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1 Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: Les CAP français en 2009 Réponse téléphonique Toxicovigilance Flesch Françoise

2 QU EST CE QU UN CENTRE ANTIPOISON Art D (Décret du 17 septembre 1996) Les centres antipoison sont chargés de répondre, notamment en cas d urgence, à toute demande d évaluation des risques et à toute demande d avis ou de conseil concernant le diagnostic, le pronostic et le traitement des intoxications humaines, accidentelles ou volontaires, individuelles ou collectives, aiguës ou non, provoquées par tout produit ou substance d origine naturelle ou de synthèse, disponible sur le marché ou présent dans l environnement.

3 Un CAP est un service médical accessible 24h/24, qui donne avis ou conseil à tout type de public (médecins, particuliers, pharmaciens, paramédicaux ) en cas d intoxications par tout type de produit (médicaments, produits ménagers, industriels, cosmétiques, phytopharmaceutiques, plantes, champignons )

4 Les CAPTV en France CAP de Strasbourg compétence territoriale Alsace/Franche Comté

5 Missions réponse téléphonique urgente ( RTU) 24h/24 toxicovigilance (surveillance des effets toxiques pour l homme d un produit, d une substance ou d une pollution aux fins de mener des actions d alerte, de prévention, de formation et d information) Décret N du 28 septembre mars 2009: députés ont voté, dans le projet de loi HPST, obligation de déclaration des cas d intoxication par les professionnels de santé enseignement; recherche; éducation sanitaire; prévention

6 Le Centre Antipoison de Strasbourg Nouvel Hôpital Civil Tél : Fax : Adresse : Hôpitaux Universitaires de Strasbourg - BP Strasbourg. Équipe médicale : 1 PH. 1 PHTP. 4 praticiens attachés (1,7 ETP). 1 interne. 2 externes (1 médecine - 1 pharmacie) 9 médecins seniors participant aux gardes

7 CAPTV de Strasbourg Tél: :

8 Missions du Centre Antipoison de Strasbourg 1. Permanence téléphonique 24h/24, 7J/7 2.Toxicovigilance 3. Service de renseignement et d information en cas d incident ou d accident industriel ou de pollution environnementale. Astreinte nationale de toxicologie (CAP + InVS + DGS) 4. Permanence téléphonique «air santé» 5. Gestion, avec la pharmacie, du stock d antidotes 6. Recherche 7. Enseignement 8. Prévention 9. Collaboration étroite avec le Samu Environnement Alsace

9 Réponse Téléphonique 24H/24 7J/7 CAPTV Strasbourg

10 Nombre d appels

11 Origine géographique de l appel 18% FC 2% 68 2% 5% 67 56% 16% Bas-Rhin Haut-Rhin Franche Comté Vosges Moselle Autres

12 Provenance de l appel 4% 3% 6% 52% 35% Public Corps médical Personnel de santé Autres Non précisé

13 Motif de l appel Intoxications: 85%

14 Age 1% 1% 1% 2% 4% 20% 4% 1-4 ans 35% 6% 7% 7% 4% 3% 5% < 1 > 1 <4 >5 <9 >10 <14 >15 <19 >20 <29 >30 <39 >40 <49 >50 <59 >60 <69 >70 <79 >80 <89 >90 <99 Inconnu

15 Circonstances d intoxication Erreur thérapeutique 7% Domestique 59% Professionnel 4% Suicide 16%

16 Animaux Autres Aliments Agents étiologiques alcool plantes Pesticides Gaz toxiques Champignons medicaments Prod. Indust

17 Traitement conseillé Surveillance médicale 26% Abstention 45% Symptomatique 24% Aucun Symptomatique Surveillance médicale Intubation Evacuateur (LG ou VP) Antidote Charbon activé

18 Evolution <1% 0.16% 8% Guérison Séquelles Décès Inconnue

19 SICAP BNCI BNPC 9 CAPTV/10 en 2008

20

21 Réponse téléphonique 2008 SICAP - 9 CAPTV/ victimes humaines dans la base victimes en décès soit 0,14% surveillance à domicile hospitalisations aux urgences 1560 hospitalisations en réanimation

22 Toxicovigilance

23 TV = Alerte - Surveillance - Enquêtes Alerte CAP peut générer l alerte : symptôme inattendu, produit nouveau, circonstances particulières, détournement d usage, augmentation de fréquence CAP peut être destinataire d une alerte en provenance des autorités sanitaires Surveillance Intoxications au monoxyde de carbone Plombémies et Saturnisme chez l enfant mineur Morts toxiques Enquêtes rétrospectives et/ou prospectives

24 Toxicovigilance: coordination nationale Comité de coordination regroupe : InVS, 13 CAP/TV, Afssa, Afssaps, Afsset, DGS. Crée en juillet Centralise et analyse des données, produit des recommandations aux tutelles, fait une évaluation des risques, gère les alertes et les saisines, propose des actions préventives. Cellule opérationnelle Président + Vice-président + secrétaire ( InVS) un membre de chacune des agences Groupes de travail spécialisés médicaments accidents domestiques par agents chimiques (ADAC) produits phytopharmaceutiques

25 Toxicovigilance : outils et partenaires Outils : Systèmes d Informations des CAP TV (SICAP) BNCI (Banque Nationale des Cas d Intoxications) BNPC (Banque Nationale des Produits et Compositions) ToxAlert (communication, aide à la gestion des alertes, recueil standardisé des données) Partenaires nationaux InVS, Afssa, Afsset, Afssaps, DGS Partenaires locaux Agences de sécurité sanitaires (DDASS, DRASS, CIRE) collaboration avec les autres vigilances sanitaires Acteurs de terrain locaux : personnel de santé

26 Toxicovigilance : déclarations Sont à déclarer par les professionnels de santé : tout cas d intoxication ne relevant pas des autres systèmes de vigilance et présentant au moins un des caractères de gravité suivants: Décès du patient Mise en jeu du pronostic vital Incapacité temporaire ou permanente Anomalie ou malformation congénitale Tous les cas autres : détournement d usage, circonstances inhabituelles, symptômes inattendus

27 Toxicovigilance : enquêtes prospectives nationales en cours Ingestion de substances corrosives En collaboration avec service de chirurgie de l hôpital St Louis et soutien de l AFC, SFCD, SNG, SFED. Recensement national dont l objectif est: Épidémiologie pour actions de prévention ciblées Identification des centres experts nationaux susceptibles de participer à des essais multicentriques validant de nouvelles approches thérapeutiques Pignons de pin et amertume buccale Colliger les cas Récupérer les pignons incriminés pour identifier les filières d importation et de commercialisation Proposer les échantillons aux analystes : graines rances, traitées ou non comestibles?

28 Conclusions Mise en place d un système de surveillance à partir des données des centres antipoison = enjeux majeur de la TV pour les années à venir Surveillance des tendances temporelles ou spaciales Détection d événements rares, inhabituels ou graves Alerte des pouvoirs publics

29 STRASTOX Lettre d information toxicologique du CAP-TV de Strasbourg

30 STRASTOX Pour vous inscrire à la liste de distribution : laurent.berthelon@chru-strasbourg.fr

31 Merci de votre attention

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