GRAND AGE EN MAISON DE RETRAITE, MAINTIEN DE L IDENTITE, VIE URBAINE

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1 GRAND AGE EN MAISON DE RETRAITE, MAINTIEN DE L IDENTITE, VIE URBAINE L exemple malheureusement trop actuel des difficultés rencontrées par les pouvoirs publics pour faire face à l'accompagnement des personnes du grand âge n'est qu'un des aspects de la question qu il nous faut aborder de front aujourd hui : leur place dans nos sociétés. Vous entrez en maison de retraite. D une vie, qu'emmenez-vous? Quelques objets et seuls vos souvenirs vous rattachent à ce qui fut votre passé et votre existence. Souvenirs fragiles, érodés par le temps, que seule la permanence d un lieu de vie peuplé de signes et de symboles connus permettaient d entretenir. La maison de retraite, elle, est un territoire vierge de tout repère qui produit nécessairement une «rupture». Nous ne savons que peu de choses sur l expression des ruptures en termes de deuil de lieux de vie et de lieux d échanges relationnels. La question qui se pose et a fait naître la recherche «Grand âge en maison de retraite, maintien de l identité, vie urbaine», est la suivante en quoi le rapport à l espace et au temps sont-ils des éléments constitutifs de l identité pour les personnes très âgées vivant en établissement d hébergement? L hypothèse générale est que le caractère normatif de la maison de retraite va de pair, notamment pour les personnes très âgées et dépendantes, avec l absence de sorties à l extérieur et, de ce fait, avec la perte des repères spatio-temporels et identitaires. La recherche «Grand âge en maison de retraite, maintien de l identité, vie urbaine» 1 a été effectuée dans trois Etablissements d Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes (EHPAD) situés en milieu urbain. Le rapport à l espace et au temps est analysé dans une perspective théorique alliant la psychologie cognitive, le concept de cartographie mentale, les notions d espace, d identité et les travaux réalisés sur le vieillissement. Il a été étudié selon une méthodologie double : 1) des entretiens semi-directifs destinés à recueillir un certain nombre de renseignements sur le parcours de vie et les pratiques des personnes âgées ; 2) le recueil de cartes dessinées par les interviewés, traduisant leurs schématisations mentales de l environnement. Ce dernier point représente l'originalité de la recherche, en effet, la méthodologie de la carte mentale (carte cognitive) est tout à fait novatrice et n avait encore jamais été employée auprès de populations aussi âgées. La cartographie mentale est le processus mental par lequel l'individu organise et comprend le monde qui l'entoure. La carte mentale est une représentation interne stockée en mémoire. Elle permet de résoudre des problèmes spatiaux grâce aux plans et cartes engendrés. La carte mentale a également pour objectif de donner un cadre de références qui permet de comprendre et d'interpréter l'environnement spatial et ainsi de penser le monde autour de soi, mais également de construire des mondes imaginaires. L'activité de cartographie mentale 1 Financée par le Plan Urbanisme Construction Architecture (Atelier de Sociologie pratiques quotidiennes des habitants), Direction générale de l urbanisme de l habitat et de la construction, Ministère de l équipement, des transports et du logement. 1

2 procède à la mise à jour des cartes internes et est suffisamment souple pour s'adapter aux changements de notre environnement. Cette activité a lieu sans que nous en ayant conscience. Cet outil est particulièrement intéressant pour établir une corrélation entre le degré de stimulation offert par l environnement de la maison de retraite et la préservation de l identité de la personne âgée, condition nécessaire à son bon vieillissement. L environnement intervient, incontestablement, dans l expression de l identité personnelle. Il s agit aussi bien de phénomènes d identification avec un lieu, ce qui signifie un investissement affectif, parfois même narcissique (Eleb-Vidal, 1982), que de phénomènes de rejet et de non-intégration. Dans ce cas, l espace est alors vécu comme un milieu où l on se sent étranger, où l on ne peut pas faire quelque chose en son nom et auquel on arrache un coin familier, comme le souligne Fischer (1981). La construction du «chez soi» est l expression de ce processus d appropriation. «La maison repère et repaire» traduit parfaitement ce que représente la maison dans le grand âge. Elle est à la fois repère social, spatio-temporel et repaire, lieu d intimité et de refuge. Le poète Bachelard écrit «la mémoire, chose étrange, n enregistre pas la durée concrète C est par l espace que nous trouvons les beaux fossiles de durée concrétisés par de longs séjours. L inconscient séjourne. Les souvenirs sont immobiles, d autant plus solides qu ils sont mieux spatialisés.» Le concept d appropriation est également lié aux processus identitaires dans la mesure où l appropriation psychologique implique l investissement affectif des objets ou des lieux appropriés. L individu se projette ainsi sur l environnement (Fischer, 1981) et il inscrit son identité (Barbey, 1976). Or, l organisation des établissements porte souvent sur le confort et la sécurité et non sur ce thème de l affectif qui permet l ancrage identitaire. D une manière générale, les espaces (chambres, salles collectives ), le lien avec la ville, la prestation globale sont pensés à partir de modèles de vie communautaire ou hôtelière. Ces modèles ont tendance à enfermer l individu. Ils couvrent, en effet, tous les besoins des résidents et visent à les assister. Ceux-ci ne sont pas incités à sortir. La réduction, voire l absence de lien avec l extérieur contribue alors au désinvestissement identitaire des personnes vieillissantes. 47 résidents ont constitué l'échantillon d'étude ; l ensemble des entretiens a permit de recueillir 55 cartes mentales. Ces recueils furent réalisés dans trois établissements différents, chacun présentant des environnements distincts et contrastés, permettant d établir des parallèles intéressants. Ainsi, nous avons dégagé cinq types génériques de cartes mentales, celles-ci se retrouvant dans des proportions différentes en fonction de l implantation des maisons de retraite dans la ville et les structures propre de ces dernières. Ces dernières constituent une gradation de la représentation mentale des personnes interrogées, gradation allant de la plus faible représentation (espace faible) à la représentation la plus organisée (cartes structurées locales), il est alors intéressant de constater une scission entre les établissements, les cartes les plus faibles se trouvant majoritairement dans les mêmes établissements et les cartes les plus organisées dans les autres. On peut induire de cette observation un lien de cause à effet très fort entre la structure de l établissement et les cartes 2

3 mentales observées, la maîtrise de l espace et du temps étant alors fortement conditionnée par la vie dans l institution et son implantation dans la ville. Toutefois, il est à noter que chaque individu a sa propre capacité à exprimer sa représentation mentale. Effectivement, il faut prendre en compte les performances grapho-motrices différentes et les problèmes de compétences liées à chacun. De même, le vécu et le système de valeurs des personnes rentrent en jeu dans l'expression de la représentation mentale. Celle-ci est ainsi le révélateur d une appropriation particulière. Ainsi, nous avons pu observer les types de cartes mentales suivants : 1. les représentations d espaces faibles (schémas pas ou peu coordonnés), produites par des personnes très âgées et dépendantes qui ne sortent plus, traduisent une perte de cohérence dans la conservation des repères spatiaux ; cela se caractérise par des points de repères spatiaux de la vie antérieure et/ou de la vie actuelle appuyés sur des souvenirs éparpillés dans la mémoire. Ces schémas sont relativement pauvres, ce qui peut être le signe soit d un degré d ancrage et d appropriation faible à l environnement actuel, soit une relation à soi et au monde interrompue. 2. les schémas passéistes témoignent d un repli accentué dans une vie antérieure ; les seuls points de repère existant appartiennent au passé. Ces représentations mentales sont souvent contractées. Les participants sortent exceptionnellement et présentent une mobilité limitée voire très limitée. Certains sont dans un refus soit du quartier, soit du placement qui s exprime avec le désir clairement énoncé de retourner vivre à domicile. Nous observons une forte attitude de repli. Les réseaux réduits ancrés revêtent un fort caractère de maintien identitaire pour la personne âgée. 3. les schémas éclatés ne sont plus que des fragments de perception, le plus souvent de vies antérieures et liés à la perte de mobilité, réalisés essentiellement par des personnes en fauteuil roulant, souvent plusieurs espaces vécus dans le temps sont représentés. 4. les environnements structurés (schémas mentaux bien structurés montrant une bonne perception de l environnement local ou plus général), produits par des personnes qui ont toujours une pratique de l espace. Leur degré d autonomie est bon, elles sont en capacité de sortir seules. Nous pouvons également observer que ce sont pour la plupart des personnes avec un bon entourage familial ou social. 5. les cartes structurées locales qui reflètent une pratique riche de l environnement immédiat et une bonne adaptation à la vie dans l établissement. En outre, la qualité de l espace urbain prend ici toute sa réalité. En effet, nous voyons que la majorité des schémas structurés de l environnement local recueilli ont été produits par les participants du même établissement. Les commerces et les services sont faciles d accès, un ascenseur offre aux personnes la possibilité de s y rendre plus aisément. Par ailleurs, la moitié d entre eux sont originaires du quartier ou de la ville. Ce qui démontre l importance du lieu de résidence antérieure dans le maintien du lien à l espace et à l identité spatiale et sociale. 3

4 Dans un premier temps, il faut remarquer que s il y a rupture dans les repères, donc dans les représentations, par l entrée en maison de retraite, il est toujours possible de substituer aux schèmes anciens de nouvelles représentations qui tiendront place de facteurs sécurisant. En ce sens, il faut s appuyer sur la ville, ressource offrant un support permettant l extension de l identité sociale et spatiale. La ville joue un rôle essentiel dans la conservation de l identité sociale grâce au maintien des échanges, des relations et, de la reconnaissance des lieux urbains comme supports de la vie collective (cartes structurées locales). Ensuite et si l entrée en institution (choisie ou contrainte) peut avoir un effet dissociatif sur le rapport à l espace et au temps qu entretiennent les personnes âgées (représentation d espaces faibles ou de schémas éclatés), force est de constater que l environnement intérieur de l établissement peut être un élément favorisant le processus d adaptation de la personne âgée à ce mode de vie collectif. Ces observations et analyses permettent une mise en perspective éclairante des relations entre mobilité physique, acceptation ou résignation du placement et type de relation aux autres résidents. Le maintien de l identité, se révèle être la clé pour une structure mentale autonome. Un certain nombre d éléments objectifs (environnement de l établissement, structure du quartier) y contribuent encore. Il en va de même pour les relations entre image de soi et intégration ou non dans les activités de l établissement. Cette recherche a permis d apprécier la pertinence de l usage des «cartes mentales» pour l appréhension des représentations des personnes de grand âge en établissement. En effet, à travers l étude de la structure mentale de ces personnes très âgées et dépendantes, placées dans un contexte de vie collective et souvent en rupture avec leur histoire individuelle, nous avons eu l occasion d aborder, dans un cadre plus large, l approche institutionnelle de la fin de vie et la manière dont elle est conçue. Or, la problématique à laquelle nous avons été confrontés revient à réfléchir sur la manière de ralentir et, si possible, d inverser ce processus afin que la fin de vie soit la plus douce et la moins traumatisante possible pour les personnes elles-mêmes, pour leur entourage et, dans un registre différent mais tout aussi crucial, pour le personnel, qui doit assumer les affres de la fin de vie et la mort d autrui. Ce travail enfin, est riche d enseignements pour l avenir des conceptions d établissements en ce qui concerne notamment : leur place dans la ville, la conception des aménagements intérieurs, l offre interne de services, la prévention et la formation des personnels : 1) la place des établissements dans la ville Un effort doit être fait pour ouvrir l institution sur la ville et ses rythmes de vie. C est une des conditions pour que les résidents conservent un contact avec les relations sociales et urbaines. Pour ce faire la circulaire n du 23 juin 2000, relative à l'accessibilité aux voies publiques par les personnes handicapées, décrets et arrêté du 31 août 1999, impose la réalisation d aménagements adaptés aux handicapés mais une grande partie des villes n a pas effectué ces transformations. Il faut appuyer la nécessité d accomplir de tels travaux autour d un établissement d hébergement pour personnes âgées afin de sauvegarder et de valoriser le plus longtemps possible les capacités des individus. 4

5 Il semble opportun, pour le maintien de l identité et du lien à l espace, que la personne vieillissante conserve un maximum de repères spatiaux, c est pourquoi il apparaît souhaitable de développer des lieux d hébergement de proximité. En d autres termes, il faut éviter une rupture entre l ancien lieu d habitation d une part et l établissement d accueil d autre part pour permettre le maintien des réseaux amicaux, sociaux et familiaux. C est pourquoi et, à la manière de ce qui se pratique déjà dans le domaine scolaire, il faut peut être réfléchir à une politique sectorielle, chaque quartier ayant ainsi son établissement de rattachement. Par ailleurs, il est regrettable de constater que la Politique de la ville vise rarement comme groupe cible spécifique les personnes âgées pourtant membres à part entière du tissu social urbain. 2) la conception des aménagements intérieurs L ambiance des différents établissements observés se caractérise bien souvent par le faible niveau qualitatif des rencontres qui s opèrent entre les personnes âgées et/ou entre le personnel et les personnes âgées. Le climat et l ambiance sont des critères prépondérants : les attitudes, les postures, les interactions, l occupation ou plus souvent la non-occupation de l espace, sont autant d items sur lesquels il faut se pencher. L accessibilité, la circulation, l emplacement et la taille des locaux communs ont des incidences sur le rapport à l espace que vont entretenir ou non les personnes très âgées et dépendantes. La conception architecturale devra aussi tenir compte de la pluralité des stratégies d appropriation et d utilisation des espaces par des personnes âgées ayant des trajectoires de vie différentes. L architecture intérieure peut être comme la ville une ressource ou au contraire une contrainte. Les agencements spatiaux des établissements peuvent induire une contrainte importante sur les résidents, par exemple limiter la liberté de déambulation de certains d entre eux. Des pratiques d insertion à double sens entre l intérieur et l extérieur de l établissement devront être développées afin de permettre une réhabilitation et une dédramatisation de l établissement pour les personnes âgées. 3) l offre de services et d animation dans les établissements La recherche conduit à s interroger sur l adaptation de l offre de services et d animation. Actuellement, elle est plutôt standardisée et normalisée. La pluralité des besoins et des histoires de vie des personnes hébergées n est pas prise en compte dans leur subjectivité. Il semble nécessaire d orienter l offre d animation vers deux axes majeurs : - l appropriation de l espace proche, c est à dire la reconnaissance et/ou la découverte du quartier et de ses ressources, des manifestations et autres festivités propres à celui-ci, des moyens de transports et d accompagnements proposés. - la stimulation de la personne âgée par la mise en place d ateliers permettant : le maintien de son identité, le renforcement des capacités mentales et psychologiques ainsi 5

6 que la revalorisation de ces capacités physiques. Le lien social doit également être une dimension intégrée à travers les différents ateliers pouvant être mis en place. 4) la prévention contre la «peur du risque» L objectif est de prévenir le repli sur soi et la peur liée à la prise de risque lors de sorties ou de toutes activités quotidiennes. Cette action doit être menée en direction des jeunes retraités et des familles. 5) la formation des personnels Deux aspects doivent être développés : 1) la prise de distance affective et émotionnelle des personnels d accompagnement afin que leurs missions soient recentrées sur les réelles attentes de la personne âgée. 2) la sensibilisation à la notion d espace et à la prise en compte de l importance du respect du territoire de chacun. De manière plus précise, notre recherche dégage une idée centrale qui conduit à montrer que la représentation de l espace des personnes en établissement est la résultante de la réduction de leur mobilité (réelle ou projetée), de l acceptation ou non du placement ainsi que de la relation à soi et aux autres (laquelle va le plus souvent jusqu à la négation de soi). Ces corrélations conduisent à mettre en relation l espace représenté et l espace de vie, les deux évoluant au même rythme : la capacité à représenter un espace structuré incarnent souvent un maintien et une continuité de l identité, alors que ceux qui décrivent des espaces faibles expriment un phénomène de déprise» (J-F Barthe, Sulhe, 1990) dans l'absence de renouvellement de représentation, voire de perte et d'abandon. Le maintien du lien avec l espace extérieur permet de comprendre comment l identité est sauvegardée et peut être un indicateur d appréciation sur la «qualité» des maisons de retraite, la réussite de leur mission est par définition liée à la qualité de vie des personnes dans l établissement, celle-ci étant sous-tendue par leur maintien identitaire. 6

7 Plan urbanisme construction architecture Atelier de sociologie Grand âge en maison de retraite, maintien de l identité, vie urbaine Résumé Les Maisons d Isatis Katia Bonventi Ministère de l Equipement des Transports du Logement du Tourisme et de la Mer Direction générale de l urbanisme de l habitat et de la construction

8 Juin 2002 La recherche «Grand Age, Vie en Institution et Vie urbaine» commanditée par l Atelier de sociologie du Plan Urbanisme Construction Architecture avait pour objectif d étudier le rapport à l espace et au temps des personnes âgées vivant dans des Etablissements d Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes (EHPAD) situés en milieu urbain. Ce rapport à l espace a été étudié ici selon une méthodologie double : 1) des entretiens semi-directifs destinés à recueillir un certain nombre de renseignements biographiques et pratiques auprès des personnes âgées et des personnels des établissements (trois établissements) ; 2) le recueil de cartes dessinées par les interviewés, traduisant leurs schématisations mentales de l environnement proche ou lointain. Cette méthodologie de la carte mentale (dite aussi carte cognitive) est tout à fait novatrice ici et n avait jamais été employée auprès de population aussi âgées. Le premier chapitre de la recherche rappelle les objectifs et les hypothèses de la recherche, replace le cadre théorique, notamment celui des travaux abordant le problème de la carte mentale, reparcourt un certain nombre de notions-clés : l espace, le temps, l identité, la notion de domicile et les processus d appropriation la notion d espace urbain. Le deuxième chapitre est consacré à légitimer la population observée et les sites retenus, après une mise en contexte référant aux grands recensements INSEE et aux problèmes spécifiques aux populations concernées. Il explique les conditions de sélection des interviewés et de choix des sites. Compte tenu de ces problèmes notamment d état physique et mental des résidents, l échantillon retenu est de 47 résidents ; le nombre de cartes mentales recueillies est de 55 (45 femmes, 6 hommes). Les établissements retenus sont au nombre de trois, avec des environnements à chaque fois contrastés et intéressants. Le troisième chapitre fournit l analyse des résultats. La synthèse menée des cartes mentales recueillies conduit à dégager cinq types génériques : «l espace fable» (schémas pas ou peu coordonnés), «l espace passéiste» (représentations qui rappellent le lieu de vie antérieur), «l espace éclaté» (grande dispersion des points-repères), «l espace structuré local» «l espace structuré distal» (schémas mentaux bien structurés montrant une bonne perception de l environnement local ou plus général). Ministère de l Equipement des Transports du Logement du Tourisme et de la Mer Direction générale de l urbanisme de l habitat et de la construction

9 Les cartes mentales révèlent ici leur double utilité et pertinence, en accord avec les entretiens et les observations : - les représentations de l espace faible traduisent une perte de cohérence dans la conservation des repères spatiaux, - les schémas passéistes locaux qui témoignent d un repli accentué dans une vie antérieure, - les schémas éclatés qui ne sont plus que des fragments de perception, le plus souvent de vies antérieures et liés à la perte de mobilité, - les environnements structurés produits par des personnes qui ont toujours une pratique de l espace, - les cartes structurées locales qui reflètent une pratique riche de l environnement immédiat et une bonne adaptation à la vie dans l établissement. Ces observations et analyses permettent une mise en perspective éclairante des relations entre mobilité physique, acceptation ou résignation du placement et type de relation aux autres résidents. Le maintien de l identité se révèle être la clé pour une structure mentale autonome. Un certain nombre d éléments objectifs (environnement de l établissement, structure du quartier) y contribuent encore. Il en va de même pour les relations entre image de soi et intégration ou non dans les activités de l établissement. En conclusion, ce travail est riche d enseignements pour l avenir des conceptions d établissements en ce qui concerne notamment : leur place dans la ville, la conception des aménagements intérieurs, l offre interne de services, la prévention et la formation des personnels. Ministère de l Equipement des Transports du Logement du Tourisme et de la Mer Direction générale de l urbanisme de l habitat et de la construction

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