CHSCT Nîmes, le 9 décembre 2003 SOCOTEC SA

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "CHSCT Nîmes, le 9 décembre 2003 SOCOTEC SA"

Transcription

1 CHSCT Nîmes, le 9 décembre 2003 SOCOTEC SA Objet : PROCES-VERBAL DE REUNION DE CHSCT DU 23 SEPTEMBRE 2003 Class t Ordre du jour 212F 1 Rapport du CHSCT sur le centre de formation du Tremblay A 2 Décret du 20 février 92 : modalités de suivi du dispositif 6 333B 3 retenu.... Avis sur le dossier Pylônes 8 356A 4 Rubis Compte rendu de mission relative à l agence Equipements Provence..... Levage PEMP : modalités de suivi des actions décidées par la C 6 Direction... Evocation du dossier «Procédure de 11 7 déménagement Questions diverses.». 3 Class t Documents annexes NbPages Lt333b01 Courrier du 5 août 2003 adressé au médecin du travail 1 1/1111

2 Procès-verbal approuvé le : 9 décembre 2003 Le Président M.RONGIER Le secrétaire M.STRIVAY Prés Exc Participants Au titre de X M. RONGIER Président du CHSCT X M. CAIRE DRH X MME MORIQUAND Chargée de relations sociales X M. BASTE Agent central de sécurité X MME PLUVINAGE membre du CHSCT X M. GANDRILLON membre du CHSCT X M. GERARDIN membre du CHSCT X M. LAMANT Membre du CHSCT X M. LE MENE membre du CHSCT X M. LESEUR membre du CHSCT X M. PORRET Membre du CHSCT X M. STRIVAY secrétaire du CHSCT X M. THEYS membre du CHSCT X M. GUEGNIAUD Représentant syndical CGC X M. LACHENKO Représentant syndical CGT X M. VALLAR Représentant du comité d entreprise X MME DELALLEE Médecin du travail X MME MICHEL Assistante médecin du travail X M. DROSS Inspection du travail X MME GALAND Service de prévention de la CRAM Prochaine réunion le : Mardi 9 décembre 2003 à : Montigny le Bretonneux 2/1111

3 Avant-propos : Approbation du PV de la réunion précédente : Le procès-verbal de réunion du 3 juillet 2003 n a pas été établi. Formation de deux membres du CHSCT Mme Pluvinage et Mr Porret vont être inscrits à un stage Le dossier a été remis par le secrétaire à la DRH qui complétera les fiches d inscription et les transmettra à l organisme EMERGENCE qui doit assurer cette formation. Outil de saisie mobile : Les techniciens vont être dotés, pour la saisie des données lors des visites d inspection, d outil de saisie mobile du type «tablette PC». Une phase de test va être lancée courant octobre 2003 et concernera 25 techniciens répartis sur plusieurs agences. Suite à la présentation de l outil en réunion de Comité d entreprise du 11 septembre, ce dernier saisit le CHSCT pour suivre cette phase de test et l éclairer sur l impact que la mise en place de la «tablette PC» pourra avoir sur l évolution des tâches du personnel technique et administratif. Mr Rongier nous tient informé des lieux concernés dès qu ils seront connus. Pour faciliter cette mission, il serait souhaitable que quelques agences-pilote soient celles ou se trouvent des membres du CHSCT. En particulier pour l agence Equipements de Normandie. Mr Leseur est désigné Pilote de la mission pour le compte du CHSCT. Missions SPS : Il est fait état, d une manière générale dans les différents groupes d agences, de charges de travail excessives pour les coordonnateurs SPS, et de façon induite, de dysfonctionnements relatifs à l exécution des missions (phase conception shuntée, absence de visite du site avant l élaboration du PGC, méthodologie non appliquée ). Mr Rongier précise que le chiffre d affaires de cette activité est en hausse par rapport au budget et que SOCOTEC cherche à recruter des coordonnateurs. Par ailleurs le métier a subi, depuis sa création en 1994, une évolution significative, autant par ses aspects législatifs que par les méthodes de travail. Compte tenu de la situation le CHSCT décide donc, dans un premier temps, de recueillir de plus amples informations auprès des coordonnateurs. Eau fraîche dans les agences : Le CHSCT demande d étendre à toutes les agences l installation de fontaines d eau fraîche cette eau qui a cruellement fait défaut en certains lieux de travail au cours de l été caniculaire qui vient de passer! 3/1111

4 212F Rapport du CHSCT sur le centre de formation du Tremblay Présentation : Le CHSCT a procédé à l examen du dossier de création du centre de formation de l Ile de France qui sera implanté au Tremblay dans le Parc Paris Nord 2. Nos visites sur place et au centre de Seclin dans le Nord nous ont permis de compléter les informations données par la Direction. Le dossier remis comporte des plans de l existant, des plans d aménagement, un descriptif succinct des travaux envisagés ainsi que des explications sur le fonctionnement du centre, sur le site et son environnement, sur les services disponibles à proximité ainsi que sur certaines incidences concernant les conditions de travail et de déplacements du personnel. Une lettre de Mr Gayot du 2 septembre 2003, précisant certains points, est jointe au dossier. Le bâtiment comporte un grand hall de 1300 m² qui servira à la formation pratique au permis de cariste aire d évolution des engins et une zone bureaux et salles de formation de 700 m² répartis sur 2 niveaux. Avis du CHSCT : Dispositions constructives : Un rapport relatif à la sécurité nous sera remis en fin de travaux. A noter dès à présent que le désenfumage de l escalier et du hall ne semblent pas être prévus. Les autres rapports réglementaires, avant remise en service du bâtiment, nous seront également remis. Confort thermique d été : La climatisation des locaux bureaux et salles de formation n est pas envisagée. La Direction va lancer une étude thermique pour justifier son choix, une grande partie des locaux étant orientés au nord est. Il nous est également précisé qu il n y aura que peu d activité dans le centre durant les deux mois d été les plus chauds (juillet et août). Confort acoustique : Les salles qui se situent côté voie d accès au centre commercial très proche ne sont isolées que par des façades légères avec vitrages simples. Les heures de fréquentation du centre commercial et du centre de formation sont certainement différentes, ce qui réduira sans doute la gène. A suivre Les isolements internes sont traités par la construction d une paroi maçonnée entre salles et hall, et par des cloisons légères préfabriquées entre salles et salles et circulations. Nous avons demandé la documentation technique de ces cloisons. Sanitaires : La Direction prévoit de renforcer le nombre de sanitaires pour se conformer aux prescriptions réglementaires en la matière. Un plan modificatif est en cours d élaboration. Un contrat d entretien et de désinfection sera passé avec une entreprise extérieure afin que les sanitaires soient nettoyés journellement. Loi Evin : 4/1111

5 La protection des fumeurs doit être assurée mais il faut préserver le droit et les libertés individuelles. Des dispositions seront prises au premier étage pour permettre à ceux qui le souhaitent de fumer sans être obligés de sortir. La Direction décide de déclarer la partie ERP «non fumeur». Activités dans le hall : Ce hall sert pour la formation au permis de cariste. Les principales dispositions matérielles de sécurité nous paraissent avoir été prévues en ce qui concerne les aires d évolution des chariots, les exercices de gerbage, le déplacement des piétons. Travailleurs handicapés : Seul le rez-de-chaussée est accessible. Sans observation de la part du CHSCT. Réception des travaux : Selon l information qui nous a été communiquée, les travaux devraient s achever début novembre Nous en serons averti préalablement, pour que nous puissions programmer une visite sur place. Cette visite ne pourra avoir lieu que lorsque tous les travaux d aménagement et d équipement seront effectués et que nous serons en possession des différents rapports réglementaires. 5/1111

6 323A Décret du 20 février 92 : modalités de suivi du dispositif retenu Présentation : Adaptant les obligations qui sont faites au titre du décret du 20 février 1992 aux entreprises qui interviennent dans un établissement en activité, SOCOTEC a mis en place un dispositif, objet des fascicules à 03 diffusés dans les agences. Ce dispositif a été construit dans un double souci de simplification des procédures - dans le respect du texte de loi - et d efficacité pour une prévention du meilleur niveau. Le CHSCT, au delà de l aspect légal, souhaite donc que chacun devienne acteur dans la mise en œuvre des dispositions retenues à SOCOTEC et que les responsables en poste prennent en charge l animation du dispositif. Dès lors que la Direction s est attachée à faire passer le message aux différents niveaux hiérarchiques, le CHSCT, qui doit recevoir toute l information nécessaire à l accomplissement de ses missions comme rappelé en R , propose un suivi en quatre étapes sur douze mois. Proposition du CHSCT : Etape n 1 : concerne les nouvelles affaires, nouvelles conventions. Vérifier la date de mise en application des conventions nouvelle formule. Obtenir durant 3 mois toutes les conventions de 3 agences Equipements. Le Directeur d agence nous communique par paquet toutes les semaines les nouvelles conventions signées pour lesquelles une visite est programmée dans la période considérée. S il n y a pas de visite prévue dans la période, la convention ne doit pas nous être adressée. La période serait 1er octobre 30 décembre Tableau de suivi associé : OK Affaire Nbre d affaires : Date contrat B C R1 R2 R3 R4 R5 R6? Totaux : Les colonnes R1 à R6 correspondent aux risques spécifiques définis dans nos conventions. La colonne OK indique si la convention utilisée est la bonne convention. Les colonnes B et C précisent s il s agit d affaire de nature B ou C. La colonne? pose la question : avons-nous une bonne raison de penser que des risques existent qui n auraient pas été indiqués par le client ou par SOCOTEC. Essentiellement subjectif, mais néanmoins indicatif. Etape n 2 : courrier adressé pour les affaires existantes. Choisir 3 agences Equipements qui nous adresseront le courrier type de demande de renseignements, ainsi que l avis de visite correspondant, un mois chacune (les affaires sont plus nombreuses). Cette demande sera faite au 1er décembre, pour laisser au client le temps de répondre. Ce sera donc le courrier type retourné par le client qui nous sera communiqué, par paquet chaque semaine. Parallèlement, nous recevrons la liste des affaires traitées par l agence durant la même période d un mois. La période serait 1er janvier mars Le tableau à remplir sera du même style que le premier. PV035B31 CH 035B PV Page 6/1111

7 Etape n 3 : Fiche d intervention. Choisir 6 agences qui nous communiqueront à tour de rôle durant un mois chacune, les fiches d intervention des affaires sur lesquelles elles sont intervenues dans la période. Cette étape dure donc 6 mois, du 1er avril au 30 septembre Les seules affaires concernées sont celles qui impliquent un établissement présentant des risques particuliers, soit sur déclaration du chef d établissement, soit signalé comme tel par l intervenant. C est la fiche après intervention qui nous intéresse, car le salarié peut y avoir inscrit des commentaires. Il faudra distinguer les affaires avec nouvelles conventions de celles existantes, plus anciennes. Parallèlement, nous recevrons la liste des affaires traitées par l agence durant la même période d un mois. Etape n 4 : Synthèse. Le CHSCT examine en réunion plénière le résultat du travail d une année, analyse les informations recueillies. La deuxième année sera celle qui permettra de confirmer le dispositif. Réponse de la Direction : La Direction centrale informatique a été sollicitée pour étudier ce que SYSAGE Equipements pourrait intégrer comme données émanant des contrats, voire des retours de fiches d intervention. Une réunion est programmée en ce sens le 7 octobre Par ailleurs un article sur le décret du 20 février 92 et sur ses modalités d application à SOCOTEC sortira dans le journal SOCOTEC INFOS en octobre prochain. En ce qui concerne le suivi proposé par le CHSCT, Mr Rongier préfère s inscrire dans le cadre des nouvelles orientations en matière de management de la Qualité. Le processus sera audité en vue d en mesurer son efficience et son efficacité, au travers d indicateurs pertinents à définir. Les Directeurs seront sensibilisés par un courrier qui va leur être adressé, décrivant le processus, rappelant les exigences dans cette matière, définissant les indicateurs de suivi et précisant les modalités permettant de faire remonter les informations. Le résultat du traitement de ces informations sera communiqué au CHSCT. Décision du CHSCT : De manière complémentaire, le CHSCT analysera les informations qui doivent être portées à sa connaissance en procédant de son côté et sur le terrain, à des visites programmées. Les techniques d investigation seront mises au point dans l esprit de l article R du code du travail. Les informations pourraient être consignées dans un tableau tel que décrit ci-dessus. 7/1111

8 333B Avis sur le dossier «Pylônes Rubis» Présentation : La gendarmerie Nationale a confié à SOCOTEC une mission de vérification de l état général de ses pylônes dits pylônes «Rubis». Cette mission doit être effectuée par une trentaine de techniciens sur l ensemble du territoire. Ce type d intervention nécessite des compétences en structures et quelques connaissances en électricité, mais fait appel à des gestes professionnels inhabituels pour des contrôleurs, du fait de la méthode de travail et du matériel utilisé. En outre une formation pratique au port du harnais pour travail en hauteur est indispensable : les intervenants doivent donc être habilités et dotés des EPI appropriés. Enfin les pylônes comportent des antennes émettant des ondes électromagnétiques. A noter que les missions sont déjà bien avancées. Questions : 1. La Direction peut-elle nous garantir que les intervenants ont la capacité à effectuer le travail en toute sécurité? 2. Ces établissements de l Etat sont-ils assujettis au décret du 20 février 92? 3. Quel est le contenu de la formation? Avis du CHSCT : Les réponses motivées apportées par la Direction aux trois questions posées conditionnent l avis du CHSCT. Cet avis ne préjuge pas de remarques sur le déroulement de l intervention à proprement parler. Annexes : Courrier du 5 août 2003 adressé au médecin du travail Lt333b01 356A Compte-rendu de mission relative à l agence Equipements Provence 8/1111

9 Présentation : Le CHSCT a fixé à deux de ses membres une mission portant sur les relations de travail au sein de l agence Equipements Provence, bureau d Avignon (confer PV de réunion du 9 avril 2003). Mrs Gandrillon et Strivay ont ainsi effectué 3 visites le 17 avril en Avignon, le 20 mai à Marseille et Avignon, et le 26 mai en Avignon, pour rencontrer les personnes, recueillir leurs témoignages et collecter tous documents utiles permettant d apprécier au mieux la réalité de la situation. Le rapport établi au terme de cette mission est lu et commenté en séance et sera remis au Président. Débats : Les problématiques sont tout d abord posées et leurs éléments essentiels sont développés et analysés. Il ressort que les problèmes relationnels au sein de cette agence ont une histoire qui mérite d être entendue. Elle l a été, ce qui permet toujours de mieux évaluer la situation, condition indispensable à la recherche de solutions. Il ressort également que ces mêmes problèmes relationnels sont entretenus par des dysfonctionnements divers relevant à la fois de la qualité du travail et de l organisation : mais tout n estil pas finalement lié? D autant que les compétences, managériales ou administratives, ne sont pas vraiment au rendez-vous. Toutefois, les relations de travail au sein du bureau d Avignon semblent s être progressivement améliorées depuis le début de l année 2003, ce qui témoigne d efforts réciproques importants, basés vraisemblablement sur une meilleure écoute mutuelle et une certaine acceptation de l autre. Dès lors, une réflexion sur l organisation, les moyens et les méthodes est envisageable et devrait porter ses fruits assez rapidement : réduire les délais d envoi des rapports aux clients. Les conditions seront alors réunies pour relancer une dynamique du groupe, dans laquelle chacun aura à y gagner. Propositions du CHSCT : Cet objectif peut être atteint si l on déploie les mesures appropriées : - Clarifier les définitions de fonction, les faire accepter. - Analyser les dysfonctionnements évoqués tout au long du rapport : la méthode de l arbre des causes peut aider dans cette démarche, qui doit être du type participative. - Rechercher et décider du choix de solutions en matière d organisation en particulier pour réduire, voire supprimer les dysfonctionnements, en prenant garde à ne pas déplacer les problèmes. - Mettre en place des procédures écrites et des indicateurs de suivi, en accord avec les intéressés. Tenir compte pour cela des mandats de représentante du personnel. - Prévoir les formations complémentaires nécessaires, qualifiantes de préférence. Décision : Mr Rongier propose d organiser une réunion spécifique à laquelle participeront les deux membres du CHSCT qui ont effectué la mission. Le CHSCT donne délégation à Mrs Gandrillon et Strivay pour le représenter lors de cette réunion. 9/1111

10 337 Levage PEMP : modalités de suivi des actions décidées par la Direction Présentation : Dans le prolongement des décisions prises par la Direction et rappelées dans le PV de CHSCT du 3 décembre 2002, le CHSCT mène une réflexion sur les modalités de mesure de l efficacité des actions prévues par SOCOTEC. Questions : Des journées d information pour les intervenants ont été menées fin 2002, début 2003 sous la forme de 3 modules : n 1 : la réglementation ; n 2 & 3 :les techniques, les méthodes et la sécurité. Q 1. Le CHSCT souhaiterait obtenir la liste des intervenants «levage» ainsi que celle des personnes ayant assisté à ces journées. Q 2. Qui étaient les formateurs, leur qualification et leur formation? Le PV du CHSCT du 22 janvier 2003 prévoit une formation à l animation pour les RTM. Q 3. Le CHSCT demande à être destinataire de ce compte rendu de formation. Pour le nouvel embauché, la période de tutorat s achève par un stage d habilitation. Q 4. Qu en est il aujourd hui? Le CHSCT peut il suivre l évolution (en ce qui concerne la formation à la sécurité ) de quelques uns des nouveaux embauchés (fiches de tutorat, stage d habilitation etc )? Au cours des modules 2 &3, la sécurité est traitée par type de machine, par la projection d une dizaine de diapositives rappelant les principes généraux de protection. Le module 2 présente également les résultats et l analyse de l évaluation Levage (questionnaire de 40 questions posées à 120 intervenants). Q 5. Le CHSCT demande copie du questionnaire et de l ensemble des réponses obtenues. Combien de questions ont trait à la sécurité? Peut on aujourd hui reposer les mêmes questions aux mêmes personnes et comparer les résultats? Ces journées, en ce qui concerne la sécurité, complètent avantageusement les consignes particulières du recueil 97. Un sondage auprès de plusieurs techniciens fait ressortir que ces mises à jour étaient nécessaires. Quelques participants parlent néanmoins de décalage avec la réalité notamment en ce qui concerne les difficultés rencontrées lors de l intervention en cas d absence de préposé à la manœuvre des appareils. Q 6. Ne pourrait-on sur l avis de visite rappeler au client qu il y a obligation de laisser à disposition (durant toute la mission) un opérateur bénéficiant d une autorisation de conduite (voire CACES) adapté aux appareils vérifiés? A noter qu il a été projeté environ 450 diapositives en 2 journées d information (2 demi journées plus 1 journée). De plus les documents remis à certains stagiaires sont pratiquement illisibles (4 diapos par feuilles). Q 7. Ne pourrait- on installer l ensemble des documents sur le réseau informatique des agences? Il est prévu un contrôle lors des prochains audits internes (tous les 3 ans). Q 8.Comment allez vous quantifier, mesurer l impact et vous assurer que le message est bien passé, bien compris et mis en pratique? Des fiches d évaluation ont-elles été remplies par les salariés? Le CHSCT peut il en être destinataire? 10/1111

11 311C Evocation du dossier «procédure de déménagement» Présentation : Des opérations de construction, d extension ou d aménagement de bureaux ont été réalisées par le passé, d autres restent à venir. Certains projets se sont déroulés dans des conditions satisfaisantes, d autres non : par «conditions», nous entendons autant la prise en compte des besoins réels et des contraintes réglementaires, que l information donnée aux salariés et à leurs représentants, et les avis de ces derniers. Débats : Ces opérations relèvent toutes des prérogatives du CHSCT, or quasiment aucun dossier ne lui a été soumis jusqu à présent. Non pas que le CHSCT veuille traiter tous les dossiers, ni leur intégralité, mais il veut être assuré que les conditions du déroulement des opérations sont correctes. A telle fin le CHSCT considère devoir mettre en place une procédure générale dite «procédure déménagement». La Direction souhaite privilégier l action sur le terrain des délégués, ce qui au demeurant correspond à la vision des membres du CHSCT. La Direction souhaiterait qu une distinction soit faite entre les projets de construction, d extension ou de déménagement et les simples réaménagements de locaux. Les membres du CHSCT considèrent en effet que cette distinction doit être faite. Une procédure va être proposée en ce sens, qui en toute logique ne fera pas l économie d une étape «consultation du CHSCT», mais qui favorisera et structurera l intervention des délégués et leur donnera des outils d analyse et d appréciation. Le lien avec le CHSCT sera établi, de façon permanente, par une commission qui aura un rôle de conseil vis à vis des délégués, qui s assurera du bon déroulement des opérations et collectera certaines informations. Décisions du CHSCT : Etablir un guide du déménagement (procédure, outils d enquête et d analyse, outils d appréciation, référentiels). La commission permanente créée le 9 avril 2003 est renforcée : Daniel Porret y apportera ses compétences. 11/1111

blgpec : Où en est mon établissement? Sommaire :

blgpec : Où en est mon établissement? Sommaire : 2 Sommaire : INTRODUCTION / PRESENTATION La GPEC, pourquoi?... 3 La GPEC, c est quoi?... 4 La GPEC, comment?... 5 Les objectifs du guide... 6 Comment utiliser ce guide?... 7 LE GUIDE D AUTODIAGNOSTIC Projet

Plus en détail

Guide pour aider à l évaluation des actions de formation

Guide pour aider à l évaluation des actions de formation Guide pour aider à l évaluation des actions de formation Pourquoi évaluer? L évaluation constitue la dernière étape du service d ingénierie que le conseiller de l AGEFOS PME Bretagne peut apporter à l

Plus en détail

Service Prévention des Risques Professionnels. 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09

Service Prévention des Risques Professionnels. 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09 CAISSE RÉGIONALE D ASSURANCE MALADIE RHÔNE -ALPES Service Prévention des Risques Professionnels 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09 FT 1022 OCTOBRE

Plus en détail

Guide du tuteur. Baccalauréat professionnel. Accueil-Relation Clients et Usagers

Guide du tuteur. Baccalauréat professionnel. Accueil-Relation Clients et Usagers Guide du tuteur Baccalauréat professionnel Accueil-Relation Clients et Usagers Lycée Professionnel Henri Brulle 65 Route de Saint Emilion 33500 Libourne Tél : 05.57.48.12.30 Fax : 05.57.85.11.52 Présentation

Plus en détail

Vos besoins, nos obligations

Vos besoins, nos obligations S Ingénierie Assistance Technique - Conseil Management des projets Prévention des risques Vos besoins, nos obligations Contact: Mr EL AAMRANI Saïd, Gérant 43 rue des Hirondelles, BP 600-68 76330 Notre

Plus en détail

Recours aux entreprises extérieures

Recours aux entreprises extérieures RECOMMANDATION R429 Recommandations adoptées par le Comité technique national de la chimie, du caoutchouc et de la plasturgie le 21 novembre 2006. Cette recommandation annule et remplace la recommandation

Plus en détail

PROGRAMME DE LA FORMATION DE FORMATEURS SPECIALISTES EN MICROCREDIT PERSONNEL

PROGRAMME DE LA FORMATION DE FORMATEURS SPECIALISTES EN MICROCREDIT PERSONNEL PROGRAMME DE LA FORMATION DE FORMATEURS SPECIALISTES EN MICROCREDIT PERSONNEL Introduction (ANDML) : rappel de la convention CDCANDML encadrant la recherche-action de trois ans sur le développement du

Plus en détail

Aide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat

Aide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat Objectifs : Être au plus près des entreprises et de leurs salariés en proposant des services et outils adaptés à leurs besoins. 12 fiches «service» synthétiques, répertoriées en 5 grands thèmes : PROFESSIONNALISATION

Plus en détail

Comité Régional d'entreprise Du 19 février 2015 Sur le Centre de Marseille Saint Jérôme

Comité Régional d'entreprise Du 19 février 2015 Sur le Centre de Marseille Saint Jérôme Comité Régional d'entreprise Du 19 février 2015 Sur le Centre de Marseille Saint Jérôme La Délégation FORCE OUVRIERE était composée de Yannick GIRARDIN, René TISON et d Eric SIWCZAK. Présidence : Jean-Luc

Plus en détail

www.sofis.fr catalogue 2015 formations de formateurs

www.sofis.fr catalogue 2015 formations de formateurs www.sofis.fr catalogue 2015 formations de formateurs Version 5.6 Sofis 2015 www.sofis.fr N Azur 0 811 09 27 37 Sommaire Thèmes de formation 3 Secourisme 3 Incendie 7 Ergonomie 9 Management santé et sécurité

Plus en détail

Catalogue de formations Management:

Catalogue de formations Management: Catalogue de formations Management: Tuteur formateur...page 2 Tuteur Hiérarchique...page 3/4 Réussir sa réunion management...page 5 Animer et diriger son équipe...page 6/7 Les leviers de la motivation...page

Plus en détail

Inscription Prépa Concours

Inscription Prépa Concours Inscription Prépa Concours Le dossier d inscription comporte 3 pages. Vous devez les compléter, et joindre les pièces demandées. Le justificatif de responsabilité civile est nécessaire pour effectuer le

Plus en détail

Formation initiale d agent des services de sécurité incendie et d assistance à personnes (SSIAP1)

Formation initiale d agent des services de sécurité incendie et d assistance à personnes (SSIAP1) Logo de l organisme de Formation Intitulé Formation initiale d agent des services de sécurité incendie et d assistance à personnes (SSIAP1) Public Tout public Pré-requis - aptitude physique à suivre la

Plus en détail

LES FORMATIONS OBLIGATOIRES EN HYGIENE ET SECURITE

LES FORMATIONS OBLIGATOIRES EN HYGIENE ET SECURITE Circulaire d'informations n 2009/17 du 15 septembre 2009 LES FORMATIONS OBLIGATOIRES EN HYGIENE ET SECURITE Références : - Loi n 84-594 du 12 juillet 1984 modifiée relative à la formation des agents de

Plus en détail

PASSEPORT POUR LA MISE EN SITUATION PROFESSIONNELLE -MSP- HABILITATION DE L ARCHITECTE DIPLÔMÉ D ÉTAT À EXERCER LA MAITRISE D ŒUVRE EN SON NOM PROPRE

PASSEPORT POUR LA MISE EN SITUATION PROFESSIONNELLE -MSP- HABILITATION DE L ARCHITECTE DIPLÔMÉ D ÉTAT À EXERCER LA MAITRISE D ŒUVRE EN SON NOM PROPRE École nationale supérieure d architecture Montpellier PASSEPORT POUR LA MISE EN SITUATION PROFESSIONNELLE -MSP- HABILITATION DE L ARCHITECTE DIPLÔMÉ D ÉTAT À EXERCER LA MAITRISE D ŒUVRE EN SON NOM PROPRE

Plus en détail

Rapport d audit et d inspection sur la conformité et la qualité des ETA.

Rapport d audit et d inspection sur la conformité et la qualité des ETA. Rapport d audit et d inspection sur la conformité et la qualité des ETA. 1. INRODUCTION La page de garde reprend la signalétique de l ETA ainsi que quelques informations utiles quant au déroulement de

Plus en détail

L efficacité énergétique des bâtiments à l épreuve de l usage Mardi 22 mars 2011 - VAULX EN VELIN

L efficacité énergétique des bâtiments à l épreuve de l usage Mardi 22 mars 2011 - VAULX EN VELIN La perception de leur environnement par les salariés du tertiaire. L exemple du HQE Nadine Roudil CSTB - DESH LSPI L efficacité énergétique des bâtiments à l épreuve de l usage Mardi 22 mars 2011 - VAULX

Plus en détail

DOSSIER 1 : Mesurer l'efficacité d'une campagne d'e-mailing. 1.1 Justifier le recours à un prestataire extérieur pour réaliser la campagne d emailing.

DOSSIER 1 : Mesurer l'efficacité d'une campagne d'e-mailing. 1.1 Justifier le recours à un prestataire extérieur pour réaliser la campagne d emailing. SESSION 2 BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR NÉGOCIATION ET RELATION CLIENT Corrigé E5 : MANAGEMENT ET GESTION D ACTIVITÉS COMMERCIALES VOCALISIS INFORMATIQUE Version 7 mai 2 DOSSIER : Mesurer l'efficacité

Plus en détail

Consultez-nous. Traiter votre plainte par la résolution locale

Consultez-nous. Traiter votre plainte par la résolution locale Consultez-nous Traiter votre plainte par la résolution locale 2 Table des matières Qu est-ce que le Bureau du directeur indépendant de l examen de la police?...3 Qu est-ce que la résolution locale?...

Plus en détail

Acheter des actions de formation

Acheter des actions de formation L achat, quel enjeu? Acheter une action, c est acheter une prestation de services intellectuels qui nécessite un certain formalisme pour optimiser l achat au regard des enjeux. C est pourquoi, en complément

Plus en détail

Le Comité d Hygiène, Sécurité et Conditions de Travail : 1 er niveau

Le Comité d Hygiène, Sécurité et Conditions de Travail : 1 er niveau Marseille, le 05 juillet 2013 - Aux Syndicats Bonjour, L AFETE lance un stage sur le thème : Le Comité d Hygiène, Sécurité et Conditions de Travail : 1 er niveau en direction des membres nouvellement élus

Plus en détail

AVENANT N O 45 DU 21 SEPTEMBRE 2007

AVENANT N O 45 DU 21 SEPTEMBRE 2007 MINISTÈRE DE L AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE CONVENTIONS COLLECTIVES Convention collective IDCC : 8115. HIPPODROMES ET CENTRES D ENTRAÎNEMENT (ILE-DE-FRANCE, CABOURG, CAEN, CHANTILLY ET DEAUVILLE) (20 juin

Plus en détail

COMMISSION PARITAIRE REGIONALE EMPLOI FORMATION D ILE DE FRANCE SEANCE DU 4 FEVRIER 2014. Ordre du jour

COMMISSION PARITAIRE REGIONALE EMPLOI FORMATION D ILE DE FRANCE SEANCE DU 4 FEVRIER 2014. Ordre du jour COMMISSION PARITAIRE REGIONALE EMPLOI FORMATION Présents : CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, GIM, UIMM 77 D ILE DE FRANCE SEANCE DU 4 FEVRIER 2014 Ordre du jour 1. Adoption du compte-rendu de la séance du

Plus en détail

Contenu de l action de formation BTS Management des Unités Commerciales

Contenu de l action de formation BTS Management des Unités Commerciales Contenu de l action de formation BTS Management des Unités Commerciales La fonction commerciale a évolué vers une personnalisation de l offre et de la relation client ainsi qu au développement des services

Plus en détail

FORMATIONS EN MATIERE DE SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL

FORMATIONS EN MATIERE DE SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL FORMATIONS EN MATIERE DE SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL Prévention et Sécurité au Travail Fiche Santé et Travail n 111 Date : 01/09/2014 "Un homme averti en vaut deux" Ce proverbe souligne que l on est plus

Plus en détail

Un moyen simple d'être plus favorable aux familles Les points les plus importants du Family Score en un coup d'œil

Un moyen simple d'être plus favorable aux familles Les points les plus importants du Family Score en un coup d'œil Un moyen simple d'être plus favorable aux familles Les points les plus importants du Family Score en un coup d'œil c/o Pro Familia Suisse Marktgasse 36 Tél. 031 381 90 30 info@profamilia.ch 3011 Berne

Plus en détail

Certificat de Qualification Professionnel d Agent de Prévention et de Sécurité (CQP APS)

Certificat de Qualification Professionnel d Agent de Prévention et de Sécurité (CQP APS) Logo de l organisme de Formation Intitulé Certificat de Qualification Professionnel d Agent de Prévention et de Sécurité (CQP APS) Public Tout public Pré-requis - aptitude physique à suivre la formation

Plus en détail

Bienvenue chez ASTARE. Groupe WESTINGHOUSE

Bienvenue chez ASTARE. Groupe WESTINGHOUSE ASTARE LIVRET D ACCUEIL Bienvenue chez ASTARE Groupe WESTINGHOUSE Siège social et bureaux Bureaux 86 rue de Paris 122 avenue de Hambourg Parc Orsay 13008 MARSEILLE Immeuble Séquoia ------------------------------

Plus en détail

DELFINGEN INDUSTRY. Société Anonyme au capital de 3 117 283,48 Zone Industrielle 25340 Anteuil (France) 354 013 575 R.C.S.

DELFINGEN INDUSTRY. Société Anonyme au capital de 3 117 283,48 Zone Industrielle 25340 Anteuil (France) 354 013 575 R.C.S. DELFINGEN INDUSTRY Société Anonyme au capital de 3 117 283,48 Zone Industrielle 25340 Anteuil (France) 354 013 575 R.C.S. Besançon RAPPORT DU PRESIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION SUR LES CONDITIONS DE

Plus en détail

P.G.C.S.P.S. (Plan Général de Coordination en matière de Sécurité et de Protection de la Santé)

P.G.C.S.P.S. (Plan Général de Coordination en matière de Sécurité et de Protection de la Santé) La législation en matière de Prévention des accidents du travail impose une coordination en matière de sécurité et de protection de la santé pour tout chantier mettant en présence au moins deux entreprises

Plus en détail

Page 1. Le Plan de Prévention

Page 1. Le Plan de Prévention Page 1 Le Plan de Prévention 01 LA REGLEMENTATION Rappel : Le document Unique d Evaluation des Risques Dans toute entreprise, le chef d entreprise a pour obligation d assurer la sécurité et la santé de

Plus en détail

Catalogue 2014 OFFRE DE SERVICES. Solutions de services CVC complètes et sur-mesure pour vos installations SERVICE

Catalogue 2014 OFFRE DE SERVICES. Solutions de services CVC complètes et sur-mesure pour vos installations SERVICE Catalogue 2014 OFFRE DE SERVICES Solutions de services CVC complètes et sur-mesure pour vos installations SERVICE 1 Sommaire Vous êtes entre de bonnes mains! Un service de proximité Une équipe à votre

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE : SANTE ET SECURTE AU TRAVAIL

FICHE TECHNIQUE : SANTE ET SECURTE AU TRAVAIL SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL Mesurer et prévenir les risques professionnels Liés aux conditions générales de travail, les risques professionnels font peser sur les salariés la menace d une altération de

Plus en détail

Questionnaire à destination des élèves avant leur départ en stage

Questionnaire à destination des élèves avant leur départ en stage Questionnaire à destination des élèves avant leur départ en stage LE STAGE EN ENTREPRISE 1) Vous allez effectuer un stage en entreprise. Vous trouvez cela : Très bien Bien Pas bien Pas bien du tout 2)

Plus en détail

Contenu de l action de formation BTS BANQUE - option A Marché des particuliers

Contenu de l action de formation BTS BANQUE - option A Marché des particuliers Contenu de l action de formation BTS BANQUE - option A Marché des particuliers Le BTS Banque a été mis en place face à la demande insistante de l Association française des banques pour faire face aux très

Plus en détail

Arrêté du XXXX. relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR :

Arrêté du XXXX. relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR : RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement Arrêté du XXXX relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR : La ministre

Plus en détail

Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE)

Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE) Point réglementation N 1 Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE) (anciennement TOS, exerçant dans les lycées et collèges) Mis à jour en septembre

Plus en détail

Certificat d urbanisme

Certificat d urbanisme MINISTÈRE CHARGÉ Demande de Certificat d urbanisme N 13410*02 1/4 Vous pouvez utiliser ce formulaire pour : Connaître le droit de l urbanisme applicable sur un terrain Savoir si l opération que vous projetez

Plus en détail

Les différents points évoqués sont :

Les différents points évoqués sont : OBJECTIFS Apporter un premier niveau d information sur : - Les modalités du travail transfrontalier en matière de législation, de droit du travail, de fiscalité, de sécurité sociale - La montée en qualification

Plus en détail

LES NOUVELLES Numéro 1 Octobre 2002

LES NOUVELLES Numéro 1 Octobre 2002 LES NOUVELLES Numéro 1 Octobre 2002 Bulletin d expression Ce nouveau bulletin va vous permettre de suivre au fur et à mesure des semaines et des mois, l actualité de l entreprise, vu par la section CFDT

Plus en détail

Monétiser votre CMS. Retour d experience de Mediapart avec Drupal

Monétiser votre CMS. Retour d experience de Mediapart avec Drupal Monétiser votre CMS Retour d experience de Mediapart avec Drupal DRUPAL Vente de contenus et modes de paiements Nicolas Silberman Directeur technique Mediapart @nsilberman Marine Sentin Responsable du

Plus en détail

CODERPA 89 RAPPORT COMMISSION INTERNET ET COMMUNICATION. du mercredi 8 octobre 2008

CODERPA 89 RAPPORT COMMISSION INTERNET ET COMMUNICATION. du mercredi 8 octobre 2008 du mercredi 8 octobre 2008 Etaient présents : Mme BEAUCHEMIN M. DEFOSSEZ M. HUTIN M. OURCEYRE M. SAPIN. Absents : M. KRASNOPOLSKI. Mise au point sur le rapport qui sera lu au cours de la Séance Plénière

Plus en détail

Evaluation des besoins en places d accueil préscolaire: Outils pour mener une enquête auprès des familles

Evaluation des besoins en places d accueil préscolaire: Outils pour mener une enquête auprès des familles Jugendamt JA Secteur des milieux d accueil Sektor familienexterne Betreuung Bd de Pérolles 24, case postale 29, 1705 Fribourg T +41 26 305 15 30, F +41 26 305 15 98 www.fr.ch/sej Fribourg, le 1 er juin

Plus en détail

ACOUSTIQUE DU BATIMENT Comprendre enfin pourquoi 0 + 0 = 3

ACOUSTIQUE DU BATIMENT Comprendre enfin pourquoi 0 + 0 = 3 ACOUSTIQUE DU BATIMENT Comprendre enfin pourquoi 0 + 0 = 3 Le 26/09/14 à Clermont-fd 1 journée 7 heures de formation LIEUX, HORAIRES & TARIFS Nous vous rappelons qu il est nécessaire d être adhérent à

Plus en détail

Je soussigné(e) Mme, Mlle, M.., reconnaît avoir pris connaissance du règlement ci-dessus et en accepte les conditions. Fait le..

Je soussigné(e) Mme, Mlle, M.., reconnaît avoir pris connaissance du règlement ci-dessus et en accepte les conditions. Fait le.. Fiche d inscription Prévention et Secours Civiques de Niveau 1 (PSC1) DELEGATION LOCALE DE SURESNES Madame Mademoiselle Monsieur NOM d usage : NOM de naissance : Prénom : Date de naissance : Lieu de naissance

Plus en détail

L HABILITATION EN ÉLECTRICITÉ Démarche en vue de l habilitation du personnel

L HABILITATION EN ÉLECTRICITÉ Démarche en vue de l habilitation du personnel Prévention et Gestion des Risques Professionnels Sécurité Sociale Caisse régionale d assurance maladie Alsace-Moselle L HABILITATION EN ÉLECTRICITÉ Démarche en vue de l habilitation du personnel Note Technique

Plus en détail

Recommandation n 2010-300/PG en application de l article 43-1 de la loi n 2000-108 et du décret n 2007-1504

Recommandation n 2010-300/PG en application de l article 43-1 de la loi n 2000-108 et du décret n 2007-1504 N de saisine : 480718-170856752 / YM Date de la saisine : 11 juin 2008 Recommandation n 2010-300/PG en application de l article 43-1 de la loi n 2000-108 et du décret n 2007-1504 Consommateur: Mme H. Fournisseur(s)

Plus en détail

Procès-verbal de la Commission du personnel de l Unil (CoPers) Séance n 52 du jeudi 13 juin 2013, 12h00, Salle 2144, Géopolis

Procès-verbal de la Commission du personnel de l Unil (CoPers) Séance n 52 du jeudi 13 juin 2013, 12h00, Salle 2144, Géopolis Commission du Personnel Bâtiment Unicentre CH-1015 Lausanne Procès-verbal de la Commission du personnel de l Unil (CoPers) Séance n 52 du jeudi 13 juin 2013, 12h00, Salle 2144, Géopolis Présent-e-s Mmes

Plus en détail

Charte du Comité Audit et Risque (CAR) du Conseil d administration de la Banque Cantonale Vaudoise (BCV)

Charte du Comité Audit et Risque (CAR) du Conseil d administration de la Banque Cantonale Vaudoise (BCV) Charte du Comité Audit et Risque (CAR) du Conseil d administration de la Banque Cantonale Vaudoise (BCV) 1. CADRE ET PRINCIPES GÉNÉRAUX Le Comité Audit et Risque (CAR) de la Banque Cantonale Vaudoise (BCV)

Plus en détail

-Identifier les éléments qui déterminent le coût d un objet technique.

-Identifier les éléments qui déterminent le coût d un objet technique. A / LES OBJETS TECHNIQUES EN DOMOTIQUE B / LA REPRESENTATION FONCTIONNELLE C / LE RESPECT DES CONTRAINTES D / LA CHAINE D ENERGIE D UN OBJET TECHNIQUE E/ LA CHAINE D INFORMATION D UN OBJET TECHNIQUE A

Plus en détail

Parcours métiers certifiants

Parcours métiers certifiants CYCLE CNEH Réf. : 1159 CNEH PRAXIS Parcours métiers certifiants Contrôleur de gestion ressources humaines en établissement de santé CYCLE CNEH Certifiant Le CNEH est habilité par l ISQ-OPQF à délivrer

Plus en détail

SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE QUALITE 2 UNE ORGANISATION PROFESSIONNELLE FORTE ET GARANTE DE SES MEMBRES 3 NOTRE SMQ

SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE QUALITE 2 UNE ORGANISATION PROFESSIONNELLE FORTE ET GARANTE DE SES MEMBRES 3 NOTRE SMQ Manuel Qualité 5 place du Rosoir 21000 DIJON Tél. : 03.80.59.65.20 Fax : 03.80.53.09.50 Mèl : contact@bfc.experts-comptables.fr www.bfc.experts-comptables.fr SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE

Plus en détail

Solutions pédagogiques interactives Santé, Sécurité & Qualité de Vie au Travail CATALOGUE DVD & USB 2015

Solutions pédagogiques interactives Santé, Sécurité & Qualité de Vie au Travail CATALOGUE DVD & USB 2015 Solutions pédagogiques interactives Santé, Sécurité & Qualité de Vie au Travail CATALOGUE DVD & USB 2015 www. CATALOGUE DVD & USB Solutions pédagogiques interactives Santé, Sécurité & Qualité de Vie au

Plus en détail

PRESENTATION CERTIFICATION DE SERVICE «Centres de formation pour les activités privées de sécurité et de sûreté»

PRESENTATION CERTIFICATION DE SERVICE «Centres de formation pour les activités privées de sécurité et de sûreté» PRESENTATION CERTIFICATION DE SERVICE «Centres de formation pour les activités privées de sécurité et de sûreté» Ce référentiel s adresse à toutes les actions de formation pouvant être dispensées dans

Plus en détail

F.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000

F.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000 F.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000 PARIS, le 11 Avril 2000 PROCES VERBAL REUNION AFFAIRES GENERALES DU 24 MARS 2000 Présents : MM. SIMON, MERIC, VILLEROT, MARLIOT, Mmes

Plus en détail

LE GUIDE DU COPROPRIÉTAIRE

LE GUIDE DU COPROPRIÉTAIRE LE GUIDE DU COPROPRIÉTAIRE Avant-propos Cher copropriétaire, Vous venez d acquérir un logement dans un immeuble en copropriété. Nous sommes heureux de vous accueillir et nous vous souhaitons d y vivre

Plus en détail

Le CACES en 20 questions

Le CACES en 20 questions Le CACES en 20 questions Fiche 08J Page 1 / 9 Q1 : le CACES, qu est ce? Certificat d Aptitude à la Conduite En Sécurité Le CACES en 20 questions Il a été créé par qui? La CNAMTS 1 a élaboré des «recommandations»

Plus en détail

ACCORD. entre le Gouvernement de la République française. et le Gouvernement de la Géorgie relatif au séjour

ACCORD. entre le Gouvernement de la République française. et le Gouvernement de la Géorgie relatif au séjour ACCORD entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la Géorgie relatif au séjour et à la migration circulaire de professionnels (ensemble deux annexes), signé à Paris le 12 novembre

Plus en détail

Commission de Gestion du Conseil Général de la Commune de Sierre

Commission de Gestion du Conseil Général de la Commune de Sierre Commission de Gestion du Conseil Général de la Commune de Sierre Rapport sur le crédit d engagement pour la réalisation de l équipement de la zone industrielle de DAVAL Sierre, mai 2006 Table des matières

Plus en détail

Technicien - Expert en performance thermique de bâtiments neufs ou existants

Technicien - Expert en performance thermique de bâtiments neufs ou existants PARCOURS COMPLET DE PROFESSIONNALISATION Technicien - Expert en performance thermique de bâtiments neufs ou existants proposer un ensemble de prestations liées à l amélioration de la performance thermique

Plus en détail

Notre communication sur le progrès 2007 s'articule autour de la NORMES DU TRAVAIL (principe 6).

Notre communication sur le progrès 2007 s'articule autour de la NORMES DU TRAVAIL (principe 6). 2. ACTIONS 2007 Notre communication sur le progrès 2007 s'articule autour de la NORMES DU TRAVAIL (principe 6). GUIBAN SA a mis en place un Plan de progrès en collaboration avec l'organisme Professionnel

Plus en détail

Carnet de stage. en vue de l obtention du certificat de culture générale. Domaine socio-éducatif. Nom :... Prénom :... Classe : 3...

Carnet de stage. en vue de l obtention du certificat de culture générale. Domaine socio-éducatif. Nom :... Prénom :... Classe : 3... Ecole de culture générale Fribourg ECGF Fachmittelschule Freiburg FMSF Avenue du Moléson 17, 1700 Fribourg T +41 26 305 65 65, F +41 26 305 65 70 www.ecgffr.ch Carnet de stage en vue de l obtention du

Plus en détail

Les outils pour gérer et évaluer la formation

Les outils pour gérer et évaluer la formation Les outils pour gérer et évaluer la formation Identifier Exprimer Sélectionner Destiné aux managers et aux services des Ressources Humaines évaluer réalisé avec le soutien de pour quoi faire? comment ça

Plus en détail

MAINTENANCE MECANIQUE CHAUDRONNERIE ROBINETTERIE RAFFINERIE TOTAL FRANCE DONGES CAMRAF-NO-PQSE-001-F

MAINTENANCE MECANIQUE CHAUDRONNERIE ROBINETTERIE RAFFINERIE TOTAL FRANCE DONGES CAMRAF-NO-PQSE-001-F Page : 1/39 PLAN QUALITE HYGIENE SECURITE ENVIRONNEMENT NOTE D ORGANISATION MAINTENANCE MECANIQUE CHAUDRONNERIE ROBINETTERIE CAMRAF-NO-PQSE-001-F 01/07/08 1 Création N.GIRAUD S.HOULBREQUE D.GARREAU R.MOINARD

Plus en détail

Bibliothèque des Compétences clés

Bibliothèque des Compétences clés Bibliothèque des Compétences clés Modules Jours Heures S exprimer oralement 3 21 S exprimer à l écrit 4 28 Manipuler les chiffres et les ordres de grandeur 5 35 Utiliser les principaux outils bureautiques

Plus en détail

CRITERES DE PRISE EN CHARGE DES ACTIONS DE FORMATION

CRITERES DE PRISE EN CHARGE DES ACTIONS DE FORMATION CRITERES DE PRISE EN CHARGE DES ACTIONS DE FORMATION Pour les dossiers reçus à partir de janvier 2013 VOUS TROUVEREZ CI-APRES LES CRITERES PEDAGOGIQUES ET FINANCIERS AINSI QUE DES INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES

Plus en détail

Unité de formation No 1 : la description d un processus de travail accompli par l apprenti au sein de l entreprise d apprentissage

Unité de formation No 1 : la description d un processus de travail accompli par l apprenti au sein de l entreprise d apprentissage Unité de formation No 1 : la description d un processus de travail accompli par l apprenti au sein de l entreprise d apprentissage Dossier relié de 6-10 pages, annexes non comprises. Page de garde détaillée

Plus en détail

DU COMITÉ TECHNIQUE NATIONAL DU BÂTIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS

DU COMITÉ TECHNIQUE NATIONAL DU BÂTIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS RECO DU COMITÉ TECHNIQUE NATIONAL DU BÂTIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS Pose, maintenance et dépose des panneaux solaires thermiques et photovoltaïques en sécurité Guillaume J.Plisson - pour l'inrs Des préconisations

Plus en détail

Questionnaire sur la formation PLC2 en mathématiques (NOVEMBRE 2005)

Questionnaire sur la formation PLC2 en mathématiques (NOVEMBRE 2005) Questionnaire sur la formation PLC2 en mathématiques (NOVEMBRE 2005) Ces résultats correspondent à 18 questionnaires parmi les 26 stagiaires du groupe Amiens. Le total des réponses ne fait pas toujours

Plus en détail

Evaluation de la qualité de la formation en stage

Evaluation de la qualité de la formation en stage Evaluation de la qualité de la formation en stage Public : Etudiants Paramédicaux Direction régionale des affaires sanitaires et sociales Provence - Alpes - Côte d Azur Mai 2008 Proposé par le groupe de

Plus en détail

Le comité d entreprise

Le comité d entreprise Le comité d entreprise En bref Dans les entreprises de 50 salariés et plus, le chef d entreprise est tenu d organiser la mise en place d un comité d entreprise (CE) composé de représentants élus du personnel

Plus en détail

pour la soumission de demandes d approbation d adaptations tarifaires en assurance-maladie complémentaire

pour la soumission de demandes d approbation d adaptations tarifaires en assurance-maladie complémentaire GUIDE PRATIQUE pour la soumission de demandes d approbation d adaptations tarifaires en assurance-maladie complémentaire Edition du 18 juin 2015 But Le présent guide pratique est un simple instrument de

Plus en détail

Copropriété. Syndical en. Je veux entrer au Conseil Syndical

Copropriété. Syndical en. Je veux entrer au Conseil Syndical Copropriété Le Conseil Syndical en 10 Questions Je veux entrer au Conseil Syndical Association des Responsables de Copropriété 29, rue Joseph Python 75020 PARIS Tél. : 01 40 30 12 82 Fax : 01 40 30 12

Plus en détail

Evaluation Agi Son 2005. Agi son 2005. Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées

Evaluation Agi Son 2005. Agi son 2005. Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées Agi son Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées 1 Introduction p. 3 Méthode p.4 1. Le public p.5 A. Caractéristique des personnes interrogées

Plus en détail

Règles Générales de Sécurité et Santé

Règles Générales de Sécurité et Santé R.G.S.S. destinées aux entreprises extérieures devant intervenir sur les bâtiments et installations de la Banque Internationale à Luxembourg S.A. Les Règles Générales de Sécurité et Sûreté (R.G.S.S.) ont

Plus en détail

REGLEMENT INTERIEUR DU CONSEIL D ADMINISTRATION

REGLEMENT INTERIEUR DU CONSEIL D ADMINISTRATION Tél. 02.32.95.11.49 Fax : 02.32.95.11.70 Mutuelle du Personnel Centre Hospitalier du Rouvray 4 rue Paul Eluard 76300 Sotteville-lès-Rouen REGLEMENT INTERIEUR DU CONSEIL D ADMINISTRATION Ce règlement intérieur

Plus en détail

L obligation de négocier sur la pénibilité dans les entreprises. Premiers éléments de bilan. Direction générale du travail

L obligation de négocier sur la pénibilité dans les entreprises. Premiers éléments de bilan. Direction générale du travail CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 21 novembre 2012 à 14 h 30 «Pénibilité. Transition emploi-retraite. Elaboration de cas-types pour les projections.» Document N 6 Document de travail,

Plus en détail

APPEL A PROPOSITION ACTIONS COLLECTIVES 2011-2012

APPEL A PROPOSITION ACTIONS COLLECTIVES 2011-2012 APPEL A PROPOSITION ACTIONS COLLECTIVES 2011-2012 RÉPONSE DE L ORGANISME LES ORGANISMES DE FORMATI ON S ENGAGENT A COMPLETER LE PRESENT DOCUMENT DE REPONSE DANS LE CADRE DE L APPEL A PROPOSITION SUR LE

Plus en détail

Le guide. juridique. www.menages-prevoyants.fr LA MUTUELLE QUI VA BIEN!

Le guide. juridique. www.menages-prevoyants.fr LA MUTUELLE QUI VA BIEN! Le guide juridique www.menages-prevoyants.fr LA MUTUELLE QUI VA BIEN! sommaire Contexte de l évolution de la «Loi Fillon»... 3 Comment bénéficier des avantages de la «Loi Fillon»?... La participation de

Plus en détail

La formation en matière de santé et de sécurité au travail

La formation en matière de santé et de sécurité au travail Guide pratique 6 / 6 MINISTÈRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, MINISTÈRE MINISTÈRE DU BUDGET, DE DU LA BUDGET, FONCTION DES COMPTES DES COMPTES PUBLIQUE PUBLICS, PUBLICS, ET DE LA RÉFORME DE L ETAT DE

Plus en détail

Programme des épreuves des concours externes de recrutement des personnels techniques et administratifs de recherche et de formation

Programme des épreuves des concours externes de recrutement des personnels techniques et administratifs de recherche et de formation G1 Recrutements des assistants de recherche et de formation...2 G1.1 Assistant gestion de données patrimoniales...2 G1.2 Assistant technique en génie climatique...2 G1.3 Assistant technique en électricité...2

Plus en détail

Comment créer une facture

Comment créer une facture Comment créer une facture Nous sous-entendons que la «société», les véhicules et chauffeurs aient été créés dans le logiciel. Si ce n est pas le cas, veuillez lire le document «Démarrage rapide TéléTaxi».

Plus en détail

LE STAGE EN ENTREPRISE

LE STAGE EN ENTREPRISE LE STAGE EN ENTREPRISE 1. Le stage : un projet à part entière Le stage est un projet qui s étale sur une longue période d environ dix mois (de la recherche de l entreprise à la soutenance) avec des objectifs,

Plus en détail

S informer sur les formations obligatoires ou recommandées

S informer sur les formations obligatoires ou recommandées GUIDE S informer sur les formations obligatoires ou recommandées FEV 2012 Le Code du travail ou les instances de prévention des risques professionnels imposent ou recommandent expressément le suivi de

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

Union syndicale des fonctionnaires et des salariés des Services Publics Parisiens

Union syndicale des fonctionnaires et des salariés des Services Publics Parisiens 1. Retour du Comité technique paritaire (CTP) du 8 octobre 2013 Le CTP est une instance municipale qui doit traiter des questions d'emploi et d'organisation du travail à l'échelle de chaque Direction.

Plus en détail

Le scénario pédagogique des formations AgriTic

Le scénario pédagogique des formations AgriTic Le scénario pédagogique des s AgriTic Guide à l attention des formateurs pour la mise en œuvre locale des s AgriTic. Un projet porté, au sein de Préférence FORMATIONS, par le CFPPA de Melle Niort. I. Le

Plus en détail

ENQUÊTE DE SATISFACTION SUR LE RÉSEAU UNIVERSITAIRE ET PROFESSIONNEL DE L'UCP

ENQUÊTE DE SATISFACTION SUR LE RÉSEAU UNIVERSITAIRE ET PROFESSIONNEL DE L'UCP OBSERVATOIRE DE LA VIE ÉTUDIANTE ENQUÊTE DE SATISFACTION SUR LE RÉSEAU UNIVERSITAIRE ET PROFESSIONNEL DE L'UCP Étudiants et entreprises ANNÉE 2008 PLAN GÉNÉRAL INTRODUCTION p. 2 I. Étudiants p. 3 A. Statistiques

Plus en détail

AUDIT SUR L UTILISATION ET L IMPACT DU DOCUMENT UNIQUE DANS L ENTREPRISE

AUDIT SUR L UTILISATION ET L IMPACT DU DOCUMENT UNIQUE DANS L ENTREPRISE AUDIT SUR L UTILISATION ET L IMPACT DU DOCUMENT UNIQUE DANS L ENTREPRISE EN45b/a39 Version 0 le 03/09/12 Date de l audit : / / Nom : N adhérent : Adresse : ENTREPRISE AUDITEE : Nature de l activité : Nombre

Plus en détail

TEMPS D ACTIVITÉ PÉRISCOLAIRE (TAP) RÈGLEMENT INTÉRIEUR Commune de Mallemort

TEMPS D ACTIVITÉ PÉRISCOLAIRE (TAP) RÈGLEMENT INTÉRIEUR Commune de Mallemort TEMPS D ACTIVITÉ PÉRISCOLAIRE (TAP) RÈGLEMENT INTÉRIEUR Commune de Mallemort Année 2014-2015 Contact Service Éducation : 04 90 59 11 05 A. DISPOSITIONS GÉNÉRALES Article 1 - Objet du règlement A compter

Plus en détail

Prévention LES ENJEUX DE LA PREVENTION. Infos INTRODUCTION : SOMMAIRE :

Prévention LES ENJEUX DE LA PREVENTION. Infos INTRODUCTION : SOMMAIRE : Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale de la Dordogne - Infos Prévention n 15 Octobre 2010 Infos Prévention LES ENJEUX DE LA PREVENTION SOMMAIRE : LES ENJEUX DE LA PREVENTION Introduction

Plus en détail

Union des Métiers et des Industries de l Hôtellerie. Le règlement de Sécurité contre les risques d incendie. ERP et IGH de Type O

Union des Métiers et des Industries de l Hôtellerie. Le règlement de Sécurité contre les risques d incendie. ERP et IGH de Type O Union des Métiers et des Industries de l Hôtellerie JURIDIQUE Date : 31/01/2012 N : 04.12 Le règlement de Sécurité contre les risques d incendie ERP et IGH de Type O L arrêté du 25 octobre 2011 portant

Plus en détail

PROTOCOLE POUR L ACCUEIL DES STAGIAIRES D ÉCOLES DE TRAVAIL SOCIAL

PROTOCOLE POUR L ACCUEIL DES STAGIAIRES D ÉCOLES DE TRAVAIL SOCIAL Actualisation 07/2009 PROTOCOLE POUR L ACCUEIL DES STAGIAIRES D ÉCOLES DE TRAVAIL SOCIAL Partie 1 : LE CADRE GENERAL I. OBJECTIFS DE L INSTITUTION DANS LA FORMATION PROFESSIONNELLE Participer à l effort

Plus en détail

SERVICE RECRUTEMENT CATALOGUE DES STAGES 2013

SERVICE RECRUTEMENT CATALOGUE DES STAGES 2013 SERVICE RECRUTEMENT CATALOGUE DES STAGES 2013 Sommaire LE GROUPE... 3 NOS VALEURS... 4 LES STAGES EN AGENCES... 5 Chargé d affaires en Contrôle Technique... 6 Chargé d affaire en Qualité Environnementale

Plus en détail

guide du copropriétaire

guide du copropriétaire guide du copropriétaire 2 sommaire 6 Comment fonctionne la copropriété? 3 Edito 11 Vous êtes copropriétaires, vous devez... 14 Lexique 4 Qu est-ce que la copropriété? 12 Foire aux questions 10 La vie de

Plus en détail

LE TRAVAIL EN HAUTEUR

LE TRAVAIL EN HAUTEUR F I C H E P R E V E N T I O N N 0 2 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LE TRAVAIL EN HAUTEUR STATISTIQUES Avec près d une centaine d agent victime de chutes de hauteur durant les 5 dernières années dans les

Plus en détail

Service-conseil à la clientèle en équipement motorisé

Service-conseil à la clientèle en équipement motorisé DEP 5258 Service-conseil à la clientèle en équipement motorisé STAGE DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN MILIEU DE TRAVAIL 359-147 GUIDE DE PRÉPARATION AVANT LE STAGE Tables des matières Introduction...3 Mon

Plus en détail

Bilan annuel 2012 Dépôt Pétrolier de Lespinasse. CSS Nord de TOULOUSE 14 décembre 2012

Bilan annuel 2012 Dépôt Pétrolier de Lespinasse. CSS Nord de TOULOUSE 14 décembre 2012 Bilan annuel 2012 Dépôt Pétrolier de Lespinasse CSS Nord de TOULOUSE 14 décembre 2012 Formation et sensibilisation Personnel du site : extrait des formations suivies en 2012 (12 personnes) : Nb de personnes

Plus en détail

TPE/PME: salarié compétent en prévention des risques professionnels : Transformer une obligation réglementaire en opportunité

TPE/PME: salarié compétent en prévention des risques professionnels : Transformer une obligation réglementaire en opportunité TPE/PME: salarié compétent en prévention des risques professionnels : Transformer une obligation réglementaire en opportunité Objectif de la réunion Connaître et comprendre la nouvelle réglementation Intérêt

Plus en détail

ACCORD SUR L EGALITE PROFESSIONNELLE ENTRE LES HOMMES ET LES FEMMES

ACCORD SUR L EGALITE PROFESSIONNELLE ENTRE LES HOMMES ET LES FEMMES Caisse Régionale de CREDIT AGRICOLE MUTUEL de la TOURAINE et du POITOU ACCORD SUR L EGALITE PROFESSIONNELLE ENTRE LES HOMMES ET LES FEMMES Entre les Soussignés : La CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE

Plus en détail