Pollution aux particules PM10 dans le Grand Est. Episode de pollution aux particules PM10 sur la région Grand Est
|
|
- Anne-Marie Fradette
- il y a 4 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Pollution aux particules PM10 dans le Grand Est Episode de pollution aux particules PM10 sur la région Grand Est du 22 au 24 mars 2019 Sommaire 1. Description de l épisode Les procédures réglementaires Mise en place des mesures d urgence
2 Episode de pollution aux particules PM10 de type «combustion» 1. Description de l épisode L épisode de pollution en particules PM10, qui a eu lieu du 22 au 24 mars 2019 sur la région Grand Est, a été de type «Mixte». La formation des particules secondaires à partir de l ammoniac et de nitrate a conduit à une forte augmentation des niveaux enregistrés. L origine de ces particules secondaires responsables de cet épisode est très majoritairement liée au secteur agricole pour l ammoniac (épandages de produits fertilisants) et aux transports routiers pour les nitrates. La part des particules d origine carbonées issue de la combustion (chauffage domestique, moteurs de véhicules) reste minoritaire dans l épisode observé. Pendant plusieurs jours des conditions anticycloniques avec des vents faibles et des inversions de températures dans les premières heures de la journée n ont pas permis la dispersion des polluants atmosphériques. Il en a résulté une accumulation progressive des particules fines PM10 et la hausse des concentrations sur la plus grande partie du territoire régional. Les procédures d'information et de recommandations déclenchées et les épisodes manqués constatés au cours de cet épisodes sont les suivants : Samedi 23 mars 2019 : - Les critères de déclenchement pour la surface (plus de 100 km² sur la région Grand Est et plus de 10 km² du département) et/ou la population (plus de 10% de la population du département) ont été atteints dans les départements des Ardennes, de la Marne, de la Meurthe-et-Moselle et de la Moselle entrainant un épisode manqué pour ces départements. Par ailleurs un dépassement du seuil d information et de recommandations a été enregistré dans la Marne au niveau des stations de Bétheny (54,5 µg/m 3 ) et de Châlons-en-Champagne (52,1 µg/m 3 ), dans la Meurthe-et-Moselle au niveau de la station de Fléville (52,9 µg/m 3 ), et de la Moselle au niveau de la station de Metz Centre (54,2 µg/m 3 ). Dimanche 24 mars 2019 : - Déclenchement de la procédure d information et de recommandations sur les départements de la Meurthe-et-Moselle, de la Meuse, de la Moselle et du Haut- Rhin. - Les critères de déclenchement pour la surface (plus de 100 km² sur la région Grand Est et plus de 10 km² du département) et/ou la population (plus de 10% de la population du département ou plus de habitants dans la Meuse) ont également été atteints dans les départements de la Haute-Marne, du Bas-Rhin et 2
3 Lundi 25 mars 2019 : des Vosges entrainant un épisode manqué pour ces départements. Par ailleurs un dépassement du seuil d information et de recommandations a été enregistré dans le Bas-Rhin au niveau de la station de Strasbourg Nord (55,3 µg/m 3 ) et des Vosges au niveau de la station de Vittel (51,2 µg/m 3 ). - Levée des procédures d information et de recommandations pour l ensemble des départements du Grand Est. A partir du lundi 25 mars 2019, l arrivée d une perturbation, notamment accompagnée de vents moyens à localement forts, conduit à la dispersion des polluants atmosphériques. La qualité de l air enregistre une nette amélioration. 3
4 Bilan des dépassements sur les stations des mesures Les stations de mesures ont présenté des dépassements du seuil d information et de recommandations (50 µg/m 3 en moyenne journalière) en situation de fond le 23 mars 2019 pour les départements de la Marne, de la Meurthe-et-Moselle et de la Moselle, et le 24 mars 2019 pour les départements du Bas-Rhin, du Haut-Rhin, de la Meurthe-et-Moselle, de la Meuse et des Vosges A titre d information complémentaire, des dépassements de la moyenne journalière à 50 µg/m 3 pour les particules PM10 ont été observés au cours de l épisode de pollution pour des sites de proximité trafic pour les départements suivants : Bas-Rhin, Haut-Rhin, Marne, Meurthe-et-Moselle et Moselle. Le seuil d alerte pour les particules PM10 (80 µg/m 3 en moyenne journalière) n a pas été dépassé au cours de cet épisode de pollution. Départements Influence 22/03/ /03/ /03/2019 Fond Ardennes Trafic Fond Aube Trafic Fond Bas-Rhin Trafic Fond Haut-Rhin Trafic Fond Haute-Marne Trafic Fond Marne Trafic Fond Meurthe-et-Moselle Trafic Fond Meuse Trafic Fond Moselle Trafic Fond Vosges Trafic Moyennes journalières en PM10 sur les stations de mesures du réseau d ATMO Grand Est (poste le plus chargés du département). En orange dans le tableau : journées présentant pour la station concernée un dépassement du seuil d information et de recommandations - En rouge dans le tableau : journées présentant pour la station concernée un dépassement du seuil d alerte. 4
5 2. Les procédures réglementaires Bilan des procédures Ces dépassements du seuil d information et de recommandations ont entraîné des déclenchements de procédures réglementaires conformément à l arrêté inter préfectoral du 24 mai Le tableau ci-dessous reprend les procédures déclenchées sur chacun des départements du Grand Est. Départements 23/03 24/03 25/03 Ardennes Episode manqué Aube Marne Haute Marne Episode manqué Episode manqué Meurthe et Moselle Episode manqué Levée Meuse Levée Moselle Episode manqué Levée Vosges Episode manqué Bas-Rhin Episode manqué Haut-Rhin Levée Journées ayant présenté un déclenchement d une procédure d information et de recommandations ou d alerte (échéance pour le lendemain). En orange : Procédure d information En rouge : Procédure d alerte sur persistance ou dépassement du Seuil d alerte Aucune procédure d alerte n a été déclenchée au cours de cet épisode de pollution en particules PM10. Les déclenchements des procédures d information et de recommandations ont été établies sur une journée et ont été levées dès le lendemain. 3. Mise en place des mesures d urgence Au cours de cet épisode de pollution qui a eu lieu du 23 au 24 mars 2019, aucune procédure d alerte n a été déclenchée. Il n y a donc pas eu de mesures d urgence mises en place. 5
6 ANNEXE 1 : CARTES DES EPISODES DE POLLUTION EN DEPASSEMENT DU SEUIL D INFORMATION-RECOMMANDATIONS EN PARTICULES AU NIVEAU GRAND EST 22/03 23/03 24/03 Cartes journalières des concentrations de particules PM10 (en µg/m 3 ) issues de la modélisation PREVEST (J-1) corrigée à l aide des stations de mesures. 6
7 Annexe 2 : Bilan de dépassements des critères de superficie et de population au cours de l épisode de pollution aux particules : Les tableaux ci-dessous présentent les superficies, les populations concernées par un dépassement de seuil (SIR pour les superficies et les populations et SA pour les populations) par département et journée de l épisode de pollution. Ces indicateurs sont issus de la modélisation PREVEST (J-1) corrigée à l aide des stations de mesures. En jaune, les critères de déclenchement conformément au projet d arrêté inter préfectoral sont remplis. La superficie régionale concernée par des dépassements du SIR a rempli les critères de déclenchement (100 km²) le 23 mars 2019 avec km² de zone en dépassement et km² (soit plus de 10% de la surface régionale) le 24 mars Les départements concernés par ces dépassements étaient les Ardennes, la Marne, la Haute-Marne, la Meurthe et Moselle, la Meuse, la Moselle, les Vosges, le Bas-Rhin et le Haut-Rhin. Superficie > SIR Critère de déclenchement rempli Départements km² 23-mars 24-mars Champagne Ardenne Ardennes Aube Marne Haute Marne Lorraine Meurthe et Moselle Meuse Moselle Vosges Alsace Bas-Rhin Haut-Rhin TOTAL REGION
8 Le critère de population ( 10 % de la population totale du département ou plus de habitants pour certains départements), a été observé le 23 mars 2019 pour les départements de la Marne et de la Moselle, et le 24 mars 2019 pour les départements de la Meurthe-et- Moselle, de la Meuse, du Bas-Rhin et du Haut-Rhin. Du 23 au 24 mars, plus de personnes (soit près de 39% de la population régionale) ont été concernées par un dépassement du seuil d information et de recommandation en particules PM10. Population > SIR Critère de déclenchement rempli Départements Pop mars 24-mars Champagne Ardenne Lorraine Alsace Ardennes Aube Marne Haute Marne Meurthe et Moselle Meuse Moselle Vosges Bas-Rhin Haut-Rhin TOTAL REGION
9 Annexe 3 : Concentrations de particules sur les stations de mesures du Grand Est D OU VIENNENT LES PARTICULES Les émissions de particules PM10 à l échelle régionale La pollution par les particules est complexe car d origine multiple. Lors des épisodes hivernaux, les particules sont principalement émises directement (particules primaires) par les secteurs du chauffage résidentiel et tertiaire, du transport routier, de l industrie, voire de l agriculture. A l intersaison des particules secondaires peuvent être présentes et résultent de la transformation de précurseurs gazeux tels que l ammoniac, l acide nitrique ou le dioxyde de soufre. ATMO Grand Est dispose d équipements qui permettent et d évaluer la composition des chimique des particules sur plusieurs sites de mesures. Caractérisation des particules et de leurs précurseurs Au moins trois sites disposent d équipements de mesure qui permettent d évaluer notamment la part des particules du chauffage au bois et de la combustion de combustibles fossiles dans les niveaux de concentrations en particules constatés. Si dans le courant de la semaine qui a précédé l épisode de pollution des 23 et 24 mars 2019, la part des particules primaires issues de la combustion est identifiable à travers l examen des mesures fournies par ces analyseurs, elle ne permet pas d expliquer les épisodes de pollution qui ont été observés les 23 et 24 mars Les activités agricoles, ayant contribué à la formation de particules secondaires (nitrate d ammonium) à partir d ammoniac sont vraisemblablement à l origine des niveaux de particules fines observées. Les stations disposant d une mesure d ammoniac ont montré une très nette augmentation à partir du 19 mars et jusqu au 23 mars, notamment dans les secteurs de Reims et Troyes. 9
10 80 Reims Jean d'aulan 60 µg/m µg/m % 18% 9% 72% 18% 10% PMwb PMff PM10reste 74% 18% 8% 83% 20/03/ /03/ /03/ /03/ % 6% 79% 15% 6% 84% 11% 5% 82% 11% 7% En Moselle sur le secteur de Metz Borny, la part des particules fines d origine primaire représente moins de 20% le 23 mars et environ 10% le 24 mars. Là encore les particules secondaires sont responsables de l épisode de pollution observé. 80 Metz Borny 60 µg/m µg/m PMwb PMff PM10reste 24% 18% 11% 22% 13% 6% 6% 4% 64% 12% 13% 71% 65% 81% 90% 8% 5% 8% 5% 87% 87% 20/03/ /03/ /03/ /03/
11 Sur l ensemble de la semaine qui a précédé l épisode de pollution la part des particules fines d origine primaire est encore plus faible sur le secteur de Strasbourg. Elle tombe à moins de 10% le 24 mars. La cause de l épisode de pollution aux particules fines est surtout liée à la présence de particules secondaires liées à l activité agricole. 100 Strasbourg Robertsau 80 µg/m µg/m % 20% 7% 79% 14% 7% PMwb PMff PM10reste 67% 21% 12% 82% 20/03/ /03/ /03/ /03/ % 6% 92% 4%4% 89% 7% 4% 84% 10% 6% 11
12 Au niveau du quartier de Borny à Metz, un analyseur de type ACSM permet le suivi des espèces chimiques au sein des PM1. Par estimation, il est possible de réaliser une reconstitution approchée de ce que contiendraient les particules PM10. Le 23 et 24 mars, les particules issues des émissions primaires (combustion de biomasse, émissions du trafic routier) sont très minoritaires comme le montrent les graphes précédents. La part des particules secondaires (nitrate d ammonium) connait une augmentation spectaculaire les 23 et 24 mars, pour devenir très nettement majoritaire. On peut noter la présence inhabituelle de sulfate d ammonium dans des quantités non négligeables, qui suggère un apport extérieur à la région Grand Est. µg/m 3 Suivi temporel des concentrations PM10 et résultats issus de l'estimation des concentrations de PMff (PMfossile), PMwb (PMbiomasse), AOS, nitrate d'ammoniumet sulfate d'ammonium - courbes empilées /3/19 0:00 PMwb PMff AOS Nitrate d'ammonium Sulfate d'ammonium Indéterminés 100% 80% 60% 40% 20% 0% /03/ /03/ /03/ /03/ /03/ /03/ /03/
13 Annexe 4 : Cartes des épisodes de pollution en dépassement du seuil d information et de recommandations en particules au niveau national 22-mars mars mars mars
14 Annexe 5 : Cartes des procédures de pollution mises en œuvre pour les particules au niveau national 22-mars mars mars mars
15 Origines et sources émettrices Annexe 6 : Information sur les particules Les particules ont des origines distinctes : Mécanique : érosion des sols, broyage, concassage, etc. Chimique ou thermique : ces particules se forment par changement d'état de la matière par réactions chimiques, par évaporation à haute température suivie d'une condensation. Le spectre granulométrique de ces particules varie de quelques nanomètres à quelques dixièmes de microns. Biologique : pollens, champignons, bactéries. Ainsi, les sources des émissions de particules proviennent, soit de sources naturelles, soit des activités humaines. Concernant les sources anthropiques, tous les secteurs d activités sont concernés : Secteurs de l énergie et de l industrie : bâtiments et travaux publics, exploitation des carrières, traitement des déchets, etc. Secteur des transports : combustion de carburants, usure des routes et des véhicules. Secteurs résidentiel et tertiaire : combustion de combustibles fossiles et en particulier du bois énergie. Secteur agricole : labours et cultures des terres, élevages, engins agricoles. Dans le cas des sources naturelles, les émissions sont fortement liées aux conditions climatiques comme l érosion éolienne, les pollens, les feux de forêts, les éruptions volcaniques, etc. (Sources non estimées dans l inventaire). Effets sur la santé Les particules fines peuvent pénétrer profondément dans les voies respiratoires jusqu aux bronchioles et aux alvéoles. Elles présentent des effets néfastes pour la santé à court et long terme. Pour une exposition à court terme, les effets observés chez l homme sont des inflammations respiratoires suivies d atteintes de la fonction vasculaire ainsi que des troubles du rythme cardiaque, pouvant conduire à l hospitalisation ou au décès. Les études portant sur l exposition à long terme mettent en évidence des augmentations significatives de la mortalité (totale, cardio-respiratoire, cancer du poumon) et de la survenue de maladies respiratoires (asthme, broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO), etc.) et cardio-vasculaires. De nouvelles études relient également exposition à long terme et athérosclérose, faible poids à la naissance et naissances prématurées. En octobre 2013, la pollution ambiante extérieure, dont les particules en suspension, sont classées comme agent cancérigène pour l homme (groupe 1) par le CIRC sur la base d un niveau de preuve suffisant d une association entre exposition et risque augmenté de cancer pulmonaire. Les particules fines interagissent avec les pollens pour accroître la sensibilité aux allergènes. 15
16 Effets sur l environnement Les particules en suspension peuvent réduire la visibilité, et influencer le climat en absorbant et en diffusant la lumière. A l échelle globale, les particules ont un forçage radiatif négatif, c est-à-dire refroidissant l atmosphère terrestre, mais de nettes différences sont observées suivant leur composition chimique ou à des échelles plus fines. En se déposant, elles salissent et contribuent à la dégradation physique et chimique des matériaux, des bâtiments et des monuments. Accumulées sur les feuilles des végétaux, elles peuvent entraver la photosynthèse. Réglementation pour les épisodes de pollution Extraits de l arrêté inter-préfectoral (AIP) relatif à la gestion des épisodes de pollution atmosphérique et au déclenchement des procédures d information-recommandation et d alerte du 24/05/2017 Les procédures d information recommandation et d alerte sont déclenchées par ATMO Grand Est par délégation des préfets des départements concernés selon les critères suivants pour l ozone : 1. «Critère de superficie» : dès lors que, dans la région Grand Est, une modélisation prévoit une surface d au moins 100 km² concernées par un dépassement de seuil pour l ozone, les procédures d information-recommandation et/ou d alerte sont déclenchées dans les départements pour lesquels au moins 10km² de leur territoire est concerné par ce dépassement. 2. «Critères de population exposée» : dès lors qu une modélisation prévoit qu au moins habitants pour les départements des Ardennes, de l Aube, de la Haute-Marne, de la Meuse et des Vosges, ou 10% de la population d un des autres départements de la région Grand Est, sont concernées par un dépassement du seuil pour l ozone, les départements concernés déclenchent les procédures d information-recommandation et/ou d alerte. La procédure d information-recommandation est déclenchée sur prévision ou constat du seuil d information-recommandation. La procédure d alerte est déclenchée sur : - Prévision ou constat du dépassement du seuil d alerte - Constat de procédure d information-recommandation pour le jour même et prévision pour le lendemain de la persistance du dépassement du seuil d information-recommandation. 16
17 Seuil d information et d alerte fixés par l article R du code de l environnement : Seuil d information et de recommandations Seuil d alerte 50 µg/m 3, valeur moyenne journalière 80 µg/m 3, valeur moyenne journalière Le Préfet décide des mesures d urgence à mettre en œuvre en cas de dépassement du seuil d alerte. Recommandations sanitaires en cas de dépassements prévu ou constaté du seuil d information et de recommandation fixé pour les particules PM10, le dioxyde d azote (NO2) ou le dioxyde de soufre (SO2) : 17
18 Recommandations sanitaires en cas de dépassements prévu ou constaté du seuil d alerte fixé pour les particules PM10, le dioxyde d azote (NO2) ou le dioxyde de soufre (SO2) : 18
19 Recommandations comportementales systématiques en cas de procédures d informationrecommandation (selon AIP du 24 mai 2017) 19
20 Mesures d urgence programmée en cas de procédures d alerte (selon AIP du 24 mai 2017) 20
21 Espace Européen de l Entreprise 5 rue de Madrid Schiltigheim Tél : Fax : contact@atmo-grandest.eu Siret APE 7120 B Association agréée de surveillance de la qualité de l air 21
Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg
Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg Simulation état 2006 Avec le soutien de la Communauté Urbaine de Strasbourg Strasbourg Communauté Urbaine ASPA
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailTableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014»
Projet d ensemble commercial Ametzondo Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Remarques : Aucune émission ne sera prise en compte sur le parking pour un fonctionnement dominical.
Plus en détailLIAISON A50 A57 TRAVERSEE
LIAISON A5 A57 TRAVERSEE SOUTERRAINE DE TOULON SECOND TUBE (SUD) ANALYSE DES DONNEES DE QUALITE DE L AIR NOVEMBRE 27 A JANVIER 28 TOULON OUEST, PUITS MARCHAND, TOULON EST Liaison A5 A57 Traversée souterraine
Plus en détailAbschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015
Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence
Plus en détailL échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détailSurveiller la qualité de l air avec les élèves
Surveiller la qualité de l air avec les élèves L air que nous respirons est à la fois l affaire et la responsabilité de tous. La santé publique, l environnement et les conditions de vie future sur Terre,
Plus en détailEn alsace, nous sommes fiers de :
En alsace, nous sommes fiers de : Réseau VESTA, le benchmark entre communes Né en 2003, le Réseau Vesta des villes alsaciennes engagées dans le Développement Durable est co-animé par EDF Commerce Est et
Plus en détailPourquoi étudier l aérosol atmosphérique?
Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Impact Climatique Impact sanitaire Les particules atmosphériques sont avant tout étudiées pour leurs impacts sur le climat et sur la santé humaine. 39 Réchauffement
Plus en détailChapitre 2 : Respiration, santé et environnement.
Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Rappels : L air qui nous entoure contient 3 gaz principaux: 71% d azote, 21% d oxygène, 0,03 % de CO2 et quelques gaz rares. L eau de chaux se trouble
Plus en détail1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2
EXTRAIT DE LA DECLARATION ENVIRONNEMENTALE et SANITAIRE CONFORME A LA NORME NF P 01-010 PROFILES PVC DE DECORATION ET D AMENAGEMENT INTERIEURS ET EXTERIEURS Edition DECEMBRE 2005 SNEP - Profilés PVC de
Plus en détailLe niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule.
ANNEXE FICHE 10 : NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. I. MESURES PRISES AU NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE 1.
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailZoom sur le métier de technicien(ne) d exploitation
Bulletin trimestriel - mai - juin Zoom sur le métier de technicien(ne) d exploitation L équipe d Atmo Auvergne se compose de 12 personnes réparties dans les pôles : administration, études/communication,
Plus en détailBILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011
18/06/2012 QUALITAIR CORSE BILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011 Bilan PSQA 2010-2015 version 2012 Savelli Page blanche TABLE DES MATIERES Introduction... 1 1 Composition et financement de l association... 2
Plus en détailCofely Services et la condensation biomasse Journée technique CIBE ATEE Lorraine Forbach-Farébersviller 1 er avril 2014
Journée technique CIBE ATEE Lorraine Forbach-Farébersviller 1 er avril 2014 Condensation biomasse Journée technique CIBE ATEE Lorraine Cofely Services Le choix de la condensation biomasse Fonctionnement
Plus en détailDOSSIER : L OZONE SOUS TOUTES SES COUTURES
DOSSIER : L OZONE SOUS TOUTES SES COUTURES Avec le soleil et la chaleur de l été, c est aussi les épisodes de pollution à l ozone qui reviennent. Le dossier ci-dessous propose de répondre aux 12 questions
Plus en détailÉvolution du climat et désertification
Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture
Plus en détailConcerne : Avis relatif à la problématique de l ozone Note de cabinet CAB/RD/RW/JPD/DD/2003 du 27.08.2003 N CSH : 7915
SPF Santé publique, Sécurité de la Chaîne alimentaire et Environnement Bruxelles, le 29.09.2003 Monsieur le Ministre Demotte CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE Concerne : Avis relatif à la problématique de l
Plus en détail1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.
1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin
Plus en détailLE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler
Plus en détailBilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre
Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre
Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de
Plus en détail1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES
AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détailEmissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC)
Emissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) SNCF DRH EPIC Prévention et Santé COMPOSITION DES EMISSIONS DIESEL MELANGE COMPLEXE DE SUBSTANCES
Plus en détailLe Bas-Rhin, locomotive de la région ALCA*?
Le, locomotive de la région ALCA*? * Alsace, Champagne-Ardenne, Lorraine Sources : Insee Pôle emploi-dares (STMT) Urssaf-Acoss A l échelle de la France métropolitaine, la region ALCA représente : 10,6
Plus en détailÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN
ÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN 2015 Révision du Plan de Protection de l Atmosphère
Plus en détailEnsemble nous aurons l air meilleur!
Les bons gestes au quotidien pour préserver la qualité de notre air Ensemble nous aurons l air meilleur! Saviez-vous que nous avons besoin d un litre et demi d eau et de 14 000 litres d air par jour pour
Plus en détailBilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France. Olivier Laguitton
Bilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France Olivier Laguitton Saint Etienne, le 18 février 2013 Contenu de la présentation Le contexte du développement durable Passage en revue de la législation
Plus en détail1. Introduction... 3. 2. Résultat de l année 2013... 4
Carsat Nord--Est Diirectiion des Riisques Proffessiionnells Les accidents de trajet Sommaiire 1. Introduction... 3 2. Résultat de l année 2013... 4 3. Les accidents du trajet de l année 2013 par activité...
Plus en détail1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ
1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT NOR : SOCU 00611881A ARRÊTÉ relatif au diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments existants proposés à
Plus en détaill entretien des chaudières
Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d
Plus en détailDISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88)
DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88) Ce document a été réalisé en collaboration avec APAVE Alsacienne SAS 3 rue de l Euron BP 21055 Maxeville 54522 LAXOU Cedex Références
Plus en détailNOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES
CHAPITRE 1 NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1 suite Chapitre 1 : NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1.1 Généralités 1.2 L'énergie dans le monde 1.2.1 Qu'est-ce que l'énergie? 1.2.2 Aperçu sur
Plus en détailLES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE?
LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE? Jean-Pierre SAWERYSYN 1 Matthieu OGET 2 Corinne SCHADKOWSKI 3 Judith TRIQUET 3 1 Professeur honoraire de l Université de Lille I, vice-président
Plus en détailBEPECASER EPREUVE DE CONTRÔLE DES CONNAISSANCES
MINISTERE CHARGÉ DES TRANSPORTS J. 8 000990 BEPECASER EPREUVE DE CONTRÔLE DES CONNAISSANCES 03 SEPTEMBRE 2008 Question 1 Tout véhicule doit subir un contrôle technique pour être mis en circulation à l
Plus en détailL INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ET LES ELEVAGES
L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ET LES ELEVAGES L élevage, comme l agriculture dans son ensemble, a connu d importantes mutations depuis le début du XXème siècle. De structures familiales, ce secteur est passé
Plus en détailNOR : DEV O 08 1 5 9 0 7 C
REPUBLIQUE FRANCAISE MINISTERE DE L ECOLOGIE, DE L ENERGIE, DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE DIRECTION DE L'EAU Sous-Direction de l'action territoriale, De la directive cadre
Plus en détailChauffage au bois. à la qualité de l AIR. Vallée de l Arve
Chauffage au bois ATTENTION à la qualité de l AIR Vallée de l Arve Tous acteurs de la qualité de l air! Sommaire Chauffage au bois, un enjeu important pour la qualité de l'air... 3 Le chauffage au bois,
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre (BEGES)
Bilan des émissions de gaz à effet de serre (BEGES) BEGES TABLE DES MATIÈRES 1- INTRODUCTION 2 1-1 - OBJET 2 1-2 - LE CADRE REGLEMENTAIRE 2 1-3 - CONTENU DU RAPPORT 3 1-4 - DEFINITIONS 3 2- BILAN DES EMISSIONS
Plus en détailLa Vinification en Alsace
La Vinification en Alsace La grande caractéristique des Vins d Alsace est qu ils sont tous élaborés à partir de cépages très aromatiques. Le vinificateur n aura de cesse, tout au long des vendanges et
Plus en détailBilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre
Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour
Plus en détailla climatisation automobile
Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous
Plus en détailResponsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON
Responsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON P.1/11 Sommaire Préambule... 3 1. Politique sectorielle... 4 1.1 Objectif... 4 1.2 Portée...
Plus en détailIII RESULTATS LE LONG DU TRACE PREFERENTIEL DE LA LIGNE 2
FUTURE LIGNE 2 DE TRAMWAY DE L'AGGLOMERATION DE MONTPELLIER Etat initial des principaux traceurs de la pollution liée au trafic routier Résumé Rédacteur : AFM Date : 29/1/3 pages I CONTEXTE Etude réalisée
Plus en détailUtilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement. A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques :
ANNEXE 7 Utilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques : 1 carte est fournie pour l effet toxique : Carte N 1 «Taux
Plus en détailSOMMAIRE. I - Synthèse de l'activité 2014... 2. II - Secteur "Logement" métropole... 4
SOMMAIRE I - Synthèse de l'activité 2014... 2 II - Secteur "Logement" métropole... 4 ACTIVITE LOGEMENTS NEUFS + EXISTANTS... 4 ACTIVITE LOGEMENTS NEUFS... 9 ACTIVITE LOGEMENTS EXISTANTS... 13 ACTIVITE
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailPREFET DU BAS-RHIN. Le Préfet de la Région Alsace, Préfet du Bas-Rhin,
1 Direction départementale des Territoires du Bas-Rhin PREFET DU BAS-RHIN Service Environnement et Gestion des Espaces 14, rue du Maréchal Juin BP 61003 67070 STRASBOURG CEDEX ARRETE PREFECTORAL portant
Plus en détailDEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES. Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement
DEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement Liieu--diitt «lle Cognett» Commune de VAUX--SUR--SEULLES
Plus en détailCentre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37
Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Les CAP français en 2009 Réponse téléphonique Toxicovigilance Flesch Françoise QU EST CE QU UN CENTRE ANTIPOISON Art D.711-9-1 1 (Décret
Plus en détailRESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE
DIRECTION GENERALE ADJOINTE CHARGEE DE L AMENAGEMENT ET DU DEVELOPPEMENT Service études et prospective RESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailTableau 1 Routes nouvelles ou modifiées : les infrastructures concernées
Codes l'environnement Décret 95-22 du 9 janvier relatif à la limitation du bruit des aménagements et transports terrestres mai relatif au bruit des 97-110 du 12 relative à la prise en compte du bruit dans
Plus en détaildu Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI
Ministère de l Environnement l et du Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI Expert National Statisticien/Economiste
Plus en détailLe certificat individuel (Produits phytosanitaires)
Centre de Gestion du Haut Rhin Fonction Publique Territoriale 22 rue Wilson 68027 COLMAR Cedex Tél. : 03 89 20 36 00 Fax : 03 89 20 36 29 cdg68@calixo.net www.cdg68.fr Circulaire n 20/2013 Cl. C 44 Colmar,
Plus en détailProjet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007
Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,
Plus en détailGuide utilisateur. Sommaire
Guide utilisateur Sommaire Glossaire 3 Les touches et les voyants 4 Les codes d accès 5 Les signaux sonores 6 Mise sous surveillance totale 7 Arrêt 7 Mise sous surveillance partielle 8 SOS et Feu 8 Carillon
Plus en détailEVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS
EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS MARTIN S. *, DELAHAYE F. ** Bureau d études E3C 2 rue Léon Patoux CS 50001 51664 REIMS CEDEX * Mr Stéphane MARTIN, Directeur
Plus en détailQuelle qualité de l air au volant? Premiers éléments de réponse en Ile-de-France
Quelle qualité de l air au volant? ---------------------------- Les automobilistes sont nettement plus exposés à la pollution atmosphérique que les piétons, même à proximité des grands axes. Tel est le
Plus en détailLA A RESPIRATION CELLULAIRE
Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles
Plus en détailCHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT
CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT 1 Relations alimentaires entre les êtres vivants 1 1 Les chaines alimentaires. Une chaine alimentaire est constituée par une succession d êtres vivants
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailLA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES
LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES Version A Aide sollicitée auprès du Conseil Régional de Picardie au titre de (cocher l aide sollicitée) : o L investissement en agriculture biologique o
Plus en détailBILAN D ÉMISSIONS DE GAZ À EFFET DE SERRE 2011 DU SIAAP
BILAN D ÉMISSIONS DE GAZ À EFFET DE SERRE 2011 DU SIAAP Sommaire 1/ DESCRIPTION DE LA PERSONNE MORALE CONCERNÉE 2 2/ ANNÉE DE REPORTING DE L EXERCICE ET L ANNÉE DE RÉFÉRENCE 3 Utilisation d énergie sur
Plus en détailIntoxications collectives en entreprise après incendies de locaux Proposition d une conduite à tenir
Intoxications collectives en entreprise après incendies de locaux Proposition d une conduite à tenir Dr Fariborz Livardjani Samu de l'environnement (Strasbourg) Dr Véronique Robe AIMT du Bas -Rhin Mai
Plus en détailLe Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.
Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,
Plus en détailLes Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S»
Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» La lutte contre le changement climatique Initiative concertée au niveau mondial Pour limiter à 2 à 3 C l élévation moyenne de la température, il faudrait
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détail10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel
10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences
Plus en détailVéhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès
Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès Andre Douaud Ancien Directeur Technique Constructeurs Français Automobiles CCFA À Rabat, Avril 21 Moteurs et Carburants
Plus en détailDid you know... that trucks give you the freedom to live wherever you want? «Le saviez-vous?» Faits et chiffres sur le camionnage en Europe
Did you know... that trucks give you the freedom to live wherever you want? «Le saviez-vous?» Faits et chiffres sur le camionnage en Europe 1 Did you know... that trucks give you the freedom to live wherever
Plus en détailne définition de l arbre.
LA PHYSIOLOGIE DES ARBRES. U ne définition de l arbre. L es arbres sont des êtres vivants qui occupent une place à part dans le monde végétal. Ils sont indispensables à la vie sur terre et ils ont largement
Plus en détailNe brûlons plus nos déchets verts à l air libre!
En savoir QUIZZ + Plan de Protection de l Atmosphère des Bouches-du-Rhône 1 2 3 4 J ai le droit de brûler mes déchets de tonte de pelouse en petite quantité dans ma cour non exposée à la route. Mes déchets
Plus en détailL énergie en France et en Allemagne : comparaisons
L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre. Année 2011
Bilan des émissions de gaz à effet de serre Année 2011 P a g e 2 Sommaire 1. Description de la personne morale concernée... 3 2. Année de reporting et année de référence... 5 3. Résultats consolidés...
Plus en détailRosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut
Rosemont- La Petite-Patrie Îlots de chaleur urbains Tout savoir! ce qu il faut Qu est-ce qu un îlot de chaleur? Un îlot de chaleur désigne une élévation localisée des températures, particulièrement des
Plus en détailCREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN
REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE
Plus en détail] sommaire. > N Spécial > Juin 2009 > EDITO P. 2 P. 3 P. 4-6 P. 7-8 P. 9 P. 10-11. P. 12 L union fait la force Les laboratoires spécialisés
> N Spécial > Juin 2009 > EDITO L ASPA dans l air du temps Il est des intuitions qui portent en elles le germe d une œuvre remarquable. «L alliance locale pour surveiller la qualité de l air», telle était
Plus en détailAgriculture paysanne durable: innovations et meilleures pratiques aux fins de transposition et de reproduction à plus grande échelle
Méthodes innovantes d amélioration sylvo-pastorale: Le cas du projet de lutte participative contre la désertification et de réduction de la pauvreté dans les écosystèmes arides et semi-arides des hauts
Plus en détailPRÉVENIR LES RISQUES PROFESSIONNELS «DES AIDES À DOMICILE
PRÉVENIR LES RISQUES PROFESSIONNELS «DES AIDES À DOMICILE 4 ÉTAPES POUR VOUS GUIDER Le Département des Risques Professionnels de la Carsat Nord-Est propose cette brochure aux structures d aide à domicile
Plus en détailL équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015
L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailPlate-forme énergie. Filière de la biomasse forestière
Plate-forme énergie Filière de la biomasse forestière Mars 2013 Table des matières 1. Principes généraux... 0 2. Ce qu on entend par économie d énergie... 1 3. Réflexion sur les sources d énergie à privilégier...
Plus en détailLe contexte global. La ressource. I.1 Particularités de la ressource en eau. Superficie : 41 526Km 2
Le contexte global Superficie : 41 526Km 2 Population: 16,34M.(89,6% urbaine: / 10,4% rurale:) 2006 PIB/hab 2007: 35 576 USD Divisions administratives: 12 provinces et 467 communes en nombre variable Régime:
Plus en détailRéduction de la pollution d un moteur diesel
AUBERT Maxime SUP B Professeur accompagnateur : DELOFFRE Maximilien SUP B Mr Françcois BOIS PAGES Simon SUP E Groupe n Réduction de la pollution d un moteur diesel Introduction L Allemand Rudolf Diesel
Plus en détailProduction mondiale d énergie
Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum
Plus en détailComptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004
Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détailUn environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir?
Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir? Renseignements sur la fumée secondaire et tertiaire Qu est-ce que la fumée secondaire? La fumée secondaire est une combinaison de fumée
Plus en détailRÉDUIRE LES EFFETS DU TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES SUR L ENVIRONNEMENT
DIRCTION D LA COMMUNICATION CORPORAT D O S S I R D PRSS Lyon / Mars 2013 RÉDUIR LS FFTS DU TRANSPORT ROUTIR D MARCHANDISS SUR L NVIRONNMNT Pour réduire les effets sur l environnement tout au long du cycle
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailLes impacts cachés des TIC. Quels enjeux et quelles actions concrètes?
Les impacts cachés des TIC Quels enjeux et quelles actions concrètes? Eric Drezet Fête de la Science CRHEA, Valbonne 19/11/2013 1 Plan Conclusion Derrière mon PC une avalanche numérique Des conséquences
Plus en détailMatériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles
Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Version du
Plus en détailConvention relative : - aux échanges de données d'exploitation et de sécurité routière - à la gestion des crises routières. pour le département de
Convention relative : - aux échanges de données d'exploitation et de sécurité routière - à la gestion des crises routières pour le département de entre L'État, représenté par M.., Préfet d., et La Direction
Plus en détail