CAHIER D ACTEURS DÉBAT RÉGIONAL SUR LA STRATÉGIE NATIONALE DE SANTÉ

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1 «La prévention et l éducation à la santé, la lutte contre les inégalités sociales et territoriales de santé» CAHIER D ACTEURS DÉBAT RÉGIONAL SUR LA STRATÉGIE NATIONALE DE SANTÉ

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3 Le 23 septembre 2013, Marisol Touraine lançait la Stratégie Nationale de Santé (SNS). Afi n de mobiliser l ensemble des acteurs autour de cette ambition forte et de préparer la loi de santé prévue pour 2014, des débats sont organisés dans toutes les régions. En Picardie, cinq débats publics se sont tenus en octobre dernier sur le thème du premier recours, l un des axes de la SNS. Ils ont alimenté un avis émis par la Conférence Régionale de la Santé et de l Autonomie (CRSA). Considérant l ambition portée par cette stratégie nationale et les enjeux qu elle présente dans notre région, l ARS de Picardie a étendu la démarche de démocratie sanitaire à un autre axe de la SNS : «la prévention et l éducation à la santé, la lutte contre les inégalités sociales et territoriales de santé». L Agence organise un débat sur ce thème le 4 février 2014 à Amiens. À cette occasion, l ensemble des personnes et des organismes invités avait la possibilité de contribuer par écrit à la réfl exion. Le présent cahier d acteurs rassemble les 27 contributions reçues.

4 Délégation départementale d une association de familles dont un proche souffre d une maladie psychiatrique grave. Association nationale, reconnue d utilité publique, agréée nationalement dont le but est l entraide entre familles et la défense de leurs intérêts, ainsi que de celui de leur proche malade. Notre travail consiste en l accueil de ces personnes, par tous les moyens disponibles, y compris localement, le soutien, et leur formation. S y ajoutent les représentations des usagers partout où leur présence est possible. Nous avons aussi une mission d information du public et...des responsables de la cité pour lutter contre la stigmatisation structurelle dont sont victimes les malades et leurs proches. Union Nationale de Familles ou Amis de Personnes Malades et Handicapées Psychiques Les personnes malades et handicapées psychiques sont très nombreuses, ce qui est attesté par de multiples rapports laissés sans suite. 1% de la population souffre de formes graves de ces maladies et ont besoin d un accompagnement humain pour vivre dans la cité. Or, cet accompagnement humain leur est refusé alors qu on a fermé depuis 40 ans lits d hopitaux psychiatriques sans prévoir quoi que ce soit pour les accueillir dans le Cité. La plupart du temps, ces malades sont renvoyés dans leur familles, sans qu elles soient préparées, soutenues, formées à cet accueil. ces conditions déplorables font le lit de très nombreuses rechutes dont le coût est très lourd. L accompagnement ne peut idéalement être bien fait qu en organisant un travail en réseau des multiples intervenants sur un bassin de vie d environ habitants, sur le modèle des «Conseils Locaux en santé Mentale», animés par le maire ou un élu le représentant, car il est la seule personne légitime à pouvoir réunir les intervenants (soignants, médico social, education nationale, police justice, etc...). Coordonnées : UNAFAM de l Aisne 8 rue du Daumont ITANCOURT Site internet : 02@unafam.org Tél Cahier d acteurs Débat régional SNS 2014

5 Notre système de santé est gravement défaillant en Picardie et dans l Aisne, dans la prise en charge des personnes souffrant de maladies psychiques. Cette défaillance coûte très cher à notre collectivité en termes de rechutes et d hospitalisations qui pourraient être évitées. La prise en charge des malades en crise, déniant leur maladie, confi ne trop souvent à des refus de soins car aucune démarche des équipes soignantes, là où se trouve l urgence, n est organisée ; le malade est laissé seul, le plus souvent à la charge des familles, dépassées par la situation pendant parfois des mois! En raison des faibles moyens des équipes soignantes, les soins se résument à la prise de neuroleptiques et à un accompagnement très insuffi sant dans les hospitalisations de jour ou CATTP dont les moyens ont été diminués ces dernières années. Il n y a pas d organisation de la vie de ces malades dans la cité (à part quelques GEMS et places de Samsah très insuffi santes), pas de foyers de vie, de résidence d accueil, pas d ESAT dédié (on les oriente vers quelques places d ESAT pour malades mentaux, ce qu ils ne sont pas!). Bien souvent, les soignants sont devant un dilemme lors de la nécessité d un accueil d urgence : quel est le malade le moins mal en point que l on pourra faire sortir pour libérer une place?.. au risque d un accident dont on ne manquera pas de faire une honteuse publicité. La prise en charge n est pas conforme aux données actuelles de la science. Les familles également, fortement perturbées par la survenue de la maladie psychiatrique en leur sein, sont le plus souvent abandonnées à leur sort, sans aide digne de ce nom, sans formation, et parfois sans lien avec les équipes soignantes qui refusent de les rencontrer. Leur qualité de vie et leur santé, physique et psychique, en est gravement altérée. Il n y a pas d Education thérapeutique des malades, aucun programme psychoéducatif pour les familles (type Profamille), sauf dans un ou deux secteurs où les soignants sont sensibilisés) dont on sait pourtant qu ils contribuent à diminuer de façon drastique les rechutes des malades. Ces programmes sont pourtant recommandés depuis plus de 10 ans dans les conférences de consensus. Au sortir de l Hôpital, pas (ou preque pas) de possibilité réaliste pour les malades de se former, d avoir une vie sociale digne de ce nom au travers d une activité professionnelle adaptée ou sociale qui nécessite un accompagnement humain important. Nous manquons cruellement de MAS, de FAM, de Foyers de Vie, de résidence d accueil avec ou sans services, de SAVS ou de SAMSAH, d ESAT dédiés car la prise en charge de ces personnes est particulièrement diffi cile et a peu à voir avec celle de l accompagnement des malades mentaux...toutes choses qui nécessitent un personnel suffi sant et bien formé. Dans la CIté, leur permettre une vie digne de ce nom, du fait de la spécifi cité et de la variabilité de leurs troubles, nécessite l intervention de multiples intervenants (soignants, familles, education Nationale, emploi, bailleurs sociaux, secteur médico social, tutelles, mairies, etc...). Cette nécessité impose une organisation transversale organisée, réactive, compétente qui ne peut se faire de façon effi cace, et effi ciente qu à travers un travail en réseau organisé, sous la houlette du maire ou d un élu le représentant et du responsable du secteur psychiatrique. Malheureusement, peu d élus ont conscience de la gravité de la situation. L idéal est constitué par le «Conseil Local en Santé Mentale» organisé à l échelle d un territoire de vie d environ personnes. ces CLSM apportent peu à peu, une nette amélioration de la vie de ces personnes à travers une qualité d accompagnement qui n existe pas autrement. Pourtant, nous savons que cela est possible dans certaines régions qui ont organisé cette prise en charge multidisciplinaire. Pourquoi cela ne serait il pas possible dans l Aisne et en Picardie? Pour plus d informations, l Unafam de l Aisne est à la disposition des responsables pour leur faire part des expériences réussies sur le territoire national. Cahier d acteurs Débat régional SNS

6 Conseil en Environnement et Air Intérieur Bureau d études indépendant spécialisé dans le diagnostic de la qualité de l air intérieur Conseiller en Environnement Intérieur (CEI). Visite à domicile. Détermination des sources de pollution et du confi nement. Conseils d éviction. Diagnostic des Etablissements Recevant du Public (ERP). Ecole, Crèche, Centre de loisirs, Hall de sport... Obligation réglementaire. Mesures du Benzène, Formaldéhyde et CO2. Contrôle des Valeurs Limites d Exposition Professionnelle (VLEP). Prélèvement des COV, mesure du taux de confi - nement. Formation, Conférences. La qualité de l air Intérieur : La qualité de l air intérieur constitue une préoccupation de santé publique. Chaque personne passe en moyenne 80% de son temps dans des environnements clos dont une majorité dans l habitat. L environnement intérieur offre une grande diversité de situations de pollution par de nombreux agents physiques et contaminants chimiques et biologiques. Air Intérieur = Air extérieur + pollutions intérieures. Les matériaux, l ameublement, l aération contribuent à modifier la qualité de l air. Le comportement et l activité de chaque personne modifient son exposition. Trouver le meilleur compromis entre économie d énergie et qualité de l air intérieur. Conseiller en Environnement Intérieur (CEI) Problématiques : Multiplication des pathologies allergiques et respiratoires. - Doublement des personnes asthmatiques en 20 ans. - Impact de l environnement intérieur sur la santé. - Adaptation du traitement en lien avec l environnement du patient. Actions : - Observer dans un logement, les sources possibles d allergènes et de polluants responsables d une gêne. - Identifi er les polluants suspectés et si nécessaire les mesurer par différentes techniques (prélèvements, tests ). - Informer et conseiller sur les risques et l éviction. Public : - Personnes allergiques, asthmatiques. - Allergologues, Pneumologues, Pédiatres. - Médecins généralistes. - Pharmacies. - ARS (Agence Régionale de Santé). - Bailleurs sociaux. - Mutuelles santé. - Agences immobilières. - Constructeurs immobiliers. - Artisans. Coordonnées : Alain CORNILLE - CEAI 9 rue des 3 Bazin CAMON Site internet : Contacts : alain.cornille@ceai.fr Tél Cahier d acteurs Débat régional SNS 2014

7 Encouragée par la direction générale de la santé, abordée dans les recommandations de la Haute Autorité de Santé concernant l éducation et le suivi des asthmatiques, et intégrée dans la PNSE (Plan National Santé Environnement) au titre du plan Asthme, la profession de Conseiller en Environnement Intérieur (CEI) se développe à travers la France, mais reste encore trop confi dentielle. Les professionnels de différents horizons (paramédical, social, bâtiment) s intéressent à la formation, mais le manque de débouchés freine souvent leur élan. Les structures institutionnelles et autres qui ont créé ces postes (hôpitaux, mairies, ARS, Conseils Généraux, réseaux asthme et allergies, associations notamment pour la mesure de la pollution extérieure) estiment vraiment répondre aux besoins des personnes. Des évaluations ont montré que la visite d un CEI arrive en tête en termes de satisfaction pour les patients. Mais la prise d initiatives par les décideurs est trop rare, pourtant la prévention tertiaire a montré son intérêt dans les maladies allergiques. Ce nouveau métier a été validé par une étude multicentrique française et le bénéfi ce clinique a été confi rmé par une étude américaine. Le CEI est un professionnel diplômé (DIU Santé Respiratoire et Habitat ou licence professionnelle des métiers de la santé et de l environnement Universités de Strasbourg), formé pour établir un audit de l environnement intérieur. Il enquête au domicile des personnes qui en font la demande par le biais d un médecin, et sur prescription de celui-ci réalise des prélèvements (poussières, moisissures ) et des mesures d allergènes. Il établit un diagnostic permettant ensuite de mettre en œuvre des mesures pour l éviction des polluants domestiques, et d adapter son habitat. Les CEI évaluent les sources d allergènes, mais également les polluants chimiques, en effectuant une visite de toutes les pièces de la maison, prenant en compte toutes les données : chauffage, ventilation, revêtements (sols, murs, plafonds), mobilier, pour mesurer selon la pathologie : Les polluants biologiques : acariens, moisissures, allergènes d animaux, blattes, plantes Les polluants chimiques : composés organiques volatils (COV), formaldéhyde... Il s informe sur les habitudes de vie, les travaux effectués ou en cours, etc Les CEI permettent d informer les personnes sur les organismes auxquels elles peuvent faire appel : Agence Nationale d Amélioration de l Habitat (ANAH), Association Départementale d Information sur le Logement (ADIL), CAUE (Conseil d Architecture d Urbanisme et d Environnement)... Les CEI interviennent à la demande d un médecin, après un diagnostic de pathologie (asthme, rhinite, eczéma, toux ) en relation avec un/des polluants de l environnement intérieur. C est généralement le médecin qui contacte le CEI pour transmettre la demande. A l heure actuelle, un grand nombre de médecins n a pas l habitude de faire appel à des CEI, par méconnaissance. Le CEI peut également intervenir dans des ERP pour donner un avis sur les sources potentielles de pollution. La qualité de l air Intérieur : La qualité de l air intérieur constitue une préoccupation de santé publique. Chaque personne passe en moyenne 80% de son temps dans des environnements clos dont une majorité dans l habitat. L environnement intérieur offre une grande diversité de situations de pollution par de nombreux agents physiques et contaminants chimiques et biologiques. Air Intérieur = Air extérieur + pollutions intérieures. Les matériaux, l ameublement, l aération contribuent à modifi er la qualité de l air. Le comportement et l activité de chaque personne modifi ent son exposition. Trouver le meilleur compromis entre économie d énergie et qualité de l air intérieur. Cahier d acteurs Débat régional SNS

8 Mutualité Française Picardie La Mutualité Française Picardie, présidée par Daniel Tourbe, fédère la totalité des mutuelles santé de la région. Plus de picards sont couverts par une Mutuelle. La MFP dispose d une expertise d offre de soins à travers 31 services de soins et d accompagnement mutualistes (dentaire, optique, audition et téléassistance). La MFP contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé. Pour optimiser la qualité du service rendu aux patients et favoriser l accessibilité fi nancière, la MFP développe des relations contractuelles avec les offreurs de soins et les professionnels de santé (le Conventionnement Hospitalier et le Conventionnement SESAM- Vitale ) et participe au développement d outils de coordination des soins comme le DMP. Coordonnées : Mutualité Française Picardie 3 boulevard Léon Blum Saint-Quentin Contact : c.girault@mutualite-picardie.fr Tel : Fax : La logique de notre système de santé et sa pérennité sont compromises. Son financement est trop dépendant d un endettement non contrôlé, les nouveaux risques sociaux sont insuffisamment pris en compte. Notre système de santé n offre plus une garantie suffisante pour permettre à tous de bénéficier de soins de qualité. La MFP rappelle son attachement intangible aux principes d universalité, son refus de la résignation face aux difficultés d accès aux soins, son refus de la banalisation des inégalités. De nombreux déterminants de santé ont des origines qui se situent hors du système de santé. Il paraît illusoire de penser que l exercice de la médecine puisse être pratiqué comme celle que nous avons vécue pendant la dernière moitié du siècle dernier. De nombreux facteurs viennent impacter ces indicateurs : l environnement, l emploi, l aménagement du territoire, l urbanisme, l éducation,... Pour un égal accès à la santé, il est indispensable de développer des actions préventives, curatives et d éducation des patients et de créer les conditions d un exercice médical partagé et coordonné. Comment lutter contre les inégalités sociales de santé? Promouvoir des bonnes pratiques individuelles et familiales de santé préservant le capital santé. Les inégalités sociales en santé reposent pour une large part sur des pratiques et des compétences favorables à la santé inégalement partagées selon les milieux sociaux. Au vu des indicateurs régionaux de santé, il nous paraît primordial de privilégier la lutte contre les maladies cardio-vasculaires et l obésité, les cancers et les addictions, sans omettre le développement d une politique nationale de santé hygiéniste. Accéder à un système de santé coordonné et partagé. Il convient de réorganiser le système en passant d un système de soins à un système de santé. Dans le cadre d une pratique médicale rénovée, incluant la prévention, le curatif, les dépistages et l ETP, le médecin traitant doit devenir l acteur central. Il détermine, en accord avec le patient, un parcours coordonné de santé incluant la délégation de tâche aux auxiliaires médicaux et aux pharmacies d offi cines et le recours à l expertise de spécialistes. L exercice d une médecine de groupe pluridisciplinaire permet de réunir les conditions nécessaires à un partage de compétences tout en améliorant l accès aux soins. Les ajustements juridiques et les évolutions tarifaires doivent permettre de dépasser la seule notion de paiement à l acte pour valoriser les temps de coordination et organiser les transferts de compétences entre PS. Pour rendre possible une meilleure coordination, il faut utiliser les technologies de l information et de la communication (télémédecine, généralisation d un Dossier Médical Personnel Partagé). Les maisons pluridisciplinaires ne peuvent pas couvrir les besoins de chaque territoire picard. Il faudrait imaginer, autour de ces structures éclatées, un rayonnement permettant un réel accès à une santé de qualité. Afi n d être attractifs, ces pôles de santé locaux pluri-sites doivent être composés d un nombre suffi sant de PS médicaux et paramédicaux pour permettre une véritable médecine coopérative. Ce dispositif permet un accès à une médecine de 1 er recours et à la mise en place d ETP évitant ainsi l accès systématique aux urgences hospitalières. 8 - Cahier d acteurs Débat régional SNS 2014

9 Permettre l accessibilité financière au système de soins : - Généraliser le Tiers Payant dans les soins de 1 er recours. La MFP développe un conventionnement Tiers Payant avec les PS, outil de maîtrise des restes à charge et en aucun cas un outil de stigmatisation des populations les plus démunies. - Développer les réseaux de soins conventionnés afi n de limiter le reste à charge des patients et de favoriser l accès à des soins de qualité. Les services mutualistes ont ici toute la responsabilité de proposer une offre alternative défi nissant les critères tarifaires et la qualité. - Limiter les dépassements d honoraires tout en revalorisant certains actes. - Renforcer la solidarité intergénérationnelle en direction des séniors, des jeunes en formation, des demandeurs d emploi et des familles monoparentales. - Accélérer la généralisation de la complémentaire santé pour lutter contre le renoncement aux soins et y permettre un accès dans les secteurs ou l Assurance maladie n offre pas de prise en charge réellement opposable. Comment développer la promotion de la santé? La politique de prévention ne peut s affranchir d une réfl exion plus globale sur les déterminants de santé : l environnement, l emploi, l aménagement du territoire, l urbanisme, l éducation, Les actions de prévention menées par la MFP ont pour objectif d améliorer la santé et la qualité de vie de tous en agissant sur des déterminants de notre champ de compétence. Développer la promotion santé permet de favoriser la participation libre et active des personnes afi n de les rendre acteurs de leur parcours de santé. La politique de prévention doit s efforcer de travailler en amont du risque. Elle doit être soutenue à tous les âges de la vie et en anticiper les grandes étapes en ciblant les actions défi nies par le PRS. Volontairement la MFP a choisi de développer des actions à tous les âges de la vie, co-construites avec des partenaires institutionnels, des professionnels, des collectivités territoriales : - Hygiène bucco-dentaire (3-6 ans) : appropriation par l enfant des bons gestes et des bonnes pratiques d hygiène expliquées par un PS, dans le cadre d un projet pédagogique de la classe. - Coup d œil (6-12 ans) : prévention des risques solaires en période estivale auprès des enfants sur les plages urbaines et bases de loisirs. - Prévention de l obésité (7-11 ans) : favoriser des comportements alimentaires sains en lien avec la pratique d une activité physique régulière dans le cadre d un projet d école. - Prévention de l obésité (11-15 ans) : favoriser la pratique d activité physique régulière en lien avec une alimentation équilibrée dans le cadre du CESC des collèges. - Santé des jeunes (18-25 ans) : favoriser le bien-être et l estime de soi des étudiants et des apprentis picards en s appuyant sur l éducation pour la santé par des paires (élèves IFSI). - Action cardio : prévention et repérage des facteurs de risques des maladies cardio-vasculaires en milieu du travail. - Promotion des dépistages organisés des cancers (50-74 ans) en lien avec les structures de dépistage locales. - Bien vieillir (> 55 ans) : favoriser le maintien de l autonomie et des liens sociaux des séniors. Anticiper et être en amont des comportements de santé à risque c est également avoir une vision nette de la situation sanitaire par bassin de vie et des facteurs de risques des populations. L OR2S est un outil important d observation sur lequel on doit s appuyer. Développer la promotion santé c est aussi la rendre effi ciente et pérenne. Pour cela les programmes de prévention doivent être évalués sur la base d indicateurs validés et mesurés par des organismes extérieurs aux porteurs des actions et tenant compte des déterminants de santé tel que l IREPS. Comment organiser les acteurs de prévention de la santé sur les territoires? La MFP a défi ni sa politique autour des axes stratégiques défi nis par le PRS. Grâce au principe de co-construction des programmes de prévention, la MFP, dans ses domaines de compétence, a la volonté de mettre en synergie les acteurs nécessaires à la déclinaison au plus près des populations dans leurs bassins de vie. La volonté d avoir une réponse globale sur un bassin de vie nécessite l intervention de plusieurs porteurs de projets. Le CLS semble être le bon lieu d échange d enrichissement et de mise en synergie des actions. Il est nécessaire qu un espace régional émerge afi n de permettre aux porteurs de projets de confronter, d enrichir et de coordonner les projets régionaux. La MFP, en relation étroite avec l IREPS, se défi nit également par sa volonté de formation des différents intervenants locaux afi n d optimiser leurs connaissances et leurs pratiques quotidiennes d intervention. Cahier d acteurs Débat régional SNS

10 Le CPSA, structure habilitée par l ARS, assure trois missions de prévention dans le département de l Aisne. Centre de Vaccinations gratuites (CV) : Séances de vaccination à partir de 6 ans sur l ensemble du département, actions d information sur la vaccination à des populations ciblées. Centre de Lutte Anti Tuberculeuse (CLAT) : Coordination départementale de la lutte anti tuberculeuse, réalisation des enquêtes autour des cas notifi és par Déclaration Obligatoire et de dépistages ciblés. Association Nationale pour la Protection de la Santé Le développement de la promotion de la santé et l organisation des acteurs de prévention et de promotion de la santé peut s améliorer pour la région Picardie par : la proximité de l offre de soins au regard de la ruralité et du niveau socio-économique de la région. le décloisonnement des différentes instances médico-sociales pour une meilleure prise en charge globale des personnes en évitant les vides et à l inverse les doublons. Centre d Information de Dépistage et de Diagnostic des Infections Sexuellement Transmissibles (CIDDIST) : Actions d information et de prévention sur les IST, le VIH et la sexualité auprès de différents publics, dépistage des IST en partenariat avec les 4 CDAG de l Aisne, remontée de données épidémiologiques. Coordonnées : A.N.P.S. - Service C.P.S.A Boulevard du 32 e d Infanterie Tergnier Site internet : Contacts : jlebas@anps.net Tél Fax Cahier d acteurs Débat régional SNS 2014

11 CV et CIDDIST Le département de l Aisne se caractérise par des indicateurs socio-économiques bas liés, pour partie à l isolement géographique. L accès aux structures de prévention et de soins est rendu diffi cile par l insuffi sance du réseau de transports. Il est indispensable d aller à la rencontre des populations en se déplaçant sur l ensemble du territoire départemental pour les actions de prévention primaire (éducation à la santé) et secondaires (dépistages). CLAT Une bonne connaissance des populations et des territoires est indispensable afi n d identifi er les populations les plus exposées et les conditions socio-économiques et culturelles induisant une plus grande vulnérabilité pour adapter les stratégies et les modalités des enquêtes et des dépistages systématiques. Le développement des aptitudes individuelles passe par des actions d éducation à la santé en adaptant le discours à tous les types de publics, débouchant sur une offre concrète de prévention (séance de vaccinations, dépistage de la tuberculose ou des IST). Pour les vaccinations, la multiplication des campagnes d information grand public semble effi cace. Pour les IST, il faut renforcer les informations collectives en milieu scolaire dès la classe de 3ème et pour les jeunes en général afi n d infl uer sur leurs comportements de santé futurs. CLAT Pour lutter effi cacement contre la tuberculose, il faut s appuyer sur un réseau qui regroupe tous les acteurs de la lutte anti tuberculeuse : CLAT, médecins hospitaliers cliniciens et biologistes, pneumologues, médecins traitants, médecins du travail, médecins scolaires. Ce réseau est encore informel, il faut créer des outils de communication entre ses différents membres. CV- CIDDIST Il est nécessaire de décloisonner les différents acteurs de la prévention, les CIDDIST et CDAG, la PMI et le Centre de Vaccinations afi n d éviter la rupture des soins de prévention qui se produit chez les enfants de 6 ans. L harmonisation des pratiques en santé publique permet de tendre vers des objectifs communs régionaux. Les structures dédiées aux missions de promotion de la santé devraient en priorité participer aux contrats locaux de santé. Le partage d information entre professionnels de santé est primordial pour améliorer les pratiques et les résultats (logiciels et carte à puce). L information du patient reste une grande diffi culté dans notre activité. Un répertoire régional informatisé et disponible sur internet regroupant toute les compétences des différentes structures permettrait de réduire les inégalités à l offre de santé. Il est indispensable d assurer la disponibilité et la gratuité sur l ensemble du territoire des vaccins et des tests de dépistage : Tubertests (sans ruptures de stock) et TROD. Cahier d acteurs Débat régional SNS

12 Mutualité Sociale Agricole de Picardie La Mutualité Sociale Agricole est le 2 e régime de protection sociale en France. Elle gère la protection des salariés et non salariés agricoles, avec deux particularités : Une organisation en guichet unique (assurance maladie, prestations familiales, retraite, recouvrement,...). Une organisation démocratique et une présence sur le terrain basées sur un réseau d élus cantonaux. Elle assure la médecine du travail, la prévention des risques professionnels, la prévention santé. Au-delà de sa mission de service public, elle développe une offre de services à caractère sanitaire et social et s investit dans l organisation de l offre de soins sur les territoires ruraux. Son objectif est de contribuer au maintien d une offre de soins de qualité et de proximité pour tous les Picards. Coordonnées : MSA de Picardie 23 rue de l Île mystérieuse Boves Site internet : Contact : wattez.joelle@picardie.msa.fr Tél Fax Lutter contre les inégalités sociales de santé : Les identifier par un diagnostic sanitaire social et économique, définir une stratégie, proposer des actions ciblées et adaptées aux différents besoins des populations du territoire. Favoriser l accessibilité par une offre de soins globale, coordonnée et de proximité. Prendre en compte les facteurs de risque et les situations fragiles, développer le tiers payant. Elaborer un projet local de santé incluant les soins, la prévention santé et au travail, le bien être. Développer la promotion de la santé : L intégrer au parcours de santé. Choisir des thèmes et cibles pertinents en fonction des priorités sanitaires et sociales nécessitant une attention spécifique. Développer le partenariat pour agir de concert et rationnellement. Organiser les acteurs de prévention et promotion de la santé sur les territoires : Les intégrer dans l offre de soins de proximité en consacrant le rôle pivot médecin traitant. Favoriser les échanges et la complémentarité des acteurs au niveau des modes d exercices, des structures, des outils. Comment lutter contre les inégalités sociales de santé? - Les inégalités sociales à l origine des problèmes de santé : Inégalités territoriales : une offre de soins défi ciente particulièrement en zone rurale, Inégalités économiques : (perte d emploi / perte de revenus, problèmes d accès à une complémentaire frais de soins ), Inégalités liées aux facteurs de risques : Vulnérabilité des personnes fragiles (personnes âgées, personnes handicapées, jeunes, précaires) ; comportements individuels (malnutrition, addictions tabac, alcool ) ; facteurs environnementaux (pollution, produits phytosanitaires, risques chimiques ). Les réponses aux inégalités de santé : - Identifier sur un territoire les inégalités de santé, défi nir les priorités avec un minimum d actions de santé publique à destination des jeunes, des personnes âgées, sur la lutte contre les addictions, la lutte contre les cancers, la santé mentale, mener des actions avec : Une approche territoriale avec une forte implication du médecin traitant : réponse de proximité à partir des besoins des personnes. Une approche globale (prévention, soins et médico sociale) dans le cadre d une politique dès le plus jeune âge et tout au long de la vie (dépistages cancers, vaccination, éducation à la santé, mise en cohérence entre les actions de prévention existante, éducation thérapeutique). - Travailler sur l accessibilité économique aux soins et à la prévention : Un accompagnement spécifi que des secteurs agricoles ou des entreprises en diffi cultés (relations entreprises). Un accompagnement au moyen d aides directes ou indirectes, individuelles ou collectives, fi nancières ou techniques par l Action Sanitaire et Sociale et la Santé Sécurité au travail. Organiser l accès fi nancier aux soins par le développement de partenariat avec les organismes d assurance complémentaire pour développer le tiers payant. - Prendre en compte les facteurs de risques par : Une approche adaptée et spécifi que par territoire, par thématique, par population (Plan stratégique de prévention de la MSA de Picardie). Des actions ciblées de promotion et d éducation à la santé. La prévention et la détection des risques professionnels et environnementaux au travail développées par la Santé Sécurité au Travail Cahier d acteurs Débat régional SNS 2014

13 Elaborer un projet local de santé incluant l offre de soins, la prévention, le bien être, en partenariat avec l ensemble des acteurs concernés dont la mobilisation renforcera l effi cience de la prise en charge, des structures, l attractivité du territoire et l équité d accès pour tous. Comment développer la promotion de la santé? - Afficher la promotion de la santé comme préalable et partie intégrante du parcours de santé. - Définir une stratégie tenant compte des priorités de santé publique, des besoins, des partenariats et des actions possibles. - Choisir des thèmes pertinents en fonction des priorités nationales et régionales de santé publique (cancer, nutrition, prévention du suicide, prévention dentaire, vaccination, prévention des risques professionnels ). - Privilégier des cibles (populations, territoires) considérées comme pertinentes car correspondant à des priorités identifi ées ou à des réalités sanitaires ou sociales nécessitant une attention spécifi que en s appuyant notamment sur les travaux de l OESS. En matière de territoire, la MSA travaille sur l ensemble du territoire de la région mais attache une attention particulière aux territoires ruraux défi nis comme sensibles par l ARS. - Développer le partenariat pour agir de concert en inter régime, avec les structures de prévention et de promotion de la santé d un territoire et l ARS. Comment organiser les acteurs de prévention et promotion de la santé sur les territoires? - Organiser l offre de soins de proximité en intégrant la prévention et la promotion de la santé : Consacrer le rôle pivot du médecin traitant dans la mise en œuvre de la prévention et l accompagner (retour d information diabète, IRC, vaccination ) ; élaboration et mise en œuvre du projet de santé dans les MSP ; travail sur les nouveaux modes de prise en charge pluridisciplinaire et coordonnée dans une logique de parcours de santé. - Promouvoir la santé en informant, en sensibilisant les populations ciblées et en leur offrant des actions adaptées de façon à les rendre actrices de leur santé. Jeunes : atelier nutrition, prévention addictologies, hygiène buccodentaire Personnes âgées : ateliers mémoire, ateliers du bien vieillir... Travailleurs agricoles : prévention des risques professionnels Tout public : promotion des dépistages des cancers, des campagnes de vaccination. - Favoriser les échanges et la complémentarité entre professionnels de santé : Favoriser les nouveaux modes d exercice pluridisciplinaire et coordonné au sein des structures (MSP, réseaux). Accompagner les professionnels de santé dans la formalisation et la mise en œuvre d un projet de santé fédérateur articulant projet professionnel et modalités d organisation d une prise en charge globale, continue et coordonnée. Promouvoir les outils facilitant l exercice pluridisciplinaire et coordonné : DMP 2, télémédecine... Les atouts de la MSA de Picardie : - Sa connaissance de la Picardie par sa compétence régionale et sa présence sur le territoire. - Son organisation démocratique et son maillage cantonal. - Son guichet unique et son Observatoire Economique Sanitaire et Social qui lui permet de disposer d informations sanitaires, sociales et économiques précises. - Son organisation fonctionnelle et transversale regroupant l ensemble de ses domaines de compétence (maladie, santé, prévention, famille, vieillesse, recouvrement, action sanitaire et sociale, santé sécurité au travail), qui lui permet de mettre en œuvre des plans d actions concertés avec une approche territoriale, populationnelle et thématique : (Plan stratégique de prévention, plan Santé Sécurité au Travail, plan d Action Sanitaire et Sociale). - Sa philosophie d intervention basée sur une approche territoriale et partenariale, privilégiant la concertation et la coordination des acteurs pour concevoir des dispositifs d actions innovants, rationnels et optimisés dans les moyens utilisés. - Son engagement de longue date pour favoriser l accès aux soins particulièrement sur les territoires ruraux dans le cadre d expérimentations ou dispositifs rapprochant les assurés des professionnels de santé dont le pivot reste le médecin traitant, pour assurer une prise en charge globale continue et coordonnée des patients : réseaux de santé, MSP. - L intégration et la primauté accordée à la prévention depuis l origine de son action dans tous les domaines (santé, risque professionnel, social, économique) en mettant en œuvre des actions individuelles ou collectives en milieu scolaire, professionnel, industriel ou sur des lieux de vie. Forte de ces spécificités, la MSA de Picardie a la capacité et l ambition de se positionner comme un partenaire privilégié pour accompagner un projet global de santé sur un territoire de proximité. Cahier d acteurs Débat régional SNS

14 Association Départementale des Services de Maintien à Domicile de la Somme Créée en 2001, l ADSMHAD 80 (Association départementale des services de maintien à domicile de la Somme) appelle les 24 SSIAD du département (services de soins infi rmiers à domicile) à s engager dans une réfl exion collective autour des conditions d intervention des acteurs de proximité au domicile des publics âgés et handicapés. Sur son cœur de métier de l organisation et du suivi des soins, l association optimise une intervention à domicile transversale qui veut associer les partenaires du secteur, que sont les professionnels de santé libéraux, les services d HAD, le réseau PALPI et les équipes spécialisées Alzheimer (ESA). Coordonnées : Association départementale des services de maintien à domicile de la Somme 252 rue de Cottenchy Amiens Site internet : maintien-adomicile.com Contacts : Président : Docteur Joseph Casile Tél : Mail : acasile@wanadoo.fr L ADSMHAD se positionne comme un facilitateur au service des territoires des SSIAD afin de créer des dynamiques partagées autour du maintien à domicile conçu dans sa globalité. Initialement créée pour aider les IDEC et les Aides soignantes des SSIAD de la Somme à sortir de leur isolement et à se connaître, à travers une culture commune du soin à domicile, l ADSMHAD a passé ensuite de nombreuses conventions avec les structures intervenant au domicile, ou participant d une politique de maintien à domicile des personnes âgées et/ou handicapées. Car le choix du domicile est plébiscité par la plupart des personnes vieillissantes, en alternative aux établissements de vie collective. Au-delà du soin, «l animation» en constitue la pièce maîtresse : il faut la concevoir, l organiser, l entretenir et trouver les moyens de la financer. Sortir du domicile crée et entretient le lien social. Echappant jusqu alors aux prérogatives des SSIAD, la prise en compte des conditions d habitat permet une mise en relation avec les entreprises du bâtiment et de l aménagement intérieur, ainsi qu avec les élus communaux, pour une meilleure intégration mutuelle des compétences. Dés lors s est constitué un important tissu relationnel, véritable réseau du maintien à domicile, qui s attache à créer des liens durables avec : - Les services d aide à la personne. - Le CHU pour les entrées et sorties d hôpital. - Le réseau PALPI de soins palliatifs. - Les services d Hospitalisation à domicile. - Le centre culturel Jacques Tati. - L association «Siel bleu», l APSAS et le SSIAD «Amiens santé» pour l animation des personnes âgées du quartier sud d Amiens, et le repérage des personnes âgées en GIR V et VI. - L IFAS, en association avec la structure d insertion «ménage service» pour la formation d Auxiliaires de vie au métier d Aides soignantes. - La commune de Longueau pour la création d un «guichet unique» au sein du CCAS. - L OPSOM pour l aménagement d un logement adapté à la perte d autonomie dans la commune de Longueau. - Le GCS e-santé pour la mise en place du dossier «bureautique santé» destiné à remplacer le dossier papier actuellement en usage, qui deviendra l interface des SSIAD avec le DMP. Toutes ces constructions autour du domicile de la personne âgée et/ou handicapée visent à aplanir les diffi cultés de communication entre les secteurs sanitaire, social et médicosocial qui sont confrontés à des différences de gouvernance, à des diffi cultés d équilibre budgétaire pour les secteurs social et médicosocial, et au peu de visibilié du secteur du maintien à domicile qui n est pas organisé pour travailler en concertation rapprochée avec les professionnels de santé libéraux. Avec l aide des Aides soignantes qui sont au contact quotidien des personnes âgées et/ou handicapées dont elles connaissent les habitudes vie et les conditions d habitat, l ADSMHAD a établi un cahier des charges destiné à prendre en compte tous les éléments du domicile compatibles avec une prise en charge crédible, sécurisée, évolutive et durable. Ce document a servi de support pour aménager un «logement témoin» situé à Longueau et appartenant à l OPSOM, avec un fi nancement de la CARSAT Nord- Picardie. Destiné à servir de vitrine pour l ADSMHAD qui souhaite montrer que le domicile ainsi conçu, avec ses trois volets : aménagement, animation et services, constitue une alternative à l institution. Cet appartement pourra bientôt être visité. S inspirant du rapport de Muriel Boulmier de juin 2010, ce logement a été aménagé par les artisans de la CAPEB dépositaires du label «Handibat». Modélisable, il donne 14 - Cahier d acteurs Débat régional SNS 2014

15 une bonne idée de ce que peut être un logement évolutif, adapté aux effets attendus du vieillissement, pour une personne âgée qui souhaite continuer à vivre chez elle malgré les aléas de la vie et les effets attendus du vieillissement. Il sera prochainement équipé par le GCS e-santé d une tablette multi cartes destinée à faire communiquer ensemble les professionnels de santé libéraux, les IDEC, les services d aide à la personne et les centres hospitaliers à partir du dossier «bureautique santé» via le DMP. Probablement y verrons nous également en expérimentation le «pilulier intelligent» destiné à accompagner l observance thérapeutique. Modélisable, en relation permanente avec le SSIAD et les services d aide à la personne du territoire concerné, le «logement dédié» pourra revenir à une autre personne âgée si la/le précédent(e) occupant(e) et sa famille l ont décidé au préalable, selon un contrat à établir. Les élus municipaux ont vocation à devenir nos partenaires privilégiés, afi n de préserver le patrimoine architectural et humain de leur commune et/ou de leur quartier. Désormais le «diagnostic habitat» va entrer dans la pratique des SSIAD qui établiront un état des lieux au plus près des personnes âgées dont ils ont la charge, pour ensuite les inciter ainsi que leurs familles à anticiper leur devenir pour que le maintien à domicile se déroule conformément à leurs voeux. Le travail de l association se situe à la croisée des champs d intervention qui encadrent les logiques de maintien à domicile (soins à domicile, services à la personne, logement et maintien du lien social). Le véritable enjeu est désormais de créer des espaces de dialogue entre ces différents intervenants et de fi xer le cadre d une coordination qui permette : - D harmoniser une prise en charge globale, en amplifi ant le travail en réseau et la coordination entre les acteurs. - De partager une culture commune de travail et de rendre l information plus accessible autour des parcours de vie des publics âgés ou handicapés. Cette démarche nécessite une approche territoriale afi n de répondre aux caractéristiques et aux besoins identifi és localement. L ADSMHAD propose une méthodologie permettant : - De procéder à un état des lieux de l ensemble des acteurs et de l offre de services qui accompagne les personnes âgées au sein de leur logement (structures de soins, services à domicile, animations, aides à la mobilité, bailleurs). - D accompagner concrètement la mise en œuvre d une gouvernance territoriale, qui prendrait appui sur les ressources de l ADSMHAD (conventions entre structures, diagnostic d adaptabilité du bâti, expertise d ateliers d animation, formation, dossier médical personnel.). - De créer un «living lab» en collaboration avec des partenaires de terrain. - De devenir acteur de la «Silver Economy». Bibliographie autour du concept de «logement dédié»: CREAI : - Exploitation de 232 questionnaires, décembre FEHAP : - Présentation du «logement dédié» lors d une rencontre interrégionale à Reims, le 24 octobre Projet nominé au congrès de la FEHAP de novembre 2012 à Strasbourg. UPJV - trois mémoires de master II : - Audrey Boquet : «L Innovation socio économique dans le maintien des personnes âgées à domicile». 16 novembre UER économie. - Sophie Coulibaly : «Les conditions de vie des personnes âgées en perte d autonomie : le logement dédié». 25 octobre UER de sociologie. - Fabienne Boucher : 25 octobre UER de sociologie. Conseil Régional de Picardie : constitution d un dossier AMI dans le cadre de l ARI : janvier Coderpa de l OISE : présentation du «logement dédié» au cours de la «semaine bleue» à Beauvais le 19 octobre Plateforme sanitaire et sociale OR2S/ CRES : - Publication n 19 avril 2013, page 6. - Réunion publique CREAI : journée «bien vieillir»le 14 novembre Quatre pages le 24 janvier ANAP : Etat des lieux sur la contribution des systèmes d information dans le secteur médico-social à la mise en place d une logique de parcours : Association des SSIAD de la Somme. «Déploiement de Bureautique santé au sein des SSIAD du département de la Somme». ARS de Picardie : droits des usagers de la santé : 24 décembre CARSAT : attribution d une subvention de à la suite d une réponse à AAP, le 8 octobre Réseau rural de Picardie : publication le 4 janvier Site : maintien-adomicile.com La lettre du centre d information des services à la personne Agevillage- Personnes âgées : la Somme invente le concept de «logement dédié». 14 février Cahier d acteurs Débat régional SNS

16 Le SNAO, créé en 1959, est le premier syndicat représentatif des orthoptistes, ceci quels que soient leurs modes d exercice. A ce jour, il compte parmi ses adhérents près de la moitié des professionnels libéraux et près d un tiers de l ensemble de la profession. Le SNAO siège dans toutes les commissions et organisations réglementaires et est présent sur l ensemble du territoire grâce à ses délégués régionaux. Il assure la présidence de toutes les URPS régionales. Le SNAO est fortement impliqué dans l évolution de la profession et travaille en concertation avec les autres acteurs de la fi lière visuelle (ophtalmologistes et opticiens) à une approche renouvelée de la santé visuelle de la population dont les besoins de prise en charge ne vont faire que croître dans un délai très proche. Syndicat National Autonome des Orthoptistes Les orthoptistes possèdent les compétences en matière de dépistage des anomalies visuelles. Ils sont habilités à délivrer des conseils sur le système de santé en matière d accès et de qualité de soins, des règles de prévention, d ergonomie visuelle et d éducation thérapeutique. Les orthoptistes peuvent intervenir dans la prise en charge des troubles visuels pouvant entraîner des difficultés d apprentissages chez l enfant comme une perte d autonomie chez la personne âgée. Ils travaillent en lien avec les médecins ophtalmologistes et peuvent être une alternative à leur démographie déclinante en assurant le suivi des patients non pathologiques et en les orientant à bon escient. Coordonnées : Syndicat National Autonome des Orthoptistes 22 rue Richer PARIS Site internet : Contacts : snao@snao.fr Tél Fax Cahier d acteurs Débat régional SNS 2014

17 La possibilité pour les orthoptistes de pouvoir orienter les cas potentiellement pathologiques de manière urgente vers les médecins ophtalmologistes et de recommander une évolution de la correction optique en évitant les délais d attente souvent trop longs pour obtenir une consultation ophtalmologique serait d une utilité pratique incontestable si tant est que les textes offi ciels, la nomenclature des actes et l approche économique incontournable le permettent. De plus, en leur qualité de professionnels paramédicaux, les orthoptistes sont habilités à délivrer des conseils sur le système de santé national et/ou régional en matière d accès et de qualité des soins et des évolutions techniques qui sont très nombreux dans la fi lière visuelle. Ils peuvent aussi délivrer des informations sur leur place au sein du système de soins ainsi qu informer la population cible sur les compétences des autres professions de santé. Des règles de prévention, d ergonomie visuelle et d éducation thérapeutique peuvent être aussi dispensées afi n de sensibiliser la population aux mesures à mettre en œuvre afi n d obtenir un confort pérenne et améliorer l observance des traitements mis en place. des patients non pathologiques (que nous dénommons la physiologie visuelle) après une première consultation ophtalmologique ayant assuré que l état du patient ne présentait aucun signe ni aucun risque de pathologie oculaire, de suivre les patients avec une pathologie stabilisée (DMLA, glaucome, rétinopathie diabétique ) afi n de libérer du temps médical aux ophtalmologistes et de leur réadresser immédiatement le patient en cas de déviance des mesures, de pouvoir faire renouveler les lunettes des patients dans un délai de 3 ans à la suite d une consultation ophtalmologique si, encore une fois, les mesures restent «normales» et peut être à terme de pouvoir recevoir les patients en première intention afi n de pouvoir assurer un premier tri et une sélection des patients qui sont potentiellement prioritaire pour une consultation ophtalmologique rapide. Ces nouvelles prérogatives ne doivent pas faire oublier le volet rééducatif de la profession qui permettra, et qui permet déjà, d éviter autant que faire se peut, la perte d autonomie et la grabatisation des personnes âgées et/ou dépendantes atteintes de pathologies dégénératives et neuro dégénératives liées à l âge et/ou de malvoyance. Une nouvelle organisation est souhaitable à la fois en raison du contexte démographique déclinant des médecins ophtalmologistes, du vieillissement de la population avec le développement des pathologies qui y sont liées et du nombre d actes croissant que réclame la bonne santé visuelle de la population. Les médecins ophtalmologistes ne pourront plus assurer l ensemble des actes auprès de toute la population. C est pourquoi les orthoptistes se proposent à l avenir de suivre la majorité Cahier d acteurs Débat régional SNS

18 Association Nationale de Prévention en Alcoologie et Addictologie L A.N.P.A.A., reconnue d utilité publique, agréée d éducation populaire, association éducative complémentaire de l enseignement public, organisme de formation, soutenue par l Etat et l Assurance Maladie, l A.N.P.A.A. inscrit son action dans le cadre de politiques publiques de santé publique, sociales et médico-sociales qu elle décline sur l ensemble du territoire national compte tenu des besoins identifi és. Le domaine d action de l A.N.P.A.A. couvre aujourd hui l ensemble des addictions considérées comme des déterminants de santé : usages, usages détournés et mésusages d alcool, tabac, drogues illicites et médicaments psychotropes, pratiques de jeu excessif et autres addictions sans produit. Les risques liés à ces comportements pour l individu, son entourage, et la société, sont abordés dans une perspective globale, psychologique, biomédicale, et sociale. Coordonnées : A.N.P.A.A. Picardie 29 rue Lamarck Amiens Site internet : Contacts : Anpaa80@anpaa.asso.fr Tél Fax L A.N.P.A.A. propose une démarche globale permettant de coordonner la prévention avec le soin et l intervention sociale. Cette démarche concerne l ensemble des conduites à risque du champ de l alcoologie et de l addictologie. La personne doit être au centre de la prévention en tant que sujet et non en tant que cible. Nous devons œuvrer à renforcer les compétences individuelles et collectives à faire des choix favorables à la santé. Chaque action doit s adapter à son public et au contexte local en concertation et coordination avec les partenaires potentiels et les actions en cours ou programmées. Le principe de continuité doit être reconnu comme une nécessité dans un souci d efficacité des actions de prévention. Enfin, toute intervention doit être conçue et menée dans une approche partenariale dans le respect des compétences, missions et obligations déontologiques de chacun. Le domaine d action de l A.N.P.A.A. couvre l ensemble des addictions considérées comme des déterminants de santé: usages, usages détournés et mésusages d alcool, tabac, drogues illicites et médicaments psychotropes, pratiques de jeu excessif et autres addictions sans produit. Les risques liés à ces comportements pour l individu, son entourage, et la société, sont abordés dans une perspective globale, psychologique, biomédicale, et sociale. Son intervention, dans la proximité et dans la durée, s inscrit dans un continuum de la prévention et l intervention précoce à la réduction des risques, aux soins et à l accompagnement. Cette démarche concerne l ensemble des conduites à risque du champ de l alcoologie et de l addictologie, c est-à-dire les différents comportements de consommation de substances psychoactives et les autres pratiques addictives. Cette démarche se veut globale en prenant en compte : - La personne dans la singularité de ses déterminants biologiques, psychologiques et sociaux et dans son environnement au sein de sa famille, de sa communauté et de la population en général. - La société et les déterminants collectifs d ordre culturel, économique, juridique. - Les objectifs de santé telle qu elle fut défi nie par l OMS et la charte d Ottawa. «La santé est la mesure dans laquelle un individu ou un groupe peut, d une part, réaliser ses aspirations et satisfaire ses besoins et, d autre part, évoluer avec le milieu et s y adapter. La santé est donc perçue comme une ressource de la vie quotidienne et non comme le but de la vie ; il s agit d un concept positif mettant en valeur les ressources sociales et individuelles ainsi que les capacités physiques» Cahier d acteurs Débat régional SNS 2014

19 La prévention en santé est la construction d un espace de réfl exion et d action pour renforcer la protection des citoyens face aux facteurs de risques collectifs et individuels de morbidité et pour les inviter à faire des choix responsables et favorables à la santé, dans le respect de leurs libertés et de la loi. La prévention, l accompagnement et les soins doivent agir sur plusieurs déterminants à la fois : non seulement sur des facteurs de risques mais aussi sur les déterminants premiers des usages et addictions. Il y a nécessité d agir sur : - Les conditions de vie et facteurs individuels : vulnérabilité biologique et psychique, sexe, âge, comorbidités psychiatriques. - Les facteurs sociaux : inégalités sociales et territoriales d accès aux moyens de prévention, accompagnement vers le soin. - Les facteurs économiques : accessibilité des produits (production, publicité, points de vente, âge d accès au produit, fi scalité). - Les facteurs environnementaux : notamment accessibilité des produits. La prévention s adresse à des sujets et sollicite leur participation et leur adhésion, dans le respect de leur autonomie, de leurs valeurs et de leurs sensibilités, avec le souci permanent de leur bien-être et de leur santé, ainsi que ceux de leurs proches. Les équipes de prévention interviennent par la sensibilisation, l information et le développement des compétences psychosociales dans une démarche d éducation et de promotion pour la santé auprès des scolaires et étudiants, par la réduction des risques auprès des milieux festifs et auprès des populations vulnérables, et par la formation de personnes relais auprès des entreprises. La prévention doit délibérément s inscrire dans la durée, à tout âge, pour tout public et en tout lieu. L A.N.P.A.A. intervient dans la proximité, grâce à la présence d équipes professionnelles dans tous nos comités régionaux implantés sur l ensemble du territoire. Cette proximité se concrétise par des interventions au plus près des populations, en appui de la déclinaison territoriale des politiques publiques en addictologie, selon un continuum en 4 axes : - Continuum des addictions : toutes les pratiques addictives, avec ou sans produits. - Continuum des activités : la promotion de la santé, la prévention des risques, le repérage précoce, la réduction des dommages, l accompagnement et les soins. - Continuum des publics : en s adressant à tous les milieux, à tous les âges de la vie, en tout lieu : de travail, de loisirs, d activités sportives, aux personnes présentant des pratiques addictives et leur entourage, aux populations vulnérables : jeunes, femmes enceintes, personnes en situation de précarité, personnes sous main de justice, seniors ). - Continuum des territoires : reposant sur un maillage pertinent et intégrant l ensemble des partenaires et des acteurs. Et selon des modalités d intervention adaptées aux publics et ajustées aux problématiques. Pour conclure, il est important de souligner que le développement de la prévention est un enjeu essentiel pour une politique de santé publique effi cace qui vise à diminuer la mortalité prématurée et à améliorer l espérance de vie en bonne santé. Enfi n : «Nous savons que pour légitimer le discours sur le risque et la mesure, il faut aussi savoir parler du plaisir que procure les conduites incriminées. Prendre en considération le plaisir de courir des risques et les jouissances des excès et la seule voie pour que le discours de prévention soit un discours de vérité et qu il soit entendu par tous et surtout les publics les plus exposés. La prévention doit encore et souvent acquérir une dimension nouvelle qui tienne compte de l irrationalité de l homme, de la dimension inconsciente, en utilisant les émotions et pas seulement la raison, en particulier bien sûr à propos des produits modifi ant la conscience et la rationalité» («Politiques de prévention des addictions, tabagisme, alcoolisme, toxicomanie» extrait tiré d une synthèse de quatre textes publiés dans la deuxième édition du Traité de santé publique, Flammarion, Médecine-Science, de 2007, Alain Morel, Alain Rigaud, Michel Craplet, François Bourdillon). Cahier d acteurs Débat régional SNS

20 Des maladies non transmissibles aux pandémies industrielles. Pr Gérard Dubois Président de la commission addictions de l Académie nationale de médecine. Président de la Commission Spécialisée Prévention de la CRSA de Picardie. L action publique s est historiquement développée contre les maladies infectieuses, première cause de mortalité jusqu au milieu du XX e siècle. Elles ne représentent plus aujourd hui que 2% de la mortalité en France, même si le sida et la maladie de la vache folle nous rappellent à la vigilance. Aujourd hui, la santé publique n est pas sans paradoxes. Si tout un chacun peut citer l auteur de la première transplantation cardiaque (Christian Barnard), peu connaissent le nom de celui qui a permis d éradiquer la variole (Donald Henderson). Donc, peu de notoriété à attendre en cas de succès en santé publique. Par contre si l erreur du clinicien tue à l unité, l erreur en santé publique chiffre douloureusement. Le nombre de morts subites du nourrisson a triplé après que l on ait conseillé la position ventrale, soit un bond de 600 cas chaque année, jusqu à ce que l on se ravise en L espérance de vie des Français n a jamais été aussi élevée, mais les Français craignent de plus en plus leur environnement et 70% négligent les causes des maladies chroniques, dites maladies non transmissibles ou MNT, le tout dans une ambiance de défi ance. Il est cependant nécessaire de regarder la réalité en face. En 2008, sur les 57 millions de décès dans le monde, 36 (environ 2/3) étaient dus aux MNT. Ce sont 8 décès par MNT sur 10, donc environ la moitié de la totalité des décès dans le monde, qui sont dus aux quatre premières d entre elles : les maladies cardiovasculaires (17 millions), les cancers (7,6 millions), les maladies respiratoires chroniques (4,2 millions) et le diabète (1,3 million). Les décès par MNT ne sont plus réservés aux pays développés car 8 sur 10 surviennent dans les pays à niveau de vie bas ou moyen. Contact : pr.g.dubois@wanadoo.fr 20 - Cahier d acteurs Débat régional SNS 2014

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