Soins inventifs aux soins intensifs LES ACTES
|
|
- Aubin Bellefleur
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Soins inventifs aux soins intensifs Colloque tenu à l Institut universitaire en santé mentale de Montréal le 3 octobre 2014 LES ACTES Les pratiques innovantes sur les unités de soins intensifs psychiatriques Journée rendue possible grâce à une contribution à visée éducative de JANSSEN
2 Le 16 mars 1978, l unité des soins intensifs de l Hôpital Louis- Hyppolyte Lafontaine, première unité structurée de soins intensifs au Québec, ouvrait ses portes. L ouverture de l unité s inscrivait dans un mouvement mondial, les 1 res unités de soins intensifs psychiatriques apparaissant au début des années 70 à New York et à Portsmouth en Angleterre. 35 ans plus tard, qu en est-il du modèle des unités de soins intensifs psychiatriques? Quelles sont les meilleures pratiques en situation de crise? Comment implanter ces nouvelles pratiques? Afin de répondre à ces questions, le Programme d évaluation et d intervention brève de l Institut universitaire en santé mentale de Montréal a organisé le colloque «Soins inventifs» le 3 octobre Cet événement a réuni plus de 145 psychiatres, intervenants, gestionnaires, patients partenaires qui provenaient de plusieurs institutions québécoises. Le colloque avait pour objectif de : mieux faire connaître les pratiques médicales et professionnelles innovantes des unités de soins intensifs psychiatriques; favoriser le réseautage entre les différents partenaires et intervenants des unités de soins intensifs au Québec; mieux faire connaître les enjeux cliniques par rapport aux patients des unités de soins intensifs; discuter des enjeux autour de la sécurité, des aspects psycholégaux, des interventions (médication, aménagement des lieux, mesures de contrôle). Les «Actes» présentent des «meilleures pratiques» mises de l avant lors des conférences de Lyne Brunet, chef de l unité des soins intensifs de l IUSMM et du D r Éric Teboul, responsable de l Unité des soins intensifs psychiatriques à l Hôpital Régional de Saint-Jérôme. Des résumés des ateliers de l après-midi sont également proposés.
3 Les soins intensifs d un Institut universitaire Lyne Brunet, chef de l unité des soins intensifs de l IUSMM. L implantation des meilleures pratiques dans un milieu de soins intensifs psychiatriques. Les meilleures pratiques : La formation OMEGA sur les habiletés d intervention en situation de crise; L utilisation quotidienne de la grille DASA sur l identification des signes précurseurs d agressivité; Un plan de match pour chaque patient aux changements de quart qui permet aux membres de l équipe d échanger sur les indices précurseurs de comportements à risque et, si nécessaire, la mise en place d un plan d action précoce visant la prévention et la gestion des comportements agressifs; L amélioration de l environnement, entre autres : - La diminution du nombre de salles de mesures de contrôle; - L aménagement de la salle de réconfort «Oasis». Les résultats : diminution des mesures d isolement et de contention
4 LE POINT SUR LE MANQUE D INSIGHT Éric TEBOUL M.D., CM, psychiatre, responsable de l Unité des soins intensifs psychiatriques à l Hôpital Régional de Saint-Jérôme depuis Insight : Capacité d une personne à reconnaître sa propre maladie mentale 1. L insight pauvre (l anosognosie) est la caractéristique la plus prévalente de la schizophrénie 2 et des autres troubles psychotiques et maniaques. Selon le D r Teboul, c est un défi de taille avec lequel on doit composer pour la grande majorité des patients qui se trouvent sur les unités de soins intensifs psychiatriques. Un insight pauvre a des répercussions importantes sur l observance thérapeutique (les patients ne prennent pas leurs médicaments de façon adéquate car ils ne se considèrent pas malades et n en reconnaissent donc pas la pertinence 3 ). Répercussions de l insight pauvre et de la non-observance 4-5 : rechutes psychotiques, réhospitalisations psychiatriques; tentatives de suicide; violence, arrestations; abus d alcool, de drogues. Les meilleures pratiques : Les antipsychotiques injectables à libération prolongée permettent une amélioration de l observance et donc la prévention des rechutes psychotiques 6, 7. Ainsi, des consensus d experts québécois 8 et pan-canadiens 9 recommandent de prioriser l utilisation de la médication antipsychotique en forme injectable à libération prolongée pour traiter les troubles psychotiques à toutes les phases, incluant dès le début de la maladie. Lorsque l absence d insight s avère un obstacle insurmontable au traitement (par exemple, non-acceptation de la médication antipsychotique quelle que soit la forme proposée), une ordonnance d autorisation de soins permet de traiter le patient malgré son manque d insight. Cette mesure a été démontrée efficace dans la prévention des rechutes et des réhospitalisations Marková I. S. (2005) Insight in Psychiatry. Cambridge, Cambridge University Press. 2. Wilson WH et al. Flexible system criteria in chronic schizophrenia. Comprehensive Psychiatry 1986;27: Mingrone C, et al. Insight in stable schizophrenia: relations with psychopathology and cognition. Comprehensive psychiatry 2013; 54(5): Herings RM, Erkens JA. Pharmacoepidemiol Drug Saf 2003;12(5): Ascher-Svanum H et al. J Clin Psychiatry 2006;67: Kirson NY et al. Efficacy and Effectiveness of Depot Versus Oral Antipsychotics in Schizophrenia: Synthesizing Results Across Different Research Designs. J Clin Psychiatry, juin 2013;74(6): Kishimoto T et al. LAI versus oral antipsychotics in schizophrenia: A systematic review and metaanalysis of mirror-image studies. J Clin Psychiatry Oct 2013;74(10): Stip E et al. Les antipsychotiques injectables à action prolongée : avis d experts de l Association des médecins psychiatres du Québec. Canadian Journal of Psychiatry. 2011:56(6): Malla A et al. Long-Acting Injectable Antipsychotics: Recommendations for Clinicians. Can J Psychiatry. 2013;58(5, suppl.1):30s-35s 10. Nakhost A, Perry JC, and Frank D. Assessing the outcome of compulsory treatment orders on management of psychiatric patients at 2 McGill University-associated hospitals. Can J Psychiatry 2012:57(6):
5 Les ateliers sur les meilleures pratiques LA PSYCHOPHARMACOLOGIE DE L AGRESSIVITÉ : RECHERCHE FONDAMENTALE ET CLINIQUE D r Gobbi Gabriella Gobbi, M.D., Ph.D., Associate Professor Neurobiological Psychiatry Unit, Dept. Psychiatry, McGill University D r Gobbi a présenté les mécanismes d action des médicaments utilisés dans la gestion de l agressivité et des données cliniques démontrant l utilité des stabilisateurs de l humeur et des antipsychotiques atypiques. Les meilleures pratiques : antipsychotique atypique plus valproate ou topiramate ou carbamazepine; pas de benzodiazépines; éviter des antipsychotiques typiques; ne pas mélanger les typiques et les atypiques. (Comai S, Tau M, Pavlovic Z, Gobbi G., J Clin Psychopharmacol. 2012) Sa présentation s est terminée sur les perspectives d avenir, particulièrement les études épigénétiques qui portent sur la régulation de l expression des gènes qui peuvent être influencés par l environnement et l histoire individuelle. LES IMPACTS DE L UTILISATION D UN INSTRUMENT D ÉVALUATION DU COMPORTEMENT AGRESSIF, LA GRILLE DASA, SUR UNE UNITÉ DE SOINS INTENSIFS Denise Desrochers, assistante-infirmière-chef de l unité des soins intensifs, IUSMM Un enjeu clinique très important sur une unité de soins intensifs est de déceler les premiers signes d agressivité et de colère chez un patient pour éviter l escalade. Pour ce faire, une grille de détection précoce du comportement agressif qui soutient le jugement infirmier par l utilisation de critères rigoureux, la DASAfr. (Traduite et adaptée du Dynamic Appraisal of situational Agression de Olgoff et Daffern, 2007) a été implantée sur l unité des soins intensifs de l IUSMM en Une recherche évaluative de Caroline Larue et du D r Alexandre Dumais (2012) a permis de montrer, au moyen de la passation d un questionnaire sur la satisfaction et d un sondage sur le climat de travail, que l utilisation de la grille a eu un impact positif sur la qualité des soins, la cohésion de l équipe et la qualité de vie au travail.
6 ARRÊTER DE FUMER DANS UNE UNITÉ DES SOINS INTENSIFS PSYCHIATRIQUES? William Semaan, chef de service, Approches intensives; directeur universitaire, Service de psychiatrie adulte, Centre hospitalier de Sherbrooke Présentation d une recherche qui étudie l impact sur les patients de l interdiction totale de la cigarette sur une unité des soins intensifs psychiatriques au CHUS par une étude comparative de variables cliniques (la contention, l isolement, les sorties contre avis médical, les gardes en établissement), avant l interdiction (1 er octobre 2005 au 31 mars 2007) et après l interdiction (1 er avril er octobre 2008). Les résultats montrent une diminution significative pour toutes les variables à l exception des gardes en établissement (augmentation mais non significative) depuis l implantation de l unité sans fumée. Mandat LES ASPECTS PSYCHOLÉGAUX DE L INTERVENTION (projet RADAR : Recommandations, analyses de la dangerosité envers autrui et du risque) Anne-Renée Courtemanche, criminologue, Stéphane Gagnon, conseiller clinique, Vickie Saint-Denis, psychologue, Mario Roy, psychiatre Offrir une expertise en évaluation et intervention cliniques auprès des personnes présentant une psychopathologie associée à une dangerosité envers autrui; Contribuer à l émergence des meilleures pratiques et au développement de la recherche appliquée. Évaluation du risque de dangerosité Raisons : divergences dans l équipe traitante; craintes dans l équipe; identifications des facteurs de risque et de protection. Rôle de consultant afin : de soutenir l équipe après l évaluation; de clarifier les orientations long terme; d émettre des recommandations pour les audiences au Tribunal administratif du Québec.
7 L IMPACT DE L IMPLANTATION DE LA FORMATION OMÉGA SUR LE BIEN-ÊTRE DES PARTICIPANTS Richard Boyer, chercheur, Centre de recherche de l IUSMM, Stéphane Guay, directeur, Centre d étude sur le trauma, IUSMM; professeur, École de criminologie, Université de Montréal Le programme de formation Oméga vise à développer chez les participants des habiletés et des modes d intervention pour assurer leur sécurité et celles des autres en situation d agressivité. Les résultats d une recherche évaluative, menée selon un devis pré expérimental de type prépost avec suivi à long terme sans groupe témoin, indiquent que l implantation de l approche Oméga a eu des effets positifs sur le bien-être psychologique des travailleurs, sur leurs perceptions de la sécurité au travail et sur leur sentiment d efficacité personnelle pour gérer des situations de violence au travail. UN PROJET-PILOTE SUR LE RETOUR POST-ISOLEMENT AVEC UN PAIR AIDANT Chad Chouinard, pair aidant, patient-partenaire, Marie-Hélène Goulet, candidate au doctorat en sciences infirmières, Université de Montréal Le protocole isolement/contention de l IUSMM stipule qu un retour post-isolement doit être effectué avec le patient afin de réduire le traumatisme relié à l événement. Buts du projet-pilote Décrire l intégration d un pair aidant dans l intervention de retour post-isolement auprès du patient et vérifier les retombées de cette intervention sur les patients, les intervenants et le pair aidant. Hypothèse de départ Une personne avec un vécu expérientiel de l isolement/ contention pourrait comprendre davantage ce que vit le patient. Les résultats seront connus en début de l année 2016.
8 LA SALLE DE RÉCONFORT : UNE INTERVENTION PRÉVENTIVE À L AGITATION? Caroline Larue, chercheuse, IUSMM; professeure, Faculté des sciences infirmières, Université de Montréal La salle de réconfort est une pièce confortable qui contient des objets sensoriels que le patient choisit pour reprendre le contrôle de ses émotions et de ses comportements en toute sécurité. Il s agit d une intervention préventive pour aider à réduire le recours à l isolement avec ou sans contention auprès de patients ayant des comportements d agitation ou d agressivité. Les résultats préliminaires d une évaluation de l anxiété et de l intensité des comportements perturbateurs avant et après l utilisation de la salle de réconfort ont montré que la chambre de réconfort: réduit le degré d anxiété; est utilisée essentiellement pour réduire la tension émotive; réduit les manifestations physiologiques de l anxiété; est davantage utilisée par les femmes. UNE BIBLIOTHÈQUE VIVANTE Une Bibliothèque vivante ressemble à une bibliothèque classique mais au lieu d emprunter un livre, les lecteurs rencontrent les Livres de la bibliothèque vivante qui sont des personnes qui représentent des groupes fréquemment confrontés à des préjugés. Lors du colloque, une bibliothèque vivante a permis de rencontrer des patients qui ont été suivis sur une unité de soins intensifs. Vous pouvez lire le compte-rendu d un patient partenaire qui a couvert l activité sur le site du PIRAP Volume 3, Numéro 7 : Octobre 2014 (5-17). Voici un commentaire recueilli auprès d un livre vivant : «Aujourd hui, le docteur Teboul parlait de l introspection. Moi je suis un introspectif de nature. Je suis porté à beaucoup m analyser, mais je ne faisais pas l introspection qu eux voulaient que je fasse. Par exemple, prendre conscience de ma maladie. Aujourd hui, j essaie d adapter ça un peu plus à ma réalité». Rédaction et réalisation Éric Skulski, agent de planification, programmation et de recherche, Programmes de la santé mentale et dépendance.
Dr Julie Dauphin, Ph.D. Psychologue clinicienne
CHAMPS D EXPERTISE Dr Julie Dauphin, Ph.D. Psychologue clinicienne Hôpital Louis- H. Lafontaine Institut Universitaire en santé mentale Programme des troubles psychotiques - Clinique Sherbrooke 7401 Hochelaga
Plus en détailLa schizophrénie est une maladie évolutive; elle comporte 5 phases, qui se succèdent souvent dans l ordre 2 :
Qui peut être atteint de schizophrénie? La schizophrénie est une maladie mentale qui touche environ 1 % de la population canadienne. Elle frappe autant les hommes que les femmes, et se déclare généralement
Plus en détailKarine Côté, Ph.D. Professeure adjointe
Karine Côté, Ph.D. Professeure adjointe FORMATION 1999-2002 Post-doctorat, Law and Mental Health Program, Centre for Addiction and Mental Health et Université de Toronto. 1999 Ph.D. Psychologie - Recherche
Plus en détailBienvenue à la conférence en ligne Violence au travail : présentation des résultats du sondage mené auprès de trois secteurs professionnels
Bienvenue à la conférence en ligne Violence au travail : présentation des résultats du sondage mené auprès de trois secteurs professionnels Conférencier : Richard Boyer, Ph. D., chercheur au Centre de
Plus en détailProjet de loi n o 21 (2009, chapitre 28)
PREMIÈRE SESSION TRENTE-NEUVIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 21 (2009, chapitre 28) Loi modifiant le Code des professions et d autres dispositions législatives dans le domaine de la santé mentale et
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailSanté mentale au travail Enjeu Clinique ou de Leadership? Maladie ou blessure?
Santé mentale au travail Enjeu Clinique ou de Leadership? Maladie ou blessure? Contexteet facteursqui devraient motiverl ACTIONet l INNOVATION Seulement 41% des employés croient pouvoir reconnaître une
Plus en détailLe case management de transition (CMT) Une illustration de pratique avancée en soins infirmiers
XIIe Congrès Européen Lausanne, le 22 novembre 2013 Le case management de transition (CMT) Une illustration de pratique avancée en soins infirmiers Cécile Morgan & Patricia Jaunin, Infirmières spécialisées
Plus en détailHospital Anxiety and Depression Scale (HADS)
dmt Risques psychosociaux : out ils d é va lua t ion FRPS 13 CATÉGORIE ATTEINTE À LA SANTÉ PHYSIQUE ET MENTALE Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) LANGEVIN V.*, FRANÇOIS M.**, BOINI S.***, RIOU
Plus en détailQUESTIONNAIRE D INTÉGRATION
QUESTIONNAIRE D INTÉGRATION 2015-2016 0 Section à être complétée par les parents Nom de l élève : Degré : Date de naissance : En guise d introduction, nous aimerions avoir un bref historique de la situation
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailLa prise en charge d un trouble bipolaire
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge d un trouble bipolaire Vivre avec un trouble bipolaire Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailLE TRAVAIL EN DYADE: UN ART QUI S APPRIVOISE!
LE TRAVAIL EN DYADE: UN ART QUI S APPRIVOISE! Présentation au XVII e Colloque des CII-CIR Montréal, le 2 Mai 2012 Josée F. Breton, Inf., B. Sc., MBA, conseillère en organisation des soins et du travail
Plus en détailAVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION
AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION NOVEMBRE 2014 La Fédération québécoise de l'autisme (FQA) est un regroupement
Plus en détailDélivrance de l information à la personne sur son état de santé
Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du
Plus en détailLes ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique
Les ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique Préparé par: Rose-Anne Buteau, Inf. Ph D. (c) Sylvie Garand-Rochette, M.Sc.. Monique Thibault,
Plus en détail1. PRÉAMBULE 2. BUT 3. PRINCIPES DIRECTEURS CHUS MANUEL DES NORMES ET PRATIQUES DE GESTION SUJET : RECHERCHE NPG N 0 : 4221
CHUS MANUEL DES NORMES ET PRATIQUES DE GESTION SUJET : RECHERCHE NPG N 0 : 4221 OBJET : Politique d attribution des espaces au CRCELB APPROUVÉE PAR : COMITÉ DE DIRECTION ÉMISE LE : 6 novembre 1997 RÉVISÉE
Plus en détailTroubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003
Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19 Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Plans et objectifs Pendant la grossesse Troubles mineurs, dépressions
Plus en détail«WHEN ALL IS SAID AND DONE, MUCH MORE HAS BEEN SAID THAN DONE»
IMPLANTATION D UN MODÈLE DE PRATIQUE PROFESSIONNELLE : UN PROJET INTÉGRÉ D ORGANISATION DU TRAVAIL 27 e colloque Jean-Yves Rivard Climat de travail : gage de qualité et de performance Esther Leclerc, inf.,
Plus en détailRevalorisation de la pratique et rehaussement de la compétence en soins de longue durée
Revalorisation de la pratique et rehaussement de la compétence en soins de longue durée Marie-Josée Béliveau, inf. Gaétane Boucher, inf. B. Sc. Monique Bourque, inf. M.A. Carole Brousseau, inf. B. Sc.
Plus en détailGESTION PARTICIPATIVE: DES GAINS GARANTIS POUR TOUS!
GESTION PARTICIPATIVE: DES GAINS GARANTIS POUR TOUS! XIXe Colloque des CII-CIR Sophie Baillargeon, Adjointe à la DSI et Présidente du CII Anaïck Briand, Chargée de projet TSAC/TCAB 8 mai 2014 PLAN Projet
Plus en détailLe bilan comparatif des médicaments (BCM): où en sommes-nous?
Promouvoir l utilisation sécuritaire des médicaments Le bilan comparatif des médicaments (BCM): où en sommes-nous? My-Lan Pham-Dang, MSc. Formatrice ISMP Canada 10 juin 2010 Hôpital Général Juif Institute
Plus en détailCoaching PNL et neurosciences
Coaching PNL et neurosciences Les fondements scientifiques du cadre objectif Par Anne-Laure Nouvion, PhD. Docteure en biologie et coach certifiée en PNL Les fondements scientifiques du cadre objectif Tous
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailC. Cohen, Inf. M.Sc. Professeure HEdS La Source & Intervenante à l IUFRS
3ème Séminaire européen du SIDIIEF «Les maladies chroniques : Formation, recherche et leadership clinique en soins infirmiers» 26 mars 2015 Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV), Lausanne, Suisse
Plus en détailDoit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée?
Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée? Hélène Le Brun, conseillère septembre 2007 D-11815 Centrale des syndicats du Québec
Plus en détailL analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves
L analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves Cet atelier portera sur 1. la recherche dans la documentation de sources pertinentes; 2. l évaluation
Plus en détailPrévalence et utilisation des services. la consommation des substances. du jeu de hasard
ANDRÉ NGAMINI NGUI chercheur, Centre de réadaptation en dépendance de Montréal Institut universitaire (CRDM-IU) et Université du Québec à Montréal Prévalence et utilisation des services dans le domaine
Plus en détailCOLLOQUE ARY BORDES. Investir dans les ressources humaines pour reconstruire un système de santé performant. Bilkis Vissandjée, PhD 24 mars 2011
COLLOQUE ARY BORDES Investir dans les ressources humaines pour reconstruire un système de santé performant Bilkis Vissandjée, PhD 24 mars 2011 Faculté des sciences infirmières Faculté des sciences infirmières
Plus en détailLe bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009
Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Introduction L attention est une fonction de base dont l intégrité est nécessaire au bon fonctionnement cognitif
Plus en détailPlan de la présentation
Évaluation de la Grille d identification des risques psychosociaux en entreprise : l importance des déterminants individuels et organisationnelles. Michel Vézina Carole Chénard JASP 27 novembre 2013 Plan
Plus en détailCritères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction
Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie Etudes cliniques dans l autisme Marie-Christine Picot Congrès Epsylon 5 avril 2013 Introduction Mesurer la Qualité de Vie liée à la Santé : Evaluer les
Plus en détailTable des matières. 1. Mesures législatives Loi sur la protection des personnes recevant des soins Généralités 3 Principaux éléments 3
OFFICE DE PROTECTION DES PERSONNES RECEVANT DES SOINS RAPPORT STATISTIQUE 2007-2008 1 Table des matières 1. Mesures législatives Loi sur la protection des personnes recevant des soins Généralités 3 Principaux
Plus en détailLa recherche universitaire en sécurité routière
La recherche universitaire en sécurité routière François Bellavance, PhD Professeur, HEC Montréal Directeur Laboratoire sur la sécurité des transports Centre de recherche sur les transports (CRT) Centre
Plus en détailClassifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales.
Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. 1 Les outils de mesure existants et description du handicap épileptique Il ne s agit pas ici de mesurer
Plus en détailPRISE DE CONTACT AVEC LE PARTENAIRE
PRISE DE CONTACT AVEC LE PARTENAIRE Si votre partenaire ou ex-partenaire participe au programme Next Steps/ Intervention auprès des partenaires violents (IPV) auprès du Family Service Toronto, notre personnel
Plus en détailLe retour au travail après une absence prolongée en
Le retour au travail après une absence prolongée en raison de trouble mental transitoire: des pistes d'encadrement de la démarche. Marie-José Durand, PhD, Professeure titulaire, Directrice du CAPRIT Les
Plus en détailsquelettique Importance pressentie des troubles de santé psychologique Sollicitation par les centres d urgence d
Étude chez les prépos posés s des centres d appels d d urgence : la première phase d une d démarche de prévention des troubles de santé psychologique et musculo-squelettique squelettique Présenté par Louise
Plus en détailModèle de Suivi en première ligne des maladies chroniques. Fellow du programme TUTOR-PHC, IRSC Familiale U. de Mtl.
Modèle de Suivi en première ligne des maladies chroniques Dr Alain Turcotte, Md,, CMFC Fellow du programme TUTOR-PHC, IRSC Chargé de formation clinique, Département D de Médecine M Familiale U. de Mtl.
Plus en détailInformation sur le sujet. Tests-assignés
BRIEF - Sommaire Adulte Inventaire de comportements reliés aux fonctions exécutives Robert M. Roth, Ph.D., Peter K. Isquith, Ph.D., and Gerard A. Gioia, Ph.D. Adaptation et traduction française, Institut
Plus en détailA PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES
IED PARIS 8 A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES La procédure d équivalence permet de dispenser les étudiants de certains enseignements dans la mesure où ils peuvent justifier de l acquisition
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailLes procédures médico-légales d hospitalisation
Les procédures médico-légales d hospitalisation D. CAILLOCE SAMU 87 Contexte de l hospitalisa0on sous contrainte (1) Par%cularité de la discipline psychiatrique où le malade n a pas forcément conscience
Plus en détailPermis de conduire et maladie d Alzheimer. Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes
Permis de conduire et maladie d Alzheimer Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes Introduction Conduite automobile : Tâche complexe à forte exigence cognitive Liberté
Plus en détailIMAGES ET REALITES DE LA SANTE MENTALE EN POITOU-CHARENTES
Association Régionale Poitou-Charentes pour l Information Médicale et l Epidémiologie en Psychiatrie (ARPCIMEP) Observatoire Régional de la Santé de Poitou-Charentes (ORSPEC) IMAGES ET REALITES DE LA SANTE
Plus en détailL évolution des rôles en soins infirmiers. Un changement à s approprier
L évolution des rôles en soins infirmiers Un changement à s approprier Les formateurs Louise Leduc Coordonnatrice du développement clinique de la pratique en soins infirmiers, DPSSS-DSI Stéphane Gagnon
Plus en détailINFIRMIÈRE PRATICIENNE EN LE 6 MAI 2015 PRÉSENTÉ AU COLLOQUE EN SCIENCES SOINS DE PREMIÈRE LIGNE QU EN EST-IL? INFIRMIÈRES DE L UQAC
INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN SOINS DE PREMIÈRE LIGNE QU EN EST-IL? PRÉSENTÉ AU COLLOQUE EN SCIENCES INFIRMIÈRES DE L UQAC LE 6 MAI 2015 PLAN DE LA PRÉSENTATION Quel type de formation une IPSPL doit-elle suivre?
Plus en détail4720.5560.46 (septembre 2009) 30 %
4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % Prévenir le jeu excessif chez les adolescents C est toujours gagnant! Pourquoi ce dépliant? [ ] Le rôle des parents est déterminant dans la prévention du jeu excessif
Plus en détailL utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif
L utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif Isabelle Cyr, B.sc. Psychologie. B.sc. Service social. T.s. Thérapeute Josée Dostie, B.A. Psychologie. Thérapeute
Plus en détailFormation Professionnelle. Orienté Solution
UNIQUE EN EUROPE Formation Professionnelle de Thérapeute Orienté Solution (PNL, Hypnose Ericksonienne, Thérapie Brève Solutionniste) Certificat international de «NLP, Brief Therapy and Hypnosis Therapist»
Plus en détailPLAN D INTÉGRATION COLLABORATIF DU RÔLE DES INFIRMIÈRES ET INFIRMIERS PRATICIENS AU CANADA 2011-2015
PLAN D INTÉGRATION COLLABORATIF DU RÔLE DES INFIRMIÈRES ET INFIRMIERS PRATICIENS AU CANADA 2011-2015 Novembre 2011 . Pour faciliter la lecture, les mots de genre féminin appliqués aux personnes désignent
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailLa conduite automobile et le vieillissement
La conduite automobile et le vieillissement Présenté par Martin Lavallière, M.Sc. Étudiant au doctorat, Faculté de Médecine Document préparé par Martin Lavallière, Marie Eve Roussel et Philippe Voyer Bonjour,
Plus en détailLES RÔLES CONTEMPORAINS DE LEADERSHIP ET DE GESTION DE L INFIRMIÈRE : arrimage d un continuum de cours avec les besoins du réseau de la santé
SP 7.4 LES RÔLES CONTEMPORAINS DE LEADERSHIP ET DE GESTION DE L INFIRMIÈRE : arrimage d un continuum de cours avec les besoins du réseau de la santé Martine Mayrand Leclerc, inf., MGSS/MHA, Ph.D. Robert
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailCompétences de gestion et leadership transformationnel : les incontournables liés au nouveau contexte environnemental
Compétences de gestion et leadership transformationnel : les incontournables liés au nouveau contexte environnemental Natalie Rinfret, Ph.D. Colloque de l Association des directeurs généraux des services
Plus en détailLA PROCEDURE D'EVALUATION A.NA.PSY.p.e. EST LE RESULTAT D'UNE RECHERCHE
LA PROCEDURE D'EVALUATION A.NA.PSY.p.e. EST LE RESULTAT D'UNE RECHERCHE CETTE RECHERCHE A ETE FINANCEE PAR Le Ministère des Affaires Sociales et de l'emploi, Direction Générale de la Santé,Sous- Direction
Plus en détailL INTÉGRATION DE PAIRS AIDANTS DANS DES ÉQUIPES DE SUIVI ET DE SOUTIEN DANS LA COMMUNAUTÉ: POINTS DE VUE DE DIVERS ACTEURS
L INTÉGRATION DE PAIRS AIDANTS DANS DES ÉQUIPES DE SUIVI ET DE SOUTIEN DANS LA COMMUNAUTÉ: POINTS DE VUE DE DIVERS ACTEURS Synthèse des résultats de l étude Hélène Provencher, PhD, Université Laval, Québec
Plus en détailLES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT?
LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT? Élisabeth Mazalon et Sylvain Bourdon Université de Sherbrooke
Plus en détail9h à 16h Séminaire d une journée avec Luc Jetté. Nouvelle formule cette année!
Québec, le 3 mars 2011 Liste préliminaire des conférenciers et des sujets traités Colloque 2011 de l APAPI 24, 25, 26 et 27 mai 2011 Afin de débuter vos demandes de libération pour le colloque 2011 avant
Plus en détailPANORAMA NORD AMÉRICAIN ET EUROPÉEN DES COMPÉTENCES DES INFIRMIERS DES URGENCES
PANORAMA NORD AMÉRICAIN ET EUROPÉEN DES COMPÉTENCES DES INFIRMIERS DES URGENCES C.PIEL T.CHERFAOUI CARHAIX 18 MARS 2008 INTRODUCTION La médecine d urgence est reconnue comme spécialité depuis 2004 Les
Plus en détailPlanification stratégique 2012-2015
DE CHAUDIÈRE-APPALACHES Planification stratégique 2012-2015 Reprendre du pouvoir sur sa vie. 23681_CRDCA_Planification 2012.indd 1 Description de la démarche La démarche de planification stratégique du
Plus en détailCONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:
CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail
Plus en détailDemande de résumés! 71 e conférence clinique et scientifique annuelle Du 9 au 12 juin 2015 Québec (Québec) Centre des congrès de Québec
Demande de résumés! 71 e conférence clinique et scientifique annuelle Du 9 au 12 juin 2015 Québec (Québec) Centre des congrès de Québec La Société des obstétriciens et gynécologues du Canada (SOGC), l
Plus en détail«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?»
«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» Dr Adeline Paris Unité de Pharmacologie Clinique Centre d Investigation Clinique
Plus en détail«Promotion de la santé au travail : Sommeil & nutrition en lien avec le travail posté» Entreprise COCA-COLA MIDI SAS - Signes
Sommeil & nutrition en lien avec le travail posté» Introduction Les troubles du sommeil et de la vigilance interviennent de façon importante dans le monde du travail et notamment dans le travail à horaires
Plus en détailL évaluation de la qualité d un dispositif d apprentissage en ligne. Quelles traces mobiliser? Comment les interpréter?
L évaluation de la qualité d un dispositif d apprentissage en ligne. Quelles traces mobiliser? Comment les interpréter? François GEORGES (LabSET ULg) Séminaire Be-ODL 18 novembre 2013 1 Plan La qualité
Plus en détailLe rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative
Le rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative BULLETINS DU PIRAP Volume 1, numéro 11 : Février 2013 Programme d'aide et d'accompagnement social : Le PIRAP comme PAAS-
Plus en détailParkdale Community Health Centre 2015 Client Experience Survey
Parkdale Community Health Centre 2015 Client Experience Survey Chers clients du PCHC, Nous aimerions que vous nous aidiez à évaluer nos services et nos programmes. Nous voulons savoir ce que vous pensez
Plus en détailPLAN DE FORMATION Formation : Le rôle du superviseur au quotidien 2014-2015
1. Contexte PLAN DE FORMATION Formation : Le rôle du superviseur au quotidien 2014-2015 Dans le passé, on recherchait des superviseurs compétents au plan technique. Ce genre d expertise demeurera toujours
Plus en détailRAPPORT DE RECHERCHE. Fondation de recherche en sciences infirmières du Québec (FRESIQ) Programme de recherche clinique en soins infirmiers
RAPPORT DE RECHERCHE Évaluation d un service téléphonique d information et de référence en santé mentale : une innovation clinique conçue par des infirmières Fondation de recherche en sciences infirmières
Plus en détailQuelqu un de votre entourage a-t-il commis un suicide?
Quelqu un de votre entourage a-t-il commis un suicide? Soutien après le suicide d un jeune À la mémoire de Adam Cashen Quelqu un de votre entourage a-t-il commis un suicide? Si une personne de votre entourage
Plus en détailL évaluation et l amélioration de l expérience patient en milieu hospitalier : impact du Comité des usagers
L évaluation et l amélioration de l expérience patient en milieu hospitalier : impact du Comité des usagers Dieudonné Soubeiga, expert en sondages Marie-Suzanne Lavallée, directrice de la qualité Annie
Plus en détailGuide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite
Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,
Plus en détailBusiness Process Change:
Business Process Change: A Study of Methodologies, Techniques, and Tools par: W. Kettinger, J. Teng & S. Guha 1 Plan de la présentation Situer l article Relever son contenu Apprécier l article Appliquer
Plus en détailRECHERCHE ET ANALYSE QUALITATIVE :
RECHERCHE ET ANALYSE QUALITATIVE : LE TRAIT D UNION ENTRE L ÉVALUATION DES TECHNOLOGIES EN SANTÉ ET L ÉVALUATION DE PROGRAMME DANS LA PRODUCTION D UNE REVUE DE LA LITTÉRATURE MIXTE 1 Débora Merveille NGO
Plus en détailRAPPORT SUR LE SONDAGE DES INTERVENANTS. Réseau canadien pour la prévention du mauvais traitement des aînés
RAPPORT SUR LE SONDAGE DES INTERVENANTS Réseau canadien pour la prévention du mauvais traitement des aînés Rapport sur le sondage des intervenants janvier 2015 Table des matières 1. Points saillants 3
Plus en détailInventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE)
Inventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE) Ce questionnaire vous aidera à juger si vous devez consulter un clinicien pour votre dépression, si
Plus en détailLe référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008
Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailÉcoutez ce qui se dit sur l épargne-retraite au Canada
MARS 2014 ÉCHEC ET MAT! LES RÉGIMES D ÉPARGNE EN MILIEU DE TRAVAIL : UNE SOLUTION GAGNANTE POUR LES CANADIENS EN VUE DE LA RETRAITE Notre 6 e sondage annuel Indice canadien de report de la retraite montre
Plus en détailN.-B. 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4. 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4
Profil démographique 1 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4 Groupe d âge 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4 Sexe Niveau de scolarité Homme 48,0 40,5 47,8 52,3
Plus en détailiceps 2015 Objectifs de la Présentation Efficacité des Thérapies Comportementales et Cognitives pour les Troubles Mentaux Swendsen
iceps 2015 Efficacité des Thérapies Comportementales et Cognitives pour les Troubles Mentaux Joel Swendsen, Ph.D. CNRS 5287 CNRS / Université de Bordeaux / EPHE Sorbonne Objectifs de la Présentation Tapez
Plus en détaild infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en
DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de
Plus en détailLa recherche et vous. Pourquoi accepter ou refuser de participer à un projet de recherche?
La recherche et vous Pourquoi accepter ou refuser de participer à un projet de recherche? La recherche et vous Dépôt légal - octobre 2012 Bibliothèque et archives nationales du Québec Bibliothèque et archives
Plus en détailBaromètre : Le bien être psychologique au travail
Contacts Ifop : Rudy BOURLES/Isabelle MANDERON 6-8, rue Eugène Oudiné 75013 Paris tél 01 45 84 14 44 fax 01 45 85 59 39 Etude 23384 Baromètre : Le bien être psychologique au travail Septembre 2008 vague
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailARBITRAGE DE GRIEF EN VERTU DU CODE DU TRAVAIL DU QUÉBEC (L.R.Q., c. C-27) CENTRE HOSPITALIER LE GARDEUR
ARBITRAGE DE GRIEF EN VERTU DU CODE DU TRAVAIL DU QUÉBEC (L.R.Q., c. C-27) ENTRE : SYNDICAT DES INFIRMIERS ET INFIRMIÈRES DU CENTRE HOSPITALIER LE GARDEUR ET : ET : CENTRE HOSPITALIER LE GARDEUR JULIENNE
Plus en détailConférence du RQCAA. Agression et violence contre les aînés. Présenté le 22 mars 2007 Au grand public À l observatoire Vieillissement et Société
Conférence du RQCAA Agression et violence contre les aînés Présenté le 22 mars 2007 Au grand public À l observatoire Vieillissement et Société Plan de présentation Histoire du RQCAA Quelques réalités sur
Plus en détailNote de recommandation Médecins du Monde. Concertation sur la Réforme de l Asile. Octobre 2013
Note de recommandation Médecins du Monde Concertation sur la Réforme de l Asile Octobre 2013 Introduction Cette note de contribution est rédigée dans le cadre de la concertation sur la Réforme de l Asile,
Plus en détailANAMNÈSE - 1 - Création : Dre Josée Douaire, psychologue
ANAMNÈSE - 1 - (N.B. : le carnet de santé de votre enfant peut vous être utile pour remplir ce questionnaire) Nom de la personne qui complète ce questionnaire : Informations générales Nom de l enfant :
Plus en détailLa contention physique au service des urgences : indications et principes de mise en œuvre
Chapitre 112 La contention physique au service des urgences : indications et principes de mise en œuvre T. CHARPEAUD, P. EYMERE, E. GOUTAIN, M. GARNIER, C. TIXERONT, J. GENESTE, J. SCHMIDT, G. BROUSSE
Plus en détailUn seul droit de la famille pour toutes les femmes.
2 Protection de l enfance et droit de la famille FR 002 LE DROIT DE LA FAMILLE ET LES FEMMES EN ONTARIO Un seul droit de la famille pour toutes les femmes. Renseignez-vous sur vos droits. Protection de
Plus en détailUne stratégie d enseignement de la pensée critique
Une stratégie d enseignement de la pensée critique Jacques Boisvert Professeur de psychologie Cégep Saint-Jean-sur-Richelieu La pensée critique fait partie des capacités à développer dans la formation
Plus en détail"La santé des étudiants en 2015"
Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2015" 9 ème Enquête Nationale 1999 2015 Enquête Santé d emevia Depuis plus de 16 ans, à l écoute des étudiants 1 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes
Plus en détailMONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :
MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation
Plus en détailStratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés
Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement
Plus en détailLaurier Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke Titulaire de la Chaire de recherche de la Commission Scolaire de la Région de Sherbrooke.
Engagement scolaire et persévérance rance au secondaire : Modèle théorique, types, évaluation et intervention Laurier Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke Titulaire de la Chaire de recherche
Plus en détailGauthier, Benoît (dir.). 2010. Recherche sociale : de la problématique à la collecte des données. Québec : Presses de l Université du Québec.
Faculté des arts et des sciences Département de science politique POL 1100 (Méthodes de recherche en politique) Automne 2011 Local B-0245 Lundi de 13h00-14h30 Professeur : Éric Montpetit Bureau : C-4012
Plus en détailPrévention des conduites addictives : des sciences sociales aux pratiques locales
Colloque régional de prévention des addictions Mardi 31 mars 2015 Clermont-Ferrand Prévention des conduites addictives : des sciences sociales aux pratiques locales Appels à communication Le Pôle de référence
Plus en détail