Editorial. Sommaire. Actu en bref Enjeux SSPP LECLERC XL. Dossier. Activités. Préparation des OMLT au 7 e RMAT BCS 4 du 4 e RMAT VLRA Forces Spéciales

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2 Sommaire Editorial p. 6 p. 10 p. 16 p. 24 p. 34 p. 40 p. 42 p. 46 Actu en bref Enjeux SSPP LECLERC XL Dossier Activités A savoir Vie Associative Histoire p. 56 p. 3 p. 4 Les écoles militaires de BOURGES Préparation des OMLT au 7 e RMAT BCS 4 du 4 e RMAT VLRA Forces Spéciales Certification à la 13 e BSMAT Le PAMAS G1 Revalorisation AMX 10 RC p. 50 Directeur de publication GCA VERNA, GDCMAT Rédacteur en chef CNE CRETAT HELBERT (DCMAT) Conception PAO Mr TREBUCHET, (DCMAT) Impression PGT TULLE Diffusion / Routage EDIACAT ST-ETIENNE Comité de rédaction : LCL (er) Guerin (ANAMAT), SLT (F) Ganz (EMB), LCL Leblanc (SMITer), 1er RMAT, 2e RMAT, Melle Denis (3e RMAT), 4e RMAT, 6e RMAT, MJR (ESR) Devillard (7e RMAT), ADC Saintagne (8e RMAT), 5e BMAT, CDT Amar (9e BMAT), 11e BSMAT, TSEF Denizot (12e BSMAT), 13e BSMAT, MJR Wybreski (15e BSMAT), CNE Nicolas (DIRMAT NO), CDT (F) Boucher (SCAM), CNE Dupont (CEDIMAT). Crédits photos : DCMAT, ESAM, ELT, RMAT (S), BSMAT (S), BMAT (S), CEDIMAT, SCAM, SIRPA TERRE, 2 e REP. Cellule communication de la DCMAT Etablissement ingénieur général Jayat, CS Versailles fax:

3 EDITO L école du matériel! Général de brigade Thierry COQUEBLIN, commandant l école du matériel Ce numéro de Matériel et Technique est consacré aux écoles militaires de Bourges et à l école du matériel. S il est encore trop tôt pour dresser des bilans chiffrés, il est néanmoins possible de faire, après cette rentrée scolaire, un aperçu des principales évolutions. Je ne rappellerai pas les raisons ayant présidé au transfert à Bourges, sur le site de l école supérieure et d application du matériel, des écoles de la logistique et du train auparavant à Tours, regroupement duquel sont nés trois organismes de formation rattachés à la direction des ressources humaines, à savoir l école du train, le centre de formation logistique et l école du matériel, l ensemble constituant les écoles militaires de Bourges. Première opération majeure menée dans le cadre de la réorganisation de la chaîne de formation de l armée de terre et sur court préavis, elle permet de tirer des enseignements qui méritent d être évoqués à la veille de Maintenance D abord, le transfert n a été possible que par l implication sans réserve des deux écoles et de leurs chefs. Une confiance réciproque sans arrières pensées et soucieuse de la préservation des identités a conduit à une organisation rationnelle et économe des ressources. Ensuite, l implantation au sein du quartier Auger-Carnot n a pu se faire que par l engagement, aux côtés des acteurs de terrain, des états-majors de la région Terre Nord-Ouest et du commandement des organismes de formation de l armée de terre. Enfin, l accueil des familles, qui avait été identifié comme un enjeu, a été un succès car fruit d une action volontariste engagée par le bureau de garnison en liaison avec les services de la préfecture du Cher et des collectivités territoriales. Ce triptyque souligne, au final, la nécessité de convergence des efforts à tous les niveaux. Que l ensemble des acteurs soit ici remercié. Aujourd hui, les écoles militaires de Bourges accueillent plus de 4500 stagiaires par an, pour 469 sessions de formation soit une moyenne de 557 stagiaires par jour. L école du matériel assure la formation d environ 80% de l effectif. Elle bénéficie, d une part, du soutien de la direction de la formation commune en charge notamment du montage des exercices et de la simulation opérationnelle, de l E2PMS et de l ISTC mais aussi des cours HSCT et, d autre part, de la synergie résultant de la présence des deux autres organismes de formation. Ainsi, les complémentarités au sein de la fonction logistique sont pleinement exploitées au bénéfice de tous, en particulier de nos officiers qu ils soient lieutenants en application ou capitaines du cours de formation des commandants d unité. Ils retrouvent la maison mère du matériel et de la maintenance sans perdre l esprit qui avait guidé les créateurs des écoles de la logistique et du train. Aussi, peut-on parler d évolution et non de révolution ou de rupture. Nous disposons aujourd hui à Bourges d une école du matériel complète, solide et fière de sa tradition. Avec l école du train et le centre de formation logistique, elle contribue à faire des écoles militaires de Bourges le centre d excellence de la logistique au service de l armée de terre. Bonne lecture! 1

4 ENJEUX S S P P X L L E C L E RC Présentation du marché SSPP LECLERC Novembre 2009 Une nécessité Le marché de Soutien en Service Post-Production (SSPP) Leclerc a été notifié le 19 novembre Il établit de nouvelles relations entre la direction centrale du matériel de l armée de terre (DCMAT), la direction générale de l armement (DGA) et la société nexter systems, titulaire du marché. Prenant en compte la politique d emploi et de gestion des parcs (PEGP) au sein des unités de l armée de Terre et les orientations du Livre blanc de la défense et de la sécurité nationale (effectif fixé à 254 chars de combat en service), ce marché vise à : garantir la pérennité du soutien du parc Leclerc en service dans les 10 années à venir pour un coût maîtrisé ; mettre en place une maîtrise d oeuvre industrielle (MOI) unique s engageant sur une performance globale ; produire la juste disponibilité des parcs permettant à l armée de Terre la tenue de son contrat opérationnel. un pilotage du contrat par la DCMAT et la DGA Le SSPP, à travers son volet «maîtrise technique» piloté et financé par la DGA, permet à l industriel d assurer le maintien de la qualification de la définition et la gestion de configuration du système Leclerc dans son ensemble. Il s agit notamment de gérer les obsolescences qui pourraient survenir dans la durée et les évolutions qui en découlent. La maîtrise technique permet ainsi d assurer la pérennité des solutions de ravitaillement (réparations et pièces de rechange) tout en garantissant le maintien des performances du système. Ce volet est étroitement coordonné avec les opérations d évolution du système d armes conduites sous la responsabilité de la DGA. 6

5 Matériel et Technique n 172 Produire la juste disponibilité L obtention de la juste disponibilité pour les différents parcs de la PEGP se traduit notamment par deux formules d engagements du MOI. Pour les parc de service permanent (PSP), parc de gestion (PG), parc d alerte (PA) et parc d entraînement (PE) Champagne (soit un total de 218 chars de combat), Nexter Systems doit fournir sur demande l ensemble des articles nécessaires à l entretien des chars. Les opérations de démontage - remontage sont réalisées par les structures de l armée de Terre. Pour le PE Provence, il s agit pour Nexter Systems d assurer la disponibilité maximale des chars lors des exercices. Le MOI a donc la responsabilité de la maintenance complète de 36 chars de combat dans le camp de Canjuers. La formalisation Les prestations de ravitaillement du SSPP sont rémunérées sur le principe de la forfaitisation. Cela signifie que les pièces de rechange sont fournies en fonction des besoins des utilisateurs, pour un montant prédéterminé et calculé en fonction des heures d emploi du parc. Cette formule est rendue possible par la globalisation des prestations et un engagement de l administration et du MOI dans la durée (10 ans). Elle apporte :. la capacité de maîtrise des dépenses de soutien en fonction des prévisions d emploi ;. une efficacité et une souplesse d emploi à l utilisateur ;. une visibilité dans la durée pour l industriel, permettant d optimiser la performance et le coût de soutien. Le montant annuel du marché est d environ 80 M pour le soutien des chars, dans le cas d un emploi du parc de heures, et de 10 M pour la maîtrise technique. Les prestations de la tranche ferme d une durée de trois ans et trois mois débuteront le 1er janvier Dans la continuité des marchés innovants Soutien en Service Post Production Le SSPP Leclerc s inscrit dans la continuité des derniers marchés signés avec Nexter Systems pour le soutien des nouveaux matériels tels que le CAESAR et le VBCI. Premier marché de ce type pour un parc de matériels en post production, il assure :. une cohérence d approche dans le soutien des différents parcs de haute technologie ;. une cohérence d organisation des relations entre l industriel maître d oeuvre et l État, représenté par la DCMAT ou la DGA. 7

6 ENJEUX LA MAINTENANCE A CANJUERS et le soutien du parc d entraînement Rattaché au 5 e Bataillon du matériel (5 e BMAT), le Groupement de maintenance de Canjuers (GMC) assure le soutien de plus de 800 matériels majeurs des formations stationnées sur le plus grand camp dédié à la manœuvre et au tir. 8 Historique Dans les années soixante dix le camp de Canjuers a été créé pour effectuer le tir et la manœuvre d unités françaises ou étrangères. Il est le plus grand camp d Europe occidentale, 2000 personnes travaillent sur le camp qui peut en accueillir 5000 en manœuvre. Actuellement, les unités suivantes sont implantées : le 1 er régiment de chasseurs d Afrique, le 3 e régiment d artillerie de marine, le groupement de camps de Canjuers, la 3 e compagnie de travaux du 5 e régiment du génie, la 5 e compagnie munitions du 4 e régiment du matériel et le groupement de maintenance de Canjuers du 5 e BMAT. Le 1er janvier 1982, l établissement régional de Draguignan est créé avec deux annexes, l une à Canjuers, l autre au Cannet des Maures. En 2001, l ensemble de la maintenance NTI1 et 2 de Canjuers est regroupé au sein de l Unité de maintenance du camp de Canjuers (UMCC) du Groupement du camp de Canjuers (GCC). Les 260 maintenanciers assurent alors le soutien des régiments basés sur le camp et occasionnellement celui des régiments en manœuvre. Le 1er juillet 2009, l UMCC est dissoute, ses personnels transférés au sein du GMC du 5 e BMAT et de la Section de maintenance régimentaire expérimentale (SMR) du 3e RAMa. La maintenance aujourd hui Le GMC et le 5 e BMAT comportent un effectif de 220 personnes réparties sur 3 zones à l intérieur du camp bâti de Canjuers et assurent le soutien : du 1 er RCA en station service, NTI1 et NTI2 (sauf multitechniques) - PE PROVENCE - PSP ; du 3 e RAMa en NTI2 AEB, AGC et électronique d armement ; de la 3 e CT du 5 e RG en station service, NTI1 et NTI2 (sauf multitechniques) ; de la 5 e Cie du 4 e RMAT en station service, NTI1 et NTI2 (sauf multitechniques) ; du GCC en station service, NTI1 et NTI2 (sauf multitechniques) ; régional SAAC AGC ; des unités de passage sur ordre du SMITer ; dépannage camp et zonal ; stage régional canon 20 ; pôle d excellence SAAC Génie AGC Blindé chenillé. L ensemble du soutien des 801 matériels majeurs PSP et PE est assuré par 14 ateliers et 3 stations service. Le Parc d entraînement Provence (PE Provence) La mise en place du PE PRO- VENCE est en cours de réalisation au sein du 1 er RCA. À terme, cela représentera 268 matériels majeurs, voire 342, si le peuplement du PE atteint sa cible finale LECLERC ; - 26 AMX 10RCR ; - 17 AMX 30 ; - 12 ERC 90 Sagaie ; - 8 AUF1 TA ; - 8 TRF1 ; - 8 TRM ; - 8 VAB mortier 120 ; - 8 MORTIERS 120 ; - 10 AMX 10P ; - 30 VBL ; - 27 VBCI ; - 67 VAB tous types ; - Divers matériels. Ce nombre important de matériels PE équivaut à soutenir 5 régiments soit une brigade déployée et très employée. Le GMC, fortement appuyé par l ensemble du 5 e BMAT dans le cadre de la manœuvre maintenance globale du pôle Provence se prépare pour réussir le soutien PE Provence et l ensemble des autres parcs de Canjuers. Par son savoir faire en matière de station service, NTI1 et 2 acquis au cours de ses nombreuses années de mutualisation de la maintenance et surtout de l adhésion complète de l ensemble du personnel civil et militaire, c est avec calme et détermination que tous se préparent à faire face à ces évolutions sans précédent. Le capitaine Pascal SERAIN commandant d unité du groupement de maintenance de Canjuers

7 12ème groupement approvisionnement Matériel et Technique n 172 MONTEE EN PUISSANCE du groupement des approvisionnements pour le soutien du parc d entraînement PROVENCE Le 12 e Groupement des approvisionnements (12 e GAP) du 5 e Bataillon du matériel (5 e BMAT) est devenu depuis mai 2009 le stockeur spécifique du Parc d entraînement (PE) Provence. Cette montée en puissance du soutien de ce parc s est faite tout en poursuivant la mission de stockeur avancé dédié aux formations rattachées. Avec la mise en place de la Politique d emploi et de gestion des parcs (PEGP), l armée de terre a vu la création de deux parcs d entraînement : le parc Champagne à Mourmelon et le parc Provence à Canjuers. Ce dernier présente la particularité d inclure le Détachement d assistance opérationnelle (DAO) dédié à l entraînement des troupes projetées en Afghanistan. Implanté depuis plus de 25 ans sur la garnison de Draguignan-Canjuers, c est tout naturellement que le 5 e BMAT a reçu la mission de soutenir les quelques 350 matériels majeurs, qui viennent progressivement peupler le PE Provence. Dans ce cadre, le 12 e GAP se retrouve au cœur de la montée en puissance du pôle Provence, avec la redoutable mission d assurer la fourniture des rechanges. La pression monte progressivement depuis mai Jusqu au printemps, le 12 e GAP était constitué d un stockeur avancé unique pour soutenir l ensemble des ateliers et formations rattachés. Ce magasin avait la possibilité de détenir des rechanges de type avancé ainsi que des listes R et V. Près de 7000 nomenclatures étaient détenues, représentant environ 50% de taux de remplissage des magasins. Depuis la création du PE, ce stockeur a été scindé en 2 parties distinctes: - le stockeur avancé tel qu il existait précédemment ; - le stockeur spécifique PE, dédié uniquement au soutien du parc d entrainement. Il comporte en particulier des rechanges de type central. Une telle mise en place se réalise en plusieurs étapes. La première consiste à définir une liste de rechanges à détenir en fonction des matériels à soutenir. Ce travail a été mené par la DCMAT en liaison avec le 5 e BMAT. Ensuite, il a fallu saisir manuellement toutes les données dans le logiciel SIMAT afin de faire connaître les nomenclatures, de créer les comptes de stock et enfin de rentrer les valeurs des stocks minimum et maximum par NNO. Cette opération a nécessité 20 jours par semaine de travail à 6 personnes. Une fois cette tâche de longue haleine accomplie par le poste technique de vérification et la conduite approvisionnement, l ordre de recomplètement (SIMAT) a été lancé ce qui a engendré toutes les commandes vers les magasins centraux et le début des rotations de camions pour constituer le stock initial. Aujourd hui le stockeur spécifique PE comporte 6000 NNO connus dont environ 50% pour lesquels le stock est déjà réalisé. Ainsi, en seulement quelques semaines, le 12 e GAP a vu son stock augmenter de 90% pour atteindre maintenant nomenclatures et un taux de remplissage avoisinant les 100%. Ces variations de charge significatives ont été réalisées à effectif constant : le 12 e GAP compte 53 personnes réparties en 1/9/1/42 soit 11 militaires et 42 civils. Il a amorcé sa montée en puissance depuis le début de l été avec l ouverture de 7 fiches de poste de logisticiens et magasiniers à la Bourse nationale des emplois (BNE). Les premiers personnels civils en provenance d unités restructurées ont commencé à rejoindre le 12 e GAP depuis la rentrée Ils participent, dorénavant, à la montée en puissance du second plus important pôle d entraînement de l armée de terre. Le capitaine Julien FEUILLET commandant le 12 e groupement approvisionnement du 5 e bataillon du Matériel 9

8 A SAVOIR Une première! La 13 e BSMAT Certifiée ISO 9001 V.2008 Les 18 et 20 mai 2009, le colonel OLPHE-GALLARD, chef de corps de la 13 e Base de soutien du matériel (BSMAT) a présenté à l ensemble du personnel, le certificat ISO 9001 v attestant de la certification de la 13 e BSMAT et de ses deux sites. C est une première dans l arme du matériel. Un des plus anciens établissements industriels de Clermont Ferrand (fondé en 1868) se tourne résolument vers l avenir. Son implication dans le domaine de la qualité du service au soutien des forces vient de se concrétiser par l obtention de la certification ISO 9001 v2008. Cet impact tant au niveau militaire qu au niveau des industriels civils témoigne de la qualité du travail de la 13 e BSMAT. Par Monsieur Bernard Boudot, bureau qualité de la 13e BSMAT, Clermont-Ferrand. Subordonnée à la Direction centrale du matériel (DCMAT), la 13e BSMAT est un acteur clé de la maintenance de l armée de terre. Clairement positionnée au cœur du soutien des forces, elle s articule autour de deux pôles de compétences de niveau national dont les résultats conditionnent la capacité opérationnelle des forces. Ces deux pôles sont implantés sur deux emprises : Clermont-Ferrand et Moulins. Clermont-Ferrand, spécialiste du soutien central des forces pour le domaine «mobilité terrestre». Créé en 1868 sous le nom d arsenal des Gravanches, puis connu sous plusieurs appellations (dont le Parc régional de réparation et d entretien du matériel, ou encore Etablissement de réserve général du matériel ), il est situé à l est de la ville, sur un site de 44 hectares comprenant 12,5 hectares de surface bâtie, 7 km de routes et 4 km de voies ferrées. Le site accueille prés de 300 personnes. Clermont-Ferrand abrite le pôle technique «auto engins blindés légers» de l armée de terre. En fonction du besoin opérationnel des forces, les missions de ce pôle sont : - de réaliser dans l urgence des opérations de haute technicité sur différents types de matériels et/ou d intervenir directement dans les forces, y compris en opérations ; - d être l interface entre les forces et le secteur industriel privé pour les matériels en service, à la fois dans le domaine de l expertise technique, le partenariat industriel sur certaines opérations de grande ampleur (rénovation profonde, reconstruction, valorisation), la mise en condition des matériels vers l industrie privée ; - de procéder directement à des interventions techniques de rénovation profonde, reconstruction, valorisation dans le cadre de contrats annuels ordonnés par la DCMAT. Afin de répondre aux attentes multiples, le site s appuie sur un outil industriel particulièrement flexible et réactif. Ses personnels, civils comme militaires, sont polyvalents, ses infrastructures et ses équipements techniques font l objet d investissements permanents afin de bénéficier des technologies les plus adaptées à ses missions. Orientée vers l innovation, la 13 e BSMAT est dépositaire des brevets, notamment dans le cadre du processus de réparation des réservoirs de véhicules. 40

9 Matériel et Technique n 172 Moulins, pôle de compétence nationale pour le stockage et la distribution des rechanges techniques de l armée de terre. Il est situé sur un site de 36 hectares comprenant 9,5 hectares de surface bâtie, 5 km de routes et 3 km de voies ferrées. Disposant d une infrastructure entièrement informatisée, très récente et performante, ce site stocke et distribue les pièces détachées nécessaires aux Forces dans le cadre de leur projection sur les théâtres d opérations ou sur le territoire national (y compris DOM-COM). Établissement de service, il a pour vocation de réceptionner les rechanges réalisés au plan national par le Service central des achats de la maintenance (SCAM) qui en assure la conformité réglementaire. Les avantages d une certification : Pour l établissement : Grâce à une des pratiques managériales les plus diffusées dans le monde, il est possible d assurer la confiance en gérant les risques, en identifiant les dysfonctionnements potentiels, en définissant les points de contrôle nécessaires et au final, enregistrer les résultats obtenus. En prenant conscience de la volonté de s améliorer, la garantie d un mode de fonctionnement performant augmente. Grâce à cela, il est possible de faire passer un message fort en direction à la fois de nos clients et de nos partenaires industriels. En effet, travaillant en partenariat de plus en plus étroit avec l industrie privée, nous sommes amenés à maîtriser notre performance technique et de management par le biais de la référence incontestée qu est la norme Iso C est également l obligation de se tenir en pression permanente, car régulièrement, des audits d une société externe nous contrôlent et nous évitent le relâchement. Il faudra pour cela maintenir le très bon niveau général avec lequel nous sommes rentrés dans cette certification, niveau souligné par les auditeurs. La réception provient également du reversement des divers établissements et formations. Ainsi dans un contexte affirmé de recentrage de l outil de défense sur son cœur de métier, la 13 e BSMAT, en plaçant ses clients au cœur de ses préoccupations, en faisant effort sur sa valeur ajoutée et sur la maîtrise de sa performance, cherche avant tout à rester en phase avec les besoins de l armée de terre. Un rigoureux ancrage de la culture Qualité. Pour la DCMAT : La DCMAT se définit comme LE client-prescripteur. C est véritablement sur les indications extrêmement précises données par ce client particulier (en terme normatif) que la totalité des activités est cadencée. La certification qualité, c est prouver ce que l on a fait en installant une culture commune d amélioration qui s appuie sur la cohérence du système de pilotage. La démarche qualité, démarche vertueuse de l organisme, constitue un référentiel commun avec l industrie privée, ce qui fait rentrer la 13e BSMAT dans une politique globale conformément à l engagement du ministère de la défense en général et de l armée de terre en particulier. Pour les forces : Avant tout et pas seulement au point de vue qualité, nous travaillons au profit des Forces, elles sont donc notre client final. Il faut donc bien s assurer de répondre parfaitement aux attentes de celles-ci. La mise en place de cette certification qualité participe grandement à cette garantie. La certification, grâce aux outils mis en place dans le cadre de l amélioration continue, comme les enquêtes de satisfaction, apporte aux Forces la garantie de savoir que sa demande sera traitée et que si l information ne nous concerne pas directement, elle sera bien acheminée vers son destinataire. Ce sont ces flux d information qui permettent à notre organisme d entendre notre client final et c est pour cela que les forces ne doivent pas négliger ces outils. Dès la fin des années 80, la qualité a vraiment été prise en compte dans la réalisation des travaux et services effectués au sein de la 13 e BSMAT. Cette culture bien ancrée a permis dans un premier temps d obtenir une certification du site de Moulins en ISO 9001 version 2000 en juin 2005 et depuis fin 2006, de préparer la certification globale de la 13 e BSMAT avec ses métiers différents. En mettant en œuvre un système de management de la qualité certifié, on construit à partir d un modèle international un fonctionnement qui s appuie sur la satisfaction des exigences des clients et l amélioration continue du système. Dans un contexte qui évolue, l organisme doit s adapter. Avec une forte implication de la direction et des audits réguliers, on obtient la garantie d un parfait suivi du fonctionnement et de la mise à jour réactive de nos processus de travail. L implication de l équipe de direction a été un élément déterminant dans cette importante démarche. Il en a fixé les axes fondamentaux, défini les enjeux et indiqué les objectifs primordiaux nécessaires à la maîtrise de cette démarche. L après certification? La certification n est pas une fin en soi, mais le début d une politique de l amélioration. La politique qualité est analysée régulièrement pour vérifier si elle est toujours en accord avec les besoins du client et du marché. Les objectifs qualité sont également revus régulièrement pour s assurer qu ils sont pertinents. Si ces deux points sont bien ciblés, ils génèrent une véritable valeur ajoutée à l entreprise. C est donc assurer la pérennité de celle-ci en la dotant d un outil d efficacité. Quel avenir pour la 13 e BSMAT? 16 projets majeurs ont été définis, essentiellement liés à l application du livre blanc de la défense et se rapportant à la mise en place de la base de défense expérimentale de Clermont-Ferrand, le rattachement de nouvelles entités à la 13 e BSMAT comme les détachements de Guéret, Tulle et St Astier, le renforcement de certains services clermontois, de nouvelles activités sur le site de Clermont comme la gestion de parc et la maintenance ferroviaire ou le transfert de remisage de certains sites sur Moulins. De ces projets, une étude des risques potentiels a été réalisée et a permis de mettre en place des éléments de contrôle et de surveillance de ces nouvelles attributions. 41

10 A SAVOIR Mission PAMAS G1 La gendarmerie se dotant de nouvelles armes de poing, les SIG-P2022, a proposé à l armée de terre de lui céder gracieusement PAMAS G1. Alors que simultanément, la décision est prise d une double dotation pour les soldats en mission sur les théâtres d opérations, la proposition de la gendarmerie a été naturellement acceptée. La Direction Centrale du matériel (DCMAT) a donc demandé au 9e Bataillon du matériel (9 e BMAT) de Poitiers de se charger de la mise en stock national de ces armes en moins de 12 mois. Par L ingénieur d études et de fabrication, Didier POUPARD, commandant le 11 e groupement multitechnique Pour intégrer une telle quantité (25000 PAMAS), il faut nécessairement organiser et structurer l opération en la décrivant comme un processus composé de plusieurs phases : 1) la récupération ; 2) la prise en compte ; 3) le contrôle de l état du matériel ; 4) le conditionnement et l enregistrement dans la position administrative ad hoc ; 5) le transfert vers le lieu de stockage final. Avec la première phase, apparaissent rapidement les premières interrogations : ces pistolets automatiques sont détenus par les formations de la gendarmerie réparties sur l ensemble du territoire métropolitain. Les moyens à mettre en œuvre pour chaque perception s avérent particulièrement importants (comptage et contrôle matriculaire sur site, transport avec accompagnement armé, etc.), il faut par conséquent anticiper les missions et négocier le planning avec les différents sites de la gendarmerie. La prise en compte dans le système d information de la maintenance de l armée de terre nécessite d intégrer le délai de saisie arme par arme, au 13 e Groupement des approvisionnements (13 e GAP) avant le transfert au 11 e Groupement multitechnique (GMT). Le 11 e GMT se charge du contrôle technique, en s appuyant sur l expertise des ouvriers de l atelier armement petit calibre. Le 13 e GAP reprend alors en charge les armes triées «bonnes», pour les conditionner en attente de transfert sur le lieu de stockage. En effet, le 9 e BMAT ne peut absorber à lui seul une telle augmentation de son stock d armes global. Il faut par conséquent organiser un transport vers le stockage final, avec ce que cela implique en termes de logistique. Quant aux armes rebutées au contrôle, elles sont acheminées vers le Centre national de destruction de l armement, dépendant également du 9 e BMAT, qui se charge de la destruction des pièces défectueuses et de l élimination des déchets ainsi générés. Cette opération, par son ampleur exceptionnelle, met en évidence le professionnalisme et le savoir faire du personnel du 9 e BMAT. Elle nécessite une coordination permanente entre les intervenants pour maintenir le rythme de 2000 PAMAS à traiter par mois, soit une charge de 1000 heures mensuelles pour le seul 11 e GMT. 42

11 Matériel et Technique n 172 INVENTION au 3 e RMAT Le Général d armée Elrick IRASTORZA a adressé une lettre de félicitation à M. Luc MET pour la création d un chariot de servante d atelier particulièrement ingénieux. La direction des ressources humaines du ministère de la défense a fait connaître les décisions d attribution de récompenses, pour les actions et initiatives proposées par des personnels civils et militaires de la défense, en matière de prévention, au titre de l année Tous les dossiers proposés par l armée de terre ont été retenus et primés pour l efficacité et l ingéniosité des innovations proposées. Monsieur Luc MET a ainsi retenu toute l attention des membres de la commission d attribution par son esprit d initiative et de créativité. DESCRIPTION DE L INVENTION Le chariot de servante d atelier permet à un mécanicien d amener tout son outillage sur une zone de travail qui se trouve en milieu extérieur, même si le sol est non stabilisé. Après consultation de différents catalogues d outillages, il n existe vraisemblablement pas de matériel similaire. Les servantes d atelier ne sont pas conçues pour être utilisées sur un sol non stabilisé. La modification directe de la servante par la mise en place de roues mieux adaptées entraînerait la perte de la garantie constructeur. Le transport de la servante sur le lieu de travail est la solution la mieux adaptée. BUT DE CETTE INVENTION Les mécaniciens sont souvent sollicités pour effectuer des opérations techniques sur des véhicules en extérieur. Ils doivent prendre une caisse à outils à la main, souvent très lourde. Des allers et retours sont nécessaires car l outillage n est pas complet. Pourtant chaque mécanicien, possède une servante d atelier très complète, mais celle-ci n est pas adaptée pour un déplacement en extérieur. Les risques de basculement ou de détérioration sont trop importants. Le but du chariot est de permettre à un mécanicien de transporter sa propre servante sur un lieu de travail dont le sol n est pas stabilisé. LES MOYENS DE L INVENTION Le chariot permet le transport de tous types de servantes d atelier. Il est équipé d un système de frein ainsi que des plaques réfléchissantes pour les déplacements en toute sécurité par faible visibilité. Mademoiselle Aurélie DENIS Responsable communication 3 e RMAT 43

12 A SAVOIR L adaptation réactive de la 12 e Base de soutien du matériel au profit de la sécurité des usagers de la route... Fin 2007, lors de la signature de la dernière tranche du marché de valorisation du GBC 180, La direction générale de l armement (DGA) assurant la maîtrise d ouvrage du programme a demandé à Renault trucks défense (RTD), maître d œuvre industriel, d intégrer à son produit un dispositif de protection arrière afin de réduire, en cas d accident, les risques corporels des usagers de la route. Par le commandant Christophe FONTAINE, Chef du bureau maintenance soutien de Neuvy-Pailloux Ce système de barre anti encastrement a fait l objet d un avenant au marché signé fin Cependant, la signature tardive de cet avenant, postérieure à la production de la moitié des 360 véhicules concernés, a obligé le site de Neuvy-Pailloux à adapter sa chaîne de rénovation afin de reprendre ces véhicules en post production. L aménagement spécifique du châssis consiste à une découpe supplémentaire des traverses et au perçage d une vingtaine de trous pour la fixation des bras, supports de la barre anti encastrement. Pour les véhicules en cours de production, l aménagement du processus de rénovation n a pas posé de grande difficulté. En contrepartie, l intégration de la barre anti encastrement sur les véhicules terminés nécessitait de définir préalablement une stratégie de reprise. Devait-on envisager de reprendre ces véhicules sur des postes dédiés ou mettre en place un procédé industriel de reprise? L analyse rapide de l effet à obtenir, en l occurrence la reprise de 180 véhicules, militait pour une opération à poste. Toutefois, partant du principe que par effet rétroactif, la totalité du parc GBC 180 (5000 véhicules) pourrait faire l objet de cette reprise, la 12 e BSMAT a opté pour une adaptation industrielle de cette opération. La plus grande difficulté rencontrée consistait à adapter le banc de perçage des châssis nu, développé et installé par GIAT Industries au début du programme, à la réalisation des perçages complémentaires sur des véhicules terminés. 44

13 Matériel et Technique n Calibre (appareillage) pour le perçage. 2. S appuyant sur les compétences du détachement de Tulle et le savoirfaire des personnels de la 12 e BS- MAT, ce banc de perçage a été reprogrammé. Les modifications apportées à l environnement de travail ont fait l objet d une étude de certification de conformité de la machine. Réalisée durant la poursuite du programme de valorisation des derniers véhicules, cette optimisation de l outil de production du site a permis d engager au plus tôt la reprise des véhicules concernés afin de ne pas pénaliser la mise à disposition auprès des corps de troupe. Ainsi, moins d un an après la signature de l avenant, l adaptation réactive de la 12 e BSMAT a permis de satisfaire les exigences de sécurité liées à cette opération, sans prendre de retard sur les échéances du marché. Positionnement du véhicule sur le banc de perçage. pour reconnaissance de position de l outil dans l espace. 4 et 5 Opérations de perçage. 3. Enfin, la réglementation en matière de mise en place de système de protection visant à réduire les risques corporels, en cas d accident, après collision impose, par arrêté du 25 septembre 2002, l installation de barres anti encastrement depuis le 31 mars Par l étude préalable et le choix stratégique réalisé, la 12 e BSMAT est en mesure dès aujourd hui d industrialiser la reprise de l ensemble du parc concerné, concourant ainsi à l amélioration de la sécurité des usagers de la route. 6. Barre anti encastrement montée sur un véhicule. 45

14 A SAVOIR VALORISATION DE 80 AMX 10 RC un blindé tous les mois L évolution des menaces rencontrées et la modification des missions dévolues aux unités AMX 10 RC ont conduit à apporter quelques modifications sur cet engin blindé. Le 9 e Bataillon du matériel (9 e BMAT), organisme de soutien direct du Régiment d infanterie chars de marine (RICM) et du 1 er Régiment d infanterie de marine (RIMa), participe activement à cette mission. Par l adjudant-chef Philippe BEAUCHET, chef de la conduite de maintenance de la 1 re CMM Les modifications portent principalement sur la protection (sur-blindage, LIRE) et la capacité au combat tout temps (caméra thermique). L évolution porte également sur le confort de pilotage avec un système CEPM (commande électropneumatique à microprocesseur de la boîte de vitesses). L AMX 10 RC rénové est donc le résultat du décalage annoncé des livraisons de l engin blindé de reconnaissance et de combat (EBRC) qui impose de prolonger la durée de vie de l AMX 10 RC au-delà des 30 ans prévus initialement. Le 15 septembre 2009, le dernier AMX 10 RC a quitté les ateliers de la 1 re section réparation mobilité feu, de la 1 re Compagnie de maintenance (CMM) du 9 e BMAT, pour être revalorisé à Roanne, au sein de la société NEXTER pour la partie tourelle et à Gien au sein de la 12 e BSMAT pour la partie châssis. Depuis maintenant 4 années, les équipes Armement gros calibre et tourelles et conduites de tir (AGC-TEB) de la section réparation mobilité feu (SRMF 1) pour le RICM de Poitiers et la SRMF2 pour le 1 er RIMa d Angoulême œuvrent à la réalisation d un échéancier parfois difficile à respecter en raison d un cumul des charges s ajoutant au soutien normal des matériels blindés. Le prélèvement des AMX 10 RC dans les régiments passe par un contrôle initial approfondi de la tourelle par les équipes AGC du bataillon. La tourelle est ensuite contrôlée dans ses ateliers, par la société NEXTER, qui valide la tourelle puis plombe l AMX 10 RC. A l issue, un transporteur vient chercher le matériel qui rejoint les chaînes de revalorisation. En sortie de chaîne les AMX 10 RC révalorisés sont affectés dans les différents régiments de l arme blindée cavalerie. Ainsi, en quatre ans, quatre-vingt AMX 10 RC des deux régiments soutenus par la 1 re CMM ont été traités, soit en moyenne un char tous les mois. 46

15 Matériel et Technique n 172 LE VAB ELI un projet innovant au service des maintenanciers Après plusieurs mois d expérimentation en école et en régiment, le VAB ELI rejoindra dans quelques mois les théâtres d opérations en Afghanistan. Par le sous-lieutenant Capucine GANZ, officier communication et information des écoles militaires de Bourges Une nouvelle version du Véhicule de l avant blindé (VAB) a vu le jour au sein des ateliers de l école du matériel en 2009 : le VAB ELI (Élément léger d intervention). Celle-ci est destinée à répondre aux besoins exprimés par les forces en opérations. Grâce à ce projet lancé il y a 2 ans, l école du matériel confirme ainsi sa technicité et sa capacité d innovation sur les matériels de l armée de terre. Mieux qu une nouvelle version du VAB, il s agit en fait d un kit adaptable à l engin : un ensemble de modules est monté sur et à l intérieur de la caisse du véhicule, sans soudure ni découpage, et offre désormais au VAB une capacité de réparation et de récupération, sur tous les types d engins. Ne nécessitant aucune modification de structure, le montage du kit ELI sur un VAB peut être fait en une demi-journée et par seulement trois personnels. Il dote ainsi les sous groupements tactiques interarmes, d une autonomie accrue dans le domaine de la maintenance, tout en offrant aux mécaniciens des conditions de protection comparables à celles des autres combattants. Le prototype a été expérimenté à l école cet été puis confié à un régiment en manœuvre pour une utilisation en ambiance opérationnelle. A terme, une vingtaine de VAB ELI rejoindront l Afghanistan au premier semestre 2010 pour y équiper les unités françaises dont les OMLT (Opération mentoring and liaison team). 47

16 A SAVOIR Du rebut au réemploi pour le maintien en condition opérationnelle des matériels... GBC 180 Bientôt arrivé au terme du programme de valorisation du GBC 180 après 12 années de production et 5425 GBC 8KT transformés, la 12 e Base de soutien du matériel (12 e BSMAT) poursuit sa diversification et dispose à ce titre d un environnement de production et d équipements techniques de premier ordre. Réalisé sur le site de Neuvy- Pailloux, le programme de valorisation GBC 180 a nécessité l étude, le développement et la mise en place d équipements techniques spécifiques ayant conduit à la qualification de procédés spéciaux. C est dans ce cadre que deux cabines de métallisation, installées par la société SULZER METCO, sont aujourd hui employées afin de réemployer, après traitement, les pièces fabriquées au cours des années 1960 par la société BERLIET, constructeur du GBC 8KT. Le procédé de métallisation consiste à redonner les cotations géométriques et dimensionnelles d une pièce usée afin de lui permettre, après traitement, de retrouver toutes ses fonctionnalités techniques et mécaniques d origine. La seule contrainte est que le procédé utilisé à Neuvy-Pailloux s applique aux pièces de révolution. Procédé qualifié et réalisé par des opérateurs formés à l emploi de cet équipement, la technique mise en œuvre consiste à projeter sur la pièce, mise en mouvement autour de son axe, de la poudre métallique en fusion sous atmosphère contrôlée. Cet apport de matière, de l ordre de 2mm au rayon, va permettre après rectification et polissage, de remettre la pièce dans une configuration d emploi identique à celle définie lors de sa conception, et cela malgré l usure visible après 50 ans d utilisation. Mais dans ce cas, pourquoi ne pas confectionner directement de nouvelles pièces? Le programme GBC 180 a eu pour objectif principal de minimiser le coût de rénovation du GBC 8KT. Sur une cadence annuelle de production de l ordre de 500 véhicules, le coût économique de fabrication de pièces de fonderie, à cannelures internes ou externes comme les brides de palier relais, a vite dissuadé la maîtrise du programme de faire le choix d une confection de pièces neuves. Par ailleurs, ce procédé permet d obtenir une meilleure garantie dans la durée des surfaces traitées. En effet, le substrat rapporté s avérant de bien meilleure qualité que la matière première de la pièce. 48

17 Matériel et Technique n 172 Ce procédé, encore utilisé dans le cadre de la rénovation des sousensembles constituant la Liste des approvisionnements initiaux (LAI) du programme GBC 180, est également mis en œuvre au profit du détachement de Gien pour des pièces de véhicules blindés. Poursuivant son activité de démantèlement de véhicules et de prélèvement de pièces au profit du maintien en condition opérationnelle des parcs restant, la 12 e BSMAT dispose d un environnement technique et de procédés spéciaux en mesure de rénover des pièces obsolètes ou usagées dont la ré industrialisation aurait un coût prohibitif. Elle participe ainsi au maintien des capacités opérationnelles des véhicules des armées et répond, d une manière réactive, aux exigences de contraintes budgétaires et de réalisation à moindre coût. Rechargement par métallisation Pièce avant et après traitement. 5. Le commandant Christophe FONTAINE Chef du bureau maintenance soutien Neuvy-Pailloux 49

18 DOSSIER MATERIEL LOGISTIQUE TRAIN Les écoles militaires de bourges à l heure du premier bilan 10

19 Matériel et Technique n 172 Le 1 er août 2009 ont été créées les écoles militaires de Bourges (EMB), réunissant au quartier Auger Carnot, sur le site de l ESAM, l école du matériel, l école du train et le centre de formation logistique Pourquoi la création des EMB? Le regroupement de trois entités de formation s intègre au processus de modernisation engagé en 2008 par la présentation d un nouveau livre blanc et par la réforme du ministre de la défense Hervé MORIN, le 24 juillet de la même année. Les Écoles de la logistique et du train (ELT), jusqu alors basées à Tours, ferment leurs portes en juillet 2009 pour rejoindre l École supérieure et d application du matériel (ESAM). De ce regroupement naissent les Écoles militaires de Bourges (EMB), désormais pôle de référence de la logistique de l armée de terre. Les EMB réunissent donc aujourd hui l école du train, l école du matériel et le centre de formation logistique. Elles s inscrivent dans une logique de réorganisation et de modernisation de l armée de terre : il s agit pour les années à venir de réduire les coûts de fonctionnement et de resserrer les effectifs, tout en conservant une formation performante à l écoute des besoins opérationnels. C est dans ce contexte que le chef d état-major de l armée de terre, le général d armée IRASTORZA, décide en juillet 2008 de la création des EMB. Le défi est de grande ampleur : pour le 1er août 2009, avoir regroupé les deux pôles de formation en mutualisant les services qu ils ont en commun, notamment ceux du soutien. En moins d un an, l école supérieure et d application du matériel commandée alors par le général HOCQUARD et les écoles de la logistique et du train commandées par le général LE GAR- REC, travaillent de concert à la mise en œuvre de cette nouvelle entité : des mois d échanges, de discussions, propositions, décisions, et ce toujours avec le souci des échéances qui incombent à leur mission. Finalement le contrat est rempli : les ELT ferment leurs portes à la fin du mois de juillet dernier, les bureaux sont tous transférés à Bourges et les personnels installés dans leur nouvelle ville. Le quartier Auger Carnot se «gonfle» pour l occasion d une centaine de personnels supplémentaires. Trois mois après la création de ces écoles, le bilan qui s en dégage est nettement positif. Après quelques semaines inévitables de flottement, chacun semble avoir trouvé sa place. La cohabitation des tringlots et des maintenanciers se met en place et les EMB sont inaugurées officiellement le 17 septembre 2009, cérémonie présidée par le chef d état-major de l armée de terre. Cette inauguration prend d autant plus de sens lorsque l on sait que les écoles militaires de Bourges sont les pionnières d une dynamique des regroupements des pôles de formation militaire, qui auront lieu dans les années à venir. 11

20 DOSSIER MATERIEL LOGISTIQUE TRAIN Une nouvelle organisation au quartier Auger Carnot de Bourges : Aujourd hui, les écoles militaires de Bourges, à la tête desquelles se trouve le général LE GARREC sont constituées des trois entités suivantes: l école du train, commandée par le général LE GARREC, l école du matériel, commandée par le général COQUEBLIN et le centre de formation logistique, commandé par le colonel GODFRIN. L organisation des EMB est à la fois plus simple et plus complexe, plus simple car chaque organisme de formation est exclusivement dédié à son métier de formation mais aussi d étude et de prospective ; plus complexe car il s agit de coordonner harmonieusement le soutien tant dans les domaines de la vie courante que des formations communes avec les directions support. Les organismes de formation dispensent les cours et formations aux stagiaires qui sont plus de 4500 par an à franchir les portes des EMB. Des personnels civils et militaires viennent se spécialiser sur différents matériels et différentes techniques lors de stages allant de quelques jours à plusieurs mois. Il est souligné que les cinq centres d instruction à l enseignement de la conduite sont rattachés à l école du train. Ils reçoivent annuellement candidats aux brevets militaires de conduite. 12

21 Matériel et Technique n 172 Les écoles en bref : Les trois piliers de formation sont appuyés au quotidien par différents services d administration et d enseignements communs. Il s agit de la Direction de la formation commune (DFC) et de la Direction générale de l administration et des ressources (DGAR). Ce sont en particulier les services de ces deux piliers de soutien qui ont été mutualisés lors du regroupement effectué au mois d août dernier. Placée sous les ordres du lieutenatcolonel CARON ayant également la fonction de chef de corps des EMB, la DGAR est chargée d assurer au quotidien l ensemble des prestations de soutien nécessaires au fonctionnement de ces écoles, tels que la gestion des ressources humaines, la maintenance des infrastructures, le soutien médical ou encore la trésorerie. La DGAR optimise le fonctionnement des écoles afin d assurer aux pôles de formation le soutien de leurs activités dans les meilleures conditions possibles. En effet, aujourd hui chaque école d arme est recentrée sur son métier et est articulée autour de divisions de formation d élèves. Ainsi, elles ne disposent plus en interne, comme cela était le cas avant le regroupement, des moyens de formation spécialisée et toutes armes, qui sont dorénavant regroupés au sein de la DFC. La DFC est un «facilitateur» d activités, un organisateur et un pourvoyeur de moyens. En appui permanent des écoles, elle exerce un rôle éminemment transverse, grâce à 3 piliers distincts: - le bureau environnement de la formation (planification et programmation, gestion des stagiaires, concours et cours par correspondance, centre de documentation et d information ) - le bureau formation commune (cours de langues, NRBC, E2PMS, ISTC-TAM ) - le bureau formation spécialisée qui dispose d un cours Numérisation de l espace de bataille (NEB) et d un centre de simulation et d exercices. Un regroupement à Bourges, mais une ouverture sur la région, la France et l étranger : Les EMB ne constituent pas un pôle de formation qui n aurait qu à accueillir les stagiaires qu il forme. Elles se veulent être une structure résolument tournée vers l extérieur, volonté encouragée par leur position exactement centrale sur le territoire métropolitain. Ainsi l école du train est autorité d emploi de cinq Centres d instruction élémentaire de conduite nationaux (CIEC), placés sous l autorité organique du chef de corps des écoles militaires de Bourges. La mission des CIEC est de former les futurs conducteurs dans toutes les catégories de véhicules en formant en moyenne stagiaires à l année. Les centres sont répartis sur le territoire métropolitain : la Valbonne dans l Ain, Mourmelon dans la Marne, Sissonne dans l Aisne, Châteauroux dans l Indre et Montlhéry dans l Essonne. Les EMB sont également tournées vers l étranger puisqu elles ont souvent l occasion d accueillir des délégations de différents pays, notamment l Allemagne avec qui elles continuent d entretenir une relation particulière : le Centre de développement des didacticiels (CDD) regroupe une vingtaine de personnels aux EMB dont la mission consiste à produire les cours destinés à la formation des personnels travaillant sur l hélicoptère TIGRE au centre franco-allemand de Fassberg en Allemagne. Mais avant tout, les écoles militaires de Bourges apparaissent comme une structure intégrée dans sa ville et sa région. Elles participent régulièrement à de nombreuses activités civilo-militaires dans le département. Elles marquent de leur présence les différentes cérémonies nationales (11 novembre, 8 mai, 14 juillet...) ou locales (libération de Bourges, St Amand, etc.). Elles sont également soucieuses d être accessibles à la population locale en ouvrant leurs portes au public dans le cadre des journées du patrimoine et ainsi faire découvrir leurs musées, en organisant les rencontres jeunesse défense (découverte des métiers de la défense par des élèves de 3 e sur la base aérienne d Avord). Enfin un effort particulier a été consenti au printemps 2009 afin d accueillir les personnels des ELT et leur famille, lors d un forum d accueil organisé en collaboration avec la préfecture, la mairie de Bourges et le conseil général. 13

22 DOSSIER MATERIEL LOGISTIQUE TRAIN Les EMB à l heure du bilan mais ensuite? Ce regroupement réussi d écoles met en évidence le dynamisme et la faculté d adaptation et de remise en question des entités militaires. En effet, les EMB n apparaissent pas comme une structure immobile mais au contraire en perpétuel mouvement. Dynamique qui ne tend pas à s atténuer puisque de nombreux bouleversements sont prévus pour les années à venir. Après avoir dû relever le défi du regroupement, les écoles militaires de Bourges devront, dans les années à venir, faire face à de nouveaux challenges. Elles devront poursuivre l adaptation de leur système de formation à l évolution technologique des matériels, toujours plus sophistiqués, tout en conservant les savoir-faire touchant les matériels d ancienne génération. Elles devront se montrer toujours plus réactives pour prendre en compte la formation des personnels sur les équipements, afin de faire face aux besoins des théâtres d opérations. Enfin, il s agit pour l avenir d optimiser et moderniser les méthodes de formation en développant le recours à l enseignement assisté par ordinateur, en s impliquant dans l enseignement à distance et en favorisant l emploi de moyens de simulation. De plus les EMB peuvent s enorgueillir d un contrat rempli mais cette nouvelle organisation n est qu une transition puisqu à courte échéance (1 er janvier 2011), la Base de défense (BDD) de Bourges-Avord devrait avoir été créée conformément au mandat reçu de l EMA. En effet, en parallèle du regroupement des écoles, la base aérienne 702 d Avord distante d une vingtaine de kilomètres s est érigée en BDD expérimentale depuis le 1 er janvier On le constate, les écoles militaires de Bourges sont immanquablement tournées vers l avenir. Néanmoins, elles ont à cœur de conserver les traditions de leurs armes. Les ELT ont apporté avec elles leur identité culturelle, en déplaçant notamment le monument aux morts de l arme du train, aujourd hui symbole d une parfaite intégration au sein d un site qui n était pas le leur il y a encore quelques mois. Le musée du train a également été déplacé, enrichissant ainsi le patrimoine culturel de Bourges. Ainsi la politique muséale est à l image de celle des EMB : chaque arme doit veiller au respect de ses traditions, tout en travaillant à une synergie commune entre matériel, train et logistique. Sous-lieutenant Capucine GANZ, officier communication et information des écoles militaires de Bourges Les lieutenants et les capitaines de retour à Bourges : Dans le cadre de la création des EMB, les formations de la Division d application (DA) et des Cours des futurs commandants d unité (CFCU) sont de nouveau conduites en totalité à Bourges après un passage à Tours depuis 2005 pour les capitaines et 2006 pour les lieutenants. Ce retour représente un double défi à relever pour ces deux formations : d une part démarrer la formation dans un environnement différent et d autre part adapter la formation aux évolutions engendrées par la transformation en général et par le chantier Maintenance 2010 en particulier. La formation des futurs commandants d unité permet d acquérir des savoir faire sur l ensemble des domaines de la maintenance, l environnement technique et humain du corps de troupe, la préparation opérationnelle des unités du Service de la maintenance industrielle terrestre, le management de la maintenance par la qualité ou encore la maintenance en opération. Quant à la formation de la DA, elle est articulée autour des axes majeurs suivants : la culture d armes, la formation militaire générale, la culture militaire et la formation à l exercice du commandement, le management de la maintenance et enfin la préparation opérationnelle. Afin de permettre aux formations de ne pas demeurer figées, la DA a la volonté partagée d échanger avec le CFCU mais également la DEP et les divisions techniques. L apport de la DFC et la synergie avec la DA Train, dans le respect de nos spécificités, sont essentiels pour réaliser une formation la plus complète et la plus réaliste possible, dans un esprit interarmes et logistique, que la création des écoles militaires de Bourges facilite. A cœur vaillant, rien d impossible! Lieutenant-colonel Renaud GODARD, commandant la division d application, école du matériel 14

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