Les religieuses hospitalières sous l Ancien Régime
|
|
- Valentin Normand
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les religieuses hospitalières sous l Ancien Régime par Bruno Bonnemain 1 Novembre 2009 A 1 l occasion des visites d apothicaireries, nous avons pu voir que la plupart d entre elles ont été initialement confiées aux religieuses de plusieurs congrégations. De tout temps en effet, religion et art de guérir furent intimement mêlés. Sous l Ancien Régime, les religieux et religieuses ne se contentèrent pas de distribuer les remèdes ordinaires aux pauvres. Ils devinrent aussi fabricants et vendeurs de remèdes et furent parmi les premiers à préparer des «spécialités». Le clergé fut donc pour les apothicaires et pharmaciens un concurrent dangereux. Cette situation va persister jusqu au XIXe siècle où on va progressivement confier la pharmacie de l hôpital aux pharmaciens diplômés, donnant lieu à plusieurs conflits et procès entre religieuses et pharmaciens. Au Moyen-Age, l activité pharmaceutique des religieux est très développée. A titre d exemple, en 1309, le couvent des Dominicains de Montpellier abrite plus de 60 moines qui enseignent la pharmacie à des prêtres de toutes nationalités. L importance des moines apothicaires était telle qu ils venaient immédiatement après le prieur et le sous-prieur dans les communautés où certains d entre eux jouissaient de prérogatives seigneuriales. Le clergé séculier s occupa lui aussi de la préparation et de la distribution des remèdes. En 1310, Jean Alande, chanoine de Chartres, est cité avec le titre d apothicaire-médecin. Dans les hôpitaux, Hôtels-Dieu ou hospices, le service pharmaceutique était le plus souvent assuré par des religieuses. A l Hôtel-Dieu de Paris où une apothicairerie est créée en 1495, deux religieuses aidées d une domestique furent chargées de ce service dès l origine. Rousselet a donné des renseignements sur l organisation de l apothicairerie et le rôle des religieuses dans ce service : «Premièrement l office de l appoticquairerie, en laquelle lesdits sieurs gouverneurs font resserer toutes le drogues qu ils acheptent pour faire les médecines, eaues, sirop, tizanes, est remplye de meubles, mortiers, pilons, fourneauls, et autres ustancilles servant à faire lesdites médecines, et pour y avoir l oeul, y ont estably une antienne religieuse, qui a avec soy une jeune religieuse que l on appelle jeune sœur, un garson qui a vingt escus de gaige par an, laquelle jeune sœur, par le commandement de ladicte antienne relligieuse, baille au garson appotiquaire les drogues pour faire les medecines que le médecin ordonne». A partir de 1560 en effet, c est un garçon apothicaire qui est chargé de préparer les médicaments. Le rôle des religieuses restera important à l Hôtel-Dieu de Paris jusqu au XVIIIe siècle comme en témoigne les médecins de l hôpital qui se plaignent des religieuses en 1756 car elles préviennent les malades «contre les remèdes» et «contre le régime prescrit par les médecins». Cependant, le rôle des 1 Secrétaire de la Société d Histoire de la Pharmacie Documents de référence 1/5
2 religieuses devient progressivement tout à fait restreint en matière de pharmacie et se réduit au rôle de surveillante à la fin du XVIIIe siècle. Parmi les religieuses qui ont marqué l Hôtel-Dieu à Paris, il faut citer Sœur Sainte-Thècle (ou Mère Thècle), qui exerçait à la fin du XVIIe siècle, à laquelle on doit un fameux onguent de la Mère, trouvé merveilleux «maturatif et suppuratif» par les maîtres chirurgiens de l hôpital. Cet exemple de l Hôtel-Dieu de Paris se retrouve dans de nombreux hôpitaux. Aux XVIIe et XVIIIe siècles, le personnel soignant est le plus souvent un personnel religieux. Dans les établissements de taille modeste surtout, il existe des hospitaliers ou des hospitalières qui assurent seuls ou aidés de domestique le service des malades. «Le XVIIe siècle est marqué par la création et la diffusion d ordres hospitaliers, surtout féminins. Il y a même un foisonnement de ces ordres. Il arrive d abord que quelques filles dévotes prennent en charge le service d un hôpital. Même si on les nomme «sœurs», «servantes des pauvres» elles demeurent des laïques. Plusieurs hôpitaux, comme ceux de Thiers et de Clermont fonctionnent avec le seul dévouement de veuves et de filles charitables 2». Certaines congrégations de laïques furent appelées à un rayonnement assez vaste. C est le cas des «filles hospitalières de Sainte Marthe issues de l Hôtel-Dieu de Beaune. Elles se répandent en Bourgogne, en Beaujolais, en Comté 3». En Anjou, plusieurs hôpitaux sont desservis par une autre congrégation, celle des hospitalières Saint-Joseph créées à La Flèche en Cependant, la plupart des sœurs appartiennent à des ordres religieux hospitaliers : religieuses de la Charité de Notre-Dame, de Saint-Charles de Nancy, les religieuses augustines de la Miséricorde de Jésus, Hospitalières de Saint-Augustin A Blois, on fit appel aux sœurs de Saint-Paul de Chartres, et, en 1786 aux filles de la Sagesse. «La multiplication de ces ordres s explique souvent par la difficulté d obtenir des congrégations centralisées. Elle s explique aussi par l engouement de l âge tridentin pour la formule des clercs vivant dans le siècle, mais soumis à une règle. C est Vincent de Paul qui réalisa le mieux cette idée avec les Filles de la Charité 4», comme l indiquait leur règle : «Elles ont pour monastère la maison des malades, pour cellule une chambre de louage, pour chapelet l église de la paroisse, pour cloître les rues des villes ou les salles des hôpitaux, pour clôture l obéissance, pour grille la crainte de Dieu, et pour voile la sainte modestie 5». «Elles firent d abord la visite des hôpitaux avec les dames charitables mais» furent vite «affectées dans des hôpitaux 6». De nombreuses religieuses sont ainsi installées dans les hôpitaux à la demande des recteurs ou des intendants des hôpitaux. «L entrée des religieuses dans les hôpitaux donne généralement lieu à un traité, passé devant notaire 7», comme le montre cet exemple «des hospitalières de Saint-Augustin à Riom : Elles auront «à servir, panser, médicamenter les malades et infirmes de l Hôtel-Dieu où les blessés qui ne seront pas atteints de plaies et de maladies indécentes à voir ou à traiter, et où il n y aura pas d amputation des membres». La présence des religieuses hospitalières dans les hôpitaux fait d abord de ceux-ci des lieux de rédemption pour le personnel soignant comme pour les malades. Des règlements comme celui de l hôpital de Dijon, désignent les pauvres comme «les seigneurs et maistres» des religieuses qui «doivent les servir avec une charité 2 Extrait de Histoire des hôpitaux en France / sous la direction de Jean Imbert. Toulouse : Privat, p Extrait de Histoire des hôpitaux en France / sous la direction de Jean Imbert. Toulouse : Privat, p Extrait de Histoire des hôpitaux en France / sous la direction de Jean Imbert. Toulouse : Privat, p Extrait de Histoire des hôpitaux en France / sous la direction de Jean Imbert. Toulouse : Privat, p Extrait de Histoire des hôpitaux en France / sous la direction de Jean Imbert. Toulouse : Privat, p Extrait de Histoire des hôpitaux en France / sous la direction de Jean Imbert. Toulouse : Privat, p Documents de référence 2/5
3 respectueuse, regardant Jésus-Christ en leurs personnes 8». «Cette manière de concevoir le service des malades n est pas propre aux Filles de la Charité» mais se retrouve par exemple chez «les Augustines qui assurent le service de l Hôtel-Dieu de Bourges», où «les religieuses doivent considérer les pauvres malades «comme la personne adorable de Jésus-Christ et les regarder comme ses plus vives images 9». En dépit de l infinie variété des situations, il s avère que la plupart des sœurs apothicaires, formées d une façon très empirique, finissent par acquérir une solide expérience et une véritable autonomie par rapport au corps médical. «Une jeune fille qui montre un grand intérêt et des talents particuliers pour la pharmacie est tout de suite remarquée et confiée à la Mère apothicaire. Au terme d une longue initiation, fondée principalement sur l observation ou à partir de stages intensifs offerts aux jeunes augustines de province à l Hôtel-Dieu de Paris, les nouvelles recrues sont en mesure de remplacer avantageusement leurs supérieures 10». A tel point que «les religieuses deviennent irremplaçables dans la plupart des Hotels-Dieu de province. Ainsi, celles de Loudun, Poitiers, Bourg en Bresse supplantent les apothicaires de la ville, celles de Brest confectionnent des caisses de médicaments pour l équipage des vaisseaux tandis que Sœur Honoré, à l hôpital de Meungsur-Loire, a fondé l apothicairerie qui n a jamais rien coûté car le bénéfice réalisé sur les remèdes vendus suffisait à fabriquer les autres et l excédent était employé à l amélioration de l apothicairerie 11». Les conflits avec les apothicaires sont nombreux comme le montre l exemple de Parmentier nommé apothicaire en chef des Invalides. Voulant «prendre la direction effective de la pharmacie en 1772, les Filles de la Charité protestèrent et obtinrent l appui du Conseil d Etat qui supprima le titre «usurpé» de Parmentier tout en lui accordant des compensations. La réalité fut plus nuancée car les préparations délicates étaient en fait confiées à l apothicaire des Invalides 12». Au moment de la Révolution française, on assiste à la fois à la disparition des ordres hospitaliers et à la poursuite, dans la plupart des hôpitaux, de l activité des sœurs «un dilemme commun à l Assemblée Nationale et à l Assemblée législative se pose en effet : comment supprimer les congrégations religieuses hospitalières sans arrêter du fait même la marche des établissements? La réponse est donnée par le décret du 18 août 1792 : sont éteintes «toutes les congrégations religieuses et congrégations séculières même celles uniquement vouées au service des hôpitaux et au soulagement des malades». Mais l article 2 prévoit que «néanmoins, dans les hôpitaux et maisons de charité, les mêmes personnes continueront comme ci-devant le service des pauvres et le soin des malades à titre individuel». Par ailleurs, des sanctions sont prévues contre les religieuses qui abandonneraient leur poste sans raison valable et sans l accord des municipalités 13». Les religieuses, autrefois chargées des apothicaireries, retrouvent leur poste dès le Directoire. Mais les progrès de la pharmacie vont peu à peu les marginaliser en faveur des pharmaciens diplômés, bien que le conflit entre religieuses et pharmaciens hospitaliers se poursuive encore plusieurs dizaines d années après la révolution française. 8 Extrait de Histoire des hôpitaux en France / sous la direction de Jean Imbert. Toulouse : Privat, p Extrait de Histoire des hôpitaux en France / sous la direction de Jean Imbert. Toulouse : Privat, p Marie-Claude Dinet-Lecomte. Pour une histoire des sœurs apothicaires dans la France moderne in Revue Mabillon, t. 9, p Marie-Claude Dinet-Lecomte. Les sœurs apothicaires en France aux XVIIe et XVIIIe siècles. Actes du XXXIIe Congrès International d Histoire de la Pharmacie, Marie-Claude Dinet-Lecomte. Pour une histoire des sœurs apothicaires dans la France moderne in Revue Mabillon, t. 9, p Extrait de Histoire des hôpitaux en France / sous la direction de Jean Imbert. Toulouse : Privat, p Documents de référence 3/5
4 Quelques ordres qui intéressent plus spécialement les apothicaireries Les religieuses de Saint Augustin (Augustines) Placées sous le vocable de Saint-Augustin, les Augustines suivent la règle que donna Saint Augustin à un monastère fondé par sa sœur à Hippone, se vouent à la garde des malades et au service des hôpitaux et portent une robe noire serrée par une ceinture de cuir. Les Augustines ont une histoire millénaire. Elles se dévouent pour les personnes souffrantes dans le nord de la France depuis le XIe siècle. Mais d où vient cet intérêt pour les infirmes et les malades? Saint Augustin indique dans sa règle : «... les malades doivent prendre moins pour n'être pas accablés, les convalescents doivent être traités de manière à être au plus tôt rétablis, fussent-ils sortis de la dernière indigence : comme si la maladie venait de leur causer la faiblesse laissée aux riches par leurs habitudes premières. Mais après avoir réparé leurs forces, qu'ils reviennent à leur ancien genre de vie, plus heureux et d'autant plus convenable aux serviteurs de Dieu, qu'ils y éprouvent moins de besoins.» «Héritières de celles qui desservaient les grands hôtels-dieu au Moyen Age, les augustiniennes demeurent d authentiques religieuses, soumises à l autorité épiscopale, et constituent des communautés autonomes. A la tête de chacune d entre elles, qui peuvent compter plusieurs dizaines de religieuses dans les grandes villes de province jusqu à une centaine à l Hôtel-Dieu de Paris, une supérieure (ou une prieure) doit veiller à tout et composer sans cesse avec le bureau d administration, notamment à propos du débat entre vie contemplative et vie active, des régimes alimentaires et de la vente des médicaments provenant des apothicaireries 14». L'Hôtel-Dieu de Paris était desservi par des Augustines, de même que l Hôtel-Dieu de Bourgen-Bresse. Sœurs de la Charité «Plus connues que les religieuses hospitalières les sœurs de la Charité qui se sont multipliées sous le règne de Louis XIV sur le modèle des Filles de la Charité de Vincent de Paul et de Louise de Marcillac symbolisent le grand élan caritatif en faveur principalement des petites villes et des bourgades délaissées, mais aussi pour gouverner de gros Hotels- Dieu comme celui d Angers, où l une des vingt-cinq sœurs reçut en 1682 la charge de l apothicairerie 15» Les religieuses de Sainte Marthe Bien avant les Filles de la Charité, que la ténacité et la notoriété de M. Vincent devaient vite transformer en congrégation à supérieure générale, la communauté séculière de Sainte- Marthe, installée en 1452 à l Hôtel-Dieu de Beaune par le chancelier Rolin, présentait déjà la particularité da servir les pauvres sans prononcer de vœux solennels. A la fois, lointaines 14 Marie-Claude Dinet-Lecomte. Pour une histoire des sœurs apothicaires dans la France moderne in Revue Mabillon, t. 9, p Marie-Claude Dinet-Lecomte. Pour une histoire des sœurs apothicaires dans la France moderne in Revue Mabillon, t. 9, p Documents de référence 4/5
5 héritières des béguinages du Nord et fidèles au message de Marthe qui préférait la vie active à la vie contemplative (chère à Marie), elles se sont répandues d une façon autonome dans la plupart des hôpitaux bourguignons et comtois dont plusieurs ont conservé de superbes apothicaireries. Les sœurs de Nevers Dans un petit village proche de Nevers en 1680, Jean Baptiste Delaveyne est touché par les conditions de vie inhumaines qu il découvre autour de lui. Il se fait proche des malheureux et éprouve pour eux une grande tendresse. Il propose à quelques jeunes filles de s associer pour vivre ensemble la suite du Christ dans un compagnonnage avec les démunis : «N ayez point d autres affaires que celles de la Charité, point d autres intérêts que ceux des malheureux.». Documents de référence 5/5
LE CHEMIN DE CROIX DE NOTRE DAME DE ROCHEFORT
LE CHEMIN DE CROIX DE NOTRE DAME DE ROCHEFORT Le 7 mars 1867, un acte d acquisition est passé par les pères Mariste avec la commune de Rochefort par devant M. Dutour, notaire à Rochefort, portant sur un
Plus en détailIl grandit dans des circonstances tragiques : la Révolution
Le 8 décembre NAISSANCE 116 Rue de la Pinterie A Jour de l Immaculée Conception Le 9 décembre BAPTÊME Eglise Saint Sulpice Il grandit dans des circonstances tragiques : la Révolution Un prêtre de chez
Plus en détail0:51 Au Moyen-Âge, les femmes prennent activement part aux métiers de l artisanat et du commerce. Elles ont obtenu une certaine indépendance.
00:22 La ville au Moyen-Âge est un espace de liberté. Celui qui possède le droit du citoyen, a la possibilité d accéder à la prospérité par le travail et l intelligence. Cela vaut aussi pour les femmes,
Plus en détailPierre TREMBLAY et Ozanne ACHON
Pierre TREMBLAY et Ozanne ACHON Pierre et Ozanne sont à l origine de tous les Tremblay d Amérique du Nord. Il est percheron, elle est aunisienne : ils sont le symbole de ces deux petites provinces françaises
Plus en détailLe cadre général de la loi du 21 Germinal An XI
Le cadre général de la loi du 21 Germinal An XI par Eric Fouassier 1 Mars 2003 La pharmacie sous l Ancien Régime et la Révolution Avant la Révolution, la réglementation de la profession pharmaceutique
Plus en détailprogramme connect Mars 2015 ICF-Léman
programme connect Mars 2015 ICF-Léman Déroulement des soirées 19:00-19:30 Accueil 19:30-20:00 Repas 20:00-20:05 Fin de repas / nettoyages 20:05-20:15 Annonces / infos 20:15-20:45 Programme vidéo ou étude
Plus en détailUrsulines de Québec, 1/N,3,11,1,2. Ursulines de Québec, 1/N,3,11,1,1.
a série Propriétés terriennes du Service des Archives du Monastère des Ursulines de Québec regorge de documents précieux et instructifs. Le premier article de l année établissait les fondements de la colonisation
Plus en détailCOMMENT DÉCOUVRIR SA VOCATION
Stephen Wang COMMENT DÉCOUVRIR SA VOCATION Mariage, sacerdoce, vie consacrée, diaconat permanent, célibat «Petits Traités Spirituels» Série III «Bonheur chrétien» éditions des Béatitudes Ava n t-p r o
Plus en détail22 Nous Reconnaissons la force du pardon
22 Nous Reconnaissons la force du pardon 23 Par le rite pénitentiel, les chrétiens se tournent vers Dieu pour lui demander son pardon. Dieu nous reçoit tels que nous sommes et nous pardonne pour que nous
Plus en détailVincent de Paul et Louise de Marillac ont travaillé ensemble durant 35 ans pour l amélioration
Réflexion Reflexão Riflessione Reflection Rozważanie 12 Sœur Elisabeth Charpy, fdlc Chez Vincent de Paul et Louise de Marillac Un certain art pour les décisions Vincent de Paul et Louise de Marillac ont
Plus en détailMarie-Anne Barbel ou l exemple d une femme d affaires du XVIIIe siècle Samantha ROMPILLON
Marie-Anne Barbel ou l exemple d une femme d affaires du XVIIIe siècle Samantha ROMPILLON Quand on pense aux femmes de la Nouvelle-France, on songe à Marie de l incarnation, à Marguerite Bourgeoys, aux
Plus en détailUniversité Saint-Joseph
Université Saint-Joseph Faculté de pharmacie Actuellement, le métier de pharmacien est un métier polyvalent, ouvert à plusieurs activités dans le domaine de la santé individuelle et publique. Mis à part
Plus en détailConditions Générales du Programme applicables au 21 octobre 2013
Conditions Générales du Programme applicables au 21 octobre 2013 Les présentes conditions générales s appliquent aux Cartes de Fidélité émises par le GIE FIDELYS. Si le GIE Fidelys émet des Cartes de Fidélité-Paiement-Crédit,
Plus en détailSERVICE APPARTEMENTS THÉRAPEUTIQUES. Livret d Accueil - 1 -
SERVICE APPARTEMENTS THÉRAPEUTIQUES Livret d Accueil - 1 - Sommaire Contrat de soins p 3 Contrat de séjour d occupation de l appartement Règlement intérieur d occupation de l appartement p 6 Fiche sociale
Plus en détailL Eglise dans ses dimensions religieuse, économique, sociale et intellectuelle
L Eglise dans ses dimensions religieuse, économique, sociale et intellectuelle Iconographie du template Le jugement dernier, cathédrale de Bourges Ange au sourire, cathédrale de Reims Identifie l enfer
Plus en détailSportifs et médicaments Questions et réponses
Sportifs et médicaments Questions et réponses Que puis-je faire pour éviter d'être contrôlé positif suite à la prise d'un médicament? Il y a deux façons de se procurer des médicaments : soit sur ordonnance
Plus en détailLa Neuvaine de l'assomption
La Neuvaine de l'assomption 6 au 14 août 2012-15 août fête de l'assomption Après chaque journée, terminer par une dizaine de chapelet aux intentions de Marie. Confession et communions recommandés durant
Plus en détailJe viens vous préparer à cet évènement : L illumination des consciences
Je viens vous préparer à cet évènement : L illumination des consciences Cette révélation est donnée en français à Sulema, une femme née en 1954 au Salvador. Depuis plus de 30 ans, elle vit au Canada avec
Plus en détailUN REVENU QUOI QU IL ARRIVE
UN REVENU QUOI QU IL ARRIVE Bienvenue chez P&V En vous confiant à P&V, vous choisissez un assureur qui recherche avant tout l intérêt de ses assurés. Depuis son origine, en 1907, P&V s appuie sur des valeurs
Plus en détailContrat de partenariat et domaine public
Contrat de partenariat et domaine public Le titulaire d un contrat de partenariat est souvent dans la situation d un occupant du domaine public, ce qui conduit à s interroger sur l articulation des régimes
Plus en détailCe guide est dédié à la mémoire de Zaza et à toutes les autres mères du monde
Myriam Robert-César est née en 1941. Après des études supérieures en Suisse et en Italie, elle se maria et se consacra exlusivement à sa famille. A 40 ans, elle débuta sa rapide carrière pour les Encyclopaedia
Plus en détailL épargne de tous au service de l intérêt général
L épargne de tous au service de l intérêt général 1 Pour la réussite de tous les projets Sommaire Un modèle unique et vertueux 4 Prêts au logement social et à la politique de la ville 7 Prêts au secteur
Plus en détailLES SUGGESTIONS DE CIRCUITS
AT EUR DE Le kilométrage des suggestions part du premier point de visite jusqu au lieu d hébergement du premier jour, et pour les jours suivants, du lieu d hébergement de la veille jusqu au nouveau lieu
Plus en détailCharte de protection des mineurs
«Mes enfants, soyez joyeux!» Charte de protection des mineurs Au sein de l Académie Musicale de Liesse Mise à jour août 2014 L ensemble des adultes intervenant au sein de l Académie Musicale de Liesse
Plus en détailIntentions de prière du Saint Père confiées à l Apostolat de la Prière. pour l année 2015 JANVIER FEVRIER MARS AVRIL
Intentions de prière du Saint Père confiées à l Apostolat de la Prière pour l année 2015 Universelle La promotion de la paix JANVIER Pour que ceux qui appartiennent aux différentes traditions religieuses
Plus en détailJ ai droit, tu as droit, il/elle a droit
J ai droit, tu as droit, il/elle a droit Une introduction aux droits de l enfant Toutes les personnes ont des droits. Fille ou garçon de moins de 18 ans, tu possèdes, en plus, certains droits spécifiques.
Plus en détailÉglise catholique Legs Donations Assurances-vie
Église catholique Legs Donations Assurances-vie Brochure explicative Diocèse de Nantes Service legs 7, rue Cardinal-Richard BP 52204 44322 Nantes Cedex 3. Tél : 02 40 76 22 00 Léguer pour une Église vivante
Plus en détailEdition et intégration de logiciels médicaux. Service commercial 22 rue de Chantepie 37300 JOUE LES TOURS. Tél : 02 47 67 81.81 Fax : 02 47 67 42 25
Edition et intégration de logiciels médicaux Service commercial 22 rue de Chantepie 37300 JOUE LES TOURS Tél : 02 47 67 81.81 Fax : 02 47 67 42 25 LOGICIEL AXILA Le dossier médical informatisé pour les
Plus en détailLOCAUX COMMERCIAUX - LOCATION - CESSION - VENTE - FONDS DE COMMERCE
P a r t e n a i r e d e v o t r e d é v e l o p p e m e n t «immo-locaux est une société de conseil spécialisée dans l'immobilier commercial : locaux commerciaux, location, cession, vente, fonds de commerce
Plus en détailTrès chers amis, Merci de nous aider, vous êtes toujours bien présents dans nos prières quotidiennes. Dans le Cœur de Jésus,
nous avons, depuis peu, quelque espoir. Pour cela, il nous faut impérativement faire des travaux afin que notre maison soit juridiquement accessible. Très chers amis, Nous sommes très heureuses de vous
Plus en détailEpargne immobilière Nue -propriété Immobilier neuf. Marseille Le renouveau de la cité phocéenne
Epargne immobilière Nue -propriété Immobilier neuf Marseille Le renouveau de la cité phocéenne Marseille Le Vieux-Port Les Calanques de Sormiou - Marseille L effervescence économique et culturelle d une
Plus en détailDouleur et gestion de la douleur. Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au
Douleur et gestion de la douleur Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au French - Pain Management Department of Health and Ageing Financé par le gouvernement
Plus en détailSaint-Pardoux-Le-Vieux
Saint-Pardoux-Le-Vieux Migrants hors de la Corrèze. Originaires de : Travaux de Catherine LAMONTHÉZIE BAURI Jacques Jacques BAURI, raffineur, célibataire, + à Paris (5e) (Hôpital de la Pitié) le 30.1.1873,
Plus en détailA DECIDE CE QUI SUIT : TITRE 1er DISPOSITIONS GENERALES. CHAPITRE 1er
DAHIR N 1-57-187 du 24 Joumada II 1383 (12 Novembre 1963) portant statut de la mutualité B.O N 2666 du 29 Novembre 1963 page 1842 à 1846 --------------------------- LOUANGE A DIEU SEUL! (Grand sceau de
Plus en détailSAINT-PETERSBOURG EN PETIT GROUPE MEILLEUR TARIF GARANTI 2015/2016
SAINT-PETERSBOURG EN PETIT GROUPE MEILLEUR TARIF GARANTI 2015/2016 Vous n'aimez pas les voyages en groupe? Le voyage sur mesure vous paraît trop cher? Vous n êtes pas rassurés à l idée de voyager seul?
Plus en détailPROVINCE DE QUÉBEC VILLE DE RIMOUSKI RÈGLEMENT 171-2004 L IMPOSITION D UNE TAXE D AQUEDUC ET D ÉGOUT POUR L ANNÉE 2005
PROVINCE DE QUÉBEC VILLE DE RIMOUSKI RÈGLEMENT 171-2004 RÈGLEMENT CONCERNANT L IMPOSITION D UNE TAXE D AQUEDUC ET D ÉGOUT POUR L ANNÉE 2005 CONSIDÉRANT QUE le conseil de la Ville de Rimouski a adopté ses
Plus en détailSTATUTS DE L ASSOCIATION CARITAS JURA
STATUTS DE L ASSOCIATION CARITAS JURA Remarque : Les termes désignant des personnes s appliquent indistinctement aux femmes et aux hommes. Art. 1 DENOMINATION ET SIEGE Sous la dénomination CARITAS JURA(ci-après
Plus en détailun lieu d exception pour goûter l art de vivre en bretagne
un lieu d exception pour goûter l art de vivre en bretagne le château du grand val accueille séminaires et incentives haut de gamme Le Château du Grand Val, dont les origines remontent au XVème siècle,
Plus en détailArrêtent : Article 2 : La sélection des candidats s effectue selon les critères ci-après :
Arrêtent : Article 1 er : En application des dispositions des articles 17, 23 et 29 du décret exécutif n 10-77 du 4 Rabie El Aouel 1431 correspondant au 18 février 2010, susvisé, le présent arrêté a pour
Plus en détailDIRECTIVES. 2. Vous devez joindre au présent formulaire les documents originaux ou des copies certifiées conformes à l original suivants :
DEMANDE DE RECONNAISSANCE D UN DIPLÔME OU D UNE FORMATION EN VUE DE L EXERCICE DE LA PHARMACIE AU QUÉBEC DIRECTIVES 1. Veuillez écrire en lettres moulées de façon lisible. Le présent document doit être
Plus en détailRapport d évaluation du master
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Etudes internationales de l Université Paris-Sud Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section des Formations et des diplômes
Plus en détailL ÉGLISE AU MOYEN ÂGE
L ÉGLISE AU MOYEN ÂGE Compétence Comprendre l importance de l Église dans la vie des hommes au Moyen Âge. Quelle impression te donne l église dans cette photographie, par rapport aux autres constructions?
Plus en détailCHAPITRE 2. Population, ménages et familles
CHAPITRE 2 Population, ménages et familles Les faits saillants Enquête sur les conditions de vie en Haïti Distribution spatiale, structure par âge et par sexe de la population Le taux d urbanisation de
Plus en détailI. PRINCIPALES MISSIONS DES SERVICES DU TRÉSOR TRÉSORERIE GÉNÉRALE DE LA RÉGION BOURGOGNE. Trésorier-Payeur Général : Mme Jacqueline ESCARD
TRÉSORERIE GÉNÉRALE DE LA RÉGION BOURGOGNE Trésorier-Payeur Général : Mme Jacqueline ESCARD Adresse : 1 bis place de la Banque 21042 DIJON CEDEX Tél : 03 80 59 26 00 Fax : 03 80 50 14 75 Mail : tg21.contact@cp.finances.gouv.fr
Plus en détailConseil d Etat, 23 septembre 2013, n 350909
PETITES NOTES DE JURISPRUDENCE DECEMBRE 2013 Statuts des personnels Aftab ZAFAR Stagiaire Centre de droit JuriSanté Centre de droit JuriSanté - CNEH Conseil d Etat, 23 septembre 2013, n 350909 Service
Plus en détailL univers vivant De la cellule à l être humain
L univers vivant De la cellule à l être humain La cellule humaine Voir : http://www.biologieenflash.net/sommaire.html Voir : http://fr.wikipedia.org/ La cellule humaine Unité de base de tous les êtres
Plus en détailLe futur musée dédié à la santé
Le futur musée dédié à la santé 1 I l s e r a u n e f o i s à L y o n...un lieu inédit et unique, implanté sur un site exceptionnel en bordure du Rhône. La reconversion de l Hôtel-Dieu, magnifique ensemble
Plus en détailPlanification financière
Planification financière Introduction La planification financière couvre un large éventail de sujets et dans le meilleur des cas, elle les regroupe d une manière ordonnée et intégrée. Toutefois, vu qu
Plus en détailLe CPAS (Centre Public d Action Sociale), qu est-ce que c est?
Le CPAS (Centre Public d Action Sociale), qu est-ce que c est? Version n : 1 Dernière actualisation : 13-10-2006 1) A quoi sert cette fiche? 2) Qu est-ce qu un CPAS (Centre Public d Action Sociale)? 3)
Plus en détailSOLUTIONS CRÉDIT VOS CLIENTS VONT ADORER!
SOLUTIONS CRÉDIT VOS CLIENTS VONT ADORER! Franfinance votre accélérateur de ventes 30 AGENCES Pour être toujours à vos côtés Le réseau national Franfinance vous assure un véritable service de proximité.
Plus en détailEglise paroissiale Saint-Martin
Eglise paroissiale Saint-Martin place de la Mairie Armbouts-Cappel Dossier IA59002570 réalisé en 2005 Copyrights Copyrights Auteurs (c) Région Nord - Pas de Calais - Inventaire général Frémaux Céline Rédacteur
Plus en détail4. Comment la maladie est-elle transmise à l homme? 2. Les composantes des soins de santé primaires : 1. Qu est-ce que l Initiative de Bamako (IB)?
GENERALITES SUR : SANTE et MALADIE SOINS de SANTE PRIMAIRES (SSP) INITIATIVE de BAMAKO (IB) Objectifs généraux Au terme de ce module de formation, les participants devraient être capables de: Comprendre
Plus en détailobservatoire des emplois d avenir
observatoire des emplois d avenir 4 ème vague Emplois d avenir et zones urbaines sensibles (ZUS) L Association des Maires de Grandes Villes de France a activement participé à la montée en puissance des
Plus en détailObjet de la société de formation Le galion. La Société de formation «LE GALION» Capital social : 9 448 000
Objet de la société de formation Le galion La Société de formation «LE GALION» Capital social : 9 448 000 Siège Social : 1 Rue Georges BESSE 69740 GENAS N d Immatriculation : RCS de Lyon 424 152 031 N
Plus en détailDiplôme d expertise comptable (DEC)
Futurexpert.com Février 2015 Le Master Comptabilité Contrôle Audit (CCA) Une filière universitaire d excellence pour accéder aux métiers de l expertise comptable, du conseil, de l audit, de la gestion
Plus en détailVAGUE E. 5 ans (renouvelé par arrêté du 15 Nantes Audencia Nantes (Ecole de management) AUDENCIA septembre 2008) VAGUE F
2. Liste des diplômes des établissements d'enseignement supérieur technique privés et consulaires visés par le ministre chargé de l Enseignement supérieur et conférant à leurs titulaires le grade de master
Plus en détailEn alsace, nous sommes fiers de :
En alsace, nous sommes fiers de : Réseau VESTA, le benchmark entre communes Né en 2003, le Réseau Vesta des villes alsaciennes engagées dans le Développement Durable est co-animé par EDF Commerce Est et
Plus en détailSTATUTS DE L ASSOCIATION DE L ESPACE DE VIE ENFANTINE LES MOUSSAILLONS
STATUTS DE L ASSOCIATION DE L ESPACE DE VIE ENFANTINE LES MOUSSAILLONS Chapitre 1 : DISPOSITIONS GENERALES Article I. CONSTITUTION Sous la dénomination Les Moussaillons, il est constitué, conformément
Plus en détailDOCUMENT L HISTOIRE DE L ÉDUCATION EN FRANCE
209 DOCUMENT L HISTOIRE DE L ÉDUCATION EN FRANCE Pierre Caspard Service d Histoire de l Éducation, France. En février 2013, Antoine Prost a reçu des mains du ministre de l Éducation nationale français,
Plus en détailS organiser autrement
S organiser autrement Dominique Tibéri enseignant en cycle 3 et formateur à l IUFM Nancy (54) propose ici une alternative à la préparation de classe telle qu elle est demandée par l Institution. Préparer
Plus en détailLes Éditions du patrimoine présentent La tenture de l Apocalypse d Angers Collection «Sensitinéraires»
é Les Éditions du patrimoine présentent La tenture de l Apocalypse d Angers Collection «Sensitinéraires» >Un ouvrage conçu en collaboration avec l IRAG (Institut pour la recherche d applications gravées),
Plus en détail«Si quelqu un veut venir après moi qu il renonce à lui-même, qu il se charge chaque jour de sa croix et qu il me suive» Luc 9 : 23.
«Si quelqu un veut venir après moi qu il renonce à lui-même, qu il se charge chaque jour de sa croix et qu il me suive» Luc 9 : 23. Pour faire suite au récit des disciples sur le chemin d Emmaüs et pour
Plus en détailJE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE!
rétablissement et psychose / Fiche 1 JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE! JJérôme s énerve : «Je ne suis pas psychotique! Vous ne dites que des conneries! Je suis moi, Jérôme, et je ne vois pas le monde comme vous,
Plus en détailMasters Banque. des Professionnels. Master : Economie et Finance Internationales. Master : Activités bancaires. entreprises
Masters Banque Faculté d économie appliquée 3, avenue Robert Schuman 13628 AIX-EN-PROVENCE Cedex 1 M2 : Analyse Bancaire et Marchés des Professionnels http://www.fea-upcam.fr/categorie_2-13_ Masters.html
Plus en détailVisita ad limina Apostolorum dei Presuli della Conferenza Episcopale del Benin
N. 0311 Lunedì 27.04.2015 Visita ad limina Apostolorum dei Presuli della Conferenza Episcopale del Benin Il Santo Padre Francesco ha ricevuto questa mattina in Udienza i Vescovi della Conferenza Episcopale
Plus en détail1803 à 1929 REPERTOIRE NUMERIQUE DETAILLE DE LA SOUS-SERIE 5M. établi par Claude BRICHON Adjoint technique principal
ARCHIVES MUNICIPALES DE BOURG-EN-BRESSE Edifices divers 1803 à 1929 REPERTOIRE NUMERIQUE DETAILLE DE LA SOUS-SERIE 5M établi par Claude BRICHON Adjoint technique principal et Elisabeth ROUX Attachée de
Plus en détailBAROMÈTRE EUROPÉEN DU RAPPORT AUX PAIEMENTS
BAROMÈTRE EUROPÉEN DU RAPPORT AUX PAIEMENTS @ 02/03 BERNARD NOËL Directeur général de Crédit Agricole Cards & Payments Toute période de mutations conjugue des avancées décisives avec des facteurs d incertitude.
Plus en détailRapport d évaluation du master
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Philosophie, psychanalyse de l Université Paul-Valéry Montpellier 3 Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section des Formations
Plus en détailSommaire Préface...XV Introduction générale... XVII Introduction à la 2e édition... XXI Définir le tableau de bord...1
Sommaire Préface...XV Introduction générale... XVII Introduction à la 2 e édition... XXI 1 Définir le tableau de bord...1 1 Quelle définition peut-on donner au vocable tableau de bord?...3 2 Quelle est
Plus en détailAssurance-maladie complémentaire (LCA)
CC (Conditions complémentaires) Visana Assurances SA Valable dès 2014 Assurance-maladie complémentaire (LCA) Traitements ambulatoires Sommaire Page 3 3 4 6 Assurance complémentaire des frais de guérison
Plus en détailmédicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.
DEPUIS PLUSIEURS ANNÉES, la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) interroge ses membres sur plusieurs aspects touchant leur pratique professionnelle à l aide de sondages, de groupes de
Plus en détail«La société mutuelle agricole de caluire et cuire : témoignage sur trente années de pratiques»
«La société mutuelle agricole de caluire et cuire : témoignage sur trente années de pratiques» Xavier Junique, Patricia Toucas et Richard Ribière Revue internationale de l'économie sociale : Recma, n 301,
Plus en détailEnquête sur les perspectives des entreprises
Enquête sur les perspectives des entreprises Résultats de l enquête de l été 15 Vol. 12.2 6 juillet 15 L enquête menée cet été laisse entrevoir des perspectives divergentes selon les régions. En effet,
Plus en détailPROTOCOLE RELATIF À L ARRANGEMENT DE MADRID CONCERNANT L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL DES MARQUES
PROTOCOLE RELATIF À L ARRANGEMENT DE MADRID CONCERNANT L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL DES MARQUES adopté à Madrid le 27 juin 1989, modifié le 3 octobre 2006 et le 12 novembre 2007 Liste des articles du
Plus en détailPLAN DE LEÇON TITRE : Qu est-ce que le crédit? Résultats d apprentissage de la littératie financière. Attentes et contenus d apprentissage
70 minutes Résultats d apprentissage de la littératie financière À la fin de la leçon, les élèves pourront : expliquer l objectif du crédit; analyser le rôle et l importance du crédit en ce qui concerne
Plus en détailParoisses réformées de la Prévôté - Tramelan. Album de baptême
Paroisses réformées de la Prévôté - Tramelan Album de baptême L'album de mon baptême Cet album est celui de:... Né(e) le:... à:... 1 Quoi de neuf? Il est tout petit, mais... il a déjà sa personnalité,
Plus en détailHôtel du Petit Moulin
Hôtel du Petit Moulin Au cœur de Paris Dossier de Presse 29/31 rue du Poitou 75003 Paris Tél : 33(0)1 42 74 10 10 Fax : 33(0)1 42 74 10 97 Contact Presse : karol.lor@pdlr.fr www.paris-hotel-petitmoulin.com
Plus en détailDes mérovingiens aux carolingiens. Clovis, roi des Francs La dynastie carolingienne La fin de l'empire carolingien
Des mérovingiens aux carolingiens Clovis, roi des Francs La dynastie carolingienne La fin de l'empire carolingien 1 Introduction L Empire Carolingien a marqué l histoire de la France. Succédant aux Francs,
Plus en détailLes trois brigands partie1. Les trois brigands partie1
Les trois brigands partie1 Il était une fois trois vilains brigands, avec de grands manteaux noirs et de hauts chapeaux noirs. Le premier avait un tromblon, le deuxième un soufflet qui lançait du poivre,
Plus en détailles raisons du succès
Cuisines Raison : les raisons du succès Il avait donc raison d y croire! Quand Claude Raison a lancé l idée de fédérer, autour d une franchise, des dizaines de cuisinistes sans magasin dans toute la France,
Plus en détailGuides de Tangerine sur les finances personnelles. Prise de possession. Points à considérer lors de l achat d une première propriété
Guides de Tangerine sur les finances personnelles Prise de possession Points à considérer lors de l achat d une première propriété «Les acheteurs sont souvent surpris d apprendre que les maisons neuves
Plus en détailMutuelle d Entreprises Schneider Electric
SIREN n 390 820 058, Mutuelle soumise aux dispositions du livre II du Code de la Mutualité Mutuelle d Entreprises Schneider Electric (MESE) REGLEMENT INTERIEUR APPROUVE PAR L ASSEMBLEE GENERALE MESE du
Plus en détailQ&A Novembre 2012. A. Le marché de la location meublée. B. Le marché de la location touristique. C. La location meublée, un marché lucratif?
Q&A Novembre 2012 A. Le marché de la location meublée. B. Le marché de la location touristique. C. La location meublée, un marché lucratif? D. La location meublée est elle légale? A. Le marché de la location
Plus en détailPartager? En parler avec les enfants de 6-11 ans
Ecole du dimanche Partager? En parler avec les enfants de 6-11 ans Jeunes Ateliers-débat Réflexions bibliques Culte Témoignages Actions pour tous L objectif de cette séance est de montrer aux enfants que
Plus en détailQu est-ce que le crédit?
Qu est-ce que le crédit? NIVEAU 9 11 Dans cette leçon, les élèves examineront les différents types de cartes de crédit offertes ainsi que les avantages et les inconvénients d acheter à crédit. Cours Initiation
Plus en détailProjet de Loi no 98 Loi modifiant la Loi sur l assurance médicament et d autres dispositions législatives
Projet de Loi no 98 Loi modifiant la Loi sur l assurance médicament et d autres dispositions législatives Présentation à la Commission des affaires sociales Ordre des pharmaciens du Québec 28 mai 2002
Plus en détailChapitre 2 : Urgences préhospitalières un peu d histoire. Professeur Vincent Danel
UE7 - Santé Société Humanité Chapitre 2 : Urgences préhospitalières un peu d histoire Professeur Vincent Danel Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailQUATRIÈME OBJECTIF: VOUS AVEZ ÉTÉ CONÇU POUR SERVIR DIEU
QUATRIÈME OBJECTIF: VOUS AVEZ ÉTÉ CONÇU POUR SERVIR DIEU VERSET CLÉ Nous sommes simplement des serviteurs de Dieu... Chacun de nous accomplit le devoir que le Seigneur lui a confié: j ai mis la plante
Plus en détailOLIVIER BOBINEAU : L APPROCHE SOCIOLOGIQUE DES RELIGIONS
OLIVIERBOBINEAU:L APPROCHESOCIOLOGIQUEDESRELIGIONS Nousestimerionsquenosrecherchesneméritentpasune heuredepeinesiellesnedevaientavoirqu unintérêt spéculatif Durkheim,LaDivisionduTravailSocial,Introduction(1895).
Plus en détailProjet pilote du programme de soutien de PAH au système pharmaceutique malgache Février-Juillet 2012
Projet pilote du programme de soutien de PAH au système pharmaceutique malgache Février-Juillet 2012 Notre mission à Madagascar s inscrit dans le cadre du projet pilote du programme de soutien de l association
Plus en détailQUI PEUT SE LIVRER, CONTRE RÉMUNÉRATION, À UNE OPÉRATION DE COURTAGE IMMOBILIER?
QUI PEUT SE LIVRER, CONTRE RÉMUNÉRATION, À UNE OPÉRATION DE COURTAGE IMMOBILIER? Par : Paul Mayer du cabinet d avocats Fasken Martineau La Loi sur le courtage immobilier (la «Loi») confère aux courtiers
Plus en détailACCORD D ENTREPRISE RELATIF AU COMPTE EPARGNE TEMPS A LA CAISSE D EPARGNE DE BOURGOGNE FRANCHE COMTE
ACCORD D ENTREPRISE RELATIF AU COMPTE EPARGNE TEMPS A LA CAISSE D EPARGNE DE BOURGOGNE FRANCHE COMTE 1 Entre La Caisse d Epargne de Bourgogne, dont le siège social est situé 1, Rond-Point de la Nation
Plus en détailMémento. de l assurance-accidents selon la loi fédérale sur l assuranceaccidents. GENERALI Assurances Générales SA, 1260 Nyon. Table des matières
Mémento de l assurance-accidents selon la loi fédérale sur l assuranceaccidents (LAA) GENERALI Assurances Générales SA, 1260 Nyon Table des matières Base légale de l assurance Page Personnes assurées 1.
Plus en détailINFORMATIONS SUR LE DROIT DE LA FAMILLE
DIRECTION DES SERVICES ADMINISTRATIFS SERVICE POPULATION ET CITOYENNETE SECTEUR ETAT CIVIL INFORMATIONS SUR LE DROIT DE LA FAMILLE Annexe du décret n 2002 1556 du 23 décembre 2002 Ce document est destiné
Plus en détailSTATUTS TITRE I OBJET DÉNOMINATION SIÈGE DURÉE ARTICLE 1
STATUTS Edition 03 du 13 décembre 2009 _ Assemblée générale extraordinaire du 16 janvier 2010 ayant pour objet le changement des statuts et règlement intérieur. Titre de l Association : TENNIS CLUB DU
Plus en détailEmmanuel, Dieu avec nous
Emmanuel, Dieu avec nous Jésus, un homme comme nous, dans une chair de péché Texte : Matthieu 1:18-23 (Ce que croit les Ad7J, p. 103, 55) Connaissez-vous la généalogie de Jésus? Luc 3:31 - Fils de David
Plus en détailListe d hébergements proposés
Liste d hébergements proposés 1. Hôtels 2. Auberge de jeunesse à proximité 3. Autres types d hébergements à proximité 4. Autres hébergements parisiens proposés 1. Hôtels Les hôtels 2 étoiles sont d un
Plus en détailService de presse 15 20 novembre 2014
Service de presse 15 20 novembre 2014 40 ans après la ratification de la Convention européenne des droits de l homme (CEDH) Les droits fondamentaux remis en question Isabelle Bindschedler Un soutien pour
Plus en détailAGEA 2010. Préparez votre dossier assurance
AGEA 2010 Préparez votre dossier assurance Préambule Dans le cas d une création ou d une reprise d entreprise, plusieurs questions doivent être posées : Comment bien assurer mes biens professionnels? Que
Plus en détailRèglement du restaurant scolaire
DEPARTEMENT DE LOIR-ET-CHER REPUBLIQUE FRANCAISE ARRONDISSEMENT DE BLOIS COMMUNE DE SAINT GERVAIS LA FORET Règlement du restaurant scolaire Le présent règlement concerne l organisation du restaurant scolaire.
Plus en détail