CONSEIL DE LA CONSOMMATION AVIS. Sur l'indication du prix à l'unité de mesure

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "CONSEIL DE LA CONSOMMATION AVIS. Sur l'indication du prix à l'unité de mesure"

Transcription

1 C.C. 312 CONSEIL DE LA CONSOMMATION AVIS Sur l'indication du prix à l'unité de mesure Bruxelles, 27 janvier 2004

2 RESUME Le Conseil de la Consommation a été saisi le 15 mai 2003 d une demande d avis du Ministre de l Economie précédent sur d éventuelles exemptions et/ou dérogations à l obligation d indiquer le prix à l unité de mesure. 1. Le Conseil accepte d accorder une exemption à l indication du prix à l unité de mesure pour les petits commerces d une superficie nette de vente inférieure à 150 m2. Les représentants de la Production, Distribution, Classes moyennes demandent une exception pour le commerce ambulant. Les représentants des consommateurs s y opposent. 2. Dans son avis 282 du 4 decembre 2002, le conseil plaidait pour l unite de mesure derogatoire «service» pour les produits lessiviels. Le conseil propose de reprendre la definition relative aux detergents avancee par le parlement europeen et le conseil : «service pour produit de lavage textile : pour les lessivages "classiques", la charge normale de textiles "normalement salis" et, pour les lessives pour textiles délicats, la charge normale de textiles légèrement salis qui peut être lavée en machine avec le contenu d'un emballage, en utilisant de l'eau de dureté moyenne, correspondant à 2,5 millimoles lessiviel CaCO3/l. Avant de suggérer une définition et/ou une unité de mesure pour les produits pâteux (ni liquides ni solides), le Conseil préfère attendre l issue des travaux de l Organisation Internationale de Métrologie Légale sur une définition. Le Conseil est en outre d avis qu il serait opportun de retenir pour les épices et les herbes l unité de mesure de 100 gr. au lieu du kilo. 3. Le Conseil s est également exprimé sur une propos ition de révision de la liste des produits alimentaires et non alimentaires qui sont exemptés de l indication du prix à l unité de mesure. 2

3 Le Conseil de la Consommation, prié le 15 mai 2003 par le Ministre de l'économie d'émettre un avis sur les dérogations et mesures particulières relatives à l'indication des prix à l'unité de mesure, s'est réuni le 27 janvier 2004 en séance plénière, sous la présidence de monsieur J.-P. Ducart, et a approuvé l'avis suivant. Le Conseil de la Consommation a prié le président de transmettre cet avis à la Ministre de la Protection des Consommateurs et à la Ministre de l'économie. Le Conseil de la Consommation, AVIS Vu la demande d'avis du Ministre de l'économie du 15 mai 2003 sur les dérogations et mesures particulières relatives à l'indication des prix à l'unité de mesure ; Vu les travaux de la Commission «Pratiques du Commerce» en séances des 5 juin 2003, 8 septembre 2003, 7 octobre 2003, 17 novembre 2003 et 12 janvier 2004; Vu la participation aux travaux des experts suivants : Mmes Benlachhab (V.S.Z.), Halleux (Fedichem) et Lemaigre (D.G. Régulation et Organisation du Marché), MM. Anckaer (Test- Achats), De Smedt (Fedichem), Dochy (Test-Achats), Meirsman (C.R.I.O.C.), Pisele (D.G. Contrôle et Médiation), Van Poucke (C.R.I.O.C.), Verhamme (UNIZO) et Warnant (Detic) ; Vu l'avis élaboré par Mme Pint (Fedis) et M. Meirsman (C.R.I.O.C.). EMET L'AVIS SUIVANT : 3

4 Introduction Par lettre du 15 mai 2003, le Ministre de l'économie de l époque a demandé au Conseil de la Consommation d'émettre un avis sur les exemptions et/ou dérogations éventuelles à l'indication obligatoire des prix à l'unité de mesure. Comme stipulé dans la directive même, la Commission européenne devait évaluer en 2003 l'application de la directive 98/6/CE du 16 février 1998 relative à la protection des consommateurs en matière d'indication des prix des produits offerts aux consommateurs, et en particulier dans les petits commerces de détail. Depuis le 18 mars 2000, les commerçants sont tenus d'indiquer le prix de vente et le prix à l'unité de mesure. Cette obligation vaut pour presque toutes les denrées alimentaires et de nombreux produits non-alimentaires. Les négociants disposant d'une surface de vente nette inférieure à 400 m² et les commerçants ambulants ont pu reporter cette obligation jusqu'au 1 er juillet Mais depuis cette date, ils sont aussi obligés d'indiquer le prix à l'unité de mesure. Entre le 16 septembre et le 4 octobre 2002, le Ministre de l'économie de l époque a chargé la Direction générale "Contrôle et Médiation" du SPF Économie, Classes moyennes, P.M.E. et Énergie d'une enquête générale sur l'application de cette réglementation. L'enquête avait prévu une répartition selon la surface de vente (inférieure ou supérieure à 200 m² et inférieure ou supérieure à 400 m²) en fonction de l'assortiment (alimentaire ou non) et de la méthode de vente (ambulante ou non). Au total, commerces ont été contrôlés. Demande d'avis Il ressort de l'enquête de la Direction générale "Contrôle et Médiation" que la plupart des tous petits détaillants ne respectent pas l'obligation d'indiquer le prix à l'unité de mesure. Les raisons qu'ils invoquent sont d'ordre pratique, technique et financier. 1. Les représentants de la distribution et des classes moyennes se sont prévalus de ces résultats afin de réitérer leur demande d'exempter les commerces ayant une surface de vente nette inférieure à 200 m². Les représentants des classes moyennes estiment qu'une telle exemption pourrait aussi s'appliquer au commerce ambulant. La Ministre demande au Conseil d'envisager la possibilité de dispenser ces deux catégories de commerçants. 2. L'arrêté royal du 30 juin 1996 relatif à l'indication du prix des produits et des services et au bon de commande, tel que modifié par l'arrêté royal du 7 février 2000, prévoit la possibilité de fixer une autre unité de mesure que le kilo, le litre, le mètre, le mètre carré ou cube du produit. Dans son avis n 282 du 4 décembre 2002, le Conseil de la Consommation a plaidé pour l'utilisation de l'unité de mesure dérogatoire "lessive" en ce qui concerne les produits lessiviels. La Ministre demande au Conseil de réfléchir à la définition de cette notion ainsi qu'à l'opportunité de déterminer une autre unité de mesure plus petite pour des articles vendus uniquement en très petite quantité de poids ou de masse, comme les aromates et épices et certaines denrées lyophilisées (séchées à froid). 4

5 3. L'indication du prix à l'unité de mesure peut, pour certains produits soumis en principe à l'obligation, sembler inopportune ou entraîner des problèmes d'interprétation. En outre, la suppression de certaines séries de quantités nominales et de quantités de produits préemballés peut, comme le souligne le Conseil dans son avis n 282, influencer les possibilités de comparaison pour le consommateur. La Ministre demande au Conseil, si compte tenu de ce qui précède, il ne faut dès lors pas revoir la liste des denrées exemptées, ainsi que celle des produits non alimentaires également visés par cette réglementation. Le Conseil entend suivre la structure avancée par la Ministre dans le présent avis. Points de vue 1. Exemption des très petits commerces (surface de vente nette inférieure à 200 m²) et des commerces ambulants L'article 6 de la directive 98/6/CE prévoit la possibilité d'exempter certains petits commerces 1. L'article 12 de la directive stipule que la Commission doit, au plus tard trois ans après l'entrée en vigueur de la nouvelle réglementation dans les États membres, évaluer l'application de la présente directive, et notamment de l'article 6, et formuler une proposition concrète 2. Les représentants de la production, de la distribution, des classes moyennes et de l agriculture demandent une exemption définitive pour les très petits commerces et les commerces ambulants. - Selon ces représentants, dans les tous petits commerces et le commerce ambulant, la réglementation a peu de sens pour le consommateur et présente une charge excessive pour le chef d'entreprise. Avec l'affichage du prix à l'unité de mesure, le législateur a souhaité permettre au consommateur une comparaison de prix rapide et simple dans le magasin. Dans les commerces dont la surface de vente est limitée - et certainement dans les points de vente de 200 m² ou moins et les commerces ambulants - il est pratiquement impossible de proposer deux ou plusieurs marques pour chaque groupe de produits. Les possibilités de comparer sont donc limitées, voire inexistantes, pour le consommateur. Le choix de ce type de magasin par le consommateur est guidé par des facteurs tels que la proximité et l'accessibilité, un prix concurrentiel étant d'importance secondaire. Vu l'espace limité - certainement dans les magasins ne dépassant pas 200 m² - il n'est pas évident d'apposer une étiquette de rayon, en d'autres termes, une étiquette bien visible. Dans les très petites boutiques, un produit n'occupe par nécessité pas souvent de place fixe sur le rayon. Des efforts et des investissements supplémentaires s'imposent donc pour respecter correctement l'obligation, ce qui menace encore la survie de ce genre de commerce. La disparition des boutiques de quartiers ou du commerce ambulant lésera finalement aussi le consommateur voyant encore se réduire ses possibilités de choisir le type de magasins. 1 Art. 6 : "Dans la mesure où l'obligation d'indiquer le prix à l'unité de mesure constituerait une charge excessive pour certains petits commerces de détail en raison du nombre des produits offerts à la vente, de la surface de vente, de la nature du lieu de vente, des conditions spécifiques de vente où le produit n'est pas directement accessible au consommateur ou de certaines formes de commerce, telles que certains types particuliers de commerce ambulant, les Etats membres peuvent, pendant une période transitoire suivant la date visée à l'article 11, paragraphe 2, prévoir que l'obligation d'indiquer le prix à l'unité de mesure des produits autres que ceux commercialisés en vrac, qui sont offerts par lesdits commerces, ne s'applique pas, sous réserve de l'article 12." 2 Art. 12 : "Au plus tard trois ans après la date visée à l'article 11, paragraphe 1, la Commission soumet au Parlement et au Conseil un rapport global concernant l'application de la présente directive, et notamment de l'article 6, accompagné d'une proposition. Sur cette base, le Parlement européen et le Conseil réexaminent les dispositions de l'article 6 et statuent, conformément au traité, dans un délai de trois ans après la présentation par la Commission de la proposition visée au premier alinéa". 5

6 - Selon les représentants de la production, de la distribution, des classes moyennes et de l agriculture, l enquête de la Direction générale "Contrôle et Médiation" prouve les grandes difficultés d'appliquer l'indication obligatoire du prix à l'unité de mesure dans certains petits négoces et pour les commerces ambulants. Presque 62 % des commerçants contrôlés ne respectent pas la réglementation. Dans les commerces ayant une surface de vente nette inférieure à 200 m², ce chiffre atteignait même 78 % ; le record étant battu par le secteur non-alimentaire où 90 % des négociants n'indiquent pas de prix à l'unité de mesure. Outre le contrôle du respect de l'obligation d'indiquer le prix à l'unité de mesure, les inspecteurs ont aussi vérifié de nombreux autres éléments. L'enquête indique que l'évolution technologique (présence du scanning) et l'introduction de l'euro n'ont pas eu d'influence pertinente sur le respect de la législation. Lorsque les inspecteurs ont demandé les raisons du non-respect de l'obligation, une large majorité a invoqué ne pas connaître cette législation. Une telle réponse n'est pas vraiment étonnante si l'on tient compte du fait que les contrôles ont été exécutés par la Direction générale "Contrôle et Médiation", même si sa mission était en premier lieu de conseiller les commerçants quant à l'application de la réglementation et de prévoir un délai raisonnable pour se mettre en ordre. Lorsque les représentants de la distribution et des classes moyennes ont en revanche informé leurs membres avant l'entrée en vigueur de la réglementation, les commerçants PME ont systématiquement réagi avec d'autres objections en jugeant la réglementation irréalisable et peu pertinente. Ces représentants soulignent que le non-respect d'une obligation légale n'est certes pas une raison suffisante en soi pour la supprimer ou la modifier, mais font remarquer que lorsque cela est pratiqué à une si grande échelle, il faut oser remettre en question la raison d'être d une telle mesure. Dans le cas présent, les résultats obtenus justifient une fois de plus, selon les représentants de la production, de la distribution et des classes moyennes leur demande d'exempter les petits détaillants, puisqu'ils prouvent les difficultés pratiques d'applic ation que ces représentants ont déjà signalées. - Les représentants de la production, de la distribution, des classes moyennes et de l agriculture ont aussi déjà souligné la charge administrative qu'entraîne cette législation pour les commerçants PME, en particulier pour les tous petits commerçants. Dans leur considérant 9 de la directive, le Parlement européen et le Conseil admettent aussi que l'obligation d'indiquer le prix à l'unité de mesure peut, dans certaines circonstances, constituer une charge trop lourde pour certains petits détaillants et qu'il faut par conséquent autoriser les États membres à ne pas appliquer cette obligation durant une période transitoire adaptée. D'autres États membres comme l'allemagne, la France, l'irlande, les Pays-Bas, le Luxembourg et le Royaume-Uni ont déjà prévu une telle exemption. Les critères à la base des exemptions sont différents (Allemagne : exemption pour très petits commerces de détails dans le secteur alimentaire ; France : exemption pour les magasins «non libre-service» et les commerces inférieurs à 120 m²; Luxembourg : exemption pour commerces dont la surface nette de vente est inférieure à 400 m² à l'exception des produits en vrac et exemption pour le commerce ambulant ; Irlande : exemption pour les commerces non équipés du scanning ; Pays-Bas : exemptions pour les magasins n'occupant pas plus de 5 personnes à temps plein et pour le commerce ambulant, pas d'indication de prix à l'unité de mesure lorsque l article est vendu dans un emballage de moins de 15 gr ou 15 ml, pas d'indication de prix à l'unité de mesure pour la vente par distributeurs automatiques). 6

7 Les représentants de la production, de la distribution, des classes moyennes et de l agriculture sont partisans de critères d'exception facilement contrôlables et applicables, comme la surface nette et la méthode de vente (commerce ambulant), quelle que soit la composition de l'assortiment et sans autres conditions. Les représentants des organisations de consommateurs ne remettent pas en cause la possibilité d une dérogation pour les petits commerces détail, néanmoins ils privilégient la distinction "libre service" et "non libre service" ainsi que la présence ou l absence d un système de gestion informatisé, plutôt que la superficie comme critère de dispense d indication du prix à l unité de mesure. Ils estiment que le prix à l'unité de mesure est le seul élément de comparaison fiable pour le consommateur, surtout au vu des différences de conditionnement existantes. Par ailleurs, l affichage de moins bonne qualité dans les petites surfaces justifie d'autant plus l'obligation d'indiquer le prix à l'unité de mesure dès le moment où des produits alimentaires sont offerts en vente. Les représentants des organisations de consommateurs tiennent à faire remarquer que les personnes à mobilité réduite se rendent dans des magasins de proximité pour d'autres achats que des achats de dépannage. De plus, les difficultés pratiques invoquées par les représentants de la production, de la distribution, des classes moyennes et de l agriculture (calcul du prix à l'unité de mesure pour chacun des produits, affichage en rayon sur de nouvelles étiquettes..) leur semblent pouvoir être facilement surmontées d autant qu il n y a pas si longtemps les commerçants étaient obligés d apposer une étiquette sur chaque produit mis en vente. Dans les pays étrangers, on constate que d'autres critères que la superficie ont été pris en considération, par exemple le nombre de personnes employées dans le magasin ou l absence d'équipement de scanning. En France, seuls les commerces dont la superficie est inférieure à 120 m 2 ont obtenu une dérogation. En outre, plusieurs pays comme la Suède et le Danemark n accordent aucune dérogation à l obligation d indiquer le prix à l unité de mesure. Les représentants des organisations de consommateurs font remarquer que les grandes chaînes de distribution ouvrent de plus en plus de magasins, d une surface inférieure à 200 m 2, utilisant un système de gestion informatisé. Ils estiment qu une dérogation pour ce type de magasins n a aucun sens dans la mesure ou une gestion informatisée permet, entre autre, de calculer très facilement le prix à l unité de mesure. Dés lors, ils ne voient aucune raison d accorder une exemption à ce type de magasins. Le critère de la superficie ne s avère donc pas le plus adéquat pour appréhender efficacement les problèmes rencontrés par les petits commerces de détail qui ne sont pas intégrés dans une grande chaîne. En outre, il n est pas réellement pratique en ce qui concerne le controle de l application correcte de la législation. On imagine mal les inspecteurs de la Direction Générale Contrôle et Médiation mesurer la superficie du point de vente visité. Cependant, dans la mesure ou les différents critères (libre service, absence d un système de gestion informatisée) seraient inacceptables pour les représentants de la production, de la distribution, des classes moyennes et de l agriculture, les représentants des organisations de consommateurs proposent, à titre subsidiaire et dans l intérêt général, d accorder une dispense d indication de prix à l unité de mesure pour les petits commerces de détail dont la surface nette de vente est inférieure à 150 m 2. Le Conseil est d'accord, comme le proposent les représentants des organisations de consommateurs, d'exempter de l'indication du prix à l'unité de mesure les très petits magasins dont la surface de vente nette ne dépasse pas 150 m². 7

8 Par contre, pour les commerçants ambulants, les représentants des organisations de consommateurs refusent toute dérogation car ils estiment que les denrées généralement soumises au PUM doivent continuer à faire l'objet d'une indication des prix à l'unité de mesure. De plus, ils ne voient pas en quoi consiste le surcroît de charge administrative invoqué par les représentants de la production, de la distribution, des classes moyennes et de l agriculture. Les représentants de la production, de la distribution, des classes moyennes et de l agriculture font remarquer que la Directive européenne prévoit également la possibilité d une dérogation pour le commerce ambulant. Plusieurs pays, dont les Pays-Bas, l ont déjà prévue explicitement. Pour les commerçants ambulants également, comme pour les petits commerces, l obligation supplémenta ire de l indication du prix à l unité de mesure représente du temps et de l argent, d autant plus s ils ne disposent pas de système de gestion informatique. En outre, au marché, le client est servi personnellement et peut toujours obtenir l information de manière directe. 2. Unité de mesure dérogatoire pour les produits lessiviels et les articles vendus en très petites quantités de poids ou de masse Le Conseil constate que pour les produits lessiviels, l unité de mesure la plus couramment répandue est le «service». Cette notion de service lessiviel se développe de plus en plus car c est l information qui est la plus appropriée pour le consommateur, surtout lorsqu elle porte sur des produits de concentration variée. Dans ce cas, le prix par kilo ou par litre est trompeur. Le Conseil 3 propose de reprendre la définition avancée par le Parlement européen et le Conseil relatif aux détergents ; Service pour produit de lavage textile : pour les lessivages "classiques", la charge normale de textiles "normalement salis" et, pour les lessives pour textiles délicats, la charge normale de textiles légèrement salis qui peut être lavée en machine avec le contenu d'un emballage, en utilisant de l'eau de dureté moyenne, correspondant à 2,5 millimoles lessiviel CaCO3/l 4 : - Avant de proposer une définition et/ou l'unité de mesure à utiliser pour les pâteux, le Conseil propose d'attendre l'issue des travaux de l'organisation International Métrologie Légal (OIML) ayant pour but de définir ce qui est "pâteux". - Le Conseil estime qu il serait opportun de retenir 100 gr comme unité de mesure pour les épices et les aromates. 3. Révision de la liste des produits alimentaires dispensés et des produits non alimentaires soumis à l'obligation d'indication du prix à l'unité de mesure. Durant les travaux, le Conseil a étudié une proposition de révision, d une part, de la liste des produits alimentaires exemptés et, d autre part, de la liste des produits non alimentaires soumis à l obligation de l indication du prix à l unité de mesure (voir annexe). 3 Art. 1. de l AR du 30 juin 1996 : Pour l'application du présent arrêté, il faut entendre par prix à l'unité de mesure, le prix pour un kilogramme, un litre, un mètre, un mètre carré ou un mètre cube du produit. Après avis du Conseil de la Consommation, les Ministres ayant la Protection des Consommateurs, les Classes moyennes et les Affaires économiques dans leurs attributions peuvent imposer la référence à une autre quantité unique lorsqu'elle est utilisée de façon généralisée et habituelle pour la commercialisation de produits spécifiques. 4 Source : proposition règlement du Parlement européen et du Conseil relatif aux détergents p. 35 8

9 3.1. Produits alimentaires exemptés du prix à l unité de mesure Indication du prix à la pièce Le Conseil marque son accord sur la proposition de rendre possible, pour certains produits alimentaires, l indication du prix «à la pièce» au lieu du prix au kilo, litre, mètre ou d une exemption. Ce serait le cas pour les produits suivants : - œufs ; - fruits et légumes qui sont vendus par unité, par petit plateau ou caissette, par botte, par grappe ; - fromages de moins de 200 gr. qui sont généralement vendus à la pièce ; - fruits de mer vendus à l unité ; - portions individuelles de thé, café, sucre vendus à l unité. Le Conseil propose de renoncer à des listes de produits parce que de telles listes sont d avance condamnées à être dépassées par l évolution du marché et les modifications permanentes de l offre des produits Dérogation de l indication du prix à l unité de mesure Le Conseil n a pas de remarques particulières sur les propositions de modifications et peut dès lors marquer son accord Produits non-alimentaires soumis à l indication du prix à l unité de mesure Le Conseil fait remarquer que la liste positive des produits non alimentaires soumis à l indication du prix à l unité de mesure a été élaborée lors de la discussion qui a mené à l AR du 7 février 2000 après avis du Conseil de la consommation du 3 juin Pour rappel, le Conseil à cette époque, avait fait valoir l argument suivant : «l obligation d indiquer le prix à l unité de mesure n est justifiée que lorsque la comparaison des prix est possible et a un sens compte tenu de la nature des produits et des quantités dans lesquelles ils sont habituellement vendus. Cette information n est pas utile ou est susceptible de créer la confusion lorsque l indication de la quantité n est pas pertinente pour la comparaison des prix ou que des produits différents sont commercialisés sous un même emballage». Cette argumentation est indépendante de l existence ou pas de gammes nominales. D autre part, le Conseil s était attelé à définir le plus clairement possible les produits couverts afin d éviter toute erreur d interprétation. Considérant que l argumentation énoncée ci-dessus est encore d actualité, le Conseil ne demande pas de modification de la liste des produits non alimentaires annexée à l AR du 7 février Les représentants de la production, de la distribution, des classes moyennes et de l agriculture estiment que les modifications proposées reprennent la description des catégories telles que prévues par l arrêté gammes. Or ces descriptions datent de 1982 et ne correspondent plus aujourd hui à la description précise de certaines catégories de produits. De plus, les propositions d ajouts ne sont pas justifiées car : 1. Les déodorants sont des produits vendus sous des formes tellement différentes, (sticks, roll-on, vaporisateurs, spray, etc. )que l indication du prix à l unité de mesure n est pas l élément décisif dans le choix du consommateur. 2. Les produits pour l hygiène buccale peuvent aussi être vendus sous des formes très différentes et peuvent recouvrir des produits très différents, des lotions, des sprays, des chewing-gums, etc. 9

10 3. Les produits pour l hygiène intime font l objet d une gamme très restreinte et sont vendus aussi bien en grande surface qu en pharmacie. Une fois de plus, le prix unitaire ne s impose pas pour faciliter la comparaison. 4. Les produits pour la peau recouvrent des produits de nature très différentes (produits pour le corps, les yeux, le visage, le cou, les pieds, etc), et pour lesquels les circuits de distribution sont très variés (grande surface, distribution sélective, vente directe, vente en pharmacie, vente en instituts de beauté). Dans ce cas, l indication du prix est beaucoup plus importante que l indication du prix à l unité de mesure. 5. Les produits pour laver la vaisselle recouvrent les produits pour laver la vaisselle à la main et les produits pour laver la vaisselle en machine. Ils peuvent non seulement être de concentration différente (comme les produits lessiviels) mais en plus le marché évolue de plus en plus vers des produits 2 en 1 ou 3 en 1. La multitude de type de produits non comparable en terme de performance rend une fois de plus l indication du prix à l unité de mesure non pertinente. Les représentants des organisations de consommateurs tiennent à faire remarquer que leur acceptation du consensus visant à ne pas demander de modification de la présente liste ne signifie pas qu'elles soient d'accord avec les affirmations précédentes. Ces membres estiment au contraire que la proposition de l administration qui entend étendre la liste aux produits pour la peau et l hygiène buccale, aux désodorisants et aux produits pour l hygiène intime ne serait pas sans apporter une certaine cohérence et homogénéité à la liste. Ces représentants constatent, en effet que les arguments avancés par les représentants de la production, de la distribution, des classes moyennes et de l agriculture peuvent également s appliquer aux produits de rasage et aux eaux de toilette. Alors qu il a été décidé d ajouter ces produits à la liste des produits non alimentaires annexée à l AR du 7 février Pour finir, ces représentants soulignent que les efforts de différentiation des produits sur la base de leurs présentations ne peuvent en aucun cas justifier l abandon du prix à l unité de mesure. Les représentants de la production, de la distribution, des classes moyennes et de l agriculture font remarquer qu ils ont toujours été opposés à l indication obligatoire des prix à l unité de mesure aux produits de rasage et aux eaux de toilette. 10

11 ANNEXE Produits visés par l indication du prix à l unité de mesure : Propositions de modifications Pour les denrées alimentaires 1. Indication du prix à la pièce Adoption d un arrêté ministériel pris en application de l article 1 er de l AR du 30/06/1996 qui prévoit que pour certains produits l unité de mesure n est pas le kg ou le litre, mais la pièce. Seraient visés par cette mesure les produits suivants : 1. Les oeufs 2. Fruits et légumes habituellement vendus à l unité : (opportunité de la liste?) Ananas, noix de coco, avocat, kiwi, grenade, kaki, mangue, papaye, lime, tamaille (?), anone, fruit de la passion, courge, potiron, artichauts, brocolis, endive, scarole, salades diverses, céleris divers, concombre, chou-fleur et chou divers, ail, épi de maïs, essences, condiments, aromates et épices frais (non en poudre ou liquides), plantes aromatiques et herbes potagères vendues en plants radis noir, pâtisson 3. Fruits et légumes vendus en ravier, en caissettes, à la botte ou au chapelet lorsque l indication du poids nominal contenu dans le ravier ou la caissette ou du poids de la botte ou du chapelet est indiqué ou figure à proximité immédiate du produit. (opportunité de la liste?) (ceci impliquerait une modification des règles en matière d indication des quantités) Litchis, Fraises Framboises 11

12 Myrtilles Mûres Corbeille de fruits variés Carottes Fenouil Ciboulette Navets Oignons Echalottes Poireaux Cresson et cressonnette Salsifis Asperges Persil Radis Herbes potagères Rhubarbe Salade de Vérone (?) Salade de blé Bettes Ail Betteraves rouges Chandelles de neige (?) Barbe de Capucin (?) 4. Fromages de moins de 200gr habituellement vendus à la pièce (lorsque figure l indication du poids?) 5. Produits de la mer et mollusques habituellement vendus à l unité (opportunité de la liste?) 6. Les portions individuelles de thé, de café et de sucre lorsqu elles sont vendues à l unité. Ces produits seront dispensés d indiquer le prix à l unité de mesure lorsqu ils sont vendus à la pièce, puisque l article 7 de l AR 30/06/1996 dispense de l indication du prix à l unité de mesure lorsqu il est identique au prix de vente. Lorsqu ils sont réunis dans un emballage, l indication du prix à l unité de mesure devra être reprise par référence au prix à la pièce. Ce qui est plus en concordance avec l article 8, 2, c, de l AR «étiquetage» du 13/09/1999 qui dispense de l indication de la quantité nominale si le nombre de pièces peut être vu clairement et facilement compté ou qu il est indiqué sur l emballage. 2. Dérogations à l indication du prix à l unité de mesure Modification de l article 11 de l AR du 30/06/1996 (dérogation à l obligation d indiquer le PUM mais pas du prix de vente) : Abrogation du point 3 (plus de référence à l annexe III de l AR du 26/01/1976) Remplacement du point 5 : «les portions individuelles de friandises, de biscuits, de snacks, et de glaces ainsi que les sandwichs garnis préemballés lorsque ces produits sont offerts en vente à la pièce en vue de leur consommation immédiate et entière ; Ajout des points suivants : 7. Les plats préparés préemballés vendus à l unité ; 8. Les pains lorsque l indication de leur poids figure sur le préemballage ou à proximité immédiate lorsqu il n est pas préemballé, ainsi que les pâtisseries fraîches et autres produits de la boulangerie. 12

13 Pour le non alimentaire Remplacement de l annexe par une nouvelle liste. Sont visés par l indication du prix à l unité de mesure les produits suivants : A. Produits domestiques de consommation courante Produits d hygiène et de beauté 1. Savons de toilette 2. Dentifrices 3. Produits de bain et de douche 4. Shampoings et après-shampoings, lotions capillaires, à l exclusion des produits de coloration et de décoloration des cheveux 5. Produits de rasage (crèmes, lotions, mousses) 6. Produits pour la peau et l hygiène buccale 7. Eaux de toilette à l exception des extraits de parfum 8. Déodorisants et produits pour l hygiène intime Produits d entretien ménagers 1. Produits à récurer, détartrer, déboucher, décaper, détacher 2. Produit d entretien des sols, tapis, vinyl 3. Produits lavage et de prélavage du linge et de la vaisselle B. Matériaux de construction, de bricolage et de jardinage 1. Les ciments, les chaux, les plâtres et les sables 2. Les tissus et les panneaux d isolation 3. Les produits chimiques de base, notamment les colorants, les solvants et les acides 4. Les peintures, les vernis et les diluants à l exclusion des couleurs fines pour l art et l enseignement 5. Les colles à l exclusion des colles en tube 6. Les engrais, amendements de sols et substrats de culture (nouvelle terminologie ) 7. Les semences à l exclusion des semences conditionnées par emballage de moins de 100 grammes 8. Les produits phytosanitaires 9. Les câbles 10. Les verres plats et les produits assimilés C. Autres produits 1. Les lubrifiants et les antigels 2. Les films alimentaires en aluminium, en plastique ou en papier 13

14 MEMBRES ET EXPERTS AYANT ASSISTE A L'ASSEMBLEE PLENIERE DU CONSEIL DE LA CONSOMMATION DU 27 JANVIER 2004 PRESIDEE PAR MONSIEUR J.-P. DUCART 1. Membres représentant les organisations de consommateurs : Effectifs: Madame DE ROECK-ISEBAERT (De Gezinsbond) Monsieur DUCART (Test-Achats) Monsieur DE MUELENAERE (C.G.S.L.B.) Monsieur VAN DE PUTTE (ARCOFIN) suppléants: Madame APPELMANS (V.S.Z.) Madame LEROY (F.P.S.) Monsieur QUINTARD (F.G.T.B.) 2. Membres représentant les organisations de la production: Effectifs: Madame SWEERTS (A.B.B.) Monsieur FELIX (U.P.C.) Monsieur LAMBRECHT (F.E.B.) Monsieur van OLDENEEL (U.P.E.A.) Monsieur VANDEPLAS (FEDICHEM) Suppléants: Madame VAN OVERSTRAETEN (AGORIA) Monsieur DASTOT (Conseil de la Publicité) Monsieur DUBOIS (F.E.B.) 3. Membres représentant les organisations de la distribution: Effectif : Madame PINT (FEDIS) 4. Membres représentant les organisations des classes moyennes: Effectifs: Madame VAN CAMPENHOUT (UNIZO) Monsieur RIZZO (U.C.M.) 5. Membres représentant les organisations de l agriculture : Effectif: Monsieur GOTZEN (De Boerenbond) 6. Observateurs : Madame STRUYVEN (F.E.B.) Monsieur VANDERCAMMEN (C.R.I.O.C.) 14

CONSEIL DE LA CONSOMMATION AVIS

CONSEIL DE LA CONSOMMATION AVIS CC 317 CONSEIL DE LA CONSOMMATION AVIS Sur la publicité et le marketing bancaire à l'égard des jeunes Bruxelles, 28 avril 2004 RESUME AVIS 317 Avis sur la problématique de la publicité et du marketing

Plus en détail

CONSEIL DE LA CONSOMMATION AVIS

CONSEIL DE LA CONSOMMATION AVIS CC 381 CONSEIL DE LA CONSOMMATION AVIS sur un projet d arrêté royal modifiant l arrêté royal du 28 novembre 1969 en vue de permettre l utilisation de titres-repas électroniques Bruxelles, 11 juin 2007

Plus en détail

CONSEIL DE LA CONSOMMATION AVIS

CONSEIL DE LA CONSOMMATION AVIS CC- 441 CONSEIL DE LA CONSOMMATION AVIS Sur une proposition de loi modifiant la loi du 6 avril 2010 relative aux pratiques du marché et à la protection du consommateur (Doc 53-0831/001 à 004) Bruxelles,

Plus en détail

CONSEIL DE LA CONSOMMATION AVIS

CONSEIL DE LA CONSOMMATION AVIS C.C. 267 CONSEIL DE LA CONSOMMATION AVIS Sur le service bancaire de base (évaluation de la charte concernant un service bancaire de base et initiatives législatives en la matière). Bruxelles, 28 mars 2002

Plus en détail

60 produits solidaires pour les familles

60 produits solidaires pour les familles 60 produits solidaires pour les familles Une mobilisation de tous les acteurs Éleveurs Maraîchers Produits frais Produits secs GMS Conseil Général agriculteurs Droguerie Enseignes Transformateurs Manufacturiers

Plus en détail

Fruits et légumes frais

Fruits et légumes frais Fruits et légumes frais Produits en vrac Guide de poche Service alimentaire Gordon Histoire de Markon Frais. Santé. Délicieux. Depuis plus de 25 ans, Markon et nos compagnies membres offrent des fruits

Plus en détail

Les produits solidaires, 100 jours pour convaincre!

Les produits solidaires, 100 jours pour convaincre! Juin 2012 Les produits solidaires, 100 jours pour convaincre! Contexte et historique de la démarche La Réunion a connu au mois de février des tensions sociales dont la cause la plus immédiate résultait

Plus en détail

CONSEIL DE LA CONSOMMATION AVIS. sur l'organisation du nouveau marché européen des moyens de paiement (Single euro payments area - SEPA)

CONSEIL DE LA CONSOMMATION AVIS. sur l'organisation du nouveau marché européen des moyens de paiement (Single euro payments area - SEPA) CC 382 CONSEIL DE LA CONSOMMATION AVIS sur l'organisation du nouveau marché européen des moyens de paiement (Single euro payments area - SEPA) Bruxelles, 3 mai 2007 RESUME Le Conseil s'est penché sur les

Plus en détail

Fabriquer ses produits ménagers naturels. Semaine Européenne de la Réduction des Déchets 2013

Fabriquer ses produits ménagers naturels. Semaine Européenne de la Réduction des Déchets 2013 Fabriquer ses produits ménagers naturels Semaine Européenne de la Réduction des Déchets 2013 Fabriquer ses produits ménagers naturels Programme Intérêt de fabriquer ses produits Les principaux ingrédients

Plus en détail

1001-B Semoir de précision pour jardin EarthWay Assemblage et fonctionnement

1001-B Semoir de précision pour jardin EarthWay Assemblage et fonctionnement 1001-B Semoir de précision pour jardin EarthWay Assemblage et fonctionnement Félicitation à l occasion de votre achat de ce nouveau semoir EarthWay. Veillez nous contacter si vous avez de la difficulté

Plus en détail

en glacerie TABLEAUX D UTILISATION DES PURÉES DE FRUITS ET DE LÉGUMES SURGELÉES 100 % goût zéro compromis, my-vb.com

en glacerie TABLEAUX D UTILISATION DES PURÉES DE FRUITS ET DE LÉGUMES SURGELÉES 100 % goût zéro compromis, my-vb.com en glacerie TABLEAUX D UTILISATION DES PURÉES DE FRUITS ET DE LÉGUMES SURGELÉES zéro compromis, 100 % goût my-vb.com SORBETS (en grammes) Recettes réalisées par O. Christien Chef pâtissier, E. Ryon MOF

Plus en détail

Rincez à l'eau froide. Ensuite, lavez immédiatement avec une lessive.

Rincez à l'eau froide. Ensuite, lavez immédiatement avec une lessive. Betterave rouge Rincez à l'eau froide. Ensuite, lavez immédiatement avec une lessive. Bière Boue/Terre Rincez à l'eau froide puis procédez à un lavage normal avec une lessive. Epongez la tache avec du

Plus en détail

CONSEILS UTILES: LISEZ TOUTES LES INSTRUCTIONS AVANT D ASSEMBLER

CONSEILS UTILES: LISEZ TOUTES LES INSTRUCTIONS AVANT D ASSEMBLER MODEL 1001-B 1001-B SEMOIR DE PRÉCISION POUR JARDIN ASSEMBLAGE ET FONCTIONNEMENT Félicitations à l occasion de votre achat de ce nouveau semoir d EarthWay. Veuillez nous contacter si vous avez des difficultés

Plus en détail

Pistes pour aborder la Semaine du Goût à l école

Pistes pour aborder la Semaine du Goût à l école Pistes pour aborder la Semaine du Goût à l école PISTE 1. LE SENS DU TOUCHER Destinataires Type d activité Disciplines Cycle ou degrés concernés Durée Objectifs Classes; groupes Jeux de reconnaissance

Plus en détail

Produits pour hygiène en cuisine nettoyage de bâtiments détergents pour textiles

Produits pour hygiène en cuisine nettoyage de bâtiments détergents pour textiles Produits vaisselle HalaGastro F11 Détergent pour lave-vaisselle avec chlore actif. Concentration d'utilisation: 0.3 0.5%, ph à 1.0%: 11.7 10600410-0002 10600410-0004 10600410-0007 Bidon 12 kg Bidon 25

Plus en détail

Halte au suremballage!

Halte au suremballage! Halte au suremballage! ou comment faire maigrir sa poubelle... Halte au suremballage! ou comment faire maigrir sa poubelle pages 1 & 2 page 3 page 4 page 5 page 6 page 7 page 8 page 9 page 10 page 11 page

Plus en détail

Contre les Insectes en Général

Contre les Insectes en Général les Insectes en Général Nettoyant, désodorisant Le Bicarbonate De Soude a bien des vertus! Derrière sa poudre blanche, fine et sans odeur se cache un puissant insecticide biodégradable et non toxique pour

Plus en détail

Circulaire du 7 juillet 2009

Circulaire du 7 juillet 2009 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l économie, de l industrie et de l emploi NOR : ECEC0907743C Circulaire du 7 juillet 2009 concernant les conditions d application de l arrêté du 31 décembre 2008 relatif

Plus en détail

L 114/8 Journal officiel de l Union européenne 26.4.2012

L 114/8 Journal officiel de l Union européenne 26.4.2012 L 114/8 Journal officiel de l Union européenne 26.4.2012 RÈGLEMENT (UE) N o 360/2012 DE LA COMMISSION du 25 avril 2012 relatif à l application des articles 107 et 108 du traité sur le fonctionnement de

Plus en détail

Planification des superficies de légumes nécessaires

Planification des superficies de légumes nécessaires MODULE 3 CHAPITRE 3 Planification des superficies de légumes nécessaires SOMMAIRE 1. Rendements 1 1.1 Rendements moyens des légumes 2 1.2 Évaluation des rendements 4 2. Choix de l espacement entre les

Plus en détail

Avis aux commettants et entrepreneurs Secteur du gardiennage

Avis aux commettants et entrepreneurs Secteur du gardiennage Avis aux commettants et entrepreneurs Secteur du gardiennage Introduction Les dispositions des articles 402 et 403 du Code des impôts sur les revenus 1992 (ci-après : CIR 92) ont été modifiées par la loi-programme

Plus en détail

Fiches conseils «Je fabrique mes produits maison»

Fiches conseils «Je fabrique mes produits maison» Fiches conseils «Je fabrique mes produits maison» Fiche n 1 : Les produits de base p 1 ~ 6 Fiche n 2 : Les produits pour la cuisine p 7 ~ 8 Fiche n 3 : Les produits pour la salle de bains p 9 ~ 14 Fiche

Plus en détail

7,50 /kg. 5,55 /kg -18 % COCO PAGODE LIGHT. 8,45 /kg. 6,15 /kg -26 % -26 % 100 * et plus BANANES FIGUE ET FIGUE-POMME DU CAMEROUN.

7,50 /kg. 5,55 /kg -18 % COCO PAGODE LIGHT. 8,45 /kg. 6,15 /kg -26 % -26 % 100 * et plus BANANES FIGUE ET FIGUE-POMME DU CAMEROUN. 85 FRANCE & BELGIQUE Commandes du mercredi 25/02 au mercredi 04/03/15 Livraisons du mardi 03/03 au vendredi 06/03/15 Cadeau-surprise offert dans toutes les commandes de 100 * et plus *hors frais de port

Plus en détail

Diamants Laver avec du vinaigre blanc.

Diamants Laver avec du vinaigre blanc. Diamants Laver avec du vinaigre blanc. Argenterie Tremper dans un plat en vitre recouvert de papier aluminium et contenant de l'eau bouillante, du sel et du bicarbonate de soude. Verres de lunettes Nettoyer

Plus en détail

Nos Equipes Rigoureuses et Chaleureuses sauront vous donner satisfaction à chaque étape de l Elaboration de Votre Réception

Nos Equipes Rigoureuses et Chaleureuses sauront vous donner satisfaction à chaque étape de l Elaboration de Votre Réception Del Forno Traiteur 227 Route de Montmerle Saint Georges de Reneins Tel : 04 74 67 61 73 Fax : 04 74 67 60 68 Madame, Monsieur Nous vous remercions de votre demande de Buffet auprès de Notre Société. Nous

Plus en détail

avis CCE 2013-1270 La mise sur le marché des substances manufacturées à l état nanoparticulaire

avis CCE 2013-1270 La mise sur le marché des substances manufacturées à l état nanoparticulaire avis CCE 2013-1270 La mise sur le marché des substances manufacturées à l état nanoparticulaire CCE 2013-1270 DEF Avis concernant un projet d arrêté royal relatif à la mise sur le marché des substances

Plus en détail

Information destinée aux patients et aux proches. Comment s alimenter après une diverticulite? Conseils nutritionnels pour le retour à domicile

Information destinée aux patients et aux proches. Comment s alimenter après une diverticulite? Conseils nutritionnels pour le retour à domicile Information destinée aux patients et aux proches Comment s alimenter après une diverticulite? Conseils nutritionnels pour le retour à domicile Qu est-ce que la diverticulite? Cette brochure vous informe

Plus en détail

Menu 2015. MBA Recherche

Menu 2015. MBA Recherche 1 Repas à 22$ 2 Repas léger Potage du moment + Quiche individuelle et petite verte + Choix de : florentine, tomates séchées et chèvre ou Lorraine + Dessert du jour ou salade de fruits Repas de pâtes Salade

Plus en détail

LE CONSEIL DES COMMUNAUTÉS EUROPÉENNES,

LE CONSEIL DES COMMUNAUTÉS EUROPÉENNES, DIRECTIVE DU CONSEIL du 22 février 1990 modifiant la directive 87/102/CEE relative au rapprochement des dispositions législatives, réglementaires et administratives des États membres en matière de crédit

Plus en détail

FOURNITURE LIVRAISON DE PRODUITS D ENTRETIEN ET D ARTICLES DE NETTOYAGE POUR LA VILLE DE CYSOING

FOURNITURE LIVRAISON DE PRODUITS D ENTRETIEN ET D ARTICLES DE NETTOYAGE POUR LA VILLE DE CYSOING Ville de Cysoing Hôtel de Ville 2, place de la République BP 67 59830 CYSOING Tél : 03.20.79.44.70. Fax : 03.20.79.57.59. N Cys FOURNITURE LIVRAISON DE PRODUITS D ENTRETIEN ET D ARTICLES DE NETTOYAGE POUR

Plus en détail

A V I S N 1.680 ---------------------- Séance du mercredi 1er avril 2009 -------------------------------------------

A V I S N 1.680 ---------------------- Séance du mercredi 1er avril 2009 ------------------------------------------- A V I S N 1.680 ---------------------- Séance du mercredi 1er avril 2009 ------------------------------------------- Utilisation de titres-repas électroniques : projet d'arrêté royal adapté modifiant l'article

Plus en détail

pumpkin crumble Bons petits plus des fruits confits Potiron / Bigarreau / Pavot 1 > Pâte à Cake 2 > Base Crumble 3 > Cake potiron fruits confits

pumpkin crumble Bons petits plus des fruits confits Potiron / Bigarreau / Pavot 1 > Pâte à Cake 2 > Base Crumble 3 > Cake potiron fruits confits Cake potiron fruits confits - (28 pièces) > Base cake neutre 200 gr > Purée potiron 75 gr > Cubes de pastèque rouge confit 70 gr > Bigarreaux rouges confits 50 gr > Quatre épices-gingembre 1.5 gr > Pavot

Plus en détail

Notre ligne de produits lessive et nettoyants de Suisse

Notre ligne de produits lessive et nettoyants de Suisse Notre ligne de produits lessive et nettoyants de Suisse Page Lessives poudres 4 Lessives liquides 5 Lessives spéciales 6 7 Aides au lavage 8 Adoucissants 9 Nettoyants ménagers 10 11 Nettoyants vaisselle

Plus en détail

RÈGLES D'HYGIÈNE EN CUISINE

RÈGLES D'HYGIÈNE EN CUISINE RÈGLES D'HYGIÈNE EN CUISINE Directives pour: Economes Cuistots Personnel auxiliaire cuisine Personnel auxiliaire d'entretien par Luk Wullaert Federaal Agentschap voor de Veiligheid van de Voedselketen

Plus en détail

SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL

SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL Références réglementaires : Règlement N 178/2002 établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire

Plus en détail

Produits nettoyants. Détergents en poudre. Savons à mains DÉTERGENT EN POUDRE POUR LAVE-VAISSELLE

Produits nettoyants. Détergents en poudre. Savons à mains DÉTERGENT EN POUDRE POUR LAVE-VAISSELLE Détergents en poudre POUR LAVE-VAISSELLE POUR LA LESSIVE Code Colabor : 4289 4291 13394 18 kg Ce détergent en poudre à mousse contrôlée pour lave-vaisselle est recommandé pour les lave-vaisselle automatiques

Plus en détail

COMMUNICATION DE LA COMMISSION RELATIVE A LA METHODOLOGIE D ANALYSE DES AIDES D ETAT LIEES A DES COUTS ECHOUES

COMMUNICATION DE LA COMMISSION RELATIVE A LA METHODOLOGIE D ANALYSE DES AIDES D ETAT LIEES A DES COUTS ECHOUES COMMUNICATION DE LA COMMISSION RELATIVE A LA METHODOLOGIE D ANALYSE DES AIDES D ETAT LIEES A DES COUTS ECHOUES 1. INTRODUCTION La directive 96/92/CE du Parlement européen et du Conseil du 19 décembre 1996

Plus en détail

1. Que signifient les symboles dans le tableau de dosage? Qu est-ce qu un tableau de dosage?

1. Que signifient les symboles dans le tableau de dosage? Qu est-ce qu un tableau de dosage? FAQ Doser 1. Que signifient les symboles dans le tableau de dosage? Qu est-ce qu un tableau de dosage? Le tableau de dosage qui figure sur chaque emballage de Persil permet de trouver très facilement la

Plus en détail

A V I S N 1.593 ----------------------- Séance du mardi 30 janvier 2007 -------------------------------------------

A V I S N 1.593 ----------------------- Séance du mardi 30 janvier 2007 ------------------------------------------- A V I S N 1.593 ----------------------- Séance du mardi 30 janvier 2007 ------------------------------------------- Monitoring et contrôle de l'occupation de travailleurs étrangers : - projet d'arrêté

Plus en détail

Allégations relatives à la teneur nutritive

Allégations relatives à la teneur nutritive Allégations relatives à la teneur nutritive Mots utilisés dans les allégations relatives à la teneur nutritive Ce que le mot signifie Exemples Sans Faible Réduit Source de Léger Une quantité insignifiante

Plus en détail

ENQUETE «BUDGET DE FAMILLE» 2005-2006

ENQUETE «BUDGET DE FAMILLE» 2005-2006 ENQUETE «BUDGET DE FAMILLE» 2005-2006 Carnet de comptes individuel COLLECTE Identifiant du ménage :... Région de programme :... RGES NUMFA CLE LE BS RG Département :... DEP Numéro de vague :... Sous-Echantillon

Plus en détail

données à caractère personnel (ci-après la "LVP"), en particulier l'article 29 ;

données à caractère personnel (ci-après la LVP), en particulier l'article 29 ; 1/9 Avis n 22/2014 du 19 mars 2014 Objet : demande d'avis concernant un projet d'arrêté royal réglementant les traitements par les médicaments de substitution (CO-A-2014-006) La Commission de la protection

Plus en détail

Livret de l évaluateur : Calcul niveau 2

Livret de l évaluateur : Calcul niveau 2 Livret de l évaluateur : Calcul niveau 2 Ce livret de l évaluateur se divise en deux sections. La première section comprend : des instructions à l intention de l évaluateur sur la façon d administrer le

Plus en détail

FOURNITURES DE PATISSERIE ANNEE 2008

FOURNITURES DE PATISSERIE ANNEE 2008 FOURNITURES DE PATISSERIE ANNEE 2008 Fournitures classées selon les lots suivants * Lot n 1 : MATIERES PREMIERES * Lot n 2 : CARTONNAGE Lot n 1 : MATIERES PREMIERES Designation de l'article conditionnement

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL DES DOUANES ET DES IMPOTS NOTE COMMUNE N 24/2007 R E S U M E. Aménagement des taux de la taxe sur la valeur ajoutée

BULLETIN OFFICIEL DES DOUANES ET DES IMPOTS NOTE COMMUNE N 24/2007 R E S U M E. Aménagement des taux de la taxe sur la valeur ajoutée BULLETIN OFFICIEL DES DOUANES ET DES IMPOTS DIFFUSION GENERALE Documents Administratifs N 2007/05/18 0.1.0.0.1.2. (IMPOTS) Texte n DGI 2007/35 NOTE COMMUNE N 24/2007 O B J E T : Commentaire des dispositions

Plus en détail

Bibliothèque Royale Albert 1er

Bibliothèque Royale Albert 1er Bibliothèque Royale Albert 1er Description du projet Ce projet a pour but de valoriser des espaces plats et inutilisés (toit, terrasse ou autre) par la création de potagers écologique (sans pesticide,

Plus en détail

MODALITÉS DE TRANSFERT

MODALITÉS DE TRANSFERT 14 novembre 2003. ARRÊTÉ ROYAL portant exécution de la loi du 28 avril 2003 relative aux pensions complémentaires et au régime fiscal de celles-ci et de certains avantages complémentaires en matière de

Plus en détail

A B C Eau Eau savonneuse Eau + détergent

A B C Eau Eau savonneuse Eau + détergent 1L : Physique et chimie dans la cuisine Chapitre.3 : Chimie et lavage I. Les savons et les détergents synthétiques 1. Propriétés détergentes des savons Le savon est un détergent naturel, les détergents

Plus en détail

MODE D'EMPLOI DE LA CALCULATRICE POUR LES COURTS SÉJOURS DANS L'ESPACE SCHENGEN

MODE D'EMPLOI DE LA CALCULATRICE POUR LES COURTS SÉJOURS DANS L'ESPACE SCHENGEN MODE D'EMPLOI DE LA CALCULATRICE POUR LES COURTS SÉJOURS DANS L'ESPACE SCHENGEN 1. Introduction Le règlement (UE) n 610/2013 du 26 juin 2013 a modifié la convention d'application de l'accord de Schengen,

Plus en détail

S O LVA N T S UN 1897 EMBALLAGES CONDITIONNEMENT SOLVANTS

S O LVA N T S UN 1897 EMBALLAGES CONDITIONNEMENT SOLVANTS S O LVA N T S UN 1897 EMBALLAGES Les produits sont vendus en emballages perdus ou consignés. La reprise des emballages consignés ne pourra être réalisée que si les emballages sont propres, non altérés

Plus en détail

68 bis rue Anatole France CS 10068 38030 Grenoble cedex 2 Tel : 04-76-00-31-80

68 bis rue Anatole France CS 10068 38030 Grenoble cedex 2 Tel : 04-76-00-31-80 CGI-TAG13-SLS1307-IS- 10-2014 Territoire de l Agglomération Grenobloise Service Local de Solidarité Grenoble Sud-Ouest 68 bis rue Anatole France CS 10068 38030 Grenoble cedex 2 Tel : 04-76-00-31-80 Recettes

Plus en détail

ENTRETIEN DES SOLS VITRIFIÉS

ENTRETIEN DES SOLS VITRIFIÉS ENTRETIEN DES SOLS VITRIFIÉS Le mortier de finition Ad Lucem est un revêtement poreux à base de ciment. Le vitrificateur professionnel Ad Lucem forme un film très résistant qui le protège des tâches, des

Plus en détail

Livre de Recettes *** Tracy Allesina

Livre de Recettes *** Tracy Allesina Livre de Recettes Tracy Allesina Entremets Sablé Noisettes, crémeux à la passion Pâte sablée à la noisettes - 250 g de farine - 100 g de sucre - 50 g de poudre de noisettes - 125 g de beurre - 1 oeuf -

Plus en détail

Activités de mesures sur la masse à l aide d unités de mesure conventionnelles. L unité de mesure la plus appropriée

Activités de mesures sur la masse à l aide d unités de mesure conventionnelles. L unité de mesure la plus appropriée Activités de mesures sur la masse à l aide d unités de mesure conventionnelles L unité de mesure la plus appropriée Dans cette activité, l élève choisit l unité de mesure la plus appropriée pour déterminer

Plus en détail

Compléments alimentaires et cosmétiques Aspects légaux de l étiquetage

Compléments alimentaires et cosmétiques Aspects légaux de l étiquetage Compléments alimentaires et cosmétiques Aspects légaux de l étiquetage Roos De Brabandere VITASANA 2009 Contenu Compléments alimentaires - quelle législation est-elle d application? - exigences légales

Plus en détail

Paquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires

Paquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires Paquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires Applicable au 1 er janvier 2006 Objectif : Etablit les règles générales en matière d hygiène, est directement applicable

Plus en détail

gamme de nettoyants industriels adaptés!

gamme de nettoyants industriels adaptés! gamme de nettoyants industriels adaptés! Une gamme de nettoyants industriels adaptés! Une buzil solutions de propreté L entreprise propose à ses clients une offre «tout compris» en matière de solutions

Plus en détail

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS PREFET DES PYRENEES-ATLANTIQUES Direction Départementale de la Protection des Populations des Pyrénées-Altantiques SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS Quelques règles à respecter, secteur de la remise directe

Plus en détail

Commission du marché intérieur et de la protection du consommateur DOCUMENT DE TRAVAIL

Commission du marché intérieur et de la protection du consommateur DOCUMENT DE TRAVAIL PARLEMENT EUROPÉEN 2009-2014 Commission du marché intérieur et de la protection du consommateur 3.3.2010 DOCUMENT DE TRAVAIL sur la proposition de directive relative aux droits des consommateurs - COM(2008)614/3-2008/0196(COD)

Plus en détail

Cas «LES CUISINES DU PERCHE»

Cas «LES CUISINES DU PERCHE» Cas «LES CUISINES DU PERCHE» Les «Cuisines du Perche» ont pour activité la fabrication de plats cuisinés. Le restaurant souhaite améliorer sa base de données afin de la rendre plus performante. Seule l

Plus en détail

Points clefs pour l'adaptation du Chauffe-Eau Solaire Bon Marché (CESBM) dans d'autres pays

Points clefs pour l'adaptation du Chauffe-Eau Solaire Bon Marché (CESBM) dans d'autres pays Points clefs pour l'adaptation du Chauffe-Eau Solaire Bon Marché (CESBM) dans d'autres pays Photo 1 : Modèle du Chauffe-Eau Solaire Bon Marché : Capteurs, réservoir et douche. Elaboré par la Sociedade

Plus en détail

CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES

CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES Compétence du socle : Compétence 6 : Les compétences sociales et civiques. Contribution attendue : Utiliser un produit chimique

Plus en détail

CONSEIL SUPERIEUR DES INDEPENDANTS ET DES PME

CONSEIL SUPERIEUR DES INDEPENDANTS ET DES PME CONSEIL SUPERIEUR DES INDEPENDANTS ET DES PME F PRAT COM - compétence territoriale A2 Bruxelles, le 26 mai 2011 MH/AB/JP A V I S sur UNE PROPOSITION DE LOI MODIFIANT LA LOI DU 6 AVRIL 2010 RELATIVE AUX

Plus en détail

Comment utilisons-nous notre argent?

Comment utilisons-nous notre argent? Comment utilisons-nous notre argent? L'alimentation et le logement constituent les deux dépenses les plus importantes des ménages antillo-guyanais. C'est pour leur logement que les ménages dépensent le

Plus en détail

EPREUVE E71 BTSA Technico commercial Champs professionnel : produits alimentaires et boissons

EPREUVE E71 BTSA Technico commercial Champs professionnel : produits alimentaires et boissons EPREUVE E71 BTSA Technico commercial Champs professionnel : produits alimentaires et boissons Cas Florette Durée de préparation : 1 h 25 Durée de passage 30 min Coefficient 6 Session Juin 2013 sujet SITUATION

Plus en détail

Entreprises. Les produits. Les commandes peuvent être passées jusqu à 48heures à l avance (selon la qualité du produit)

Entreprises. Les produits. Les commandes peuvent être passées jusqu à 48heures à l avance (selon la qualité du produit) Entreprises Comment ça fonctionne? Nous pouvons livrer des petits déjeuners, déjeuner et autres pâtisseries, fours salés ou fours sucrés. Si vous souhaitez passer commande ou faire une demande de devis,

Plus en détail

Vivons au Potager UN CAPITAL DE VITALITÉ POUR TOUTE LA FAMILLE POUR UNE MEILLEURE QUALITÉ DE VIE

Vivons au Potager UN CAPITAL DE VITALITÉ POUR TOUTE LA FAMILLE POUR UNE MEILLEURE QUALITÉ DE VIE POUR UNE MEILLEURE QUALITÉ DE VIE Vivons au Potager UN CAPITAL DE VITALITÉ POUR TOUTE LA FAMILLE BIEN CONNAÎTRE LES LÉGUMES SANTÉ - Les vitamines - Les minéraux - Les fibres COMMENT RÉCOLTER DES LÉGUMES

Plus en détail

Informations produit

Informations produit Informations produit Ce document légal doit être conservé en magasin et mis à la disposition des clients ou représentants chargés de faire respecter la loi sur demande. Version 8 mars 2015 60616 Gâteau

Plus en détail

Consommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle. Information sur le sodium alimentaire. www.reductionsodium.ca

Consommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle. Information sur le sodium alimentaire. www.reductionsodium.ca Consommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle Information sur le sodium alimentaire www.reductionsodium.ca Contact Jocelyne Bellerive, MA Coordonnatrice/Éducatrice Programme réduction

Plus en détail

OBJET : Utilisation des données contenues dans les annuaires téléphoniques.

OBJET : Utilisation des données contenues dans les annuaires téléphoniques. RECOMMANDATION N 01 / 1999 du 23 juin 1999 N. Réf. : 10 / IP / 1998 / 389 / 27 / ACL OBJET : Utilisation des données contenues dans les annuaires téléphoniques. La Commission de la protection de la vie

Plus en détail

COMMISSION ANIMATION

COMMISSION ANIMATION COMMISSION ANIMATION COMPTE RENDU RÉUNION DU 3 JUILLET 2012 Présents : Mesdames C Euvrard, M Lacroix, A Hudeley, S Cordin-Frualdo, Messieurs JC Chaumet, P Damien, M Gerbaud Ordre du jour : Festivités du

Plus en détail

Etablissement et dépôt des comptes consolidés et du rapport de gestion consolidé

Etablissement et dépôt des comptes consolidés et du rapport de gestion consolidé Département Informations micro-économiques Service Centrale des bilans boulevard de Berlaimont 14 - BE-1000 Bruxelles tél. 02 221 30 01 - fax 02 221 32 66 e-mail: centraledesbilans@nbb.be - site Internet:

Plus en détail

CONSEIL DE LA CONSOMMATION AVIS

CONSEIL DE LA CONSOMMATION AVIS CC 370 CONSEIL DE LA CONSOMMATION AVIS relatif à l avant-projet d AR modifiant l AR du 7 septembre 2003 portant certaines mesures d exécution de la loi du 24 mars 2003 instaurant un service bancaire de

Plus en détail

VERRE DECORATIF AGC POUR APPLICATIONS INTERIEURES GUIDE DE NETTOYAGE ET D ENTRETIEN

VERRE DECORATIF AGC POUR APPLICATIONS INTERIEURES GUIDE DE NETTOYAGE ET D ENTRETIEN VERRE DECORATIF AGC POUR APPLICATIONS INTERIEURES GUIDE DE NETTOYAGE ET D ENTRETIEN VERSION 2.0 MAI 2015 Cette version du guide annule et remplace toutes les versions précédentes. Consultez régulièrement

Plus en détail

F REGL PROF-Dispositions transitoires A 06 Bruxelles, 18.12.2007 MH/BL/JP A V I S. sur le

F REGL PROF-Dispositions transitoires A 06 Bruxelles, 18.12.2007 MH/BL/JP A V I S. sur le F REGL PROF-Dispositions transitoires A 06 Bruxelles, 18.12.2007 MH/BL/JP A V I S sur le PROJET D ARRETE ROYAL MODIFIANT L ARRETE ROYAL DU 21 DECEMBRE 2006 RELATIF A LA COMPETENCE PROFESSIONNELLE POUR

Plus en détail

CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE. Bruxelles, le 30 mars 2009 (OR. en) 7522/09 Dossier interinstitutionnel: 2009/0020 (CNS) VISA 96 AMLAT 28

CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE. Bruxelles, le 30 mars 2009 (OR. en) 7522/09 Dossier interinstitutionnel: 2009/0020 (CNS) VISA 96 AMLAT 28 CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE Bruxelles, le 30 mars 2009 (OR. en) 7522/09 Dossier interinstitutionnel: 2009/0020 (CNS) VISA 96 AMLAT 28 ACTES LÉGISLATIFS ET AUTRES INSTRUMENTS Objet: Décision du Conseil

Plus en détail

TRADUCTION EXTÉRIEURE NON RÉVISÉE

TRADUCTION EXTÉRIEURE NON RÉVISÉE ARTICLE 29 Groupe de travail sur la protection des données TRADUCTION EXTÉRIEURE NON RÉVISÉE 11601/FR WP 90 Avis 5/2004 portant sur les communications de prospection directe non sollicitées selon l'article

Plus en détail

L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les

L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les deuxièmes plus grands consommateurs d eau potable, juste

Plus en détail

4 semaines de menus équilibrés pour l'été 1

4 semaines de menus équilibrés pour l'été 1 4 semaines de menus équilibrés pour l'été Béatrice CARRAZ Diététicienne 4 semaines de menus équilibrés pour l'été 1 POURQUOI DES MENUS Dans ma pratique quotidienne de diététicienne, j'observe souvent que

Plus en détail

REGLES D ATTRIBUTION ET DE SUIVI DE LA CERTIFICATION AMIANTE 1552

REGLES D ATTRIBUTION ET DE SUIVI DE LA CERTIFICATION AMIANTE 1552 REGLES D ATTRIBUTION ET DE SUIVI DE LA CERTIFICATION AMIANTE 1552 Date d application : 4 février 2013 DOC-PC 024 version 02 1/13 SOMMAIRE PAGES 1 OBJET 3 2 TERMINOLOGIE 3 et 4 3 DOCUMENTS DE REFERENCE

Plus en détail

Les Fiches hebdomadaires de Copropriété-eJuris.be

Les Fiches hebdomadaires de Copropriété-eJuris.be Fiche : Nouvelles Technologies Portée : L installation de caméras a toujours été perçue comme une atteinte à la liberté, et les dernières études réalisées ne démontrent pas une réelle efficacité quant

Plus en détail

SERRICULTURE MARAÎCHÈRE BIOLOGIQUE QUE SE PASSE-T-IL DANS LE SOL? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome LE SOL IDÉAL?! Les livres de pédologie parlent souvent en ces termes : 45% de matières minérales; 5% de matière

Plus en détail

E-commerce : l'interdiction de vente en ligne de produits Pierre Fabre viole la libre concurrence

E-commerce : l'interdiction de vente en ligne de produits Pierre Fabre viole la libre concurrence E-commerce : l'interdiction de vente en ligne de produits Pierre Fabre viole la libre concurrence Article juridique publié le 14/10/2011, vu 3780 fois, Auteur : MAITRE ANTHONY BEM J'envisagerai ci-après

Plus en détail

de la commune organisatrice ou bénéficiaire, ci-après dénommée «société de transports en commun bénéficiaire». Par dérogation aux dispositions de

de la commune organisatrice ou bénéficiaire, ci-après dénommée «société de transports en commun bénéficiaire». Par dérogation aux dispositions de 15 MAI 2007. - Loi relative à la création de la fonction de gardien de la paix, à la création du service des gardiens de la paix et à la modification de l'article 119bis de la nouvelle loi communale (1)

Plus en détail

Choix du support. 1. Factice 2. à l anglaise. 3. Tradition étage

Choix du support. 1. Factice 2. à l anglaise. 3. Tradition étage Mariage Tourtes 2 Choix du support 3 1. Factice 2. à l anglaise boîtes en plastique vides (l une sur l autre) dernier étage : vraie tourte à couper ou factice enrobée et décorée selon votre choix tourtes

Plus en détail

Charte PNNS Groupe CASINO Résultats

Charte PNNS Groupe CASINO Résultats Charte PNNS Groupe CASINO Résultats Calendrier En 2008, Casino a signé Les une engagements charte d engagements de la charte de progrès PNNS ont nutritionnel été appréhendés du PNNS. Elle comprenait 10

Plus en détail

Bacs de lavage et équipements de buanderie

Bacs de lavage et équipements de buanderie Fonctionnels et robustes dans toutes les situations Bacs de lavage et équipements de buanderie Bacs de lavage 2 3 Fonctionnels, robustes et extensibles Vous cherchez des équipements appropriés pour votre

Plus en détail

Le logo «Fait maison»

Le logo «Fait maison» Le logo «Fait maison» Voici le logo «Fait maison» qui sera utilisé dans les restaurants, chez les traiteurs, sur les marchés, à partir du 15 juillet 2014. Il indique les plats «faits maison», c est-à-dire

Plus en détail

DOSSIER DE DEMANDE D'AUTORISA non I.C.P.E. Préambule

DOSSIER DE DEMANDE D'AUTORISA non I.C.P.E. Préambule DOSSIER DE DEMANDE D'AUTORISA non I.C.P.E. Préambule Commune de Préambule La société H. REYNAUD & FILS est spécialisée dans la production et la commercialisation d'huiles essentielles, d'arômes et de bases

Plus en détail

Astuces. L eau. moins. dépenser. pour

Astuces. L eau. moins. dépenser. pour Astuces pour! dépenser moins 2 >>> ÉDITO eau est une ressource précieuse, indispensable dans nos logements, que ce soit pour l alimentation, la préparation des L repas, l hygiène ou tout simplement notre

Plus en détail

FICHE PRATIQUE. CLP : Classification, étiquetage et emballage des produits chimiques. Contexte : classifier et identifier les substances chimiques

FICHE PRATIQUE. CLP : Classification, étiquetage et emballage des produits chimiques. Contexte : classifier et identifier les substances chimiques FICHE PRATIQUE CLP : Classification, étiquetage et emballage des produits chimiques Contexte : classifier et identifier les substances chimiques «En vue de faciliter les échanges internationaux tout en

Plus en détail

GUIDE D UTILISATION DE LA MENTION «FAIT MAISON» EN RESTAURATION. à destination des professionnels

GUIDE D UTILISATION DE LA MENTION «FAIT MAISON» EN RESTAURATION. à destination des professionnels GUIDE D UTILISATION DE LA MENTION «FAIT MAISON» EN RESTAURATION à destination des professionnels «FAIT MAISON» - SOMMAIRE L essentiel du «fait maison» Qu est-ce que le «fait maison»? Comment informer vos

Plus en détail

Cuisine. Spray de dégraissant à froid 750 ml. Produit multi-usages pour cuisine 750 ml

Cuisine. Spray de dégraissant à froid 750 ml. Produit multi-usages pour cuisine 750 ml Cuisine Spray de dégraissant à froid 750 ml Un dégraissant à froid ultra efficace ayant un effet rapide lors du nettoyage des plaques de cuisson, des moules à pâtisserie et des ustensils de cuisson en

Plus en détail

Agri-stabilité GUIDE DE DÉCLARATION DES UNITÉS PRODUCTIVES 2012

Agri-stabilité GUIDE DE DÉCLARATION DES UNITÉS PRODUCTIVES 2012 Ce guide contient toutes les informations nécessaires pour déclarer vos unités productives pour l année de participation 2012. Guide de déclaration des unités productives...p. 3 Liste des unités productives...p.

Plus en détail

Dossier de commercialisation

Dossier de commercialisation Dossier de commercialisation La Friche la Belle de Mai, La Criée, Le Channel, La Cité Internationale de la Dentelle et de la Mode, La Condition Publique, Le 104 La Condition Publique, Roubaix La Condition

Plus en détail

L ALIMENTATION INTELLIGENTE

L ALIMENTATION INTELLIGENTE L ALIMENTATION INTELLIGENTE Votre Guide Minceur Femme Laboratoires Robert SCHWARTZ L Alimentation Intelligente Guide Minceur Femme Chère participante, Félicitations! Vous venez aujourd hui de prendre une

Plus en détail

GUIDE DE L ENSEIGNANT

GUIDE DE L ENSEIGNANT Au ménage! GUIDE DE L ENSEIGNANT 2010-2011 -1- Description de la situation d apprentissage Préparation Activité 1 À leur entrée en classe, les élèves découvrent quatre bouteilles sur le bureau de l enseignante

Plus en détail

caméras de surveillance (CO-A-2013-046)

caméras de surveillance (CO-A-2013-046) 1/15 Avis n 42/2013 du 2 octobre 2013 Objet : Avant-projet de loi modifiant la loi du 21 mars 2007 réglant l'installation et l'utilisation de caméras de surveillance (CO-A-2013-046) La Commission de la

Plus en détail

Obligation de publication des comptes annuels et consolidés de sociétés étrangères

Obligation de publication des comptes annuels et consolidés de sociétés étrangères Département Informations micro-économiques Service Centrale des bilans boulevard de Berlaimont 14 - BE-1000 Bruxelles tél. 02 221 30 01 - fax 02 221 32 66 e-mail: centraledesbilans@nbb.be - site Internet:

Plus en détail

COLLECTES SECTEUR A. Veuillez noter que les collectes ont lieu même les jours fériés, à l exception de Noël et du jour de l An.

COLLECTES SECTEUR A. Veuillez noter que les collectes ont lieu même les jours fériés, à l exception de Noël et du jour de l An. COLLECTES SECTEUR A Secteur Saint-Joachim-de-Courval Secteur Saint-Charles-de-Drummond Ouest boul. Lemire Ouest autoroute 20 ave. des Châtaigniers Rivière Saint- Germai n boul. Lemire rue Saint-Georges

Plus en détail