Satisfaisante, variable et améliorable
|
|
- Lucien Grondin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Qualité du lait : Satisfaisante, variable et améliorable L étude comparative menée par l Institut National de la Consommation sur douze références laitières commercialisées en Tunisie montre que la qualité générale du lait est satisfaisante. Une agréable surprise enregistrée suite aux différentes analyses consiste en l absence de métaux lourds, d aflatoxines M1 (toxine chimique secrétée par des champignons, le groupe M1 se trouvant essentiellement dans le lait) et de PCB (polychlorobiphényle) substances toxiques classées comme cancérigène probable ou certain selon le composé en question. Toutefois, les résultats sont variables à plusieurs niveaux. Le classement général tous critères confondus montre que la marque «Candia Grand lait stérilisé UHT» arrive en première position avec 14,5 points sur 20, suivie de «Vitalait stérilisé UHT» avec 14 points, «Délice stérilisé UHT» (centrale du Cap Bon) arrive en troisième position avec 13,5 points. La marque «Berti», importée de Slovénie, pendant la basse lactation de la saison , arrive en quatrième position. Elle a été pourtant boycottée à une grande échelle par le consommateur tunisien, suite à une rumeur prétendant sa contamination par une substance nocive. Par ailleurs, et tous comptes faits, les valeurs obtenues par les différentes marques sont proches les unes des autres. Les résultats sont compris entre 10,5 et 14,5 points, ce qui dénote d une qualité générale relativement comparable, compte tenu des modes de conduite en général, de la pratique de ce qui est communément nommé «Lait de grand mélange», des races élevées et dans une certaine mesure des aliments de bétail utilisés. En revanche, la grande surprise de ce premier essai comparatif fut de constater que pour la marque «Candia», la référence «Candia Viva lait stérilisé UHT» n arrive qu avant dernière du classement général, pourtant les trois références de la marque «Candia» sont fabriquées dans la même centrale laitière. Le même constat est observé pour la marque «Délice» dont la qualité était elle-même variable, puisque le lait de la centrale de Boussalem (autrefois Laino) n a pu obtenir que l appréciation «Acceptable», alors que le lait de la centrale du Cap Bon est classé parmi les premières références.
2 Une matrice de douze références Le point de départ de ce premier essai était un simple constat général, à savoir la préférence du consommateur pour deux marques nationales, «Délice» et «Vitalait» qui, en période de basse lactation, observent un stress considérable, puisqu elles ne peuvent satisfaire à elles seules la demande. Il était, de ce fait, important de vérifier le positionnement des différentes marques, selon des critères scientifiques d évaluation. D où, le choix d une matrice composée de douze références de lait demi écrémé stérilisé et stérilisé UHT, dont l une a été importée de façon conjoncturelle, voire ponctuelle, «Berti». Cette matrice représente environ 90% de la consommation nationale du lait. Ce choix est évidemment justifié par la grande consommation de ce produit, plus d un million de litres par jour au niveau national. Ceci, sans compter les dérivés et les laits consommés à l état frais (autoconsommation) ou commercialisés directement du producteur au consommateur (112 litres / an / individu, tout type de lait et dérivé confondu). Pour ce premier essai de l INC, l opération a porté sur des aspects importants tels que le profil sensoriel, la qualité d usage et surtout les aspects que le consommateur ordinaire ne peut évaluer par lui-même, à savoir : la densité, les protéines, les matières grasses etc. L appréciation sensorielle Le profil sensoriel des laits a été établi «à l aveugle» par un jury entraîné, qui a apporté une appréciation hédonique globale. Les résultats de cette évaluation varient de 4,4 à 6,4 points sur un total de neuf points attribuables, ce qui correspond à des différences réduites entre les laits préférés et ceux qui le sont moins. Là aussi, le classement après analyse diffère de la tendance de la consommation. Ce ne sont pas les marques les plus prisées qui arrivent en tête, bien qu elles soient en bonne position. La marque Y ab arrive première. Les appréciations ont été réparties en deux sousgroupes. Huit marques sur douze ont obtenu l appréciation «Bon», dont notamment «Y ab Tétra Pack stérilisé UHT», «Vitalait Tétra Pack stérilisé UHT» (6,3), «Délice Tétra Pack stérilisé UHT (Cap Bon)» (6,3) et «Candia grand lait Tétra Pack stérilisé UHT» (5,9) ; et quatre uniquement ont obtenu l appréciation «Acceptable» dont notamment «Candia grand lait (bouteille en plastique tri-couches) stérilisé» (4,9), «Vitalait bouteille en plastique stérilisé» (4,8) et «Berti Tétra Pack UHT» (4,7). Cela pourrait
3 s expliquer par la différence du traitement stérilisé UHT par rapport au traitement stérilisé qui nécessite une température moins élevée, mais un temps de stérilisation plus prolongé ; ce qui n est pas sans conséquence sur le goût. A noter, à ce niveau, qu aucune référence n a été classée «insuffisante» ou «Très Insuffisante» et aucune marque n a non plus obtenu l appréciation «Très bon». Cela pourrait expliquer aussi que tous les autres laits dits «Stérilisé UHT» (hormis les deux derniers : Berti et Matinel) soient classés dans le sous groupe «Bon». D un autre côté, le mauvais positionnement de Berti pourrait s expliquer par le fait que le consommateur tunisien n est pas habitué à ce type de produit. Ce lait contient, en effet, un certain nombre de paramètres extrêmes qui, au final, lui donnent un positionnement gustatif atypique. Enfin, le lait Délisso, ne semble pas avoir été affecté par l ajout de lactate de fer, puisque sa note globale est de 5,9 points, il est parmi les laits jugés «bons». Analyses physico-chimiques : neuf critères à l examen Les analyses physico-chimiques constituent l un des plus importants éléments de cet essai. Elles ont porté sur neuf critères, dont notamment les protéines, la teneur en matières grasses, l acidité lactique, le point de congélation, la densité mais aussi les matières sèches, les cendres, le sucre (par calcul) et le volume de remplissage. L attribution de la note finale a pris également en compte les aspects relatifs à la présentation, tels que la facilité d ouverture de l emballage, l étanchéité après ouverture, l étiquetage, la mention «Naturel», ou encore l étiquetage nutritionnel et la présence éventuelle d allégation. C est donc sur la base d une analyse pondérée de ces éléments que la qualité générale du lait produit en Tunisie a été jugée satisfaisante dans son ensemble. La variabilité des valeurs d une marque à l autre n affecte en rien cette conclusion. Elle permettrait juste de positionner chaque enseigne, à même de stimuler son amélioration. Il ne faut pas oublier, à ce propos, que le lait est considéré comme un produit de base et constitue une composante essentielle de l alimentation du Tunisien lambda, au même titre que le pain, les viandes et les pâtes.
4 Sur ce plan précis, le lait produit en Tunisie semble bien assumer son rôle en procurant les besoins du corps humain en protéines. Mais l analyse sur les teneurs en protéines a révélé une légère défaillance au niveau de six marques sur douze. Et il se trouve que la marque «Berti» est nettement au dessus des marques tunisiennes, avec une teneur en protéines de 34,66 g/l, soit plus de quatre points d avance sur la première marque nationale en la matière «Candia Grand lait stérilisé UHT». A noter, à ce niveau, que la norme concernant les protéines varie d un pays à l autre. En Europe, elle est supérieure à celle de la Tunisie. Cela s explique par les races du bétail et l alimentation, qui dépend elle-même des conditions climatiques et économiques. En ce qui concerne les matières grasses, l étude a préalablement admis que la production d un lait demi écrémé implique une parfaite maîtrise du dosage des matières grasses (MG). La réglementation en vigueur indique que la teneur en MG dans le lait demi écrémé doit être supérieure à 15 g/l. Dans le cadre de cette étude, il a été considéré que la valeur optimum devrait être située entre 15 et 16 grammes par litre. Un lait est moins bien noté lorsque sa teneur en MG s éloigne de cette intervalle que ce soit vers le bas ou vers le haut, puisqu une forte teneur en matières grasses (de 18 g/l par exemple), ne constitue pas «un plus nutritionnel». Bien au contraire, le lait ne devient plus tout à fait demi écrémé. Cela étant, l analyse a montré qu une seule valeur était à 14 g/l (alors qu elle en indiquait 15,5 sur l étiquetage) «Candia Viva stérilisé UHT», une seule valeur était à 18 g/l «Yogo stérilisé UHT». Huit références étaient à 16 et une seule à 15 g/l «Candia Grand lait stérilisé». Par la même occasion, la teneur en lactose a été vérifiée par calcul sur les douze références de la matrice étudiée. Les résultats sont compris entre 42,17 et 48 g/l. Acidité et mouillage, qu en est-il exactement? Etant un important témoignage de la qualité microbiologique du lait en amont, le facteur «Acidité» est largement tributaire des conditions d hygiène et de la maîtrise de la chaîne de froid et, que certaines fermes ne maîtrisent encore pas, pour des raisons purement économiques. En effet, les petits éleveurs ne disposent pas, en général, de tanks réfrigérés et les colporteurs ne possèdent pas, tous, des camions réfrigérés. Seuls les grands éleveurs disposent de moyens suffisants pour s en procurer, et ce n est qu au niveau des centres de collecte que commence la maîtrise de la chaîne de froid.
5 A cela s ajoutent les contraintes des colporteurs qui parfois ne passent qu une seule fois par jour, le matin. La traite du soir doit donc attendre plusieurs heures avant d être mélangée avec celle du matin avant son transfert vers un centre de collecte. Il en résulte une dégradation de la qualité, mais aussi une augmentation de l acidité. L analyse de l acidité dans le cadre de cet essai a révélé huit valeurs hors normes. Ce dépassement pourrait être évité, si le froid à la ferme était généralisé et si les colporteurs disposaient de camions réfrigérés et assuraient deux tournées par jour, matin et soir, tout en améliorant les conditions d hygiène. Il s est avéré aussi que la qualité générale du lait dépendait de facteurs intentionnels comme l ajout volontaire d eau, ce qu on appelle communément «le mouillage». C est une pratique courante, bien qu immorale, permettant aux intervenants de générer illégalement des bénéfices supplémentaires, mais pénalisante en termes de qualité. D où l évaluation dans le cadre de cet essai du «Point de congélation». Egalement, une analyse de la densité a été réalisée. A ce propos, «Yogo» est le seul lait à avoir une densité insatisfaisante. Par cet essai sur le lait, l INC franchit un premier pas qui sera suivi certainement par d autres analyses sur d autres produits; et même sur le lait, dans quelques années, pour mesurer les améliorations réalisées suite à cette étude et examiner, entre autres, certains critères qui n ont pas été abordés. IMPORTANT : Les résultats d'un essai concernent uniquement les lots analysés.
6 Encadré Lait délactosé, quelle signification? Certaines personnes digèrent difficilement le lait à cause du lactose (sucre du lait). Pour remédier à cela, l un des industriels a mis sur le marché un lait ayant une teneur réduite en lactose, indiquant sur son emballage qu il est «plus facile à digérer : 95% de lactose en moins». Il s agit de «Candia double douceur». Ce lait a été analysé en marge de cette étude et l analyse a montré qu il est totalement délactosé, donc sans problème pour les personnes ayant une intolérance à ce sucre.
Factsheet Qu est-ce que le yogourt?
Factsheet Qu est-ce que le yogourt? Description du produit: Le yogourt est un produit laitier acidulé de consistance plus ou moins épaisse. Le yogourt est fabriqué grâce à la fermentation du lait par les
Plus en détailMYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques
MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques E. MARENGUE ( LDA22 ) et S. HULOT ( IDAC ) PLAN 1) La problématique 2) Les évolutions règlementaires 3) L échantillonnage : étape clé 4) Les techniques
Plus en détailCOMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE FEDERALE POUR LA SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE
1/8 COMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE FEDERALE POUR LA SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE AVIS 36-2006 Concerne : Contrôle de la composition des denrées alimentaires (dossier Sci Com 2005/25) Le Comité scientifique
Plus en détailActivités de mesures sur la masse à l aide d unités de mesure conventionnelles. L unité de mesure la plus appropriée
Activités de mesures sur la masse à l aide d unités de mesure conventionnelles L unité de mesure la plus appropriée Dans cette activité, l élève choisit l unité de mesure la plus appropriée pour déterminer
Plus en détailVERITAS TUNISIE CATALOGUE ANALYSES LABORATOIRE
VERITAS TUNISIE CATALOGUE ANALYSES LABORATOIRE Agro-alimentaire et Environnement SOMMAIRE Page Introduction 1 Analyses microbiologiques 5 Microbiologie des aliments 6 Microbiologie des eaux 7 Microbiologie
Plus en détailFiche 22 Emballage et aliment
Fiche 22 Emballage et aliment Aujourd hui, quasiment tous les produits que nous achetons sont emballés, très peu sont vendus en vrac. Pourtant, un emballage n est pas neutre : c est un objet publicitaire
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailSTRATEGIE SEMAINE DU 27/10/14 AU 02/10/14
STRATEGIE SEMAINE DU 27/10/14 AU 02/10/14 Environnement : Magnifique contre pied des marchés la semaine dernière. En effet, alors que la semaine d avant fut très mouvementée, notamment avec la journée
Plus en détail(Fabrication de dosettes de café)
FICHE TECHNIQUE Intitulé du métier ou de l activité : Conditionnement et emballage de produits et denrées alimentaires Codification NAA : DH 74.82 Codification Artisanat : / Codification ONS : 74.82 Codification
Plus en détailTâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive.
13 aliments pour une bonne santé Valeurs nutritives Grande compétence A Rechercher et utiliser de l information Groupe de tâches A2 : Interpréter des documents Grande compétence C Comprendre et utiliser
Plus en détailComment bien s hydrater pendant l été?
Comment bien s hydrater pendant l été? C est bien connu, il faut boire davantage en été pour ne pas se déshydrater, notamment en cas de forte chaleur. Il faut en effet être vigilant dès que la température
Plus en détailSport et alpha ANNEXES
Sport et alpha ANNEXES Edition 2013 TABLE DES MATIERES Table des matières 1 Alimentation 2 Boire, Boire, Boire... 2 Et à l approche des «20 km de Bruxelles»? 3 Et pendant l épreuve? 3 Stretching 4 Avant
Plus en détailOrdonnance du DFI sur les sucres, les denrées alimentaires sucrées et les produits à base de cacao
Ordonnance du DFI sur les sucres, les denrées alimentaires sucrées et les produits à base de cacao du 23 novembre 2005 Le Département fédéral de l intérieur (DFI), vu les art. 4, al. 2, 26, al. 2 et 5,
Plus en détailNORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999
CODEX STAN 212-1999 Page 1 de 5 NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999 1. CHAMP D'APPLICATION ET DESCRIPTION La présente norme vise les sucres énumérés ci-après destinés à la consommation humaine
Plus en détailConsommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle. Information sur le sodium alimentaire. www.reductionsodium.ca
Consommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle Information sur le sodium alimentaire www.reductionsodium.ca Contact Jocelyne Bellerive, MA Coordonnatrice/Éducatrice Programme réduction
Plus en détailLivret de formules. Calcul Professionnel Boulangère-Pâtissière-Confiseuse AFP Boulanger-Pâtissier-Confiseur AFP
Version 2: 13.11.2014 Livret de formules Calcul Professionnel Boulangère-Pâtissière-Confiseuse AFP Boulanger-Pâtissier-Confiseur AFP Economie d entreprise Boulangère-Pâtissière-Confiseuse CFC Boulanger-Pâtissier-Confiseur
Plus en détailConseil Spécialisé fruits et légumes
Conseil Spécialisé fruits et légumes Proposition d axes pour l expérimentation pour 2013/2015 dans la filière fruits et légumes frais (hors pomme de terre) 18 décembre 2012 FranceAgriMer Préparation de
Plus en détailCHAPITRE 8 ORGANISATION DE LA COMMUNICATION
ORGANISATION DE LA COMMUNICATION Pour toute communication, il est important de bien cibler l objectif à atteindre. Sans une démarche de planification et d organisation de celle-ci, les probabilités de
Plus en détail«Agir rend heureux» POUR DES ACHATS RESPECTUEUX DE L ENVIRONNEMENT, DES FEMMES ET DES HOMMES, GOODPLANET VOUS INFORME ET CASINO VOUS DONNE LE CHOIX!
«Agir rend heureux» Yann Arthus-Bertrand FONDATEUR DE LA FONDATION GOODPLANET POUR DES ACHATS RESPECTUEUX DE L ENVIRONNEMENT, DES FEMMES ET DES HOMMES, GOODPLANET VOUS INFORME ET CASINO VOUS DONNE LE CHOIX!
Plus en détailETUDE DE FAISABILITE DE LA MISE EN PLACE DE SIGNES DISTINCTIFS DE LA QUALITE ET/OU D ORIGINE POUR LE MIEL TUNISIEN
RÉPUBLIQUE TUNISIENNE MINISTÈRE DE L AGRICULTURE ET DES RESSOURCES HYDRAULIQUES ETUDE DE FAISABILITE DE LA MISE EN PLACE DE SIGNES DISTINCTIFS DE LA QUALITE ET/OU D ORIGINE POUR LE MIEL TUNISIEN NOVEMBRE
Plus en détailÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER
ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département
Plus en détailFiche action Consommer l eau du robinet, ça me plait!
Fiche action Consommer l eau du robinet, ça me plait! Eco E Team Sommaire Remplacer l achat de bouteilles d eau par le placement de fontaines à eau ou par la consommation directe de l eau du robinet, c
Plus en détailDevoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire
Devoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire Pourquoi traiter des devoirs et leçons avec les TDA/H? Parce que c est un des problèmes le plus souvent rencontrés avec les enfants hyperactifs
Plus en détailque dois-tu savoir sur le diabète?
INVENTIV HEALTH COMMUNICATIONS - TERRE NEUVE - FRHMG00277 - Avril 2013 - Lilly - Tous droits de reproduction réservés. que dois-tu savoir sur le diabète? Lilly France 24 boulevard Vital Bouhot CS 50004-92521
Plus en détailSensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments
Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité
Plus en détail22/12/11. Plan de la présentation
http://www.dda.ulg.ac.be L appréciation quantitative du risque microbiologique et la microbiologie prévisionnelle pour les entreprises. La microbiologie prévisionnelle Deux exemples simples L appréciation
Plus en détailScience et technique. La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants. Viande bovine et micro-organisme pathogène
Science et technique Viande bovine et micro-organisme pathogène La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants La contamination des carcasses lors des opérations d abattage et la
Plus en détailLes émissions de GES au quotidien et les gains possibles
Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Un Français émet environ 2,2 tonnes équivalent carbone par an tous gaz à effet de serre confondus (et en tenant compte des puits de carbone que
Plus en détailComment conserver le lait maternel à domicile? Conseils pratiques
Comment conserver le lait maternel à domicile? Conseils pratiques Stocker votre lait Précautions quand vous tirez votre lait Lavez-vous les mains avant de tirer votre lait. Installez-vous au calme, confortablement,
Plus en détailDirection de l Alimentation, de l Agriculture et de la Forêt Service de l Alimentation Jardin botanique 97109 BASSE TERRE
Réglementation relative à l hygiène alimentaire des marchands ambulants et des vendeurs sur foires et marchés (Activités de restauration, vente de poissons, activités de boucherie, charcuteries, pâtisseries,
Plus en détailO SUSHI, stratégie de déploiement de 60 boutiques sur le territoire national d ici 2020. Depuis 2008, l enseigne développe son réseau de franchises
Présentation enseigne O SUSHI 2015 STORY O SUSHI, stratégie de déploiement de 60 boutiques sur le territoire national d ici 2020. 1998 : Création du réseau Depuis 2008, l enseigne développe son réseau
Plus en détailB.T.S. N.R.C. SESSION 2006 Management et gestion d'activités commerciales. Proposition de Corrigé "JAMPI" Dossier 1 L entreprise et son marché
B.T.S. N.R.C. SESSION 2006 Management et gestion d'activités commerciales Proposition de Corrigé "JAMPI" Dossier 1 L entreprise et son marché Première partie : Analyse du marché à partir des annexes 1
Plus en détail2.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid
Chapitre Les bétons courants.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid.7.1 - Le bétonnage par temps chaud 3 Granulats Les conditions climatiques lors de la mise en œuvre ont une grande influence sur
Plus en détailQualités nutritives des salades. DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25. Quand la météo s en mêle
DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25 Laitues d hiver Moins de pe Les laitues pommées bio se révèlent exemptes de pesticides. Plus «Bonne nouvelle: toutes les salades sont conformes et
Plus en détailMesure de la teneur en alcool
37 Mesure de la teneur en alcool 1 Rôle de l alcool dans les vins 285 1.1. Sur le plan organoleptique 285 1.2. Sur le plan biologique 285 1.3. Sur le plan réglementaire 285 1.4. Sur le plan commercial
Plus en détailRÉPERTOIRE RELÈVE SCIENTIFIQUE AU SERVICE DES ENTREPRISES AGROALIMENTAIRES. 2 e édition
RELÈVE SCIENTIFIQUE AU SERVICE 2 e édition Juin 2011 Réalisé par : Partenaire financier du CQVB : Objectif : Ce répertoire vise à faciliter le maillage entre les étudiants-chercheurs universitaires et
Plus en détailAVIS 1 / 6. Afssa Saisine n 2008-SA-0319 Saisine liée n 2005-SA-0081. Maisons-Alfort, le 18 août 2009. Rappel de la saisine
Maisons-Alfort, le 18 août 2009 AVIS LA DIRECTRICE GÉNÉRALE ADJOINTE de l Agence française de sécurité sanitaire des aliments relatif à une demande d'avis relatif au guide de bonnes pratiques d'hygiène
Plus en détailCirculaire relative aux dispositions applicables aux banques alimentaires et associations caritatives
Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire Circulaire relative aux dispositions applicables aux banques alimentaires et associations caritatives Référence PCCB/S3/1092228 Date 02/08/2013
Plus en détailCAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS
CLBV AQMP02 CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS 2 UMO sur 39 ha avec 200 chèvres produisant 160 000 litres de lait et engraissement de 40 génisses Ce système se rencontre principalement dans
Plus en détailBovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4
Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux
Plus en détailOrdonnance du DFI sur les sucres, les denrées alimentaires sucrées et les produits à base de cacao
Ordonnance du DFI sur les sucres, les denrées alimentaires sucrées et les produits à base de cacao Modification du... Le Département fédéral de l intérieur arrête: I L ordonnance du DFI du 23 novembre
Plus en détailSANTÉ. E-BOOK équilibre. stop. cholesterol diabete hypertension. Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT!
SANTÉ stop cholesterol diabete hypertension E-BOOK équilibre Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT! un peu d histoire... Il y a 200 ans, un Français faisait en moyenne entre
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA
Bilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA 1. Description de la société Fromageries Bel SA : Code NAF : 1051C Code SIREN : 542.088.067, les numéros SIRET associés sont
Plus en détailPas de plat de remplacement. Menu standard. Consultation de la Diététicienne proposée. Plat de substitution réalisé par l U.C.P..
Catégorie s 1 2 3 4 Chers collègues de l ANDEV, je vous transmets un extrait du rapport soumis aux élus municipaux de la Ville d Evreux sur la problématique de l accueil des enfants présentant des allergies
Plus en détailL atelier départemental du SDIS 06
L atelier départemental du SDIS 06 Le Groupement fonctionnel «Technique» Au sein de la sous-direction technique et des systèmes d information, le groupement fonctionnel technique (GFTE), placé sous l autorité
Plus en détailNettoyeur en bâtiment/nettoyeuse en bâtiment. Règlement d apprentissage et d examen de fin d apprentissage
80101 Nettoyeur en bâtiment/nettoyeuse en bâtiment Gebäudereiniger/Gebäudereinigerin Pulitore di edifici/pulitrice di edifici A. Règlement d apprentissage et d examen de fin d apprentissage B. Programme
Plus en détailNORHUIL. Un circuit court pour un produit de qualité. Les Hamards 61350 PASSAIS LA CONCEPTION
NORHUIL Les Hamards 61350 PASSAIS LA CONCEPTION Un circuit court pour un produit de qualité Tél : 09 61 05 21 96 / 06 83 40 95 38 Fax : 02 33 64 33 95 Email : sarl.norhuil@orange.fr 0 PRESENTATION Triturateur
Plus en détailFiche-conseil C5 Production d eau chaude sanitaire
Service d information sur les économies d énergie Fiche-conseil C5 Production d eau chaude sanitaire 1 Préparation de l eau chaude sanitaire 2 1) Différents systèmes de production A Chaudière combinée
Plus en détailLa lettre d information du Syndicat de l AOC Corbières Boutenac SEPTEMBRE 2014 n 8
Boutenac Info La lettre d information du Syndicat de l AOC Corbières Boutenac SEPTEMBRE 2014 n 8 Edito Nos lignes se sont coupées depuis plusieurs mois et pour cause! De nombreuses activités ont occupé
Plus en détailHygiène, sécurité et équilibre alimentaires dans les accueils collectifs de mineurs (ACM)
MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ALIMENTATION, DE LA PECHE, ET DES AFFAIRES RURALES Hygiène, sécurité et équilibre alimentaires dans les accueils collectifs de mineurs (ACM) Document aimab Document aimablement
Plus en détailntred 2007 Résultats de l étude Description des personnes diabétiques
Résultats de l étude ntred 2007 EÉCHANTILLON NATIONAL TÉMOIN REPRÉSENTATIF DES PERSONNES DIABÉTIQUES Le diabète est une maladie chronique de plus en plus fréquente, qui touche en France plus de 2 millions
Plus en détailL hygiène en restauration collective. Formation aux ouvriers de l épicerie Sociale des Capucines Morgane DANIEL-diététicienne RSD
L hygiène en restauration collective Formation aux ouvriers de l épicerie Sociale des Capucines Morgane DANIEL-diététicienne RSD Qu est-ce que la sécurité alimentaire? Le principe de la sécurité alimentaire,
Plus en détailLes allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins
études résultats et N 603 octobre 2007 Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins Une enquête a été effectuée par la DREES au deuxième trimestre 2006 auprès de personnes
Plus en détailTri et réduction des déchets
Tri et réduction des déchets dans les locaux sociaux de son établissement # 1 - Organiser le tri dans les locaux sociaux # 2 - Valoriser les déchets en organisant la collecte des poubelles # 3 - Communiquer
Plus en détailQuestionnaire sur l évaluation des ampoules à basse consommation d énergie et de longue durée de vie
Questionnaire sur l évaluation des ampoules à basse consommation d énergie et de longue durée de vie Edition: juillet 2013 SuperDrecksKësct B.P. 43 L-7701 olmar-berg Tel. : 00352 488 216 1 Fax : 00352
Plus en détailMESURER SA PRESSION ARTÉRIELLE À DOMICILE. La société québécoise D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
MESURER SA PRESSION ARTÉRIELLE À DOMICILE QU EST-CE QUE LA PRESSION ARTÉRIELLE? La pression artérielle est la force du sang circulant dans les artères lors de chaque contraction du cœur. La mesure de
Plus en détailLe sens du goût. Une infinité de saveurs.
Le sens du goût. Que serait le goût sans la vue, la mémoire, la senteur, le plaisir? Lorsqu on parle du goût, on ne pense pas toujours à l ensemble des sensations qui permettent d identifier ce que l on
Plus en détailLe Régime Alimentaire. LR Health & Beauty Systems
Le Régime Alimentaire LR Health & Beauty Systems Les accessoires Le mètre La balance LR géniale LR a créé pour vous un mètre qui calcule votre indice de masse corporelle (IMC) achetez le ref Ruban BMI
Plus en détailRapport annuel sur «l école bouge» année scolaire 2012/13
«l école bouge»: rapport annuel de l année scolaire 2012/13 20/03/2014 Rapport annuel sur «l école bouge» année scolaire 2012/13 Structures d accueil de jour 1. Aperçu de l année scolaire 2012/13 Contexte
Plus en détailTable des matières Introduction Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l eau*de*roche
Table des matières Introduction! *! Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse! 1.1!Les!matériaux! 1.2!Solides,!liquides!et!gaz 1.3!Gaspiller!de!l énergie! 1.4!Le!carburant!du!corps! Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l
Plus en détailQUESTIONS RELATIVES À LA SIGNALISATION DES DANGERS. Étiquetage des très petits emballages
NATIONS UNIES ST Secrétariat Distr. GÉNÉRALE ST/SG/AC.10/C.4/2006/12 25 avril 2006 COMITÉ D EXPERTS DU TRANSPORT DES MARCHANDISES DANGEREUSES ET DU SYSTÈME GÉNÉRAL HARMONISÉ DE CLASSIFICATION ET D ÉTIQUETAGE
Plus en détailLE Module 04 : SOMMEIL Module 04 :
Module 04 : le sommeil Module 04 : le sommeil Ce module comprend les sections suivantes : Messages clés Problèmes de sommeil courants Les médicaments et le sommeil Conseils provenant de familles sur les
Plus en détailChoisir une pointeuse, badgeuse ou système de gestion des temps
Choisir une pointeuse, badgeuse ou système de gestion des temps Ce guide a été conçu pour vous assister dans votre démarche de sélection d un système de gestion des temps. Nous souhaitons ici vous faire
Plus en détailInformations techniques sur la culture de l ananas
Informations techniques sur la culture de l ananas Conditions de culture favorables (choix de la parcelle) : Sol drainant et plutôt acide. Terrain exposé au soleil. Accès à l eau pour l irrigation durant
Plus en détailIK/ELIPSO PackTheFuture Sustainable Plastic Packaging Award 2015 Règlement du Concours
IK/ELIPSO PackTheFuture Sustainable Plastic Packaging Award 2015 Règlement du Concours Article 1: Objet Dans le cadre de la promotion de l industrie de l emballage plastique, ELIPSO (France) et IK (Allemagne)
Plus en détailAUNEGE Campus Numérique en Economie Gestion Licence 2 Comptabilité analytique Leçon 3. Leçon n 3 : la détermination et l enchaînement des coûts
AUNEGE Campus Numérique en Economie Gestion Licence 2 Comptabilité analytique Leçon 3 Leçon n 3 : la détermination et l enchaînement des coûts 1 PLAN DE LA LEÇON : 1.De la comptabilité générale à la comptabilité
Plus en détailDOSSIER DE PRÉSENTATION
DOSSIER DE PRÉSENTATION Pur etc. : un Fast Good A tout moment de la journée, PUR etc. propose des produits cuisinés comme à la maison, autour de fruits et légumes de saison, et fait de la qualité et la
Plus en détailFeuille 6 : Tests. Peut-on dire que l usine a respecté ses engagements? Faire un test d hypothèses pour y répondre.
Université de Nantes Année 2013-2014 L3 Maths-Eco Feuille 6 : Tests Exercice 1 On cherche à connaître la température d ébullition µ, en degrés Celsius, d un certain liquide. On effectue 16 expériences
Plus en détailnote d Temps de travail des enseignants du second degré public : pour une heure de cours, une heure de travail en dehors 13.13
note d informationjuillet 13.13 Les enseignants du second degré public à temps complet ont déclaré, en moyenne, exercer 41 heures de travail par semaine dont la moitié avec les élèves, principalement en
Plus en détailLe cadre général de la loi du 21 Germinal An XI
Le cadre général de la loi du 21 Germinal An XI par Eric Fouassier 1 Mars 2003 La pharmacie sous l Ancien Régime et la Révolution Avant la Révolution, la réglementation de la profession pharmaceutique
Plus en détailGuide 2015. Ordures ménagères
Guide 2015 Ordures ménagères CDC de Podensac 12 rue du M al Leclerc-de-Hauteclocque Tel 05 56 76 38 00 environnement@cc-podensac.fr www.cc-podensac.fr EDITO Bernard Mateille Président de la CDC Maire de
Plus en détailMode d emploi. Moins de déchets, 10 gestes pour transformer nos habitudes
Mode d emploi Moins de déchets, 10 gestes pour transformer nos habitudes 10 «petits» gestes pour réduire nos déchets Réduire ses déchets c est avant tout mieux consommer Le meilleur déchet est celui qui
Plus en détailDISPOSITIONS RELATIVES AUX ETABLISSEMENTS PHARMACEUTIQUES DE FABRICATION ET DE DISTRIBUTION DE GAZ MEDICINAL
DISPOSITIONS RELATIVES AUX ETABLISSEMENTS PHARMACEUTIQUES DE FABRICATION ET DE DISTRIBUTION DE GAZ MEDICINAL Ces dispositions s appliquent spécifiquement aux établissements fabriquant ou distribuant des
Plus en détailMaîtrise des phases critiques en élevage porcin : Comment améliorer la santé digestive du porcelet?
1. Introduction : Maîtrise des phases critiques en élevage porcin : Comment améliorer la santé digestive du porcelet? P. Rondia* et J. Wavreille** Centre wallon de recherches agronomiques *Unité Nutrition
Plus en détailRègles et prescriptions à respecter pour les permis de construire
Collecte et valorisation des déchets dans le pays de Gex Permis de construire Édition 2013 Règles et prescriptions à respecter pour les permis de construire Prévoir la voirie, les équipements et les zones
Plus en détailFiche 7: Privatisation et eau
De nos jours, la sauvegarde et le contrôle de l eau sont des enjeux qui donnent lieu à de multiples débats à l échelle planétaire. Maintenant que la ressource diminue, on se demande à qui elle appartient,
Plus en détailComment se préparer à la certification
Comment se préparer à la certification Intervenant : Laurent DENEUVE ACTALIA Villers-Bocage Tél. 02.31.25.43.00 Mail : l.deneuve@actalia.eu ACTALIA en quelques mots (www.actalia.eu) Institut Technique
Plus en détailCompte rendu de la réunion du 13 novembre 2014 Restauration scolaire et hygiène buccodentaire.
Compte rendu de la réunion du 13 novembre 2014 Restauration scolaire et hygiène buccodentaire. Personnes présentes : M. le Maire, Guillaume MATHELIER, M. Quentin MAYERAT, Adjoint à l'éducation et à la
Plus en détailRÈGLES DE CERTIFICATION D ENTREPRISE
RÈGLES DE CERTIFICATION D ENTREPRISE Fabrication et transformation de matériaux et d emballages destinés au contact des aliments : respect des règles d hygiène (méthode HACCP) Réf. Rédacteur LNE PP/GLB
Plus en détailLe parcours professionnel des chômeurs de longue durée en Suisse
Le parcours professionnel des chômeurs de longue durée en Suisse Cet article présente les premiers résultats d un projet de recherche qui étudie le parcours professionnel de personnes confrontées au chômage
Plus en détailBILAN ROUTIER 2014. Société de l assurance automobile du Québec
BILAN ROUTIER 2014 Société de l assurance automobile du Québec SAAQ BILAN ROUTIER 2014 1 SOMMAIRE IL Y A EU 336 DÉCÈS SUR LES ROUTES EN 2014, SOIT 55 DE MOINS QU EN 2013, CE QUI REPRÉSENTE UNE DIMINUTION
Plus en détailAllégations relatives à la teneur nutritive
Allégations relatives à la teneur nutritive Mots utilisés dans les allégations relatives à la teneur nutritive Ce que le mot signifie Exemples Sans Faible Réduit Source de Léger Une quantité insignifiante
Plus en détailallianceautopropane.com
allianceautopropane.com QUI EST ALLIANCE AUTOPROPANE? LE PLUS GRAND RÉSEAU D AUTOPROPANIERS EN AMÉRIQUE Alliance AutoPropane est un réseau de propaniers qui se consacre à la distribution et à la vente
Plus en détailEPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE
CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DE LYCEE PROFESSIONNELS AGRICOLE (PLPA) SESSION 2011 Concours : INTERNE Section : Sciences économiques et sociales et gestion Option A : Sciences économiques et sociales
Plus en détailTests paramétriques de comparaison de 2 moyennes Exercices commentés José LABARERE
Chapitre 5 UE4 : Biostatistiques Tests paramétriques de comparaison de 2 moyennes Exercices commentés José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament. Elle contient des informations importante s pour
Plus en détailPropension moyenne et marginale
Propension moyenne et marginale Les ménages utilisent leur revenu soit pour consommer (tout de suite), soit pour épargner (et consommer plus tard). On appelle propension moyenne à consommer (PMC) la part
Plus en détailCONTRÔLES D HYGIèNE ET DE QUALITÉ D HÔTELLERIE ET DE RESTAURATION
CONTRÔLES D HYGIèNE ET DE QUALITÉ DANS LES établissements D HÔTELLERIE ET DE RESTAURATION 2 Table des matières 4-5 Présentation de SGS 6-7 Renforcez votre réputation 8-9 Programme d évaluation: «Hygiene
Plus en détailLe développement de la franchise dans le Groupe Casino
Le développement de la franchise dans le Groupe Casino Dossier de presse 1 Communiqué de presse Le groupe Casino mise sur la franchise pour accélérer le développement de ses enseignes de proximité Mars
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détaillire les Étiquettes et trouver les sucres cachés
lire les Étiquettes et trouver les sucres cachés Objectif : Sensibiliser les élèves à ce qui se trouve dans leur nourriture et les aider à se méfi er des sucres cachés. Matériel Feuille à imprimer : Chaîne
Plus en détailGUIDE DE L ENSEIGNANT
Au ménage! GUIDE DE L ENSEIGNANT 2010-2011 -1- Description de la situation d apprentissage Préparation Activité 1 À leur entrée en classe, les élèves découvrent quatre bouteilles sur le bureau de l enseignante
Plus en détailComment utiliser les graines de soja à la cuisine
Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire
Plus en détailRésumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives
Référence : PT/RES/006-B Page :Page 1 sur 5 Objet : Maîtriser les dangers microbiologiques, biologiques, chimiques et physiques lors des opérations d épluchage, lavage et désinfection des légumes terreux,
Plus en détailIGP CITE DE CARCASSONNE-CABERNET
IGP CITE DE CARCASSONNE-CABERNET Assemblage : 70% Cabernet franc - 30% Cabernet sauvignon Belle robe rouge avec des reflets violines - Nez très marqué par le fruits avec des notes de cassis, poivre et
Plus en détailLE GUIDE DU FOURNISSEUR DE RUCHES
www.laruchequiditoui.fr LE GUIDE DU FOURNISSEUR DE RUCHES 1 Bonjour, Félicitations! * * Votre compte est créé. Il s agit d une première étape. Ce guide est fait pour vous donner le mode d emploi et les
Plus en détailHYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE
HYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE Dr Erick KEROURIO DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS DE L ESSONNE Le cadre réglementaire LA RESTAURATION COLLECTIVE Notion de «clientèle» captive
Plus en détailGSE AIR SYSTEM V3.0 L indépendance énergétique à portée de mains
AÉROVOLTAÏQUE V3.0 L indépendance énergétique à portée de mains Photos non contractuelles www.gseintegration.com L'alliance des économies d'énergie et du confort thermique Édito L énergie solaire est indispensable
Plus en détailAVIS. de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail
Le Directeur général Maisons-Alfort, le 1 er avril 2014 AVIS de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à la demande d autorisation de mise
Plus en détailRecycler mes lampes? Une idée lumineuse. En plus d être économiques, les lampes basse consommation se recyclent!
Recycler mes lampes? Une idée lumineuse En plus d être économiques, les lampes basse consommation se recyclent! Prévu par deux règlements européens relatifs à l éco-conception des lampes, le retrait progressif
Plus en détail