Les défaillances d entreprises augmentent de 3,4 % sur le 1 er trimestre 2014

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1 1/5 défaillances et sauvegardes d entreprises : l analyse TRIMESTRIelle D altares Les défaillances d entreprises augmentent de 3,4 % sur le 1 er trimestre entreprises sont en cessation de paiement, comme en emplois sont directement menacés sur ces trois premiers mois. Nanterre, le 15 avril D&B, membre du réseau Dun & Bradstreet, 1 er réseau international d informations BtoB, présente son étude trimestrielle sur les défaillances et sauvegardes d entreprises du 1 er trimestre 2014.) Les difficultés se concentrent sur les micro-entreprises (+14%) ; À l inverse, les défaillances de PME de plus de 50 salariés sont au plus bas depuis la crise (- 28 %). «Du mieux pour les PME, en particulier manufacturières, tandis que les TPE continuent à broyer du noir. Le clivage s accentue sur le front des défaillances d entreprises ce premier trimestre 2014.» souligne Thierry Millon, Responsable des études chez -D&B. «Dans une conjoncture qui manque encore de tonus et de perspectives, la reprise profite en amont aux acteurs du B2B, mais se fait attendre par les TPE dépendant de la consommation des ménages.» Les micro-entreprises, payent un lourd tribut. Sur les trois premiers mois de l année, entrepreneurs sans salarié ont été contraints de déposer le bilan. La plupart d entre eux se sont présentés devant le tribunal dans une situation financière à ce point fragile que 80 % ont été immédiatement liquidés. Les structures anciennes enregistrent les dégradations les plus sévères sur ce début d année. Pendant que les défaillances d entreprises de moins de trois ans reculent de 8 %, celles de plus de cinq ans augmentent de 8 %. Cette vulnérabilité des micro-entreprises, présentes sur l ensemble du territoire et des secteurs, propage le risque sur la plupart des régions et des activités de B2C, comme les services aux particuliers, le bâtiment ou le commerce de détail. Les sociétés de plus grande taille s inscrivent sur de meilleures tendances ; les défaillances de PME de plus de 50 salariés n ont jamais été aussi peu nombreuses (113) depuis la crise (189 en 2009T1). Cette meilleure résistance se traduit par un millier d emplois préservés par rapport à début 2009 ; Si encore emplois sont directement menacés par les défaillances d entreprises de ces trois premiers mois, ils étaient sur le premier trimestre De plus, l essentiel des PME a obtenu du tribunal de poursuivre l activité sous redressement judiciaire, leur permettant ainsi d étudier la mise en place d un plan de sortie de procédure.. «Cependant, les deux tiers de structures financières trop fragilisées n y parviendront pas.» prévient Thierry Millon. Seule la moitié des PME défaillantes est à jour de publication de comptes (bilan 2013 ou 2012). Et pour celles dont le dernier bilan publié est antérieur à 2012, la moitié seulement dégageait encore un bénéfice.

2 2/5 «Le manque de cash est alors vite insurmontable et le crédit fournisseur une fausse alternative ; les trois quarts de PME défaillantes ce premier trimestre réglaient leurs fournisseurs avec plus de 15 jours de retard.» observe Thierry Millon. «Panne de consommation des ménages pour les unes, modèle à réinventer pour d autres, les TPE comme les PME n ont plus les moyens financiers de faire le dos rond en attendant une reprise qui leur échappe encore. La liquidation judiciaire est redoutée par beaucoup d entre eux mais aussi par leurs clients comme leurs fournisseurs, qui faute d avoir vu venir la défaillance de leur partenaire commercial, pourraient à leur tour manquer la reprise.» Nombre de défaillances d entreprises par type de procédure (Données arrêtées au 8 avril de chaque année) 2009 T T T T T T1 Evolution 2013/2012 Sauvegardes ,2 % Redressement judiciaire ou Liquidation Judiciaire directe ,4 % Dont RJ ,9 % Dont LJ ,7 % TOTAL FRANCE ,4 % Dont PME 50 salariés ,6 % Total Emplois menacés ,2 % Autant de défaillances d entreprises qu en pleine crise Début 2009, au cœur la crise, plus de entreprises étaient en cessation de paiement. Cinq ans plus tard, ce nombre reste inchangé. Sur le premier trimestre 2014, entreprises (+ 3,7 %) ont fait l objet d une liquidation judiciaire directe et (+ 2,9 %) d un redressement judiciaire. Sur 12 mois glissants, le cap des cessations de paiement franchi en janvier 2010 est désormais tout proche (62 400). Le total des défaillances (RJ, LJ et sauvegardes) de ce premier trimestre 2014 est ainsi quasi identique à celui constaté en pleine crise (16 860). Forte sinistralité des micro-entreprises, les PME-ETI bien mieux orientées. Les micro entreprises sans salariés : symptôme d une consommation qui patine, la sinistralité des micro-entreprises bondit de plus 13,5 % sur le premier trimestre 2014 comparé à début ont déposé le bilan en trois mois, c est 800 de plus qu un an plus tôt. TPE employant de 1 à 9 salariés : les TPE s inscrivent à nouveau dans le vert. Après un début d année 2013 compliqué, durant lequel les RJLJ avaient augmenté de 7 %, le premier trimestre 2014 est mieux orienté (- 2,7 %), mais encore petites entreprises ont connu une procédure collective.

3 3/5 Les PME-ETI de 10 salariés et plus : un millier (1 091) de sociétés d au moins 10 salariés ont fait l objet d un redressement ou d une liquidation judiciaire sur les trois premiers mois Ce nombre est en baisse de 3,6 %. Confirmation d une reprise d activité pour les secteurs B2B en amont de l économie, le recul des défaillances s accélère avec la taille de l entreprise. Ainsi, le nombre d ouvertures de RJLJ diminue de 30 % sur les sociétés de plus de 100 salariés, de 17 % sur celles de 50 à 99 salariés et de 7 % sur celles de 20 à 49 salariés. Une frange de PME reste, toutefois, mal orientée, celles de 10 à 19 salariés qui voient le nombre de procédures collectives augmenter de 1,3 %. L industrie manufacturière et le commerce inter-entreprises sont dans le vert, le B2C est à la peine L industrie manufacturière porte les meilleures tendances. Avec 729 cessations de paiement sur les trois premiers mois (- 6,9 %), le secteur enregistre son meilleur chiffre (hors période estivale) depuis la crise. La plupart des activités industrielles surfent sur la reprise. Dans son sillage, le commerce inter-entreprises (commerce de gros) confirme ce regain de forme. Les cessations de paiement reculent de 2,8 %. Le Commerce d équipements informatiques périphériques et de logiciels demeure, toutefois, à l écart de l amélioration ; Une trentaine d acteurs ont déposé le bilan (+ 19 %). Les tensions observées chez les grossistes en informatique se confirment dans les services. Les RJLJ bondissent de 16,4 % dans les services informatiques & édition de logiciels mais ils avaient reculé de 15 % en Les augmentations sont sensibles dans la programmation informatique (68 ; + 10 %) et le conseil en systèmes et logiciels informatique (87 ; + 21 %). Sur l ensemble des services aux entreprises, les défaillances sont en hausse de 4,8 % (1 918). La dégradation est davantage concentrée dans les activités scientifiques et techniques (+6,8 %) telles que le conseil pour les affaires et conseils de gestion (+ 8 %), les agences de publicité (+ 6 %) ou les architectes (+ 25 %). Les activités de services administratifs aux entreprises contiennent l augmentation des défaillances à + 2,7 % mais, parmi elles, la sécurité privée enregistre une hausse de 5,6 % et le nettoyage courant des bâtiments de 10,4 %. Les activités financières et d assurance ne sont pas épargnées (+ 38,6 %), en particulier les fonds de placement (+ 50 %) ou les agents et courtiers d assurances (+ 42 %). Parmi les autres activités de services, le transport routier de marchandises s inscrit dans le rouge (+ 6 %). Le transport routier de fret interurbain reste bien orienté (- 12 %) tandis que le fret de proximité est à la peine (+ 14 %). Les métiers plus proches du consommateur sont tous dans le rouge. Les cessations de paiement augmentent ainsi de 3,5 % dans les services aux particuliers, particulièrement chez les coiffeurs (+ 13,1 %). Dans la restauration (+ 2,5 %), le rythme est tiré par la restauration rapide (+ 5,8 %) plus que la restauration traditionnelle (+ 1,4 %). Le commerce détail contient la hausse des défaillances à 2,7 % (2 288) mais plusieurs activités dérapent fortement. C est le cas vente à distance (+ 41,2%), du meuble (+ 11 %) ou du prêt à porter (+ 6,8 %). La dégradation est également sévères dans quelques métiers de bouche comme des épiceries (+ 17,9 %), boucheries (+ 23,3 %) et chez les artisans boulangers (+ 14,1 %). Les activités de santé ne sont pas épargnées. Si les volumes de défaillances restent faibles, les RJLJ augmentent de 15 % dans les pharmacies, 18 % dans l optique et 12 % dans la santé humaine.

4 4/5 Traditionnellement, une cessation de paiement sur quatre est constatée dans le bâtiment. Ce premier trimestre le constate encore avec (+ 2,3 %) dépôts de bilan. Bien orientés il y a un an, les travaux de revêtement des sols et des murs dérapent sensiblement (+ 23 %) comme ceux de la menuiserie (+ 13 %). D autres restent mal orientés comme les travaux de plâtrerie (+ 3 %) ou de charpente et couverture (+ 5 %). Dans la construction de maisons individuelles, les ouvertures de RJLJ augmentent de 4 %. Dans l agriculture, l élevage enregistre une dégradation rapide (+ 46 %). Moins de défaillances sur une grande moitié Est de la France L Île-de-France, PACA et Rhône-Alpes concentrent 4 défaillances sur 10 : Avec 20 % des défaillances d entreprises, l Île-de-France donne le ton. Sur ce premier trimestre 2014, la tendance est lourde (+ 9,7 % ) Plusieurs départements affichent de fortes évolutions mais le début d année 2013 avait été très bien orienté. La Seine-Saint-Denis avait en revanche mal commencé 2013 (+ 10 %) et reste dans le rouge début 2014 (+ 6 %). La région Provence-Alpes-Côte-D azur s inscrivait en amélioration il y a un an (- 12 %), mais dérape de 8,1 % cette année avec cessations de paiement. Les Alpes-Maritimes se démarquent en consolidant la baisse des défaillances (- 9 % après un recul de 13 % un an plus tôt). Les Alpes-de-Haute-Provence affichent la meilleure performance (- 48 %). Troisième sur le podium, la région Rhône-Alpes comptabilise cessations de paiement mais connait une amélioration sensible (- 7,2 %), rattrapant quasiment la hausse de l année dernière. Tous les départements sont dans le vert, exception faite de la Loire (+ 3 %) après déjà une hausse de 20 % début Huit régions comptabilisent de 500 à RJLJ : La première d entre-elles, la région Languedoc-Roussillon reste dans le rouge (5,5 %) après un début 2013 déjà mal orienté (+ 7,8 %). L Hérault qui porte la moitié des défaillances tire la dégradation avec une hausse de 10 % sur le premier trimestre 2014 comme Le voisin, Midi-Pyrénées est au contraire dans le vert (- 4,8 %) porté par l ensemble des départements à l exception du Tarn-et-Garonne (+ 10 %) et des Hautes-Pyrénées (+ 30 %). Les Pays-de-la-Loire présentent la même tendance (- 4,8 %). Les autres régions enregistrent tune augmentation du nombre de défaillances : + 5 % en région Centre, + 4,8 % en Aquitaine, + 3,7 % en Bretagne et + 6,7 % en Nord-Pas-de-Calais. L Alsace affiche la dégradation la plus forte de l ensemble des régions à + 27,8 %. La tendance est tirée par le Bas-Rhin (+ 46 %). La moitié des régions comptabilise moins de 500 cessations de paiement. Les 4 régions du quart Nord-Est qui entourent l Alsace sont bien orientées : la Franche-Comté (- 16,9 %), la Bourgogne (- 11,2 %), la Lorraine (- 7,4 %) et la Champagne-Ardenne (- 6,9 %). L Auvergne (+ 0,4 %), la Haute-Normandie (+ 3,8 %), la Picardie (+ 2,8 %) et le Poitou-Charentes (+ 1,7 %) contiennent la hausse sous les 5 %.

5 5/5 La Basse-Normandie (+ 19,3 %) et le Limousin (+ 15,5 %) connaissent de fortes dégradations mais le premier trimestre 2013 avait été très bien orienté (respectivement - 20,8 % et - 14,8 %). La Corse compte moins de 100 RJLJ (99) mais s inscrit sur une tendance sévère (+ 17,9 %) : les industries manufacturières et le commerce interentreprises seront les locomotives de la reprise «Comme attendu, 2014 démarre difficilement pour les petites entreprises. Ces dernières attendent de pouvoir profiter elles-aussi des premiers signaux encourageants donnés par les PME. Le deuxième trimestre pourrait être moins sévère que le premier, même si environ entreprises, essentiellement des petites, seront encore contraintes de déposer le bilan. Pour 2014, la consolidation de la reprise doit permettre de renforcer la croissance des chiffres d affaires et surtout des marges des PME-ETI. L industrie manufacturière et le commerce interentreprises devraient en être les premiers bénéficiaires, avant de pouvoir embarquer dans leur sillage le reste de l économie. Dans ces conditions, le nombre des redressements et liquidations judiciaires pourrait être voisin de pour le premier semestre avant de retomber vers en deuxième partie d année, soit un volume annuel légèrement inférieur à celui de La prévention du risque commercial et financier va donc rester un point d attention strict pour les acheteurs, les fournisseurs ou les investisseurs. Toutefois, pour gagner le pari de la reprise il faudra que chaque entreprise soit également capable de saisir, et donc détecter très en amont les meilleurs signaux des opportunités de croissance!» conclut Thierry Millon. A PROPOS D ALTARES Membre du réseau Dun & Bradstreet, 1 er réseau international d informations BtoB, se positionne comme le partenaire de référence des directions opérationnelles (Achat/Finance/Commerce/Marketing) des grands comptes et ETI. La société propose à ses clients de tous secteurs d activités un accès privilégié à ses bases de données légales et financières sur plus de 220 millions d entreprises dans le monde. Elle leur permet ainsi de prendre les bonnes décisions au bon moment en bénéficiant d informations et de solutions à forte valeur ajoutée. produit trimestriellement des études de référence sur «les défaillances d entreprises» et les «retards de paiement». La société compte 300 collaborateurs et réalise un chiffre d affaires de 55 millions d euros.

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