L HAD dans les EHPAD. Docteur Emmanuel BOVIER Médecin coordonnateur Soins et Santé HAD de LYON. Jeudi 22 Mars 2012
|
|
- Constance Pruneau
- il y a 2 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L HAD dans les EHPAD Docteur Emmanuel BOVIER Médecin coordonnateur Soins et Santé HAD de LYON Jeudi 22 Mars 2012
2 Introduction La décision d une hospitalisation conventionnelle chez un résident d EHPAD doit être bien évaluée car elle peut déboucher sur : - Désorientation par le transport et l hospitalisation pertes de repères facteurs d aggravation de la pathologie - Coûts de transport sanitaire importants - Engorgement des urgences par l arrivée souvent non préparée des personnes âgées Face à la lourdeur des patients et aux obligations croissantes des EHPAD, l objectif est clair : éviter autant que faire se peut le recours à l hospitalisation complète si hospitalisation incontournable (besoin d un plateau technique, aide au diagnostic ), favoriser le retour le plus rapide possible au lieu de vie. Pour cela il semble opportun d autoriser une intervention des structures d hospitalisation à domicile au sein des EHPAD, qui sont de fait les seuls domiciles des résidents.
3 Concrètement L HAD complète l action des EHPAD dans la prise en charge du malade évitant ainsi une hospitalisation ou permettant un retour dans ce type d institution après un séjour hospitalier. La tarification de l EHPAD ne sera pas modifiée. L HAD, en revanche, pour éviter toute superposition de charges pour l Assurance Maladie, verra ses tarifs minorés de 13 % (déduction des prestations effectuées par l EHPAD : mise à disposition du lit, rôle de l infirmière coordinatrice, ménage ).
4 La convention HAD/EHPAD Pour les EHPA non médicalisés : convention simple Engagement réciproque à respecter le règlement intérieur de la structure coopérante. Déclaration pour l EHPA de sa non autorisation aux soins + inscription des deux N FINESS. Date de l effet de la convention Pour les EHPAD médicalisés : convention complète Déclaration de l autorisation aux soins + copie de l autorisation Inscription des N FINESS + 5 chapitres prévus par le décret N du 3 0 avril 2007 : conditions de l intervention de la structure d HAD en EHPA modalités d élaboration et d adaptation des protocoles de soins organisation de l accès des personnels à certains éléments du dossier du patient organisation du circuit du médicament modalités d évaluation de l organisation Date de l effet de la convention Dans tous les cas : envoi aux tutelles (ARS )
5 Conditions de l intervention de la structure d HAD en EHPAD Sur prescription du MT ou PH qui explicite le pourquoi du recours à l HAD et après avis du MC qui doit inscrire dans le dossier pourquoi l EHPAD n est pas en mesure de prendre en charge les soins nécessités/patient Le consentement du patient ou de son représentant légal est obligatoire Sur la base d un des 14 modes de prise en charge en mode principal (et associé le cas échéant) Nécessité d un protocole d accord nominatif d intervention EHPAD/HAD
6
7
8
9
10 Organisation de l accès des personnels à certains éléments du dossier du patient (HAD/EHPAD) Permet de clarifier par écrit dans un protocole général préalable : - Tout acte de soins significatif effectué par le personnel HAD est porté dans les plus brefs délais à la connaissance de l équipe EHPAD, la transmission est écrite et traçable. - habilitations et conditions d accès aux documents du dossier personnel du patient/confidentialité Copie du dossier de soins HAD remis au terme de la PEC au médecin coordonnateur de l EHPAD
11
12 Modalités d élaboration et d adaptation des protocoles de soins HAD/EHPAD Chaque intervention nécessite un protocole nominatif de soins (PNS) Ce PNS intègre les modalités spécifiques de chacune des 2 structures et pour chaque type d intervenant (IDE, AS, ) - type de soins - horaires de réalisation du soin Nouveau protocole si modification PEC Permet l organisation conjointe des soins
13
14 Organisation du circuit du médicament (HAD/EHPAD) A la fois un document à visée administrative et médicale : Clarifie les circuits d approvisionnement et de dispensation HAD : quel médicament? qui le finance? qui le livre? Permet une confrontation des éventuelles prescriptions parallèles pour un même patient/résident
15
16 Modalités d évaluation de l organisation HAD/EHPAD Engagement à au moins une réunion annuelle d évaluation de l organisation Indicateurs minimaux d évaluation : quantitatifs : nombre de journées HAD en EHPAD qualitatifs : demandes d interventions non satisfaites délais nombre de séjours en hospitalisation complète qualité de la coordination des équipes
17 Parcours des personnes âgées de 75 ans et plus selon leur mode d entrée
18 Activité des établissements d HAD en EHPAD en 2010 et évolution de cette activité entre 2008 et 2010 Données PMSI HAD exploitation Observatoire de la FNEHAD Activité d HAD en 2010 Evolution de l activité Evolution de l activité Total 2010 Activité en EHPAD Poids relatif EHPAD / total HAD Evolution HAD Evolution HAD en EHPAD Evolution HAD Evolution HAD en EHPAD Nombre établissements ,78% 11,1% 24,1% 29,2% 74,8% Nombre de journées (en M) 3,6 0,09 2,69% 9,1% 28,6% 28,6% 125,0% Nombre de séjours complets ,89% 8,9% 39,7% 25,4% 187,3%
19 MPC Principal Répartition par modes de prise en charge de l activité d HAD en EHPAD 2010 Données PMSI HAD exploitation Observatoire de la FNEHAD MP Associé Nb journées % des journées 09 - pansements complexes et soins spécifiques (stomies compliquées) 00 - absence de madalité associée ,38% 09 - pansements complexes et soins spécifiques (stomies compliquées) 14 - soins de nursing lourds ,15% 09 - pansements complexes et soins spécifiques (stomies compliquées) 07 - prise en charge de la douleur ,96% 04 - soins palliatifs 09 - pansements complexes et soins spécifiques (stomies compliquées) ,09% 04 - soins palliatifs 06 - nutrition entérale ,66% 04 - soins palliatifs 00 - absence de madalité associée ,29% 09 - pansements complexes et soins spécifiques (stomies compliquées) 06 - nutrition entérale ,30% 04 - soins palliatifs 07 - prise en charge de la douleur ,29% 04 - soins palliatifs 02 - nutrition parentérale ,31% 07 - prise en charge de la douleur 09 - pansements complexes et soins spécifiques (stomies compliquées) ,59% 08 - autres traitements 00 - absence de madalité associée ,41% 04 - soins palliatifs 01 - assistance respiratoire ,24% 03 - traitement intra-veineux 00 - absence de madalité associée ,12% 03 - traitement intra-veineux 09 - pansements complexes et soins spécifiques (stomies compliquées) ,12% 09 - pansements complexes et soins spécifiques (stomies compliquées) 02 - nutrition parentérale 902 0,92% 08 - autres traitements 14 - soins de nursing lourds 897 0,92% 09 - pansements complexes et soins spécifiques (stomies compliquées) 11 - rééducation orthopédique 891 0,91% 09 - pansements complexes et soins spécifiques (stomies compliquées) 08 - autres traitements 840 0,86% 03 - traitement intra-veineux 02 - nutrition parentérale 787 0,81% 03 - traitement intra-veineux 14 - soins de nursing lourds 690 0,71%
20 Collaboration HAD LYON/EHPAD Années Nbre conventions signées En 2009 En 2010 En 2011 (M9) Patients (1006) Séjours Journées de PEC
21 Merci de votre attention
HAD ET RESEAUX DE SOINS Béatrice JAUD, Coordinatrice des Soins
Béatrice JAUD, Coordinatrice des Soins 31 mai 2013 HAD Nantes & région mai 2013-BJAUD 2 n SOMMAIRE: - LE DISPOSITIF REGLEMENTAIRE - HOPITAL A DOMICILE: Présentation Objectif Les conditions d admission
ETABLISSEMENT D HOSPITALISATION A DOMICILE
ETABLISSEMENT D HOSPITALISATION A DOMICILE 5, avenue Louis-Blériot 63100 Clermont-Ferrand Tél. 0 820 200 444 Ou 04 73 36 00 37 Fax 04 73 42 98 77 contact@clinidom.fr www.clinidom.fr Finess 63 000 811 8
L HOSPITALISATION A DOMICILE EN ILE DE FRANCE
L HOSPITALISATION A DOMICILE EN ILE DE FRANCE ASSOCIATION PARTICIPANT AU SERVICE PUBLIC HOSPITALIER 15 Quai de Dion Bouton 92816 PUTEAUX Cedex www.santeservice.asso.fr Qu est-ce que l hospitalisation à
Filières et réseaux de gériatrie. Circulaire du 18 mars 2002 Plan solidarité grand âge Plans Alzheimer Dr Spivac Hopital Broca
Filières et réseaux de gériatrie Circulaire du 18 mars 2002 Plan solidarité grand âge Plans Alzheimer Dr Spivac Hopital Broca Population âgée en forte augmentation Augmentation de l espérance de vie à
HAD et Soins Palliatifs en EHPAD Contraintes réglementaires et situations possibles de collaboration
HAD et Soins Palliatifs en EHPAD Contraintes réglementaires et situations possibles de collaboration Dr Joséphine Loteteka Dr Tatiana Garcia HAD Santé Service Corpalif 93, 23 mars 2010 Sommaire Le cadre
CHARTE DU RESEAU DE CANCEROLOGIE PEDIATRIQUE D AQUITAINE RESILIAENCE
CHARTE DU RESEAU DE CANCEROLOGIE PEDIATRIQUE D AQUITAINE RESILIAENCE (Recherche, Enseignement, Soins, Information, Lutte et Initiatives pour les Adolescents et les ENfants atteints de CancEr). 1. CARACTERISTIQUES
3. Critères médicaux d admission et de maintien en HAD :
DEFINITION DE CRITERES MEDICAUX ET SOCIAUX D ADMISSION ET DE MAINTIEN EN HAD (Document réalisé initialement en décembre 2004) 1. Champ d activité des HAD, définition : La définition de ce que doit être
15 mars 2011 - Martine SEMAT Colloque ANAP
THEME : LES OUTILS DE COOPERATION L expérience de L HAD SANTE RELAIS DOMICILE L histoire de l association : création de SANTE RELAIS 31 en 2001 AGESEP 31 La création de l association Loi 1901 SANTE RELAIS
Hospitalisation à domicile et prise en charge en oncologie
Hospitalisation à domicile et prise en charge en oncologie Quelques chiffres sur la France (FNEHAD) Prise en charge pour 2014 *105.000 patients en HAD/66 millions d habitants *4.4 millions de journées
CONVENTION-TYPE RELATIVE AUX MODALITES D INTERVENTION DE L EQUIPE D APPUI DEPARTEMENTALE EN SOINS PALLIATIFS DE L INDRE (E.A.D.S.P. 36) DANS LES E.H.
CONVENTION-TYPE RELATIVE AUX MODALITES D INTERVENTION DE L EQUIPE D APPUI DEPARTEMENTALE EN SOINS PALLIATIFS DE L INDRE (E.A.D.S.P. 36) DANS LES E.H.P.A.D. ENTRE L E.H.P.A.D. représenté par d une part,
MINISTERE DE LA SANTE ET DES SPORTS MINISTERE DU TRAVAIL, DE LA SOLIDARITE ET DE LE FONCTION PUBLIQUE
MINISTERE DE LA SANTE ET DES SPORTS MINISTERE DU TRAVAIL, DE LA SOLIDARITE ET DE LE FONCTION PUBLIQUE Direction générale de l'offre de soins Sous-direction de la régulation de l offre de soins, Bureau
117a6 ANNEXE 6. Entre - Nom de l ES (établissement de santé), représenté par. Et - Nom de l EHPAD, représenté par
ANNEXE 6 CONVENTION TYPE RELATIVE AUX MODALITES DE COOPERATION ENTRE UN ETABLISSEMENT DE SANTE ET UN ETABLISSEMENT D HEBERGEMENT POUR PERSONNES AGEES DEPENDANTES DANS LE CADRE D UNE FILIERE DE SOINS GERIATRIQUES
Rôle et missions du médecin coordonnateur en EHPAD
c1 Rôle et missions du médecin coordonnateur en EHPAD Capacité de Gériatrie Dr Corinne HAGLON DUCHEMIN 17 Février 2014 Diapositive 1 c1 clientleger; 12/02/2014 Décrets et Fonction du médecin coordonnateur
FICHE 1 IDENTIFICATION ET DESCRIPTION DU SERVICE, UNITE OU POLE
FICHE 1 IDENTIFICATION ET DESCRIPTION DU SERVICE, UNITE OU POLE INTITULE Intitulé du service, de l unité : EHPAD Marcel Jacquelinet Pôle : Personnes âgées Adresse postale :65 route de Dijon 21604 LONGVIC
Les soins palliatifs et d accompagnement. Mise en œuvre dans l établissement
Mise en œuvre dans l établissement Une obligation légale La loi n 99-477 du 9 juin 1999 garantit, dans son premier article, le droit d accès aux soins palliatifs «Toute personne malade, dont l état le
Article 2. relatives à l intervention du masseur-kinésithérapeute libéral dans l EHPAD
CONTRAT TYPE PORTANT SUR LES CONDITIONS D INTERVENTION DES MASSEURS- KINÉSITHÉRAPEUTES EN ÉTABLISSEMENT D HÉBERGEMENT POUR PERSONNES ÂGÉES DÉPENDANTES Entre : L établissement d hébergement pour personnes
Est-il dangereux de faire passer une personne âgée aux Urgences? Dr Karine BALDASSARI Dr Catherine FERNANDEZ Les RDV de l Urgence 26 mai 2011
Est-il dangereux de faire passer une personne âgée aux Urgences? Dr Karine BALDASSARI Dr Catherine FERNANDEZ Les RDV de l Urgence 26 mai 2011 Plan Risques Problématiques du pré hospitalier Repérage aux
CONTRAT TYPE PORTANT SUR LES CONDITIONS D INTERVENTION DES MÉDECINS LIBÉRAUX EN ÉTABLISSEMENT D HÉBERGEMENT POUR PERSONNES ÂGÉES DÉPENDANTES Entre :
CONTRAT TYPE PORTANT SUR LES CONDITIONS D INTERVENTION DES MÉDECINS LIBÉRAUX EN ÉTABLISSEMENT D HÉBERGEMENT POUR PERSONNES ÂGÉES DÉPENDANTES Entre : L établissement d hébergement pour personnes âgées dépendantes
LIVRET D ACCUEIL SSIAD
Centre Hospitalier LE FAOUET 36, rue des Bergères 56320 LE FAOUET Tél.: 02 97 23 35 18 Standard : 02 97 23 08 99 LIVRET D ACCUEIL SSIAD SERVICE DE SOINS INFIRMIERS A DOMICILE Page1/8 SOMMAIRE I. Organisation
Résultats de l évaluation externe Octobre 2014. EHPAD «Les Terrasses»
Résultats de l évaluation externe Octobre 2014 EHPAD «Les Terrasses» 1. La démarche d évaluation interne L EHPAD a mis en œuvre une évaluation interne en octobre 2013 Le référentiel d évaluation retenu
PRÉPARER LE RETOUR AU DOMICILE DU PATIENT : VOLET SOCIAL, VOLET SOIGNANT
PRÉPARER LE RETOUR AU DOMICILE DU PATIENT : VOLET SOCIAL, VOLET SOIGNANT FORMATION RÉGIONALE DES AIDES SOIGNANTES VENDREDI 20 MARS 2015 Florine MAGRIN Assistante sociale CHRU Besançon Odile ROMANET Cadre
L Hospitalisation à domicile
L Hospitalisation à domicile Centre Hospitalier B.P. 70348 22303 LANNION Cedex 02.96.05.70.15 S O M M A I R E Où SE SITUE L HAD? p 2 QU EST-CE QUE L HAD? p 4 QUEL LIEU D INTERVENTION? p 4 QUE DOIT-ON
Médecin Coordonnateur en EHPAD Le 6 Juin 2015
Dr Corinne PLESSIS EHPAD «Les Pommeris» VALLIERES LES GRANDES et MDPH Dr Séverine DURIN EHPAD du Pays Vendômois et CH VENDOME Médecin Coordonnateur en EHPAD Le 6 Juin 2015 Dr PLESSIS - Dr DURIN Journée
Cahier des charges «Centre de compétences maladies rares»
Cahier des charges «Centre de compétences maladies rares» (mars 2007) Ministère de la Santé et des Solidarités DHOS Bureau O4 1 Table des matières 1. DESCRIPTION DU CENTRE DE COMPETENCES...4 1.1 L'EQUIPE
Stage Étudiants infirmiers Documents de référence :
Stage Étudiants infirmiers Documents de référence : La définition du métier «Infirmier» Les référentiels de formation, d activités et de compétences infirmiers 2009 Le portfolio de l étudiant Version 1,
REGLEMENT INTERIEUR SERVICE D'HOSPITALISATION A DOMICILE
REGLEMENT INTERIEUR SERVICE D'HOSPITALISATION A DOMICILE Préambule Ce règlement intérieur définit les conditions d'organisation et de fonctionnement du service d'hospitalisation à domicile. Il précise
JORF n 0303 du 31 décembre 2010. Texte n 91
Le 13 octobre 2011 JORF n 0303 du 31 décembre 2010 Texte n 91 ARRETE Arrêté du 30 décembre 2010 fixant les modèles de contrats types devant être signés par les professionnels de santé exerçant à titre
C H M A D. Service d Hospitalisation à Domicile. Centre Hospitalier de Montereau Fault Yonne. 1 bis, rue Victor Hugo B.P. 101. 77875 Montereau Cedex
C H M A D Service d Hospitalisation à Domicile Centre Hospitalier de Montereau Fault Yonne 1 bis, rue Victor Hugo B.P. 101 77875 Montereau Cedex Secrétariat: 01 64 31 67 71 Médecin coordonnateur : 01 64
Parcours de santé des personnes âgées en situation de fragilité
Parcours de santé des personnes âgées en situation de fragilité Personnes âgées en risque de perte d autonomie (PAERPA) Claude JEANDEL Pôle de gérontologie CHU Montpellier Université Montpellier Inserm
LE DISPOSITIF D ANNONCE
LE DISPOSITIF D ANNONCE 1 Objectifs Mis en oeuvre par la Ligue contre le Cancer suite aux Etats Généraux des malades de 1998 Introduit dans le premier Plan Cancer (2003-2007) Accompagner et soutenir l'annonce
Stage Étudiants infirmiers Documents de référence :
Stage Étudiants infirmiers Documents de référence : La définition du métier «Infirmier» Les référentiels de formation, d activités et de compétences infirmiers 2009 Le portfolio de l étudiant Version 1,
Quel rôle pour l infirmière à domicile dans la prise en charge du patient suite à une chirurgie ambulatoire? UDCF le 11 octobre 2014
Quel rôle pour l infirmière à domicile dans la prise en charge du patient suite à une chirurgie ambulatoire? UDCF le 11 octobre 2014 Florence Ambrosino Infirmière de pratique avancée en coordination de
Missions du Médecin Coordonnateur en EHPAD
Missions du Médecin Coordonnateur en EHPAD Capacité de Gérontologie, 29 novembre 2012 Docteur Denis SORIANO, gériatre coordonnateur n Un cadre supérieur, salarié, chargé d une mission d organisation, de
Stage Étudiants infirmiers
Stage Étudiants infirmiers Documents de référence : ü La définition du métier «Infirmier» ü Les référentiels de formation, d activités et de compétences infirmiers 2009 ü Le portfolio de l étudiant Version
Retour sur les actions Assurance Maladie auprès des structures d Hospitalisation à Domicile
Retour sur les actions Assurance Maladie auprès des structures d Hospitalisation à Domicile Dr Nathalie VERIN - Direction régionale du Service Médical Journée Interrégionale de l HAD du 15 octobre 2014
Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers
Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de
LES RENCONTRES DU MANAGEMENT DE PÔLES. Jean-Marc DAUBOS Directeur CH Crest et CH Die
LES RENCONTRES DU MANAGEMENT Jean-Marc DAUBOS Directeur CH Crest et CH Die Dr Florence TARPIN-LYONNET Chef de Pôle des activités de soins et d Hospitalisation à Domicile CH Crest Présidente CME Retour
L'HAD "à la française" le modèle historique et enjeux actuels
www.irdes.fr L'HAD "à la française" le modèle historique et enjeux actuels Dr Laure COM-RUELLE comruelle@irdes.fr Directeur de recherche Institut de recherche et documentation en économie den la santé
Dossier d habilitation, de renouvellement et de bilan Diplôme d Université. I - Fiche d identité de la formation
Dossier d habilitation, de renouvellement et de bilan Diplôme d Université Intitulé : Domaine : Niveau du diplôme : Niveau requis : Durée de la formation : Formation diplômante : Année d ouverture : Année
Prise en charge du patient handicapé en service de soins à domicile
Prise en charge du patient handicapé en service de soins à domicile Melle Hafhouf Hindi SSIAD APF Plan Association des paralysés de France (APF) Service de soins infirmiers à domicile de l association
HAD/SAMU QUELLE INTERFACE POUR LA PRISE EN CHARGE DES PATIENTS EN SOINS PALLIATIFS? Dr Cathy GERLES AURILLAC. Congrès CHADA 20/11/2014
HAD/SAMU QUELLE INTERFACE POUR LA PRISE EN CHARGE DES PATIENTS EN SOINS PALLIATIFS? Dr Cathy GERLES AURILLAC Congrès CHADA 20/11/2014 HAD Aurillac 1 RETOUR d EXPERIENCE Étude d une collaboration RESAPAC
Hospitalisation à domicile et réseaux de santé en Ile-de-France
Hospitalisation à domicile et réseaux de santé en Ile-de-France Information et partage d expériences 15 octobre 2015 Annaïg DURAND référente administrative HAD Magali 15 octobre EYMERY 2015 référente Réseaux
SSR ET TERRITOIRES :
SSR ET TERRITOIRES : OPTIMISER LES PARCOURS PATIENTS Dr Lawrence BORIES Gériatre Chef du pôle d activité clinique et médical 1 Projet médical de territoire et Soins de suite et réadaptation : Témoignage
Troisième COPIL PAERPA. Mardi 16 décembre 2014 14h30 16h30
Troisième COPIL PAERPA Mardi 16 décembre 2014 14h30 16h30 Troisième COPIL PAERPA 16 décembre 2014 Ordre du jour Introduction Gilles Echardour, Délégué territorial de Paris Les actions PAERPA 1. Conventionnements
Caroline QUINTIN. URC Paris Nord - Formation DU 1
Caroline QUINTIN URC Paris Nord - Formation DU 1 INTRODUCTION Les documents et données relatifs à la recherche constituent les documents essentiels qui composent le dossier permanent de la recherche. Ces
SYNTHESE. AXE 1. Informer le patient, lui permettre d être au cœur des décisions qui le concernent
PLAN NATIONAL 2015-2018 pour le développement des soins palliatifs et l accompagnement en fin de vie SYNTHESE RAPPEL DES 4 AXES AXE 1. Informer le patient, lui permettre d être au cœur des décisions qui
Modalités d exercice en soins palliatifs
Modalités d exercice en soins palliatifs Dr Marie DELERUE DANEL Unité de soins palliatifs- Equipe mobile de soins palliatifs Hôpital Saint Vincent de Paul LILLE GHICL Diplôme universitaire de soins palliatifs
Marché des Services de Santé à Domicile en France 2014. Quelles perspectives d évolution pour 2014 et 2015?
Marché des Services de Santé à Domicile en France 2014 Nouvelles tendances et prévisions Septembre 2014 Le marché des Services de Santé à Domicile s est révélé particulièrement porteur au cours des dernières
Le SI des infirmiers libéraux : présentation de l étude prospective
Le SI des infirmiers libéraux : présentation de l étude prospective Rencontre Inter-Régionale 13 juin 2013 Bruno Grossin 1 Sommaire Objectifs et périmètre de l étude Panorama de la profession d infirmier
PRESENTATION «PARCOURS DE SANTE DE LA PERSONNE ÂGEE DANS LE VITRYAT» Jeudi 01 octobre 2015 Eric CLOZET, Jean-Philippe MAURELET ARS CA
PRESENTATION «PARCOURS DE SANTE DE LA PERSONNE ÂGEE DANS LE VITRYAT» Jeudi 01 octobre 2015 Eric CLOZET, Jean-Philippe MAURELET ARS CA Ordre du jour Rappels du contexte et de la phase diagnostic Présentation
ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION (SUITE À RAPPORT DE SUIVI) CLINIQUE NOTRE DAME DE LA MERCI
ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION (SUITE À RAPPORT DE SUIVI) 2 ÈME PROCÉDURE CLINIQUE NOTRE DAME DE LA MERCI 215 Avenue Marechal Lyautey 83700 SAINT RAPHAEL Mars 2011 PARTIE 1 PRÉSENTATION DE L ÉTABLISSEMENT
Présentation AG GCS TS Centre
Répertoire Opérationnel des Ressources Présentation AG GCS TS Centre 21 mars 2013, D. Linassier Plan Définitions Descriptions des offres de soins Modules spécialisés Organisation Les acteurs L organisation
Lien hôpital ville. - douleur chronique
Lien hôpital ville - douleur chronique 1 ere année Cette labellisation vise à distinguer des expériences exemplaires et des projets innovants traduisant l'engagement dans la promotion des droits des patients.
et à la PERSONNE en fin de vie
association pour le droit de mourir dans la dignité les DROITS RELATIFS à la PERSONNE MALADE et à la PERSONNE en fin de vie A lire attentivement et à emporter avec vous en cas d hospitalisation Les accueillants
CE QU IL FAUT SAVOIR. Janvier 2012 1
QUESTIONS-REPONSES SUR LE CAHIER DES CHARGES «EXPERIMENTATION DE NOUVEAUX MODES D ORGANISATIONS DES SOINS DESTINES A OPTIMISER LES PARCOURS DE SOINS DES PERSONNES AGEES EN RISQUE DE PERTE D AUTONOMIE»
Actualités s en EHPAD Quoi de neuf en 2011? Catherine Taillefer Groupe SYNPREFH EHPAD
Actualités s en EHPAD Quoi de neuf en 2011? Catherine Taillefer Groupe SYNPREFH EHPAD Campagne budgétaire et tarifaire 2011 LFSS 2011 et circulaire interministérielle du 29/4/2011: «des efforts demandés
N/ réf : N mercure : La ministre déléguée à la cohésion sociale et à la parité
Ministère de l emploi, de la cohésion sociale et du logement Ministère de la santé et des solidarités Ministre déléguée à la Cohésion sociale et à la Parité Direction générale de l action sociale Sous-direction
LOGICIEL POUR CENTRES DE MÉDECINE PHYSIQUE, CENTRES DE SOINS DE SUITE ET DE RÉADAPTATION. www.dai.fr
LOGICIEL POUR CENTRES DE MÉDECINE PHYSIQUE, CENTRES DE SOINS DE SUITE ET DE RÉADAPTATION www.dai.fr Découvrez Rééducation & son fonctionnement Un fonctionnement architecturé autour du dossier unique du
FICHE DE LIAISON ETABLISSEMENT D ENSEIGNEMENT SUPERIEUR/ETUDIANT
CONFIDENTIEL FICHE DE LIAISON ETABLISSEMENT D ENSEIGNEMENT SUPERIEUR/ETUDIANT La mucoviscidose est une maladie génétique invalidante, qui touche les voies respiratoires et digestives. Les contraintes qu'elle
Prescription médicamenteuse par téléphone (ou téléprescription) dans le cadre de la régulation médicale
SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS DE BONNES PRATIQUES PROFESSIONNELLES Prescription médicamenteuse par téléphone (ou téléprescription) dans le cadre de la régulation médicale Février 2009 MESSAGES CLÉS Ces
Les sorties d hospitalisation des personnes âgées
28 Les sorties d hospitalisation des personnes âgées Méthodologie 1) Enquête exploratoire (février 2006 à janvier 2007) sur le retour à domicile des personnes âgées après hospitalisation 2) Analyse - Bilan
SANTE SERVICE BAYONNE ET REGION Association Loi 1901 220 salariés essentiellement AS et IDE 500 Patients LE TRAVAIL AU DOMICILE LE TRAVAIL AU DOMICILE
Christophe HODY Responsable des Ressources Humaines et de la Qualité Santé Service Bayonne et Région http://www.santeservicebayonne.com SANTE SERVICE BAYONNE ET REGION Association Loi 1901 220 salariés
CONVENTION DE PARTENARIAT POUR LA PRISE EN CHARGE EN HOSPITALISATION A DOMICILE DE RESIDENTS EN ETABLISSEMENT D HEBERGEMENT SOCIAL
CONVENTION DE PARTENARIAT POUR LA PRISE EN CHARGE EN HOSPITALISATION A DOMICILE DE RESIDENTS EN ETABLISSEMENT D HEBERGEMENT SOCIAL Vu les articles R 6121-4-1 et D 6124-311 du code de la santé publique,
ETABLISSEMENT D HEBERGEMENT POUR PERSONNES AGEES DEPENDANTES HAIZPEAN LIVRET D ACCUEIL
ETABLISSEMENT D HEBERGEMENT POUR PERSONNES AGEES DEPENDANTES HAIZPEAN LIVRET D ACCUEIL Livret d Accueil version mars 2014. Page 1 sur 11 La maison de retraite HAIZPEAN a ouvert ses portes le 16 novembre
4 ème réunion PAERPA EHPAD
4 ème réunion PAERPA EHPAD Jeudi 16 avril 2015 14h30 17h Délégation territoriale de Paris 1 Cartographie des EHPAD PAERPA (9-10-19) En attente carte stagiaire géographe 2 Ordre du jour 1. Actions déployées
Gestion d une épidémie hivernale en EMS
Gestion d une épidémie hivernale en EMS Monnot Émeline, Weinachter Olivia IDE en hygiène de Territoire Journée régionale «Hygiène et prévention des infections en EMS» 14 novembre 2013 Généralités Hiver
CONTRAT TYPE PORTANT SUR LES CONDITIONS D'INTERVENTION DES MASSEURS-KINÉSITHÉRAPEUTES EN ÉTABLISSEMENT D'HÉBERGEMENT POUR PERSONNES ÂGÉES DÉPENDANTES
CONTRAT TYPE PORTANT SUR LES CONDITIONS D'INTERVENTION DES MASSEURS-KINÉSITHÉRAPEUTES EN ÉTABLISSEMENT D'HÉBERGEMENT POUR PERSONNES ÂGÉES DÉPENDANTES Entre : L'établissement d'hébergement pour personnes
session d information LA TARIFICATION A L ACTIVITE ET LE MEDICAMENT
LA TARIFICATION A L ACTIVITE ET LE MEDICAMENT Les modalités de la réforme 5 GRANDES MODALITES DE FINANCEMENT Financements directement liés à l activité FORFAIT PAR SEJOUR (GHS et suppléments) TARIFS PAR
«Rôle et Place des Réseaux de Soins Palliatifs dans l'offre de soins»
«Rôle et Place des Réseaux de Soins Palliatifs dans l'offre de soins» Hélène Fernandez Cadre Supérieur de Santé, Coordinatrice RESOP06 9 Forum SIH 06 EMSP Cannes Grasse Antibes 4 Mars 2010 Palais des Congrès
SERVICE DE SOINS INFIRMIERS A DOMICILE DU PAYS DE BORN
SERVICE DE SOINS INFIRMIERS A DOMICILE DU PAYS DE BORN Règlement de Fonctionnement Règlement de fonctionnement du SSIAD du PAYS DE BORN - 1 - Ce document définit les règles générales et permanentes d organisation
Dossier réalisé avec la participation de :
Dossier réalisé avec la participation de : Paul Verdiel, Président de H2AD Jean-Loup Durousset, Directeur du Centre de l Hospitalisation Privée de la Loire (CHPL) Thierry Depois, Directeur Général d Europ
Comment prévenir les réhospitalisations d un patient diabétique avec plaie du pied?
Comment prévenir les réhospitalisations d un patient diabétique avec plaie du pied? En 2010, 15 458 personnes ayant un diabète ont été hospitalisées pour plaies du pied. Dans les 12 mois suivants, 44 %
Politique et procédure no : POL-PRO-DSP-613 Date d émission : 2005-11-16
Politique et procédure no : POL-PRO-DSP-613 Date d émission : 2005-11-16 Titre : Détermination de la réanimation cardio respiratoire et des niveaux d intensité thérapeutique Date de révision : 2015-11-05
Accompagnement des personnes âgées à domicile:
Accompagnement des personnes âgées à domicile: Réseaux de santé gérontologiques et centres locaux d information et de coordination gérontologiques, deux acteurs complémentaires et incontournables IFSI
EHPAD CONTRAT DE SEJOUR CHAMPAGNE EN VALROMEY 01260
EHPAD (EtablissEmEnt d hébergement de personnes âgées dépendantes) CHAMPAGNE EN VALROMEY 01260 CONTRAT DE SEJOUR Tel : 04 79 87 61 41 Fax : 04 79 87 50 41 e-mail : mdrcostaz@wanadoo.fr site internet :
L hôpital de demain sera-t-il à domicile?
www.irdes.fr La place et les perspectives du modèle d hospitalisation à domicile (HAD) «à la française» dans le système de santé Dr Laure COM-RUELLE comruelle@irdes.fr Directeur de recherche Institut de
Service de LIVRET D ACCUEIL SOINS À DOMICILE. du Bassin d Arcachon Sud. www.agglo-cobas.fr
LIVRET D ACCUEIL Service de SOINS À DOMICILE du Bassin d Arcachon Sud EDITO L association «Service de Soins à Domicile du Bassin d Arcachon Sud» s est fixé pour objectif de veiller à contribuer au maintien
La programmation de l intervention a été réalisée
Chirurgie ambulatoire - Grille de contrôle interne Mars 2015 tapes Item léments à investiguer Critères tape préopératoire 1 2 3 4 5 6 7 8 Les informations médicales issues de la consultation chirurgicale
Le médecin traitant. Le partenaire privilégié de votre santé
Le Le partenaire privilégié de votre santé Édition 2012 LE MÉDECIN TRAITANT LE PARTENAIRE PRIVILÉGIÉ DE VOTRE SANTÉ Tous les assurés ou bénéficiaires d une couverture maladie de 16 ans et plus sont invités
Lits identifiés ou l identité des Soins Palliatifs à La Marteraye : une approche originale des LISP en SSR
Lits identifiés ou l identité des Soins Palliatifs à La Marteraye : une approche originale des LISP en SSR Journée Mondiale des Soins Palliatifs 9 octobre 2013 Dr Aurélie Laurent-Baraldi La Marteraye Centre
Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile
1 sur 7 14/04/2009 08:56 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile SP 3 31 17 NOR
IDE Unité de Psychiatrie Générale
IDE Unité de Psychiatrie Générale CONTEXTE : Centre Hospitalier de Dax Côte d Argent Directeur d établissement : Mr CAZENAVE Direction fonctionnelle : Mme FRECON Site : Yves du MANOIR Pôle d activité :
D.I.U. de Soins Palliatifs et d Accompagnement 3 ème cycle. Règlement
2 rue du Dr Marcland 87025 Limoges cedex Tél. 05 55 43 58 00 Fax 05 55 43 58 01 www.unilim.fr D.I.U. de Soins Palliatifs et d Accompagnement 3 ème cycle Règlement ARTICLE 1 : CREATION Il est créé, par
Le meilleur chemin pour nous contacter?
Le meilleur chemin pour nous contacter? Vous avez des questions sur les soins à domicile? Vous avez besoin de services ou de soins particuliers? N hésitez pas à nous contacter pour trouver ensemble la
1. L HAD : UN MODE D HOSPITALISATION À PART ENTIÈRE
1. L HAD : UN MODE D HOSPITALISATION À PART ENTIÈRE Le code de la santé publique (CSP) considère les structures d HAD comme des alternatives à l hospitalisation. L article R. 6121-4 du CSP définit que
Enjeux et spécificités de la prise en charge en HAD
CERTIFICATION DES ÉTABLISSEMENTS DE SANTÉ Enjeux et spécificités de la prise en charge en HAD Juin 2012 1/ 30 Haute Autorité de Santé Service documentation information des publics 2 avenue du Stade de
Le circuit du médicament en EHPAD : Quelles actions pour le sécuriser?
Le circuit du médicament en EHPAD : Quelles actions pour le sécuriser? 4 e journée coordination et management en EHPAD 26 mars 2015 - Nantes 1 Elise Rochais Pharmacien OMEDIT Pays de la Loire L OMEDIT
HAD ANTENNE DE BOURBON - LANCY HOSPITALISATION A DO MICILE. Contact permanent avec l équipe de soins
L hospitalisation à domicile permet : Un retour plus rapide au foyer en continuant le traitement commencé à l hôpital D éviter une entrée à l hôpital et de commencer un traitement chez soi ANTENNE DE BOURBON
RECRUTE POLE READAPTATION & GERIATRIE
RECRUTE 1 ERGOTHERAPEUTE POUR SON UNITE DE SSR A ORIENTATION NEUROLOGIE (FILIERE UNV) POLE READAPTATION & GERIATRIE Pièce jointe : Fiche de Poste Renseignements à : Monsieur Gilles FOURNIER Cadre de Supérieur
Pistes de réflexion pour une valorisation «hors T2A» de l activité transversale en infectiologie
Pistes de réflexion pour une valorisation «hors T2A» de l activité transversale en infectiologie Arnaud Pouillart Centre hospitalier Louis Pasteur de Dole 1 Champ de l étude Activités transversales : Expertise,
HOSPITALISATION A DOMICILE (HAD) CAHIER DES CHARGES
HOSPITALISATION A DOMICILE (HAD) CAHIER DES CHARGES Juin 2015 SOMMAIRE 1. CONTEXTE ET ENJEUX... 2 2. DEVELOPPEMENT DE L HAD EN ILE-DE-FRANCE... 2 3. DEFINITION DE L HAD... 2 4. MISSIONS DE L HAD... 3 5.
Service Hospitalo-universitaire Psymobile et Centre de Prévention du Suicide
Service Hospitalo-universitaire Psymobile et Centre de Prévention du Suicide Dr Michèle Pacaut-Troncin Centre hospitalier Le Vinatier Pôle ouest Psymobile et centre de prévention du suicide michele.pacaut-troncin@ch-le-vinatier.fr
Equipe Spécialisée Alzheimer Règlement de Fonctionnement
Equipe Spécialisée Alzheimer Règlement de Fonctionnement 13/14 Sommaire 1. Dispositions générales... 4 1.1. Présentation de l Equipe Spécialisée Alzheimer (ESA)... 4 1.2. Missions de l ESA... 4 1.3. Financement...
Maison du développement Kérantour 22 740 Pleudaniel 02 96 55 50 15
Maison du développement Kérantour 22 740 Pleudaniel 02 96 55 50 15 Le Comité d entraide de la Presqu île est une association créée en 1977 qui permet aux personnes âgées, handicapées ou malades de continuer
2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé
Atelier n 11 Monter un parcours de soins sur une approche territoriale ciblée 2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé Françoise ELLIEN,
DEFINITION DE FONCTION : MASSEUR - KINESITHERAPEUTE
RESIDENCE HOSPITALIERE DE LA WEISS Définition validée par : Date et Signature : F18 DEFINITION DE FONCTION : MASSEUR - KINESITHERAPEUTE 1. IDENTIFICATION DE LA FONCTION Intitulé exact de la fonction :
PROFIL DE POSTE. Cadre de santé
Centre Hospitalier de Dreux Pôle Admissions Non Programmées (ANP) PROFIL DE POSTE Cadre de santé SMUR / CESU/ SAU/ HTCD Version n 1 Nombre de pages : 5 Diffusée le : Mars 2015 Appliquée le : Rédigée par
AVIS D APPELS A PROJETS
AVIS D APPELS A PROJETS Dans le cadre de la mise en œuvre du programme régional et interdépartemental d accompagnement des handicaps et de la perte d autonomie 010-013 et des orientations du plan Solidarité
Soins palliatifs en EHPAD
Soins palliatifs en EHPAD Dr Astrid AUBRY aaubry@ch-aix.fr Centre Hospitalier du Pays d Aix Aix en Provence le 16 mai 2006 Les soins palliatifs en EHPAD Les EHPAD : le domicile des personnes qui y résident,
LE STAGE. Présentation des différents dispositifs les plus significatifs. LIVRET D ACCUEIL
LE STAGE L alternance réserve une place privilégiée à la formation clinique des étudiants au travers du stage. Dès les prémisses de la réforme, l IFSI a réuni les différents acteurs du partenariat afin