1. Approbation du procès verbal de la réunion du 12 décembre 2013

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "1. Approbation du procès verbal de la réunion du 12 décembre 2013"

Transcription

1 COMMISSION SECURITE ENVIRONNEMENT Réunion du 20 mars 2014 PROCES VERBAL Présents: MM. BAUWENS, Service Incendie, Ville de Saint-Ghislain - BERTONI, riveraine - CLAERBOUT, riverain - DEGAND, riverain - DELOFFRE, POLYOL BELGIUM - DRAMAIX, SOS Hautrage et Environs - ERGOT, Division du Contrôle des Risques Chimiques - FAUTSCH, ERACHEM COMILOG S.A. - FINET, I.D.E.A - GLAUDE, Province de Hainaut HABRAN, Gestionnaire de projets, I.D.E.A. - HUBENS, Les Trous Verts - HUBERT, Erachem Comilog S.A. JENART, SHANKS - LEMETTER, YARA - LELEUX, Service Aménagement du Territoire, Ville de Saint- Ghislain - POTTIEZ, SOS Hautrage et Environs - RIFAUT, ADVACHEM - SOUDANT, WOS - VANDEN DRIES, riveraine VANDERWALLE, Gestionnaire de projets, I.D.E.A - VOËT, Responsable d'exploitation, SHANKS - WILMART, Les Trous Verts Excusés: MM. BENJELLOUN, D.R.I.G.M.- S.P.W. - COLOT, riverain - DEMAREZ, Echevine, Ville de Saint-Ghislain - FOREST, WOS Hautrage - GREGOIRE, HAINAUT TANKING - LELOUX, SOS Hautrage et Environs - PHILIPPE, riveraine - PRIMOSIG, D.P.A. - STUEZ, riverain - WIZLA, Bureau de Sécurité Civile - Province de Hainaut 1. Approbation du procès verbal de la réunion du 12 décembre 2013 Suite à l'envoi du procès verbal provisoire, Messieurs LEMETTER et SOUDANT ont apporté quelques petites modifications. Elles ont été intégrées au procès verbal envoyé avec la convocation. Monsieur RIFAUT signale qu'en page 3, il y a une erreur dans l'orthographe de son nom. RIFAUT c'est avec un seul F. Il n'y a pas d'autres remarques, le procès verbal est approuvé. Madame FINET présente ses collègues qui s'occupent également de l'accueil des investisseurs. Grégory VANDERWALLE est plutôt spécialiste des questions foncières et pour Yannick HABRAN, il travaille plus les relations avec les entreprises. Les entreprises peuvent s'adresser à eux si elles ont des questions. 2. Présentation des activités d'erachem Madame HUBERT présente les activités d'erachem. La présentation power point est remise en séance aux participants. Elle sera jointe au procès verbal définitif pour les personnes qui n'assistaient pas à la réunion. Madame HUBERT va exposer la situation actuelle et les perspectives. Voir la présentation.

2 ERACHEM fait partie d'eramet, groupe minier et métallurgique français. ERACHEM a 5 activités (Agrochimie, Energie portable & Stockage, Electronique, Environnement et Spécialités industrielles) et sur les 5 sites dans le monde, seul le site de TERTRE a les 5 activités. On accède au site par la rue du Bois. On est certifié ISO 9001 depuis plus ou moins 20 ans, ISO depuis 10 ans et on a également la certification GMP qui implique le contrôle de l'afsca. Il y a 8 entreprises sur la zone d'activités dont 5 sont classées SEVESO, 4 seuil haut et 1 seuil bas. On a deux installations enclavées chez YARA qui sont exploitées par le personnel de YARA. Il y a un réservoir d'eau qui est aussi utilisée par YARA. Les lignes rouges sur le 9 e slide, ce sont les différents accès au site. C'est utile pour les plans d'urgence. Pour l'unité de manganèse, on rentre du minerai, des réactifs fournis par YARA et un autre réactif. A partir de là, on génère des produits et des sous-produits qui sont eux renvoyés chez YARA. On a aussi des déchets, les gangues. Pour l'évolution industrielle récente, voir le 11 e slide. Pour l'unité de recyclage, à l'origine, le cuivre provenait exclusivement de l'industrie électronique, on s'est ensuite diversifié vers d'autres types d'industries. Pour le reste, voir la présentation. Madame FINET voudrait savoir si dans tout ce qui va être réhabilité, c'est destiné à devenir des espaces verts ou si certains espaces ne pourraient pas être récupérés pour d'autres entreprises. Pour l'espace BC/BQ, ce n'est pas possible. Monsieur FAUTSCH ajoute que dans le cadre de l'éco-zoning certains terrains pourraient être utilisés pour des activités connexes. Des hectares, il y en a, il y aussi les terrains de CARCOKE; Monsieur JENART demande ce qu'il en est des terrains de YORKSHIRE. Madame FINET précise que WANTY a réhabilité le site conformément à l'arrêté de la Région wallonne mais on va refaire des prélèvements car toute une série d'éléments potentiellement polluants n'ont pas été pris en compte. WANTY a introduit son plan de réhabilitation en fonction de la législation de l'époque, mais la législation a changé et des indicateurs ont été renforcés. La SPAQUE analyse la situation pour voir si elle ne pourrait pas reprendre le terrain. Pour l'instant, le terrain appartient toujours à WANTY. Il est clair que quelqu'un qui regarde attentivement les documents n'achètera pas les terrains On regarde s'il ne faudra pas refaire une étude de caractérisation. 2.

3 3. Monsieur LEMETTER demande si on a des éléments pour les terrains de REILLY. Madame FINET précise qu'une demande d'assainissement a été faite. Au final, on aura donc les terrains de YORKSHIRE, CARCOKE et REILLY. Monsieur POTTIEZ voudrait connaître l'évolution de l'éco-zoning. Madame FINET signale qu'on a terminé la première phase d'études qui représentait une enveloppe de euros. On a maintenant lancé une étude supplémentaire pour l'installation de serres qui pourraient être alimentées par la production de chaleur de YARA. On devrait avoir les résultats de l'étude pour début avril. Il y a également une étude sur l'opportunité ferroviaire de proximité. Il y a eu une réunion avec les différents opérateurs, dont le PACO mais il y avait seulement 2 industriels. Le nouvel appel à projets vient d'être lancé et on a l'intention de produire un portefeuille à part entière pour l'éco-zoning. Il y a un volet pour l'aménagement paysager et la préservation de la biodiversité. Il y a également un volet pour refaire la rue de la Carbo et divers aménagements des voiries. Monsieur FAUTSCH demande ce qu'il en est de la station commune de traitement des eaux. Madame FINET précise que cela sera dans le portefeuille. En ce qui concerne les serres, Monsieur LEMETTER signale que les serres à côté de la géothermie sont quasi inutilisables. Pour ce qui est de ce qu'on pourrait produire dans les serres, il faut produire quelque chose qu'on pourra vendre. Actuellement, on est dans une situation où on a un acheteur pour tout ce qu'on pourrait produire. 3. Nuisances: bruit odeurs: compte rendu des sous-groupes Monsieur SOUDANT signale que le sous-groupe "odeurs" s'est réuni le 17 mars. Il y avait Madame VANDEN DRIES, Messieurs DEGAND et WILMART. Madame PHILIPPE n'avait pu se libérer mais elle n'avait rien à signaler. Lors de cette réunion, les résultats des analyses de rejets ont été présentés et on a pu constater que les conditions d'exploiter étaient respectées. On a également exposé les deux épisodes "odeurs" qu'il y avait eu et pour lesquels une source commune a été identifiée. Les mesures prises ont été présentées. Le sous-groupe "bruit" ne s'est pas réuni. Monsieur FAUTSCH signale qu'il s'était mis en phase avec Monsieur LEMETTER pour organiser une visite mais le 14 janvier, il y a eu l'incendie au reforming chez YARA et la mise à l'arrêt.

4 Il a essayé en vain de contacter Monsieur STUEZ mais il est injoignable. Il n'a pas d'adresse électronique et ne veut pas donner son numéro de téléphone. Le seul moyen de le joindre, c'est d'aller chez lui. La visite sera organisée lorsque les usines fonctionneront à nouveau normalement, probablement en juin. Monsieur DEGAND signale que le sous-groupe "bruit " existe depuis longtemps et qu'il y a longtemps aussi qu'il ne s'est pas réuni. Ce n'est donc pas parce qu'une personne ayant rejoint récemment la Commission est injoignable que le sous-groupe ne s'est pas réuni Monsieur FAUTSCH répète qu'on organisera une réunion avec les personnes qu'on pourra joindre, lorsque les installations seront redémarrées. Monsieur RIFAUT ajoute qu'à la demande du D.P.C. une étude de bruit a été réalisée le week-end dernier. Il a reçu les résultats ce matin. Ces résultats figurent en annexe. 4. Suivi des points n'ayant pas reçus de réponses en réunion Monsieur STUEZ ne pouvait assister à la réunion mais il a signalé qu'il n'avait toujours pas eu de réponse de Monsieur FAUTSCH en ce qui concerne sa demande d'avoir les coordonnées complètes des personnes qui ont téléphoné pour se plaindre du bruit ainsi que l'heure à laquelle elles ont téléphoné. Monsieur FAUTSCH ne va pas donner les coordonnées de personnes à quelqu'un qui ne veut pas donner les siennes. Monsieur POTTIEZ n'a toujours pas eu de réponse de la majorité aux questions posées aux différents partis suite aux élections. Madame DEMAREZ ne pouvait assister à la réunion d'aujourd'hui mais elle avait dit qu'elle allait revoir ces questions. Monsieur POTTIEZ revient sur sa demande d'avoir une rencontre avec le D.P.C. au cours de laquelle il pourrait y avoir une présentation des mesures de bruit qui sont effectuées régulièrement autour du zoning. On pourrait aussi voir s'il n'est pas possible de déplacer certains points de mesure. Madame GLAUDE va relancer le D.P.C. Monsieur POTTIEZ voudrait aussi, suite à l'exposé de Monsieur LEBRUN, savoir si on peut avoir une information sur le suivi de la nappe. Madame GLAUDE va le contacter à ce sujet. 4.

5 Monsieur LEMETTER ajoute que Monsieur LEBRUN a fait un point zéro et qu'il compte faire un suivi. On a fait une réhabilitation des sols mais on ne touche pas à la nappe. Il rappelle que Monsieur LEBRUN avait dit qu'il fallait éviter les prises d'eau sauvages près du canal et qu'à partir du moment où les sources de pollutions étaient taries, on devrait voir baisser la pollution de la nappe au fur et à mesure. Il faut toutefois être conscient que toutes les sources sont taries sauf au nord de CARCOKE où il y a un terrain où CARCOKE stockait des déchets avec métaux lourds. Cela se fera plus tard mais il aurait été préférable de commencer par là. Monsieur POTTIEZ se souvient que lors de la visite avec la SPAQUE, il avait été dit qu'on pouvait dépolluer avec des plantes. Monsieur LEMETTER précise que c'est uniquement pour les hydrocarbures, pour les métaux lourds, cela ne marche pas. 5. Dernières nouvelles du zoning: projets, incidents, avenir des entreprises Madame HUBERT remet la note habituelle ainsi que le Rapport annuel 2013 pour ERACHEM (en annexe pour les personnes qui n'assistaient pas à la réunion). Pour ADVACHEM, outre ce qu'il y a dans la note, Monsieur RIFAUT précise que pour les piézomètres, on en a mis en amont et en aval. Pour la hauteur du lettrage sur les cuves de stockage, c'est à la demande des pompiers. Pour DOW - Polyol, ERACHEM COMILOG, SHANKS HAINAUT et WOS, voir la note Pour YARA, Monsieur LEMETTER signale qu'il y a eu 3 accidents chômant qui sont dus à une augmentation du personnel sous-traitant. Actuellement, il y a plus de 600 personnes sur le site. On remarque que beaucoup d'incidents sont dus à des comportements inadéquats. La période est mauvaise et on perd de l'argent depuis novembre. On avait un arrêt prévu en avril mais du fait de l'incendie le 14 janvier, cela a été avancé. De ce fait, on importe de l'ammoniaque mais pas assez, une partie des installations est donc à l'arrêt. On doit continuer à travailler ensemble sur le zoning pour être cohérent car pour l'incendie, l'alerte a été donnée par des ouvriers d'erachem alors que ce n'était pas à eux de le faire. Ils ont actionné la sirène alors que du côté de YARA, cela n'avait pas encore été fait. Cela s'est passé à 15h50' et en 20 minutes, le feu était circonscrit. Les pompiers avaient été appelés pour le cas où l'équipe d'intervention n'aurait pas suffi. On a fait une cellule de crise et le bourgmestre a également fait une cellule de crise à la caserne des pompiers. C'est à ce niveau qu'on doit s'améliorer. Monsieur DEGAND constate un dysfonctionnement au niveau de la communication alors qu'il y a des risques d'effets dominos, c'est interpellant. 5.

6 Au niveau communication, Monsieur LEMETTER signale qu'on a rajouté tous les industriels dans les personnes à informer. Monsieur BAUWENS précise que lorsque les pompiers interviennent sur un incident, ils partent comme si c'était une situation extrême et puis quand ils arrivent sur place si c'est moins grave, on revient à une situation normale. Ici, on a eu une mauvaise information du 112, on était parti pour ERACHEM alors que l'incendie était chez YARA. Mais il faut savoir que si deux appels ont été faits, un par ERACHEM et l'autre par YARA à deux opérateurs différents, c'est le premier qui envoie l'information aux pompiers qui est pris en compte. Logiquement aussi en cas de crise, il doit y avoir plusieurs accès pour arriver sur le lieu de l'incident en fonction de la direction des vents car on intervient toujours de façon à ne pas se mettre dans le sens où le vent pousse les fumées. Maintenant il veut bien admettre qu'il faut revoir les choses pour que ce qui s'est passé ici ne se reproduise pas. Il faut aussi être conscient qu'en cas d'exercice, il n'y a jamais de problème car un exercice, c'est préparé et on n'est pas en situation de stress. Pour Monsieur DEGAND, cela confirme qu'on fait n'importe quoi. Il connait des pompiers de MONS qui lui ont dit que parfois c'était limite. Il y a eu l'incident de BELFIBRES, où il y a eu des problèmes pour avoir de l'eau, les bouches d'incendie n'étaient pas accessibles. On a encore eu le même problème récemment pour un incendie chez un particulier. Monsieur BAUWENS précise que c'est au bourgmestre à veiller à ce que son entité soit suffisamment alimentée en eau. Mais il faut savoir que certains particuliers recouvrent les bouches. Monsieur LEMETTER voudrait quand même dire que pour l'incendie du 14 janvier, toute l'intervention a été maîtrisée de très bonne façon. Il y avait 60 pompiers sur le site alors que l'incendie était déjà éteint. Il y a eu un souci de communication et le bourgmestre a d'ailleurs décidé de faire un débriefing global. On peut toujours s'améliorer mais à part cette communication, il n'y a pas eu de conséquence pour la population. Il ajoute que pour l'approvisionnement en eau, sur le zoning, il n'y a pas de risque. Monsieur JENART signale que lors de cet incident, le personnel du site de SHANKS à VILLEROT n a pas été prévenu. Le personnel ne savait donc ce qu il devait faire face à cette situation: évacuer ou rester sur le site. En conséquence, Monsieur JENART souhaite que la communication avec les industriels soit améliorée. Monsieur BAUWENS signale que les pompiers ont été appelés pour un incendie mais on intervient sur un site SEVESO. 6.

7 L'incendie était circonscrit mais toujours en cours et il pense que l'équipe de première intervention de YARA a trop joué aux pompiers. En principe quand les pompiers arrivent, ils doivent laisser la place, ici, ils ne l'ont pas fait et il y avait un risque d'explosion. On a donc demandé un périmètre de sécurité. Il ajoute que dans la gestion de crise, c'est une question de vocabulaire qu'on ne maîtrise pas toujours. Il doit y avoir une cellule interne dans l'usine où il va y avoir un poste opérationnel et à distance une cellule de coordination communale. Il pense que le débriefing portera ses fruits. Monsieur DEGAND croyait naïvement qu'il y avait une coordination entre les différents opérateurs. Monsieur DELOFFRE précise que POLYOL s'est mis tout de suite en état d'alerte. Ils se sont mis à l'arrêt. Il y a donc eu communication tout de suite pour eux. Monsieur BAUWENS, au sujet de la communication entre les services, fait remarquer qu'on parle de la réforme des pompiers depuis 10 ans. Maintenant, on est en prézone. On devrait être à 100% opérationnel en Sur la question de savoir si les équipements pour les problèmes chimiques c'est pour tous les pompiers ou seulement pour certains, c'est pour tous les pompiers où il y a des usines SEVESO. Monsieur ERGOT voudrait ajouter qu'il ne faut pas oublier qu'il y a périodiquement/systématiquement des inspections qui sont faites dans les entreprises SEVESO pour voir si tout est en règle. Lorsque des infractions sont constatées, des remises en ordre sont demandées aux entreprises. Ainsi, deux inspections "Planification d urgence" ont eu lieu en février 2014 chez ERACHEM et YARA (inspections planifiées depuis fin 2013). Cette inspection " Planification d urgence" avait déjà eu lieu en 2013 chez ADVACHEM et POLYOL. Toutes les constatations faites par les services d inspection font l objet de plans d actions correctives des entreprises qui sont suivis par les services d inspection jusque la résolution des constatations. Les actions issues des enquêtes d accidents (comme pour l incendie de janvier 2014) sont évidemment suivies de la même façon Divers Monsieur CLAERBOUT voudrait savoir ce qu'il en est avec FOCKEDEY, il ne voit jamais rien mais il y a des stocks. Monsieur BAUWENS précise que c'est un produit qui n'est pas dangereux en soi, c'est de l'urée, de l'engrais. Ils utilisent les anciens stockages pour lesquels il y a un encuvement donc même s'il y avait une fuite, l'environnement serait protégé. Monsieur FAUTSCH voudrait savoir si on a des informations pour le pont de la Darse d'hautrage.

8 Il faudrait pouvoir prévenir les fournisseurs car cela risque de poser de gros problèmes au niveau du charroi avec les travaux qui viennent de commencer pour une longue durée sur l'autoroute, la saturation de certaines routes, Madame FINET va se renseigner. 8.

Synthèse sur les réglementations et permis relatifs à l installation et à l exploitation de pompes à chaleur en Région wallonne

Synthèse sur les réglementations et permis relatifs à l installation et à l exploitation de pompes à chaleur en Région wallonne Synthèse sur les réglementations et permis relatifs à l installation et à l exploitation de pompes à chaleur en Région wallonne Version 1 28 mai 2009 Synthèse sur les réglementations et permis relatifs

Plus en détail

Le décret du 11 mars 1999 relatif au PERMIS D ENVIRONNEMENT

Le décret du 11 mars 1999 relatif au PERMIS D ENVIRONNEMENT Le décret du 11 mars 1999 relatif au PERMIS D ENVIRONNEMENT «Le registre des modifications» UWE «90 minutes pour l environnement» DGO3 - DPA Mons Wavre - Jeudi 10 mai 2012. B. Bequet 1 Plan de l exposé

Plus en détail

RESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS

RESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS a RESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS Synthèse de l'inventaire des accidents pour le secteur d'activité de la société MARIE DIDIER AUTOMOBILES Il ressort de l inventaire des accidents technologiques

Plus en détail

PERMIS D ENVIRONNEMENT - CONDITIONS D EXPLOITATION. 1. En Général 2. Autres conditions 3. Conditions environnementales

PERMIS D ENVIRONNEMENT - CONDITIONS D EXPLOITATION. 1. En Général 2. Autres conditions 3. Conditions environnementales PERMIS D ENVIRONNEMENT - CONDITIONS D EXPLOITATION 1. En Général 2. Autres conditions 3. Conditions environnementales 1. EN GÉNÉRAL Le titulaire d un permis d environnement de classe 1 ou 2 ou la personne

Plus en détail

25/11/2010. La nouvelle réglementation des distributeurs de carburants. Réunion d information. Sommaire. 1 Nouvelle rubrique ICPE

25/11/2010. La nouvelle réglementation des distributeurs de carburants. Réunion d information. Sommaire. 1 Nouvelle rubrique ICPE La nouvelle réglementation des installations de distribution de carburants & les aides financières du CPDC Véronique Poutas Responsable Environnement pour les 2 CCI de l Aude Pierre Vicart Secrétaire Général

Plus en détail

Le logement dans tous ses états. Définition : le logement et l'habitat

Le logement dans tous ses états. Définition : le logement et l'habitat Le logement dans tous ses états 17/10/ 2012 Définition : le logement et l'habitat Le logement est un produit : une maison, un appartement, un type 3, un duplex L'habitat est un service : l'espace produit

Plus en détail

CONVENTION POUR LE RACCORDEMENT DES INDUSTRIELS DE SAINT-BRIEUC AU RESEAU D'ASSAINISSEMENT. Mesdames, Messieurs,

CONVENTION POUR LE RACCORDEMENT DES INDUSTRIELS DE SAINT-BRIEUC AU RESEAU D'ASSAINISSEMENT. Mesdames, Messieurs, Ville de SAINT-BRIEUC ------------------------------- Conseil Municipal ---------------------- Séance du 8 décembre 2000 ----------------- Rapporteur : M. MANGOLD ----------------- N 10 CONVENTION POUR

Plus en détail

Emis le : 5/08/2011 Mis à jour : 10/2014

Emis le : 5/08/2011 Mis à jour : 10/2014 Emetteur : CRMA Limousin Page 1 sur 6 1. Quelle réglementation s applique à mon entreprise? Emis le : 5/08/2011 Toute entreprise artisanale ou industrielle est soumise au règlement sanitaire départemental.

Plus en détail

LE PERMIS D'ENVIRONNEMENT - CLASSE 3

LE PERMIS D'ENVIRONNEMENT - CLASSE 3 LE PERMIS D'ENVIRONNEMENT - CLASSE 3 Dernière révision du document : février 2013 Entré en vigueur le 1 er octobre 2002, le "Permis d Environnement" (créé par le décret du 11 mars 1999) peut être considéré

Plus en détail

Fiche de données de sécurité selon 1907/2006/CE, Article 31

Fiche de données de sécurité selon 1907/2006/CE, Article 31 Page : 1/5 SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l'entreprise 1.1 Identificateur de produit 1.2 Utilisations identifiées pertinentes de la substance ou du mélange et utilisations

Plus en détail

Fiche de données de sécurité selon 1907/2006/CE, Article 31

Fiche de données de sécurité selon 1907/2006/CE, Article 31 Page : 1/5 1 Identification de la substance/du mélange et de la société/l'entreprise Identificateur de produit Utilisations identifiées pertinentes de la substance ou du mélange et utilisations déconseillées

Plus en détail

Recours aux entreprises extérieures

Recours aux entreprises extérieures RECOMMANDATION R429 Recommandations adoptées par le Comité technique national de la chimie, du caoutchouc et de la plasturgie le 21 novembre 2006. Cette recommandation annule et remplace la recommandation

Plus en détail

Le Collège des Bourgmestre et Echevins ;

Le Collège des Bourgmestre et Echevins ; Le Collège des Bourgmestre et Echevins ; Vu la demande de permis introduite en date du 17 septembre 2003 par laquelle CLUB ALPIN BELGE -AILE FRANCOPHONE ASBL, ci-après dénommé( e ) l'exploitant, sollicite

Plus en détail

RAPPORT DE LA PRESIDENTE DU CONSEIL DE SURVEILLANCE A L'ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE ANNUELLE DU 15 JUIN

RAPPORT DE LA PRESIDENTE DU CONSEIL DE SURVEILLANCE A L'ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE ANNUELLE DU 15 JUIN " PRECIA " Société Anonyme à Directoire et à Conseil de Surveillance Au capital de 2 200 000 Siège social à VEYRAS - 07000 PRIVAS R.C.S. AUBENAS B. 386.620.165 (1966 B 16) RAPPORT DE LA PRESIDENTE DU CONSEIL

Plus en détail

N/Réf. : CODEP-PRS-2010-037299 Monsieur le Directeur Institut Gustave Roussy (IGR) 39, rue Camille Desmoulins 94800 VILLEJUIF

N/Réf. : CODEP-PRS-2010-037299 Monsieur le Directeur Institut Gustave Roussy (IGR) 39, rue Camille Desmoulins 94800 VILLEJUIF RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE PARIS N/Réf. : CODEP-PRS-2010-037299 Monsieur le Directeur Institut Gustave Roussy (IGR) 39, rue Camille Desmoulins 94800 VILLEJUIF Paris, le 06 juillet 2010 Objet : Inspection

Plus en détail

RAPPORT D'ENQUÊTE SUR ÉVÉNEMENT AÉRONAUTIQUE

RAPPORT D'ENQUÊTE SUR ÉVÉNEMENT AÉRONAUTIQUE RAPPORT D'ENQUÊTE SUR ÉVÉNEMENT AÉRONAUTIQUE COLLISION AVEC UN VÉHICULE AIR FRANCE BOEING 747-200 F-BPVV AÉROPORT INTERNATIONAL DE MONTRÉAL / MIRABEL (QUÉBEC) 15 OCTOBRE 1995 RAPPORT NUMÉRO A95Q0206 Le

Plus en détail

Page 1. Page 2. Système de gestion de la vérification - HempAge AG - Juin 2011 2/10 Indice 1. Introduction. 2. Résumé. 3. Des résultats positifs

Page 1. Page 2. Système de gestion de la vérification - HempAge AG - Juin 2011 2/10 Indice 1. Introduction. 2. Résumé. 3. Des résultats positifs Object 1 Page 1 Traduction web du document officiel de la fair wear foundation Dixième Rapport de gestion du système d'audit Hempage Juin 2011 Membre depuis FWF 1 Octobre 2009 Sources d'information Entretien

Plus en détail

P-V DE LA REUNION DU 24 juin 2009

P-V DE LA REUNION DU 24 juin 2009 Présents : P-V DE LA REUNION DU 24 juin 2009 REUNION DU COMITE D ACCOMPAGNEMENT POUR LES INSTALLATIONS NUCLEAIRES DE FLEURUS-FARCIENNES. Madame Muriel GLAUDE, Responsable du Département Environnement Province

Plus en détail

Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact

Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Article R. 122-3 du code de l environnement N 14734*02 Ministère chargé de l'environnement Ce formulaire n est pas applicable

Plus en détail

Suite dossier d appel

Suite dossier d appel Suite dossier d appel Table des matières 1. INTRODUCTION... 3 2. TRAITEMENT D'UN APPEL... 4 2.1. TRAITEMENT EN DIRECT... 4 2.2. TRAITEMENT DIFFERE... 4 2.3. MECANISME DU TRAITEMENT D'UN APPEL AU NIVEAU

Plus en détail

Chapitre 1 : Introduction aux bases de données

Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Les Bases de Données occupent aujourd'hui une place de plus en plus importante dans les systèmes informatiques. Les Systèmes de Gestion de Bases de Données

Plus en détail

LE PLAN DE PREVENTION

LE PLAN DE PREVENTION 1 Association des Directeurs et Responsables de Services Généraux Facilities Manag ers Association LE PLAN DE PREVENTION Avertissement : ce document est un exemple établi pour un besoin particulier. Il

Plus en détail

Ouvrir dossier D appel

Ouvrir dossier D appel Ouvrir dossier D appel Table des matières 1. TRAITER UN APPEL... 3 1.1. ORGANISATION GENERALE D'UN SERVICE DESK... 3 1.2. PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT... 4 2. PRISE EN CHARGE DE L'UTILISATEUR ET DE SON APPEL...

Plus en détail

RAPPORT D'ENQUÊTE D'ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE DE L'ÎLE DE MONTRÉAL-5

RAPPORT D'ENQUÊTE D'ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE DE L'ÎLE DE MONTRÉAL-5 EN003100 RAPPORT D'ENQUÊTE D'ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE DE L'ÎLE DE MONTRÉAL-5 ACCIDENT MORTEL SURVENU À UN TRAVAILLEUR LE 30 MAI 1998 À L'USINE VIAU, FABRICATION CULINAR INC. SITUÉE AU 2097, RUE VIAU

Plus en détail

LE DÉCRET SOLS RÉFÉRENCES RÉGLEMENTAIRES NOTIONS IMPORTANTES SOL TERRAIN BANQUE DE DONNÉE DE L'ETAT DES SOLS (BDES)

LE DÉCRET SOLS RÉFÉRENCES RÉGLEMENTAIRES NOTIONS IMPORTANTES SOL TERRAIN BANQUE DE DONNÉE DE L'ETAT DES SOLS (BDES) LE DÉCRET SOLS Dernière révision du document : juillet 2012 RÉFÉRENCES RÉGLEMENTAIRES Décret du 5 décembre 2008 (MB 18/02/2009 & 6/03/2009) relatif à la gestion des sols, modifié par le décret programme

Plus en détail

Le développement durable clé en main

Le développement durable clé en main Le développement durable clé en main Le développement durable au cœur de la stratégie d Assa Abloy 2 de la sécurité est un marché dynamique, tiré par les évolutions sociétales (besoins de sécurité grandissants,

Plus en détail

Aide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire Edition décembre 2007

Aide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire Edition décembre 2007 Aide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire 1. But et objet Une série d'aides à l'application a été créée afin de faciliter la mise en œuvre des législations cantonales en matière

Plus en détail

S'organiser pour ne plus se noyer dans l'information

S'organiser pour ne plus se noyer dans l'information S'organiser pour ne plus se noyer dans l'information S'organiser pour ne plus se noyer dans l'information Filtrer ce qui est important Filtrer les informations au regard de sa mission Transformer l'information

Plus en détail

Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact

Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Article R. 122-3 du code de l environnement N 14734*02 Ministère chargé de l'environnement Ce formulaire n est pas applicable

Plus en détail

2. Technique d analyse de la demande

2. Technique d analyse de la demande 1. Recevoir et analyser une requête du client 2. Sommaire 1.... Introduction 2.... Technique d analyse de la demande 2.1.... Classification 2.2.... Test 2.3.... Transmission 2.4.... Rapport 1. Introduction

Plus en détail

CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel

CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel N 38 Développement durable n 2 En ligne sur le site www.fntp.fr / extranet le 19/02/2013 ISSN 1769-4000 CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L

Plus en détail

DÉPARTEMENT DU RHÔNE --------------- Arrondissement de Lyon ---------- Canton de Sainte Foy-lès-Lyon

DÉPARTEMENT DU RHÔNE --------------- Arrondissement de Lyon ---------- Canton de Sainte Foy-lès-Lyon DÉPARTEMENT DU RHÔNE --------------- Arrondissement de Lyon ---------- Canton de Sainte Foy-lès-Lyon Accusé de réception en préfecture 069-216902023-20150702-DCM-201507-23- République Française DE ----------------------------

Plus en détail

Etablissement Cantonal d Assurance. Division Prévention

Etablissement Cantonal d Assurance. Division Prévention Etablissement Cantonal d Assurance Division Prévention Projet de modification des titres IV à VI du règlement du 19 mai 1999 sur la participation aux frais de prévention et de défense contre l'incendie

Plus en détail

VOTRE EAU CHAUDE ELECTRIQUE

VOTRE EAU CHAUDE ELECTRIQUE G U I D E VOTRE EAU CHAUDE ELECTRIQUE SICAE Une réduction d'impôts peut être obtenue (sous certaines conditions) lors du remplacement de votre chauffe-eau électrique. Renseignez-vous auprès du Centre des

Plus en détail

Procès verbal de la séance du Conseil Communal Du mardi 3 mai 2011

Procès verbal de la séance du Conseil Communal Du mardi 3 mai 2011 Procès verbal de la séance du Conseil Communal Du mardi 3 mai 2011 Présents MM. JC.MEURENS(AD), Bourgmestre-Président ; E.CABAY(AD), L.STASSEN(AD),et B.STASSEN(AD), membres du Collège communal ; P.PESSER(AD),

Plus en détail

Stockage ou pas stockage?

Stockage ou pas stockage? Stockage ou pas stockage? Table des matières 1- Stockage chimique?...1 2- Stockage thermique?...3 3- Stockage thermique et chimique!...4 4- Conclusion...5 La question du surplus dans les installations

Plus en détail

Le conditionnel présent

Le conditionnel présent Le conditionnel présent EMPLOIS On emploie généralement le conditionnel présent pour exprimer: une supposition, une hypothèse, une possibilité, une probabilité ( certitude); Ça m'étonnerait! J'ai entendu

Plus en détail

AVIS. Demande de permis unique pour le stockage et la distribution de mazout de chauffage et de diesel routier chez TAHON s.a. à BRUNEHAUT.

AVIS. Demande de permis unique pour le stockage et la distribution de mazout de chauffage et de diesel routier chez TAHON s.a. à BRUNEHAUT. AVIS Réf. : CWEDD/08/AV.1520 Liège, le 22 septembre 2008 Objet : Demande de permis unique pour le stockage et la distribution de mazout de chauffage et de diesel routier chez TAHON s.a. à BRUNEHAUT Avis

Plus en détail

Présentation Résultats de l Exercice Transnational de Gestion de Crise AMICE

Présentation Résultats de l Exercice Transnational de Gestion de Crise AMICE CRC-W Présentation Résultats de l Exercice Transnational de Gestion de Crise AMICE Ir Paul Dewil Directeur Coordinateur du Centre Régional de Crise de Wallonie (CRC-W) 1 PLAN DE L EXPOSÉ 1. Rappel de l

Plus en détail

Harp - Basculement des élèves en début d année

Harp - Basculement des élèves en début d année Ministère de l'education Nationale - Académie de Grenoble - Région Rhône-Alpes C entre A cadémique de R essources et de M aintenance I nformatique Le 04/09/2012 Equipements - Assistance - Maintenance Code

Plus en détail

MISE EN CONFORMITÉ DE L'ALIMENTATION EN EAU POTABLE DU VILLAGE D'ENGOLLON

MISE EN CONFORMITÉ DE L'ALIMENTATION EN EAU POTABLE DU VILLAGE D'ENGOLLON Commune de Val-de-Ruz Conseil communal MISE EN CONFORMITÉ DE L'ALIMENTATION EN EAU POTABLE DU VILLAGE D'ENGOLLON d engagement de CHF 160'000 Version : 1.0 TH 143498 Date : 08.09.2014.2014 Page 1/ Révisions

Plus en détail

En temps que prestataire informatique, nous enjoignons tous nos clients à faire de la politique backup une priorité.

En temps que prestataire informatique, nous enjoignons tous nos clients à faire de la politique backup une priorité. Admin/9036/2BXL-20/11/2011 1 Pourquoi une charte backup? Annexe Charte backup Aborder la question des backups et de la protection des données est souvent un sujet sensible. Tout comme certains dangers

Plus en détail

Intitulé du stage. Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011

Intitulé du stage. Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011 Intitulé du stage Dates Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011 Recherche et réduction des rejets de Substances Dangereuses dans l'eau Mardi 20 septembre 2011 Mardi

Plus en détail

L hygiène en restauration collective. Formation aux ouvriers de l épicerie Sociale des Capucines Morgane DANIEL-diététicienne RSD

L hygiène en restauration collective. Formation aux ouvriers de l épicerie Sociale des Capucines Morgane DANIEL-diététicienne RSD L hygiène en restauration collective Formation aux ouvriers de l épicerie Sociale des Capucines Morgane DANIEL-diététicienne RSD Qu est-ce que la sécurité alimentaire? Le principe de la sécurité alimentaire,

Plus en détail

Pour tester vos connaissances, répondez correctement aux questions suivantes. Bonne chance!

Pour tester vos connaissances, répondez correctement aux questions suivantes. Bonne chance! NOM durée contexte contenu objectif cibles: QUIZZ 5 à 15 minutes formation / mise à disposition des artisans de passage à la CMAR / entreprise 8 quizz thématiques tester la connaissance des participants

Plus en détail

les fakes logiciels et rogue AV

les fakes logiciels et rogue AV les fakes logiciels et rogue AV Comme vous le savez, les fakes logiciels sont des malwares qui usurpent l'apparence de logiciels populaires dans le but d'abuser l'utilisateur. La cible privilégiée de ce

Plus en détail

ISBN 979-10-91524-03-2

ISBN 979-10-91524-03-2 ISBN 979-10-91524-03-2 Quelques mots de l'auteur Gourmand le petit ours est une petite pièce de théâtre pour enfants. *** Gourmand le petit ours ne veut pas aller à l'école. Mais lorsque Poilmou veut le

Plus en détail

EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON

EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement

Plus en détail

NOTRE PERE JESUS ME PARLE DE SON PERE. idees-cate

NOTRE PERE JESUS ME PARLE DE SON PERE. idees-cate NOTRE PERE JESUS ME PARLE DE SON PERE idees-cate 16 1 L'EVANGILE DE SAINT LUC: LE FILS PRODIGUE. Luc 15,11-24 TU AS TERMINE LE LIVRET. PEUX-TU DIRE MAINTENANT, QUI EST LE PERE POUR TOI? Un Père partage

Plus en détail

Le Responsible Care, une démarche accessible aux PME - PMI: Les 9 principes du Responsible Care illustrés par des actions simples et efficaces

Le Responsible Care, une démarche accessible aux PME - PMI: Les 9 principes du Responsible Care illustrés par des actions simples et efficaces Le Responsible Care, une démarche accessible aux PME - PMI: Les 9 principes du Responsible Care illustrés par des actions simples et efficaces 1 Origine du Responsible Care Démarche volontaire de l'industrie

Plus en détail

TeamViewer 9 Manuel Management Console

TeamViewer 9 Manuel Management Console TeamViewer 9 Manuel Management Console Rév 9.2-07/2014 TeamViewer GmbH Jahnstraße 30 D-73037 Göppingen www.teamviewer.com Sommaire 1 A propos de la TeamViewer Management Console... 4 1.1 A propos de la

Plus en détail

Planification d urgence et gestion de crise en Belgique

Planification d urgence et gestion de crise en Belgique Planification d urgence et gestion de crise en Belgique Planification d urgence La sécurité s'exprime par plusieurs aspects : maintien de la tranquillité et de l'ordre public, sauvegarde de la sécurité

Plus en détail

ENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS. L exemple de l agence 13/84. Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84

ENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS. L exemple de l agence 13/84. Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84 ENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS L exemple de l agence 13/84 Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84 Présentation Rappel de l engagement ISO 14001 de l ONF Quelques généralités sur la gestion

Plus en détail

Obligations d information environnementale des entreprises après le Grenelle II

Obligations d information environnementale des entreprises après le Grenelle II Obligations d information environnementale des entreprises après le Grenelle II Laurence Lanoy Mathieu Farge 28 mars 2011 Intersol Introduction Les obligations d information environnementale sont imposées

Plus en détail

LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Les pneus sont dangereux dans des piles, pas dans des Earthships.

LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Les pneus sont dangereux dans des piles, pas dans des Earthships. les pneus sont sécuritaires LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Réutiliser un vieux pneu dans un Earthship, où il devient une ressource utile et passe le reste de son temps dans

Plus en détail

H1303 - Intervention technique en Hygiène Sécurité Environnement -HSE- industriel

H1303 - Intervention technique en Hygiène Sécurité Environnement -HSE- industriel H1303 - Intervention techniue en Hygiène Sécurité Environnement -HSE- industriel Appellations Animateur / Animatrice en déchets en industrie Technicien / Technicienne en environnement, sécurité et conditions

Plus en détail

Chapitre 13. Plan de gestion environnementale et sociale

Chapitre 13. Plan de gestion environnementale et sociale Chapitre 13 Plan de gestion environnementale et sociale Table des matières Table des matières... 13-i 13 Plan de gestion environnementale et sociale... 13-1 13.1 Cadre d élaboration du plan de gestion...

Plus en détail

La réglementation Incendie en Belgique

La réglementation Incendie en Belgique La réglementation Incendie en Belgique Formation incendie F. HENRY 1 La réglementation Incendie en Belgique Formation incendie F. HENRY 2 Cpt ing. F. HENRY 1 Les differents niveaux de pouvoir - Fédéral

Plus en détail

Service Prévention des Risques Professionnels. 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09

Service Prévention des Risques Professionnels. 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09 CAISSE RÉGIONALE D ASSURANCE MALADIE RHÔNE -ALPES Service Prévention des Risques Professionnels 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09 FT 1022 OCTOBRE

Plus en détail

CONVENTION DE MISE A DISPOSITION SALLES COMMUNALES EMILE ROUSSEAU

CONVENTION DE MISE A DISPOSITION SALLES COMMUNALES EMILE ROUSSEAU CONVENTION DE MISE A DISPOSITION SALLES COMMUNALES EMILE ROUSSEAU ENTRE : Monsieur le Maire, agissant es-qualité en vertu des délibérations du 25 septembre 2014 et du 24 octobre 2013, Désigné ci-après

Plus en détail

Travailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale

Travailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale ACADEMIE DE GRENOBLE Géographie Programme de Troisième, partie II, thème 1 LES ESPACES PRODUCTIFS Travailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale alexandre.bouineau@ac-grenoble.fr

Plus en détail

GLOBAL SUPPLY CHAIN MANAGEMENT & STRATEGIE LOGISTIQUE

GLOBAL SUPPLY CHAIN MANAGEMENT & STRATEGIE LOGISTIQUE GLOBAL SUPPLY CHAIN MANAGEMENT & STRATEGIE LOGISTIQUE La logistique représentait traditionnellement l activité allant de la mise à disposition des produits finis par l usine ou le négociant jusqu à la

Plus en détail

L A T O U R D E P E I L Z Municipalité

L A T O U R D E P E I L Z Municipalité V I L L E D E L A T O U R D E P E I L Z Municipalité PRÉAVIS MUNICIPAL N 16/2014 le 10 décembre 2014 Concerne : Demande de crédit de Fr. 550'000.-- pour le renouvellement et migration de l infrastructure

Plus en détail

Améliorer la performance des ressources de la production par la TPM

Améliorer la performance des ressources de la production par la TPM Dossier paru dans la tribune de l'industrie des Editions WEKA N 29 Mars 2006 Améliorer la performance des ressources de la production par la TPM La mise en place d'une démarche TPM nécessite plusieurs

Plus en détail

Installation de Windows 2003 Serveur

Installation de Windows 2003 Serveur Installation de Windows 2003 Serveur Introduction Ce document n'explique pas les concepts, il se contente de décrire, avec copies d'écran, la méthode que j'utilise habituellement pour installer un Windows

Plus en détail

Système Management Environnemental

Système Management Environnemental Système Management Environnemental Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine - Bassin Eaux Pluviales Environnemental Politique Qualité Sécurité Environnement Sommaire Norme

Plus en détail

QUESTIONNAIRE PARTICULIER POUR DEMANDE D'AUTORISATION. BATIMENT SIS : Commune : Localité : Article cadastral : Rue et n : Affectation de l'ouvrage :

QUESTIONNAIRE PARTICULIER POUR DEMANDE D'AUTORISATION. BATIMENT SIS : Commune : Localité : Article cadastral : Rue et n : Affectation de l'ouvrage : Secteur prévention Etablissement cantonal d'assurance et de prévention Place de la Gare 4, Case postale, 2002 Neuchâtel Tél. 032 889 62 22 www.ecap-ne.ch Fax 032 889 62 33 ecap.prevention@ne.ch QUESTIONNAIRE

Plus en détail

REGLEMENT POUR LA FACTURATION DES PRESTATIONS DE SERVICE - 2015

REGLEMENT POUR LA FACTURATION DES PRESTATIONS DE SERVICE - 2015 REGLEMENT POUR LA FACTURATION DES PRESTATIONS DE SERVICE - 2015 DU SERVICE DEPARTEMENTAL D INCENDIE ET DE SECOURS DU TARN Article 1 : Article 2 : Conformément aux lois et à la jurisprudence subséquente,

Plus en détail

Gestion de la Maintenance Assistée par Ordinateur

Gestion de la Maintenance Assistée par Ordinateur Gestion de la Maintenance Assistée par Ordinateur Simplifiez vous la maintenance Gagner en productivité. Réduire les pannes. Améliorer la durée de vie des équipements. Diminuer les coûts de maintenance.

Plus en détail

Séance du jeudi 22 novembre 2012 (13h30 16h30)

Séance du jeudi 22 novembre 2012 (13h30 16h30) Séance du jeudi 22 novembre 2012 (13h30 16h30) Lieu : salle de sciences physiques, lycée français de Luanda Public : entre 6 et 12 élèves de 3eme, 2de et 1ereS (un des élèves ayant amené son propre robot

Plus en détail

Annexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets

Annexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets Annexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets ARTICLE 1 OBLIGATIONS GENERALES 1. La présente Annexe s'applique aux activités

Plus en détail

Solution de stockage par benne mobile

Solution de stockage par benne mobile Solution de stockage par benne mobile Le système de stockage par benne mobile est une solution innovante pour le stockage du bois déchiqueté. Amovible et interchangeable, ce système dispose de nombreux

Plus en détail

Dossier table tactile - 11/04/2010

Dossier table tactile - 11/04/2010 Dossier table tactile - 11/04/2010 Intro Je vais brièvement exposer dans ce document: Ce que j'ai fait, comment je l'ai fait, combien ça m'a couté, et combien de temps j'ai mis à fabriquer, dans le cadre

Plus en détail

H1302 - Management et ingénierie Hygiène Sécurité Environnement -HSE- industriels

H1302 - Management et ingénierie Hygiène Sécurité Environnement -HSE- industriels Appellations Adjoint / Adjointe au responsable environnement-hygiène-sécurité en industrie Ingénieur / Ingénieure en traitement des déchets industriels Chargé / Chargée de l'hygiène et de la sécurité du

Plus en détail

Monsieur le Préfet, j ai porté une grande attention sur le chapitre relatif à la sauvegarde de l emploi et au développement économique.

Monsieur le Préfet, j ai porté une grande attention sur le chapitre relatif à la sauvegarde de l emploi et au développement économique. Question de M. Michel PETIT, Conseiller Général du canton de Beaumetz-les-Loges, Président du groupe Union@ction.62, à M. Denis ROBIN, Préfet du Pas-de-Calais, sur les mesures en matière de soutien à l

Plus en détail

«Stockage des déchets ultimes, la solution Stocamine» Siège social : avenue Joseph-Else 68310 Wittelsheim

«Stockage des déchets ultimes, la solution Stocamine» Siège social : avenue Joseph-Else 68310 Wittelsheim «Stockage des déchets ultimes, la solution Stocamine» Siège social : avenue Joseph-Else 68310 Wittelsheim Dates et faits marquants 1987 : études de l ANDRA sur le comportement du sel des Mines de Potasse

Plus en détail

Maîtrisez les risques environnementaux de votre entreprise

Maîtrisez les risques environnementaux de votre entreprise Artisans, Professionnels, PME, TPE, Collectivités vous êtes concernés! Maîtrisez les risques environnementaux de votre entreprise Fédération française des sociétés dʼassurances Dans le cadre de la gestion

Plus en détail

Fiche n 15. SST 4.5.3.1 : Enquête en cas d incidents 4.5.3.2 : Non-conformité, actions correctives et actions préventives

Fiche n 15. SST 4.5.3.1 : Enquête en cas d incidents 4.5.3.2 : Non-conformité, actions correctives et actions préventives INERIS DVM-11-121612-08005A - HPa Fiche n 15 NON-CONFORMITE, ACTION CORRECTIVE ET ACTION PREVENTIVE ACCIDENTS ET INCIDENTS 1. Ce qu'exigent les référentiels Environnement ISO 14001 4.5.3 : Non-conformité,

Plus en détail

Dépannage informatique dans les Alpes-Maritimes

Dépannage informatique dans les Alpes-Maritimes Dépannage informatique dans les Alpes Maritimes, réparation ordinateur PC portable, assistance informa Dépannage informatique dans les Hectech se déplace dans les et fait les réparations des ordinateurs

Plus en détail

LE PERMIS D ENVIRONNEMENT A 10 ANS Cadre juridique et évolution

LE PERMIS D ENVIRONNEMENT A 10 ANS Cadre juridique et évolution LE PERMIS D ENVIRONNEMENT A 10 ANS Cadre juridique et évolution 11 octobre 2012 LES REGLES DU JEU : L ANCIEN ET LE NOUVEAU Introduction Le cadre légal et réglementaire Les principes généraux La liste des

Plus en détail

DES I NSTALLATIONS C LASSÉES POUR LA P R O TECTION DE

DES I NSTALLATIONS C LASSÉES POUR LA P R O TECTION DE 12 13 I NSTALLATIONS C LASSÉES POUR LA P ROTECTION DE L ENVIRONNEMENT (ICPE) 1.RÉGLEMENTATION 2.OBJECTIFS 3.LES PRINCIPES 3.1. LES ACTEURS 3.2. DÉCLARATION 3.2.1.PROCÉDURE 3.2.2.CONTENU DU DOSSIER 3.3.

Plus en détail

GUIDE D ACCUEIL SANTÉ ET SÉCURITÉ À L ATTENTION D UN NOUVEL EMPLOYÉ INFORMATION DE BASE

GUIDE D ACCUEIL SANTÉ ET SÉCURITÉ À L ATTENTION D UN NOUVEL EMPLOYÉ INFORMATION DE BASE Secteur Santé et Sécurité École Polytechnique Février 2014 GUIDE D ACCUEIL SANTÉ ET SÉCURITÉ À L ATTENTION D UN NOUVEL EMPLOYÉ INFORMATION DE BASE 1 LA GESTION DE LA SANTÉ ET SÉCURITÉ À POLYTECHNIQUE MONTRÉAL

Plus en détail

client. ECOUTE, SIMPLICITE, SERVICE... Pour ELCIA, l'accompagnement est la clé de la satisfaction ELCIA, le savoir-faire et l'écoute

client. ECOUTE, SIMPLICITE, SERVICE... Pour ELCIA, l'accompagnement est la clé de la satisfaction ELCIA, le savoir-faire et l'écoute Communiqué de presse Octobre 2007 ECOUTE, SIMPLICITE, SERVICE... Pour, l'accompagnement est la clé de la satisfaction client. «Gagner du temps, être plus réactif» «Hyper convivialité et souplesse d utilisation»

Plus en détail

8) Certification ISO 14 001 : une démarche utile et efficace

8) Certification ISO 14 001 : une démarche utile et efficace Aller plus loin 8) Certification ISO 14 001 : une démarche utile et efficace 8) Certification ISO 14 001 8 La norme ISO 14001 et la certification Cette norme internationale vise à établir dans l organisme

Plus en détail

DEPENSE ET CHARGES PUR LE LOCATAIRE ET LE PROPRIÉTAIRE

DEPENSE ET CHARGES PUR LE LOCATAIRE ET LE PROPRIÉTAIRE DEPENSE ET CHARGES PUR LE LOCATAIRE ET LE PROPRIÉTAIRE http://droit-finances.commentcamarche.net/immobilier-location/l100-charges-et-reparationsqui-paie-quoi.php3 Ils ont Les contentieux sont fréquents

Plus en détail

LA COMPTABILITÉ DU COMITÉ D ENTREPRISE : DE NOUVELLES OBLIGATIONS DE TRANSPARENCE À PARTIR DU 1 er JANVIER 2015

LA COMPTABILITÉ DU COMITÉ D ENTREPRISE : DE NOUVELLES OBLIGATIONS DE TRANSPARENCE À PARTIR DU 1 er JANVIER 2015 Groupement des Métiers de l Imprimerie -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- DÉCEMBRE 2014 NOTE N 24 LA

Plus en détail

Tutorial Ophcrack. I) Ophcrack en API. (ou comment utiliser Ophcrack pour recouvrir un mot de passe sous Windows XP et Windows Vista)

Tutorial Ophcrack. I) Ophcrack en API. (ou comment utiliser Ophcrack pour recouvrir un mot de passe sous Windows XP et Windows Vista) Tutorial Ophcrack (ou comment utiliser Ophcrack pour recouvrir un mot de passe sous Windows XP et Windows Vista) Ophcrack est un utilitaire gratuit permettant de cracker les mots de passe des sessions

Plus en détail

Formulaire de déclaration du risque responsabilité civile exploitation et produits livrés des entreprises

Formulaire de déclaration du risque responsabilité civile exploitation et produits livrés des entreprises risque responsabilité civile exploitation et produits livrés REMARQUE PRELIMINAIRE : La Proposition n'engage ni le Proposant, ni l'assureur (Article L 112-2 du Code des Assurances). Cependant, l'attention

Plus en détail

Comment faire plus d'argent cet été!

Comment faire plus d'argent cet été! Comment faire plus d'argent cet été! Je vais prendre ça vraiment cool cet été. Le 23 juin, je me retire à la campagne. Je vais prendre de longues vacances. Des vacances au cours desquelles je ferai du

Plus en détail

greng /77 L( ~ d el '. parlementaire 1 ~ :.UV. 2011 Monsieur Laurent Mosar Président de la Chambre des Député-e-s Luxembourg

greng /77 L( ~ d el '. parlementaire 1 ~ :.UV. 2011 Monsieur Laurent Mosar Président de la Chambre des Député-e-s Luxembourg groupe d el '. parlementaire, greng Monsieur Laurent Mosar Président de la Chambre des Député-e-s Luxembourg 1 ~ :.UV. 2011 /77 L( ~ Luxembourg, le 15 novembre 2011 Monsieur le Président, Par la présente

Plus en détail

Lisez ATTENTIVEMENT ce qui suit, votre avenir financier en dépend grandement...

Lisez ATTENTIVEMENT ce qui suit, votre avenir financier en dépend grandement... Bonjour, Maintenant que vous avez compris que le principe d'unkube était de pouvoir vous créer le réseau virtuel le plus gros possible avant que la phase d'incubation ne soit terminée, voyons COMMENT ce

Plus en détail

Le développement durable clé en main

Le développement durable clé en main Le développement durable clé en main 2 Le développement durable au cœur de la stratégie d ASSA ABLOY de la sécurité est un marché dynamique, tiré par les évolutions sociétales (besoins de sécurité grandissants,

Plus en détail

Plan de continuité des activités Nécessité ou utopie?

Plan de continuité des activités Nécessité ou utopie? Plan de continuité des activités Nécessité ou utopie? 1 PCA : nécessité ou utopie? À quoi ça sert Pour qui/pourquoi le faire Comment le faire 2 1 ère croyance : Ça n arrive qu aux autres 3 Espagne La tour

Plus en détail

Les comptes-rendus précédents ont tous été transmis et signés préalablement à la séance.

Les comptes-rendus précédents ont tous été transmis et signés préalablement à la séance. Département du Tarn Nombre de membres en exercice: 15 Présents : 14 Votants: 15 République Française Commune de Parisot Séance du lundi 01 décembre 2014 L'an deux mille quatorze et le premier décembre

Plus en détail

et rangés en deux classes ne pourront être érigés, transformés, déplacés ni exploités qu'en vertu d'un permis dit d'exploitation.

et rangés en deux classes ne pourront être érigés, transformés, déplacés ni exploités qu'en vertu d'un permis dit d'exploitation. ORDONNANCE 41-48 DU 12 FEVRIER 1953 SUR LES ETABLISSEMENTS DANGEREUX, INSALUBRES OU INCOMMODES. Article 1 er Les établissements repris dans la liste annexée à la présente ordonnance et rangés en deux classes

Plus en détail

HA33S Système d alarme sans fils

HA33S Système d alarme sans fils HA33S Système d alarme sans fils Manuel d installation & de fonctionnement SOMMAIRE Introduction... 2 1. Contenu du Kit HA33S... 2 2. Planification de l'installation... 2 3. Installation et programmation

Plus en détail

La loi NRE. Article 116

La loi NRE. Article 116 La loi NRE La loi sur les nouvelles régulations économiques fixe (art.116) l'obligation pour les sociétés française cotées sur un marché réglementé l'obligation de rendre compte dans leur rapport annuel

Plus en détail