Archivé La revue financière Publication du ministère des finances
|
|
- Fabrice Desjardins
- il y a 4 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Ministère des Finances Canada Archivé La revue financière Publication du ministère des finances Informations archivées Les informations archivées sont fournies aux fins de référence, de recherche ou de tenue de documents. Elles ne sont pas assujetties aux normes Web du gouvernement du Canada et n'ont pas été modifiées ou mises à jour depuis leur archivage. Pour obtenir ces informations dans un autre format, veuillez communiquez avec nous. Faits saillants Mars 2013 : déficit budgétaire de 6,5 milliards de dollars Le mois de mars 2013 s est soldé par un déficit budgétaire de 6,5 milliards de dollars, comparativement à un déficit de 9,0 milliards en mars Les revenus ont diminué de 1,2 milliard de dollars (4,8 %) en raison de la baisse des revenus tirés de l impôt sur le revenu. Les charges de programmes ont diminué de 3,4 milliards (10,8 %), principalement en raison de la baisse des principaux transferts aux autres administrations par suite de la comptabilisation, en mars 2012, d une aide fédérale ponctuelle de 2,2 milliards à la province de Québec relativement à l harmonisation de la taxe de vente, ainsi que d une diminution des charges de programmes directes. Les frais de la dette publique ont diminué de 0,3 milliard (10,2 %). D avril 2012 à mars 2013 : déficit budgétaire de 18,3 milliards de dollars La période d avril 2012 à mars 2013 s est soldée par un déficit budgétaire de 18,3 milliards de dollars, comparativement à un déficit non définitif de 21,6 milliards consigné pour la même période de Les revenus ont progressé de 3,9 milliards de dollars (1,6 %), sous l effet de la hausse des revenus tirés de l impôt sur le revenu, des taxes et droits d accise et des cotisations d assurance emploi. Les charges de programmes ont augmenté de 2,7 milliards (1,1 %), en raison de la hausse des principaux transferts aux particuliers et aux autres administrations, hausses qui ont été compensées en partie par la baisse des charges de programmes directes. Les frais de la dette publique ont diminué de 2,0 milliards (6,5 %). Les résultats mensuels d avril 2012 à mars 2013 ne constituent pas les résultats définitifs pour l ensemble de l exercice. Les résultats définitifs tiendront compte des rajustements de fin d exercice effectués en fonction des nouvelles données disponibles, notamment au titre des revenus fiscaux par suite des cotisations établies sur les déclarations de revenus et au titre de l évaluation des actifs et des passifs. Les résultats déclarés à ce jour sont conformes dans l ensemble à la projection d un déficit de 25,9 milliards de dollars pour indiquée dans le budget du 21 mars Le gouvernement publiera à l automne les résultats définitifs vérifiés de dans le Rapport financier annuel du gouvernement du Canada. Mars 2013
2 Le mois de mars 2013 s est soldé par un déficit budgétaire de 6,5 milliards de dollars, comparativement à un déficit de 9,0 milliards en mars Les revenus ont diminué de 1,2 milliard de dollars (4,8 %) pour s établir à 23,6 milliards. Les rentrées d impôt sur le revenu des particuliers ont reculé de 1,1 milliard de dollars (9,3 %). Les rentrées d impôt sur le revenu des sociétés ont diminué de 0,2 milliard de dollars (3,5 %). Les rentrées d impôt sur le revenu des non résidents ont augmenté de 0,1 milliard de dollars (25,9 %). Les taxes et droits d accise perçus ont baissé de 0,2 milliard de dollars (6,6 %). Les revenus de taxe sur les produits et services (TPS) ont diminué de 32 millions (1,8 %). Les taxes sur l énergie ont augmenté de 13 millions, les droits de douane à l importation ont progressé de 8 millions et les autres taxes et droits d accise ont diminué de 0,2 milliard. Les revenus de cotisations d assurance emploi ont progressé de 0,4 milliard de dollars (16,4 %), ce qui traduit le taux de cotisation de 2013, fixé à 1,88 $ par tranche de 100 $ de rémunération assurable. Les autres revenus, qui comprennent les bénéfices nets des sociétés d État entreprises, les revenus des sociétés d État consolidées, le produit de la vente de biens et de services, le rendement des investissements, les revenus nets sur opérations de change et les revenus divers, ont diminué de 0,2 milliard de dollars (6,1 %). Les charges de programmes ont totalisé 27,8 milliards de dollars en mars 2013, en baisse de 3,4 milliards (10,8 %) par rapport à mars Les principaux transferts aux particuliers, qui comprennent les prestations aux aînés, les prestations d assurance emploi et les prestations pour enfants, ont augmenté de 0,1 milliard de dollars (1,9 %). Les prestations aux aînés ont progressé de 0,2 milliard (5,9 %), en raison de la hausse du nombre d aînés et de l évolution des prix à la consommation, auxquels les prestations sont pleinement indexées. Les prestations d assurance emploi ont diminué de 0,1 milliard (5,8 %). Les prestations pour enfants, qui comprennent la Prestation fiscale canadienne pour enfants et la Prestation universelle pour la garde d enfants, ont augmenté de 15 millions. Les principaux transferts aux autres administrations englobent les transferts fédéraux relatifs à la santé et aux programmes sociaux (principalement le Transfert canadien en matière de santé [TCS] et le Transfert canadien en matière de programmes sociaux [TCPS]), les transferts en vertu d accords fiscaux et autres transferts (péréquation, transferts aux territoires et un certain nombre de transferts plus modestes), les transferts aux provinces pour le compte des villes et des collectivités du Canada et l abattement d impôt du Québec. Ces principaux transferts ont diminué de 1,8 milliard de dollars (26,2 %), en raison de la comptabilisation, en mars 2012, d une aide fédérale ponctuelle de 2,2 milliards versée au Québec relativement à l harmonisation de la taxe de vente, montant qui a été partiellement compensé, en mars 2013, par la hausse des transferts prévue dans la loi. Les charges de programmes directes comprennent les paiements de transfert aux particuliers et aux autres organisations qui ne sont pas constatés dans les principaux transferts aux particuliers ou aux autres administrations, ainsi que les autres charges de programmes directes telles que les charges de fonctionnement de la Défense nationale et des autres
3 ministères et organismes, de même que les charges des sociétés d État. Par rapport à l exercice précédent, les charges de programmes directes ont baissé de 1,7 milliard de dollars (9,3 %). Les paiements de transfert ont reculé de 0,3 milliard de dollars (5,4 %). Les autres charges de programmes directes ont diminué de 1,4 milliard de dollars (11,5 %), en partie sous l effet de la comptabilisation, en mars 2012, d un passif au titre des coûts estimatifs des mesures de réaménagement des effectifs associées aux réductions de dépenses des ministères annoncées dans le budget du 29 mars Les frais de la dette publique ont diminué de 0,3 milliard de dollars (10,2 %). D avril 2012 à mars 2013 La période d avril 2012 à mars 2013 s est soldée par un déficit budgétaire de 18,3 milliards de dollars, comparativement à un déficit non définitif de 21,6 milliards consigné pour la même période de Les revenus ont progressé de 3,9 milliards de dollars (1,6 %) pour s établir à 253,9 milliards. Les rentrées d impôt sur le revenu des particuliers ont augmenté de 3,4 milliards de dollars (2,8 %). Les rentrées d impôt sur le revenu des sociétés ont connu une baisse de 0,4 milliard de dollars (1,1 %), par suite de la baisse d environ 3,2 % de l impôt perçu et de la baisse de 10,8 % des remboursements de l impôt payé. Les rentrées d impôt sur le revenu des non résidents ont diminué de 0,1 milliard de dollars (1,8 %). Les taxes et droits d accise ont rapporté 0,8 milliard de dollars (2,0 %) de plus, principalement sous l effet de la hausse de 0,7 milliard (2,6 %) des revenus de TPS. Les taxes sur l énergie, tout comme les droits de douane à l importation, ont augmenté de 0,1 milliard, tandis que les autres taxes et droits d accise ont diminué de 0,1 milliard. Les revenus de cotisations d assurance emploi ont crû de 1,6 milliard de dollars (8,5 %), sous l effet de la progression de la rémunération assurable ainsi que de la hausse des taux de cotisation, respectivement fixés à 1,83 $ et à 1,88 $ par tranche de 100 $ de rémunération assurable en 2012 et en Les autres revenus ont diminué de 1,4 milliard de dollars (5,5 %). D avril 2012 à mars 2013, les charges de programmes ont totalisé 243,2 milliards de dollars, en hausse de 2,7 milliards (1,1 %) par rapport à la même période de l exercice précédent. Les principaux transferts aux particuliers ont augmenté de 1,8 milliard de dollars (2,6 %). Les prestations aux aînés ont augmenté de 2,2 milliards (5,8 %), ce qui reflète l instauration de la prestation complémentaire du Supplément de revenu garanti en juillet 2011, de même que la hausse du nombre d aînés et l évolution des prix à la consommation, auxquels les prestations sont pleinement indexées. Les prestations d assurance emploi ont diminué de 0,5 milliard (3,0 %) et les prestations pour enfants ont augmenté de 0,2 milliard (1,2 %). Les principaux transferts aux autres administrations ont augmenté de 1,6 milliard de dollars (2,8 %), surtout en raison des hausses prévues par la loi du TCS, du TCPS, des transferts au titre de la péréquation et des transferts aux territoires, ces hausses étant compensées en
4 partie par une diminution des paiements au titre de la protection des transferts aux provinces, une baisse des transferts versés pour le compte des villes et des collectivités du Canada et une augmentation des recouvrements au titre de l abattement du Québec. Les charges de programmes directes ont reculé de 0,7 milliard de dollars (0,6 %). Les paiements de transfert ont diminué de 1,2 milliard de dollars (3,3 %). Les autres charges de programmes directes ont augmenté de 0,5 milliard de dollars (0,6 %). Les frais de la dette publique ont diminué de 2,0 milliards de dollars (6,5 %), sous l effet de la baisse du taux d intérêt effectif sur la dette portant intérêt. Revenus et charges (d'avril 2012 à mars 2013) Nota Les chiffres ayant été arrondis, leur somme peut ne pas correspondre au total indiqué. Besoins financiers de 29,4 milliards de dollars d avril 2012 à mars 2013 Le solde budgétaire est présenté selon la comptabilité d exercice, les revenus et les charges de l État étant constatés au moment où ils sont gagnés ou engagées, peu importe le moment où surviennent les rentrées ou les sorties de fonds correspondantes. En revanche, les ressources ou besoins financiers représentent l écart entre les rentrées et les sorties de fonds de l État. Cette mesure tient compte non seulement des variations du solde budgétaire, mais aussi des ressources ou besoins en espèces découlant des investissements de l État par voie d acquisition d immobilisations, de prêts, de placements et d avances, ainsi que de ses autres activités, en particulier le paiement des comptes créditeurs, la perception des
5 comptes débiteurs, les opérations de change et l amortissement des immobilisations corporelles. L écart entre le solde budgétaire et les ressources ou besoins financiers est constaté dans les opérations non budgétaires. Considérant un déficit budgétaire de 18,3 milliards de dollars et des besoins de 11,1 milliards au titre des opérations non budgétaires, la période d avril 2012 à mars 2013 s est soldée par des besoins financiers de 29,4 milliards, comparativement à des besoins financiers de 31,9 milliards pour la même période de l exercice précédent. Activités nettes de financement en hausse de 40,4 milliards de dollars L État a couvert ses besoins financiers de 29,4 milliards de dollars et accru ses soldes de trésorerie de 11,0 milliards en augmentant de 40,4 milliards la dette contractée sur les marchés. L accroissement de la dette contractée sur les marchés a principalement été opéré par l émission d obligations négociables et de bons du Trésor. Le niveau de l encaisse varie d un mois à l autre en fonction d un certain nombre de facteurs, comme les échéances périodiques d importantes émissions de titres d emprunt, qui peuvent fluctuer sensiblement. À la fin de mars 2013, les soldes de trésorerie s élevaient à 24,3 milliards, soit 11,0 milliards de plus qu à la fin de mars Tableau 1 État sommaire des opérations M$ Mars Avril à mars Opérations budgétaires Revenus Charges Charges de programmes Frais de la dette publique Solde budgétaire (déficit ou excédent) Opérations non budgétaires Ressources ou besoins financiers Variation nette dans les activités de financement
6 Variation nette dans l'encaisse Encaisse à la fin de la période Nota Les chiffres positifs indiquent des ressources nettes et les chiffres négatifs, des besoins nets. 1 Les chiffres de la période précédente ont fait l objet d un retraitement de manière à tenir compte des changements apportés aux conventions comptables en
7 Tableau 2 Revenus Mars Avril à mars 2012 (M$) 2013 Variation Variation (M$) (%) (M$) (M$) (%) Revenus fiscaux Impôts sur le revenu Impôt sur le revenu des particuliers , ,8 Impôt sur le revenu des sociétés , ,1 Impôt sur le revenu des non résidents , ,8 Total des impôts sur le revenu , ,8 Taxes et droits d'accise Taxe sur les produits et services , ,6 Taxes sur l'énergie , ,6 Droits de douane à l'importation , ,3 Autres taxes et droits d'accise , ,9 Total des taxes et droits d'accise , ,0 Total des revenus fiscaux , ,9 Cotisations d'assurance emploi , ,5 Autres revenus , ,5 Total des revenus , ,6
8 Nota Les chiffres ayant été arrondis, leur somme peut ne pas correspondre au total indiqué. 1 Les chiffres de la période précédente ont fait l objet d un retraitement de manière à tenir compte du reclassement, comme paiements de transfert, de la Prestation fiscale pour le revenu de travail et du supplément remboursable pour frais médicaux, qui étaient auparavant constatés dans les revenus fiscaux. 2 Les chiffres de la période précédente ont fait l objet d un retraitement de manière à tenir compte du reclassement, comme paiements de transfert, du crédit d impôt pour production cinématographique ou magnétoscopique canadienne, du crédit d impôt pour services de production cinématographique ou magnétoscopique, ainsi que de la partie remboursable du crédit d impôt à l investissement dans la région de l Atlantique et du Programme d encouragements fiscaux pour la recherche scientifique et le développement expérimental. Ces crédits d'impôt étaient auparavant constatés dans les revenus fiscaux. 3 Les chiffres de la période précédente ont fait l objet d un retraitement de manière à tenir compte d un changement apporté à la méthode d établissement des revenus mensuels de la taxe sur les produits et services.
9 Tableau 3 Charges Mars Avril à mars 2012 (M$) 2013 Variation Variation (M$) (%) (M$) (M$) (%) Principaux transferts aux particuliers Prestations pour les aînés , ,8 Prestations d'assurance emploi , ,0 Prestations pour enfants , ,2 Total , ,6 Principaux transferts aux autres administrations Aide au titre de la santé et d'autres programmes sociaux Transfert canadien en matière de santé Transfert canadien en matière de programmes sociaux , , , ,0 Total , ,4 Accords fiscaux et autres transferts , ,5 Villes et collectivités du Canada , ,0 Abattement d'impôt du Québec , ,2 Total , ,8 Charges de programmes directes Paiements de transfert Affaires autochtones et Développement du Nord , ,0
10 Agriculture et Agroalimentaire , ,0 Affaires étrangères et Commerce international , ,0 Santé , ,2 Ressources humaines et Développement des compétences , ,8 Industrie , ,4 Autres , ,8 Total , ,3 Autres charges de programmes directes Sociétés d'état , ,0 Défense nationale , ,7 Tous les autres ministères et organismes , ,9 Total des autres charges de programmes directes , ,6 Total des charges de programmes directes , ,6 Total des charges de programmes , ,1 Frais de la dette publique , ,5 Total des charges , ,2 Nota Les chiffres ayant été arrondis, leur somme peut ne pas correspondre au total indiqué. 1 Les chiffres de la période précédente ont fait l objet d un retraitement de manière à tenir compte du reclassement, sous le compte ministériel de la Société canadienne d hypothèques et de logement, des charges de société d État comme paiements de transfert versés par Ressources humaines et Développement des compétences Canada. 2 Les chiffres de la période précédente ont fait l objet d un retraitement de manière à tenir compte du
11 reclassement des revenus d'impôt sur le revenu, comme paiements de transfert, de la Prestation fiscale pour le revenu de travail, du supplément remboursable pour frais médicaux, du crédit d impôt pour production cinématographique ou magnétoscopique canadienne, du crédit d impôt pour services de production cinématographique ou magnétoscopique, ainsi que de la partie remboursable du crédit d impôt à l investissement dans la région de l Atlantique et du Programme d encouragements fiscaux pour la recherche scientifique et le développement expérimental.
12 Tableau 4 Solde budgétaire et ressources ou besoins financiers M$ Mars Avril à mars Solde budgétaire (déficit ou excédent) Opérations non budgétaires Activités d'investissement en immobilisations Autres activités d'investissement Régimes de retraite et autres passifs Autres activités Créditeurs, débiteurs, charges à payer, produits à recevoir et provisions Opérations de change Amortissement des immobilisations corporelles Total des autres activités Total des opérations non budgétaires Ressources ou besoins financiers Nota Les chiffres ayant été arrondis, leur somme peut ne pas correspondre au total indiqué. 1 Les chiffres de la période précédente ont fait l objet d un retraitement de manière à tenir compte d un changement apporté à la méthode d établissement des revenus mensuels de la taxe sur les produits et services.
13 Tableau 5 Ressources ou besoins financiers et activités nettes de financement M$ Mars Avril à mars Ressources ou besoins financiers Augmentation ou diminution nette dans les activités de financement Opérations de la dette non échue Emprunts en dollars canadiens Obligations négociables Bons du Trésor Titres au détail Autres Total Emprunts en devises Total Réévaluation de swaps de devises Escomptes et primes non amortis sur la dette contractée sur les marchés Obligations découlant de contrats de location acquisition et autre dette non échue Variation nette dans les activités de financement Variation dans l'encaisse Nota Les chiffres ayant été arrondis, leur somme peut ne pas correspondre au total indiqué.
14 Tableau 6 État condensé de l'actif et du passif M$ 31 mars mars 2013 Variation Passifs Créditeurs et charges à payer Dette portant intérêt Dette non échue Payable en dollars canadiens Obligations négociables Bons du Trésor Titres au détail Autres Total partiel Payable en devises Compte de réévaluation de swaps de devises Escomptes et primes non amortis sur la dette contractée sur les marchés Obligations découlant de contrats de location acquisition et autre dette non échue Total de la dette non échue Régimes de retraite et autres passifs Régimes de retraite du secteur public Autres avantages futurs des employés et des anciens combattants Autres passifs
15 Total des régimes de retraite et autres passifs Total de la dette portant intérêt Total des passifs Actifs financiers Trésorerie et créances Comptes d'opérations de change Prêts, placements et avances (nets des provisions) Total des actifs financiers Dette nette Actifs non financiers Dette fédérale (déficit accumulé) Nota Les chiffres ayant été arrondis, leur somme peut ne pas correspondre au total indiqué. 1 Le montant du 31 mars 2013 inclut des pertes de 0,2 milliard de dollars au titre des autres éléments du résultat global enregistrées par les sociétés d État entreprises et les autres entreprises d État. Nota Sauf avis contraire, les variations des résultats financiers sont celles d une année sur l autre. Pour tout renseignement concernant cette publication, veuillez communiquer avec Brian Pagan au Mai 2013
Comptes publics du Canada
Gouvernement du Canada Government of Canada Établis par le Receveur général du Canada Comptes publics du Canada 2014 Volume I Revue et États financiers consolidés Canada Ministre des Travaux publics et
Plus en détailRapport financier du premier trimestre de 2013-2014
Rapport financier du premier trimestre de -2014 Pour la période terminée le Financement agricole Canada Financement agricole Canada (FAC), dont le siège social se trouve à Regina, en Saskatchewan, est
Plus en détailSADC Document de référence
SADC Document de référence Protection des épargnes Donnez à vos clients toutes les pièces du casse-tête En donnant à vos clients toutes les pièces du cassetête concernant l assurance-dépôts de la SADC,
Plus en détailAnnexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif
Annexe 1 Stratégie de gestion de la dette 2014 2015 Objectif La Stratégie de gestion de la dette énonce les objectifs, la stratégie et les plans du gouvernement du Canada au chapitre de la gestion de ses
Plus en détailLE DON PLANIFIÉ par l assurance vie BIENVENUE POUR LE BÉNÉFICE DES MISSIONS CHARITABLES EN PARTENARIAT AVEC :
LE DON PLANIFIÉ par l assurance vie POUR LE BÉNÉFICE DES MISSIONS CHARITABLES BIENVENUE EN PARTENARIAT AVEC : 1 Objectifs spécifiques : Soutenir un organisme qui nous tient à cœur Bénéficier d un crédit
Plus en détail6.0 Dépenses de santé et situation budgétaire des gouvernements provinciaux et territoriaux
6.0 Dépenses de santé et situation budgétaire des gouvernements provinciaux et territoriaux En 2013, on prévoit que les dépenses de santé des gouvernements provinciaux et territoriaux atteindront 138,3
Plus en détailORGANISME DE PLACEMENT COLLECTIF DE TYPE A
ANNEXE A ORGANISME DE PLACEMENT COLLECTIF DE TYPE A HYPOTHÈSES RELATIVES AUX EXEMPLES N o 1 À N o 4 : Le prix à la date de l opération est de 10 $ la part pour le Fonds d actions et de 11 $ la part pour
Plus en détailCaisse de retraite du Régime de retraite du personnel des CPE et des garderies privées conventionnées du Québec
Caisse de retraite du Régime de retraite du personnel des CPE et des garderies privées conventionnées du Québec États financiers Accompagnés du rapport des vérificateurs Certification Fiscalité Services-conseils
Plus en détailBanque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013
Banque Zag Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation 31 décembre 2013 Le présent document présente les informations au titre du troisième pilier que la Banque Zag (la «Banque») doit communiquer
Plus en détailBudget des dépenses 2013-2014
Budget Modification Agence de promotion économique du Canada atlantique Le 22 février 2013, le Premier ministre a annoncé des changements au Conseil des ministres. À compter de maintenant, le ministre
Plus en détailPROGRAMME DES PRESTATIONS D AIDE AU TRAVAIL INDÉPENDANT DE L ONTARIO (PATIO)
PROGRAMME DES PRESTATIONS D AIDE AU TRAVAIL INDÉPENDANT DE L ONTARIO (PATIO) EXIGENCES EN MATIÈRE DE VÉRIFICATION ET DE RESPONSABILITÉ POUR LA PÉRIODE ALLANT DU 1ER AVRIL 2015 AU 31 MARS 2016 1 PROGRAMME
Plus en détailLA COMPTABILITE ASSOCIATIVE
LA COMPTABILITE ASSOCIATIVE 1. Pourquoi une comptabilité? 2. Les principes comptables 3. Le plan comptable associatif 4. La tenue de la comptabilité CDOS90-Formations/Juin 2009 1 1 1. POURQUOI UNE COMPTABILITE?
Plus en détailUn changement important s appliquera à votre rente à vos 65 ans
À quel moment la coordination au RRQ prend-elle effet? À votre retraite, la coordination au RRQ prendra effet le mois suivant l atteinte de vos 65 ans, âge auquel la rente du RRQ devient payable sans réduction.
Plus en détailÉtablissement des taux d actualisation fondés sur la meilleure estimation aux fins des évaluations de provisionnement sur base de continuité
Ébauche de note éducative Établissement des taux d actualisation fondés sur la meilleure estimation aux fins des évaluations de provisionnement sur base de continuité Commission des rapports financiers
Plus en détailDemande R-3549-2004 RÉGIME DE RETRAITE. Original : 2004-09-27 HQT-7, Document 2.1 Page 1 de 7
RÉGIME DE RETRAITE Page de 0 0 Le Régime de retraite d Hydro-Québec est un régime de retraite contributif à prestations déterminées, de type fin de carrière. Ce régime est enregistré auprès de la Régie
Plus en détailÉnoncé de la politique et des règles de placement de la trésorerie (ÉPRPT)
Portefeuille de trésorerie de l Université d Ottawa Énoncé de la politique et des règles de placement de la trésorerie (ÉPRPT) 1. But L Énoncé de la politique et des règles de placement de la trésorerie
Plus en détailCLASSE 1. COMPTES DES FONDS DE LA SECURITE SOCIALE ET DE PROVISIONS
CLASSE 1. COMPTES DES FONDS DE LA SECURITE SOCIALE ET DE PROVISIONS La classe 1 comprend les comptes du capital propre, des réserves et provisions, et ceux des avances et emprunts à plus d un an, dont
Plus en détailFINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC
FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC Rabat, 19 octobre 21 M. Ahmed HAJOUB Adjoint au Directeur du Trésor et des Finances Extérieures chargé du pôle macroéconomie I- Consolidation budgétaire: expérience
Plus en détailCoup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL
Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL Au Canada, en vertu de la loi, les prêteurs assujettis à la réglementation fédérale et la plupart des institutions financières assujetties à une
Plus en détailFrais de gestion s appliquant aux comptes commerciaux / Déclaration de renseignements
Frais de gestion s appliquant aux comptes commerciaux / Déclaration de renseignements Comptes Ensemble lié au compte HSBC AvantageAffaires MD2 Ce compte-chèques, offert en dollars canadiens ou en dollars
Plus en détailPartie II Assurance invalidité de longue durée
Partie II Assurance invalidité de longue durée 1. Admissibilité et date d entrée en vigueur de la garantie D'une façon générale, les employés à plein temps ou à temps partiel (c.-à-d. affectés à un poste
Plus en détailGROUPE NSE INDUSTRIES. Comptes intermédiaires consolidés Période du 1 er janvier au 30 juin 2014
GROUPE NSE INDUSTRIES Comptes intermédiaires consolidés Période du 1 er janvier au 30 juin 2014 BILAN (en milliers d euros) ACTIF Note 30/06/14 30/06/13 Ecarts d'acquisition 1 3 872 3 972 Immobilisations
Plus en détailREPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO ET BANQUE CENTRALE DU CONGO
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO ET BANQUE CENTRALE DU CONGO Janvier 2004 CONVENTION DU CAISSIER DE LA REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO ENTRE La REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO, représentée par le Ministre
Plus en détailDirection Générale des Services du Trésor 12/03/2012 2
Direction Générale des Services du Trésor 12/03/2012 2 SÉMINAIRE DE FORMATION SUR LA COMPTABILITÉ AUXILIAIRE DES ETABLISSEMENTS PUBLICS NATIONAUX, DES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES, DES ADMINISTRATIONS
Plus en détailANNEXE DE RÉMUNÉRATION DU COURTIER DU DISTRIBUTEUR
TABLE DES MATIÈRES PAGE 1. Éléments de la rémunération 3 1.1 Commission de production sur contrats d assurance vie... 3 1.2 Revenu de service acquis sur contrats d assurance vie... 3 1.3 Commission de
Plus en détailLE BUDGET DE L ÉTAT VOTÉ POUR 2014
LE BUDGET DE L ÉTAT VOTÉ POUR 2014 en quelques chiffres (Loi de finances initiale) Évaluation des recettes perçues par l État en 2014 (art. 60 de la loi de finances initiale pour 2014) RECETTES FISCALES
Plus en détailCompte de dividendes en capital
Compte de dividendes en capital Introduction Au Canada, l imposition des sociétés privées repose sur le principe fondamental de l intégration. Le bénéfice réalisé par une société privée et distribué à
Plus en détailIndicateur n 1.3 : Ecart entre le taux d intérêt des emprunts de la Sécurité sociale et le taux du marché
82 Partie II Objectifs / Résultats Objectif 1 Garantir la viabilité financière des régimes de Indicateur n 1.3 : Ecart entre le taux d intérêt des emprunts de la Sécurité sociale et le taux du marché 1er
Plus en détailComment avoir accès à la valeur de rachat de votre police d assurance vie universelle de RBC Assurances
Comment avoir accès à la valeur de rachat de votre police d assurance vie universelle de RBC Assurances Découvrez les avantages et désavantages des trois méthodes vous permettant d avoir accès à vos fonds.
Plus en détailEnquête de 2004 auprès des intermédiaires financiers de dépôts : banques à charte, sociétés de fiducie, caisses populaires et coopératives de crédit
Enquête unifiée auprès des entreprises - annuelle Enquête de 2004 auprès des intermédiaires financiers de dépôts : banques à charte, sociétés de fiducie, caisses populaires et coopératives de crédit Guide
Plus en détailObjectif. Conditions générales d'admissibilité
SODIM Programme de financement intérimaire des crédits d'impôt remboursablesauxentreprisesmaricoles Adoptéennovembre2004,modifiéendécembre2008 Objectif Cetoutildefinancementviseàaugmenterlesliquiditésdesentreprisesmaricolesenleur
Plus en détailPolitique de placement de l encaisse
Politique de placement de l encaisse SERVICE DES FINANCES Division du budget et de la planification financière Date d approbation : N o de résolution : 2013-05-21 CA-2013-0188 Date de modification : N
Plus en détailRapport sur le budget du Québec
le 21 avril 2005 Rapport sur le budget du Québec Faits saillants Introduction Taux d imposition d une société est augmenté Instauration d un taux d imposition pour la petite entreprise Les taux de la taxe
Plus en détailTAUX FIXE, TAUX INDEXE
Catégories d emprunts Mobiliser un emprunt, c est essentiellement choisir un taux, une durée, un profil d amortissement et une périodicité. Nous décrivons ci-dessous les différentes modalités qui s offrent
Plus en détailPROTECTION DE VOS DÉPÔTS. De 1 $ jusqu à 100 000 $
PROTECTION DE VOS DÉPÔTS De 1 jusqu à 100 000 La Société d assurance-dépôts du Canada (SADC) est une société d État fédérale créée en 1967 pour protéger l argent que vous déposez dans les institutions
Plus en détailExemples de crédits d'impôt fédéral non remboursables. Le montant personnel de base. Le montant en raison de l âge. Le montant pour invalidité.
Chapitre 1 Le cadre fiscal canadien et québécois 19 Exemples de crédits d'impôt fédéral non remboursables Le montant personnel de base. Le montant en raison de l âge. Les montants pour conjoint et pour
Plus en détailStatistiques de finances publiques consolidées
Statistiques de finances publiques consolidées Introduction Le concept de la consolidation est couramment utilisé dans le domaine de la comptabilité, tant dans le secteur privé que public. Définie simplement,
Plus en détail- - Créances sur les établissements de crédit et. chèques postaux
BILAN AU 31 DÉCEMBRE 2005 ACTIF DEC 2005 DEC 2004 PASSIF DEC 2005 DEC 2004 Valeurs en caisse,banques centrales, Trésor public, Banques centrales, Trésor public, Servicesdes 197 427 113 253 Service des
Plus en détailRecueil des formulaires et des instructions à l'intention des institutions de dépôts
Recueil des formulaires et des instructions à l'intention des institutions de dépôts RELEVÉ DES MODIFICATIONS Risque de taux d'intérêt et de concordance des échéances Numéro de la modification Date d établissement
Plus en détailCode du Travail, Art. L6222-23 à L6222-33
F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est
Plus en détailDu résultat social au résultat consolidé Novembre 2011
Du résultat social au résultat consolidé Novembre 011 Du résultat social au résultat consolidé Préambule Les comptes consolidés ont pour but de présenter le patrimoine, la situation financière et les résultats
Plus en détailLa gestion du compte de l État
FINANCES PUBLIQUES TRÉSORERIE Nouvelle convention MINÉFI/Banque de France La gestion du compte de l État Article d Olivier Cuny, administrateur civil à l Agence France Trésor, en collaboration avec Dominique
Plus en détailRégime de retraite pour les employés de la Ville de Mascouche
Rapport de la situation financière Présenté au conseil municipal le 19 janvier 2015 Numéro d enregistrement auprès de l Agence du revenu du Canada 0395541 Numéro d enregistrement auprès de la Régie des
Plus en détailExercice 11 du cours de Gestion Financière à Court Terme : Evaluation de conditions bancaires
Exercice 11 du cours de Gestion Financière à Court Terme : Evaluation de conditions bancaires Le Groupe MODEX comprend des filiales en France et à l étranger dans le secteur de l habillement. Les activités
Plus en détailEmployeurs et autres débiteurs de cotisations
CLASSE 4 COMPTES DE TIERS La classe 4 comprend les comptes de tiers et reprend toutes les opérations du bilan autres que financières (classe 3) avec les tiers et qui se représentent dans le cadre des relations
Plus en détailRapport de la direction. Rapport des vérificateurs
États financiers consolidés au 30 novembre Rapport de la direction Relativement aux états financiers consolidés Les états financiers consolidés de Quincaillerie Richelieu Ltée (la «Société») ainsi que
Plus en détailSOCIÉTÉ D ASSURANCE VIE MD Siège social : Ottawa, Canada. Le présent certificat est émis en vertu de la
SOCIÉTÉ D ASSURANCE VIE MD Siège social : Ottawa, Canada Le présent certificat est émis en vertu de la POLICE DE RENTE COLLECTIVE FONDS DE REVENU STABLE MD établie en faveur de LA COMPAGNIE TRUST ROYAL
Plus en détailGenres d assurances :
Genres d assurances : Assurance-vie Assurance invalidité Assurance médicaments - maladie Assurance frais de bureau Assurance responsabilité professionnelle Assurance-vie Garantie la couverture des besoins
Plus en détailASSURANCE- SOLDE DE CARTE DE CRÉDIT OPTIONS DE PAIEMENTS
ASSURANCE- SOLDE DE CARTE DE CRÉDIT OPTIONS DE PAIEMENTS À propos de l Agence de la consommation en matière financière du Canada (ACFC) À l aide de ses ressources éducatives et de ses outils interactifs,
Plus en détailNORME IAS 07 LE TABLEAU DES FLUX DE TRÉSORERIE
NORME IAS 07 LE TABLEAU DES FLUX DE TRÉSORERIE UNIVERSITE NANCY2 Marc GAIGA - 2009 Table des matières NORME IAS 12 : IMPÔTS SUR LE RÉSULTAT...3 1.1. LA PRÉSENTATION SUCCINCTE DE LA NORME...3 1.1.1. L esprit
Plus en détailCOMPTE DU RÉGIME DE PENSION DE LA GENDARMERIE ROYALE DU CANADA. Comptables agréés Toronto (Ontario) Le 29 avril 2005
Rapport des vérificateurs Au conseil d administration de l Office d investissement des régimes de pensions du secteur public Compte du régime de pension de la Gendarmerie royale du Canada Nous avons vérifié
Plus en détailAVIS N 89 MINISTERE DES FINANCES CONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITE
AVIS N 89 MINISTERE DES FINANCES CONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITE Avis portant plan et règles de fonctionnement des comptes et présentation des états financiers des entités d assurances et /ou de réassurances.
Plus en détailImposition des sociétés
Imposition des sociétés Introduction L imposition des sociétés est un sujet qui revêt une grande importance pour toute personne qui s occupe de planification financière ou successorale. La mise en place
Plus en détailLES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4
Décembre 2003 Département Finances Développement Économique LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4 APPLICABLES A COMPTER DU 1 ER JANVIER 2004 Le Comité de Finances Locales, lors de sa séance du
Plus en détailRapport du comité d experts du Québec sur les moyens de pérenniser le système de retraite
Le 19 avril 2013 Rapport du comité d experts du Québec sur les moyens de pérenniser le système de retraite Le comité d experts a été formé vers la fin de 2011, et on lui a donné le mandat de formuler des
Plus en détailUNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------- Le Conseil des Ministres PLAN COMPTABLE DES COLLECTIVITES TERRITORIALES T - UEMOA - I - PRESENTATION DU PLAN COMPTABLE I.1 - Les classes
Plus en détailSolutions d assurance-vie pour les. propriétaires d entreprise
Solutions d assurance-vie pour les propriétaires d entreprise Solutions d assurance-vie pour les propriétaires d entreprise Quel type d assurance-vie convient le mieux aux propriétaires d entreprise? Tout
Plus en détailpour le trimestre qui a pris fin le 30 juin 2014
pour le trimestre qui a pris fin le 30 juin 2014 De la recherche à l action Le CRDI finance des travaux de recherche appliquée dans les pays en développement afin d y accroître la prospérité et la sécurité
Plus en détailRAPPORT FINANCIER DE L EXERCICE 2014 1. LES CREDITS VOTES EN 2014
RAPPORT FINANCIER DE L EXERCICE 2014 1. LES CREDITS VOTES EN 2014 L équilibre général du budget primitif 2014 s est établi à 3 822,6 M, dont 2 790,9 M au titre de la section de fonctionnement et 1 031,7
Plus en détailLA COMPTABILITE DE COUVERTURE EN IFRS DEMYSTIFIEE **** IMA France 5 février 2008 Xavier Paper et Patrick Grinspan. Paper Audit & Conseil 1
LA COMPTABILITE DE COUVERTURE EN IFRS DEMYSTIFIEE **** IMA France 5 février 2008 Xavier Paper et Patrick Grinspan Paper Audit & Conseil 1 Sommaire 1. Définition de la relation de couverture 2. Le swap
Plus en détail9 Le passif à long terme
9 Le passif à long terme Les sujets abordés dans chacun des travaux suggérés Problèmes de Sujets abordés Exercices compréhension Les éléments qui composent le passif à long terme 1 Les emprunts obligataires
Plus en détail3 ) Les limites de la création monétaire
3 ) Les limites de la création monétaire Si un banquier n a besoin que de son stylo pour créer de la monnaie, on peut se demander ce qui empêche une création infinie de monnaie. En fait, la création monétaire
Plus en détailVos dépôts sont protégés, c est garanti! Au Québec, l Autorité des marchés financiers protège vos dépôts jusqu à 100 000 $
Vos dépôts sont protégés, c est garanti! Au Québec, l Autorité des marchés financiers protège vos dépôts jusqu à La garantie de base sur vos dépôts Quels dépôts sont garantis par l assurance-dépôts? L
Plus en détailSERVICE FISCALITÉ, RETRAITE ET PLANIFICATION SUCCESSORALE. Guide d utilisation du calculateur des sommes récupérables
SERVICE FISCALITÉ, RETRAITE ET PLANIFICATION SUCCESSORALE Guide d utilisation du calculateur des sommes récupérables Table des matières Introduction... 3 Revenu pleinement imposable et revenu de placement
Plus en détailÉpargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.2 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)
Plus en détailProjet de loi n o 100 (2010, chapitre 20)
PREMIÈRE SESSION TRENTE-NEUVIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 100 (2010, chapitre 20) Loi mettant en œuvre certaines dispositions du discours sur le budget du 30 mars 2010 et visant le retour à l équilibre
Plus en détailMISE À JOUR ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DE L AUTOMNE 2014 QUÉBEC
MISE À JOUR ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DE L AUTOMNE 2014 QUÉBEC Le 2 décembre 2014 TABLE DES MATIÈRES Introduction Mesures de relance économique Mesures visant l atteinte et le maintien de l équilibre budgétaire
Plus en détailEndettement des jeunes adultes
Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la statistique OFS 20 Situation économique et sociale de la population Neuchâtel, Août 2012 Endettement des jeunes adultes Analyses complémentaires
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES TITRE I- LES ÉTATS FINANCIERS... 7 TITRE II- LA FISCALITÉ CORPORATIVE... 55
TABLE DES MATIÈRES TITRE I- LES ÉTATS FINANCIERS...................................... 7 TITRE II- LA FISCALITÉ CORPORATIVE.................................. 55 Table des matières 3 TITRE I LES ÉTATS
Plus en détailGUIDE DES PRINCIPAUX PRODUITS, SERVICES ET TARIFS
Professionnels Entrepreneurs GUIDE DES PRINCIPAUX PRODUITS, SERVICES ET TARIFS janvier 2014 Professionnels Entrepreneurs Sommaire Vous êtes artisan, commerçant, agriculteur, profes sionnel libéral, dirigeant
Plus en détailINSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE
INSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE La Banque Centrale du Congo, Vu la loi n 005/2002 du 07 mai 2002
Plus en détailT 2.2. Autres TMM+1,25 TMM + 5. T 2 -Escompte d effets de transaction à 180 jours maximum T 2.1. Avalisés par une Banque..
BAREME DES CONDITIONS DE BANQUE Banque Internationale Arabe de Tunisie Mars 2008 TAUX D INTERET A- TAUX DEBITEURS APPLICABLES AUX SECTEURS DONT LES TAUX D INTERET SONT LIBRES CATEGORIES DE CREDITS TAUX
Plus en détailRapport de la direction
Rapport de la direction Les états financiers consolidés de Industries Lassonde inc. et les autres informations financières contenues dans ce rapport annuel sont la responsabilité de la direction et ont
Plus en détailRapport du vérificateur général du Canada à la Chambre des communes
Printemps 2012 Rapport du vérificateur général du Canada à la Chambre des communes CHAPITRE 3 La dette portant intérêt Bureau du vérificateur général du Canada Avis au lecteur : Le Bureau du vérificateur
Plus en détailMises de fonds et documentation requise
Mises de fonds et documentation requise VÉRIFICATION DE L AVOIR PROPRE L avoir propre est le montant que l emprunteur verse à titre de mise de fonds à l achat de cette propriété. Les exigences relatives
Plus en détailCalcul du versement périodique 2015 GUIDE. www.csst.qc.ca
Calcul du versement périodique 2015 GUIDE www.csst.qc.ca Ce guide a pour but de faciliter la compréhension des modalités relatives au calcul du versement périodique. Il n a aucune valeur juridique et ne
Plus en détailStratégie de transfert du patrimoine de l entreprise
Série Monarque de la Transamerica Guide du client Stratégie de transfert du patrimoine Série Monarque La logique à l appui de la solution Série Monarch Monarque Series La logique à l appui de la solution
Plus en détailQuelle est la meilleure solution :
Quelle est la meilleure solution : un FERR ou une rente? Question : Je viens tout juste d avoir 71 ans et j ai reçu un avis selon lequel je dois transformer mon régime enregistré d épargne retraite (REER)
Plus en détailStratégie de gestion de la dette 2006-2007
Stratégie de gestion de la dette 2006-2007 Stratégie de gestion de la dette 2006-2007 Ministère des Finances Canada Department of Finance Canada Sa Majesté la Reine du chef du Canada (2006) Tous droits
Plus en détailGUIDES FINANCIERS PRATIQUES ABC DES CARTES DE CRÉDIT. Ce que vous devez savoir sur l utilisation de votre carte de crédit
GUIDES FINANCIERS PRATIQUES ABC DES CARTES DE CRÉDIT Ce que vous devez savoir sur l utilisation de votre carte de crédit SOYEZ RESPONSABLE Les cartes de crédit sont de puissants outils financiers pour
Plus en détailBAX MC Contrats à terme sur acceptations bancaires canadiennes de trois mois
BAX MC Contrats à terme sur acceptations bancaires canadiennes de trois mois Groupe TMX Actions Bourse de Toronto Bourse de croissance TSX Equicom Produits dérivés Bourse de Montréal CDCC Marché climatique
Plus en détailASSURANCE- SOLDE DE CARTE DE CRÉDIT. options de paiements
ASSURANCE- SOLDE DE CARTE DE CRÉDIT options de paiements À propos de l Agence de la consommation en matière financière du Canada (ACFC) À l aide de ses ressources éducatives et de ses outils interactifs,
Plus en détailSituation financière des ménages au Québec et en Ontario
avril Situation financière des ménages au et en Au cours des cinq dernières années, les Études économiques ont publié quelques analyses approfondies sur l endettement des ménages au. Un diagnostic sur
Plus en détailwww.csst.qc.ca Calcul du versement périodique 2014 Guide détaillé
www.csst.qc.ca Calcul du versement périodique 2014 Guide détaillé Partenariat avec Revenu Québec Pour permettre l application du nouveau mode de paiement de la prime d assurance instauré le 1 er janvier
Plus en détailTaux et montants des crédits d impôt fédéraux et provinciaux non remboursables pour 2015 1
non remboursables pour 2015 1 indépendants affiliés à KPMG non remboursables pour 2015 1 Voir les notes aux pages suivantes. Remb. = crédit remboursable (voir note correspondante). 6 / Fédéral C.-B. Alb.
Plus en détailL ÉTAT QUÉBÉCOIS STRUCTURE ET TAILLE DE L ÉTAT LA DETTE. L'Observatoire de l administration publique - ENAP Été 2008
L ÉTAT QUÉBÉCOIS EN P E R S P E C T I V E STRUCTURE ET TAILLE DE L ÉTAT LA DETTE L'Observatoire de l administration publique - ENAP Été 2008 Aucun élément du contenu du présent document ne peut être utilisé,
Plus en détailLes retenues à la source (Version 2005)
Les retenues à la source (Version 2005) Chapitre 6 - Les retenues à la source sur les revenus des capitaux mobiliers et les jetons de présence Après avoir défini les revenus des capitaux mobiliers (Section
Plus en détailLa cession en garantie d une assurance-vie : un outil de planification financière pour les particuliers et les entreprises
À L USAGE EXCLUSIF DES CONSEILLERS CRÉER UN EFFET DE LEVIER AVEC UN CONTRAT D ASSURANCE-VIE GUIDE À L INTENTION DES AVOCATS, DES COMPTABLES ET DES CONSEILLERS EN ASSURANCE La cession en garantie d une
Plus en détailSITUATION FINANCIERE DE LA COMMUNE DE MONT DE LANS. Réunion Publique du 6 Aout 2015
SITUATION FINANCIERE DE LA COMMUNE DE MONT DE LANS Réunion Publique du 6 Aout 2015 LE BUDGET PRIMITIF COMMUNAL 2015 BUDGET GLOBAL (13,53 M ) INVESTISSEMENT 2,87M FONCTIONNEMENT 10,66M Dépenses (2,87 M
Plus en détailFORMULAIRE lll. (Règles 26 à 30) CANADA PROVINCE DE QUÉBEC COUR SUPÉRIEURE DISTRICT DE Chambre de la famille N o - - Partie: c.
(Règles 26 à 30) FORMULAIRE lll CANADA PROVINCE DE QUÉBEC COUR SUPÉRIEURE DISTRICT DE Chambre de la famille N o - - Partie: c. Partie: ÉTAT DES REVENUS, DÉPENSES ET BILAN Je, soussigné(e), domicilié(e)
Plus en détailFacilité de crédit aux fins d investissement (FCI)
Le plus important fournisseur de solutions d assurance-vie au Canada en matière de planification successorale et fiscale Facilité de crédit aux fins d investissement (FCI) Tirer parti d une FCI pour générer
Plus en détailALGERIA CONDITIONS DE BANQUE. Applicables à compter du 04 Janvier 2015
ALGERIA CONDITIONS DE BANQUE Applicables à compter du 04 Janvier 2015 1. Gestion de compte Date valeur Intérêts Commissions et Frais 1.1. Ouverture & Clôture de comptes DZD et Devises 1.2. Frais de tenue
Plus en détailQu est-ce que l effet de levier?
EMPRUNTER POUR INVESTIR : CE N EST PAS POUR TOUT LE MONDE Qu est-ce que l effet de levier? L effet de levier consiste à investir en empruntant une partie ou la totalité des sommes. De cette façon, vous
Plus en détailouvrir De ...grâce à l assurance prêt hypothécaire de la SCHL
ouvrir De nouvelles portes aux logements abordables...grâce à l assurance prêt hypothécaire de la SCHL 65404 À titre d organisme national responsable de l habitation, la Société canadienne d hypothèques
Plus en détail1 À noter... 3. 2 Demande de prêt REER... 3. 3 But du produit... 4. 4 Le produit en bref... 5. 5 Les principaux avantages... 6
Table des matières 1 À noter... 3 2 Demande de prêt REER... 3 3 But du produit... 4 4 Le produit en bref... 5 5 Les principaux avantages... 6 6 Utilisation du prêt REER... 6 6.1 Taux d intérêt... 6 7 Modalités
Plus en détailTarification. Guide de tarification des Services bancaires aux entreprises
Tarification Guide de tarification des Services bancaires aux entreprises En vigueur à compter du 1 er août 2014 02 Des solutions bancaires pour optimiser la gestion de vos affaires! À la Banque Nationale,
Plus en détailÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS
ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS ÉNONCÉ DE RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION RELATIVEMENT À L INFORMATION FINANCIÈRE La direction est responsable de la préparation et de la présentation des états financiers consolidés
Plus en détailRéglementation prudentielle. en assurance. Plan. - I - Les principes de la comptabilité générale et leur application à l assurance
Réglementation prudentielle en assurance Principes de comptabilité : comment lire les comptes des entreprises d assurance? Franck Le Vallois Commissaire-contrôleur des assurances Plan - I - Les principes
Plus en détailBAREME GENERAL DES CONDITIONS DE BANQUE
BANQUE COMMERCIALE DU NIGER (B.C.N) BAREME GENERAL DES CONDITIONS DE BANQUE I- du compte 1.1 Conditions d ouverture et de clôture de compte 1.1.1 Ouverture de compte (avec remise de la Convention de compte)
Plus en détailD assurance-vie avec participation
D assurance-vie avec participation Le Réalisateur Patrimoine et Le Réalisateur Succession Michel Poulin,Pl,fin. Expert-conseil Régional De Commercialisation Ordre du jour Aperçu de l assurance-vie avec
Plus en détail