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1 LES DOMAINES DE GALIA : BILAN 2007 ET PERSPECTIVES 2008 > Dossier au format PDF Domaine Logistique Domaine Ingénierie Domaine PRM Projet A.L.F.A. Projet LogisTIC Domaine ENX

2 DOMAINE LOGISTIQUE Les nouvelles recommandations RFID : Identification et suivi des pneumatiques par RFID (mars 2007) L affaire des pneumatiques défectueux de la société FIRESTONE aux Etats-Unis a engendré de nouvelles exigences en matière de rappels. Suite à ce problème survenu en 2002, FORD a pris l initiative et poussé à la naissance d une norme, la norme AIAG B11, qui définit parfaitement les paramètres de la RFID pour les pneumatiques. Cette norme ayant le mérite d exister et d être partagée par les constructeurs de véhicules et les manufacturiers de pneumatiques, les communautés européenne (Odette) et japonaise (JAMA/JAPIA) ont décidé de l adopter pour en faire un standard global au mois de mars Indicateurs de performance logistique pour les transporteurs et les prestataires logistiques : recommandations Odette KPI for Carriers & LSPs (septembre 2007) Cette recommandation Odette intitulée Key Performance Indicators for Carriers & LSPs qui est disponible depuis le mois de septembre 2007, définit 6 indicateurs de performance logistique communs (transporteurs et prestataires logistiques) sur le vecteur amont, compris de manière identique par les partenaires de la chaîne Logistique : Temps : 1. Respect de l heure d arrivée des pièces et du transport Contrôle au chargement : 2. Alerte sur les anomalies au chargement Contrôle qualité : 3. Nombre d incidents (pièces oubliées ou endommagées) Confirmation/Information : 4. Alerte sur les retards de livraison Efficacité : 5. Taux de remplissage du transport 6. Fiabilité des stocks Evaluation Logistique des transporteurs et des prestataires logistiques : Recommandations Global MMOG/LE for Carriers & LSPs (septembre 2007) Global MMOG/LE est aujourd hui un outil reconnu de tous, ce qui a poussé l AIAG et Odette à en faire une version dédiée à l activité des transporteurs et des prestataires

3 logistiques. L objectif de ce nouveau référentiel mondial publié au mois de septembre 2007 est d aider les transporteurs et les prestataires logistiques à concevoir et mettre en oeuvre un système logistique de classe mondiale. Ce document est d abord un outil d évaluation du système logistique aligné avec les audits ISO/TS. Il peut être utilisé pour évaluer son mode de fonctionnement interne et celui de ses partenaires, afin par exemple, d identifier les meilleures pratiques. Il est en conséquence un excellent levier pour l amélioration continue de tous les processus logistiques existant au sein d une organisation. Ce document décrit les pratiques recommandées par l industrie automobile pour les transporteurs et les prestataires logistiques. Il vise par là à établir un langage commun afin de faciliter une communication efficiente entre les partenaires. Les constructeurs, les fournisseurs, les transporteurs et les prestataires logistiques de l industrie automobile peuvent utiliser ce référentiel pour : Réaliser une évaluation interne, Evaluer leurs processus actuels : - Se positionner par rapport aux meilleures pratiques, - Conduire une démarche d amélioration continue, Faire progresser la filière en : - Evaluant la performance des transporteurs et des prestataires logistiques, - Améliorant la performance des transporteurs et des prestataires logistiques. Modélisation de la Chaîne Logistique qui définit le périmètre du référentiel Exemples de déploiement des recommandations en Logistique Indicateurs de Performance Logistique : recommandation LKPI for GMM/ Traçabilité : recommandation Odette sur la Traçabilité des pièces et composants Evaluation Logistique : référentiel Global MMOG/LE Enquête sur les gains associés à la mise en oeuvre de Global MMOG/LE Soucieux de connaître les gains associés à la mise en oeuvre de Global MMOG/LE, Odette et l AIAG ont élaboré au mois de janvier 2007, un questionnaire destiné aux industriels qui ont déployé le référentiel. Ce questionnaire a été envoyé à l ensemble des personnes

4 concernées avec pour objectif d avoir un maximum de retour à la fin du mois d avril. Sur l ensemble des sociétés interrogées, plus de 180 entreprises ont répondu à ce sondage. L AIAG et Odette ont réalisé une synthèse des résultats obtenus. Pour résumer : Cette enquête fait clairement ressortir que Global MMOG/LE permet : - de mieux appréhender la norme ISO TS ; - une aide à la conservation de ses marchés ; - une fiabilisation des données ; - une aide au déploiement du Lean (pour les Rangs 1) ou une amélioration générale de la performance fournisseurs (pour les Rangs 2 et 3) ; - une meilleure maîtrise des stocks. La volonté de répondre aux besoins client et la volonté de fiabiliser les données de l entreprise sont les gains les plus significatifs, lorsque l on regarde la taille de l entreprise, la position dans la filière et l utilisation du référentiel dans le temps. Plus on utilise MMOG/LE, plus l amélioration de la performance (par catégorie) est croissante même après 3 ans. MMOG/LE est un investissement dans la première année de déploiement. L action MMOG/LE dans une logique d amélioration continue doit s inscrire dans la durée. Peu de différences dans le résultat de l enquête, que l on soit en Europe ou en Amérique du Nord. L amélioration de la performance à partir de MMOG/LE est reconnue mondialement. Emballages : Catalogue des emballages standardisés chez GALIA Ce catalogue regroupe l ensemble des emballages standardisés chez GALIA par le Groupe de Travail Standardisation des Emballages, récapitulant pour chacun, leurs dimensions et leurs références éventuelles. Il permet à l ensemble de la communauté automobile de connaître tous les standards d emballages existant chez GALIA. C est une aide précieuse dans le cadre d un déploiement en usine. Une mise à jour de ce document est faite régulièrement, étant donné l évolution de tous ces emballages, et l étendue grandissante des gammes. Identitication : L utilisation des standards Étiquettes OTL1/ETI1 et OTL3/ETI9 Suivi du déploiement : A partir d un questionnaire élaboré au niveau européen, Odette a réalisé une enquête permettant de connaître au niveau européen les exigences des constructeurs et des Rangs 1 envers leurs fournisseurs en matière d identification. Une synthèse des résultats est disponible sur le site Web d Odette. Catalogue des étiquettes standardisées chez GALIA : Ce catalogue rassemble l ensemble des étiquettes standardisées chez GALIA par le Groupe de Travail Identification. Ce catalogue est disponible sur le site Web de GALIA. Capitalisation des bonnes pratiques : Pour accompagner le déploiement de la nouvelle étiquette ETI9/OTL3, GALIA, en collaboration avec RENAULT et PSA PEUGEOT CITROËN, a réalisé un retour d expérience auprès des fournisseurs l ayant déjà déployée. L objectif était d identifier les bonnes pratiques des fournisseurs afin de réduire les coûts de mise en place et de faciliter le déploiement de l étiquette. Une synthèse de ces travaux est disponible sur le site Web de GALIA. Les sujets en cours Standardisation des Emballages Maritimes Compte tenu de la globalisation des échanges, Odette a décidé de lancer un projet afin de définir des standards Emballages pour l activité CKD permettant d optimiser les conteneurs maritimes sur les flux internationaux. Une recommandation sur le sujet doit voir le jour dans le courant de l année 2008.

5 Indicateurs de performance Logistique (Transporteurs et Prestataires Logistiques) Ce projet mondial (sur la base de la recommandation européenne «KPI for Carriers & LSPs») doit permettre de définir des indicateurs de performance logistique communs sur le vecteur amont, compris de manière identique par les partenaires de la chaîne Logistique. Un groupe de travail a été lancé au mois de septembre Une recommandation sur le sujet doit voir le jour dans le courant de l année Formation Global Logistics Training GALIA propose trois outils, basés sur des recommandations mondiales publiées par Odette et l AIAG qui, en les combinant, permettent à un donneur d ordres de définir et de mettre en oeuvre une démarche structurée pour animer son panel de fournisseurs. Ces trois recommandations sont : Le protocole logistique (Global Material Management & Logistics Agreement) ; Le référentiel d évaluation des organisations logistiques (Global MMOG/LE) ; Les indicateurs de performance logistique (KPI for Global Material Management & Logistics). Aussi, de manière à mettre en place efficacement ces 3 standards, la communauté automobile mondiale a décidé de développer un module de formation permettant de structurer l animation de la performance fournisseurs par l utilisation combinée de ces recommandations. Cette formation sera disponible dans le courant de l année Utilisation des standards dans les marchés émergents Ce projet de déploiement a pour objectif premier de promouvoir l utilisation des standards GALIA/Odette en Logistique sur les marchés émergents (l évaluation Logistique, les standards Étiquettes OTL1 et OTL3, les messages EDI (EDIFACT), le Web EDI à partir d une solution homologuée e-forms V2 par GALIA). Europe Centrale et Orientale - Roumanie - Turquie - Slovaquie - Iran - Mercosur - Chine Les futures orientations - Russie - Maroc Identification automatique par radio fréquence (RFID) Un groupe de travail AIAG/Odette a démarré en 2006 sur le sujet et produira dans le courant de l année 2008 plusieurs recommandations qui auront pour objectifs de définir des modèles uniques de données d échanges dans l utilisation de la RFID pour le flux pièces et emballages, le flux de Production, le flux Véhicule et le flux des pièces «Après-Vente». Protocole Logistique : Recommandation «Global Material Management & Logistics Agreement» Cette recommandation mondiale intitulée «Global Material Management & Logistics Agreement» (MMLA), disponible au mois de février 2008, propose un cadre de fonctionnement logistique entre partenaires, destiné à clarifier les règles relationnelles, pour éviter les erreurs d interprétation et les conflits, pour préciser les attentes, responsabilités et engagements ; elle donne un modèle de document, composé de la manière suivante : Une description du mode de fonctionnement général, qui couvre toutes les données contractuelles de haut niveau, peu soumises à changement ; Des annexes, susceptibles d évolution dans le temps, nécessitant un échange formel entre partenaires, mais pas de re-signature du «protocole». Global Invoic V2 : Un standard mondial pour les échanges de factures Suite aux évolutions en matière de facturation en Europe,

6 et à la demande des constructeurs et d un certain nombre d équipementiers, il a été proposé de ré-ouvrir la question de la facture et de définir un profil basé sur le modèle de données «Global» d Odette. Le message Global Invoic V2 retenu est un modèle développé par les industriels de l automobile internationale représentés par 4 organisations : Odette, JAPIA, JAMA, AIAG. Le groupe de travail Facture de GALIA a pour objectifs de : Définir un profil GALIA «Facture» basé sur le message Global Invoic V2 à iso fonctionnalités par rapport aux messages INVOIC V5 et V3 actuellement utilisés (facture de biens, auto facture, note de crédit, note de débit, facture proforma). Le groupe de travail Facture de GALIA a décidé de se focaliser sur les factures de biens ; et de traiter les factures de services en collaboration avec GS1 dans leur Groupe de Travail «Facture de Services». Etudier la possibilité de gérer de nouvelles fonctionnalités comme : Nota Fiscale, demande d acompte, demande de remboursement, demande de retenue de garantie. Refondre l accord d interchange pour la dématérialisation fiscale des factures. Réaliser un guide des «bonnes pratiques» de la DMF et en annexe, une synthèse des articles de loi ayant un impact majeur sur la DMF (exemple : Art. 289bis, annexe IV du CGI). Ce guide est réalisé en commun avec GS1. Cibles PSA et RENAULT pour le déploiement : les nouveaux partenaires en EDI Invoic, principalement les fournisseurs de services, ainsi que les partenaires qui en feront la demande explicite. Les perspectives Lutte anti-contrefaçon Origine du besoin Le problème posé par la contrefaçon des pièces prend des proportions chaque année plus importantes, tant en nombre que dans la diversité des pièces affectées. En France, les Douanes ont saisi en 2006 plus de 6 millions d articles d une valeur estimée à 278 M (dont diverses pièces automobiles et pour la première fois des pneumatiques contrefaits). En Allemagne par exemple, les saisies douanières ont augmenté de 27 % en moyenne annuelle ces dernières années. Cette problématique se retrouve de façon amplifiée au niveau mondial. En tant que titulaires de droits sur la propriété intellectuelle, les constructeurs sont très préoccupés par un phénomène qui engendre des pertes en argent, temps et image. Argent : 10 % de perte de CA sur les PR (estimation). Temps : Monter des dossiers, organiser et réfléchir à des moyens de prévention, expliquer les preuves du délit de contrefaçon est long et difficile pour une issue parfois incertaine. Image : Il existe de réels problèmes de qualité et de sécurité sur les pièces contrefaites, ce qui peut impacter négativement l image du constructeur en cas d accident. La filière automobile veut être un acteur majeur auprès des pouvoirs publics qui participent activement, comme en France, à la lutte anticontrefaçon. Les attentes de la filière automobile Les objectifs : Etre capable de participer activement à l initiative menée au niveau international (à l ISO) avec une vision claire qui doit permettre d orienter les travaux de façon appropriée. Préparer un dispositif en matière d Identification/Traçabilité et prendre en compte les aspects liés à la lutte anti-contrefaçon. Ce n est pas : De concevoir un système global de façon détaillée qui traiterait à la fois la problématique logistique et de la lutte anti-contrefaçon. De ralentir les processus de normalisation qui démarrent. Le concept OEA (Opérateur Economique Agréé) Dans un environnement international marqué par la recrudescence du risque terroriste, les Etats membres de la Commission Européenne, ont souhaité renforcer la

7 sécurisation de la chaîne logistique internationale. Dès juillet 2009, les opérateurs du commerce international seront soumis à l obligation de transmettre de manière anticipée, une déclaration sommaire d entrée et de sortie comprenant des données jugées nécessaires à l établissement d une analyse de risque «sécuritaire». Toutefois, afin de ne pas pénaliser le commerce légitime, l amendement sécurité a introduit le concept d opérateur économique agréé (OEA), dont l entrée en vigueur est prévue le 1er janvier Ce statut d OEA sera valable dans l ensemble de l Union Européenne et permettra de distinguer les opérateurs communautaires les plus fiables, dans une logique de labellisation qualité. Les Etats membres pourront accorder le statut d opérateur économique agréé à tout opérateur économique établi au sein de l Union Européenne qui remplit, notamment, les critères suivants : Respect des législations douanière et fiscale ; Solvabilité financière satisfaisante ; Système efficace de gestion des écritures commerciales et, le cas échéant, des écritures de transport, permettant d effectuer des contrôles douaniers appropriés. Formellement, le statut d OEA donnera lieu, selon l option choisie par le demandeur, à la délivrance de trois certificats distincts (l acronyme anglais a été retenu pour la dénomination des certificats) : Le certificat OEA «simplifications douanières» ; Le certificat OEA «sécurité/sûreté» ; Ainsi que le certificat OEA «simplifications douanières et sécurité/sûreté» qui cumule les caractéristiques et les avantages des deux certificats précédents. De manière à accompagner la filière dans la mise en place de ce concept, Odette envisage de mener des actions de communication et de formation auprès de ses membres, en relation étroite avec les Etats-Unis qui disposent également d une loi fédérale sur le sujet nommé C-TPAT. Traçabilité Une Loi fédérale américaine définit les pièces, généralement de sécurité, à tracer. Pour la mettre en application, il convient d utiliser des techniques ISO pour l identification automatique des pièces et emballages, et de gérer ces informations pour les relier à celles transmises par électronique (EDI et systèmes informatiques de production), depuis le début de vie de chaque constituant jusqu à la fin de vie des ensembles et du véhicule (définition ISO). Il n existe à ce jour aucune directive européenne précise sur le sujet, mais il convient de s y préparer en s appuyant sur l existant américain. Chaque constructeur conduit sa propre réflexion en interne. On peut concevoir d examiner une transposition des travaux américains pour les adapter aux modes de fonctionnement européens, dans le but d apporter des éléments à la Commission Européenne. Demande prévisionnelle des constructeurs et Capacité fournisseur En partant de la recommandation DCP, RENAULT et PSA PEUGEOT CITROËN ont décidé de mener une expérience multi clients sur l ajustement des capacités à la demande, autrement appelé Demand Capacity Planning (DCP). L une des premières conclusions de l étude menée est qu il faut définir un modèle standard d expression de besoin pour bénéficier pleinement des avantages de la recommandation. A partir de ce constat, le Comité Logistique Odette pourrait envisager de réaliser un benchmarking afin d identifier les bonnes pratiques pour permettre une meilleure collaboration entre les fournisseurs et les constructeurs du monde automobile, mais surtout d anticiper et de résoudre les problèmes capacitaires. Cette étude inclurait une analyse de la situation actuelle (expression de besoin ferme et prévisionnelle utilisée par les constructeurs européens) et un recueil sur la perception des fournisseurs sur ces expressions de besoins (quelles informations aimeraient-ils retrouver dans ces demandes?). La formation en Logistique

8 Formation Management du volet Logistique dans un projet Automobile Comment limiter les risques de ruptures d approvisionnements et les coûts prohibitifs associés pendant la phase de démarrage série d un véhicule? Comment intégrer la fonction logistique le plus en amont possible dans un projet afin d optimiser les coûts logistiques tout au long de la vie série d un véhicule? Pour y répondre, la commission logistique de la FIEV en partenariat avec GALIA, réunissant des experts logistique et projet des constructeurs et des équipementiers, a structuré la formation «Management du volet Logistique dans un projet automobile». A partir des travaux et des réflexions du groupe, la FIEV, ICARE et GALIA ont élaboré le programme de ce stage particulièrement adapté aux attentes de la filière automobile. Grâce à leur participation, vos équipes logistiques seront à même de faire face, avec efficacité, à la complexité croissante de la fonction. Formation LKPI (Indicateurs de Performance Logistique) Cette formation d une journée (en français ou en anglais), complémentaire à la formation Global MMOG/LE est consacrée à la mise en oeuvre de la recommandation Odette LKPI. Elle offre un zoom sur l animation de la performance dans les interfaces client-fournisseur de la Supply Chain. Formation Messages EDI, Etiquettes et Bordereaux de livraisons De manière à mieux comprendre et à aider les fournisseurs à mettre en oeuvre les recommandations GALIA/Odette utilisées par les constructeurs français dans le cadre du déploiement des politiques Logistiques L3P et des projets CINDI pour RENAULT, et Logistique Alternative pour PSA PEUGEOT CITROËN, GALIA a monté une formation d une journée (en français et en anglais) sur les standards Messages EDI, Etiquettes et BL préconisés par les deux donneurs d ordres. Plus de 90 personnes ont déjà participé à cette formation. Formation E-learning EDI / Web EDI Un programme e-learning EDI/Web EDI est disponible en accès public sur le site web de GALIA. Il a été élaboré dans le cadre du programme A.L.F.A. (Amélioration des Liaisons dans la Filière Automobile) et vous permet, que vous soyez dirigeant, informaticien, gestionnaire logistique ou commercial d une société de la filière automobile, de vous familiariser avec des outils standards qui vous permettent d optimiser ou d automatiser vos processus client/fournisseur. Selon votre profil, vous suivrez un cursus personnalisé à travers les modules, d une durée de 20 à 30mn environ. Formation d introduction aux échanges électroniques professionnels Cette formation est construite à partir du contenu du module d e-learning EDI et Web EDI. Elle vient en complément de ce module et permet aux personnes intéressées de préciser les différentes notions abordées dans le module d e-learning. Cette formation s adresse aux dirigeants, responsables logistiques, vendeurs, informaticiens devant acquérir les premières notions d EDI et faire un choix pour la mise en oeuvre d une solution. Formation Technique à la norme EDIFACT L objectif de cette formation est d acquérir des notions sur l EDI et de comprendre la norme EDIFACT au travers des principaux messages utilisés dans l industrie automobile. Cette formation assez technique s adresse principalement aux informaticiens devant mettre en oeuvre des messages EDI. Formation d introduction a XML Cette formation s adresse à tous ceux qui souhaitent acquérir des notions sur XML et comprendre les différences entre XML et EDIFACT.

9 Formation au Global MMOG/LE Pour accompagner le déploiement du référentiel mondial d évaluation logistique Global MMOG/LE, GALIA propose deux types de formations : une formation de 1 jour destinée à faire découvrir le référentiel ; et une formation de 3 jours, dont l objectif est de former les futurs utilisateurs. Ces formations sont proposées par GALIA en sessions inter ou intra entreprises, en français et en anglais. Ainsi, chaque année, ce sont plus de 100 personnes qui suivent ces formations avec, au fil du temps, une baisse de fréquentation significative de la formation de 1 jour au profit de celle de 3 jours. Ce transfert est la preuve que le référentiel est maintenant bien connu et que les entreprises ont davantage besoin d apprendre à le mettre en oeuvre que de le découvrir. La communication en Logistique Réalisation de 3 rendez-vous de GALIA en Logistique 26/01/07 : Comment GALIA répond à vos préoccupations en 2007? 30/03/07 : GALIA au service des PME/PMI 28/09/07 : Performance Transporteurs & Prestataires Logistiques... Réalisation de 2 Ateliers Logistiques Transporteurs et Prestataires Logistiques (29 mars 2007) Projet LogisTIC (24 octobre 2007) Réalisation de 3 films autour de Global MMOG/LE dans le cadre du projet "LogisTIC" SARTECH TSN/TSD POLIMOON VENDEE PLASTIQUE Participation à diverses manifestations Salon Traçabilité 2007 (janvier 2007) Club SSII (mars 2007) Salon AutoTech (août 2007) Journée de la Traçabilité 2007 (octobre 2007) Conférence TIC & PME 2010 (novembre 2007) Conférence Odette 2007 à Prague (novembre 2007) Réalisation de plusieurs articles pour : Logistique Magazine Vehicle News Stratégie Logistique

10 DOMAINE INGENIERIE Le contexte des échanges Ingénierie dans l industrie automobile en 2007 L industrie Automobile aujourd hui est organisée à l échelle mondiale. Elle est une chaîne continue du constructeur au sous-traitant de Rang n. Les échanges d informations sont par conséquent fréquents et la coopération entre partenaires doit être sans failles dans la mesure où les enjeux sont élevés en matière de confidentialité, de savoir faire et de marché. Si la filière s est organisée de la sorte, c est en partie parce que son marché est devenu mondial et que la disparité des coûts de main d oeuvre, des taxes et des matières premières permet d affronter une concurrence féroce. Notre industrie a dû s adapter en menant deux actions principales : Réduire le délai de conception et de développement, c est-à-dire : - Renforcer la coopération entre constructeurs et soustraitants. - Structurer les échanges d informations entre eux. Améliorer la fabrication et la distribution des véhicules et cela est passé par : - L adaptation de l outil industriel en permanence et au jour le jour à la demande de ses clients. - Couvrir tous les aspects de la logistique et de l information depuis la commande jusqu à la livraison des véhicules. Tout repose donc sur la fiabilité, la sécurité et l organisation des transferts d informations. C est exactement ce sur quoi GALIA se concentre dans ses activités ingénierie. La mondialisation du contexte a poussé le Comité Ingénierie et le Comité Directeur de GALIA à demander le développement accru de relations internationales. Ces relations sont à deux niveaux : Renforcement des relations avec les associations représentatives de l industrie allemande (notamment ProSTEP ivip). Augmentation de l investissement dans le consortium mondial SASIG qui comprend en tant que membres actifs nos partenaires Odette Sweden (Suède), le VDA (Allemagne), l AIAG (USA) et le JAMA (Japon). Jusqu à présent, les travaux de ces organisations ont porté essentiellement sur la capacité à échanger des modèles CAO d un outil à un autre, des structures produit d un système de gestion des données techniques à un autre, d améliorer la qualité de ces échanges, de standardiser autant que faire se peut les processus d échanges. Que peut être le futur? Il semble que les besoins en échanges sécurisés et légers grâce à des fichiers 3D allégés qui puissent protéger la propriété intellectuelle des partenaires soient une voie à explorer en détail. Ceci conduira à un process reengineering important tant chez les constructeurs que chez les fournisseurs. GALIA contribuera à le mener à bien. D ici là, voyons les sujets sur lesquels nous avons collaboré respectivement au niveau européen, puis mondial. Collaboration européenne Echanges en environnement CATIA V5 (Phase pilote) L arrivée sur le marché de la dernière version du logiciel de CAO de DASSAULT SYSTEMES a provoqué bien des réflexions et des remises en causes de méthodologies utilisées jusqu alors. Le travail du Groupe de Travail GALIA fait suite aux travaux réalisés dans le domaine de la qualité des données numériques et prolonge les recommandations émises (ayant servi de cahier des charges aux éditeurs de logiciels d analyse de la qualité

11 des données CAO «checkers»), en s attachant au cas spécifique de CATIA Version 5 dans la mesure où les constructeurs et les équipementiers français reçoivent ou se préparent à recevoir des données qui en sont issues dans la plupart des cas. Les équipementiers devant travailler avec l environnement de chacun de leurs clients, échanger facilement est important. Le Groupe de Travail a donc réfléchi aux problèmes d échange en mode fichier en environnement CATIA Version 5. La recommandation publiée cette année réunit donc 100 critères à respecter dans le but de s assurer de la lisibilité et de l exploitabilité des données issues de CATIA Version 5 ou entrantes dans le système. Cette recommandation est accessible en français et en anglais. GALIA souhaite, en effet, pouvoir faire profiter du fruit de ses réflexions les partenaires étrangers qui le souhaiteraient. D ores et déjà, l association ProSTEP ivip en Allemagne et Odette Sweden ont pu la récupérer. Le consortium SASIG envisage d en faire un sujet du groupe de travail XMTD. La recommandation a aussi été diffusée chez des éditeurs de logiciels d analyse de la qualité pour qu ils intégrent ces critères dans leurs outils et que des tests valident la solidité des critères retenus dans la recommandation. Compatibilité des méthodologies de conception Lors des échanges entre fournisseurs et donneurs d ordres, beaucoup de temps est passé à convertir des données et les préparer pour les envoyer au client. Les fournisseurs, cherchant à développer au maximum des ensembles standards adaptés aux besoins de leurs donneurs d ordres, sont équipés de leur propre environnement CAO + SGDT et doivent échanger des informations avec les systèmes idoines des constructeurs. Le schéma peut se résumer à ce qui suit : Afin d automatiser et de simplifier autant que possible le travail de préparation du package d échange, GALIA a démarré un groupe de travail dont la mission sera d établir un cahier des charges et un cahier des recettes de préparation des données d échanges avec les constructeurs visant à : Valider la comptabilité des méthodologies de conception interne entreprise avec les exigences du client pour des échanges de données CAO. Définir et décliner le mode opératoire commun pour tous les OEMs et le mode opératoire spécifique. La problématique associée au contexte d échanges est la suivante : Identifier le meilleur outil du marché pour éliminer le savoir-faire des modèles CAO.

12 Préparer la donnée en vue de l échanger avec les clients. Intégrer les applications de conversion et de préparation des données dans les outils standards entreprise. Nous proposons un plan de travail en 2 étapes : Définition du package d échange à partir de la donnée de référence entreprise (sans Knowhow ) - interne à l entreprise donc non partageable. Définition de la méthode de conversion du package d échange en données d échanges dédiées OEM - information partageable. Cela nécessitera : L identification des exigences du client (méthodologie et structure). L identification du processus utilisé pour transformer la donnée de référence en donnée répondant aux exigences du client : - Travaux internes entreprise + travaux GALIA. - Revue des pré requis ou exigences client puis définition du processus adéquat pour transformer la donnée. Pour que ces travaux soient les plus complets possible, la démarche proposée impactera à la fois un groupe francofrançais et nous chercherons aussi à faire participer nos collègues allemands de l association Pro STEP ivip. Collaboration dans le cadre du consortium mondial SASIG SASIG XMTD : Exchange and Management of Technical Data Ce groupe de travail réfléchit à tous les aspects d échanges de données techniques entre bureaux d études. Ceci recouvre de nombreux thèmes : L élaboration des processus et des messages d échange de données Ingénierie (ENGDAT) ; L élaboration des processus et des messages d échange de données administratives relatives aux partenaires en relation dans le cadre du projet entre donneur d ordre et fournisseur (ENGPART) ; La participation aux travaux d élaboration d Odette File Transfer Protocol OFTP2 ; La participation aux travaux d intégration du Joint Automotive Data Model/XML dans ENGDAT V3. C est l ensemble de ces sujets qui est abordé dans le groupe de travail XMTD et qui donne lieu à différentes recommandations publiées et téléchargeables sur le site d Odette International ( Nous présentons ci-après quelques points de repère sur les sujets en cours. ENGDAT Qu est-ce qu ENGDAT? En gros, il s agit d envoyer un ensemble de données techniques depuis un émetteur A (avec une adresse précise et correcte) à un récepteur B (avec les bonnes caractéristiques). Souvent par imprécision, les données mettent du temps à partir et/ou à arriver à qui de droit. La recommandation SASIG-XMTD donne la version 3 des messages ENGDAT qui structurent et fiabilisent l échange des données. Les types de données échangées sont des données CAO, calcul, une nomenclature (Bill of Materials) ou tout type de document les accompagnant (documentation, tableaux, plans, images ). Les formats utilisés sont les formats natifs des systèmes de CFAO, de SGDT, de calcul ou les formats neutres d échange : STEP, SET, IGES, UNISURF, VDA, SPAC, Les échanges sont structurés dans la recommandation SASIG XMTD en quatre grandes étapes : la demande, l envoi et la réception de données, ainsi que la gestion des accusés de réception. Toutes ces étapes sont codifiées en message ENGDAT. Sur le schéma ciaprès, on peut voir les flux complets et les organisations concernées par l échange des données.

13 L avantage de formaliser ce type d échanges est donc d avoir un seul mécanisme, commun à tous constructeurs et sous-traitant de rang n, reposant sur un standard automobile global de communication. Ceci se traduit par des économies importantes puisque : Il n y a qu un système d échange au long de la Supply Chain dont le retour sur investissement est immédiat. Il y amélioration de la productivité car les utilisateurs n ont à se former qu une seule fois pour échanger des données CAO ou SGDT de façon intégrée. Il y a moins de délai entre l envoi effectif et la réception effective des informations donc, globalement, cela contribue à la réduction des temps de cycle, d autant plus que ces envois sont automatisés. La qualité, tant des processus que des produits, s améliore car les données sont sûres et intègres, les modèles arrivent tous en même temps et au bon endroit. En conclusion, la recommandation ENGDAT V3 sera utilisée par des éditeurs de programmes informatiques pour mettre en application toutes ces notions dans des solutions d échanges de données techniques qui seront prochainement disponibles. OFTP2 Des nouveautés sur l échange de données grâce au protocole OFTP2 Le protocole Odette File Transfer Protocole est couramment utilisé de longue date dans la communauté automobile pour l envoi de dossiers CAO permettant la mise en oeuvre de la Maquette Numérique. En effet, c est en 1986 qu Odette International certifie la version 1.0 de ce protocole d échanges de fichiers. Les caractéristiques de ce protocole sont les suivantes : Le protocole est non sécurisé. Son utilisation nécessite des réseaux sécurisés (RNIS, VPN ). Il est massivement utilisé pour les échanges de fichiers dans le milieu automobile en Europe. Il permet la mise en oeuvre de logiciels d échanges de données techniques basée sur les recommandations et les messages ENGDAT v1, ENGDAT v2 Or, le contexte est en train d évoluer. L arrivée de l ADSL permet maintenant d envoyer de grandes quantités de données à moindre coût et dans des délais raisonnables. C est dans le cadre des travaux du consortium SASIG que

14 la question de son utilisation va se poser. Les premiers travaux sur OFTP2 furent décidés lors de la réunion du Groupe de Travail SASIG-XMTD de septembre 2004 à Göteborg (Suède). Les besoins étaient les suivants. L un des objectifs d ENGDAT V3 étant à vocation mondiale, il est important de pouvoir échanger facilement des données. Le groupe pris la décision de créer un GT Comité Ad Hoc pour les alternatives futures en matière de communication B2B. La première réunion s est tenue en novembre 2004 chez GALIA. Ce comité Ad hoc fut transformé en Groupe de Travail Odette en mai 2005, à Londres, avec pour objectif d amener OFTP à un niveau de sécurité permettant son utilisation sur internet. Les travaux nécessitant une solide compétence en cryptage et gestion de la sécurité, de nombreux experts, principalement des prestataires de service et des éditeurs de solutions, joints à des industriels, ont préparé une recommandation Odette publiée en novembre Elle contient la spécification du protocole et des services de sécurité fichiers. En plus, un guide d implémentation est en cours de rédaction. Les principales caractéristiques techniques d OFTP2 sont les suivantes : Authentification Sécurisée Confidentialité des données Signatures électroniques Compression des fichiers Session sécurisée SSL Reçus signés Description internationale des fichiers Taille des fichiers augmentée Il est aussi à noter que si votre société est intéressée par l implémentation d un pilote basé sur OFTP2 avec un ou plusieurs partenaires, vous pouvez contacter soit le Program Manager d Odette : Rob Exell (rexell@odette.org), soit GALIA. Le périmètre d utilisation d OFTP2 OFTP2 concerne les liaisons avec les partenaires (fournisseurs ou constructeurs) situés hors Europe, là où seul le réseau Internet est disponible (Mercosur, Asie ). Il permet de remplacer les lignes RNIS trop lentes et est une alternative aux solutions web basées sur serveur sécurisé https, fonctionnellement dégradées (pas de reprise de transfert si coupure, pas de batch ). Il peut donc aussi être utilisé par des «petits» fournisseurs européens. Les solutions du marché La recommandation publiée et le guide d implémentation en voie de l être, une demande de commentaires a été lancée pour que des éditeurs, ayant d ores et déjà testé l interopérabilité de leurs solutions, partagent les résultats obtenus en vue de lancer la commercialisation d offres. SASIG PDQ : Product Data Quality L industrie automobile mondiale est de plus en plus dépendante de données produit électroniques pour concevoir et fabriquer les véhicules. Ceci met en jeu des logiciels de Conception Assistée par Ordinateur. A cause de la dépendance évoquée, les problèmes issus de la qualité des données CAO génèrent des problèmes pendant le développement d une nouvelle voiture. L approche la plus efficace a paru, pour les membres du consortium SASIG de bâtir un ensemble de critères communs permettant d évaluer la qualité et de corriger les problèmes en fonction des critères du donneur d ordres. La mission du groupe de travail a été de développer une recommandation globale définissant de façon neutre des critères de qualité en vue d analyser la qualité des données produit dans les domaines suivants : Géométrie Données non géométriques (layers ) Maillage Fabrication Tolérances Inspection Qualité Cette recommandation SASIG PDQ V2.0 a non seulement servi de base au développement de nombreux outils d analyse de la qualité produit, mais, de plus, elle a été

15 déposée à l ISO qui a décidé d en faire une Publicly Available Specification, premier pas vers une certification totale, afin d en faire bénéficier tous les utilisateurs de CAO qui doivent échanger des modèles entre partenaires. SASIG PDM : Product Data Management Aujourd hui, dans les bureaux d études, la maquette virtuelle est de plus en plus utilisée et, grâce à cet outil, les fournisseurs sont de plus en plus intégrés aux étapes de la conception véhicule. Ainsi, plus que des pièces virtuelles, on est amené à échanger des assemblages en 3D. Pour construire, visualiser et gérer une maquette numérique représentant virtuellement le produit et ses différentes configurations, on utilise des systèmes de gestions des données techniques qui permettent de sauvegarder l arborescence du produit tel qu il est conçu et tel qu il sera fabriqué et maintenu. La recommandation élaborée par ce groupe de travail compare les différentes approches standardisées pour échanger des informations produit issues de ces systèmes de gestion de données techniques. A partir de ces comparaisons, la recommandation propose des solutions communes à tous les partenaires de l industrie automobile mondiale dans les domaines de l échange de données d assemblage et de la gestion des modifications. La recommandation permet ainsi : D identifier et modeler les scénarii des processus ingénierie. D identifier les données et spécifier les relations entre elles pour chaque scénario (synchrone, en ligne ). De développer UNE SEULE solution globale commune et basée sur STEP et XML. D harmoniser les efforts d implémentation et valider chaque solution. De réaliser des économies substantielles sur les 1,4 milliards d Euros qu ont coûté de tels échanges pour le seul continent Nord Américain. SASIG ECM : Engineering Change Management Les constructeurs et leurs fournisseurs ont modifié leur méthodologie de développement et de production des véhicules. Ils se sont organisés en plateaux de codéveloppement (souvent virtuels) et la fabrication s est orientée vers de la co-production. Dans les deux cas, la gestion des modifications est un processus critique dont dépendent la qualité, les délais et les coûts des véhicules. a) Au cours du développement d un véhicule, les pièces subissent de nombreuses évolutions qui ont parfois des conséquences en cascade sur d autres pièces. Il est

16 fondamental qu un fournisseur soit immédiatement informé de toute modification qui impacte l un des produits que ce fournisseur est chargé de concevoir. La non disponibilité de telles informations ou même simplement un retard dans leur communication peut avoir pour effet de laisser le fournisseur poursuivre son travail sur des éléments périmés avec toutes les conséquences que cela peut avoir sur les coûts et les délais. b) Au cours de la vie du véhicule, les équipements subissent des évolutions ou bien, pour de multiples raisons, un fournisseur peut être appelé à en remplacer un autre. Dans ces cas, la chaîne d assemblage doit prendre en compte de nouveaux ensembles fonctionnels ou de nouvelles pièces. A partir de quand doit-on commencer à les monter? Doit-on adapter le processus de montage? Quels sont les impacts sur la chaîne logistique? Ce sont autant de questions qui doivent avoir des réponses. Sur la partie conception, des travaux ont déjà été réalisés par un Groupe de Travail qui a fonctionné jusqu en Les résultats sont formalisés sous la forme d un cahier des charges fonctionnel et d un cahier des charges technique qui décrivent les processus de demande et d officialisation des modifications entre donneur d ordres et sous-traitants. Sur la partie logistique, un état des lieux reste à faire. Conscients des enjeux, les constructeurs et équipementiers américains, japonais et européens ont commencé à travailler sur ce sujet. GALIA y participe activement et se joint au débat. L idée n est pas de bouleverser les processus internes existants mais plutôt d harmoniser lors de l échange une terminologie, des macro processus et des jalons communs. Les concepts généraux de la Gestion des Modifications et le champ de travail du Groupe ont été définis dans un livre blanc qui s intitule : SASIG Engineering Change Management (ECM) Reference Process. Il accompagne la recommandation elle-même. Il est disponible également sous la forme d une présentation PowerPoint qui assure un premier niveau de communication sur les travaux. Sur la base d une compréhension commune des processus de Gestion des Modifications (ECM) et de Demande de Modification (ECR), réalisée grâce à des diagrammes au format idf0, le Groupe de Travail a revu les premiers tomes de la recommandation VDA/ProSTEP et en a fait des documents SASIG. A l issue d une première série de travaux, SASIG ECM est sur le point de publier en début d année 2008 ses premiers documents : 1 - Le livre blanc expliquant le processus de référence de Gestion des Modifications. 2 - La recommandation en deux parties pour les processus : Engineering Change Management et Engineering Change Request. 3 - La représentation au format idf Une présentation destinée au Management.

17 SASIG DEV : Digital Engineering Visualisation Les processus de communication et de validation à partir du monde de la conception changent. Nous avons connu des réunions d échanges et de validation : Autour de prototypes physiques Autour de stations CAO. Par le biais d échanges de données CAO (avec ou sans metadonnées). Par le biais d échanges de données CAO (avec ou sans metadonnées), mais avec des outils de visualisation spécialisés. Maintenant, avec l arrivée de la continuité numérique et des moyens «web», les besoins de visualisation touchent de plus en plus d autres acteurs internes ou externes de l entreprise. Quelques exemples, les acheteurs ont besoin de consulter des données 2D ou 3D avec leur PC, les réunions de validation se déroulent de plus en plus avec des séances de «conferencing», les outilleurs ont besoins d avoir au plus tôt des données issues de la CAO pour réaliser des outils ou des séances de simulation de processus, les garages utilisent des données issues de la CAO pour illustrer les méthodes de réparation D où la création du concept de «Master Document» pour une utilisation et réutilisation globale en visualisation des données des ingénieries. Conscients du contexte, les constructeurs et équipementiers américains, japonais et allemands ont créé un sujet SASIG où le monde de l automobile français n est pas présent. Le groupe DEV (Digital Engineering Visualization) de SASIG a rédigé un document (guideline) où sont consignés les bonnes pratiques dans le domaine de la visualisation, les technologies et standards à prendre en compte pour faciliter une implémentation de la visualisation à partir de données de conception telles que géométrie CAO, structure produit, résultats de calculs, annotation, tolérances et données tessellées. Le but est d améliorer la collaboration entre constructeurs et équipementiers. Cette recommandation devrait permettre d optimiser par exemple : Les coûts : - en réduisant le nombre de licences CAO, de prototypes physiques, de modifications et en optimisant les stations de travail ; - en supprimant les plans 2D. Les délais : - en donnant un large accès aux données BE à travers l entreprise étendue qui facilitera la collaboration ; - en accélérant la mise sur le marché des produits.

18 Le déploiement des recommandations en Ingénierie En matière de déploiement, la plupart des recommandations ingénierie ont vocation à être intégrées dans des logiciels du marché. Sans faire de publicité pour une solution, GALIA veut être en mesure d analyser le déploiement des recommandations existantes en mettant en place des indicateurs de mesure appropriés. Cela permettra d analyser l obsolescence éventuelle de certains travaux et leur besoin de mise à jour. Parmi les réflexions en cours, le Comité Ingénierie étudie la possibilité de développer un guide et un questionnaire destinés à optimiser la mise en place de l ingénierie collaborative tout au long de la chaîne de valeur (dans le style de Global EVALOG) et la possibilité de mesurer l intégration des recommandations dans les solutions du marché sous une forme qui reste à déterminer. En corollaire de ces actions, le Comité souhaite s ouvrir aux PME-PMI en synergie avec le projet A.L.F.A., en écoutant leurs besoins spécifiques et en allant sur le terrain promouvoir les recommandations et assister les Rangs 2 et Rangs 3 dans leur mise en oeuvre des processus recommandés par les donneurs d ordres. Les perspectives Lors du dernier Comité Ingénierie de l année, il a été proposé un certain nombre de sujets qui doivent permettre de faciliter les échanges entre partenaires. La liste est la suivante : a) Compatibilité des méthodologies de design avec CATIA V5. b) Définition des échanges de données en environnement PDM. c) Echanges de données câblages, électroniques voire informatique de société à société (STEP AP 212 ). d) Gestion des données ECAD/MCAD. e) Gestion des exigences (STEP AP 233). f ) Validation des travaux ECM avec des données électriques, électroniques et informatiques. g) Archivage long terme. h) Gestion des fichiers «3D léger» dans les PDM (JT, 3D pdf ). i ) Codification matières/substances dans l Ingénierie. j) Création d un répertoire de bonnes pratiques Ingénierie. Chacun de ces sujets fera l objet d une étude préalable permettant de déterminer son réel intérêt et les gains que l industrie automobile espère en retirer. C est elle qui déterminera la création des Groupes de Travail. Si l un ou l autre vous intéressait, n hésitez pas à prendre contact avec le Chef de Projet Ingénierie pour plus de renseignements et rejoindre l équipe. La communication en Ingénierie Outre les contributions du domaine Ingénierie à la lettre d information de GALIA, de nombreuses opérations de communication ont eu lieu : Rendez-vous GALIA pour parler des travaux du Groupe de Travail «Echanges en environnement CATIA V5», présentations aux Etats Généraux de MICADO, à MOBILIS 2007, pendant la conférence Odette 2007 et participation à de nombreux colloques sur l Ingénierie Collaborative et le PLM. Dans tous les cas, il fut possible de présenter l état de l art dans l Ingénierie chez GALIA et montrer l importance des travaux dans ce domaine.

19 DOMAINE PRM 2007 : une année de transition Ainsi que nous le laissions entendre dans le bilan d activité 2006, le Comité B2B Odette est devenu cette année le comité PRM (Partner Relationship Management). Ce changement fait suite à un constat clair : l activité B2B devient mature. Les besoins de standardisation, tels qu ils étaient perçus par les constructeurs et les équipementiers, ont changé de nature à mesure que ces entreprises s équipaient en portails et outils collaboratifs. En effet, les principaux acteurs de l industrie automobile européenne sont aujourd hui équipés. Ils ont structuré leurs environnements Internet, mis au point leurs portails et défini les règles de fonctionnement associées. Bien que tous ces points ne sont pas couverts par des standards, chacun, faisant face au rythme soutenu auquel s est développée la numérisation des relations entre partenaires d une même chaîne de valeur, a développé ses solutions et les a mises en oeuvre. Modifier ces éléments structurants s avère souvent coûteux et peu rentable, ce qui limite l intérêt de ces entreprises pour la construction des standards manquants sur ces thèmes. De fait, les sujets abordés naturellement dans le Comité B2B étaient davantage d ordre technique qu orientés sur la gestion de la relation entre partenaires au travers d outils collaboratifs. Devant cette mutation du besoin des entreprises, le Comité Directeur d Odette a décidé de modifier les attributions du Comité B2B : il reste un forum d échange entre spécialistes du domaine et change de nom pour devenir le PRMC (Partner Relationship Management Committee). Il se recentre sur les processus de gestion des relations entre partenaires. Ce changement marque une volonté claire de continuer à faire exister en parallèle au sein d Odette deux Comités aux rôles distincts : un Comité Technique (Technical Committee) et un Comité Fonctionnel (PRMC). Ces deux Comités sont complémentaires et au service des comités métier comme le montre le schéma. En 2007, le PRMC s est réuni trois fois. L objectif de ces réunions a surtout été de gérer proprement la transition entre les sujets précédemment traités ou en cours et la nouvelle orientation donnée à ce comité. Dès début 2008, et suite à la dernière réunion qui s est tenue en octobre dernier à Paris, la lettre de mission de ce Comité va être précisée pour terminer de clarifier son

20 orientation «business» et marquer définitivement la rupture avec le B2B Functional Committee. Travaux en cours NPNI (Non-Production Materials Identification) Ce projet vise à standardiser le référentiel des fournitures industrielles n entrant pas directement dans la fabrication des équipements ou des véhicules. Malgré un peu de retard sur le planning prévu, le Comité PRM a constaté un avancement significatif des travaux en cours d année La publication de cette recommandation est attendue au cours du premier trimestre Portal Agents L usage de portails et d applications Internet a révolutionné la manière d échanger des informations entre les partenaires d une même chaîne de valeur. Le volume, la fréquence et la qualité des données échangées se sont considérablement accrus grâce à l utilisation de ces nouveaux outils. Le seul véritable inconvénient de ces nouveaux modes d échange est qu ils obligent l un des partenaires, généralement le fournisseur, à utiliser les outils que l autre, souvent le client, met à sa disposition sur Internet. Il doit alors consulter les données et les ressaisir dans ses propres systèmes. Pour pallier ce qui apparaît comme une régression fonctionnelle au regard des avancées qu a permis l EDI dans le domaine de l échange et de l intégration des données, des agents se sont développés pour que l utilisateur d un portail ou d une application puisse en extraire des données et les intégrer dans son propre système. L utilisation de ces agents pose de nombreuses questions, tant sur le plan technique que fonctionnel. A l issue d un comité élargi auquel participaient les membres du Technical Committee (TC) et du PRM Committee, ce sujet a été abordé pour identifier les axes de travail prioritaires. Il en ressort que, dans un premier temps, le problème est d ordre technique. Dans l immédiat, il convient en effet de définir les règles de bonne utilisation de ces agents et de garantir la sécurité des échanges (sécurité des infrastructures et intégrité des données). Le TC traite actuellement ce sujet mais les membres du PRMC restent mobilisés pour apporter leur contribution fonctionnelle à ces travaux. Sujets à l étude Mutualisation des services Cette année, des réflexions ont été lancées sur le thème de la mutualisation des services. A l initiative de BMW, le comité PRM étudie l opportunité de lancer un projet visant à mutualiser les services d authentification des utilisateurs des portails. Le constat est clair : la multiplication des portails et le développement de leur utilisation obligent simultanément les utilisateurs à gérer un nombre croissant de couples identifiant / mot de passe (un par portail) et les propriétaires de ces portails à accroitre leurs efforts de gestion des comptes utilisateurs (un compte par utilisateur). L idée du projet soumis au PRMC par BMW est de simplifier cette gestion en recourant à un service mutualisé pour gérer les droits d accès. La cible s énonce simplement : l utilisateur d un portail n utilise qu un seul identifiant pour accéder à tous les portails ; lorsqu il souhaite se connecter à un portail, ses identifiants sont traités par un service qui les interprètent et les transmet au portail cible sous la forme d une clef interprétable par ce dernier ; dans le respect des règles d accès et des droits accordés à l utilisateur, celui-ci accorde ou refuse l accès. Ce projet présente de nombreux avantages, notamment en réduisant la charge de gestion administrative des comptes utilisateurs et en réduisant le nombre d identifiants pour un utilisateur.

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