L interruption volontaire de grossesse

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1 Huitième partie L interruption volontaire de grossesse Ce n est pas une méthode contraceptive. C est même, à mon sens, ce que toutes les méthodes contraceptives visent à éviter. Car la contraception n est pas destinée à empêcher les femmes d avoir des enfants, mais à leur éviter d être enceintes quand elles n en ont pas le désir. Car, lorsqu elles sont enceintes sans désir, très souvent, elles avortent. Je ne vais pas m étendre longuement sur l IVG, à laquelle j ai consacré un livre entier (La Vacation, POL, 1989), pour dire simplement ceci : une IVG, ça fait souffrir tout le monde. Il y a cependant des choses qui méritent, à mon sens, d être redites, pour qu il n y ait aucune ambiguïté, et d autres qui méritent d être soulignées parce qu elles ne sont jamais évoquées nulle part. En France, l IVG est autorisée depuis 1975, grâce à une loi proposée et défendue par Mme Simone Veil. Les IVG ne sont pratiquées que dans des centres publics ou dans des cliniques privées agréées. 357 Il existe deux techniques d IVG L IVG médicamenteuse : elle ne peut être pratiquée que pour les grossesses de moins de sept semaines d aménor-

2 rhée (sept semaines à dater du début des dernières règles, ou cinq semaines à partir de l ovulation théorique). Elle consiste à donner à la femme un premier médicament, de la mifépristone (ou «RU 486», commercialisé sous le nom de Mifégyne), puis, deux jours plus tard, un second médicament, une prostaglandine (Nalador), qui complète les effets du premier. Dans les heures qui suivent la prise du second médicament, la grossesse s interrompt : la femme fait une «fausse couche» dans le service où on l a accueillie. Lorsqu elle est utilisée avant la 7 e semaine de grossesse, l efficacité de cette méthode est grande, mais pas totale. Dans un petit nombre de cas, la grossesse n est pas interrompue, ou l œuf n est pas expulsé et il est nécessaire de recourir à une aspiration. Contraceptions L interruption volontaire de grossesse 358 L IVG par aspiration : elle peut désormais être pratiquée jusqu à quatorze semaines d aménorrhée (douze semaines depuis l ovulation théorique). Elle consiste à vider l utérus de son contenu au moyen de sondes creuses (sondes de Karmann) branchées sur un appareil à aspiration. Cette intervention peut se faire sous anesthésie locale (on injecte un anesthésique autour du col de l utérus avant l aspiration) ou générale (on endort la femme pendant quelques minutes). Dans le premier cas, la femme ne reste que trois heures à l hôpital. Dans le second, on la garde quatre à six heures après son réveil. L autorisation de pratiquer des IVG jusqu à quatorze semaines d aménorrhée a été motivée par le fait qu il s agit du délai autorisé dans la plupart des pays européens limitrophes (Belgique, Pays-Bas, Grande- Bretagne) et que, chaque année, 5000 femmes françaises dont la grossesse se trouvait hors limite légale devaient aller se faire avorter à l étranger. Les IVG chez les mineures Le problème des mineures a fait couler beaucoup d encre. En effet, jusqu en 2001, les mineures voulant

3 interrompre leur grossesse devaient obtenir l autorisation d un de leurs parents. Pour la plupart des mineures qui consultaient en disant «Mes parents vont me tuer s ils l apprennent», le problème pouvait se résoudre assez facilement : grâce à l intermédiaire d un tiers (une sœur majeure, une tante, une amie de la famille), l adolescente pouvait dire à l un de ses parents (la mère, le plus souvent) ce qui lui arrivait, et l autorisation était obtenue. Mais pour un certain nombre d entre elles (un nombre petit, mais irréductible), ça n était pas possible, en raison de situations familiales ou culturelles incompatibles avec l annonce d une grossesse (donc, d une activité sexuelle) chez la jeune fille. De plus, les mineures ont le droit à la confidentialité à l égard de leurs parents, et ce droit était donc nié dans le cas précis de l IVG. Depuis juillet 2001, l autorisation parentale n est plus indispensable à une mineure qui veut interrompre sa grossesse : il suffit qu elle soit accompagnée par un(e) adulte qui lui sert de caution. Un des problèmes n est cependant pas réglé : les adolescentes, plus que les femmes adultes, préfèrent presque toujours être endormies quand elles subissent une IVG. Or, pour endormir un(e) mineur(e), il faut une autorisation de ses parents. Bien naturellement, les anesthésistes-réanimateurs ne veulent pas enfreindre ce principe pour des raisons médico-légales. Jusqu à ce que ce problème soit réglé, les mineures qui subiront des IVG sans autorisation parentale ne pourront bénéficier que d une anesthésie locale Il y a là une incohérence de la réglementation qu il faut lever au plus vite : autoriser les mineures à interrompre leurs grossesses en leur imposant de le faire dans des conditions plus difficiles qu avant puisqu elles n auront pas le choix ça n est pas tolérable. 359

4 Contraceptions L interruption volontaire de grossesse 360 Les conséquences de l IVG Il serait malhonnête de dire qu une IVG n a aucune conséquence. L IVG fait partie de la vie des femmes, même quand elles n en ont pas subi elles-mêmes : leurs amies, leurs mères, leurs sœurs ont pu en vivre une. Quelles que soient les circonstances, l IVG marque les femmes, même si ces femmes ont choisi d avorter. Cette marque n est pas nécessairement indélébile ou irréparable, ni même éternelle, mais elle existe. Mais ce qui me paraît le plus important est ceci : une IVG ça n est jamais anodin pour personne, même si la loi a rendu l IVG légale. Le travail des médecins, des infirmières, des aide-soignantes, des conseillères et des psychologues dans les services d IVG en témoigne : après vingt-cinq ans de légalisation, les IVG ne sont pas «banalisées» pour les femmes qui y ont recours. Elles sont d autant plus mal vécues qu elles ponctuent une sexualité elle-même mal vécue ou subie (rapports sexuels trop précoces et plus ou moins imposés, situation de révolte à l égard des parents, situation de violence ou de rupture du couple) et, dans ces cas-là, la grossesse et l IVG sont le plus souvent la partie émergée d un iceberg. Ça ne fait pas de l IVG une situation mineure, mais il ne faut pas perdre de vue que le problème ne réside pas uniquement dans une absence d information contraceptive. La plupart des femmes que j ai vues passer dans le centre d interruption de grossesse où j ai travaillé pendant quinze ans n avaient aucune envie que ça leur arrive à nouveau. Contrairement à ce que suggéraient les discours les plus réactionnaires, je n ai jamais vu de femme utiliser l IVG comme une méthode contraceptive. Il arrive que des femmes subissent plusieurs IVG dans leur vie, mais la vie est longue et pleine d impondérables, et comment voulez-vous maîtriser en permanence trente-cinq années de fécondité? Les quelques femmes (je peux les compter sur

5 les doigts d une main) que j ai vues recourir à l IVG de nombreuses fois, de manière presque systématique, étaient profondément perturbées, pathologiques dans leur vie, dans leur comportement, dans leur relation aux autres. Elles ne représentent en aucun cas la majorité des situations, pas plus que les femmes qui se suicident ou qui tuent leurs enfants ne représentent la majorité des femmes. Une femme qui désire avorter a toujours des raisons précises. Ça n est jamais «simplement parce qu elle ne veut pas de cette grossesse.» Mais parfois, ses motivations sont difficiles à énoncer, car elles se mêlent à la culpabilité, à la tristesse, à la colère contre ellemême, contre un homme ou contre un médecin. Quelle que soit la motivation de la femme qui demande une IVG, il est rare que cette femme n ait pas besoin d en parler à un moment ou à un autre. Ce peut être avant l IVG, ce peut être juste après l intervention ou plusieurs semaines après. La présence des conseillères de planification et/ou des psychologues dans les services d IVG n est pas un luxe ou un privilège : c est une condition indispensable pour aider les femmes à décrypter ce qui leur est arrivé et, souvent, les aider à éviter que cela ne se reproduise. 361

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