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2 i i LŽgende de la couverture Quelques images de lõobservatoire de Haute ProvenceÉ En partant de la photographie situže en haut ˆ gauche et en tournant dans le sens des aiguilles dõune montreê: - le tžlescope de 1,20m ŽquipŽ dõune camžra pour lõimagerie CCD - le tžlescope automatique ROSACE du CNES, pour lõobservation des satellites gžostationnaires - un des LIDARS de la station de gžophysique, membre du ržseau mondial de surveillance de la stratosph re - le tžlescope de 1,93m - les coupoles des tžlescopes de 1,93m et 0,80m - les coupoles du tžlescope de 1,93m et du Grand Prisme Objectif ( F.X. ƒmery) - le spectrographe ƒlodie du tžlescope de 1,93m qui, depuis 1995, sõillustre dans la džcouverte des plan tes extrasolaires. OBSERVATOIRE DE HAUTE-PROVENCE F SAINT MICHEL L'OBSERVATOIRE France Tel. (33) TŽlŽcopie (33) CoordonnŽesÊ: 5 42Õ47ÕÕ E 43 55Õ53ÕÕ N 1- Les nombres [ ] renvoient au tableau 1 page 17

3 iii Centre National de la Recherche Scientifique OBSERVATOIRE DE HAUTE PROVENCE USR 2207 ISSN RAPPORT D'ACTIVITƒ 2000 UniversitŽ de Provence Aix-Marseille I Observatoire Astronomique Marseille-Provence

4 i v TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION i 1.- Rapport scientifique et technique 1 Rapport d'activitž des astronomes visiteurs 3 Rapport d'activitž des membres du groupe scientifique 13 Publications 17 Tableaux de temps de tžlescope 29 Rapport d'activitž de la station de GŽophysique 37 Rapport d'activitž du service de la Luminescence AtmosphŽrique 44 RŽalisations des services techniques 45 MŽtŽorologie Formation et diffusion de la science Organigramme et liste du personnel Rapport Administratif 63 Exercice Les nombres [ ] renvoient au tableau 1 page 17

5 v INTRODUCTION Le 1 er janvier 2000, lõohp est devenu UnitŽ de Service et de Recherche du CNRS, au sein de lõobservatoire Astronomique ÒÊMarseille-ProvenceÊÓ. Ce dernier lui offre un nouveau cadre de travail et de coopžration avec les autres Žtablissements quõil regroupe, le Laboratoire dõastrophysique de Marseille (issu de la fusion du Laboratoire dõastronomie Spatiale et de lõobservatoire de Marseille) et le Laboratoire dõinterfžromžtrie Stellaire et ExoplanŽtaire (hžbergž sur le site de lõohp). LÕannŽe 2000 a ŽtŽ riche en activitžs techniques, notamment avec les projets VIRMOS et HARPS, et a connu une activitž dõobservations (astronomiques et gžophysiques) soutenue. Toutefois, les nombreux džparts ˆ la retraite passžs et ˆ venir, la perte des savoirs qui en ržsulte, demeurent au centre de nos pržoccupations. Au moment o nous mettons la derni re main ˆ ce Rapport dõactivitž, une Žtude intžressante est publiže sur ÒÊlÕimpact des grands tžlescopesêó (Benn & S nchez 2001, PASP 113, 385). Nous reproduisons ci-dessous (Fig. 1 et 2) deux diagrammes de cet article qui comparent la production scientifique des principaux tžlescopes optiques. CÕest avec satisfaction que nous constatons que le tžlescope de 1,93 m de lõohp y figure et quõil y figure en tr s bonne place, puisque sur chacun des deux diagrammes, il occupe une position ŽlevŽe, situže tr s largement au-dessus de la moyenne. Nous Žtions convaincus de la qualitž de la production scientifique de notre Observatoire. LÕŽtude quantitative de Benn et S nchez nous montre que notre tžlescope de 1,93 m est parmi les meilleurs de sa catžgorie É et ce nõest pas nous qui le disonsê! Pouvions-nous souhaiter meilleur constat pour finir ce si cle et meilleur encouragement pour lõavenirê? Jean-Pierre SIVAN, Directeur

6 v i Figure 1 Ce diagramme est la reproduction de la figure 2 de lõarticle de Benn & S nchez (2001, PASP 113, 385). En abscisse est portž le diam tre du miroir du tžlescope. En ordonnže est donnž le taux (normalisž) de citation des articles basžs sur des observations utilisant chaque tžlescope, publižs entre 1995 et Ce param tre mesure ÒÊlÕimpact scientifiqueêó dõun tžlescope. Dans la double Žchelle logarithmique de la figure, le meilleur ajustement entre les points est linžaireê: il montre que ÒÊlÕimpact scientifiqueêó est proportionnel ˆ la surface collectrice. Le 193 de lõohp (džsignž par ÒÊHaute 2ÊÓ) est situž largement au-dessus de la droite moyenne. Son Žcart ˆ celle-ci signifie quõil a un ÒÊimpactÊÓ trois fois plus grand que lõimpact moyen des tžlescopes de 2 m. Figure 2 Ce diagramme est la reproduction de la figure 3 de lõarticle de Benn & S nchez (2001, PASP 113, 385). Il compare les taux de citations normalisžs (cf. fig 1) des Žpoques et ÒÊLÕimpact scientifiqueêó du 193 (Haute 2) a doublž entre les deux pžriodes considžržes. 1- Les nombres [ ] renvoient au tableau 1 page 17

7 1 1. RAPPORT SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE

8 2 Rapport dõactivitž des astronomes visiteurs I. Le syst me solaire Les plus petits tžlescopes de lõohp sont toujours tr s appržcižs par les spžcialistes des petits corps du syst me solaire. Cette annže encore ils ont permis des observations originales et des džcouvertes dans le domaine des com tes, des astžro des et des satellites des plan tes gžantes. Des observations photomžtriques ˆ travers divers filtres interfžrentiels ont ŽtŽ effectužes au tžlescope de 1,20 m pour les com tes C/LINEAR (1999 S3), C/LINEAR (1999 H3) et C/SKIFF (1999 J2). La com te C/1999 LINEAR S4 a ŽtŽ observže avec le tžlescope de 0,80 m lors de son passage au pžrihžlie entre le 24 et le 28 juillet Des changements morphologiques spectaculaires de la chevelure ont ŽtŽ observžs au cours de cette pžriode, pržcždant la rupture du noyau en de multiples fragments, un ŽvŽnement observž en temps ržel et confirmž ultžrieurement par le tžlescope spatial. Gr ce ˆ des images CCD prises ˆ travers quatre filtres polaro ds orientžs ˆ 45 les uns des autres, il a ŽtŽ Žtabli que la com te C/1999 LINEAR S4 appartient aux com tes ˆ fort taux de polarisation de la classification de Levasseur-Regourd et al. (1996). Le fragile noyau comžtaire semble formž de blocs et les poussi res ŽjectŽes ont des dimensions, des formes et des structures peu diffžrentes de celles qui sõžchappent habituellement des ržgions externes. Trois programmes simultanžs sont poursuivis aux tžlescopes de 1,20 et 0,80 m pour amžliorer la connaissance des astžro des. - AstromŽtrie dõastžro des impliqužs dans des rapprochements mutuelsê: en 2000, 19 astžro des parmi 65 ont ŽtŽ observžs pour tenter de džterminer leur masse par džflexion gravitationnelle. De nouvelles donnžes sont encore nžcessaires. - Surveillance dõoccultations stellairesê: onze rapprochements stellaires ont ŽtŽ observžs et permettent de confirmer ou dõinfirmer les observations du ržseau EAON (photomžtrie CCD en mode vidžo ržalisže au 0,80 m). - Recherche de satellites dõastžro desê: la džtection de satellites dõastžro des par signature astromžtrique du mouvement barycentrique a ŽtŽ tentže sur un ensemble dõobservations de 146 Lucina. La capacitž de džtection a ŽtŽ džmontrže. Les missions pržvues en 2001 devront permettre une analyse dõžchantillons plus denses de plusieurs astžro des suspectžs de binaritž. 1- Les nombres [ ] renvoient au tableau 1 page 17

9 Au cours de ces observations au 1,20 m, plusieurs nouveaux objets ont ŽtŽ observžs et sont maintenant ržpertorižs au Minor Planet Center (2000 SK136, 2000 QM226, 2000 SR328, 2000 SS328, 2000 WQ123). Dans le cadre de lõamžlioration des ŽphŽmŽrides des satellites des plan tes et de la compržhension de la dynamique du syst me solaire, des campagnes dõobservations astromžtriques des satellites lointains de Jupiter et de Saturne sont ržguli rement effectužes depuis plusieurs annžes avec la camžra CCD du tžlescope de 1,20 m. En aožt, novembre et džcembre 2000, les satellites S-9 de Saturne et J-6 ˆ J13 et J-17 de Jupiter ont ŽtŽ observžs. (voir ) On notera, dans un mode plus traditionnel, lõutilisation du tžlescope de Schmidt pour la photomžtrie photographique de lõastžro de (4486) Mithra et le suivi dõune dizaine dõastžro des connus. 3 II. Plan tes extrasolaires La recherche des plan tes extrasolaires autour des Žtoiles de type solaire sõest poursuivie. LÕassemblŽe gžnžrale de lõuai ˆ Manchester (Aožt 2000) fut lõoccasion dõannoncer la 5 me plan te džcouverte ˆ lõohp. Cette plan te de m 2 sin i = 5 M Jupiter et de pžriode 1161 jours est en orbite excentrique autour de lõžtoile HD Parmi les quelques 350 Žtoiles de lõžchantillon stellaire suivi avec ƒlodie de nombreuses Žtoiles pržsentent des variations de longue pžriode. Plus de 10 ont džjˆ des orbites pržliminaires pour de nouvelles plan tes et seront pour la plupart annoncžes en Les džcouvertes des exoplan tes sont suffisamment nombreuses pour permettre lõžtude des distributions des ŽlŽments orbitaux. III. La Galaxie 1. Les Žtoiles Le programme dõobservation avec le spectrographe ƒlodie dõun Žchantillon de 120 Žtoiles naines du voisinage solaire, de type spectral compris entre M0 et M6,5, a ŽtŽ poursuivi. Les deux premiers objectifs du programme (Žtude de la rotation et de lõactivitž chromosphžrique et džtection de nouveaux syst mes binaires) ont ŽtŽ atteints et sont džcrits dans les Rapports dõactivitžs antžrieurs.

10 4 Le troisi me objectif concerne les ŽlŽments orbitaux et les masses de binaires ˆ courtes pžriodesê: une quinzaine de mesures de masse sont aujourdõhui disponibles avec une pržcision de 0,3 ˆ 5% (voir Rapport dõactivitž 1999, [00/23] 1 et [00/51]). La relation masse-luminositž est džfinie avec une pržcision jamais atteinte pour les Žtoiles de tr s faible masse ([00/23] et Fig 3). LÕaccord avec les mod les du groupe thžorique de lõens de Lyon est exceptionnellement bon en infrarouge, mais des džsaccords voisins de 0,5 magnitude apparaissent dans le visible. Ces mod les sont ainsi globalement bien validžs, mais des amžliorations locales sont nžcessaires pour parfaire lõaccord dans le visible. Une surveillance mensuelle de 81 Žtoiles variables ˆ longue pžriode a ŽtŽ ržalisže ces deux derni res annžes avec ƒlodie afin dõobserver les signatures spectrales du passage dõune onde de choc dans la photosph re de ces Žtoiles pulsantes. Ces observations ont permis de montrer que toutes les variables ˆ longue pžriode pržsentent la raie Hδ en Žmission au voisinage du maximum de lumi re. Cependant, seules les Žtoiles les plus compactes (R < 150 R 0 ) pržsentent un doublement des raies dõabsorption au voisinage du maximum de lumi re. Ces conclusions constituent des contraintes importantes que doivent satisfaire les mod les dynamiques dõenveloppes dõžtoiles Mira. Pendant 41 nuits lõžtoile RR Lyrae a fait lõobjet dõun suivi spectroscopique avec AurŽlie dans le but de džterminer la structure des multiplets gžnžržs par les variations de profil des raies dans le spectre de cette Žtoile. Un programme dõobservation des Žtoiles jeunes du voisinage solaire a ŽtŽ entrepris pour tenter dõžlucider la nature et le stade Žvolutif des sources X stellaires identifižes par le croisement du ÒÊRosat All-Sky SurveyÊÓ et du catalogue Tycho. Au total, une centaine de ces sources (Žchantillon Rastyc) doivent tre observžes avec ƒlodie pour džterminer les param tres fondamentaux, les vitesses radiales, les vitesses de rotation (v sin i), les abondances en Lithium, les Žventuelles duplicitžs, ÉEn se basant sur lõabondance du Lithium, les premi res observations ont permis de mettre en Žvidence la population dõžtoiles jeunes (< 100 Megaans) prždite par les mod les de population stellaire en rayons X, ainsi que quelques Žtoiles significativement plus jeunes. Egalement, on a trouvž une population montrant des v sin i > 100 km/s, ce qui est assez inhabituel pour des Žtoiles tardives de champ. Enfin, fait intžressant, on a trouvž des binaires apparemment au m me stade Žvolutif dont les deux composantes montrent dans un cas la raie Hα en Žmission alors que dans lõautre cas le syst me montre la raie Hα en Žmission-absorption. 1- Les nombres [ ] renvoient au tableau 1 page 17

11 On a commencž avec ƒlodie un programme pour mesurer le potentiel gravitationnel et la masse totale au voisinage du plan galactique. 70% des Žtoiles observžes sont bien des gžantes rouges du ÒÊclumpÊÓ du voisinage solaire. On a obtenu ainsi un Žchantillon homog ne de gžantes rouges avec leur distance, les trois composantes de leurs vitesses et leur mžtallicitž, ce qui permet džjˆ dõidentifier la zone de transition disque mince Ð disque Žpais et autorisera la mesure pržcise de lõžpaisseur du disque mince. ƒgalement, on pourra tester la cinžmatique au-dessus du plan, par exemple lõorientation du Vertex, et la comparer aux observations Hipparcos dans le plan galactique. Un autre programme important utilisant ƒlodie a ŽtŽ poursuiviê: cõest celui de lõobservation des Žtoiles doubles ˆ Žclipses dont les objectifs sont la džtermination des param tres fondamentaux des composantes et la mesure spectroscopique dõun troisi me corps. Ce programme est complžtž par des mesures de courbes de lumi re, en collaboration internationale (Pologne, Gr ce et Espagne). Les principaux ržsultats actuels sont les suivantsê: - 12 pžriodes džterminžes par Hipparcos se ržv lent erronžes, - 12 binaires ˆ Žclipses poss dent deux spectres, - 7 en possèdent trois. Dans le cadre dõun autre programme, une soixantaine de mesures de vitesses radiales a ŽtŽ obtenue avec ƒlodie pour des Žtoiles doubles ayant des orbites interfžromžtriques bien džterminžes, le but du programme Žtant dõobtenir les masses et les luminositžs des composantes. LÕŽtoile jeune AA Tau, de type T Tauri, a fait lõobjet dõobservations spectroscopiques et photomžtriques, avec respectivement le spectrographe ƒlodie du tžlescope de 1,93 m et la camžra CCD du tžlescope de 1,20 m, dans le cadre dõune vaste campagne internationale incluant 13 observatoires situžs en Europe de lõest, de lõouest et en AmŽrique du Nord et du SudÊ: en lõespace dõun mois, plus dõun millier de mesures photomžtriques en U, B, V et I et plus de cinquante spectres ˆ haute ržsolution ont ŽtŽ obtenus. Ces donnžes, en cours dõanalyse, permettront dõaffiner lõinterpržtation des variations spectrophotomžtriques en terme dõaccržtion magnžtosphžrique de la mati re dõun disque sur lõžtoile. Des observations avec AurŽlie ont permis de džcouvrir deux Žtoiles variables irržguli res riches en Technetium, et de confirmer une surabondance en Technetium dans une dizaine de variables semi-ržguli res. Ces Žtoiles sont donc bien sur la branche asymptotique des gžantes ˆ un stade Žvolutif o le troisi me dragage convectif appara t. 5

12 6 Figure 3 Les mesures de vitesses radiales des naines M du voisinage solaire, commencžes avec Elodie en 1995, couplžes ˆ des observations en optique adaptative au CFHT, ont permis de džterminer les masses de ces Žtoiles avec une pržcision pouvant atteindre 0,2%. Il en a ržsultž lõžtablissement dõune relation masse-luminositž avec une pržcision jamais atteinte, dans la gamme de 0,1 ˆ 0,7 masse solaire. Le diagramme du haut (magnitude absolue en fonction de la masse) montre lõexcellent accord de la relation empirique avec les mod les thžoriques dans la bande K, celui du bas laisse appara tre quelques Žcarts (~ 0,5 mag) dans la bande V et montre en outre lõexistence dõune dispersion intrins que des points autour dõune relation masse-luminositž moyenne [00/23].

13 Des raies tr s intenses de Pb I ˆ 4057,8 ont ŽtŽ observžes gr ce ˆ AurŽlie dans plusieurs Žtoiles CH. Ces observations confirment les prždictions selon lesquelles le processus de nuclžosynth se conduit ˆ une forte surproduction de Plomb dans des Žtoiles de faible mžtallicitž sur la branche gžante asymptotique. Des spectres ont ŽtŽ obtenus avec ƒlodie au tžlescope de 1,93 m pour 7 Žtoiles dõamas, dans le but dõobtenir un tableau homog ne des abondances dans deux amas ouverts dõ ges diffžrents. Ces ržsultats doivent poser des contraintes pour lõžlaboration des mod les Žvolutifs dõatmosph res stellaires, notamment ceux qui incluent le transport microscopique des ŽlŽments par diffusion. Une dizaine dõžtoiles de champ de type Hg Mn, Žtoiles chimiquement particuli res de sžquence principale, ont aussi ŽtŽ observžes. Ces donnžes permettront notamment de džtecter sõil y a dans ces Žtoiles une stratification des abondances comme le prždit le mod le de diffusion. Sur la base de spectres obtenus avec AurŽlie au tžlescope de 1,52 m, on a pu Žtudier la dispersion de lõabondance du Lithium dans les sous-gžantes de champ faiblement mžtalliques et comparer cette dispersion ˆ celle, importante, observže dans les Žtoiles de lõamas M92. Il appara t que la dispersion dans les sous-gžantes du champ est beaucoup plus faible que dans les Žtoiles dõamas et du m me ordre que celle observže sur le ÒÊplateau des SpiteÊÓ. Gr ce ˆ des spectres ƒlodie, des ržsultats nouveaux ont ŽtŽ obtenus sur des amas ouverts. - Parmi dix Žtoiles des catalogues Hipparcos et Tycho-2 susceptibles dõappartenir ˆ lõamas ouvert de Coma Berenices, deux Žtoiles pržsentent des vitesses radiales rapidement variables indiquant quõil sõagit de binaires de courtes pžriodes, cinq autres ont des vitesses en accord avec le mouvement de lõamas, preuve de leur appartenance ˆ celui-ci. - Cinq couples stellaires de m me mouvement propre et de grande sžparation angulaire ont ŽtŽ observžs dans le m me champ. Trois dõentre eux qui montrent des identitžs de vitesses radiales se sont avžržs tre de vrais couples physiques. Les magnitudes absolues džduites des spectres Elodie donnent des distances cohžrentes entre elles, qui conduisent ˆ des sžparations entre les composantes de 13000, et unitžs astronomiques. - La mesure avec ƒlodie des vitesses radiales de 34 Žtoiles rouges situžes autour des amas ouverts IC 4756 et NGC 6633 a permis de montrer que deux tiers dõentre elles appartiennent aux amas. La population de ces derniers est donc beaucoup plus Žtendue que ce que lõon pensait. 7

14 8 - Enfin, des spectres ƒlodie des six membres du groupe stellaire M73 (NGC 6694) ont montrž que ces Žtoiles nõavaient ni le m me mouvement radial, ni la m me distanceê: M73 ne serait donc quõun effet du hasard É ƒlodie a permis la continuation du programme dõobservation dõžtoiles supergžantes A-G, qui pržsentent un exc s dõžmission infrarouge associž ˆ de la perte de masse (voir Rapport dõactivitž 1999). Une quarantaine de spectres ˆ haut rapport signal ˆ bruit ont ŽtŽ obtenus. La tr s haute ržsolution (R = ) du spectrographe AurŽlie a ŽtŽ utilisže pour observer diffžrentes raies dans les Žtoiles A qui dõapr s les donnžes IRAS sont connues pour tre ÒÊpoussiŽreusesÊÓ ou ÒÊexemptes de poussi resêó. On a recherchž les raies circumstellaires K de CaÊII, sans succ s (sauf pour le cas džjˆ connu de HR 6556). Dans les Žtoiles observžes, lõabondance de lõoxyg ne se ržv le tre solaire, ˆ lõexception de trois cas, qui pourraient tre soit des Žtoiles Ap (champs magnžtiques intenses) jusquõalors inconnues, soit des binaires spectroscopiques. Le Barium et lõyttrium montrent de grandes sur-abondances, lesquelles disparaissent lorsque le v sin i cro t, suggžrant des effets de diffusion et de mžlange interne dans les atmosph res de ces Žtoiles. Une mission de trois nuits avec ƒlodie a permis dõobtenir des spectres ˆ haut rapport signal ˆ bruit pour 20 Žtoiles Ap magnžtiques dans le but de mesurer lõabondance des lanthanides dans ces Žtoiles et de les comparer ˆ celles prždites par des mod les thžoriques rendant compte des accžlžrations radiatives de ces ŽlŽments. Il sõagit lˆ de pouvoir mettre en Žvidence ces vents stellaires, inaccessibles ˆ lõobservation directe. Avec AurŽlie, on a recherchž une modulation pžriodique des profils de raies dõžmission dans le spectre de quelques Žtoiles O Žmettrices de radiations radio non thermiques. Une telle Žmission est ržvžlatrice dõun champ magnžtique. Mais une autre signature de celui-ci peut tre une modulation des profils de raies dõžmission avec la pžriode de lõžtoile (engendrže par la corotation de vent stellaire ˆ lõintžrieur du rayon dõalfvžn). Une mission ultžrieure sera nžcessaire pour pržciser les pžriodes. NŽanmoins, des ržsultats intžressants ont ŽtŽ obtenus sur lõžtoile O7,5Ifpe HD 108, qui montrent pour la premi re fois depuis 56 ans des raies de la sžrie de Balmer en absorption pure. Les donnžes accumulžes ˆ lõohp sur cette Žtoile depuis 30 ans ont mis en Žvidence un comportement typique dõune Žtoile de type Oe qui pourrait appartenir ˆ une binaire X massive de tr s longue pžriode. On a obtenu avec AurŽlie 44 spectres dõžtoiles Be. LÕŽtude des enveloppes circumstellaires envisagže nžcessite de rassembler davantage de donnžes.

15 Le photom tre ˆ 4 voies de M. Chevreton a ŽtŽ utilisž ˆ deux reprises au foyer du tžlescope de 1,93 m pour des Žtudes dõastžrosismologie. La premi re mission, effectuže dans le cadre du ržseau WET au printemps 2000, Žtait consacrže ˆ une naine blanche variable de type DB GD358. DÕexcellentes donnžes ont ŽtŽ accumulžes ˆ lõohp pendant 7 nuits (sur 8 nuits attribužes). Ces donnžes, et lõensemble de celles du ržseau WET, comparžes ˆ des donnžes ultraviolettes obtenues simultanžment avec le tžlescope spatial, doivent permettre de valider la mžthode dõidentification du degrž des modes de pulsation non radiales ˆ partir du rapport de leur amplitude dans le visible et lõuv. La deuxi me mission (novembre 2000) sõest džroulže en assocation avec le tžlescope de 2,16 m de lõobservatoire de Beijing. Elle Žtait consacrže ˆ la naine blanche variable G pour laquelle la distribution des pžriodes de pulsation et les variations dõamplitude avaient ŽtŽ interpržtžes comme la signature dõun comportement non linžaire reproduisant un scžnario dõžvolution vers le chaos. Les conditions mžtžorologiques ont malheureusement compromis le programme. Le programme de spectroscopie pržparatoire ˆ la mission Corot a ŽtŽ poursuivi avec Elodie (voir Rapports dõactivitžs de lõohp 1998 et 1999 et corot/observations.html). Rappelons quõil sõagit de sžlectionner de fa on optimale les cibles potentielles des programmes de sismologie stellaire de la sonde spatiale Corot. Cette sžlection est basže sur de lõimagerie ˆ haute ržsolution angulaire, de la photomžtrie Stršmgren et de la spectroscopie Žchelle, un domaine o Elodie occupe une place pržpondžrante Le milieu interstellaire Le suivi des raies dõabsorption interstellaires dans le spectre de lõžtoile ˆ grande vitesse HD 34078, visant ˆ sonder la structure ˆ tr s petite Žchelle du nuage diffus situž en avant-plan (entre lõžtoile et le Soleil), sõest poursuivi par lõacquisition de quatre spectres Elodie supplžmentaires. Une premi re analyse ne montre pas de variation sensible des raies de CH et CH + ˆ lõžchelle du mois ou de lõannže, ce qui permet de mettre une limite supžrieure tr s contraignante ˆ ces variations, de quelques pour cents seulement. En revanche, la ržalitž des variations observžes en comparant les spectres Elodie obtenus en 1999 aux spectres pris 10 ans plus t t par S. Federman (Toledo University) est confirmže. Ces variations de 20% environ correspondent ˆ un džplacement de lõordre de 100 unitžs astronomiques dans le nuage diffus. En outre, une Žtude džtaillže concernant

16 10 les bandes diffuses interstellaires va pouvoir tre menže en comparant les spectres Elodie ˆ ceux obtenus en 1990 avec AurŽlie par DŽsert et Jenniskens. Des observations de nžbuleuses planžtaires ont ŽtŽ effectužes au foyer du tžlescope de 1,20m. Des structures monochromatiques de tr s faible luminance situžes loin du corps nžbulaire central ont ŽtŽ džtectžes, en particulier dans le champ de A79. Il pourrait sõagir des reliques des premiers Žjecta de lõžtoile centrale. On a continuž avec AurŽlie lõžtude entreprise en 1996 de lõenvironnement circumstellaire des Žtoiles WR massives et des vents dõžtoiles [WC] de faible masse au centre des nžbuleuses planžtaires [00/35]. Une histoire compl te des vents a pu tre tracže, depuis leur naissance ˆ la surface des Žtoiles jusquõˆ leur interaction avec le milieu prž-existant. IV. Les galaxies LÕamas de la Vierge a fait lõobjet dõobservations spectroscopiques ˆ basse ržsolution avec Carelec et dõobservations photomžtriques au tžlescope de 1,20 m. - Pour une quarantaine de galaxies de cet amas on a obtenu des spectres intžgržs entre 3500 et 7200, des donnžes qui, jointes ˆ celles des annžes antžrieures et ˆ des donnžes photomžtriques ˆ bande large UV, IR et visible, ont montrž que les populations stellaires des galaxies observžes sont en accord avec un mod le de formation monolithique (voir Rapport dõactivitž 1999). - LÕensemble des spectres obtenus a aussi permis de mesurer les džcalages vers le rouge des galaxies de lõamas [00/30]Ê. - Des images Hα dõenviron 40 galaxies spirales de lõamas ont permis dõžtudier lõhistoire de la formation stellaire. LÕimage de NGC 4569 a ŽtŽ utilisže pour Žtudier un filament de gaz ionisž, probablement le reste dõune rencontre avec une galaxie naine. - Des spectres Carelec ˆ basse dispersion dõune ržgion de gaz ionisž situže dans la pžriphžrie NE de la galaxie M87 ont permis de montrer quõil sõagit probablement du reste dõune galaxie qui vient dõ tre ÒÊmangŽeÊÓ par M87 [00/31]. On a obtenu pour les trois amas de galaxies Abell 970, Abell 1356 et Abell 2244 un total de 34 spectres avec le spectrographe Carelec. Les spectres dõabell 970 ont complžtž un ensemble de donnžes permettant lõanalyse dynamique de cet amas qui sera publiže en 2001.

17 Une Žtude spectroscopique a ŽtŽ ržalisže avec Carelec sur un Žchantillon de sources X tr s brillantes appartenant ˆ des galaxies proches, en liaison avec des observations spectroscopiques et photomžtriques effectužes au CFHT. - Dans Holmberg II, plusieurs positions de fente ont permis dõidentifier la ržgion de haute ionisation Žmettant la raie He II 4686 comme la contrepartie de la source X. - Dans Holmberg IX, les diffžrents spectres montrent que lõionisation du milieu est due soit ˆ une photoionisation de rayons X, soit ˆ une excitation par des chocs. Il a Žgalement ŽtŽ possible de montrer que le džcržment de Balmer est normal, contrairement ˆ une Žtude antžrieure. - Egalement, on a obtenu des spectres de restes dõhypernovae dans M81 et M101, dont on sait depuis peu quõils ont des sources X compactes dans leurs centres. - Enfin, une des sources les plus brillantes (X24) dans la direction de la galaxie NGC 4258 a pu tre identifiže comme Žtant un AGN de džcalage vers le rouge 0,51. Des galaxies de faible luminance ont ŽtŽ observžes avec Carelec afin dõobtenir des courbes de rotation ˆ haute ržsolution angulaire. Des mod les de masse tr s simples ont ŽtŽ construits sur la base de ces ržsultats, qui montrent que la ržpartition de masse dans les parties intžrieures des galaxies observžes ne peut pas tre džcrite par les profils issus des simulations numžriques cosmologiques basžes sur les mod les de mati re noire froide. LÕŽtude de la structure, de la dynamique et du contenu stellaire des galaxies proches sõest poursuivie aux tžlescopes de 1,20 m et de 1,93 m (Carelec) et a fait lõobjet de plusieurs publications en 2000 [00/05], [00/52] et [00/105]. Au tžlescope de 1,20 m on a observž un Žchantillon de 33 galaxies elliptiques. LÕun des objectifs de ce programme est dõamžliorer la pržcision et la complžtude des donnžes colorimžtriques sur les galaxies elliptiques, en traitant simultanžment les cinq bandes U, B, V, R et I et en analysant soigneusement lõeffet sur les couleurs des ailes ÒÊexternesÊÓ des fonctions dõappareil. Sur ce plan technique, ce travail semble tre couronnž de succ s. LÕinstrument GHASP (voir Rapport dõactivitž 1999) a ŽtŽ ˆ nouveau montž cette annže au foyer du tžlescope de 1,93 m, pour deux missions dõobservation qui ont permis de faire avancer notablement le programme consacrž ˆ la distribution et ˆ la cinžmatique de lõhydrog ne ionisž dans les galaxies spirales. En outre, la partie centrale de la galaxie M31 a ŽtŽ observže. La forte Žmission continue de cette ržgion superposže ˆ celle du gaz ionisž nžcessite un traitement spžcifique des donnžes. Les ržsultats obtenus sur NGC 4522 ont ŽtŽ publižs [00/60]. On trouvera dõautres 11

18 12 informations sur le programme GHASP sur le serveur interferometrie/ghasp.html

19 13 Rapport d activité des membres du groupe scientifique F. Bouchy Le spectrographe EMILIE couplž ˆ lõaccžlžrom tre Astronomique Absolu (AAA) et installž au tžlescope de 1,52 m de lõohp est un instrument dždiž aux mesures de vitesses radiales stellaires de haute pržcision (voir rapport dõactivitž 1999). Les premiers tests de lõinstrument ont permis dõobserver au cours dõune seule journže les oscillations acoustiques ˆ 5 minutes du Soleil et de confirmer la pržsence dõune plan te extra-solaire de masse supžrieure ˆ 0.3 Saturne avec une pžriode orbitale infžrieure ˆ 11 jours. Cet instrument a fait lõobjet de certaines amžliorations et fiabilisations au cours de lõannže Sa faible luminositž le limite actuellement ˆ lõobservation dõobjets tr s brillants mais des modifications optiques sont pržvues au cours de lõannže 2001 afin dõaugmenter sa transmission globale. LÕinstrument permettra lõobservation systžmatique dõun Žchantillon dõenviron 50 Žtoiles pour la recherche dõexo-plan tes et la džtection dõoscillations stellaires de type solaire. Cet instrument constitue de plus un banc dõessai pour le spectrographe HARPS dždiž ˆ la recherche de plan tes extra-solaires pour le tžlescope de 3,60 m de lõeso. D. Gillet LÕessentiel des travaux de D. Gillet a portž sur la thžorie des ondes de choc hypersoniques. Un travail majeur a ŽtŽ menž ˆ bien avec Yu. Fadeyev [GS00/25] sur la structure fine de lõonde et sur ses pertes ŽnergŽtiques [GS00/27]. LÕensemble de ces travaux ainsi que ceux menžs dans le cadre de la th se de H. Le Coroller (dont D. Gillet est, avec Yu. Fadeyev, co-directeur) sur lõeffet de la conductivitž Žlectronique, sont essentiellement thžoriques. Du point de vue observationnel, une Žtude de grande ampleur a ŽtŽ ržalisže en collaboration avec des coll gues de Bruxelles et de Montpellier sur la dynamique atmosphžrique dans les Žtoiles Mira [GS00/01] et une autre sur les Žtoiles post-agb [GS00/02, GS00/101]. D. Gillet a Žgalement poursuivi avec M. Chadid (ESO Chili), A. Fokin (Moscou) et des coll gues de Louvain une collaboration sur la dynamique atmosphžrique des Žtoiles RR Lyrae [GS00/10, GS00/74, GS00/79, GS00/97]. Enfin, avec A. Fokin et J.-F. Debieve (IRPHE Marseille), une Žtude thžorique difficile a ŽtŽ entreprise sur lõeffet du champ de turbulence du gaz sur la structure dõune onde de choc.

20 14 SÊ.A. Ilovaisky La source X transitoire Aquila X-1 a ŽtŽ observže avec la camžra CCD du tžlescope de 1,20Êm entre le 6 mars et le 3 džcembre. MalgrŽ une couverture temporelle tr s irržguli re, due en partie au nombre ržduit de techniciens de nuit pouvant effectuer des observations de service, ont ŽtŽ obtenues des mesures pendant la mini-žruption optique de juillet et pendant la grande Žruption X de lõautomne (octobre et novembre). LÕanalyse des nouvelles donnžes sera incorporže dans lõarticle en cours de rždaction, en collaboration avec C. Chevalier, sur lõactivitž optique/x de cette source. Une source ROSAT dans la constellation dõhercule, identifiže optiquement par Areg Mickaelian (Byurakan) et ses collaborateurs probablement comme une nouvelle variable cataclysmique brillante, a ŽtŽ observže au 1,20 m en septembre sur un intervalle de dix nuits. Son comportement montre une activitž rapide intense avec une Žchelle de temps de 15 min ainsi que des variations plus lentes mais de plus faible amplitude. LÕanalyse de huit nuits de photomžtrie diffžrentielle est en cours et sera incorporže dans un article en pržparation sur lõensemble des observations photomžtriques et spectroscopiques de cette source. H. Le Coroller H. Le Coroller poursuit son travail thžorique sur les ondes de choc en collaboration avec D. Gillet et Y. Fadeyev. Il Žtudie lõinfluence de la conduction thermique Žlectronique sur la structure des chocs radiatifs. Le mod le numžrique de Y. Fadeyev a ŽtŽ modifiž afin de prendre en compte cet effet de transport de chaleur. De nombreux mod les ont ŽtŽ calculžs et un article sur ce sujet devrait tre soumis dans lõannže. DÕautre part, il a effectuž plusieurs travaux sur les Žtoiles Post-AGB. Ces objets sont encore peu connus car ils passent seulement quelques milliers dõannžes dans cette phase et sont donc statistiquement rares. Ainsi, entre aožt et septembre, H. Le Coroller a poursuivi son travail dõobservation photomžtrique au tžlescope de 1,20 m de lõohp sur HD afin de pržciser la pžriode de pulsation de cet astre. Les ržsultats des observations ont ŽtŽ pržsentžs ˆ la confžrence GEOS. Un article sur cet objet est en cours dõžcriture. Un autre article sur les mžcanismes de pulsation des Žtoiles post-agb avec comme exemple HD est sur le point dõ tre soumis. Ces travaux en collaboration avec A. L bre, A.B. Fokin et D. Gillet apportent des informations pržcieuses sur la dynamique atmosphžrique des Žtoiles post-agb.

21 Enfin, la collaboration avec lõžquipe de A. Labeyrie se poursuit afin de construire un ballon dirigeable sous lequel doit tre stabilisže une optique ˆ quelques millim tres pr s, placže au foyer dõun hypertžlescope. 15 J.-M. Perrin LÕactivitŽ de J.-M. Perrin sur le projet COROT a ŽtŽ ralentie jusquõen octobre, date ˆ laquelle le CNES a relancž le projet dans un cadre Žlargi ˆ des partenaires europžens. La collaboration de J.-M. Perrin avec B. Lopez (OCA) sur les enveloppes circumstellaires dõžtoiles froides sõest concržtisže par une premi re publication sur la NŽbuleuse de lõoeuf [GS00/43]. J.-M. Perrin a approfondi ses Žtudes sur les džbris spatiaux (mod les plus ržalistes, mesures en laboratoire, pržparation dõun instrument spatial, É) dans le cadre dõune collaboration Žtroite avec lõonera (J.-C. Mandeville) et le LAM (A. Vuillemin). Enfin, une part croissante de lõactivitž de J.-M. Perrin a concernž le syst me solaire, dans le cadre de la mission Rosetta. Il a amžliorž les mod les dõinteraction ondes-poussi res rugueuses afin dõžvaluer pržcisžment le seuil de džtection de poussi res comžtaires par lõinstrument GIADA. Ces travaux sont ržalisžs dans le cadre dõune collaboration avec lõistituto Universitario Navale (Naples) et lõosservatorio Astronomico di Capodimonte et dans le cadre de la th se dõernesto Palomba pržparže en co-tutelle entre ces Žtablissements et lõohp. J.-P. Sivan J.ÊÐP. Sivan a continuž dõapporter sa contribution au programme franco-suisse de recherche de plan tes extrasolaires qui se poursuit depuis 1996 au foyer du tžlescope de 1,93 m avec Elodie (voir rapport des astronomes visiteurs). M.-P. VŽron-Cetty et P. VŽron M.-P. VŽron-Cetty et P. VŽron, en collaboration avec A.C. Gon alves (ESO), ont poursuivi lõžtude spectroscopique des NLS1s, noyaux actifs de galaxies de Seyfert 1 qui ont des raies permises ÒÊlargesÊÓ relativement Žtroites. Ce travail a permis de montrer que les raies larges des

22 16 NLS1s sont mieux modžlisžes par un profil lorentzien que par un profil gaussien. Ceci a des consžquences en ce qui concerne les rapports des raies Žtroites des NLS1sÊ: en effet, quand la composante large des NLS1s est modžlisže avec une lorentzienne, leurs ržgions Žtroites ont des rapports typiques des Seyfert 2, alors quõavec une modžlisation avec une gaussienne, ces rapports sont beaucoup plus dispersžs. En collaboration avec A.C. Gon alves ( ESO) et A. Mickaelian (Byurakan), pour mieux comprendre la nature des NLS1s, ils ont entrepris une Žtude spectroscopique des Seyfert 1 intermždiaires entre les NLS1s et les Seyfert 1 classiques. M.-P. VŽron-Cetty et P. VŽron ont ŽtudiŽ la radio galaxie NGC 612 et montrž que cette radio source double de type FR II est une des rares ˆ tre associže ˆ une galaxie S0 plut t quõˆ une elliptique. M.-P. VŽron-Cetty, en collaboration avec L. Woltjer, L. Staveley-Smith et R. Ekers (Australian Telescope National Facility), a džtectž de lõhydrog ne neutre en absorption dans trois radio galaxies et montrž que de telles absorptions sont plus fržquentes parmi les radio sources puissantes [GS00/59]. M.-P. VŽron-Cetty et P. VŽron ont Žcrit un article de revue sur le spectre en Žmission des galaxies actives et le mod le unifiž [GS00/58]. M.-P. VŽron-Cetty et P. VŽron ont publiž la neuvi me Ždition de leur catalogue de quasars et de galaxies actives [GS00/118]Ê; il contient maintenant quasars, 462 objets de type BL Lac et 4428 galaxies actives. LŽgende du tableau 1 de la page 17Ê: GSÊ: articles dont au moins lõun des auteurs appartient au Groupe Scientifique de lõohp PNPSÊ:Programme National de Physique Stellaire PNGÊ: Programme National Galaxies PNPÊ: Programme National PlanŽtologie PCMIÊ: Programme National Physique - Chimie du Milieu Interstellaire

23 17 TABLEAU 1 Publications parues en 2000 TŽlescope/Programme Publications parues dans des revues ˆ comitž de lecture 00/01 1,93m ALVAREZ R., JORISSEN A., PLEZ B., GILLET D., FOKIN A. GS PP NNPPSS Envelope tomography of long-period variable stars. I. The Schwarzschild mechanism and the Balmer emission lines. 2000, A&A 362, /02 1,93m BARTHES D., LEBRE A., GILLET D., MAURON N. GS 1,52m On the nature of the pulsation of the post-agb star HD PP NNPPSS 2000, A&A 359, /03 1,52m BOISSON C., JOLY M., MOULTAKA J., PELAT D., SEROTE ROOS M. PP NNGG Stellar populations in active galactic nuclei. II. Population synthesis. 2000, A&A 357, /04 1,93m BOURET J.C., CATALA C. PP NNPPSS NLTE calculations of neutral helium lines in the wind of the Herbig Ae star AB Aur. 2000, A&A 359, /05 1,20m BREMNES T., BINGGELI B., PRUGNIEL P. Structure and stellar content of dwarf galaxies. IV.- B and R photometry of dwarf galaxies in the CVnI cloud. 2000, A&AS 141, /06 1,93m CAMI J., FOING B.H., SONNENTRUCKER P., EHRENFREUND P. PP CCMI I A deep echelle survey and new analysis of diffuse interstellar bands. 2000, A&AS 142, /07 1m suisse CARQUILLAT J.-M., GINESTET N. + Coravel Contribution ˆ l'žtude des binaires des types F, G, K, M. VII.- HD et HD , binaires spectroscopiques ˆ raies doubles. 2000, A&AS 144, /08 1,52m CASTILHO B.V., GREGORIO-HETEM J., SPITE F., BARBUY B., SPITE M. PP NNPPSS Detailed analysis of a sample of Li-rich giants. 2000, A&A 364, /09 1,93m CHADID M. PP NNPPSS Irregularities in atmospheric pulsations of RR Lyrae stars. 2000, A&A 359, /10 CHADID M., GILLET D., FOKIN A.B. GS Van Hoof effect between metallic lines in RR Lyrae. II. Comparison with purely radiative models. 2000, A&A 363, /11 1,93m 1,52m PP NNPPSS CHAPELLIER E., MATHIAS P., LE CONTEL J.M., GARRIDO R., LE CONTEL D., VALTIER J.C. The observational status of the slowly pulsating B star ι Herculis. 2000, A&A 362,

24 18 00/12 1,93m CHARBONNEAU D., BROWN T.M., LATHAM D.W., MAYOR M. PP NNPP Detection of planetary transits across a sun-like star. 2000, ApJ 529, L45-L48 00/13 1m suisse CHARBONNEL C., BALACHANDRAN S.C. + Coravel The nature of the lithium rich giants. Mixing episodes on the RGB and early-agb. 2000, A&A 359, /14 1,52m CHESNEAU O., ROCHE M., BOCCALETTI A., ABE L., MOUTOU C., CHARBONNIER F., AIME C., LANTERI H., VAKILI F. Adaptive optics imaging of P Cygni in Hα. 2000, A&AS 144, /15 1,52m CHMIELEWSKI Y. PP NNPPSS The infrared triplet lines of ionized calcium as a diagnostic tool for F, G, K-type stellar atmospheres. 2000, A&A 353, /16 1,93m CONSIDERE S., COZIOL R., CONTINI T., DAVOUST E. PP NNGG Starbursts in barred spiral galaxies. IV. On young bars and the formation of abundance gradients. 2000, A&A 356, /17 1,93m DARBON S., ZAVAGNO A., PERRIN J.-M., SAVINE C., DUCCI V., SIVAN J.-P. GS 1,20m PP CCMI I Extended red emission and unidentified infrared bands in the galactic compact HII region Sh , A&A 364, /18 1,52m de CAT P., TELTING J.H., AERTS C., MATHIAS P. PP NNPPSS A detailed spectroscopic analysis of ε Per. I.- Determination of the orbital parameters and of the frequencies. 2000, A&A 359, /19 1m suisse de MEDEIROS J.R., CARVALHO J.C., SOARES B.B., da ROCHA C., MAIA M.R.G. + Coravel On the galactic latitude distribution of rotational velocity for evolved stars. 2000, A&A 358, /20 1m suisse + Coravel de MEDEIROS J.R., do NASCIMENTO Jr. J.D., SANKARANKUTTY S., COSTA J.M., MAIA M.R.G. Rotation and lithium in single giant stars. 2000, A&A 363, /21 1m suisse DEBERNARDI Y., MERMILLIOD J.-C., CARQUILLAT J.-M., GINESTET N. + Coravel Binarity of Am stars in Praesepe and Hyades. 2000, A&A 354, /22 1,20m DEHARVENG L., NADEAU D., ZAVAGNO A., CAPLAN J. The stellar content of the compact HII region Sh2-88B. 2000, A&A 360, /23 1,93m PP NNPPSS DELFOSSE X., FORVEILLE T., SEGRANSAN D., BEUZIT J.-L., UDRY S., PERRIER C., MAYOR M. Accurate masses of very low mass stars. IV.- Improved mass-luminosity relations. 2000, A&A 364,

25 19 00/24 1,52m PP NNPPSS do NASCIMENTO J.D. Jr., CHARBONNEL C., LEBRE A., de LAVERNY P., de MEDEIROS J.R. Lithium and rotation on the subgiant branch. II.- Theoretical analysis of observations. 2000, A&A 357, /25 FADEYEV Yu.A., GILLET D. GS The structure of radiative shock waves. II.- The multilevel hydrogen atom. 2000, A&A 354, /26 1,52m PP NNPPSS FLOQUET M., HUBERT A.M., HIRATA R., McDAVID D., ZOREC J., GIES S., HAHULA M., JANOT- PACHECO E., KAMBE E., LEISTER N.V., STEFF S., TARASOV A., NEINER C. Stellar and circumstellar activity in the Be star EW Lacertae from the 1993 multi-site campaign. 2000, A&A 362, /27 FOKIN A.B., MASSACRIER G., GILLET D. GS Radiative cooling of shocked gas in stellar atmospheres. I.- Contributions from spectral lines. 2000, A&A 355, /28 1,52m FUSCO T., CONAN J.-M., MUGNIER L.M., MICHAU V., ROUSSET G. Characterization of adaptive optics point spread function for anisoplanatic imaging. Application to stellar field deconvolution. 2000, A&AS 142, /29 1,52m GALAZUTDINOV G.A., KRELOWSKI J., MUSAEV F.A., EHRENFREUND P., FOING B.H. PP CCMI I On the identification of the C + 60 interstellar features. 2000, MNRAS 317, /30 1,93m GAVAZZI G., BONFANTI C., PEDOTTI P., BOSELLI A., CARRASCO L. PP NNGG Optical spectroscopy of galaxies in the direction of the Virgo cluster. 2000, A&AS 146, /31 1,93m GAVAZZI G., BOSELLI A., VILCHEZ J.M., IGLESIAS-PARAMO J., BONFANTI C. PP NNGG The filament of ionized gas in the outskirt of M , A&A 361, /32 1,93m GIGOYAN K., AZZOPARDI M., MURATORIO G. PP NNPPSS New faint CH stars at high galactic latitudes. 2000, Astrophysics 43, /33 1m suisse GRIFFIN R.E.M., GRIFFIN R.F. + Coravel Composite spectra. Paper 9: HR ,80m 2000, MNRAS 312, /34 1m suisse GRIFFIN R.E.M., GRIFFIN R.F. + Coravel Composite spectra. Paper 10: the equal mass binary HR 2030 (K0IIb+B8IV). 2000, MNRAS 319, /35 1,52m GROSDIDIER Y., ACKER A., MOFFAT A.F.J. Turbulent outflows from [WC]-type nuclei of planetary nebulae. I. BD and other [WC 9-10] stars. 2000, A&A 364,

26 20 00/36 1,93m GUAINAZZI M., DENNEFELD M., PIRO L., BOLLER T., RAFANELLI P., YAMAUCHI M. PP NNGG A direct view of the AGN powering IRAS , A&A 355, /37 1,93m HALBWACHS J.L., ARENOU F., MAYOR M., UDRY S., QUELOZ D. 1m suisse Exploring the brown dwarf desert with Hipparcos. + Coravel 2000, A&A 355, PP NNPPSS 00/38 1,52m HUBRIG S., NORTH P., MATHYS G. 1m suisse Magnetic Ap stars in the Hertzsprung-Russell diagram. + Coravel 2000, ApJ 539, PP NNPPSS 00/39 1,52m HUI-BON-HOA A. PP NNPPSS Metal abundances of field A and Am stars. 2000, A&AS 144, /40 1,52m HUMMEL W., VRANCKEN M. PP NNPPSS Line formation in Be star circumstellar disks. 2000, A&A 359, /41 1,93m JOSSELIN E., MAURON N., PLANESAS P., BACHILLER R. PP NNPPSS Strong asymmetries in the neutral envelope of Mira. 2000, A&A 362, /42 1,52m PP NNPPSS KOUBSKY P., HARMANEC P., HUBERT A.-M., FLOQUET M., KUBAT J., BALLEREAU D., CHAUVILLE J., BOZIC H., HOLMGREN D., YANG S., CAO H., EENENS P., HUANG L., PERCY J.R. Properties and nature of Be stars. XIX. - Spectral and light variability of 60 Cygni. 2000, A&A 356, /43 LOPEZ B., PERRIN J.-M. GS A dust envelope modelling of the Egg nebula. 2000, A&A 354, /44 1,52m PP NNPPSS 00/45 1,93m 1m suisse + Coravel PP NNPP MARCHENKO S.V., RAUW G., ANTOKHINA E.A., ANTOKHIN I.I., BALLEREAU D., CHAUVILLE J., CORCORAN M.F., COSTERO R., ECHEVARRIA J., EVERSBERG T., GAYLEY K.G., KOENIGSBERGER G., MIROSHNICHENKO A.S., MOFFAT A.F.J., MORRELL N.I., MORRISON N.D., MULLISS C.L., PITTARD J.M., STEVENS I.R., VREUX J.-M., ZOREC J. Coordinated monitoring of the eccentric O-star binary Iota Orionis: optical spectroscopy and photometry. 2000, MNRAS 317, MAZEH T., NAEF D., TORRES G., LATHAM D.W., MAYOR M., BEUZIT J.-L., BROWN T.M., BUCHHAVE L., BURNET M., CARNEY B.W., CHARBONNEAU D., DRUKIER G.A., LAIRD J.B., PEPE F., PERRIER C., QUELOZ D., SANCTOS N.C., SIVAN J.-P., UDRY S., ZUCKER S. The spectroscopic orbit of the planetary companion transiting HD , ApJ 532, L55-L58 00/46 1,20m MICHARD R. Colour distributions in E-S0 galaxies. VI.- A discussion of colour gradients in ellipticals. 2000, A&A 360, /47 1,20m MICHARD R., POULAIN P. Colour distributions in E-S0 galaxies. V.- Colour data for strongly inclined lenticulars. 2000, A&AS 141, 1-22

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