AVIS de Recherches DOSSIER DE PRESSE

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1 AVIS de Recherches DOSSIER DE PRESSE

2 sommaire Communiqué de presse Edito du Maire Programme des entretiens Exposition itinérante Structures scientifiques participantes Stands Infos pratiques

3 Communiqué de presse Avis de recherche à Bron : les 16 et 17 mars à l Institut des Sciences Cognitives Cette deuxième édition des entretiens scientifiques met en présence des chercheurs de Bron et de l'agglomération Lyonnaise avec un public de non-initiés au cours de débats publics sur un thème spécifique. Cette année, un thème porteur est abordé : «Le cerveau» ; il s inscrit dans le cadre de la semaine nationale du cerveau qui a lieu du 12 au 18 mars. Des tables rondes organisées le vendredi 16 mars de 18h à 21h s attachent tout d abord au sommeil et ses mécanismes, puis aux traitements liés aux troubles. Le lendemain dès 9h, c est le cerveau gourmand, la mémoire, les odeurs liées aux pratiques alimentaires, le sexe puis les dysfonctionnements qui seront traités. (Entrée libre) Dès le 16 février et jusqu au 17 mars, l exposition «Planète cerveau : un monde à explorer» présentée au Musée de l Homme à Paris en 2005, sera disponible à l Institut de 10h à 18h. (Entrée gratuite) Enfin, un débat animé par Brigitte Comte sur la maladie d Alzheimer a lieu au cinéma les Alizés à la suite de la projection de «Se souvenir des belles choses» (Isabelle Carré et Bernard Campan). (Tarifs habituels) Contact Presse : Ville de Bron - service communication Tél : Fax :

4 Edito du Maire La Ville de Bron convie les Brondillants, mais également l ensemble des habitants de toute l agglomération aux Entretiens Scientifiques de Bron, sur le thème du «Cerveau», les 16 et 17 mars prochains. Une seconde édition qui se tiendra à l Institut des sciences cognitives de Bron. Bron est une ville scientifique qui compte de nombreuses structures de recherche et d études qui travaillent dans des domaines très divers comme la santé (Ecole du service de santé des armées, Institut des sciences cognitives, hôpitaux du Vinatier, de neuro-cardio, futur hôpital mère-enfant), les sciences humaines (Université Lumière Lyon 2, Centre national de recherche en archéologie préventive), l environnement (Météo France, Institut national de recherche sur les transports et leur sécurité, Centre régional d information et de coordination routière, Centre d études techniques de l Equipement) et bien d autres encore. Cela représente un potentiel de recherche universitaire et technique exceptionnel pour une commune comme la nôtre. C est l une des raisons pour lesquelles nous avons souhaité lancer des entretiens scientifiques, afin de valoriser cette recherche et permettre à ces différentes structures de présenter leurs travaux au grand public. En 2006, nous avions choisi de débattre sur le thème «Transport, santé et environnement». Cette année, c est à la découverte du cerveau que nous vous convions pendant la Semaine Nationale du cerveau. Ces entretiens ne pouvaient donc avoir lieu que sur le campus des neurosciences, à l Institut des sciences cognitives, où une exposition : «Planète Cerveau», se tient depuis le 16 février dernier. Des tables-rondes sur le sommeil, sur le «cerveau plaisir», mais aussi sur ses dysfonctionnements, qui malheureusement frappent certains d entre nous, notamment la maladie d Alzheimer, seront organisées durant deux jours. Valoriser la recherche, permettre aux chercheurs de présenter leurs travaux au grand public, favoriser et créer les conditions pour que les citoyens aient connaissance des enjeux qui sont devant nous et qu il y ait débat, telle est l ambition de ces entretiens scientifiques. Alors les 16 et 17 mars prochains, j espère que nous serons nombreux à accepter de stimuler nos neurones pour mieux échanger! 2 Annie GUILLEMOT Maire de Bron Conseillère Générale

5 Programme des entretiens Marc JEANNEROD, professeur Université Claude Bernard Lyon 1 Voyage dans le cerveau Qui n a jamais rêvé d entrer dans son propre cerveau? De le visiter de l intérieur? De découvrir, pas après pas cet univers mystérieux des synapses et des neurones, des circuits, des connexions et des réseaux? Le cerveau traite les messages qui lui parviennent par l intermédiaire de notre corps et de nos organes des sens. Il orchestre notre mémoire et notre pensée, notre représentation du monde et notre relation aux autres. De l émotion à l intelligence, du stress au plaisir, du langage à la société, il nous raconte une histoire, la nôtre. Olivier BERTRAND, directeur de recherche Inserm Comment la neuroimagerie permet-elle de voir le cerveau en action? Les progrès de l imagerie médicale ne font que repousser les limites de notre compréhension du fonctionnement cérébral normal et pathologique. La neuroimagerie fonctionnelle, couplée à l étude du comportement, a bouleversé la recherche en neurosciences cognitives. Cependant quelles sont les possibilités et les limites des grandes techniques d imagerie disponibles aujourd hui (l électro-encéphalographie, la magnéto-encéphalographie, l imagerie par résonance magnétique fonctionnelle)? Les fonctions mentales sensorielles ou cognitives reposent sur l activation complexe de régions distribuées dans le cerveau et organisées en réseaux dynamiques. L enjeu actuel de la neuroimagérie est d appréhender toutes les facettes de cette dynamique cérébrale. Tous ces aspects seront illustrés par des exemples dans les domaines de la perception, de l attention et de la mémoire. Pierre-Hervé LUPPI, directeur de recherche CNRS A venir 3

6 Raymond CESPUGLIO, directeur de recherche Inserm Comment le sommeil peut-il nous aider à combattre le stress? L étude des mécanisme du sommeil, en relation avec ceux du stress, a permis de démontrer que la réponse au stress inclut aussi des modifications spécifiques de l architecture du sommeil : par exemple, chez l animal l imposition d un stress neurogénique (immobilisation, odeur de prédateur etc..) de courte durée conduit essentiellement à une augmentation du sommeil paradoxal (un moment du sommeil avec rêves). Par contre, lorsque le même stress est imposé de façon répétitive la réponse en sommeil paradoxal disparaît et une tendance à l insomnie s installe. Des situations de stress chronique existent aussi chez l homme (bruit continu de la circulation, conditions de travail défavorables en permanence etc..). Elles ouvrent la porte à des situations pathologiques comme la dépression. Alain NICOLAS, praticien hospitalier CH Le Vinatier Le sommeil de l adolescent : un allié qui peut devenir un ennemi L adolescence est l âge de tous les dangers. Ceci est particulièrement vrai quand on s intéresse au sommeil de ces jeunes. En effet, les adolescents souffrent encore des troubles fréquents chez l enfant (notamment le somnambulisme) et sont déjà atteints par des pathologies rencontrées dans la population adulte (apnée du sommeil, syndrome des jambes sans repos). Sans oublier la narcolepsie. Plusieurs études épidémiologiques montrent que les plaintes au sujet du sommeil concernent la moitié des adolescents. On ne s en étonne pas quand on sait qu un adolescent a besoin en moyenne de 9h30 de sommeil par jour et qu il est rare de le voir se coucher à 21h. Pris entre les obligations scolaires et les nombreuses sollicitations des médias modernes, l adolescent doit apprendre à gérer son sommeil pour préserver ses capacités intellectuelles et sociales. Enfin, les parents doivent être attentifs quand l adolescent dort mal. Un signe qui peut révéler une anxiété majeure voire une dépression. Jacqueline LOUIS, ingénieur de recherche Inserm Regard sur le sommeil des petits et des plus grands à Bron Présentation des exercices sur le sommeil réalisés par les élèves d une classe de l école primaire Alsace-Lorraine. Ils ont travaillé sur la brochure PROSOM «le sommeil, un ami pour grandir», et préparé les questions à poser lors de l intervention. Celle-ci porte sur les besoins de sommeil dans cette tranche d âge et les manifestations au cours du sommeil afin de lever toutes les peurs et interrogations. Bilan de l enquête menée par les troisièmes du collège Théodore Monod et portant sur 110 questionnaires relatifs aux horaires de sommeil des ados, la semaine et le week-end, à la qualité de l éveil dans la journée et sur les activités pouvant influer sur le sommeil. Le bilan est complété par un exposé sur le sommeil des adolescents dans ses aspects physiologiques, psychologiques et hygiène de vie. 4

7 André HOLLEY, professeur émérite de l université Claude Bernard Lyon 1, ancien directeur du Centre Européen des Sciences du Goût Le pourquoi et le comment du plaisir à manger Les sensations que nous éprouvons quand nous prenons un repas constituent ce que nous appelons le goût. A côté de leurs qualités et de leur intensité, ces sensations sont caractérisées par leur valence affective ou hédonique, c'est-à-dire par le fait qu elles nous procurent du plaisir ou du déplaisir. Le plaisir de manger n est pas un sentiment gratuit, il a une finalité biologique en ce qu il nous incite à manger ce qui est «bon pour nous», c'est-à-dire sain et capable de nous rassasier. En ce sens, le goût est le gardien de l entrée du tube digestif, le conseiller du cerveau sur la réponse appropriée vis-à-vis de la nourriture. Le cerveau confère un bon goût aux aliments dont la consommation a été régulièrement suivie, dans le passé, par l émission de signaux positifs adressés par le tube digestif à des régions cérébrales spécialisées. De signaux négatifs, au contraire, provoquent l aversion. Patricia DUCHAMP-VIRET, chargée de recherche CNRS (olfaction) L odorat, un sens à manger Chez l homme, parce que manger est aussi un plaisir, l odeur est un signal externe qui peut déclencher la prise de nourriture de façon dépendante mais aussi indépendante des besoins de l organisme. Dans tous les cas l odeur est une dimension sensorielle qui est intimement liée au comportement alimentaire et les dysfonctionnements de ce comportement (anorexie, boulimie ) sont souvent accompagnés de déficits avérés de l odorat. Chez l homme comme chez l animal, les structures du cerveau dédiées à l analyse olfactive et celles liées au contrôle de la prise alimentaire sont en dialogue permanent. L observation des modèles animaux présentant des pathologies comme l obésité ou une résistance naturelle à l obésité permet de mieux comprendre les liens bilatéraux entre la perception olfactive et le déclenchement ou l arrêt de la prise alimentaire. Cette compréhension devrait offrir de nouvelles perspectives éducatives, préventives ou thérapeutiques pour résoudre certaines pathologies du comportement alimentaire. Nadine RAVEL, chargée de recherche CNRS (Olfaction) Sur les traces de la mémoire La mémoire n est pas un concept, il est plus juste de parler de nos mémoires. En effet, les opérations mentales que nous effectuons et les structures qui sont mises en œuvre dans notre cerveau varient avec la nature de nos souvenirs. La première distinction se fait sur le temps et nous fait distinguer une mémoire à long terme d une mémoire à court terme. Pour étudier le substrat neuronal de la mémoire, on travaille sur l animal. On étudie le rôle de l acétylcholine, un neuromédiateur produit par certaines de nos cellules nerveuses. Cette substance est indispensable à la rétention d une information dans la mémoire à court terme. C'est-à-dire sur quelques dizaines de secondes. D autres études s intéressent aux activités électriques de nos cellules nerveuses et montrent comment un apprentissage peut modifier ces activités et les relations qu entretiennent ces cellules au sein du réseau cérébral. 5

8 Jérôme REDOUTE, chargé de recherche CNRS (sexe et cerveau) Imagerie cérébrale fonctionnelle de la motivation sexuelle masculine Le système nerveux central joue un rôle à toutes les étapes du comportement sexuel, notamment en ce qui concerne le traitement des stimuli externes. Dans une série d études effectuées chez des sujets volontaires sains, puis chez des patients présentant des troubles de la motivation sexuelle, et grâce au développement récent des techniques d imagerie cérébrale fonctionnelle nous avons pu mettre en évidence un réseau de structures cérébrales impliquées dans le développement, le contrôle, et la régulation de la motivation sexuelle chez l homme. Actuellement, nos travaux en cours ont pour objectif de comparer ces réseaux cérébraux à ceux recrutés par des récompenses de nature différente (boisson, argent) et plus spécifiquement, lorsque les sujets ont à choisir entre deux types de récompenses se présentant à eux. Philippe RYVLIN, professeur université Claude Bernard Lyon 1, praticien hospitalier hôpital neurologique (épilepsie) A venir Mohamed Saoud, praticien hospitalier CH Le Vinatier (schizophrénie) Schizophrénie : histoire naturelle de la maladie Avec une prévalence d environ 1% dans la population générale, la schizophrénie est une affection fréquente et grave, qui concerne plus de 2 millions de personnes en Europe. En général, la maladie apparaît entre 15 et 30 ans et elle résulte probablement d un défaut dans le développement et la maturation du cerveau. En effet, aujourd hui, la recherche distingue : (1) des facteurs prédisposants qui perturbent le développement cérébral (prédisposition génétique, facteurs intra-utérins ou périnataux) ; (2) et des facteurs déclenchants (événements de vie stressants, toxiques ) Ainsi, c est l action de facteurs de stress sur un «cerveau fragilisé» par un développement défectueux qui aboutirait à la révélation des symptômes de la maladie chez l adolescent. Cette vulnérabilité, préexistante à la maladie, peut être identifiée grâce à des marqueurs cliniques et paracliniques et permet d étudier le risque d apparition de la maladie dans des populations dites à risque. 6

9 Bernard CROISILE, praticien hospitalier, hôpital neurologique (maladie Alzheimer) La maladie d Alzheimer en 2007 : que savoir? Sur les cas de démences en France, 80 % relèvent de la maladie d Alzheimer (MA). Une maladie dégénérative par le dysfonctionnement et la disparition progressive de neurones spécifiques à la suite de dépôt de protéines anormales entre les neurones et au sein des neurones. Ces anomalies siègent dans les régions cérébrales responsables de la gestion des fonctions cognitives (mémoire, langage, décision, raisonnement) et comportementales. Le diagnostic de la MA repose sur l utilisation de tests cognitifs. Il n existe pas de dépistage. Les traitements de la MA (anticholinestérasiques ou antiglutamates) ne guérissent pas mais ont démontré une efficacité malheureusement temporaire sur certains symptômes cognitifs et comportementaux. La recherche essaie de repérer plus tôt la MA et de développer des médicaments qui puissent agir très tôt dans le processus de la maladie. Jérôme HONNORAT, professeur université Claude Bernard Lyon 1, praticien hospitalier hôpital neurologique ( neuro-oncologie) Comment améliorer le traitement des tumeurs cérébrales malignes Les tumeurs cérébrales malignes sont rares (10 à 15 / habitants par an). Malgré les progrès récents de la médecine et de la chirurgie, leur traitement est actuellement peu performant. L origine des tumeurs cérébrales malignes est inconnue. Pour comprendre les mécanismes aboutissant à ces tumeurs, nous nous sommes intéressés à une maladie tout à fait particulière que sont les syndromes neurologiques paranéoplasiques. En collaboration avec le docteur Jean-Christophe Antoine de Saint Etienne, nous avons décrit à Lyon un anticorps appelé anti-cv2 qui permet de faire le diagnostic des syndromes neurologiques paranéoplasiques. La purification de cette protéine et sa caractérisation a permis de démontrer qu il s agissait d une protéine essentielle au développement du système nerveux. Nos derniers travaux ont pu montrer que cette protéine pourrait être exprimée par des cellules souches tumorales. L identification de ces cellules souches ouvre des perspectives pour comprendre la genèse des tumeurs cérébrales malignes et aborder de nouvelles thérapies. 7

10 Exposition itinérante «Planète Cerveau : un monde à explorer» En 2005, la Fondation Eisai a créé, en coproduction avec le Muséum National d Histoire Naturelle une exposition intitulée «Planète cerveau : un monde à explorer» qui a déplacé près de visiteurs. Face à ce succès, la Fondation décide de poursuivre son œuvre pédagogique et conçoit une exposition itinérante à présenter dans 10 hôpitaux sur le territoire métropolitain. C est en février 2007, qu elle s installe à l Institut des Sciences Cognitives de Bron pour une durée d un mois. Elle sera toujours présente à l occasion de l organisation des avis de recherches par la Ville de Bron les 16 et 17 mars prochains. Pour toute information complémentaire sur l exposition et dossier de presse : 8

11 Structures scientifiques participantes Institut de Sciences Cognitives 67 Boulevard Pinel Bron Cedex Tél : Institut Fédératif des Neuro-Sciences de Lyon Groupement Hospitalier Est Bât Boulevard Pinel Bron Cedex Tél : Centre Hospitalier Spécialisé Le Vinatier 95 Boulevard Pinel Bron Tél : Inserm Centre hospitalier du Vinatier 95 Boulevard Pinel Tél : Laboratoire CNRS Lyon1 50 avenue Tony Garnier Lyon Tél : Faculté de Médecine LAENNEC 7-11 rue Guillaume Paradin Lyon Cedex 08 Tél : Hôpital Neurologique et neuro-chirurgical Pierre Wertheimer 59, Boulevard Pinel Tél

12 Stands Inserm Laboratoires des Sciences Cognitives Librairie Decitre Association France Alzheimer Rhône Association AISPACE Association UNAFAM (Schizophrénie) Association PROSOM (promotion du sommeil) Association AFSJR (syndrome des jambes sans repos) 10

13 Infos pratiques Organisation : Ville de Bron Hôtel de Ville Place Weingarten Bron Cedex Tél : marie-jeanne-duffour@ville-bron.fr contact presse : Service Communication Tél : Fax : sylvie.sarkissian@ville-bron.fr Site internet : Accès à l Institut des Sciences Cognitives 67 Boulevard Pinel Bron. Tél Bus : ligne 28 arrêt Neuro-Cardio Métro : ligne D, arrêt Grange Blanche puis Tramway : T2 Perrache Bron arrêt Vinatier, environ 8 minutes de marche. Conception graphique Suzanne BOLZE Février 2007 Impression Entrée gratuite 11

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