Théâtre royal de la monnaie Cycle du personnel L Orchestre national de Belgique (ONB) et le Théâtre royal de la monnaie (TRM) poursuivent, au sein de l État fédéral, des

Plus en détail

crédit privé Transparent et avantageux

crédit privé Transparent et avantageux crédit privé Transparent et avantageux La pièce d identité doit impérativement contenir les informations suivantes: nom et prénom date de naissance nationalité et lieu d origine photo nº de la pièce d

Plus en détail

Conseil économique et social

Conseil économique et social NATIONS UNIES E Conseil économique et social Distr. GÉNÉRALE TRANS/WP.5/2003/7/Add.4 8 juillet 2003 FRANÇAIS Original: ANGLAIS COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L EUROPE COMITÉ DES TRANSPORTS INTÉRIEURS Groupe

Plus en détail

900 ISO 1 CERTIFIE D BCCA FI VITA INVEST.2

900 ISO 1 CERTIFIE D BCCA FI VITA INVEST.2 IS 1 O 900 CA CE RT IFI BC ED FIRM 51.30.259 07/14 VITA INVEST.2 VITA INVEST.2 CONDITIONS GENERALES DEFINITIONS A. Preneur d assurance La personne qui conclut le contrat avec l entreprise d assurances.

Plus en détail

KEYPLAN. Le bon plan pour faire avancer votre argent

KEYPLAN. Le bon plan pour faire avancer votre argent KEYPLAN Le bon plan pour faire avancer votre argent Table de matières Introduction 3 Les 2 règles d or pour investir 5 Les fonds, une excellente source d investissement 6 KEYPLAN, la solution idéale pour

Plus en détail

ARRETE n 1CM du 4 janvier 2001 relatif au plan comptable notarial de Polynésie française. (JOPF du 11 janvier 2001, n 2, p. 78)

ARRETE n 1CM du 4 janvier 2001 relatif au plan comptable notarial de Polynésie française. (JOPF du 11 janvier 2001, n 2, p. 78) 1 ARRETE n 1CM du 4 janvier 2001 relatif au plan comptable notarial de Polynésie française. (JOPF du 11 janvier 2001, n 2, p. 78) Le Président du gouvernement de la Polynésie française, Sur le rapport

Plus en détail

Chiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008

Chiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008 Chiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008 O:\Ifw-daten\IFW-FF\14 FinMaerkte_FinPlatzPolitik\143.2 FM CH Statistik\Publ Kennzahlen\Kennzahlen_Dezember08\Internet\Kennzahlen_CD-

Plus en détail

Qu est-ce qu un document?

Qu est-ce qu un document? OBJET La présente ligne directrice vise à aider les conseils scolaires à déterminer les renseignements qu ils doivent conserver conformément à leur programme de gestion de l information et de la vie privée

Plus en détail

Administrateur de bases de données pour le Registre National [ date ]

Administrateur de bases de données pour le Registre National [ date ] Administrateur de bases de données pour le Registre National [ date ] Direction générale Institutions et Population Registre National 1/5 Niveau de formation Etre en possession d un graduat ou bachelor

Plus en détail

Mobiliser l épargne pour l investissement productif. Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle

Mobiliser l épargne pour l investissement productif. Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle Mobiliser l épargne pour l investissement productif Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle 18 Juin 2014 1. Introduction La frilosité de l épargnant belge suite

Plus en détail

SAM/TES Samenwerken voor een meer rechtvaardige maatschappij Travailler ensemble pour une société plus juste

SAM/TES Samenwerken voor een meer rechtvaardige maatschappij Travailler ensemble pour une société plus juste DESCRIPTIF DE VISION SAM/TES Samenwerken voor een meer rechtvaardige maatschappij Travailler ensemble pour une société plus juste Un centre d expertise en tant que balise pour le huissier de justice soucieux

Plus en détail

Manuel de l utilisateur de l'application en ligne Données Historiques Capelo 01/07/2013

Manuel de l utilisateur de l'application en ligne Données Historiques Capelo 01/07/2013 CAPELO - DHG Manuel de l utilisateur de l'application en ligne Données Historiques Capelo 01/07/2013 Tour du Midi / Zuidertoren Bruxelles1060 Brussel T +32 (0)2 791 50 00 F +32 (0)2 791 50 99 www.capelo.be

Plus en détail

vos envois Direct Mail définition & exemples

vos envois Direct Mail définition & exemples vos envois Direct Mail définition & exemples le Direct Mail, un outil efficace à un tarifavantageux... Un outil efficace, c est prouvé Vous avez décidé d utiliser le Direct Mail comme média de communication.

Plus en détail

Fiche de projet pour les institutions publiques

Fiche de projet pour les institutions publiques POLITIQUE SCIENTIFIQUE FEDERALE rue de la Science 8 B-1000 BRUXELLES Tél. 02 238 34 11 Fax 02 230 59 12 www.belspo.be Fiche de projet pour les institutions publiques Cette fiche est remplie par une institution

Plus en détail

ReThink:Tax. Mobiliser l épargne pour l investissement productif. ReThink:Tax

ReThink:Tax. Mobiliser l épargne pour l investissement productif. ReThink:Tax Mobiliser l épargne pour l investissement productif Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle Bruxelles, 18 juin 2014 2 Une cellule de réflexion composée d experts

Plus en détail

Allianz Invest 1. Type d'assurance-vie. Public cible. Rendement. Garanties. Fonds

Allianz Invest 1. Type d'assurance-vie. Public cible. Rendement. Garanties. Fonds Fiche Info Financière Assurance-Vie branches 21 et 23 Allianz Invest 1 Type d'assurance-vie Allianz Invest est une assurance-vie combinant : Un rendement garanti de 0% par la compagnie d assurances et

Plus en détail

I- Le système déclaratif de l Administration douanière belge

I- Le système déclaratif de l Administration douanière belge Rabat, le 16/11/2011 ans le cadre des missions d études prévues dans le jumelage entre l Office des Changes et les institutions françaises partenaires, une visite d étude a été effectuée en Belgique du

Plus en détail

Notice méthodologique

Notice méthodologique Version intégrale Notice méthodologique 1. Base 1.1 Publications La Banque nationale de Belgique (BNB) publie, pour le compte de l Institut des comptes nationaux (ICN), les statistiques du commerce extérieur

Plus en détail

O5 CONSOLIDATION FINANCIÈRE

O5 CONSOLIDATION FINANCIÈRE O5 CONSOLIDATION FINANCIÈRE 5.1. Subventions pour la sécurité sociale Le SPF Sécurité sociale prépare les engagements et la liquidation des subventions de l État pour la sécurité sociale. Nous communiquons

Plus en détail

Obligations à prime du Canada Titres avec certificat (formulaire CPB-12) Achats avec certificat Table des matières

Obligations à prime du Canada Titres avec certificat (formulaire CPB-12) Achats avec certificat Table des matières Obligations à prime du Canada Titres avec certificat (formulaire CPB-12) Achats avec certificat Table des matières Généralités... 1 Conservation des documents... 1 Types de formulaires de souscription...

Plus en détail

Avis aux commettants et entrepreneurs Secteur du gardiennage

Avis aux commettants et entrepreneurs Secteur du gardiennage Avis aux commettants et entrepreneurs Secteur du gardiennage Introduction Les dispositions des articles 402 et 403 du Code des impôts sur les revenus 1992 (ci-après : CIR 92) ont été modifiées par la loi-programme

Plus en détail

FORMATION PRO BONO GÉRER LA COMPTABILITÉ D UNE PETITE ASSOCIATION

FORMATION PRO BONO GÉRER LA COMPTABILITÉ D UNE PETITE ASSOCIATION FORMATION PRO BONO GÉRER LA COMPTABILITÉ D UNE PETITE ASSOCIATION Pour plus d informations, visitez www.marathonprobono.fr/campus-hec-2012 Préambule Ce contenu pédagogique est destiné aux responsables

Plus en détail

Le consommateur est invité à participer au concours «Votre tournoi de golf pour 12 personnes» par une publicité imprimée dans le magazine Golf & Spa.

Le consommateur est invité à participer au concours «Votre tournoi de golf pour 12 personnes» par une publicité imprimée dans le magazine Golf & Spa. Le consommateur est invité à participer au concours «Votre tournoi de golf pour 12 personnes» par une publicité imprimée dans le magazine Golf & Spa. 1. Durée du concours Le concours «Votre tournoi de

Plus en détail

TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE

TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE ORGANISATION FOR ECONOMIC CO-OPERATION AND DEVELOPMENT TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE 14-15 septembre 2006 Séoul, Corée Déclaration de Séoul (version définitive) CENTRE

Plus en détail

SOCIÉTÉ AU CANADA. Présentation du pays. Une place onshore. Page 1 1 CAD = 0.99. Délai de création : 5 jours. Sociétés pré-constituées : Oui

SOCIÉTÉ AU CANADA. Présentation du pays. Une place onshore. Page 1 1 CAD = 0.99. Délai de création : 5 jours. Sociétés pré-constituées : Oui INFORMATIONS GÉNÉRALES Présentation du pays Délai de création : 5 jours Sociétés pré-constituées : Oui Comptabilité : Obligatoire Secrétariat : Obligatoire Actionnariat anonyme : Oui Directeur nominé :

Plus en détail

PRIVATE EQUITY. La solidité et la prospérité du marché suisse. Un rendement stable et durable dans l immobilier locatif et hôtelier

PRIVATE EQUITY. La solidité et la prospérité du marché suisse. Un rendement stable et durable dans l immobilier locatif et hôtelier VIRGIN REAL ESTATE INVEST PRIVATE EQUITY La solidité et la prospérité du marché suisse Un rendement stable et durable dans l immobilier locatif et hôtelier L excellence de la place luxembourgeoise. ADEJE

Plus en détail

CONDITIONS PARTICULIERES RELATIVES A LA FACILITE DE CAISSE I - En vigueur à partir du 23 mars 2015

CONDITIONS PARTICULIERES RELATIVES A LA FACILITE DE CAISSE I - En vigueur à partir du 23 mars 2015 Article 1. Terminologie CONDITIONS PARTICULIERES RELATIVES A LA FACILITE DE CAISSE I - La Banque : bpost banque S.A. Rue du Marquis 1 bte 2-1000 Bruxelles, TVA BE 0456.038.471, RPM Bruxelles qui agit en

Plus en détail

crédit-logement prospectus n 8 d application à partir du 10 octobre 2014

crédit-logement prospectus n 8 d application à partir du 10 octobre 2014 crédit-logement prospectus n 8 d application à partir du 10 octobre 2014 Prospectus Crédits-logement Ce prospectus est applicable à toutes les sociétés appartenant au Groupe AXA, soit AXA Belgium et AXA

Plus en détail

abri fiscal placement ou autre mécanisme financier qui vous permet de protéger une partie de vos gains de l impôt pendant une certaine période

abri fiscal placement ou autre mécanisme financier qui vous permet de protéger une partie de vos gains de l impôt pendant une certaine période Voici les définitions de quelques mots clés utilisés dans le cadre du programme Connaissances financières de base. Ces mots peuvent avoir des sens différents ou refléter des notions distinctes dans d autres

Plus en détail

POLITIQUE DE GESTION DES DOCUMENTS

POLITIQUE DE GESTION DES DOCUMENTS MANUEL DE POLITIQUES, PROCÉDURES ET RÈGLEMENTS ADMINISTRATIFS POLITIQUE DE GESTION DES DOCUMENTS Code: Politique 2.8 Date d entrée en vigueur : Mai 2000 Nombre de pages: 9 Origine: Services juridiques

Plus en détail

APERÇU DE LA POLITIQUE EN FAVEUR DES PERSONNES HANDICAPEES EN BELGIQUE

APERÇU DE LA POLITIQUE EN FAVEUR DES PERSONNES HANDICAPEES EN BELGIQUE APERÇU DE LA POLITIQUE EN FAVEUR DES PERSONNES HANDICAPEES EN BELGIQUE - 1 - Les fondements de la politique belge actuelle en faveur des personnes handicapées datent des années 60. Ils répondaient à une

Plus en détail