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1 L interface Page 1 L interface Bulletin d information du CSSS de Bordeaux-Cartierville Saint-Laurent Infirmière praticienne spécialisée profession de l avenir! Photo : Marisa Ferrante

2 L interface Volume 6, numéro 1 Éditrice Louise Mercier Rédactrice en chef Denise Gagnon Collaborateurs Lisanne Archambault Ginette Bélair Christiane Bergeron Suzie Bilodeau Alain Bissonnette Lucie Blain Manon Boily Danielle Boivin Françoise Cottrez Diane Courchesne France Desroches Jacqueline Duchesneau Jean-Philippe Ferland Denise Gagnon Michèle Lachance Lise Lamontagne Julie Langevin Jeanne Lefebvre Louise Mercier Michel Prairie Danielle Thériault Samia Tohmé Révision Julie Langevin Photographie Robert Julien Graphisme Patricia Décarie Publié par le CSSS de Bordeaux-Cartierville Saint-Laurent 555, boulevard Gouin Ouest Commentaires : denise_gagnon@ssss.gouv.qc.ca Sommaire 3 Infirmière praticienne spécialisée : profession de l avenir! 4 Qu en pense le DG? 5 Forum local sur la maturité scolaire 6 Conciliation travail-vie personnelle : une réalité au CSSS de Bordeaux-Cartierville Saint-Laurent 7 Le DG en tournée 8 La politique pour une saine alimentation 9 Journée montréalaise sur les ITSS 10 Une journée dans la vie de La SI-RSIPA (solution informatique du réseau de services intégrés pour les personnes âgées) 14 Les suites du Chantier RH : un premier bilan positif 15 Une offre de service améliorée pour les personnes diabétiques 16 Le partenariat en action 17 Chronique Droits au but 18 De nouveaux bacs bleus de recyclage! 18 Bilan de la campagne de vaccination antigrippale 18 Coup de coeur : acceptation d un projet de recherche sur les maladies chroniques 19 Salon des artisans 20 Les bourses Marie-Anne-Lavallée 21 Nominations 22 Projets de construction 22 À votre agenda 23 Remerciements des familles et des proches 23 Prochaine parution En couverture Aël Cosquer et Kelly-Ann Pedneault (petites-filles d employées du CSSS)

3 L interface Page 3 Infirmière praticienne spécialisée : profession de l avenir! Photo : Marisa Ferrante Par Denise Gagnon, conseillère aux communications, en collaboration avec Jeanne Lefebvre, directrice des soins infirmiers et Samia Tohmé, conseillère cadre aux soins infirmiers L été dernier, le ministre de la Santé et des Services sociaux Yves Bolduc, annonçait la création sur une praticiennes spécialisées (IPS) en soins de 1 re ligne pour le Québec, dont 118 pour la région de Montréal. Cette orientation ministérielle vise à améliorer l accessibilité aux soins médicaux de 1 re ligne en développant de nouveaux modèles d organisation du travail entre les différents groupes de professionnels. Il s agit d un ajout important au sein des équipes interdisciplinaires. QU EST-CE QU UNE IPS? L IPS est une infirmière qui dispense, selon une approche globale et synergique, des soins infirmiers et des soins médicaux répondant aux besoins complexes des patients et de leur famille dans un domaine de spécialité, en tenant compte de leur expérience de santé (OIIQ, LES RÔLES ET RESPONSABILITÉS DE L IPS L IPS peut notamment effectuer certaines activités médicales telles la prescription d examens diagnostiques, de médicaments et de traitements médicaux, les suivis de grossesse, le dépistage du cancer du sein, le traitement des ITSS (infections transmissibles sexuellement et par le sang), etc. En fait, ses responsabilités sont réparties sous quatre grands volets, à savoir : LA FORMATION DE L IPS Au Québec, le programme de formation d une IPS en soins de 1 re ligne est l un des plus rigoureux du Canada. Il comprend un programme souche de maîtrise en sciences infirmières, un diplôme complémentaire en sciences biomédicales permettant une solide formation théorique et clinique ainsi qu un stage d intégration de six mois. UNE VALEUR AJOUTÉE INDÉNIABLE Aël Cosquer et Kelly-Ann Pedneault L intégration d une IPS dans les cliniques médicales permettra au médecin de se concentrer sur des tâches plus complexes et d offrir une meilleure accessibilité aux soins et services. la pratique clinique : soins directs aux usagers et le soutien clinique aux infirmières et autres Rappelons que le GMF-UMF du CLSC de Bordeaux- Cartierville accueille pour une troisième année consécutive une stagiaire IPS. Notre équipe médicale démontre une ouverture et une excellente collaboration. Cela aura d ailleurs été un des facteurs déterminants à l embauche d une IPS prochainement

4 L interface Page 4 Qu en pense le DG? Les infirmières praticiennes spécialisées Daniel Corbeil, directeur général En entrevue avec Denise Gagnon, conseillère aux communications, le directeur général commente la création de 118 postes d infirmières praticiennes spécialisées à Montréal COMMENT ACCUEILLEZ-VOUS LA NOUVELLE À L EFFET QUE 118 POSTES D INFIRMIÈRES PRATICIENNES SPÉCIALISÉES (IPS) SERONT CRÉÉS À MONTRÉAL? C est une excellente nouvelle pour le réseau de la santé montréalais, d autant plus qu en raison du vieillissement des effectifs médicaux, il y a un manque flagrant d omnipraticiens à Montréal. Notons par ailleurs que le Québec marque un certain retard par rapport à l intégration des IPS dans les équipes interdisciplinaires, comparativement à l Ontario. Cependant, en Ontario les IPS sont affectées plus particulièrement en régions éloignées, tandis qu au Québec, elles seront réparties équitablement entre les régions. Au Québec, il a été décidé de prioriser les services de 1 re retrouveront dans les CSSS dans les programmes suivants : soutien à domicile, services courants, programmes où l on traite et prend en charge des clientèles vulnérables, sans médecin de famille ou les clientèles aux prises avec une maladie chronique. Tandis les groupes de médecine de famille (GMF), unités de médecine familiale (UMF), cliniques-réseau, cliniquesréseau intégrées ou cliniques médicales privées. Afin d assurer le succès du déploiement de ces 118 IPS, l Agence de la Santé et des Services sociaux de Montréal a mis sur pied un comité régional d implantation. COMMENT EXPLIQUEZ-VOUS QUE LE COMITÉ RÉGIONAL D IMPLANTATION AIT PRIORISÉ NOTRE CSSS COMME MILIEU D ACCUEIL D UNE IPS CETTE ANNÉE? Notre CSSS est en effet l un des quatre centres qui a été identifié comme un milieu prêt à accueillir une IPS cette année. Cette dernière serait jumelée à une autre IPS qui elle, serait affectée à la clinique-réseau intégrée (CRI) Le Plein Ciel. En effet, on recommande l embauche minimale de deux IPS sur un territoire donné afin de favoriser les échanges professionnels, leur permettant ainsi de mieux définir et assumer leur nouveau rôle. Notre CSSS, et ce, grâce à la présence d une unité de médecine familiale, est un milieu propice à l enseignement, puisqu il forme déjà des médecins résidents. Notre organisation médicale bien structurée au GMF-UMF du CLSC de Bordeaux- Cartierville nous rend donc plus attrayant et apte à bien supporter l intégration d une IPS au sein de l équipe interdisciplinaire. QUELLE EST VOTRE VISION FUTURE DE LA PLACE DES IPS DANS NOTRE ORGANISATION? Non seulement nous espérons vivement que nous réussirons à recruter plus d une IPS cette année pour soutenir l organisation des services de 1 re ligne, mais nous sommes convaincus qu il devrait y en avoir également au niveau de l hébergement. Nous pensons que c est non seulement nécessaire, mais essentiel et requis, et nous défendrons cette position le moment venu. Un projet expérimental devrait débuter dans la prochaine année et nous nous sommes portés volontaires. Nous comptons également stimuler l intérêt de membres de notre personnel à choisir cette intéressante alternative de développement de carrière, et nous réfléchirons à des moyens concrets pour les supporter dans cette avenue

5 L interface Page 5 Forum local sur la maturité scolaire Par Denise Gagnon, conseillère aux communications, en collaboration avec Lisanne Archambault, conseillère cadre à la Direction de santé publique et développement des communautés LES ORGANISMES DU MILIEU SE MOBILISENT UNE FOIS DE PLUS POUR QUE LES ENFANTS ARRIVENT À L ÉCOLE MIEUX PRÉPARÉS Un Forum local sur la maturité scolaire des enfants de Bordeaux-Cartierville et de Saint-Laurent, s est tenu Laurent. Cet événement a permis à une centaine de participants de témoigner de leur engagement et de leur volonté à favoriser le développement et la réussite scolaire des jeunes enfants du territoire. Ce forum a été organisé conjointement par le CSSS de Bordeaux-Cartierville Saint-Laurent et des organismes des milieux scolaire, municipal, communautaire et des services de garde. En première partie, les participants ont eu droit à une présentation des actions réalisées Précisons que les actions adoptées lors du sommet en 1. Améliorer le dépistage et les suivis pour les enfants présentant des difficultés. Adapter et développer l offre de service. 3. Améliorer le maillage entre les acteurs en petite enfance. 4. «Reaching out». Deux documents ont été déposés lors de cette identifiant clairement les nouveaux services ou activités constater que des progrès significatifs ont été réalisés Par la suite, un conférencier spécialiste en intervention écosystémique en milieu défavorisé, François Blain, a suscité une importante réflexion sur les façons de faire pour s assurer de l essentielle collaboration des parents de préparation lors de leur entrée à l école et ainsi à favoriser leur réussite scolaire. Partant d une définition de ce que devrait être la relation famille/organisme, beaucoup de questionnements se sont posés pour les participants de chacun des milieux. Devrions-nous revoir nos pratiques? Quels engagements pourrions-nous prendre dans la prochaine année afin d améliorer l implication parentale? Suite à la tenue d ateliers, plusieurs intervenants ont pu exprimer leur volonté de développer des moyens concrets afin de favoriser davantage l engagement des familles du territoire vers un renforcement des pratiques familiales en matière de développement et d accompagnement des enfants. Une synthèse des ateliers et un suivi de cette réflexion incontournable seront effectués par le comité de suivi local sur la maturité scolaire. publique de Montréal lançait une vaste enquête afin de mesurer le niveau de préparation des tout-petits pour leur entrée à l école. Cette étude a démontré qu un n étaient pas prêts pour entrer à l école et débuter Pour en savoir plus Consultez la section spéciale consacrée au sujet sur le site Web du CSSS : coin-des-partenaires/ l apprentissage formel. Résultat plutôt inquiétant pour tous les acteurs du territoire qui œuvrent auprès des tout-petits

6 L interface Page 6 Conciliation travail-vie personnelle : une réalité au CSSS de Bordeaux- Cartierville Saint-Laurent Par Jean-Philippe Ferland, directeur des ressources humaines et du développement organisationnel Jean-Philippe Ferland Il est devenu de plus en plus clair que la conciliation travail-vie personnelle sera un enjeu important pour l ensemble des établissements du réseau de la santé pour les années à venir. À preuve, plusieurs matières des négociations nationales de la dernière année portaient sur ce thème. Étant proactif, le CSSS de Bordeaux-Cartierville Saint- conciliation travail-vie personnelle. Cette politique a pour but de favoriser un meilleur équilibre entre les responsabilités professionnelles, personnelles et sociales du personnel. Déjà plusieurs postes avec des horaires atypiques ont été créés au cours des deux dernières années afin de favoriser cet équilibre. Dorénavant, la direction du CSSS entend mettre de l avant la conciliation travail-vie personnelle par l aménagement du temps de travail flexible et adapté à la réalité professionnelle et personnelle de chacun. Cette orientation découle directement d une des neuf recommandations du Chantier RH, soit de faciliter la conciliation travail-vie personnelle en favorisant des horaires flexibles et en soutenant les équipes qui soumettent des projets d horaire de travail innovateurs et efficaces. Par cette politique, le CSSS veut mettre de l avant une culture organisationnelle de travail positive et entend favoriser l attraction et la rétention du personnel, la réduction de l absentéisme ainsi qu une hausse de la satisfaction au travail. À cet égard, le CSSS est conscient qu il doit se démarquer et faire valoir davantage ses forces en misant sur des valeurs attrayantes. Cette politique a été élaborée afin de respecter et refléter les principes de gestion du plan stratégique axé sur la responsabilité et la reconnaissance du personnel. En regard de ce principe, le CSSS croit à l importance d une gestion participative qui vise à associer le personnel à la prise de décision, en permettant de responsabiliser les individus, en comptant sur leur potentiel et leurs talents, en favorisant leur bien-être et leur épanouissement au travail, tout en contribuant à l atteinte des objectifs organisationnels. Les principes de conciliation travail-vie personnelle prônés dans l organisation ne peuvent être appliqués uniformément à l ensemble du personnel et doivent être évalués de façon individuelle. Bien que notre CSSS prévoit favoriser une flexibilité quant à l application d aménagement de temps de travail, il n en demeure pas moins que cette gestion ne peut se faire au détriment de la qualité des services et des besoins de notre clientèle. Tel que le prévoit la politique, les aménagements de temps de travail flexibles doivent toujours respecter les aspects suivants : assurer les services requis à la clientèle en tenant compte de la productivité, de la continuité et de l impact sur l organisation du travail et sur ne doit pas générer des ajouts d heures, de coûts assurer une répartition équitable du temps de travail parmi le personnel d un même service ou des services associés.

7 L interface Page 7 Pour ce faire, l aménagement de temps de travail flexible doit demeurer une responsabilité partagée entre la personne salariée et son supérieur immédiat. Avant de faire sa demande, la personne salariée doit évaluer l impact que l aménagement de travail pourrait avoir (en lien avec les trois aspects précisés précédemment) afin d en discuter avec son supérieur immédiat. La personne salariée et son supérieur immédiat doivent donc collaborer afin de trouver, s il y a lieu, le type d aménagement acceptable qui permettra d atteindre l équilibre travail-vie personnelle désiré par la personne salariée et encouragé par l organisation. Il s agit donc d un échange axé sur le consensus et non sur le compromis. Afin de mener à bien ces nouvelles pratiques, l ensemble des gestionnaires responsables d une équipe ont participé, à la fin de humaines et du développement organisationnel sur l application de la politique et sur la notion de responsabilité partagée d une demande d aménagement de temps de travail. En conclusion, il faut retenir que le CSSS de Bordeaux-Cartierville Saint- Laurent poursuit ses engagements découlant du Chantier RH et nous espérons que ces nouvelles orientations permettront de poursuivre nos efforts d amélioration de la qualité de vie au travail Le DG en tournée Par Louise Mercier, adjointe au directeur général et responsable des communications Comme il le fait à chaque année, le directeur général du CSSS, Daniel Corbeil, a entrepris en janvier une tournée des installations pour informer et discuter avec les employés des dossiers de l heure. fut l occasion de tracer un bilan du Chantier RH, de présenter les projets de construction sur chacune des installations et de faire le point sur notre situation financière. Daniel Corbeil en a également profité pour faire la promotion du spectacle organisé au profit de la Fondation Gracia en faisant un tirage de six paires de billets pour le spectacle d André-Philippe-Gagnon qui aura lieu le 6 avril

8 L interface Page 8 La politique pour une saine alimentation Par Danielle Boivin, Dt.P., conseillère à la Direction des services à la clientèle coordonnatrice des services de nutrition clinique et Jacqueline Duchesneau, Dt.P., conseillère à la Direction des services techniques coordonnatrice des services alimentaires À l instar de tous les établissements du réseau de la santé et des services sociaux, notre CSSS a adopté, en Cette politique s adresse à tous les résidents, usagers, employés, médecins, stagiaires, bénévoles et visiteurs du CSSS de Bordeaux-Cartierville Saint-Laurent, et vise toutes les activités associées à l alimentation dans l établissement, y compris les services d aliments et de boissons servis dans les cafétérias, les machines distributrices, les casse-croûtes ainsi que via les services traiteurs, et toute autre activité de nature commerciale ou non commerciale impliquant le service d aliments. Elle vise également les services de repas et de collations servis aux résidents et aux usagers, selon les modulations requises par les plans de traitement nutritionnels et les particularités associées au milieu de vie. La politique pour une saine alimentation s inscrit dans les objectifs poursuivis pour soutenir la promotion de la santé du personnel en regard de notre obligation d établissement promoteur de la santé. Les six grandes orientations de la politique pour une saine alimentation sont : offrir une alimentation variée et privilégier les aliments de bonne valeur nutritive avec une attention particulière portée à la qualité sensorielle des aliments et à leur teneur en fibres, sucres intégrer les principes du développement durable à favoriser l accessibilité physique et économique à promouvoir la saine alimentation auprès des assurer le développement des compétences du assurer la qualité globale des aliments et des boissons offertes. Un comité pour une saine alimentation, coprésidé par la conseillère à la Direction des services techniques, Jacqueline Duchesneau, et la conseillère à la Direction de l hébergement, Danielle Boivin, et composé de résidents, membres du personnel et représentants de diverses directions, participera à l élaboration du plan d action, afin d assurer la mise en place de cette Ainsi, des modifications aux menus des cafétérias, services traiteurs, casse-croûtes, machines distributrices seront intégrées progressivement pour répondre aux normes de la politique alimentaire. Pour les menus des résidents, nous disposerons de recettes standardisées avec des valeurs précises quant au contenu nutritionnel, et nous pourrons ainsi mieux répondre aux besoins particuliers de notre clientèle hébergée. D autres informations vous seront communiquées au fur et à mesure de l avancement de la mise en place de la politique

9 L interface Page 9 Journée montréalaise sur les ITSS Par Danielle Thériault, adjointe à la Direction de santé publique et du développement des communautés En 2009, des résidents de Bordeaux- Cartierville- Saint-Laurent ont effectué 425 visites dans les centres d accès au matériel d injection, dont 162 visites à Cactus et 148 à l Accès- Soir 1. Près de 4000 seringues leur ont été données. 1 L Accès-soir est l unité mobile d intervention de RAP Jeunesse qui sillonne les territoires des CSSS de Bordeaux-Cartierville- Saint-Laurent et Ahuntsic- Montréal Nord. Le 10 novembre dernier, l Agence de la Santé et des Services sociaux de Montréal invitait les acteurs du réseau de la santé de Montréal à participer à une journée sur les infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS). Cette journée visait à cerner les actions prioritaires à déployer et aussi à renforcer les partenariats. Elle donnait une place prépondérante au dépistage et au traitement du VIH et du VHC (hépatite C) chez les personnes utilisatrices de drogues par injection (UDI) et les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HARSAH). Outre la présentation de l état de la situation épidémiologique des ITSS à Montréal et l illustration de quelques projets novateurs initiés dans la région, les participants ont été amenés à se regrouper par territoire de CSSS et à déterminer les actions locales à mettre en œuvre ou à consolider au cours des prochains mois en matière de dépistage et de traitement des ITSS auprès des populations vulnérables. Malgré des taux d incidence des ITSS parmi les plus faibles des territoires de CSSS montréalais, les données confirment l importance des ITSS à Bordeaux- Cartierville et Saint-Laurent. La chlamydiose et l infection gonococcique sont bien présentes. Les activités de dépistage doivent donc être maintenues et même accrues chez les plus jeunes. C est d ailleurs une des actions prioritaires identifiées dans le plan d action local de santé publique du CSSS. Bien que les données ne nous permettent pas de dénombrer les UDI et les HARSAH qui habitent à Bordeaux-Cartierville et Saint-Laurent, l utilisation des services des centres d accès au matériel stérile d injection (CAMSI) par la population de notre territoire et les informations provenant du terrain nous invitent à intensifier nos actions auprès de cette population. Enfin, une attention particulière doit être accordée aux membres des communautés ethnoculturelles provenant de pays où le VIH est endémique et celles originaires de pays où la prévalence du VIH est élevée. Afin d intensifier le dépistage et le traitement des personnes UDI et des HARSAH de notre territoire, les huit représentants locaux présents à l événement, souhaitent d ici un an : En 2009, aucune des 99 pharmacies de Montréal qui vendaient des trousses de prévention aux personnes UDI ne se trouvait sur le territoire de Bordeaux- Cartierville- Saint-Laurent. accroître le travail de proximité, et ce, avec la collaboration de RAP Jeunesse, pour joindre davantage les personnes les plus vulnérables; rendre disponible le matériel d injection stérile au CSSS et dans les pharmacies du territoire; outiller le personnel et adapter les services du CSSS pour mieux rejoindre et accueillir les personnes qui s injectent des drogues; accroître le dépistage et favoriser l accès au traitement par la mise en place de corridors de services. Un comité de travail sera mis sur pied sous peu afin de compléter l état de situation et établir un plan d action en lien avec les objectifs visés. C est à suivre Pour en savoir plus ASSSM, Rapport du directeur de santé publique, Joindre plus, dépister plus, traiter plus, ASSSM, Portrait local ITSS 2009 : CSSS de Bordeaux-Cartierville-Saint-Laurent, 2010.

10 L interface Une journée dans la vie de... Sylvie Charlebois Par Julie Langevin, agente d information SYLVIE CHARLEBOIS, AUXILIAIRE FAMILIALE ET SOCIALE Lorsque Sylvie parle de son travail, on sent immédiatement la passion qui l habite. Elle aime les gens, développer une relation de confiance et faire la différence dans le quotidien de ses clients. DES SOINS ET SERVICES ADAPTÉS L auxiliaire familiale et sociale visite à domicile les clients et les tâches quotidiennes varient en fonction des besoins spécifiques de chacun. Elle peut ainsi voir à l hygiène (bain, toilette) de la personne, s assurer que l environnement physique est sécuritaire ou encore aider à la préparation des repas. De plus, l auxiliaire ayant suivi la formation d actes délégués peut effectuer certains soins de l acte spécifique (document rédigé par une infirmière renfermant les soins et médicament administré au client). Par exemple, elle peut appliquer une crème prescrite ou encore assurer la prise de médicament, «seulement s il a été préalablement préparé en dosette par une infirmière» précise Sylvie. L auxiliaire se déplace également afin d offrir du répit aux aidants naturels. D une durée d environ de trois ou quatre heures, ce répit permet à l aidant naturel de quitter la maison pour faire les courses, se changer les idées ou encore pour se reposer. Pendant ce temps, l auxiliaire crée une interaction avec le client. Procurer certains soins, faire une promenade, jaser en prenant un café sont des exemples d activités qui permettent à la personne de se changer les idées et de se sentir moins seule. Pour grand nombre d entre eux, l auxiliaire familiale et sociale devient de la visite attendue, un moment précieux d échange. UN LIEN DE CONFIANCE À ÉTABLIR Forte de ses dix ans d expérience dans ce domaine, Sylvie possède la confiance et l assurance nécessaires pour faire face aux craintes des familles et des aidants naturels. «Ce n est pas toujours facile de prendre sa place, car la famille ou l aidant naturel essaie parfois de tout contrôler» affirme Sylvie. «Il faut alors prendre le temps de les rassurer et de leur montrer que nous savons ce que nous faisons, que nous sommes là pour les aider». De plus, les auxiliaires familiales et sociales font face au caractère multiethnique de la population de notre territoire. «Je voyage sans voyager, c est très intéressant d apprendre de nouvelles cultures!» confie Sylvie. Toutefois, l ouverture d esprit et le respect sont deux qualités essentielles, car les interventions doivent s arrimer avec la culture du client. «Pour faire ce travail, il faut aimer les gens, avoir une bonne écoute et être discret quant aux confidences reçues». Pour Sylvie, le plus important dans son travail, c est d apporter du bien-être, de la douceur et du soutien moral et psychologique au client. Il s agit donc d un véritable travail de cœur

11 Lucienne Gélinas Renaud, cliente du programme de soutien à domicile et Sylvie Charlebois, auxiliaire familiale et sociale L interface Page 11

12 L interface La SI-RSIPA Par Lucie Blain, directrice des services aux personnes en perte d autonomie Un projet d envergure amorcé cette année a sollicité l implication de plusieurs directions au CSSS : le déploiement de la solution informatique du réseau de services intégrés pour les personnes âgées (SI-RSIPA). Ménouar Bendali Diane Courchesne une structure de projet locale sous la responsabilité de la Direction des services aux personnes en perte d autonomie (DSPPA). Diane Courchesne, chargée de projet, a eu à relever un défi de taille : celui de déployer l outil informatisé dans informationnelles et co-chargé de projet, a assuré la bonne marche des travaux pour le volet informatique. HISTORIQUE DU PROJET Conformément aux orientations ministérielles et régionales, les CSSS de Montréal se sont engagés à mettre en place les composantes d un réseau de services intégrés pour les personnes âgées. Une de ces composantes consiste à déployer un outil informatique permettant aux professionnels œuvrant auprès des personnes âgées de compléter en version électronique des outils cliniques déjà utilisés (l outil de repérage de perte d autonomie «Prisma 7», l outil d évaluation multiclientèle (OÉMC) et un système de classification des besoins selon des profils types d autonomie fonctionnelle (Iso-SMAF)). RAISONS D ÊTRE DU LOGICIEL La première phase du projet vise à déployer la solution informatique (SI-RSIPA) en mode intra-établissement aux intervenants impliqués dans le repérage, l évaluation des besoins des personnes âgées (clientèle visée par le projet). Il permet l accès à l écran aux données cliniques et facilite ainsi l échange d information et les décisions relatives aux services à rendre à la clientèle. Tous les professionnels du programme du soutien à domicile et des ressources non institutionnelles (ressources intermédiaires (RI) et unité transitoire de récupération fonctionnelle (UTRF)) ont été formés sur les outils cliniques précités et, par la suite, sur l outil informatique. L achat d ordinateurs portables permet aux intervenants de compléter les outils cliniques à domicile ou dans la ressource non institutionnelle et de poursuivre leur rédaction au bureau, sur leur ordinateur fixe. Ainsi, un médecin ou un intervenant d un centre de jour du CSSS peut avoir accès rapidement à l évaluation des besoins de la clientèle et au profil Iso-SMAF en mode lecture en tout temps. AVANTAGES POUR LA CLIENTÈLE Diminution de la nécessité de répéter les informations, et ce, à chaque étape du processus de saisie des données et à chaque nouvel intervenant. Meilleure continuité des soins et services par un partage de l information plus efficace. AVANTAGES POUR LES INTERVENANTS Réduction des opérations. Diminution du temps de saisie des informations. Amélioration de la circulation des informations entre les intervenants du CSSS. Diminution des délais d intervention par une circulation plus rapide de l information entre les différents acteurs. AVANTAGES POUR LE RÉSEAU Disponibilité de données pour soutenir la planification des services au plan local, régional et provincial. Intégration prévue dans le DCI (dossier clinique informatisé).

13 L interface Page 13 ÉTAPES FRANCHIES Au 31 décembre 2010, 99 utilisateurs des programmes ciblés au CSSS ont été formés à la solution informatique RSIPA incluant des gestionnaires, des professionnels, du personnel de soutien, du personnel du Service accueil /archives. À ce jour, plus de 150 usagers ont eu une évaluation OEMC complétée dans le logiciel. Nous sommes à renforcer l utilisation des ordinateurs portables au domicile des usagers. ÉTAPES À VENIR Planification du déploiement dans les autres secteurs du CSSS; hôpital de jour, hébergement, services posthospitaliers de réadaptation Remerciements Je tiens à remercier et à souligner l engagement et la compétence des deux chargés de projet Diane Courchesne et Ménouar Bendali ainsi que la précieuse collaboration du Service accueil/archives. Le travail d équipe et de collaboration des différentes directions impliquées ont fait le succès de ce projet. Sur le vif! Françoise Cottrez, travailleuse sociale du programme de soutien à domicile «La SI-RSIPA au quotidien élimine des formulaires papiers à remplir à la main. Il est plus rapide avec le temps de remplir les données de façon informatique. Lors des réévaluations, il y a un avantage marquant au niveau de la révision des données qui sont déjà présentes et que l'on peut modifier d'un «clic». C'est une façon conviviale et rapide d'envoyer notre évaluation par courriel à un partenaire du réseau, principalement en ce qui a trait aux demandes d'hébergement. C'est en utilisant les outils informatiques que nous pouvons les améliorer.» Françoise Cottrez Suzie Bilodeau, ergothérapeute du programme de soutien à domicile «Ce que j aime avec le système informatisé RSIPA, c est la rapidité de consultation en raison de la clarté des informations. Également, comme le système exige que l on Suzie Bilodeau entre toutes les informations, le dossier est toujours complet, ce qui n est pas toujours le cas avec un dossier papier. Parce qu on leur explique les avantages du dossier informatisé, les clients que nous visitons sont très collaborateurs quand vient le temps de valider les informations contenues au dossier. Je complète toujours le dossier directement sur mon portable avec le client à domicile. La seule information que je finalise en revenant au bureau c est la partie touchant la synthèse de mon évaluation professionnelle suite à ma visite. Pour moi, la SI-RSIPA c est un plus dans l organisation de mon travail.» Diane Courchesne, coordonnatrice à l intégration des services «L implantation de la SI-RSIPA a été dès le départ un défi intéressant. Défi, tout particulièrement en raison des délais qui nous étaient impartis. Il a fallu valser à trois et se revirer sur un dix sous, car le projet touchait également la Direction des ressources informationnelles et la Direction des services professionnels et diagnostiques. Comme gestionnaire, c est un projet qui m a beaucoup touchée, puisque j ai eu une réponse et un engagement extraordinaires autant de la part de mes collègues que des intervenants qui se sont impliqués avec moi. Nous avons atteint les objectifs recherchés et même un peu plus, et ce, dans les délais exigés; alors je peux dire fièrement, mission accomplie!»

14 L interface Page 14 Les suites du Chantier un premier bilan positif Par Denise Gagnon, conseillère aux communications, en collaboration avec Jean-Philippe Ferland, directeur des ressources humaines et du développement organisationnel Dans le cadre du Chantier RH, l organisation s est engagée à prendre des mesures afin d être reconnue comme un employeur de choix. Pour ce faire, neuf engagements ont été identifiés. La tournée du DG tenue en janvier dernier aura été une occasion privilégiée de faire le point sur l avancement de ces engagements. RAPPEL DES NEUF ENGAGEMENTS RAPPEL DES ENJEUX LIÉS AU CHANTIER RH Pénurie de main-d œuvre grandissante. Préoccupation de l organisation quant aux impacts négatifs sur l accessibilité et la qualité des soins et des services à la population. Démarche proactive entreprise par la Direction générale pour être reconnu comme employeur de choix. 1. Améliorer le processus de recrutement. qui intègrent notre organisation, un nouveau secteur d activité ou un nouveau service. 3. Faciliter la conciliation travail et vie personnelle. 4. Développer le personnel en fonction des besoins organisationnels, professionnels et individuels. 5. Reconnaître la valeur des personnes, la qualité et leur contribution dans le travail ainsi que les résultats obtenus par l entremise de moyens variés. 6. Réviser l organisation du travail pour optimiser l efficacité et l efficience des employés et améliorer l accessibilité aux services. 7. Définir notre image d employeur. 8. Améliorer la qualité de vie au travail. changement. On remarque que la presque totalité des plusieurs, sont déjà réalisés. Certes, il reste encore du travail à faire, mais nous pouvons être satisfaits de la progression des travaux. Ces engagements font suite à une démarche de consultation auprès de l ensemble du personnel sur les quatre axes travail, développement des compétences et reconnaissance. LES PRINCIPAUX ENGAGEMENTS À SURVEILLER EN 2011 Poursuivre la réalisation des programmes d accueil et d intégration dans les différentes directions. Appliquer la politique conciliation travail - vie personnelle dans l ensemble de l organisation. Revoir l organisation du travail afin de mieux avoir recours au personnel en place. Élaborer et diffuser le plan de développement et de maintien des compétences pour les années Les travaux du Chantier RH ont permis d identifier différentes pistes qui aident le CSSS à recruter davantage et qui incitent les nouveaux employés à poursuivre leur carrière chez nous. Ce qu il est important de retenir Être reconnu comme un employeur de choix a été identifié comme une priorité de l organisation, c est l affaire de tous! Comme l a mentionné le directeur des ressources humaines et du développement organisationnel lors de la tournée du directeur général : «Soyons fiers de ce que nous avons accompli collectivement jusqu à présent. Vouloir devenir un employeur de choix, c est d avoir le courage de s avouer que tout n est pas parfait, mais c est surtout de viser à le devenir»

15 L interface Page 15 Une offre de service améliorée pour les personnes diabétiques En entrevue avec Denise Gagnon, conseillère aux communications, Christiane Bergeron coordonnatrice et nutritionniste du Centre d enseignement sur le diabète, décrit sommairement cette offre de service territoire peut compter sur un nouveau centre d enseignement sur le diabète, situé au CLSC de Saint-Laurent. Un effet positif concret lié à la décision de la région de Montréal de prioriser la gestion des maladies chroniques. QU EST-CE QU UN CENTRE D ENSEIGNEMENT SUR LE DIABÈTE? Dans un centre d enseignement sur le diabète, une personne diabétique du territoire ou référée par un médecin du territoire, a droit à un programme structuré qui lui donne accès à une équipe de professionnels de la santé. L équipe de notre CSSS est composée d une coordonnatrice nutritionniste, d une infirmière et d une kinésiologue qui travaillent de concert avec le médecin traitant. Le programme dans lequel la personne s engage dure deux ans. Il lui permet de mieux comprendre sa maladie, mais surtout il vise à lui enseigner de meilleures habitudes de vie en vue de retarder l évolution du diabète. Le contrôle du poids, combiné à une activité physique régulière et à Quelques données intéressantes Estimation de personnes diabétiques sur le territoire, 50 % de ces personnes sont connues et reçoivent des services médicaux. Taux de prévalence du diabète pour les personnes âgées de 20 ans et plus: 8 %. Taux de prévalence du diabète pour les personnes âgées de 65 ans et plus : 18.9 %. e Notre CSSS est au 2 rang des CSSS de Montréal pour le nombre de personnes diabétiques âgées de plus de 65 ans. L ÉQUIPE Votre nutritionniste : Christiane Bergeron Votre infirmière : Michelle Brissette (au début du programme les infirmières étaient Gina Colucci et Marie-Josée Dionne) Votre kinésiologue : Cindy Kwan Pour en savoir plus Le centre d enseignement sur le diabète est situé au CLSC de Saint- Laurent. Pour commander des formulaires de référence médicale ou pour toute information sur le programme, composez À QUELLE CLIENTÈLE CE SERVICE S ADRESSE-T-IL? Ce service s adresse principalement aux personnes ayant soit une glycémie marginale, une intolérance au glucose, soit un diabète diagnostiqué traité par l alimentation ou par médication orale, avec une hémoglobine glyquée (test sanguin réflétant la moyenne du taux de sucre des 3 derniers mois) égale ou inférieure à 8. Sa valeur normale étant entre 4 et 6. UNE PARTICULARITÉ TERRITORIALE Ce type de service est basé sur une approche populationnelle. On sait que sur notre territoire on a un taux élevé de diabétiques, notamment parce que l on a une importante communauté pluriethnique dont plusieurs ont davantage de prédisposition à développer le diabète. QUE COMPREND LE PROGRAMME? Le programme comprend six rencontres individuelles avec la nutritionniste, trois cours de groupe offerts de jour ou de soir avec la nutritionniste, l infirmière et la kinésiologue, le pharmacien au besoin, en anglais ou en français. Une rencontre avec l infirmière au départ puis un suivi médical par son médecin traitant

16 L interface Page 16 Le partenariat en action! Par Manon Boily, organisatrice communautaire Cartierville fait connaissance» organisé par le Conseil Local des Intervenants Communautaires (CLIC) de Bordeaux-Cartierville. L objectif de ce moment privilégié était de permettre à tous les intervenants du quartier, qu ils soient enseignants, agents d accueil ou de développement, intervenants communautaires, conseillers, professionnels de la santé et des services sociaux ou autres, de mieux connaître les divers services offerts aux citoyens sur notre territoire par les nombreuses organisations. Mieux se connaître d optimiser la référence entre les organisations et de faire de notre quartier un lieu d accueil chaleureux et efficace pour tous les citoyens dans le besoin. La soirée a permis à 137 personnes de 37 organisations différentes de vivre une première expérience de «speed dating» professionnel dans laquelle les intervenants, placés deux par deux, ont quatre minutes bien comptées pour faire plus ample connaissance et ainsi briser la glace pour poursuivre la conversation de façon plus informelle durant le repas ainsi que l occasion de des organismes communautaires et des établissements desservant la population de Bordeaux-Cartierville. Une soirée riche en découvertes ou redécouvertes, de prise de conscience et de contact pour établir de nouveaux partenariats. Le comité organisateur de l événement «Bordeaux- Cartierville fait connaissance» remercie le personnel du CSSS pour sa contribution au succès de ce premier événement du genre COMITÉ ORGANISATEUR Djamila Benabdelkader, conseillère en partenariat à Immigration Québec, Nord de Montréal Manon Boily, organisatrice communautaire au CSSS de Bordeaux-Cartierville Saint-Laurent Valérie Michaud, coordonnatrice du projet Un milieu ouvert sur ses écoles Valérie Savard, adjointe à la direction au Carrefour Jeunesse-Emploi ABC Nathalie Fortin, coordonnatrice du CLIC de Bordeaux- Cartierville

17 L interface Page 17 Chronique Droits au but Par France Desroches, commissaire locale aux plaintes et à la qualité des services INFORMER LES USAGERS SUR LEURS DROITS : TOUT UN DÉFI! «Je ne savais même pas que j avais ce droit!» La Loi sur les services de santé et les services sociaux prévoit plusieurs droits aux usagers. France Desroches Comment s assure-t-on que l usager est dans un premier temps informé qu il a des droits en matière de santé, droits qu il peut revendiquer? Ce sujet revient régulièrement sur la table en raison du mandat du commissaire aux plaintes et des comités des usagers de faire la promotion des droits et de renseigner les usagers sur leurs droits. Ce sujet est assez important pour avoir récemment fait l objet d un avis du Commissaire à la santé et au bienêtre du Québec. Cet organisme qui a «pour mission d apporter un éclairage pertinent au débat public et à la prise de décision gouvernementale dans le but de contribuer à l amélioration de l état de santé et de bien-être des Québécoises et des Québécois» a, en effet, mené une vaste consultation auprès des citoyens et des acteurs liés au domaine de la santé relativement à l information sur les droits. Ces constats, conclusions et recommandations ont «Informer des droits et sensibiliser aux responsabilités en matière de santé». La concertation entre les divers acteurs du secteur de la santé tout comme la participation citoyenne aux instances publiques comme à un niveau plus individuel se dégagent comme étant des principes fondamentaux au cœur de l activité d information et de sensibilisation aux droits. Ce rapport permet de mettre en évidence des éléments qui nuisent à l actualisation et à l application des droits. Entre autres obstacles, mentionnons : 1. les interprétations diverses données aux droits par la complexité de l organisation du système de santé surtout pour les groupes et les personnes 3. la notion d accompagnement de l usager qui est perçue comme un irritant. Un point important a retenu l attention, soit le besoin d adapter la prestation des soins et services aux réalités des individus plutôt que cette adaptation ne repose que sur l usager. Le commissaire à la santé a émis neuf recommandations réparties dans quatre champs d actions, et ce, afin que les activités d information et de sensibilisation puissent porter fruits et permettre aux usagers d actualiser leurs droits lors de la prestation de services Mettre en oeuvre des pratiques efficaces d information et de sensibilisation Soit adapter l information aux besoins des usagers car elle demeure souvent inadéquate, tant pour ce qui est de la forme que du contenu. Optimiser certaines pratiques et structures existantes pour permettre une meilleure actualisation des droits et des responsabilités en santé Entre autres, améliorer les structures en place au sein des établissements, notamment au niveau du régime d examen afin de modifier la perception de la plainte et l utiliser comme outil d amélioration. Valoriser certaines ressources dans leur travail d information et d accompagnement Soutenir les intervenants et les gestionnaires afin de favoriser des pratiques qui s inscrivent dans une culture des droits et des responsabilités Ce rapport est précieux, et ses recommandations un levier important pour planifier nos activités futures de promotion des droits. Nous vous en avons donné un trop bref aperçu, nous vous invitons à le consulter en ligne au dans la section publications

18 L interface Page 18 De nouveaux bacs bleus de recyclage! Par Denise Gagnon, conseillère aux communications, en collaboration avec Michel Prairie, chef de secteur salubrité/sécurité/stationnement Une excellente nouvelle pour notre CSSS qui a pris Écomunicipalité IGA nous a octroyé une subvention (plastique verre métal). Notre CSSS génère de grandes quantités de matières résiduelles dont une majorité est valorisable. Notre métal. Les bacs seront installés sous peu dans des emplacements visibles sur la majorité de nos sites. Merci au Fonds Écomunicipalité-IGA qui nous aide à franchir un pas de plus au plan du développement durable Bilan de la campagne de vaccination antigrippale : un résultat acceptable! Par Denise Gagnon, conseillère aux communications La campagne de vaccination antigrippale, tant à l interne qu à l externe, n a pas donné d aussi bons résultats que celle contre la pandémie de grippe même convenables, si l on tient compte du fait que nos données sont partielles, dans la mesure où le personnel et les usagers souvent se font vacciner auprès de leur médecin de famille ou du CLSC de leur territoire de résidence EN CHIFFRES Clientèles externes : domicile (SAD) Coup de cœur Acceptation d un projet de recherche sur les maladies chroniques Par Denise Gagnon, conseillère aux communications Dans le cadre du programme de subventions de recherche en partenariat avec le MSSS et la compagnie Pfizer Canada Inc., un projet ayant pour titre Mise en œuvre d un réseau intégré de prévention et de gestion du risque cardiométabolique en première ligne à Montréal a été accepté par le conseil d administration du Fonds de la recherche en santé du Québec (FRSQ). Six CSSS de la région de Montréal sont impliqués, dont le nôtre, ainsi que la Direction de santé publique et la Direction des affaires médicales et universitaires de l Agence. La demande de subvention a été jugée exemplaire à plusieurs égards et de calibre international. Nous avons mis en place un sur la problématique de l hypertension. Une excellente nouvelle pour la population de notre territoire

19 L interface Salon des artisans Première édition Par Ginette Bélair pour le comité des activités de reconnaissance Une toute première dans notre CSSS. Le 8 et le 16 décembre dernier s est tenue la toute première édition du Salon des artisans. Cette nouvelle activité, inscrite au calendrier du comité des activités de reconnaissance, a connu un vif succès. En effet, pour sa première édition, quatorze artisans se sont inscrits pour exposer leurs œuvres et en faire profiter les visiteurs, et ce, à la veille du temps des fêtes. Quel meilleur moment pour tenir cette activité! L objectif de ce salon est d abord et avant tout une activité de reconnaissance sur la personne. En effet, on cherche à favoriser des opportunités de faire reconnaître la valeur des individus autrement que par le biais professionnel, en vous faisant découvrir un de leurs talents. De plus, chaque exposant a accepté de verser un caritative du territoire. En l occurrence pour cette la Fondation Gracia pour l achat de dindes de Noël pour les familles démunies de notre territoire. Nous remercions grandement nos artisans physiothérapeute, Josée Fournier, préposée aux Émilie Chapleau, ergothérapeute, Diane Luce, préposée au service alimentaire, Suzie Martin, assistante en réadaptation, Murielle Provencher, préposée aux bénéficiaires, Bertile Lange, technicienne en éducation spécialisée, Mychel Carrière, conducteur véhicules lourds, Manon Prénoveau, conseillère cadre et de la mission universitaire, Claire Poirier, agente administrative et Guy Marcotte, préposé en salubrité. La prochaine édition du Salon des artisans devrait souligner la participation de Nicole Chartrand, agente administrative au Service des approvisionnements, dans l élaboration de ce projet

20 L interface Geneviève Hotte, présidente du conseil d administration, Daniel Corbeil, directeur général, Pierre Prud homme, responsable du comité solidarité-partage de la communauté Les Oblates franciscaines de Saint-Joseph et les récipiendaires Les bourses Marie-Anne- Lavallée Par Lise Lamontagne, coordonnatrice par intérim des activités de recherche et de transfert des connaissances Le 1 er e remise des communauté Les Oblates franciscaines de Saint- Joseph et la Fondation Gracia soutiennent l accès à des études universitaires pour les employés du CSSS et favorisent la réalisation de projets d études supérieures au sein du CSSS. Nous tenons à les remercier chaleureusement de leur appui. 54 à des employés du CSSS Outre la pertinence de leurs études pour le CSSS, le comité d évaluation a souligné leur grande détermination et le haut niveau d engagement de ces personnes au sein de l établissement. Les membres du comité tenaient donc à les encourager dans la poursuite de leur projet d études. Un dernier mot pour remercier les membres du comité d évaluation qui ont étudié avec rigueur l ensemble des dossiers présentés QUI SONT LES RÉCIPIENDAIRES ? Tanya Arias Infirmière scolaire à l École secondaire Saint-Laurent Maude Boisvert-Frigon Travailleuse sociale Caroline Chantal Infirmière clinicienne soins à domicile Marie Lahaye Conseillère cadre Lorie Lord-Fontaine Conseillère en soutien technique et développement des compétences Nadia Maddalena Conseillère cadre Samia Tohmé Conseillère cadre Gisèle Wassu Infirmière chef d unité Certificat d études individualisées avec concentration santé mentale Diplôme d études supérieures spécialisées (DESS) en planification territoriale et développement local Baccalauréat en sciences infirmières Diplôme d études supérieures spécialisées (DESS) en prévention et contrôle des infections Microprogramme en développement des pratiques infirmières Microprogramme en développement des pratiques infirmières Maîtrise en sciences infirmières Maîtrise en sciences infirmières Lauralie Richard Candidate au doctorat en sciences infirmières Et félicitations à nos boursières!

21 L interface Nominations de cadres Christine Girard André Dépôt Christine Girard Chef d activités au Centre d hébergement de Notre- Dame-de-la-Merci depuis le 10 janvier 2011 Détentrice d une maîtrise en sciences infirmières Christine Girard travaille dans le réseau de a occupé différentes fonctions cadre au cours des dernières années, dont celle de chef des quatre dernières années, elle était conseillère cadre à la Direction des soins infirmiers au CSSS du Coeur de l Île. André Dépôt Chef de secteur installations matérielles au Centre d hébergement Notre-Damede-la-Merci depuis le 1 er novembre 2010 Gestionnaire depuis plus de notamment chez Bombardier Inc, André Dépôt s est particulièrement investi durant les cinq dernières années dans la gestion de chantiers de construction et de projets de rénovation. Par Michèle Lachance, chef du Service dotation et avantages sociaux Christine Clermont Manon Leduc Mélanie Rocheleau Christine Clermont Chef d activités au Centre d hébergement de Cartierville depuis le 3 novembre 2010 Détentrice d un baccalauréat en sciences infirmières et d une maîtrise en santé communautaire, Christine Clermont travaille dans le réseau de la santé depuis plus de 15 ans. Elle assume à temps partiel des fonctions de gestion Manon Leduc Chef d administration de programme des ressources non institutionnelles par intérim depuis le 24 janvier 2011 Détentrice d un baccalauréat en sciences infirmières Manon Leduc est infirmière clinicienne assistante du supérieur immédiat au programme des ressources non Elle est à l emploi de notre CSSS Mélanie Rocheleau Chef d activités au Centre d hébergement Saint-Joseph de-la-providence depuis le 14 novembre 2010 Détentrice d un DEC en soins infirmiers, Mélanie Rocheleau travaille dans le réseau depuis 7 ans. Elle était chef d activités au CSSS Lucille Teasdale depuis Nomination de la chef du Département de pharmacie Par Denise Gagnon, conseillère aux communications Le mandat de Christine Sigouin à titre de chef du Département de la pharmacie a été renouvelé par le conseil des médecins, dentistes et pharmaciens, et ce, pour une période de quatre ans. Toutes nos félicitations, voici une nomination sous le signe de la qualité et de la continuité pour notre CSSS Christine Sigouin

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