Chapitre 1. Paroxysme de la crise et lente reprise d'activité pour la filière. Insee Nord-Pas-de-Ca lais - Dossiers de Profils n Octobre

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1 Chapitre 1 Paroxysme de la crise et lente reprise d'activité pour la filière Insee Nord-Pas-de-Ca lais - Dossiers de Profils n Octobre

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3 Paroxysme de la crise et lente reprise d'activité pour la filière La troisième enquête régionale effectuée auprès des établissements de plus de 20 salariés de la filière automobile s'est déroulée durant les mois de septembre à décembre Elle porte sur l'activité que ces établissements ont réalisée tout au long de l'année La période analysée a ainsi coïncidé avec la période où la récession économique a atteint son paroxysme dans l'ensemble des secteurs au premier trimestre 2009, puis avec la phase de lente reprise d'activité dans l'industrie dès le deuxième semestre La filière confrontée à d'importants défis La mo bi li sa tion des ac teurs pu blics a été im por tante dès la fin de l'année 2008, avec la mise en place d'une série de me su res pour sou te nir la fi lière, déjà con frontée à de nom breu ses mu ta tions struc tu rel les de puis le dé but des an nées En ef fet, l'in dustrie au to mo bile a dû faire face successivement à de nombreux défis : saturation des marchés des pays développés, croissance sans doute moins forte que pré vu des mar chés des pays émer gents, hausse ten dan cielle du prix des carburants qui déplace les achats vers les véhicules économes, des nécessités écologiques qui s'im po sent de plus en plus for te ment dans la concep tion et l'u sage des vé hi cu les. Dans les an nées 1970, l'in dustrie au to mo bile fran çaise avait déjà dû s'or ga ni ser pour faire face à l'ouverture des frontières et l'internationalisation des marchés. La crise économique est venue s'a jou ter à ce contexte de nom breu ses mu ta tions struc tu rel les. Aus si, les pou voirs pu blics ont ra pi de ment pris des me su res pour sou te nir la de mande, no tam ment, avec une prime à la casse pour re lan cer les ven tes de vé hi cu les. En fé vrier 2009, suite à la tenue d'é tats gé né raux réunissant l'ensemble des acteurs de l'automobile, le gouvernement a promu un Pacte automobile si gné avec les cons truc teurs et les équi pe men tiers et en ga gé un im por tant plan d'ai des aux cons truc teurs de 6,5 mil liards d'eu ros, sous la forme de prêts par ti ci pa tifs (en ca dré 1). L'a na lyse de cer tains in di ca teurs conjon ctu rels comme le solde d'o pi nions des in dus triels de l'au to mo bile sur leur pro duc tion passée, issu de l'en quête tri mes trielle de conjonc ture conduite par l'insee au près des in dus triels ré gio naux (graphique 1) per met de vi sua li ser la chro no logie des dif fé rents évé ne ments et de mieux situer le contexte. Graphique 1 : Activité dans l'industrie - Opinion des chefs d'entreprise sur leur activité passée* * Note : les enquêtes nationales de conjoncture sont désormais publiées selon la nouvelle Nomenclature d'activités française, Naf rév.2 (révision 2). Cet indicateur représente la différence entre le pourcentage des réponses en hausse et en baisse sur l'évolution de la production industrielle au cours des trois derniers mois. Données CVS : données corrigées des variations saisonnières Source : enquête trimestrielle de conjoncture (Insee). Insee Nord-Pas-de-Ca lais - Dossiers de Profils n Octobre

4 Encadré 1 : le Pacte automobile Au-delà des prêts par ti ci pa tifs ac cor dés aux cons truc teurs et du fi nan ce ment mis à dis po si tion de leurs fi lia les ban cai res, les me su res du Pacte au to mo bile mis en place en fé vrier 2009 ont été conçues en ré ponse aux préoc cu pa tions de la fi lière (équi pe men tiers et sous-trai tants) : la réduction des délais de paiements, grâce à la mise en œuvre sans dérogation de la Loi de modernisation de l'économie (LME) par les constructeurs automobiles ; la réduction des délais de paiement se traduit concrètement par l'apport de deux milliards d'euros de trésorerie à l'ensemble des fournisseurs de la filière automobile ; un fonds de garantie pour les prêts octroyés aux équipementiers et sous-traitants, pour faciliter l'accès au crédit des entreprises de la filière automobile, PME et entreprises de taille intermédiaire, a été mis en place au sein d'oseo, un dispositif permettant de garantir jusqu'à 90 % du prêt, dans les conditions prévues par l'encadrement communautaire (tous secteurs confondus, garantie de quatre milliards d'euros de prêts pour les PME et un milliard d'euros pour les entreprises de plus grande taille, et de un milliard d'euros pour la filière automobile) ; un fonds de modernisation des équipementiers automobiles, afin de renforcer les fonds propres des entreprises stratégiques de la filière automobile en permettant de réaliser les consolidations nécessaires à l'émergence de nouveaux champions en France et en Europe le Fonds stratégique d'investissement (FSI) porte sa contribution au fonds de modernisation des équipementiers automobiles à 200 M, au même titre que les deux constructeurs Renault et PSA. Le fonds est ainsi doté de 600 M. L'État lance en parallèle un plan d'action de 15 M pour la diffusion des pratiques d'excellence opérationnelle dans la filière automobile ; une convention nationale de chômage partiel pour le secteur automobile, dans le souci de préserver l'emploi et les compétences malgré le ralentissement du marché automobile ; un accord cadre de conventionnement au titre du chômage partiel à hauteur de 50 % est signé au niveau national, permettant aux entreprises de la filière de bénéficier d'une prise en charge supplémentaire par l'état de l'indemnisation de 1,5 à 1,75 par heure chômée selon la taille de l'entreprise. Cette disposition est en vigueur pour une durée de trois mois renouvelable une fois. En contrepartie, les entreprises adhérentes à ce dispositif s'engagent au maintien des emplois concernés pour une durée équivalente au double de la convention de chômage partiel. Des dispositifs de formation sont couplés aux périodes de chômage partiel dans toute la mesure du possible. Ces me su res s'ins cri vent dans le pro lon ge ment des dis po si tions mi ses en œuvre dans le cadre du plan de re lance, et no tam ment du dis po si tif de prime à la casse qui reste en vi gueur jus qu'à fin Le Pacte s'appuie éga le ment sur la mise en œuvre d'un nou veau code de per for mance et de bon nes pra ti ques, ap prou vé conjoin te ment par les re pré sen tants des cons truc teurs, équi pe men tiers et sous-trai tants. Il s'a git de pas ser de la re la tion client-fournisseur traditionnelle à une véritable relation partenariale. Le code encadre également de façon plus satisfaisante les condi tions de fi nan ce ment et de fac tu ra tion ha bi tuel le ment pra ti quées. Les ac tions spé ci fi ques de l'aria Au tra vers de l'aria (Acteurs in dus triels de la fi lière au to mo bile), les pou voirs pu blics co fi nan cent avec l'aria des ac tions col lec ti ves au ser vice des PME de la fi lière. C'est le pro jet Aspa rance 1 qui concerne 60 en tre pri ses de puis juil let Un se cond pro jet Aspa rance 2 pour rait être mis en place entre 2012 et Son ob jec tif se rait que 35 en tre pri ses bé né fi cient d'un diagnostic stratégique, 25 entreprises participent à l'action LEAN (dont 15 accompagnées), 30 entreprises participent à l'ac tion ma na ge ment par ti ci pa tif et 20 en tre pri ses bé né fi cient d'au tres ac tions. L'ob jec tif est d'ai der les PME à réa li ser le dia gnos tic stra té gique de leur en tre prise tout en les for mant à la pra tique des ou tils d'a na lyse stra té gique et en leur ap por tant l'é clai rage de la veille éco no mique et tech no lo gique. Un pro gramme d'ac com pa gne ment sur-me sure est alors dé fi ni dans les do mai nes de la com pé ti ti vi té, l'a mé lio ra tion de la per for mance interne, la diversification produits-marchés et l'internationalisation. Une timide reprise en cours d'année La courbe des sol des d'o pi nion met bien en évi dence la chute du rythme d'ac ti vi té dans l'in dustrie au to mo bile suite à la crise éco no mique. Après la très lourde dé gra da tion de l'ac ti vi té dans les in dus tries au to mo bi les ob servée en fin 2008, le dé but de l'année 2009 est en core marqué par un nouvel affaissement de la production, accompagné d'une importante réduction des stocks. Dès le deuxième tri mestre 2009, le rythme de l'ac ti vi té pro gresse net te ment et ce 10 - Insee Nord-Pas-de-Ca lais - Dossiers de Profils n Octobre 2011

5 jus qu'en fin d'année. Cette ob ser va tion s'ins crit dans la ten dance na tio nale qui montre une forte ac cé lé ra tion de la pro duc tion au to mo bile au troi sième tri mestre (+ 9,9 %), après un deuxième tri mestre déjà dy na mique (+ 5,3 %). D'ail leurs, les cons truc teurs au to mo bi les in ter ro gés à l'oc ca sion de l'en quête tri mes trielle de conjonc ture de jan vier 2010 dans l'in dustrie au to mo bile fai saient état d'une franche amé lio ra tion de leur ac ti vi té passée au qua trième tri mestre Ce qui est à rap pro cher de la nette pro gres sion des achats d'au to mo bi les de la part des mé na ges en fin d'année 2009 (+ 8,0 % après 0,4 % au troi sième tri mestre), sou tenue par la prime à la casse avant sa ré duc tion au 1 er jan vier Les ré sul tats du com merce ex té rieur confir ment cette ob ser va tion. En ef fet, les ex por ta tions ré gio na les d'au to mo bi les ont chu té de 22,7 % en 2008 et de 30,1 % en 2009 ( 30,7 % au ni veau na tio nal), pas sant de 6,4 mil liards d'eu ros en 2008 à 4,5 mil liards d'eu ros en Elles ne re pré sen tent plus que 15,9 % des ex por ta tions de la ré gion contre 23 % en Le Nord-Pas-de-Ca lais reste tou te fois la 1 ère ré gion ex por ta trice fran çaise avec 21 % des ex por ta tions na tio na les. En outre, le 4 e tri mestre 2009 a en re gis tré un re bond du ni veau des ex por ta tions de 38 % par rap port au 4 e tri mestre En ce qui concerne les équi pe ments pour l'au to mo bile, leurs ex por ta tions ont bais sé de 14,5 % en 2009 avec un sur saut de 32 % au 4 e tri mestre com pa ra ti ve ment au 4 e tri mestre Les niveaux de production d'avant-crise ne seront plus atteints Les étu des de la Pla te forme de la fi lière au to mo bile (PFA), mise en place en avril 2009 ¹ per met tent d'a van cer que les ni veaux de pro duc tion at teints en France avant la crise ne le se ront plus après : 3,5 mil lions de vé hi cu les lé gers par an contre une pré vi sion qui ne dé passe pas 2,2 après. Des mu ta tions ont déjà été fai tes dans la ré gion de puis 2006 pour ré pondre au nou vel équi libre du mar ché mon dial au to mo bile : un mar ché fran çais et eu ro péen en sa tu ra tion et un mar ché mon dial en pro gres sion (au taux annuel de + 6 % ), tiré en par ti cu lier par l'asie et les Pays émer gents. La crise in ter venue en 2008 a conduit en core à de nou veaux ajus te ments au sein de la fi lière. La baisse ré gu lière de la pro duc tion ré gio nale d'au to mo bi les (source Aria) ob servée de puis 2007 en est le té moin : vé hi cu les as sem blés dans la ré gion en 2007, en 2008, moins de en 2009 et L'analyse d'un certain nombre d'indicateurs sur les perspectives d'activité des établissements tra duit en core l'in cer ti tude res sentie quant à l'é vo lu tion de la fi lière. Ain si, 30 % des éta blis se ments liés à la fi lière au to mo bile ont pré fé ré ne pas se pro non cer sur le ni veau de leurs car nets de commandes, 27 % d'entre eux les jugeaient insuffisants, notamment dans les activités industrielles (31 %). Tou te fois, 16 % des éta blis se ments es ti maient cor rect leur ni veau de com man des. (ta bleau 1). Il existe des dis pa ri tés entre les éta blis se ments se lon le chiffre d'af fai res consa cré à la cons truc tion au to mo bile. En ef fet, pour les éta blis se ments concer nés à moins de 20 % par la construction automobile (ta bleau 2), le ni veau des com man des au to mo bi les est jugé in suf fi sant pour 35 % des éta blis se ments alors que pour plus de la moi tié des éta blis se ments liés à plus de 60 % ou ceux du cœur de la fi lière, ce ni veau est jugé bon ou moyen. En ter mes de vo lume de tra vail, le ni veau moyen des com man des dé diées à la fi lière au to mo bile est es ti mé à trois mois dans les éta blis se ments de l'in dustrie ma nu fac tu rière et des trans ports. Ce vo lume varie avec la taille de l'é ta blis se ment : il dé passe cinq mois pour les éta blis se ments de plus de 500 sa la riés et at teint deux mois et demi pour les moins de 50 sa la riés. En ter mes d'évolution du chiffre d'affaires, 42 % des établissements interrogés ont misé sur une stabilité de leur chiffre d'af fai res consa cré au mar ché au to mo bile dans les douze mois à ve nir, 20 % s'o rien taient vers une baisse et 22 % ne se sont pas pro non cé. Dans ce contexte en pleine évolution, deux tiers des établissements envisageaient de diversifier leur activité, le pourcentage at tei gnant 80 % pour les ac ti vi tés de trans port et d'en tre po sage. ¹ La PFA per met une concer ta tion et des échan ges entre don neurs d'ordre et four nis seurs de la fi lière pour pré pa rer la mu ta tion de la fi lière. Insee Nord-Pas-de-Ca lais - Dossiers de Profils n Octobre

6 Tableau 1 : État des carnets de commandes des établissements liés à l'automobile par secteur d'activité au 31 décembre 2009 Bon Moyen Insuffisant Ne se prononce pas Total Ensemble des secteurs dont Industrie manufacturière Transports et entreposage Activités de services administratifs Guide de lecture : 16 % des établissements de la filière jugent bon le niveau de leurs carnets de commandes en fin d'année Source : enquête sur la filière automobile en Nord-Pas-de-Calais en 2010 (Insee). Tableau 2 : État des carnets de commandes des établissements liés à l'automobile, en fonction du chiffre d'affaires dédié à la construction automobile au 31 décembre 2009 Part du chiffre d'affaires consacré à l'automobile Bon Moyen Insuffisant Ne se prononce pas Unité : % Unité : nombre, % Nombre de mois de travail Moins de 20 % ,4 De 20 à 60 % ,6 De 60 à 100 % ,0 100 % ,6 Guide de lecture : 8 % des établissements de la filière réalisant moins de 20 % de leur chiffre d'affaires dans la filière jugent bon le niveau de leurs carnets de commandes. Ces établissements estiment leur niveau de commandes à 3,4 mois de travail. Source : enquête sur la filière automobile en Nord-Pas-de-Calais en 2010 (Insee). L'emploi dans la filière reste fragile Le recours à l'intérim est un indicateur conjoncturel important. Il permet souvent un ajustement des em plois au ni veau d'ac ti vi té pour adap ter au mieux les be soins de pro duc tion. En 2007, le re cours à l'in té rim dé pas sait les 10 % des ef fec tifs sa la riés dans la cons truc tion au to mo bile. Mais de puis l'année 2008, ce n'est plus le cas. De plus de in té ri mai res en 2007, le re cours à l'in té rim s'ef fondre en juil let 2008 en pas sant sous la barre des pour de ve nir qua si nul en dé cembre La re prise de l'in té rim reste ti mide en Les huit cons truc teurs ont em ployé en moyenne chaque mois in té ri mai res. Un tiers d'entre eux pen sait tou te fois aug men ter à nou veau le re cours à l'in té rim en Les au tres éta blis se ments de la fi lière ont éga le ment eu re cours à l'in té rim et l'ont es ti mé à quelque in té ri mai res em ployés par mois. Dans le même temps, 90 % des éta blis se ments in ter ro gés n'en vi sa geaient pas de re cru ter de sa la riés pour leurs ac ti vi tés liées à l'au to mo bile, en rai son de ryth mes de pro duc tion ju gés en core ins ta bles. Ce cli mat in cer tain s'est éga le ment ac com pa gné de mise en chô mage par tiel des sa la riés, ce qui a per mis d'at té nuer l'am pleur de l'a jus te ment des ef fec tifs de la filière (en ca dré 2). Ain si, en 2009, près de neuf mil lions d'heu res d'ac ti vi té par tielle ont été uti li sées en Nord-Pas-de-Ca lais dont quatre mil lions consom més par la fi lière au to mo bile, soit 45 % du vo lume de consom ma tion de l'é co nomie ré gio nale. Les vo lu mes res tent éle vés pour le dé but de l'année Insee Nord-Pas-de-Ca lais - Dossiers de Profils n Octobre 2011

7 Encadré 2 : La moitié des salariés de la filière en chômage partiel au cours du mois de mars 2009 Le dis po si tif de l'ac ti vi té par tielle (ou chô mage par tiel) per met aux éta blis se ments en dif fi cul té de di mi nuer leur ac ti vi té tout en main te nant le con trat de tra vail des sa la riés en leur as su rant une in dem ni sa tion pen dant cette pé riode. Au pa ra vant peu utilisé, le dispositif de l'activité partielle (ou chômage partiel) a été largement sollicité par les établissements à compter de la fin 2008, et par ti cu liè re ment au cours de l'année 2009, au cœur de la crise éco no mique. En 2009, près de neuf mil lions d'heu res d'ac ti vi té par tielle ont été uti li sées en Nord-Pas-de-Ca lais. Avec ses quatre mil lions d'heu res uti li sées, la fi lière au to mo bile a re pré sen té 45 % du vo lume de consom ma tion de l'é co nomie ré gio nale (ta bleau 3). Der rière la fi lière au to mo bile, c'est l'in dustrie du verre qui vient en se conde po si tion en ma tière d'heu res consom mées (1,2 mil lions d'heu res). En troi sième place, la mé tal lurgie a consom mé heu res. Dans ces heu res, peu vent être at tri buées à la fi lière au to mo bile, car cer tains éta blis se ments du sec teur de la mé tal lurgie réa li sent une part de leur chiffre d'af fai res avec la fi lière au to mo bile (ta bleau 4 du cha pitre 2). Le secteur d'activité de la fabrication de machines et équipements (engins de levage, de manutention, fabrication d'organes mé ca ni ques de trans mis sion, ma chi nes-ou tils) a aus si lar ge ment uti li sé l'ac ti vi té par tielle en 2009 ( heu res). Le quart de son uti li sa tion re lève en réa li té de la fi lière au to mo bile. Le ra len tis se ment de l'in dustrie au to mo bile a eu des im pacts sur l'en semble de la fi lière au to mo bile, bien au-delà de l'ac ti vi té d'as sem blage des vé hi cu les : net toyage in dus triel, fa bri ca tion de mo quette, fa bri ca tion de pan neaux de bois, mé ca nique industrielle, mais aussi ingénierie. Le nombre de sa la riés en ac ti vi té par tielle au cours des mois de 2009 a évo lué en fonc tion de l'am pleur de la crise. Les pics d'u ti li sa tion ont été at teints au cours du pre mier se mestre Du rant cette pé riode, jus qu'à sa la riés ont été si mul ta né ment en ac ti vi té par tielle. L'u ti li sa tion de la me sure par la fi lière au to mo bile est alors mas sive : en mars 2009, plus de la moi tié des sa la riés de la fi lière étaient en ac ti vi té par tielle, soit près de per son nes. À cette date, 60 % des ef fec tifs ré gio naux en ac ti vi té par tielle re le vaient de la fi lière au to mo bile (graphique 2). Les vo lu mes res tent éle vés en fin d'année C'est aus si le cas pour le dé but de l'année Tableau 3 : Activité partielle Heures consommées en 2009 Filière automobile Ensemble de l économie régionale Part des heures consommées liées à la filière automobile Heures consommées en Dont Industrie automobile Fabrication de produits en caoutchouc et en plastique Métallurgie Fabrication de machines et équipements n.c.a Fabrication de produits métalliques, à l exception des machines et des équipements Fabrication de textiles Fabrication d autres produits minéraux non métalliques Activités liées à l emploi Imprimerie et reproduction d enregistrements Services relatifs aux bâtiments et aménagement paysager Travail du bois et fabrication d articles en bois à l exception des meubles Activités d architecture et d ingénierie ; activités de contrôle et analyses techniques Fabrication d équipements électriques Activités administratives et autres activités de soutien aux entreprises Réparation et installation de machines et d équipements Autres activités spécialisées, scientifiques et techniques Commerce de gros, à l exception des automobiles et des motocycles Source : Direccte Nord-Pas-de-Calais ; enquête sur la filière automobile en Nord-Pas-de-Calais en 2010 (Insee). Unités : nombre, % Insee Nord-Pas-de-Ca lais - Dossiers de Profils n Octobre

8 Au cours de l'année 2009, l'a jus te ment de l'em ploi a été pro fond en ré gion. Le nombre de li cen cie ments éco no mi ques re cen sés par les uni tés ter ri to ria les de la Di reccte s'est éle vé à Dans cet en semble, li cen cie ments re lè vent de la fi lière au to mo bile. Le re cours in tense à l'ac ti vi té par tielle aura sans doute per mis d'at té nuer l'am pleur de l'a jus te ment des ef fec tifs de la fi lière au to mo bile, sans pour au tant le ré duire à zéro. Graphique 2 : Salariés en activité partielle en 2008 et 2009 Source : Direccte Nord-Pas-de-Calais 14 - Insee Nord-Pas-de-Ca lais - Dossiers de Profils n Octobre 2011

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