MASYT [ A R R I V É E D U G R A ND PARIS EXPRES S IMPACTS ET ENJEUX À B A G N E U X] Pierre Camilleri & Mathilde Laplagne

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1 MASYT Pierre Camilleri & Mathilde Laplagne [ A R R I V É E D U G R A ND PARIS EXPRES S À B A G N E U X] IMPACTS ET ENJEUX

2 SOMMAIRE Historique... 3 I) Diagnostic du quartier de gare Eléments de cadrage : position géographique et mode d occupation des sols Population Activités économiques et attractivité du territoire Conclusions du diagnostic II - Scénario d aménagement Prévision de la DRIEA : une vision ambitieuse de l augmentation des emplois et de la population Evolution des logements Evolution des emplois et de la population active Plan masse prévisionnel III-Impact de l arrivée du GPE Impact de l arrivée du Grand Paris Express sur les parts modales Impact sur l usage de véhicules personnels Évolution des transports en commun avec l arrivée du Grand Paris Express Conclusion sur le Grand Paris Express Conclusion..32

3 HISTORIQUE Bagneux est une ville de la première couronne, située à 4 km de Paris. Elle se situe à l extrémité sud-est du département des Hauts-de-Seine, en limite avec le Val de Marne. Sa superficie est de 4,19 km² et la commune compte un peu moins de habitants. Jusqu à la moitié du XIXème siècle, Bagneux est resté un village agricole regroupé autour de l église. Des éléments encore présents dans la ville, comme le cimetière parisien ou un espace dédié à la Délégation Générale de l Armement (Fort de Montrouge) montre l emprise de la métropole parisienne sur ce territoire. Ces éléments représentent également une rupture territoriale entre Bagneux et Paris, renforcée par les emprises ferroviaires à l ouest de la ville. Cet enclavement explique en partie pourquoi ce territoire a eu un développement retardé par rapport aux communes de position géographique similaire. L urbanisation de Bagneux a ainsi débuté au début du XXème siècle, et s est nettement accéléré après-guerre, avec notamment la construction de grands ensembles de logements, essentiellement sociaux. Politiquement la ville est communiste depuis 1935, ce qui a une influence sur la politique foncière : malgré sa proximité avec Paris les loyers y sont toujours bas avec aujourd hui un parc immobilier composé à 50 % de logements sociaux. FIGURE 1: BAGNEUX ET LES COMMUNES VOISINES (SOURCE: GOOGLE MAPS)

4 I) DIAGNOSTIC DU QUARTIER DE GARE 1. ELEMENTS DE CADRAGE : POSITION GEOGRAPHIQUE ET MODE D OCCUPATION DES SOLS La zone que nous allons étudier plus spécifiquement (quartier de la future gare Grand Paris) est représentée en bleu sur la carte suivante : FIGURE 2: BAGNEUX ET LA ZONE ETUDIEE (ZONE BLEUE) (SOURCE : PLU, AUTEURS) Il se compose de quatre quartiers : les quartiers du Rond-point des martyrs (nord est), de la Tannerie (sud est), de Pierre plate (nord ouest) et d Oiseaux-pervenche (sud ouest).

5 Desserte en transports Sur l ensemble de la commune, une part non négligeable de ménages (33,2%) ne possède pas de voiture. Cette proportion varie selon les quartiers. Les ménages sont ainsi moins équipés dans plusieurs quartiers (Pierre Plate, Rond-point des Martyrs de Chateaubriand, Coquarts, Tertres et Tannerie) où environ 40% des ménages ne disposent pas de voiture et peuvent donc être considérés comme dépendants des transports en commun. La route départementale RD920 longe la ville sur sa façade est. Cette route fait un accès direct à Paris via la Porte d Orléans. La ville de Bagneux bénéficie déjà de l implantation d une gare RER, la gare «Bagneux» du RER B. La fréquence du RER y est d environ un train toutes les 6/7 minutes en heure de pointe. Le RER permet de rejoindre Châtelet en 16 minutes. Notons tout de même que cette gare est excentrée par rapport à la commune et notre zone projet, elle se situe en fait à la limite de la commune de Cachan, à l est, au-delà de la RD920. Un important réseau de bus dessert la commune de Bagneux, on y trouve les lignes 68, 128, 162, 187, 188, 197, 297, 388, 391, 390, 394, 323, v1 et v4. Ce sont principalement des lignes de rabattement vers la ligne 4 et le RER B. D importants projets de transport sont à venir pour la ville : le prolongement de la ligne 4 du métro parisien (prévu pour 2017) ainsi que l implantation d une gare du Grand Paris Express située sur le prolongement de la ligne 14 (prévu pour 2027). Ces deux projets vont fortement renforcer l accessibilité du territoire de Bagneux, nous proposerons dans la deuxième et la troisième partie de ce rapport un scénario de transformation pour le quartier de ces nouvelles gares. FIGURE 3: LA GARE DU RER B "BAGNEUX" SE SITUE EN REALITE DANS LA COMMUNE DE CACHAN

6 Mode d occupation des sols FIGURE 4: MODE D'OCCUPATION DES SOLS DANS NOTRE ZONE PROJET Nous pouvons dès à présent noter l importance de l habitat collectif (88% de l habitat) et de l urbain ouvert. Ces quartiers sont considérés comme des points durs par la mairie (source PLU 2008), qui seront donc difficiles à faire muter lors de l implantation de la gare par exemple. Les locataires sont fortement majoritaires : 78% des ménages sont locataires. La ville compte également une part importante de logements sociaux : 50%, ce qui s explique par le passé ouvrier de l après-guerre et la couleur politique actuelle de la ville. Nous observons également une nette rupture est-ouest, avec le peu d habitat individuel ainsi que les activités situés exclusivement à l est de notre zone projet. Le quartier du Rond-point des martyrs (nord est) ne contient d ailleurs quasiment pas de logement collectif. Nous montrerons dans la suite du diagnostic que cette rupture se perçoit également nettement dans les catégories socioprofessionnelles des habitants de ces quatre quartiers.

7 Regardons maintenant l évolution de l emprise de chacun des modes d occupation au cours des 30 dernières années : FIGURE 5: EVOLUTION DU MODE D OCCUPATION DES SOLS ENTRE 1982 ET 2008 Remarquons tout d abord que la présence d activités rurales, dans les années 1980 et au début des années 1990, témoignent de l urbanisation retardée de la ville malgré sa proximité avec Paris. Ces zones rurales ont été progressivement aménagées comme le témoignent les différents chantiers qui viennent se substituer à elles. Un second fait remarquable est la réduction de l habitat collectif au profit des activités. On a une réduction d environ 10% entre 1982 et 2008 de l habitat collectif, tandis que les activités doublent leur emprise. Ce fait peut s expliquer par la position très attractive de la ville pour les entreprises : à 2km des frontières de Paris et accessible grâce au RER B.

8 2. POPULATION Répartition par classes d âge et taille moyenne des ménages Nous choisissons de comparer la répartition par classes d âge de notre zone projet avec celle de Bagneux, celle de la première couronne et celle de l ensemble de l Ile-de-France. FIGURE 6: REPARTITION PAR CLASSE D AGE DE LA POPULATION DANS NOTRE ZONE PROJET, A BAGNEUX, DANS LA BANLIEUE INTERIEURE, ET SUR L ENSEMBLE DE L ILE-DE-FRANCE Nous remarquons tout d abord que la population balnéolaise est plutôt jeune par rapport à l ensemble de l île de France, ce qui s expliquera par la taille des ménages. Notre zone projet a la même proportion de personne entre 15 et 60 ans (ce qui correspond quasiment à la population en âge de travailler) que l ensemble de la ville de Bagneux. En revanche, elle a une proportion plus faible de jeunes (0-14 ans) et une proportion plus forte de personnes âgées. Ainsi notre zone correspond à une taille des ménages plus faible que la moyenne balnéolaise. Cela s explique en partie par la présence de logements individuels dans notre zone projet (plus particulièrement à l est, dans les quartiers Rond-point des Martyrs et la Tannerie), dans lesquels la population âgée est plus importante. Comme nous l avons dit, le logement individuel est assez marginal à Bagneux.

9 Il est à noter qu un collège (Joliot Curie) figure dans notre zone projet. Compte tenu de la forte proportion de jeunes parmi la population de Bagneux, la commune souhaiterait l implantation d un lycée d enseignement général et d un établissement d enseignement supérieur sur son territoire. Remarquons également qu alors que la première couronne semble particulièrement attractive pour les ans, la proportion de cette classe d âge à Bagneux est au contraire en dessous de la moyenne régionale, du fait justement de la présence de familles nombreuses d une part et de personnes âgées d autre part. FIGURE 7: TAILLE DES MÉNAGES À BAGNEUX ET DANS UN RAYON DE 10 KM La taille des ménages de la ville de Bagneux est supérieure à celle des communes voisines, ce que laissait présager une population plutôt jeune constatée précédemment. Le Plan Local d Urbanisme fait état de différences entre les quatre quartiers qui composent notre zone. Ces données nous seront utiles par la suite lorsque nous ferons nos hypothèses d évolution de la population pour 2030.

10 Evolution de la population FIGURE 8: TAUX DE CROISSANCE ANNUELLE MOYEN DE BAGNEUX ENTRE 1968 ET 2007 Le taux d accroissement annuel moyen de la ville entre 1968 et 2007 est donc fortement négatif : la ville a continûment perdu des habitants. Si l on regarde les résultats sur l année 2009, le solde naturel était de +1,1 et le solde migratoire de -0,8. Ainsi le solde naturel porte une faible croissance de la population. Sur l ensemble de l île de France, le solde naturel était de +0,9 et le solde migratoire de -0,2. Bagneux reste en dessous de la moyenne francilienne en matière de croissance démographique. De plus, le solde migratoire très négatif à Bagneux comparé à la moyenne île de France dénonce un certain manque d attractivité. Densité Commençons par regarder la densité brute dans un rayon de 10 km autour de Bagneux. FIGURE 9: DENSITE BRUTE À BAGNEUX ET DANS UN RAYON DE 10 KM

11 La ville de Bagneux possède une densité brute plus faible que ses voisines (notamment Châtillon et Montrouge). Ce fait sera à prendre en compte dans le scénario d urbanisation future : la ville de Bagneux semble posséder un potentiel d urbanisation important. Il est cependant nécessaire de nuancer ces propos : en plus du nombre important d espaces verts (près du centre-ville historique notamment, donc à l extérieur de notre zone projet), le cimetière parisien semble être un point dur qui baisse artificiellement la densité brute. Cependant si nous regardons la densité nette, nous voyons que Bagneux est relativement dense par rapport à ces voisines : FIGURE 10: DENSITE NETTE À BAGNEUX ET DANS UN RAYON DE 10 KM Cette densité nette élevée n est pas étonnante, étant donné la proportion de logements collectifs présente à Bagneux.

12 3. ACTIVITES ECONOMIQUES ET ATTRACTIVITE DU TERRITOIRE Emplois Nous comparons la répartition des catégories socio-professionnelles (CSP) de notre zone projet avec celle de Bagneux, de la première couronne (IAURIF 2) et de l île de France. FIGURE 11: PART DES DIFFERENTES CATEGORIES SOCIO-PROFESSIONNELLES Nous pouvons noter la très forte proportion d employés dans notre zone et à Bagneux (+10% par rapport à l île de France et à la première couronne). La ville possède également une plus forte proportion d ouvriers et dans une moindre mesure une proportion plus importante de cadres moyens. En revanche, la proportion de professions libérales et cadres supérieurs y est très faible : environ -12% par rapport à l ensemble de l Île de France. Les catégories socioprofessionnelles sont elles-mêmes diversement réparties dans notre zone projet, comme l indique la figure 12. En effet, les quartiers du rondpoint des martyrs héberge nettement plus de professions intermédiaires et de cadres, alors que le quartier Oiseaux-Pervenches se démarque au contraire par sa part d ouvriers.

13 FIGURE 12: PROPORTION D'OUVRIERS, DE PROFESSIONS INTERMEDIAIRES ET DE CADRES; LE QUARTIER DU ROND POINT DES MARTYRS SE DÉMARQUE NETTEMENT Si nous regardons l évolution des CSP entre 1999 et 2008 nous observons toutefois la tendance suivante : les proportions d employés et d ouvriers tendent à diminuer légèrement tandis que la proportion de cadres moyens, professions libérales et cadres supérieurs augmente de 2%. On observe donc déjà une légère gentrification à Bagneux. Ce qui peut s expliquer à la fois par la hausse des loyers à Paris, par l accessibilité et la proximité de Bagneux, et par l augmentation des activités dans la zone. FIGURE 13: ÉVOLUTION DES CSP ENTRE 1999 ET 2008 À BAGNEUX

14 La ville possède un fort taux de chômage (13,9 % selon les chiffres INSEE de 2009), soit 3% de plus que la moyenne francilienne. Il est par ailleurs 3 à 4% supérieur aux communes voisines, comme nous l observons sur la carte ci-contre. De plus, comme pour l ensemble du pays, on constate que ce taux de chômage affecte plus durement les jeunes. Revenus FIGURE 14: TAUX DE CHOMAGE ET TAUX DE CHOMAGE PAR TRANCHE D'AGE EN 2007 FIGURE 15: REVENUS MOYENS NETS DANS UNE ZONE DE 10KM AUTOUR DE BAGNEUX

15 En conséquence de ce fort taux de chômage et de la répartition des CSP présentée précédemment, ce n est pas une surprise de constater que la ville a un revenu moyen par habitant faible comparé avec les communes voisines. On note notamment le contraste important entre Bagneux et les communes des Hauts-de-Seine. Attractivité : migrations alternantes FIGURE 16: REPARTITION DES LIEUX DE TRAVAIL POUR LES HABITANTS DE BAGNEUX ET L ENSEMBLE DES FRANCILIENS DE LA PREMIERE COURONNE Ce schéma présente la destination des habitants des communes de la première couronne d une part, de Bagneux d autre part, en regroupant ces destinations en quatre classes : la commune d origine, Paris, le reste de la première couronne, le reste de l Îlede-France. Globalement, les destinations des migrations alternantes des balnéolais ressemblent beaucoup à celles des autres communes. On remarque notamment que plus de 85% des emplois sont à Paris (environ 30%) et en première couronne (environ 55%). Cependant, par rapport à la moyenne des franciliens de la première couronne, les balnéolais ont moins tendance à travailler dans leur propre commune et ont plus tendance à se déplacer pour aller travailler dans d autres villes de la première couronne. Ainsi, la ville de Bagneux n est pas un pôle d emploi très attractif pour ses habitants. Ceci peut s expliquer par le fait que la commune présente moins d activités que la moyenne des communes de première couronne. Une autre explication serait une inadéquation entre les emplois proposés par la commune et sa population qui serait plus importante que dans les autres villes de la première couronne (avec par exemple la présence en 2003 d un pôle de recherche Thalès, d Orange Distribution, de Sanofi et d EDF).

16 CONCLUSIONS DU DIAGNOSTIC Tout d abord, nous pouvons noter que les habitants de Bagneux constituent une population plutôt défavorisée. En effet, le revenu net moyen est faible sur la commune, le taux de chômage y est élevé, ainsi que la part des logements collectifs et sociaux. De plus, contrairement à ce que nous pourrions penser au premier abord du fait de sa situation géographique, le territoire de Bagneux est peu attractif. En effet, peu d activités y sont présentes ; d autant plus que certaines entreprises quittent les lieux. L entreprise Kodak, implantée à Bagneux jusqu en 2004, a fermé ses portes, le site de Thalès a été délocalisé, mais a été remplacé par la DGA. Il est cependant indéniable que le territoire possède du potentiel. Les futurs projets de transports (prolongement du métro 4 et Grand Paris) vont l intégrer un peu plus à la métropole. L étude du Mode d Occupation des Sols actuel nous permet d identifier des zones de points durs (habitats collectifs, équipements et espaces verts), mais également des zones susceptibles d évoluer, qui seront à prendre en compte dans notre scénario d urbanisation. Dans les deux parties suivantes nous allons nous interroger sur l incidence de l arrivée du Grand Paris Express sur ce territoire.

17 II - SCENARIO D AMENAGEMENT 1. PREVISION DE LA DRIEA : UNE VISION AMBITIEUSE DE L AUGMENTATION DES EMPLOIS ET DE LA POPULATION Dans le graphique suivant nous avons représenté les valeurs de la population, des emplois, de la population active pour 2005 et les prévisions de la DRIEA pour FIGURE 17: EVOLUTION DE LA POPULATION, DES EMPLOIS ET DE LA POPULATION ACTIVE EN 2007 ET EN 2030 SELON LES PREVISIONS DE LA DRIEA Le premier fait remarquable est «l explosion» des emplois : on a une augmentation de +420% entre 2005 et 2030! Lors du diagnostic nous avions souligné le fort potentiel du territoire : à 2 km de Paris avec des loyers relativement faibles et une desserte en transport excellente en 2014 on peut s attendre à une augmentation forte des activités sur la zone, d autant plus que dès les années 90 les activités ont eu tendance à augmenter sur la zone. Néanmoins cette forte augmentation des emplois pose deux questions: - Nous observons qu en parallèle la population a également tendance à augmenter (dans une moindre mesure). Ainsi peut-on se demander si la capacité d accueil future, en matière d infrastructures, sera suffisante pour permettre ces augmentations radicales d emplois et de logements.

18 - Nous avons vu par ailleurs que Bagneux était une ville communiste depuis 1935 et que malgré la proximité avec Paris, la mairie continuait à maintenir un niveau élevé de logements sociaux. Il s agit d un moyen (volontaire?) de limiter la pression foncière sur le territoire d une part, et représente d autre part des logements permettant d accueillir les classes sociales les plus susceptibles de voter pour le parti communiste. Nous pouvons donc légitimement nous demander si la mairie sera véritablement encline à développer «tous azimuts» les activités sur son territoire, ce qui risquerait par exemple d accélérer la gentrification de son territoire et de lui faire perdre son électorat. Comme nous l avons évoqué précédemment, la couleur politique de la ville a influé et influe encore sur les projets d aménagements. C est pour cela que nous avons choisi l hypothèse que la ville restera communiste jusqu en Cette hypothèse est raisonnable : la ville est communiste depuis 1935, la maire actuelle a gagné au premier tour en 2008, et seulement trois mandats nous séparent de EVOLUTION DES LOGEMENTS Pour estimer la population de notre zone projet en 2030, nous allons nous attacher à prévoir l évolution de deux facteurs qui conditionnent la population : la taille des ménages et le nombre de logements. Nous pourrons alors comparer nos résultats avec l estimation du nombre de logements qu il faudrait construire afin de satisfaire les prévisions de la DRIEA. Nous partons tout d abord du constat selon lequel la taille des ménages en France diminue continûment, et tout particulièrement à Bagneux. On a par exemple pour Bagneux une diminution de 2.5 à 2.39 entre 1990 à 1999 (soit de 4.5%) selon le PLU. FIGURE 18: TAILLE MOYENNE DES MENAGES A BAGNEUX, UNE TENDANCE A LA BAISSE

19 FIGURE 19: TAILLES DES MENAGES A BAGNEUX COMPAREES AVEC LES COMMUNES VOISINES (SOURCE: PLU) Selon les prévisions de l INSEE, en 2030 le nombre moyen de personnes par ménage serait compris entre 2,04 et 2,08 au lieu de 2,31 en Ce résultat est imputable en grande partie au vieillissement de la population, la baisse de la taille des ménages est quasiment inéluctable. Actuellement les tailles moyennes des ménages dans les quatre quartiers qui constituent notre zone projet sont les suivantes (source : PLU): - Rond-point des Martyrs de Chateaubriand: La Tannerie: Pierre Plate: Oiseaux-Pervenches: 2.58 Afin d évaluer les évolutions de ces valeurs nous avons identifié plusieurs mécanismes qui se combinent : 1- le vieillissement de la population 2- l arrivée d actifs dans la zone suite à l implantation du Grand Paris (ce qui a a priori un effet positif sur la taille des ménages) 3- la construction de maisons individuelles attire les actifs (renforce l effet du 2) 4- le fait que plus la valeur initiale de la taille des ménages est élevée, plus la diminution l est aussi (constaté empiriquement sur l évolution de la taille des ménages des communes alentours) Du fait de la diversité des quartiers qui constituent notre zone projet, nous allons essayer d évaluer l impact de ces phénomènes sur chaque quartier, avec une pondération expliquée ci-dessous. (1) On suppose que le vieillissement entraîne une évolution similaire à l évolution nationale dans les quartiers Rond-point des Martyrs et la Tannerie (que l on notera «-1»), mais un impact plus faible sur les quartiers à fort taux de logement sociaux, du fait de la population actuelle très jeune (-0.5)

20 (2 & 3) Sous l hypothèse que le projet du GPE et des aménagements futurs vont créer de nombreux emplois de bureau, certains quartiers deviendraient attractifs pour les jeunes actifs, du fait de la proximité de Paris et de l emploi (que ce soit à la Défense ou sur place). Il est envisagé en outre que des emplois de cadres vont être créés, nous supposons donc que la présence de maisons individuelles et l absence de logements sociaux privilégient ce phénomène. Nous évaluons donc Rond-Point à +1, Tannerie à +0.5, et Pierre Plate et Pervenches à 0. (4) Empiriquement, nous remarquons que plus la taille des ménages est importante, plus la décroissance l est aussi. (la Tannerie -0.5, Oiseaux-Pervenches -0.75) Nous pouvons synthétiser le résultat de ces mécanismes dans le tableau ci-dessous. Pour obtenir un résultat raisonnable, nous avons choisi d identifier notre pondération «-1» à l évolution nationale projetée par l Insee pour 2030, et d adapter la décroissance de la taille des ménages en fonction de la pondération proportionnellement. FIGURE 20: TAILLE DES MENAGES PROJETEE EN 2030 SELON LA PONDERATION ATTRIBUEE A CHAQUE QUARTIER Ces projections sont raisonnables : la taille moyenne des ménages dans notre zone projet reste nettement supérieure à la moyenne nationale projetée, mais inférieur à l interpolation de la courbe de tendance des tailles de ménages (présentée en début de partie II. b). Cela est cohérent dans la mesure où la comparaison relative de ces tailles reste donc la même qu aujourd hui. Selon les hypothèses données par la DRIEA, la population augmente de 9375 à Nous considérons que cet apport de population se répartit de façon homogène sur les quatre quartiers de la zone. Avec les tailles des ménages précédemment évaluées nous obtenons le nombre de ménages supplémentaires et donc le nombre de logements à construire pour atteindre cet objectif : 680 nouveaux logements à construire sur 25 ans. Nous allons évaluer la pertinence de ce résultat. Un projet de ZAC (ZAC Victor Hugo), prévu pour 2015, couvre quasiment la moitié nord de notre zone projet (quartiers rond-point des martyrs et pierre plate). Ce projet intègre dans son programme la construction de 250 nouveaux logements.

21 Il est également à noter que la mairie considère les logements collectifs et équipements, très présents sur notre zone, comme des points durs (source : PLU 2008). Sous l hypothèse du maintien d une mairie communiste, il est difficile d imaginer des modifications en profondeur de ces parties de notre zone projet. Sur la moitié sud de notre zone projet, nous avons estimé qu un projet d aménagement est possible (à l est essentiellement), dont la taille avoisinerait la moitié de celle de la ZAC Victor Hugo. Une construction possible de 125 logements y est donc envisageable. Nous choisissons d ajouter enfin 125 logements diffus, nombre assez important étant donné que le PLU en prévoit 6 à 7 par an sur la totalité de Bagneux. Ce nombre important peut par exemple se justifier par la division des appartements existants (en moyenne assez grands) en appartements plus petits, pour accompagner notamment la baisse de la taille des ménages. Au total, en cumulant ces résultats, nous estimons donc à 500 le nombre de nouveaux logements, ce qui correspond à environ ¾ de l augmentation prévue. Cette création de logements ne suffit pas à compenser la baisse de la taille des ménages dans notre zone, et nous obtenons donc une population projetée de 9220 habitants (légèrement moins qu en 2005). Cela n est pas choquant dans la mesure où le solde à Bagneux a longtemps été négatif et où il n est devenu positif que dans les dernières années grâce au solde naturel uniquement ; c est précisément ce solde naturel qui accompagne la baisse de la taille des ménages. FIGURE 21: LES PROJETS A VENIR AU NORD DE NOTRE ZONE (SOURCE : ATELIER D ARCHITECTES)

22 3. EVOLUTION DES EMPLOIS ET DE LA POPULATION ACTIVE Emplois Nous allons mener un raisonnement similaire pour évaluer l évolution des emplois dans notre zone projet. La ZAC Victor Hugo prévoit la construction de m² de bureaux et de 22000m² de commerces. Si nous estimons la surface moyenne d un bureau ou d un commerce à 23 m² par employé (environ la surface moyenne par emploi de bureau en Île-de-France, d après la DRIEA), nous obtenons une création de 3600 nouveaux emplois. Sur la partie restante de notre zone projet (moitié sud), nous considérons, de la même manière que pour les logements que la taille de la zone réaménageable est de l ordre de la moitié de celle de la ZAC Victor Hugo, ce qui nous donne alors une estimation de 1800 emplois créés. Cela nous amène donc à 5400 nouveaux emplois. Néanmoins, nous devons également tenir compte du taux d occupation moyen des bureaux qu on prend égale à 90% (un rapport BNP Paribas sur les bureaux en Île-de-France de février 2011 constate un taux de vacance en première couronne sud de 12,7% en 2009 et de 9.6% en 2010). On estime donc à 4860 le nombre d emplois pouvant être créé, soit de nouveau environ les 3/4 de l augmentation projetée par la DRIEA. Population active De même que dans notre raisonnement précédent sur les logements plusieurs effets sont à prendre en compte, qui ont un effet positif ou négatif sur la taille de la population active. (1) Le vieillissement de la population (effet négatif) : des personnes actives vont partir à la retraite. (2) Le nombre important de jeunes (effet positif) : ces jeunes vont entrer dans la vie active. Cependant, cet effet est nuancé par les jeunes qui peuvent quitter le logement familial, pour éventuellement s installer dans une autre commune. (3) L attractivité de la zone pour les actifs (effet positif) : la croissance de l emploi va attirer des actifs, et donc entraîner une augmentation de leur proportion. (4) La présence de logements sociaux (effet ambigu) : la quantité importante de logements sociaux a sans aucun doute un impact sur l âge de la population, premier critère qui entre en compte pour déterminer la population active. Cependant, il est difficile à évaluer : d une part, les organismes Hlm souhaitent optimiser leur parc, grâce à des surloyers pour les occupants dont le niveau de vie a augmenté, ou des offres de relogement aux personnes en sous-occupation des lieux (principalement

23 des personnes âgées). D autre part, la législation privilégie un principe de «maintien dans les lieux», pour offrir une sécurité aux ménages modestes et aux personnes pour lesquelles l attachement au logement ou au quartier sont de grande importance. L impact sur le renouvellement de la population est donc compliqué à évaluer, et dépend également des politiques sociales futures. (Source : Idée reçue n 6 sur les Hlm : "Des logements à vie", site de l Union sociale pour l habitat, ) La taille de la population active est donc difficile à estimer, nous pouvons cependant faire l hypothèse qu elle reste à peu près identique en proportion, avec des perspectives d augmentation dans un futur plus lointain (avec éventuellement une baisse de la proportion des logements sociaux et une gentrification). On obtient donc un total de 4744 actifs en Nous avons donc les prévisions suivantes pour 2030 : Population 9221 Emplois 6438 Population active 4744 Nous représentons sur un même graphique les données 2005, les prévisions de la DRIEA pour 2030 et nos prévisions. FIGURE 22: PROJECTIONS DE LA DRIEA ET CORRECTIONS

24 4. PLAN MASSE PRÉVISIONNEL Ci-dessous un plan masse prévisionnel de notre zone projet en 2030, dans lequel on retrouve les points durs, la ZAC Victor Hugo, et des aménagements futurs comme nous les avons envisagés dans les paragraphes précédents. FIGURE 23: PLAN MASSE DE LA ZONE PROJETE EN 2030

25 III-IMPACT DE L ARRIVEE DU GPE 1. IMPACT DE L ARRIVEE DU GRAND PARIS EXPRESS SUR LES PARTS MODALES FIGURE 24: FLUX MODAUX EN PROVENANCE DE NOTRE ZONE PROJET EN 2005 SUR LES TRAJETS DOMICILE-TRAVAIL

26 FIGURE 25: FLUX MODAUX EN PROVENANCE DE NOTRE ZONE PROJET PROJETÉS EN 2030 SUR LES TRAJETS DOMICILES TRAVAIL L impact du Grand Paris entre ces deux cartes est flagrant. La carte de 2030 (Fig. 25) est plus chargée et avec une couleur bleue bien plus présente que dans la carte de 2005 (Fig. 24). Cela traduit deux phénomènes : - la proportion d usage de la voiture diminue pour les balnéolais travaillant à Paris, dans le nord de Paris et vers le pôle de la défense. L effet est encore plus nettement marqué dans le grand ouest parisien, l est et le sud de Bagneux, la part des transports en communs dans les parts modales augmente drastiquement : ces territoires sont actuellement mal desservis par les transports en commun depuis Bagneux (sauf le long de l axe sud du RER B). Les lignes 15 et 18 vont permettre de desservir ces zones, et cela crée une nouvelle opportunité aux usagers captifs des transports en commun. - l autre phénomène nettement perceptible est l augmentation du trafic entre 2005 et Cette augmentation de la mobilité est avant tout expliquée par la demande induite par les nouvelles infrastructures de transport. En effet, toute offre de transport nouvelle (ou amélioration de l offre actuelle), entraîne une augmentation de la demande, les gens

27 ayant de nouvelles opportunités de déplacements. Plus généralement, le Grand Paris Express facilitant les déplacements d un point à l autre de la métropole, les franciliens pourront plus facilement vivre dans une ville et travailler dans une autre. 2. IMPACT SUR L USAGE DE VEHICULES PERSONNELS Si nous regardons maintenant la répartition des trajets en voiture au départ de Bagneux (selon leur durée, en 2005 et en 2030, ci-dessous), nous pouvons noter que les deux courbes ont globalement la même allure. On observe même une légère augmentation des trajets en voiture, principalement portée par l augmentation importante des emplois de notre zone projet. Cette augmentation atteint environ 10% des trafics initiaux. FIGURE 26: NOMBRE DE TRAJETS PAR TRANCHE DE TEMPS EN 2005 ET PROJETE EN 2030

28 On compare maintenant les cartes d affectation de la circulation entre 2005 et Le ratio «vitesse/ capacité» représente la congestion sur une journée en moyenne. On remarque que le Grand Paris Express ne résout pas la congestion du périphérique en Ceci peut être mis en relation avec ce qui a été précédemment vu sur le fait que du fait de l augmentation des emplois, il y aura une augmentation de trafic sur les routes malgré l arrivée du Grand Paris Express. FIGURE 27: CARTES D AFFECTATION DE LA CIRCULATION ROUTIERE EN 2005 ET PROJETEE EN 2030

29 Si l on se restreint maintenant à notre zone projet, on remarque qu un axe, qui correspond à l actuelle avenue Victor Hugo (cf plan masse de la ZAC Victor Hugo), verra une circulation plus importante en 2030 qu en Cela est cohérent avec le fait que cet axe sera l axe structurant du projet ZAC Victor Hugo avec lequel seront implantés de nouveaux logements et de nouvelles activités. Surtout, cet axe mène à la future gare Grand Paris Express et gare de métro 4. Ainsi cet axe fera le lien entre de nouvelles activités et la future gare de métro, il est raisonnable que le trafic augmente sur cet axe. FIGURE 28: COMPARAISON DU TRAFIC DANS NOTRE ZONE PROJET EN 2005 ET 2030 (DÉTAILS DE LA FIGURE 27) 3. ÉVOLUTION DES TRANSPORTS EN COMMUN AVEC L ARRIVÉE DU GRAND PARIS EXPRESS Analysons dans un premier temps l affectation des transports en commun en Nous pouvons noter sur la carte suivante la position stratégique de Bagneux : sur la ligne 15 et à proximité du croisement avec la ligne 14, deux lignes qui correspondent à des flux importants. Sur cette carte, la boucle du Grand Paris est visible, elle accueillera des flux très importants (même si nous observons que la ligne la plus fréquentée restera celle du RERA). Nous constatons également que les deux axes que représentent le RER A et B garderont leur rôle structurant dans la mobilité.

30 FIGURE 29: AFFECTATION DES TRANSPORTS EN COMMUN EN 2030 Si nous nous concentrons un peu plus sur notre zone projet, contrairement à la station du RER B «Bagneux» qui est excentrée, la commune va avoir en son sein une station d un axe de circulation important. La commune de Bagneux va être à une place stratégique du point de vue des transports : deux stations de GPE plus loin (à Arcueil Cachan) passe le RER B. Cette nouvelle infrastructure donne non seulement de nouvelles opportunités de déplacement Est-Ouest en transport en commun, mais facilite également la circulation Nord-Sud existante en rapprochant cette station du RER B.

31 CONCLUSION SUR LE GRAND PARIS EXPRESS Pour conclure sur l impact du Grand Paris Express, nous avons pu voir les effets suivants : - Des reports modaux importants de la voiture vers les transports en communs pour les flux partant de Bagneux vers les zones qui sont aujourd hui mal desservies en transports en commun et qui seront desservies en 2030 par le Grand Paris Express. - Cependant, les flux en véhicules personnels seront toujours importants en 2030: une augmentation de 10% des flux au départ de Bagneux est envisageable, elle est principalement liée à l augmentation importante des activités. - Au niveau de notre zone projet l avenue Victor Hugo sera un axe structurant (en plus de la RD920) car passant au cœur de la future ZAC et allant jusqu à la gare Grand Paris. C est donc un axe à soigneusement aménager, pour permettre un partage pertinent de la voirie entre piétons et automobiles. - La position de Bagneux sera stratégique sur la ligne 15 et à proximité du RER B, deux lignes génératrices de flux importants.

32 CONCLUSION Ce rapport constate qu actuellement la ville de Bagneux est plutôt défavorisée. En effet, le chômage y est élevé, les revenus y sont bas et on y trouve peu d activités. Cependant, en 2030 la ville de Bagneux aura une position stratégique au cœur du système «Grand Paris Express», en étant positionnée sur la ligne 15 et non loin de la connexion avec le RER B, la ligne 14, et avec le prolongement de la ligne 4 jusqu au cœur de notre zone projet. On peut donc raisonnablement penser qu il y aura une forte création d emplois et d activités, et ce malgré les contraintes urbaines fortes tels que les points durs que représentent les logements collectifs ou encore le cimetière. Nous constatons que ces nouvelles opportunités de déplacement vont affecter la mobilité des habitants de Bagneux, avec une demande induite vers de nouvelles destinations. Cette augmentation de mobilité va se traduire essentiellement dans les transports en communs, mais apparait également dans les véhicules particuliers, avec une hausse non négligeable de trajets, qui peut être mis en perspective avec l augmentation des activités, et donc de l attractivité de la zone. Cette mutation du territoire risque de s accompagner d une forte gentrification de notre zone projet, et par extension de la ville de Bagneux. Néanmoins, la politique de la ville, actuellement et depuis longtemps communiste, va sans doute tenter d enrayer ce phénomène. En effet, jusqu à présent la ville maintenait un taux très important de logements sociaux, ce qui lui permettait au passage de garder son électorat. Cette politique a eu pour effet de limiter fortement la gentrification qui aurait pu avoir lieu à Bagneux du fait de sa proximité avec Paris. Nous pouvons également voir que face à l arrivée du prolongement de la ligne 4, la mairie a pris la main en matière d aménagement en lançant un projet de ZAC autour de la nouvelle gare. Celle-ci prévoit la construction de nouvelles zones d activités mais également de logements. Cette opération montre que la mairie est consciente du potentiel de sa ville et qu elle cherche à contrôler son évolution. Ainsi, si la ville reste communiste, la politique d urbanisme de la mairie reste l inconnue : comment va-t-elle garder le taux de logements sociaux face à la pression foncière? Réussira-t-elle à enrayer un phénomène de gentrification à Bagneux?

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