ÉTAT DES LIEUX DES LIVING LABS DE LA FILIÈRE «INDUSTRIES CRÉATIVES» DANS LES RÉGIONS DU PROJET ALCOTRA
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1 ÉTAT DES LIEUX DES LIVING LABS DE LA FILIÈRE «INDUSTRIES CRÉATIVES» DANS LES RÉGIONS DU PROJET ALCOTRA Irène Berthezène pour la Cité du design Région Rhône-Alpes Janvier 2013
2 SOMMAIRE Introduction - p.4 I. Le cadre de l étude p.5 A. La démarche «Living Lab» - p.5 1. Un concept plébiscité par l Union européenne - p.5 2. Un processus d innovation ouverte - p.5 3. Une méthodologie de travail centrée sur l utilisateur - p.6 4. Un nouveau modèle économique - p.7 5. Un environnement dédié à l innovation - p.8 6. Un label - p.10 B. Des écosystèmes disparates - p Des particularités régionales et historiques - p Des structures protéiformes - p Des échelles de projet diverses - p.13 C. Les Living Labs de la filière «industries créatives» - p «Les industries créatives», un concept récent - p Définition - p Reconnaître les Living Labs concernés - p Potentiel des Living Labs de la filière - p Méthodologie appliquée à l étude - p.16 II. L identification des Living Labs et de projets similaires selon leur champ d application p.18 A. Les projets de la filière «image en mouvement» - p.14 Les exemples d Imaginove, Plaine Images, Laval Mayenne Métropole, PACA Labs B. Les projets de muséographie - p.24 Les exemples de Muse, PACA Labs, Erasme C. Les projets de valorisation des territoires et du patrimoine - p.27 Les exemples de Roero Lab, Marcovaldo, La Casemate, PACA Labs D. Les projets de design - p.32 Les exemples de «designers en Résidence», la Cité du Design III. Les forces et les faiblesses des Living Labs p.38 A. Des étapes méthodologiques communes - p L appel à projets - p Le workshop et les autres formes d atelier collaboratif - p Le prototype in situ - p.42 B. Des outils d innovation ouverte à mutualiser - p.45 2
3 1. Les espaces de coworking - p L open data et le crowdsourcing - p Les réseaux sociaux - p.48 C. Les facteurs de réussite - p Les écueils à éviter - p Quelques éléments clefs - p.50 Conclusion p.52 Quelques pistes de problématiques communes Annexes p.53 Fiches signalétiques des organismes recensés p.54 RoeroLab p.55 Associazione Culturale Marcovaldo p.56 Living Lab Muse p.58 ICT Usage Lab p.59 Service innovation numérique de la région PACA p.60 Innov'Lab Toulon Var Technologie (TVT) p.61 Pôle Numérique p.62 Imaginove p.63 Erasme p.65 Casemate p.68 DCC - Living Lab Cité du design p.70 Plaine Images p.73 Laval Mayenne Technopole p.75 Ouest Media Lab p.76 La 27e Région p.78 IDEaCT p.80 Digital Spaces Living Lab p.82 Virtual Dimension Center Fellbach p.84 MFG Baden-Württemberg p.85 Glossaire p.86 Sources p.90 Remerciements p.91 3
4 Introduction : contexte et enjeux de l étude Dans le cadre du projet stratégique ALCOTRA INNOVATION, la région Rhône-Alpes, leader pour le domaine des industries créatives, a retenu la Cité du design comme expert méthodologique et thématique. Pour faire émerger un ou des projets de systèmes de production transfrontaliers dans ce domaine, la Cité du design a lancé une étude sur les Living Labs de la filière, et plus particulièrement dans les cinq régions concernées par le projet ALCOTRA (régions Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d Azur pour la France, régions Piémont, Val d Aoste, Ligurie, et province de Turin pour l Italie). En effet, parmi les différents concepts visant à inclure l utilisateur dans une démarche d innovation et de co-conception de produits et services, celui du Living Lab semblerait être le plus pertinent pour initier des collaborations régionales entre entreprises, clusters, centres de recherche, universités et institutions. Cet état des lieux a donc pour objectif de recenser les Living Labs de la filière industries créatives des régions du programme ALCOTRA, ainsi que de pointer les organismes implantés dans d autres régions ou pays, dont les projets et leur conduite pourraient intéresser les partenaires. L étude comparative entre les diverses organisations structurelles, les méthodes et les réalisations de chaque organisme doit permettre de relever à la fois les problématiques émergentes communes aux régions du programme, et les bonnes pratiques à reprendre, mutualiser, améliorer. 4
5 I. Le cadre de l étude A. La démarche «Living Lab» 1. Un concept plébiscité par la Communauté européenne Le concept «Living Lab» a été développé à la fin des années 1990 par le professeur William J. Mitchell, du Massachusetts Institute of Technology (MIT). L idée initiale était de créer, à l échelle d une région, les ressources nécessaires pour accélérer les processus d innovation et leur mise sur le marché, tout en réduisant les risques inhérents à ce type d expérimentation. En Europe, le terme «Living Lab» apparaît en 2006 et correspond à un programme européen lancé sous la présidence finlandaise de la Communauté européenne, ayant pour objectif de fédérer des initiatives locales qui mettaient notamment en œuvre les Technologies de l information et de la communication (TIC) 1 et de leur permettre de se développer en réseau. Depuis, ce terme a été largement repris en Europe et dans le monde pour représenter des écosystèmes d'innovation ouverte qui regroupent des acteurs publics, privés, des entreprises, des associations, des acteurs individuels (en anglais, les quatre P : Public-Private-People Partnerships ). Leur objectif est de tester grandeur nature des services, des outils ou des usages nouveaux. Le concept «Living Lab» désigne un espace d information et de rencontres organisé entre chercheurs, entreprises et société civile. Ces lieux d échange permettent, en y associant activement les utilisateurs, de réfléchir à de nouvelles idées ou nouveaux concepts, de co-produire des prototypes, de tester des usages et d améliorer les produits ou les services avant leur production et leur mise sur le marché. Ces dernières années, le développement de nombreux Living Labs en Europe a contribué à l amélioration de la compétitivité et la croissance des régions où ils sont implantés. 2. Un processus d innovation ouverte Le développement des Living Labs fait partie d un phénomène plus vaste de refonte des méthodologies de collaboration aussi bien dans les entreprises que dans les administrations. Il répond à la nécessité économique actuelle des États, des Régions, des entreprises d être de plus en plus compétitifs en produisant toujours plus d innovation. C est désormais l innovation qui fait la croissance (ou l absence de croissance). L enjeu économique n est plus de faire ce que font les autres, ou de le faire mieux, mais de faire autre chose. Cette course à l innovation est à la fois engendrée et permise par le développement des Technologies de l information et de la communication dans les années quatrevingt-dix, qui se retrouvent aujourd hui au cœur de la majeure partie des activités des individus et de la société. Des notions comme «l open source» ou les «licences creatives commons», les médias dits «participatifs», les portails de savoirs 1 Voir glossaire 5
6 collaboratifs issus du web 2.0 2, les outils comme les imprimantes 3D, ouvrent de nouvelles perspectives aux entreprises, les contraignant parfois à repenser leur métier et leur modèle économique. L innovation n est plus le fruit du travail d une personne ou d un groupe dans l entreprise (bureau d étude, service marketing, service commercial ou autre) qui apporte une réponse nouvelle à un problème rencontré. Elle est le résultat d une démarche qui s appuie sur les ressources, expériences et expertises des différents acteurs qui gravitent autour de l entreprise : clients, fournisseurs, partenaires privés et publics, laboratoires de recherche et utilisateurs finaux ; cette nouvelle approche est qualifiée «d innovation ouverte», par opposition à l innovation traditionnelle qui se déroule au sein de l entreprise. Un exemple simple est celui de Wikipedia, où des utilisateurs inconnus co-créent le contenu de l encyclopédie, participant ainsi au développement de l outil. Cartographie d une entreprise pratiquant l innovation ouverte 3. Une méthodologie de travail centrée sur l utilisateur L une des caractéristiques du Living Lab est de donner lieu à un prototypage in situ. Ce système encourage la participation active des utilisateurs à des processus d innovation dans des domaines socio-économiques comme l'économie et l'environnement, la santé et les médias. L utilisateur peut être un groupe d individus sans liens particuliers, ou une communauté ciblée et identifiée par les besoins communs de ses membres, les seniors ou les touristes par exemple ; il peut être l usager d un service public ; il peut être aussi un professionnel, entreprise ou collectivité qui, à son tour, testera le nouveau service ou le nouveau produit auprès de ses clients/usagers. Le concept «Living Lab» est donc plus qu un simple dispositif expérimental, puisqu il transforme l utilisateur, généralement considéré comme un problème, en une source de création de valeur. En s appuyant sur des infrastructures et des méthodologies adaptées, le Living Lab s adjoint un réservoir de talents parmi les utilisateurs régionaux par le biais d appels à participation, des milieux estudiantins, des réseaux 2 Voir glossaire 6
7 de partenaires ou en pratiquant la cooptation. Des communautés d individus se construisent ainsi au fil du temps, qui sont à disposition pour imaginer, développer et créer des services ou des outils innovants répondant à leurs espérances et leurs nécessités. Ce dispositif doit engendrer des services ou produits plus pertinents, puisque le besoin a été identifié grâce à la collaboration de l utilisateur, et que ce dernier a également été impliqué dans les phases de création et de test. Selon l agence digitale Le Hub, ce principe doit permettre notamment de pallier les déficiences du cycle d innovation traditionnel, suivant lequel seulement 2 à 10 % des innovations trouveraient une place sur le marché, les autres étant abandonnées dès qu elles sont confrontées à l usage (ou au non-usage) des particuliers Un nouveau modèle économique Le concept «Living Lab» est basé sur un modèle économique nouveau et qui ne cesse de s inventer. L utilisateur est la clef d orgue de la collaboration entre les entreprises, la société civile, les institutions et les chercheurs. Le modèle économique adopté par un Living Lab dépend en grande partie des conditions de sa fondation. Certains sont avant tout un groupement d experts dans un domaine donné, à la recherche d opportunités de développement. Ils peuvent par exemple être initiés par des universités ou des écoles, qui souhaitent enrichir leurs recherches en les confrontant à des entités ou personnalités non académiques. C est le cas du Scottish Living Lab, fondé à l initiative de six universités et écoles écossaises, et implanté dans l université d Edimbourg. D autres Living Labs sont d abord portés par un territoire qui cherche à accompagner la compétitivité de ses entreprises, ou à améliorer la qualité de vie de ses habitants. Cette ambition s appuie sur une démarche de développement durable notamment dans les services publics : transports, gestion des déchets, des énergies. Mais les Living Labs résultent le plus souvent de la synergie entre ces groupes. La multiplication des acteurs implique la multiplication des décideurs, mais aussi celle des financeurs. L utilisateur final est souvent volontaire et bénévole, il est très rarement rémunéré parfois défrayé. Derrière lui, ce sont les institutions (région, collectivité territoriale, municipalité) qui prennent le relai et financent a minima les infrastructures du Living Lab, et qui sont souvent parties prenantes des projets. Mais les sources de revenus de l organisation proviennent plutôt de ses activités commerciales. Le Living Lab initie notamment la première phase de développement d un produit avec l aide de chercheurs, service recherché par de nombreuses entreprises qui préfèrent l externaliser. À l apport financier des entreprises en quête d innovation s ajoute celui des investisseurs et des sponsors potentiels intéressés par un projet d avenir. 3 «Innovation ouverte // Les living labs français se mettent en réseau», Rubrique Actualités sur Le hub Agence (18 octobre 2011), < 7
8 Agence Le Hub, schéma d un Living Lab, <www.lehub-agence.com> Bernhard R. Katzy, Living Lab business excellence model, <www.timreview.ca> 8
9 5. Un environnement dédié à l innovation Un Living Lab, c est avant tout un lieu physique dédié à l innovation ouverte, ancré dans un territoire, où se rencontrent essentiellement trois catégories d acteurs : l acteur économique qu il soit public (collectivité, région, etc.) privé (entreprise) ou simple porteur de projet ; l expert le laboratoire de recherche, le chercheur, l ingénieur, le designer, mais aussi l artiste ou le bidouilleur ; l utilisateur des nouveaux produits et services en question concrètement la société civile, l habitant du quartier, voire l élu qui le représente. Ces lieux vont du simple bureau sur un campus universitaire, à la technopole rassemblant des dizaines d entreprises, en passant par la pépinière ou l espace de coworking. À l espace physique s ajoute l espace numérique dédié à la mise en réseau des compétences : wikis 4, outils intranet et réseaux sociaux dont la culture du partage d informations inspire largement les Living Labs. Ces technologies facilitatrices permettent d inventer de nouvelles manières de travailler ensemble (Voir partie III sur les outils). Site de la Plaine Images à Tourcoing Site de la Cité du design à Saint-Étienne 4 Voir glossaire 9
10 6. Un label Living Lab, Crea Lab, City Lab, Media Lab, Open Lab, voire Open Living Lab : de nombreux organismes ajoutent le vocable «lab» ou même «living lab» à leur projet, qu il soit pérenne ou temporaire, qu il soit réellement porteur d innovation ou qu il soit simplement une opération de communication. Cet effet de mode entretient une confusion autour de ce terme, qu une classification des écosystèmes d innovation ouverte ou une labellisation du Living Lab tel qu il est défini plus haut pourrait lever. Au niveau européen, la Commission européenne a sponsorisé l initiative OpenLivingLabs, nom donné au réseau européen de Living Labs. Ainsi, l'association européenne ENOLL (European Network Of Living Lab) attribue depuis 2006 une certification européenne, après examen de la candidature de l organisme. À son tour, l Association France Living Labs (F2L) s est constituée en mars 2012 pour fédérer, soutenir et dynamiser le réseau français des quarante-neuf Living Labs labellisés par ENOLL. Aujourd hui, ENOLL recense trois cent vingt Living Labs dans le monde, dont deux-cents soixante-neuf en Europe. Ces associations proposent des cartographies des Living Labs labellisés, aident à leur promotion, leur développement, organisent des évènements, relaient des informations en vue de fédérer des initiatives susceptibles de se développer en réseaux. Par exemple, les organismes européens qui lancent des initiatives autour des services mobiles innovants peuvent échanger sur leurs résultats, et obtenir des retours d'utilisateurs européens de différents pays. Les entreprises qui participent à ces réseaux profitent ainsi d'une expérience à l'échelle européenne. L appartenance au réseau ENOLL est une reconnaissance pour ses membres. Les initiatives labellisées «Living Lab», si elles ne reçoivent pas directement de financement de l Europe, peuvent plus facilement prétendre à des financements européens, en plus du soutien de pouvoirs publics locaux. Mais il faut préciser que certains organismes labellisés ont échoués, d autres sont temporairement inactifs ; à l inverse, certaines initiatives qui ont toutes les caractéristiques et qualités requises pour demander le label ENOLL ne soumettent pas leur candidature à l association européenne, par manque d'informations, de temps, de motivation financière. Le recensement d ENOLL est donc loin d être complet, et s il donne une base pour répertorier des Living Labs de qualité, il ne permet pas d avoir une vue d ensemble des projets de collaboration ouverte qui pourraient intéresser les partenaires du programme ALCOTRA. 10
11 Cartographie des Living Labs du réseau ENoLL En résumé, le terme «Living Lab» correspond à une méthodologie de travail innovante, portée par un modèle économique nouveau, permise par les possibilités des technologies numériques, sanctionné par un label. Il est parfois difficile de distinguer parmi ces facteurs celui qui a été le moteur de la création d un Living Lab. Cela explique la diversité des modes de gouvernance, mais aussi d ambition entre les Living Labs. Dans la situation économique, sociale et technologique actuelle, la démarche «Living Lab» n en reste pas moins une réponse dynamique à la nécessité de changement que beaucoup perçoivent. Elle offre un espace où un nouveau type de confrontation entre les acteurs se crée, qui s apparente plus à de la négociation. Ils ont la possibilité d y réinventer leurs rôles. Les entreprises peuvent sortir d une logique de marché fragmenté et trouver de nouveaux débouchés. Les régions, en s attribuant le rôle d arbitres de cette nouvelle boucle, accroissent leur dynamisme et leur influence. Enfin un nouveau type de citoyenneté concrète et engagée peut émerger de cette forme d interaction. 11
12 B. Des écosystèmes disparates 1. Des particularités régionales et historiques La diversité des activités des Living Labs trouve souvent son origine dans le contexte historique et géographique de son territoire d implantation. Dans les régions italiennes concernées, il n existe pas de Living Labs de la filière industries créatives à proprement parler. Les projets qui peuvent intéresser l étude sont issus de clusters ou de structures régionales. Ils sont souvent impulsés par les grands centres économiques comme Turin, mais peuvent aussi être à l initiative de petites communes de régions de moyenne ou de haute altitude, qui souhaitent pallier à leur isolement en mettant en valeur leur patrimoine culturel : églises, châteaux, villages, vignobles. Sur la côte, c est la ville de Gênes en Ligurie qui déploie une politique culturelle en adéquation avec son statut de port cosmopolite et de ville dynamique. Elle fait partie du réseau européen des villes créatives «Creative Cities». Ce réseau est basé sur l idée que la culture peut jouer un rôle important dans le renouvellement urbain. Elle est un atout considérable dans le développement de nouvelles stratégies économiques. Les industries créatives contribuent à la structure sociale d une ville, à sa diversité culturelle et à l amélioration de la vie quotidienne ; elles peuvent aider les communautés à se définir une identité commune. En France, le système des Living Labs est mieux connu et plus largement répandu. Historiquement, le dynamisme des industries textile, mécanique, pharmaceutique et chimique de la région Rhône-Alpes a favorisé l essor de la recherche dans de nombreux domaines, et notamment dans celui des industries créatives de l image, avec la création de pôles de compétitivité comme Imaginove, ou du design avec la Cité du design de Saint-Étienne. En région PACA, c est le développement d activités comme la microélectronique, les biotechnologies, les technologies de la mer et les écotechnologies qui a permis l implantation de nombreux pôles de compétitivité axés sur les nouvelles technologies. Autour de l Agence Régionale de l Innovation (ARI) que constitue le consortium Méditerranée Technologies se déploient plusieurs actions au service de l innovation en région. 2. Des structures protéiformes Beaucoup de Living Labs sont des organismes engagés dans des processus d innovation qui sont antérieurs au concept même de Living Lab, et qui ont évolué vers un écosystème d innovation ouverte rassemblant les caractéristiques du Living Lab. C est le cas d Erasme, service du département du Rhône qui était chargé à son origine de suivre le déploiement de réseaux haut débit sur le territoire et d accompagner l utilisation de ces réseaux par les collectivités locales. D autres Living Labs se structurent au sein d un pôle de compétitivité, d une entreprise ou d une association. La plupart des Living Labs, lorsqu ils ne sont pas intégrés aux services d une région, sont des associations loi Le cas de la Cité du design est particulier, puisqu il s agit d un Établissement Public de Coopération Culturelle (EPCC). 12
13 3. Des échelles de projet diverses Les projets des Living Labs n ont pas la même ampleur, qu ils soient locaux ou nationaux, impulsés par un organisme privé ou public. On peut distinguer trois échelles de projet, qui n impliquent pas les mêmes acteurs et ne demandent pas les mêmes moyens. Les manifestations éphémères : expositions, foires, salons, évènements culturels, fêtes. Elles peuvent prendre la forme de services qui s adressent aux professionnels, comme le Marché international du film d'animation (Mifa) à Annecy, accompagné par Imaginove ; ou de manifestations grand public qui engagent toute une communauté d habitants, comme le dôme Ecotype installé prochainement à Valbonne Sophia Antipolis (voir partie II, A). Les projets pérennes : ils sont destinés à être implantés durablement dans l espace public, ou adoptés de manière ferme par ses utilisateurs, comme le projet de réalité augmentée mis en place par le Pôle Numérique (voir fiche signalétique). Les projets évolutifs : ce sont des projets appelés à évoluer dans le temps sous l impulsion des utilisateurs. C est le cas de projets comme Citymedia en région PACA, qui vivent et évoluent selon l usage qu en font les utilisateurs. Quelle que soit l échelle du projet, on peut noter qu il n est pas communiqué de la même manière selon sa destination. Imaginove par exemple travaille essentiellement pour des professionnels, et utilise donc des techniques et un vocabulaire propres au milieu de l audiovisuel. En revanche, un projet destiné à être implanté dans l espace public nécessite une communication grand public qui oblige à une forme de vulgarisation du langage technique de la part de ses auteurs. 13
14 C. Les Living Labs de la filière «industries créatives» Le commerce et la consommation des biens et services culturels ont été facilités ces vingt dernières années par le développement des Technologies de l information et de la communication. Le concept «Living Lab» est né de ces mêmes possibilités. Les TIC facilitent les échanges transversaux entre les concepteurs et les utilisateurs du développement, pour que ce dernier ne soit pas uniquement technologique et économique, mais aussi social, environnemental et culturel. Cela fait des Living Labs des laboratoires d usages prometteurs pour les industries créatives. Comme pour les Living Labs, il est indispensable d essayer de cerner les contours flous de ce concept avant de décliner les organismes qui s y rattachent. 1. «Les industries créatives», un concept récent Le terme «économie créative» est apparu en 2001 dans le livre de John Howkins sur les relations entre la créativité et l économie. Pour Howkins, «ni la créativité ni l économie ne sont nouvelles, ce qui est nouveau est la nature et l étendue des liens entre elles et la manière dont elles se combinent pour créer une valeur et une richesse extraordinaires» 5. Quels sont ces liens? Le développement des TIC a favorisé de nouvelles formes d expression artistique et créative. Ces avancées ont aussi modifié les modes de consommation actuels, en faisant chuter le prix de certains produits, permettant aux consommateurs d élargir leur éventail d expériences culturelles. Cette hausse de la demande est visible dans le secteur du tourisme par exemple, où la visite des sites patrimoniaux, musées, galeries, festivals s est développée et a permis une diversification notable de l offre. En 2004, à la XIe Conférence Ministérielle de la CNUCED 6, le sujet des industries créatives fut introduit pour la première fois dans l agenda de l économie et du développement international. En 2008, Les Nations Unies invitent la CNUCED à poursuivre et renforcer son travail en la matière. La Conférence intergouvernementale sur les politiques culturelles pour le développement, rassemblée par l UNESCO 7 à Stockholm en 1998, conclut que les politiques culturelles en tant que moteur de la diversité culturelle devaient promouvoir la production et diffusion de biens et services culturels diversifiés, notamment en termes de promotion des industries culturelles des entreprises créatives dans le monde entier. 2. Définition À la croisée des arts, du commerce et de la technologie, les industries créatives peuvent être définies comme «ces industries qui trouvent leur origine dans la créativité, les compétences et le talent d une personne et qui ont un fort potentiel de croissance et d emploi à travers la production et l exploitation de la propriété intellectuelle.» 8 5 John Howkins, «The creative economy - How people make money from ideas», éd. Penguin, CNUCED : Conférence des Nations Unies sur le Commerce et le Développement. 7 UNESCO : Organisation des Nations Unies pour l Éducation, la Science et la Culture. 8 UK Creative Industries Task Force,
15 Faisant l objet de nombreuses variantes, la définition des industries créatives est, de plus, soumise aux profonds changements des techniques de production, de reproduction, de distribution et de consommation des produits culturels. Selon l UNESCO 9, au-delà des industries culturelles traditionnellement reconnues que sont l édition, le cinéma, la musique, la radio, la télévision et les arts de la scène ainsi que, depuis peu, les jeux vidéo, la notion d industries créatives peut inclure l architecture, le design, la publicité, l artisanat, la mode ou le tourisme culturel. Étonnamment, les arts numériques ne font pas partie de ce classement alors qu ils répondent à la définition énoncée. Classification des industries créatives selon la CNUCED, <www.unctad.org> 3. Reconnaître les Living Labs concernés Comme dans d autres secteurs économiques, on assiste à un phénomène de regroupement des industries créatives, en clusters notamment. Les entreprises profitent ainsi des avantages liés à la concentration de marchés potentiels, de l abondance des flux d informations, du potentiel d innovation. Certains Living Labs trouvent leur origine dans cette proximité. L économie créative s étend à un large éventail de domaines dans lesquels œuvrent les Living Labs : nouveaux usages des TIC, éducation, développement économique, culturel et touristique d un territoire. Les industries créatives se retrouvent donc à la fois dans les outils et technologies utilisés par les Living Labs (3D, réalité virtuelle, serious game 10 ), et dans leurs domaines d application. Cette ambigüité, conjuguée à la multiplicité des modèles économiques de Living Lab évoquée plus haut, ne permet pas une reconnaissance aisée de ceux que l on pourrait rattacher à la filière «industries créatives». 9 «Comprendre les industries créatives, les statistiques culturelles et les politiques publiques», UNESCO, GACD, en ligne, <www.acpcultures.eu>. 10 Voir glossaire 15
16 Or il n existe pas de classement officiel des activités des Living Labs. On peut toutefois distinguer les Living Labs spécialistes d une ou plusieurs technologies relevant des industries créatives, comme le Laval Virtual Reality City Living Lab, qui rassemble diverses compétences en réalité virtuelle, réalité augmentée et 3D ; ceux qui sont directement au service d une catégorie d industries créatives, comme Imaginove avec les entreprises du secteur audiovisuel ; enfin ceux comme Erasme qui travaillent sur les possibilités des technologies numériques dans divers secteurs, dont celui des musées qui relève des industries créatives. 4. Potentiel des Living Labs de la filière Les industries créatives sont prometteuses en termes de croissance et de création d emplois, et elles sont en outre des véhicules d expressions culturelles stimulantes pour les nations et les individus. Pendant la dernière décennie, à l instar des Nations Unies, de nombreux gouvernements dans le monde ont pris conscience de cet atout économique et culturel et ont commencé à développer des politiques visant à promouvoir ces industries. Cette réévaluation de ce qui était considéré naguère comme un secteur marginal, recevant une attention limitée de la part des chercheurs, a suscité un nombre croissant d analyses, de statistiques et d exercices de mapping de la relation entre culture, industries de la créativité et développement économique. Mais le secteur souffre encore d un déficit de compréhension, et les tentatives de mesure précise de l activité économique du domaine posent des problèmes considérables. Le concept «d industrie créative» dans la définition des politiques publiques reste encore récent, et tous les gouvernements ne sont pas persuadés de l intérêt de traiter spécifiquement ce secteur. Dans ce contexte un peu brouillé, les Living Labs ont un rôle de plateforme de connexion et d information important à jouer : ils peuvent créer le lien manquant entre les industries créatives et les autres entreprises, entre les industries créatives et les individus. En amont des projets, ils organisent le contexte nécessaire à ces rencontres et peuvent les animer de manière à expliquer, vulgariser les possibilités et les atouts de ces industries, permettant ainsi l éclosion de nouvelles idées. Ils peuvent aider au développement et notamment au financement de projets créatifs qui manquent souvent de visibilité, de partenaires, de débouchés. En les soumettant à l appréciation de l utilisateur final, ils obligent leur(s) porteur(s) à un réalisme qui peut parfois être bénéfique pour le projet. Enfin, ils peuvent les amener jusqu au prototypage final, phase à laquelle ils sont trop nombreux à devoir renoncer. 5. Méthodologie appliquée à l étude Les organismes pratiquant l innovation ouverte fonctionnent par nature en réseau avec d autres organismes, et les liens de filiation, de collaboration, de partenariats matériels, financiers et humains qu ils développent sont à première vue difficiles à démêler. Le réseau ENOLL permet d identifier une partie d entre eux, mais ceux-ci appartiennent le plus souvent à une nébuleuse qui peut s avérer être intéressante à prendre en compte dans son ensemble. Dans le cadre et le temps donné à cette étude, il n était pas réaliste d établir un mapping détaillé des Living Labs de la filière industries créatives, avec leurs projets et leurs partenaires. Le recensement qui suit s efforce d être complet en ce qui concerne 16
17 les régions partenaires du programme ALCOTRA. Les entités listées hors de ces régions servent plutôt d exemples de projets intéressants ou de bonnes pratiques repérés ailleurs, mais ne constituent pas un document exhaustif. Les organismes retenus sont répertoriés sur une carte pour ceux implantés dans les régions partenaires, et dans un tableau comparatif pour l ensemble. Ils font l objet de fiches signalétiques placées en annexe. Un questionnaire personnalisé leur a été soumis, suivant leur histoire, leur structure et leur spécialité, qui permet d approfondir certains points intéressants cette étude. Le questionnaire suit la fiche signalétique si l organisme a répondu. L étude décrit nécessairement plus en détails les projets de ces derniers, et ne peut donc donner une vision complète des activités des Living Labs. 17
18 II. L identification des Living Labs et de projets similaires selon leur champ d application Par commodité, dans la partie qui suit le terme «projet» peut recouvrir l activité d un Living Lab dans son ensemble s il est totalement dédié aux industries créatives, aussi bien qu un projet précis issu d un Living Lab. Chaque organisme identifié en vert fait l objet d une fiche signalétique en annexe. 18
19 nom RoeroLab Associazione Culturale Marcovaldo Label LL Type d'organisme agence gouvernement ale Piémont (Cisterna d'asti) patrimoine association Piémont (Caraglio) patrimoine Utilisateur(s) final(aux) Touristes, visiteurs, habitants du Roero Touristes, visiteurs, habitants de la province de Cuneo Living Lab Muse X association PACA (Toulon) Musées Musées Lab Transmedia pas d'informations ICT Usage Lab X cluster (?) Service innovation numérique de la région PACA Innov'Lab Toulon Var Technologie (TVT) Service de la région association Pôle Numérique X association Imaginove X cluster Erasme Casemate DCC - Living Lab Cité du design Plaine Images Laval Technopole X En cours de deman de X X Service du département association Établissement Public de Coopération Culturelle (EPCC) département d'une Société d'économie Mixte (SEM) association Ouest Media Lab X association La 27e Région site web https://sites.google.com/si te/livinglabmuse/ PACA (Marseille) Transmedia pas d'informations pas d'informations mars.labtransmedia.fr/ PACA (Sophia Antipolis) PACA (Marseille) PACA (Toulon) Rhône-Alpes (Valence) Rhône-Alpes (Villeurbanne) Rhône-Alpes (St Clément Les Places) Rhône-Alpes (Grenoble) Rhône-Alpes( Saint- Étienne) Nord Pas-de-Calais (Tourcoing) Pays de la Loire (Laval) Pays de la Loire (Nantes) Ile de France (Paris) IDEaCT X Rome Digital Spaces Living Lab Virtual Dimension Center Fellbach MFG Baden- Württemberg Innovation numérique, tous secteurs Innovation numérique, tous secteurs Innovation numérique, tous secteurs Innovation numérique, tous secteurs Audiovisuel Musées, seniors, éducation Relation arts et sciences Design Audiovisuel Innovation tous secteurs Médias numériques Politiques publiques des Régions En Italie Innovation tous secteurs Autres pays INRIA Appel à projets PACALabs La Cantine by TVT Innovation non communiqué Museomix, résidences sur laclasse;com Projet en cours de montage LVRC (Laval Virtual Reality Capital) Cas particulier : intérêt des méthodologies employées X Bulgarie (Sofia) Médias numériques KidsLab X Allemagne (Fellbach) 3D / réalité virtuelle Allemagne (Baden- Wurttemberg) En France Projets intéressants hors régions partenaires En France TIC, medias et industries créatives? Divers selon les projets Divers selon les projets Organsimes localisés dans les régions partenaires En Italie Projets (si distincts localisation spécialité du Living Lab luimême) innovation-et-economienumeriques/pacalabs.html Chefs d entreprises, associations, chercheurs, porteurs outils/la-cantine-by-tvt- de projets, étudiants, INNOVATION citoyens, du secteur du numérique ou non Entreprises, associations et habitants de la Drôme, visiteurs Entreprises, écoles, chercheurs, créateurs et concepteurs de la filière de l image en mouvement Divers selon les projets Habitants, visiteurs, associations et entreprises de la région grenobloise Entreprises, commerces, collectivités, habitants de la région et visiteurs Entreprises et chercheurs du secteur de l image, artistes Entreprises et chercheurs et om Groupes de presse, télévisions locales, radios, médias, association de blogueurs, fr/ collectivités ou organismes publics éditeurs de contenus. Les régions, leurs directions et leurs habitants. Divers selon les projets enfants Entreprises, chercheurs, universités Divers selon les projets Entreprises, chercheurs, universités. KidsLab : fo innovation.mfg.de/ Tableau comparatif des Living Labs et projets retenus dans le cadre de l étude 19
20 A. Les projets de la filière «image en mouvement» L expression «image en mouvement» englobe les secteurs de l audiovisuel (cinéma, télévision, vidéo), les jeux vidéo, l animation et le multimédia. En réalité, elle comprend aujourd hui des technologies pointues comme la réalité augmentée, l immersion virtuelle, la projection numérique ou les interfaces tactiles. Les exemples cités montrent la diversité des usages de l image en mouvement selon sa destination : professionnels, grand public ou communauté ciblée d utilisateurs. On retrouvera l image en mouvement dans la plupart des projets rassemblés sous d autres chapeaux que celui-ci, mais cette sous-partie traite spécifiquement des Living Labs spécialistes de cet outil. En Rhône-Alpes, Imaginove déploie quatre sites pour encourager et fédérer les entreprises du secteur. Ce Living Lab a pour mission de soutenir la création, la production et la diffusion de contenus dans tous les domaines de l image en mouvement. Il initie des projets et des collaborations entre les entreprises, mais aussi entre ces dernières et les écoles, les universités, les laboratoires de recherche. Il apporte ses services à ses adhérents sur les thèmes suivants : recherche et développement, emploi et formation, commercial et international, salons et évènements, veille et laboratoire d usages, financement. Les appels à projets, les ateliers, les tables rondes, les évènements comme le Marché international du film d'animation (Mifa) à Annecy permettent à ce cluster de dynamiser ce secteur économique dans la région. Quelques exemples : Imaginove s intéresse tout particulièrement au serious game 11, phénomène qu il accompagne par un appel à projets «serious game et nouveaux usages» et un événement lié, «serious game expo». Il favorise des rencontres entre jeunes créateurs et professionnels, grâce à l événement Talent Day ou le site de recrutement Ganuta Job. Enfin son think tank réunit des experts sur des sujets comme la multiplication de projets documentaires aux frontières de l interactif. Un autre exemple de «Pôle Image» en plein développement se situe dans la Région Nord-Pas de Calais, dans la métropole lilloise, où vient d ouvrir le site de Plaine Images. En parallèle de ses missions d accueil, de soutien et de fédération des entreprises, Plaine Images a intégré sur son site un espace de travail, l Imaginarium, qui accueille des laboratoires de recherche travaillant sur le thème «sciences et cultures du visuel». Cet espace regroupe un cluster de recherches sur les Visual Studies 12 (icavs) et une plateforme technologique (irdivs). Il accueille aussi des artistes en résidence pour favoriser les échanges entre les deux univers. C est dans ce cadre qu Emmanuelle Grangier, artiste plasticienne, et Arnaud Revel, chercheur en robotique, ont développé Link Human/robot, #1 territoires, performance chorégraphique qui met en scène un robot et une danseuse, et qui questionne l évolution de la relation singulière humain/robot. Un autre exemple de projet issu de la collaboration d un artiste et d une entreprise de Plaine Images est l'œuvre Fantaisie RA de l artiste Pierre Giner. Les visiteurs par leur présence déclenchent l'apparition sur un grand écran de leur double dansant (exposition Dans l'ordinateur de Pierre Giner). 11 Voir glossaire 12 Voir glossaire 20
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