Surveillance de l innocuité des vaccins au Canada : déclarations au SCSESSI, 2013 à 2016

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Surveillance de l innocuité des vaccins au Canada : déclarations au SCSESSI, 2013 à 2016"

Transcription

1 Surveillnce de l innocuité des vccins u Cnd : déclrtions u SCSESSI, 2013 à 2016 N Ahmdipour 1, K Wtkins 1 *, M Fréchette 1, C Coulby 1, H Anyoti 1, K Johnson 1 Résumé Contexte : Le Cnd dispose d un des systèmes de surveillnce de l innocuité des vccins les plus performnts u monde. Ce système comporte un volet de surveillnce pssive de tous les vccins dministrés et un volet de surveillnce ctive de tous les vccins destinés ux enfnts. Objectifs : Fournir 1) une nlyse descriptive des déclrtions d effets secondires suivnt l immunistion (ESSI) des vccins dministrés u Cnd, 2) une nlyse des effets secondires grves (ESG) et 3) une liste des dix groupes de vccins ynt les tux de déclrtion les plus élevés. Méthodologie : Nous vons effectué des nlyses descriptives des déclrtions d ESSI reçues pr l Agence de l snté publique du Cnd (ASPC) jusqu u 14 oût 2017 en lien vec les vccins commercilisés u Cnd et dministrés du 1 er jnvier 2013 u 31 décembre Ces nlyses comportient les éléments de données suivnts : type de progrmme de surveillnce, ESSI, crctéristiques démogrphiques, utilistion des soins de snté, issue clinique, grvité des effets secondires et type de vccin. Affilition 1 Système cndien de surveillnce des effets secondires suivnt l immunistion (SCSESSI), Centre de l immunistion et des mldies respirtoires infectieuses, Agence de l snté publique du Cnd, Ottw (Ontrio) *Correspondnce : phc.efiessi.spc@cnd.c Résultts : Au cours de l période de qutre ns, déclrtions d ESSI ont été reçues, de prtout u Cnd. Le tux moyen nnuel de déclrtions d ESSI étit de 13,4 pour doses distribuées u Cnd des vccins dministrés de 2013 à 2016; ce tux étit inversement proportionnel à l âge. L mjorité des déclrtions (92 %) portit sur des effets non grves, soit des éruptions cutnées u point d injection et des réctions llergiques. Dns l ensemble, il y eu 892 déclrtions d ESG, soit un tux de déclrtions de 1,1 pour doses distribuées de 2013 à Prmi les déclrtions d ESG, les principux ESSI les plus cournts étient l nphylxie suivie des convulsions. Les vccins conjugués contre le méningocoque du groupe C (dministrés de fçon concomitnte) étient ssociés u tux d ESSI le plus élevé, soit 91,6 pour doses distribuées. On n observé ucun problème inttendu d innocuité des vccins ni ucune ugmenttion de l fréquence ou de l grvité des effets secondires ttendus. Conclusion : De 2013 à 2016, l surveillnce continue de l innocuité des vccins commercilisés u Cnd n mis en évidence ucune ugmenttion de l fréquence ou de l grvité des ESSI, ni ucun ESSI ntérieurement inconnu, ni ucun secteur où des études ou des enquêtes plus pprofondies s vérient nécessires. Les vccins commercilisés u Cnd continuent d voir un excellent profil d innocuité. Cittion proposée : Ahmdipour N, Wtkins K, Fréchette M, Coulby C, Anyoti H, Johnson K. Surveillnce de l innocuité des vccins u Cnd : déclrtions u SCSESSI, 2013 à Relevé des mldies trnsmissibles u Cnd 2018;44(9): Mots-clés : innocuité des vccins, effets secondires, immunistion, surveillnce Introduction Les vccins constituent l mesure de snté publique l plus rentble que l on connît. Mlgré cel, le Cnd présente un des plus fibles tux d immunistion prmi les pys développés. Selon une étude menée en 2013 pr l UNICEF, le Cnd occupit le 28 e rng sur les 29 pys à revenu élevé en ce qui concerne les tux d immunistion (1). L réticence à l vccintion est une des risons pouvnt expliquer ces fibles tux. Heureusement, selon l Enquête de 2015 sur l couverture vccinle ntionle des enfnts, cette réticence est à l bisse, 97 % des prents étnt d ccord vec l ffirmtion que les vccins destinés ux enfnts sont sûrs et efficces. Les préoccuptions concernnt les effets secondires éventuels étient encore courntes, mis le tux étit pssé de 74 % à 66 % en 2011 (2). RMTC le 6 septembre 2018 Volume 44-9 Pge 233

2 Le système de surveillnce des vccins du Cnd est considéré comme un des meilleurs u monde (3). Le Système cndien de surveillnce des effets secondires suivnt l immunistion (SCSESSI) est un système de snté publique fédérl-provincil-territoril (FPT) qui effectue l surveillnce post-commercilistion de l innocuité des vccins. Le SCSESSI est unique, cr il ssure l surveillnce pssive et l surveillnce ctive. Voici ses principux objectifs : 1) surveiller continuellement l innocuité des vccins commercilisés u Cnd; 2) détecter les husses de fréquence ou de grvité des réctions liées ux vccins précédemment décelées; 3) cerner les effets secondires suivnt l'immunistion précédemment inconnus de l immunistion qui pourrient être liés ux vccins; 4) déterminer les secteurs où des études ou des enquêtes plus pprofondies s vèrent nécessires; 5) fournir de l informtion opportune sur les profils de déclrtion d effets secondires imprévus suivnt l immunistion (ESSI) visnt les vccins commercilisés u Cnd pouvnt éclirer les décisions reltives à l immunistion (4). Au Cnd, les fournisseurs de soins de snté, les fbricnts et les membres du public ont chcun un rôle à jouer dns l vccinovigilnce (5). Les responsbles de l snté publique (ux niveux FPT) mintiennent une surveillnce étroite de l innocuité des vccins pr l intermédiire du Groupe de trvil sur l vccinovigilnce (GTVV) du Comité cndien sur l immunistion. Le GTVV réunit des représentnts de tous les progrmmes d immunistion à l échelle FPT, insi que des orgnismes de réglementtion de Snté Cnd et du progrmme cndien de surveillnce ctive de l immunistion (IMPACT). Les données sur les ESSI issues de l surveillnce pssive sont soumises à une nlyse continue pr le GTVV visnt à déceler les éventuels problèmes d innocuité des vccins pour relever et communiquer rpidement les enjeux émergents de sécurité et insi permettre une intervention efficce en mtière de snté publique. Le présent rpport été rédigé grâce à l contribution et u soutien des membres du GTVV. Une description plus exhustive des rôles et responsbilités de l phrmcovigilnce post-commercilistion figure dns le Guide cndien d immunistion et sur l pge Web du SCSESSI (4,5). Des renseignements sur les clendriers de vccintion des provinces et des territoires figurent sur le site Web de l Agence de l snté publique du Cnd (6). Des rpports ntionux sur les données de surveillnce de l innocuité des vccins sont publiés périodiquement (7-17). Le présent rpport pour objectif de fournir ) une nlyse descriptive des déclrtions d'essi des vccins dministrés u Cnd de 2013 à 2016, b) une nlyse des effets secondires grves (ESG) et c) une liste des dix groupes de vccins ynt les tux de déclrtion les plus élevés. Méthodologie Définitions Un ESSI est défini comme toute mnifesttion clinique indésirble qui suit l vccintion, sns qu elle it nécessirement une reltion de cuse à effet vec l dministrtion du vccin. L effet secondire peut être un signe, un symptôme ou une mldie définie (18). Un ESG est défini comme tout ESSI qui entrîne le décès, qui met l vie en dnger, qui nécessite une hospitlistion ou l prolongtion d un séjour à l hôpitl, qui cuse une invlidité ou une incpcité persistnte ou importnte, ou qui engendre une nomlie congénitle (19). On peut étblir un lien temporel, mis ps nécessirement une reltion de cuse à effet vec le vccin. Sources de données Le SCSESSI est un processus collbortif FPT qui comprend l soumission de déclrtions d ESSI découlnt de l surveillnce à l fois pssive et ctive. L surveillnce pssive débute à l échelle des services de snté publique locux et repose sur les déclrtions d ESSI pr les fournisseurs de soins de snté, les sujets vccinés ou leurs proches idnts. Les déclrtions sont envoyées ux utorités snitires provinciles ou territoriles, qui sont responsbles des mesures de snté publique à l échelle de l popultion et de l évlution des progrmmes d immunistion. L déclrtion d ESSI à l orgnisme régionl de snté publique est obligtoire dns huit provinces et territoires, et volontire dns les six utres. Les déclrtions sont ensuite trnsmises sur une bse volontire à l Agence ux fins d intégrtion u SCSESSI (20). Les utorités snitires provinciles et territoriles reçoivent églement des déclrtions des utorités fédérles qui fournissent des services de vccintion sur leur territoire de compétence (notmment l Direction générle de l snté des Premières ntions et des Inuits, le Service correctionnel du Cnd et l Gendrmerie royle du Cnd). Toutes déclrtions d ESSI reçues pr l Défense ntionle et les Forces rmées cndiennes sont signlées directement à l Agence. À de rres occsions, des déclrtions d ESSI sont trnsmises directement à l Agence pr des médecins, des phrmciens, des cliniques de voyge et des membres du public. Ces déclrtions sont sisies dns le SCSESSI, et une copie de l déclrtion et(ou) les renseignements sur le déclrnt sont envoyés ux utorités snitires de l province ou du territoire d origine. Depuis jnvier 2011, une modifiction pportée à l réglementtion concernnt l déclrtion exige que les détenteurs d une utoristion de mise sur le mrché (AM) signlent les ESSI à Snté Cnd; pr conséquent, ces détenteurs ont grduellement cessé de signler les ESSI à l Agence. Ainsi, toutes les déclrtions des détenteurs d une AM (comptnt pour 0,6 % de toutes les déclrtions d ESSI reçues pr l Agence) ont été exclues du présent rpport. Depuis 1991, l surveillnce ctive est ssurée dns le cdre du progrmme IMPACT. Le progrmme IMPACT est un réseu péditrique hospitlier finncé pr l Agence et dministré pr l Société cndienne de péditrie (21). Ce réseu compte ctuellement 12 centres péditriques à trvers le Cnd, où des infirmières, sous l supervision de médecins spécilistes des mldies péditriques et(ou) infectieuses, étudient les dmissions à l hôpitl pour relever les ESSI cibles, y compris les mnifesttions neurologiques (p. ex. convulsions et syndrome de Guillin-Brré), les cs de thrombocytopénie, d bcès ou de cellulite u point de vccintion, d invgintion intestinle (intussusception) et d utres complictions qui urient pu pprître près une vccintion et qui ont entrîné une hospitlistion (22,23). Pge 234 RMTC le 6 septembre 2018 Volume 44-9

3 Lors du processus de déclrtion, les identificteurs personnels sont supprimés des déclrtions d ESSI vnt l envoi de celles-ci (sur support ppier ou informtique) à l Agence, où les données sont sisies dns le SCSESSI (24). L étpe de l sisie comporte un contrôle de l qulité pour éviter les divergences de données insi que repérer et fire concorder les déclrtions en double. Les ESSI grves sont recensés en fonction de l définition de cs; les ESSI déclrés et les ntécédents médicux sont codés conformément à l terminologie de MedDRA (Dictionnire médicl interntionl des ctivités de réglementtion; version 17) (25). Les interventions médicles, y compris les médicments concomitnts, sont codées conformément u Système interntionl de clssifiction ntomique thérpeutique chimique. Le codge est suivi d un exmen systémtique du cs pr des professionnels de l snté dûment formés, qui déterminent l rison principle de l déclrtion. Les définitions ntionles de cs pour l clssifiction des ESSI tirées du Guide de l utilisteur du SCSESSI ont été utilisées ux fins de l nlyse médicle des cs (24). Le nombre et le tux d ESSI pr nnée, l principle rison de l déclrtion, l distribution selon l âge et le sexe, les issues cliniques, une nlyse de tous les ESG, insi qu une liste des dix groupes de vccins ynt les tux de déclrtion les plus élevés étient les éléments de données de l nlyse. Les résultts du présent rpport sont présentés selon l nnée d dministrtion des vccins (2013 à 2016). Anlyse des données Toutes les déclrtions d ESSI trnsmises u SCSESSI jusqu u 14 oût 2017 dont l dte de vccintion étit comprise entre le 1 er jnvier 2013 et le 31 décembre 2016 ont été incluses dns le présent rpport. Les données d une juridiction n ont ps été incluses dns cette nlyse en rison de problèmes techniques de trnsmission et de réception des données u SCSESSI. Comme ces données n ont ps été incluses dns le numérteur, l popultion de cette juridiction n ps été retenue dns le dénominteur lors du clcul du tux ntionl pour hbitnts. Des nlyses descriptives ont été effectuées à l ide du logiciel SAS Enterprise Guide, version 5.1 (26). Dns l mesure du possible, les tux de déclrtion ont été clculés à prtir des données sur les doses distribuées fournies pr les détenteurs d une utoristion de mise sur le mrché, en vertu d une entente conclue vec l Agence. Le nombre de doses distribuées servi de mesure substitutive pour le nombre de personnes vccinées dns le clcul des tux pour l ensemble des vccins et pour chque vccin. Les estimtions nnuelles de l popultion de Sttistique Cnd ont servi de dénominteur pour le clcul des tux lorsqu un tux ne pouvit ps être clculé à prtir des doses distribuées (27). Résultts Au totl, déclrtions d ESSI (2 750 déclrtions d ESSI en 2013, en 2014, en 2015 et en 2016) de 12 provinces et territoires ont été reçues pr le SCSESSI de 2013 à Plus de 80 millions de doses de vccins ont été distribuées, ce qui représente un tux de déclrtion de 12,1 à 14,3 pour doses distribuées (figure 1). Figure 1 : Nombre totl de déclrtions d effets secondires suivnt l immunistion et tux de déclrtion pr nnée, 2013 à 2016 Nombre de déclrtions d ESSI Système ctif Système pssif Totl Tux de déclrtions 14,3 14,0 13,2 12,1 Année Abrévition : ESSI, effets secondires suivnt l immunistion Distribution selon l âge et le sexe Les tux de déclrtion pour hbitnts, selon le groupe d âge et le sexe, sont présentés à l figure 2. L âge médin de toutes les déclrtions reçues u cours de l période de déclrtion étit de 12 ns (plge : moins d'un mois à 104 ns). L mjorité (56 %) des déclrtions d ESSI concernit des enfnts et des dolescents âgés de moins de 18 ns. Le tux de déclrtions le plus élevé est observé chez les nourrissons de moins d un n (121,8 pour hbitnts), suivis des enfnts âgés d un à deux ns (vec un tux de 121,3 pour hbitnts). Des déclrtions, 63 % concernient des sujets de sexe féminin. Une prédominnce msculine été observée chez les enfnts de moins de sept ns et une prédominnce féminine, chez les sujets de sept ns ou plus. Figure 2 : Proportion des déclrtions d effets secondires suivnt l immunistion selon le groupe d âge et le sexe, 2013 à 2016 Tux de déclrtions pour hbitnts Moins d un n Un n à moins de deux ns Deux ns à moins de sept ns Tux chez les sujets msculins Sept ns à moins de 18 ns Groupes d âge 18 ns à moins de 65 ns Tux chez les sujets féminins Cinqunte-six déclrtions n indiqunt ps l âge, 136 déclrtions n indiqunt ps le sexe et trois déclrtions indiqunt «utre» pour le sexe ont été exclues L tbleu 1 présente le nombre de déclrtions et les tux de déclrtion pour hbitnts selon le groupe d âge et l nnée de vccintion. Pour toutes les nnées, les tux de déclrtion les plus élevés ont été observés dns les groupes de sujets âgés de moins d un n et de sujets âgés d un n à moins de deux ns. Les tux fluctuent légèrement d nnée en nnée dns le groupe de sujets âgés de deux à moins de sept ns; chez les sujets âgés de sept ns ou plus, les tux étient reltivement stbles les qutre nnées ns ou plus Tux de déclrtions pour doses RMTC le 6 septembre 2018 Volume 44-9 Pge 235

4 Tbleu 1 : Nombre de déclrtions d effets secondires suivnt l immunistion et tux de déclrtion selon le groupe d âge, 2013 à 2016 Sous-popultion groupe d'âge Moins de 1 n Principle rison de l déclrtion Lors de l nlyse médicle du cs, l principle rison de l déclrtion été clssée dns une ctégorie générle d ESSI, puis dns une sous-ctégorie plus précise. Le tbleu 2 liste les ctégories générles des ESSI et leurs sous-ctégories, selon le nombre totl de déclrtions. Les principles risons les plus courntes des déclrtions étient les réctions u niveu du site de vccintion suivies des éruptions cutnées seulement, qui comptient pour 54 % de l ensemble des déclrtions trnsmises (8 % de toutes les déclrtions d ESG) de 2013 à Pge 236 Nombre de déclrtions d ESSI (tux de déclrtions pour hbitnts) (117,8) 1 n à moins de 2 ns 379 (112,6) 2 ns à moins de 7 ns 313 (18,3) 7 ns à moins de 18 ns 18 ns à moins de 65 ns 65 ns ou plus 425 (11,5) 944 (4,8) 279 (6,0) Tous les âges (9,0) 442 (131,2) 399 (117,9) 331 (19,3) 436 (11,8) (5,0) 225 (4,7) (9,2) 386 (114,0) 422 (124,7) Abrévition : ESSI, effets secondires suivnt l immunistion Cinqunte-six déclrtions n indiqunt ps l âge ont été exclues 242 (14,1) 453 (12,2) (5,1) 306 (6,2) (9,1) 425 (124,9) 444 (130,6) 213 (12,5) 458 (12,2) 802 (4,0) 270 (5,3) (8,3) Tbleu 2 : Fréquence des effets secondires et pourcentge d effets secondires grves pour chque sous-ctégorie d effets secondires suivnt l immunistion, 2013 à 2016 ESSI générl Réctions llergiques et utres mnifesttions llergiques Infection/ syndrome/ symptômes systémiques (ISS) Sous-ctégorie de l ESSI générl Nombre de déclrtions (N = ) Toutes les nnées (121,8) (121,3) (16,0) (11,9) (4,7) (5,5) (8,9) Grve (%) Anphylxie Autres mnifesttions llergiques Syndrome oculo-respirtoire Fièvre seulement Infection Syndrome grippl 82 4 Éruption cutnée ccompgnée de fièvre et(ou) d une utre ffection Syndrome indiqué dns les déclrtions d ESSI (p. ex. Kwski) Systémique (plusieurs systèmes de l orgnisme sont touchés) RMTC le 6 septembre 2018 Volume 44-9 Tbleu 2 (suite) : Fréquence des effets secondires et pourcentge d effets secondires grves pour chque sous-ctégorie d effets secondires suivnt l immunistion, 2013 à 2016 ESSI générl Mnifesttions neurologiques Éruption cutnée seulement Anxiété due à l immunistion Réctions u niveu du site de vccintion Erreur de vccintion Autres mnifesttions g Sous-ctégorie de l ESSI générl Nombre de déclrtions (N = ) Grve (%) Méningite septique Atxie/cérébellite b 9 67 Prlysie de Bell 29 0 Encéphlite/ encéphlomyélite iguë disséminée (EMAD)/myélite Syndrome de Guillin-Brré Autre prlysie durnt plus de 1 jour 7 43 Convulsions Autre mnifesttion neurologique c Générlisée Loclisée Endroit non précisé/ étendue inconnue Présyncope 31 3 Syncope 57 2 Autre mnifesttion 33 6 d nxiété d Abcès (infecté ou stérile) Cellulite Enflure importnte à un membre e Douleur u membre vcciné durnt 7 jours ou plus Autre réction locle f Erreur de vccintion 9 0 Arthrlgie 73 5 Arthrite Mnifesttion gstrointestinle Épisode hypotoniquehyporéctif Invgintion intestinle (intussusception) Anesthésie/presthésie Protidite 9 0 Pleurs persistnts 72 3 Syndrome de mort subite du nourrisson Mort subite Thrombocytopénie Autres mnifesttions h Abrévition : ESSI, effets secondires suivnt l immunistion L sous-ctégorie «Autres» comprend, sns s y limiter, l hypersensibilité et l urticire b L txie cérébelleuse est définie pr l pprition soudine d une txie tronculire et de troubles de l démrche (22). Notons que l on suppose ici une bsence de signes cérébelleux ccompgnés d utres signes d encéphlite ou d encéphlomyélite iguë disséminée (EMAD); dns ce cs, l mnifesttion serit clssée en fonction de l définition de cs de l Brighton Collbortion (23) c L sous-ctégorie «Autres» comprend, sns s y limiter, les phénomènes convulsifs et les migrines d L sous-ctégorie«autres» comprend, sns s y limiter, les étourdissements et l dyspnée e Une enflure importnte d un segment complet d un membre proximl et(ou) distl, un «segment» étnt l prtie comprise entre deux rticultions (24) f L sous-ctégorie «Autres» comprend, sns s y limiter, l douleur u site de vccintion et l enflure u site de vccintion g «Autres» : utres mnifesttions décrites dns le formulire de déclrtion du Système cndien de surveillnce des effets secondires suivnt l immunistion (SCSESSI). h L sous-ctégorie «Autres» comprend, sns s y limiter, l dénopthie et l rthrlgie

5 L figure 3 présente l réprtition des ESSI selon l principle rison et le groupe d âge indiqués dns l déclrtion, déterminés lors de l nlyse médicle du cs. Les réctions u niveu du site de vccintion étient les effets les plus cournts, suivies des éruptions cutnées et des réctions llergiques. Les réctions u niveu du site de vccintion représentient l mjorité des effets dns tous les groupes d âge, suf chez les enfnts de moins de deux ns. Chez les enfnts de moins d un n, les ESSI les plus souvent signlés étient clssés sous «utres» (ce qui comprenit les sous-ctégories telles que les troubles gstro-intestinux, les pleurs persistnts et les épisodes hypotoniques-hyporéctifs), suivis des éruptions cutnées. Chez les enfnts âgés d un n à moins de deux ns, l ESSI le plus souvent signlé étit l éruption cutnée, suivie des réctions u niveu du site de vccintion et des infections/syndromes/ symptômes systémiques (ISS). Figure 3 : Proportion des principux effets secondires suivnt l immunistion déclrés pr groupe d âge, 2013 à 2016 Pourcentge d ESSI pr rpport à l ensemble des déclrtions 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% Moins d un n (N= 1649) Site de vccintion Un n à moins de deux ns (N = 1644) Éruption cutnée Deux ns à moins de sept ns (N = 1099) Sept ns à moins de 18 ns (N = 1772) Groupe d âge 18 ns à moins de 65 ns (N = 3780) Réction llergique Mnifesttion neurologique Anxiété due à l immunistion Erreur de vccintion Autres c Abrévitions : ESSI, effets secondires suivnt l immunistion; ISS, infection/syndrome/symptômes systémiques; N, nombre Cinqunte-six déclrtions n indiqunt ps l âge sont exclues de cette figure b Les ISS sont des mnifesttions touchnt principlement plusieurs systèmes orgniques, souvent ccompgnées de fièvre. Ces mnifesttions comprennent des sous-ctégories comme des syndromes reconnus (p. ex. le syndrome de Kwski, l fibromylgie), l fièvre seule, le syndrome grippl et les mnifesttions systémiques (comme l ftigue, le mlise et l léthrgie). Elles englobent églement les signes d infection d une ou de plusieurs prties du corps c Les utres mnifesttions comprennent l rthrlgie, l rthrite, l épisode hypotonique-hyporéctif, l invgintion intestinle (intussusception), les mldies gstro-intestinles, l nesthésie ou l presthésie, l protidite, les pleurs persistnts, l thrombocytopénie, le syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN) et l mort subite L figure 4 présente les ctégories générles d ESSI et l proportion dns chque ctégorie où des effets ont été considérés comme grves. L proportion vriit de 0 à 46 %. L proportion d effets grves étit l plus élevée dns l ctégorie des mnifesttions neurologiques (46 %), suivie pr celle des ISS (19 %). Notons que les erreurs de vccintion n pprissient que dns un petit nombre de déclrtions (neuf déclrtions d ESSI) et dns ucune déclrtion d ESSI grve. Dns le cs des sujets de moins de 18 ns, 7 % (n = 407) de l ensemble des déclrtions d ESSI provenient de l surveillnce ctive. Bien que cette proportion soit petite, elle représente 56 % (n = 401) de toutes les déclrtions d ESSI grves soumises pour ce groupe d âge, ce qui illustre l contribution du système de surveillnce ctive dns le milieu hospitlier. (Note : données non présentées; les vleurs ne correspondent ps ux pourcentges cr ces derniers ont été rrondis u nombre entier le plus près.) ISSᵇ 65 ns ou plus (N = 1080) Figure 4 : Principux effets secondires suivnt l immunistion selon l grvité, 2013 à 2016 Ctégorie générle d ESSI Infection/ syndrome/ symptômes systémtiques Mnifesttion neurologique Anxiété due à l immunistion Abrévition : ESSI, effets secondires suivnt l immunistion Les erreurs de vccintion n pprissient que dns un petit nombre de déclrtions (neuf déclrtions d ESSI) et dns ucune déclrtion d ESSI grve b Les utres mnifesttions comprennent l rthrlgie, l rthrite, l épisode hypotonique-hyporéctif, l invgintion intestinle (intussusception), les mldies gstro-intestinles, l nesthésie ou l presthésie, l protidite, les pleurs persistnts, l thrombocytopénie, le syndrome de l mort subite du nourrisson et le syndrome de l mort subite Utilistion des soins de snté Le tbleu 3 présente le plus hut niveu de soins nécessire suivnt l survenue d un ESSI. L utilistion l plus souvent signlée des soins de snté étit l visite non urgente dns un étblissement de soins (37 %). L pluprt des personnes fisnt l objet d une déclrtion d ESSI (93 %) n ont ps eu besoin d être hospitlisées. Dns près de 25 % des cs, ucun soin de snté n été demndé. Résultt Site de vccintion Éruption cutnée Réction llergique Erreur de vccintion Autres b 0% 3% 46% 19% 13% 13% L issue clinique u moment de l déclrtion pour l ensemble de ESSI figure u tbleu 4. L guérison complète été signlée dns 76 % des déclrtions. Dns les cs où l guérison est incomplète u moment de l déclrtion (18 %), cette dernière est révisée lorsque l informtion est envoyée u SCSESSI. 0% 7% ,000 1,500 2,000 2,500 3,000 3,500 4,000 4,500 Nombre de déclrtions d ESSI Non grves Non grves (%) Tbleu 3 : Utilistion des soins de snté en rison d effets secondires suivnt l immunistion, 2013 à 2016 Plus hut niveu de soins recouru Hospitlistion requise (24 h ou plus) Nombre % 2% Prolongtion du séjour à l hôpitl 4 Moins de 1 Visite u service d urgence Visite non urgente Obtention de l vis d un professionnel de l snté pr téléphone Aucun Inconnu Donnée mnqunte Totl RMTC le 6 septembre 2018 Volume 44-9 Pge 237

6 Tbleu 4 : Issue clinique u moment de l déclrtion dns tous les cs, 2013 à 2016 Résultt Nombre % Guérison complète Guérison non obtenue u moment de l déclrtion Invlidité/incpcité permnente 12 Moins de 1 Décès 32 Moins de 1 Inconnu Donnée mnqunte 92 Moins de 1 Totl Déclrtion d effets secondires grves Dns l ensemble, il y eu 892 déclrtions d ESG sur les plus de 80 millions de doses de vccin distribuées u cours de l période de déclrtion. Cel représente un tux de 1,1 pour doses distribuées et 8 % de toutes les déclrtions d ESSI durnt l période de qutre ns (distribution : de 1,0 à 1,2 déclrtion pour doses distribuées). L figure 5 présente l proportion de déclrtions d ESG découlnt des hospitlistions (n = 745), des événements qui mettent l vie en dnger (n = 103), des décès (n = 32), des invlidités résiduelles (n = 11) et d utres risons (n = 1). Figure 5 : Clssifiction des déclrtions d effets secondires grves, 2013 à 2016 Non grves, 92% Grves, 8% Hospitlistion (84%) Événement qui met l vie en dnger (12%) Décès (4%) Invlidité résiduelle (1%) Autre (0.1%) Note : L rrondissement des pourcentges donne un totl légèrement supérieur à 100 % Prmi les déclrtions d ESG, les principux ESSI les plus souvent signlés étient les convulsions (20,1 %), suivies de l nphylxie (12,4 %). L mjorité des ESG été observée chez les enfnts et les dolescents de moins de 18 ns (80 %). Plus de l moitié de ces ESG touchient les enfnts de moins de deux ns; c est un résultt uquel on peut s ttendre, en rison du nombre de vccins dministrés ux enfnts de ce groupe d âge pour les protéger u moment où ils sont le plus vulnérbles ux mldies évitbles pr l vccintion. Dns l mjorité des cs d ESG (73 %), l guérison étit complète u moment de l déclrtion. Dns environ 15 % (n = 137) des déclrtions d ESG, les ptients n étient ps complètement rétblis u moment de l déclrtion. Ces déclrtions sont révisées lorsque le SCSESSI reçoit des renseignements ctulisés. Les utres issues fisnt l objet de déclrtions d ESG comprenient le décès (n = 32; 3,6 %), l invlidité/incpcité permnente (n = 10; 1,1 %), l issue inconnue (n = 60; 6,7 %) et les données mnquntes concernnt l issue (n = 2; 0,3 %). Les 32 déclrtions de décès ont été rigoureusement exminées, et on jugé que ces décès n étient ps ttribubles ux vccins dministrés. Neuf de ces décès (28 %) ont été déclrés dns le plus jeune groupe d âge (moins d un n); six étient ttribubles u syndrome de mort subite du nourrisson et trois découlient d un étt pthologique sous-jcent (soit un infrctus cérébrl, un rrêt crdique et des complictions survenues pendnt l limenttion pr sonde nso-gstrique). Sept décès ont été déclrés dns le groupe des enfnts âgés d un à moins de deux ns, dont trois ssociés à une mort subite, trois cusés pr une infection non liée u vccin dministré (infection à pneumocoques, infection à Streptococcus pneumonie/à stphylocoques, encéphlite nécrosnte) et un ttribuble à un problème préexistnt (lésion cérébrle). Deux décès ttribubles à des étts pthologiques sous-jcents (mldie congénitle et lésion cérébrle grve subie à l nissnce) ont été déclrés dns le groupe des enfnts âgés de deux à moins de sept ns et un décès cusé pr une ffection préexistnte (épilepsie), dns le groupe des sujets âgés de sept à moins de 18 ns. Les 13 utres décès concernent des dultes, soit six dns le groupe des 18 à 65 ns et sept dns le groupe des personnes âgées de 65 ns ou plus (distribution : ns); toutes ces personnes présentient un étt pthologique préexistnt. Les cuses de décès énumérées comprenient les mldies crdiovsculires (infrctus du myocrde, crdiopthie ischémique et thérosclérose), les pneumopthies (mldie pulmonire obstructive chronique, sthme), les ffections du système nerveux centrl (démence, encéphlite ssociée à H1N1, prlysie cérébrle et empyème intrcrânien), les tumeurs mlignes (cncer du poumon et du sein), l immunodépression et le dibète de type 2. Dix groupes de vccins ssociés ux plus huts tux de déclrtions d ESSI Lors d une visite de vccintion, un ou plusieurs vccins peuvent être dministrés. Pour l ensemble des déclrtions, vccins vient été dministrés, soit une moyenne de deux vccins pr déclrtion (distribution : de 1 à 6). Le tbleu 5 indique les 10 groupes de vccins ssociés ux tux de déclrtions les plus élevés et 1) le nombre et le tux de déclrtions d ESSI pour chque vccin (dministré seul ou en ssocition vec d utres vccins), 2) le nombre et l proportion de déclrtions en lien vec un vccin dministré seul et 3) le nombre et le tux de déclrtions d ESG ssociés à l dministrtion de ce vccin seul. Le vccin conjugué contre le méningocoque du groupe C étit ssocié u tux de déclrtions d ESSI le plus élevé, soit de 91,6 pour doses distribuées (n = 1 346), dont l vste mjorité étit constituée d effets non grves. Bien que le vccin conjugué contre le méningocoque du groupe C soit ssocié u tux le plus élevé, le nombre le plus élevé de déclrtions d ESSI concernit le vccin ntigrippl (n = 3 405; 7,1 pour doses distribuées; données non présentées). Pge 238 RMTC le 6 septembre 2018 Volume 44-9

7 Tbleu 5 : Liste des 10 principux groupes de vccins pour l ensemble des déclrtions d effets secondires suivnt l immunistion et nombre totl de déclrtions et d effets secondires grves en lien vec le vccin dministré seul, 2013 à 2016 Groupe de vccins Vccins conjugués contre le méningocoque du groupe C Diphtérie, ntoxine tétnique, coqueluche cellulire, ntipoliomyélitique inctivé Diphtérie, ntoxine tétnique, coqueluche cellulire, héptite B, ntipoliomyélitique inctivé, Hæmophilus influenzæ de type B Antipneumococcique conjugué Rougeole, oreillons, rubéole, vricelle Méningocoque du groupe B Vccin conjugué contre Hæmophilus b Rge Polyscchrides de pneumocoques Diphtérie, ntoxine tétnique, coqueluche cellulire, ntipoliomyélitique inctivé, Hæmophilus influenzæ de type B Nom commercil des vccins Meningitec MD Menjugte MD NeisVc-C MD Qudrcel MD Infnrix MD -IPV Tux de déclrtions pour doses distribuées Déclrtions pour un vccin dministré seul Déclrtions d ESG pour un vccin dministré seul N % N % N Tux , , , ,8 INFANRIX , ,3 hex MD Prevnr MD Synflorix MC Prevnr MD , ,2 Priorix-Tetr MD , ,6 ProQud MD Bexsero MD , ,6 ACT-HIB MD Hiberix MD suspension PedvxHib MD IMOVAX MD Rbies RbAvert MD Pneumo MD 23 Pneumovx MD 23 Pedicel MD Infnrix MD - IPV/HIB Pentcel MC Abrévitions : ESG, effet secondire grve; N, nombre Le tux de déclrtion est pr doses distribuées 39 45, , , , , , , ,0 Discussion De 2013 à 2016, le tux nnuel moyen de déclrtions d ESSI étit de 13,4 pour doses distribuées (distribution : de 12,1 à 14,3) ou de 8,9 pour hbitnts. Ce tux est inférieur à celui signlé dns le rpport nnuel de 2012 du SCSESSI, qui étit de 10,1 pour hbitnts (17) et à celui du rpport nnuel ustrlien de 2015, qui étit de 12,3 pour hbitnts (28). Selon les estimtions, les données mnquntes d une région urient compté pour déclrtions d ESSI u cours des qutre nnées; nous vons donc reclculé le tux pour hbitnts, et les tux globux étient encore inférieurs à ceux de Les différences qunt ux tux de déclrtions cndiens peuvent être ttribubles à une sous-déclrtion, à l utilistion de vccins combinés chez les enfnts, ce qui pourrit se trduire pr un nombre moins élevé de déclrtions (p. ex. les vccins contre l rougeole, l rubéole et les oreillons [RRO] et les vccins contre l vricelle ont été combinés en un vccin RROV), à des vritions dns les déclrtions de mnifesttions légères ttendues, insi qu à l exclusion des déclrtions des détenteurs d une AM de l présente nlyse. En outre, on peut s ttendre à ce que les structures de déclrtion soient différentes en Austrlie. Aucun problème d innocuité des vccins ni ucune husse de l fréquence ou de l grvité des effets secondires ttendus n ont été observés u cours de l période de déclrtion. L mjorité des déclrtions d ESSI concernit des vccins dministrés à des nourrissons et à de jeunes enfnts. De tels résultts étient prévisibles, étnt donné que ce groupe d âge reçoit de nombreux vccins lors d une seule visite et à de courts intervlles, ce qui offre ux fournisseurs de soins de snté plusieurs occsions de fire des déclrtions. Une plus grnde proportion (63 %) des déclrtions concernit des sujets féminins. Ce résultt est comprble à d utres constts, révélnt que les femmes de l popultion dulte signlent invriblement plus d effets secondires (7-17,29). Les différences observées entre les sexes en fonction de l âge peuvent ussi être en prtie expliquées pr une plus importnte couverture vccinle chez les femmes (30). Les différences propres u sexe étient significtives (p < 0,05) chez les sujets de sept ns et plus, le tux de déclrtions d ESSI observé chez les sujets féminins étnt supérieur à celui des sujets msculins. Ces différences cdrent vec celles d utres études portnt sur les différences qunt ux tux de déclrtions d ESSI propres u sexe (29,31,32). Prmi les enfnts âgés de sept ns ou moins, on comptit plus de déclrtions d ESSI chez les sujets msculins que chez les sujets féminins; cependnt, cette différence n étit ps significtive. L mjorité des effets secondires déclrés à l suite de l dministrtion d environ 80 millions de doses de vccins distribuées u Cnd étit constituée de réctions non grves et ttendues u niveu du site de vccintion, comme l douleur et l rougeur, l éruption cutnée, insi que de réctions llergiques, comme l hypersensibilité. Au cours de l période de qutre ns, 8 % des ESSI déclrés étient des effets secondires grves. Cette proportion est légèrement plus élevée que celle signlée ux Étts-Unis durnt l même période (5 %) et comprble à celle des nnées ntérieures u Cnd, mis est inférieure à celle observée en Austrlie en 2015 (15 %) (17,28,33). L mjorité des ESG touchient les enfnts et les dolescents, ce qui peut en RMTC le 6 septembre 2018 Volume 44-9 Pge 239

8 prtie s expliquer pr le progrmme IMPACT, qui représente plus de l moitié de l ensemble des déclrtions d ESSI reltives ux sujets de moins de 18 ns et qui cible des effets prticuliers chez les enfnts (20,34). Au moment de l déclrtion, l mjorité des cs d ESG étient complètement guéris. On jugé qu ucun des 32 décès déclrés u cours de l période de qutre ns n étit ttribuble ux vccins dministrés. Limites L surveillnce pssive des ESSI est sujette à certines limites, comme l sous-déclrtion, l incertitude qunt à l vlidité du dignostic d un effet signlé, le mnque de renseignements concernnt d utres cuses possibles, comme un étt pthologique sous-jcent ou des médicments concomitnts, insi que les différentes prtiques en mtière de déclrtion d une région à l utre du Cnd, qui pourrient entrîner une surdéclrtion ou une sous-déclrtion des ESSI légers dns certines provinces et certins territoires. Mlgré ces limites, l surveillnce pssive est utile pour détecter d éventuels signlements reltifs ux vccins, qui peuvent lors fire l objet d enquête et être vérifiés. L sisonnlité n ps été nlysée en tnt que vrible potentielle dns le présent rpport. L surveillnce ctive ussi des limites. Le progrmme IMPACT cible des ESSI préétblis (comme les convulsions), ce qui peut limiter l cpcité de ce progrmme de repérer de nouvelles réctions indésirbles ux vccins. En outre, le progrmme IMPACT est xé sur les cs d enfnts hospitlisés, ce qui signifie que seuls les cs les plus grves sont détectés. Enfin, le progrmme IMPACT n est ps exhustif, cr il ne couvre que 90 % des lits et des hospitlistions péditriques en soins tertiires u Cnd (23,34). Mlgré ces limites, ce progrmme peut jouer un rôle importnt dns l surveillnce de l innocuité des vccins, en repérnt de fçon ctive des ESSI grves ciblés dns l popultion péditrique. De plus, il est impossible de déterminer le nombre de doses dministrées dns l popultion; pr conséquent, on se sert soit des doses distribuées, soit des sttistiques de l popultion comme dénominteur. L utilistion des doses distribuées peut entrîner une sous-estimtion des tux, cr on ne tient ps compte des pertes. En outre, les doses distribuées u cours d une nnée peuvent ne ps être dministrées cette même nnée, ce qui réduit d utnt plus l exctitude du dénominteur des doses distribuées. Mlgré ces limites, un dénominteur fondé sur les doses distribuées servi u clcul des tux dns le présent rpport, cr un dénominteur fondé sur l popultion suppose une distribution similire des doses de vccin dns les sous-groupes de l popultion, même si ce n est peut-être ps systémtiquement le cs. Conclusion Le Cnd dispose d un système de surveillnce des vccins exhustif qui permis de relever un tux moyen de déclrtion d ESSI de 8,9 pour hbitnts. On n observé ucun problème inttendu d innocuité des vccins ni ucune ugmenttion de l fréquence ou de l grvité des effets secondires ttendus. L mjorité des ESSI déclrés étit ttendue et de nture bénigne; on n observé ucun effet secondire grve ni ucune husse du tux d effets secondires grves inttendus. Les vccins commercilisés u Cnd continuent d voir un excellent profil d innocuité. Déclrtion des uteurs N. A. Conceptulistion, méthodologie, vlidtion, rédction ébuche initile K. W. Rédction exmen et révision, supervision M. F. Conceptulistion, méthodologie, vlidtion, logiciel, nlyse officielle, rédction ébuche initile, rédction exmen et révision C. C. Logiciel, nlyse officielle, vlidtion, rédction ébuche initile, rédction exmen et révision H. A. Vlidtion, rédction exmen et révision, supervision K. J. Rédction exmen et révision Conflit d intérêts Aucun. Remerciements L production du présent rpport ne serit ps possible sns l contribution du public, des professionnels de l snté publique et des utorités snitires locles, régionles, provinciles et territoriles, qui ont trnsmis des déclrtions u SCSESSI ni sns l collbortion continue des membres du Groupe de trvil sur l vccinovigilnce. Nous tenons églement à remercier les membres de ce groupe pour leurs commentires et leur soutien tout u long de l élbortion de ce rpport. Nous remercions chque personne qui prend le temps de soumettre une déclrtion d ESSI pour s contribution à l innocuité des vccins u Cnd. Finncement Ce trvil été entièrement finncé pr l Agence de l snté publique du Cnd. Références 1. Huston P. Does Cnd need to improve its immuniztion rtes? Cn Fm Physicin 2017 Jn;63(1):e18. PubMed ( pubmed/ ?dopt=abstrct) 2. Governement du Cnd. Tux de vccintion des enfnts cndiens : fits sillnts de l Enquête sur l couverture vccinle ntionle des enfnts. ASPC : 25 vril publictions/vie-sine/2015-enquete-couverture-vccinlentionle-enfnts.html#1 3. Duclos P. L vccinovigilnce u Cnd : Est-elle ussi robuste qu'elle le pourrit? Relevé des mldies trnsmissibles u Cnd. 2014;40(Suppl 3): Pge 240 RMTC le 6 septembre 2018 Volume 44-9

9 rmtc/numero-mensuel/ /rmtc-volume-40-s-3-4- decembre-2014/rmtc-volume-40-s-3-4-decembre html 4. Agence de l snté publique du Cnd. Système cndien de surveillnce des effets secondires suivnt l'immunistion. ASPC : 9 décembre snte-publique/services/immunistion/systeme-cndiensurveillnce-effets-secondires-suivnt-immunistion.html 5. Agence de l snté publique du Cnd. Guide cndien d immunistion: Prtie 2 Innocuité des vccins. ASPC: 1 er septembre publictions/helthy-living/cndin- immuniztion-guideprt-2-vccine-sfety/pge-2-vccine-sfety.html 6. Governement du Cnd. Renseignements sur l'immunistion - provinces et territoires. Agence de l snté publique du Cnd: 19 jnvier c/fr/snte-publique/services/renseignements-immunistionprovinces-et-territoires.html 7. Koch J, Leet C, McCrthy R, Crter A, Cuff W; Disese Surveillnce Division, Bureu of Communicble Disese Epidemiology, Lbortory Centre for Disese Control. Adverse events temporlly ssocited with immunizing gents: 1987 report. CMAJ 1989 Nov;141(9): PubMed ( pubmed/ ?dopt=abstrct) 8. Duclos P, McCrthy R, Koch J, Crter A; Bureu of Communicble Disese Epidemiology, Lbortory Centre for Disese Control. Effets secondires reliés dns le temps à des gents immunisnts (nnée 1988). Rpport hebdomdire des mldies u Cnd. 1990;16(32): PubMed ( pubmed/ ?dopt=abstrct) 9. Duclos P, Koch J, Hrdy M, Crter A, McCrthy R; Bureu of Communicble Disese Epidemiology, Lbortory Centre for Disese Control. Effets secondires reliés dns le temps à des gents immunisnts (nnée 1989). Rpport hebdomdire des mldies u Cnd. 1991;17(29): PubMed ( pubmed/ ?dopt=abstrct) 10. Duclos P, Pless R, Koch J, Hrdy M. Adverse events temporlly ssocited with immunizing gents. Cn Fm Physicin 1993 Sep;39: PubMed ( nlm.nih.gov/pubmed/ ?dopt=abstrct) 11. Division de l immunistion à l enfnce. Bureu de l'épidemiologie des mldies trnsmissibles (BEMT) u Lbortoire de lutte contre l mldie. Effets secondires reliés dns le temps à des gents immunisnts (nnée 1991). RMTC. 1993;19-20: collections/collection_2016/spc-phc/hp pdf 12. Bentsi-Enchill A, Hrdy M, Koch J, Duclos P. Childhood Immuniztion Division, Bureu of Communicble Disese Epidemiology, Lbortory Centre for Disese Control. AEffets secondires reliés dns le temps à des vccins (rpport de 1992). Relevé des mldies trnsmissibles u Cnd. PubMed ( pubmed/ ?dopt=abstrct) 13. Division of immuniztion, Bureu of Infectious Diseses, Lbortory Centre for Disese Control. Rpport sur l immunistion u Cnd, Chpitre 9. Surveillnce des incidents indésirbles ssociés u moment de l dministrtion du vccin. Relevé des mldies trnsmissibles u Cnd. 1997;23(Suppl 4):S publictions.gc.c/collections/collection_2016/spc-phc/ HP S4-eng.pdf 14. Cndin Ntionl Report on Immuniztion, Peditr Child Helth. 1998;3(Suppl B):25B-28B Ntionl Report (interim) on immuniztion Vccine Sfety Issues nd Surveillnce. Peditr Child Helth. 1999;4(Suppl C):26C-9C. 16. Agence de l snté publique du Cnd. Rpport ntionl sur l immunistion u Cnd, Relevé des mldies trnsmissibles u Cnd. 2006;32(Suppl 3): publictions.gc.c/collections/collection/hp3-3-32s3e.pdf 17. Lw BJ, Lflèche J, Ahmdipour N, Anyoti H. Rpport nnuel du Système cndien de surveillnce des effets secondires suivnt l'immunistion (SCSESSI) pour les vccins dministrés en Relevé des mldies trnsmissibles u Cnd 2014;40(Suppl 3):S7- S21. rmtc-volume-40-s-3-4-decembre-2014/rmtc-volume-40-s-3-4-decembre html 18. Council for Interntionl Orgniztions of Medicl Sciences (CIOMS) nd World Helth Orgniztion. (WHO). Definition nd Appliction of Terms for Vccine Phrmcovigilnce. Report of CIOMS/WHO Working Group on Vccine Phrmcovigilnce. Genev, Switzerlnd: CIOMS nd WHO; report_wg_vccine.pdf 19. Interntionl Conference on Hrmonistion (ICH) of Technicl Requirements for Registrtion of Phrmceuticls for Humn Use. ICH Hrmonised Triprtite Guideline. Clinicl Sfety Dt Mngement: Definitions nd Stndrds for Expedited reporting E2A. Current Step 4 version. ICH: Oct 27, Products/Guidelines/Efficcy/E2A/Step4/E2A_Guideline.pdf 20. Agence de l snté publique du Cnd. Déclrtion de mnifesttions cliniques inhbituelles (mci) à l suite d'une immunistion. ASPC; Sept, content/dm/phc-spc/documents/services/immuniztion/ refi-dmcisi-fr.pdf 21. Société cndienne de péditrie. Progrmme cndien de surveillnce ctive de l immuniztion (IMPACT) Morris R, Hlperin SA, Déry P, Mills E, Lebel M, McDonld N, Gold R, Lw BJ, Jdvji T, Scheifele D, Mrchessult V, Duclos P. IMPACT monitoring network: A better mousetrp. Cn J Infect Dis 1993 Jul;4(4): org/ /1993/ PubMed ( nih.gov/pubmed/ ?dopt=abstrct) 23. Scheifele DW, Hlperin SA; CPS/Helth Cnd, Immuniztion Monitoring Progrm, Active (IMPACT). Immuniztion Monitoring Progrm, Active: model of RMTC le 6 septembre 2018 Volume 44-9 Pge 241

10 ctive surveillnce of vccine sfety. Semin Peditr Infect Dis 2003 Jul;14(3): PubMed ( pubmed/ ?dopt=abstrct) 24. Groupe de trvil sur l vccinovigilnce et l Agence de l snté publique du Cnd. Déclrtion de mnifesttions cliniques inhbituelles (MCI) à l suite d une immunistion u Cnd : Guide de l utilisteur pour remplir et soumettre les rpports de déclrtion de MCI. Août declrtion-mnifesttions-cliniques-inhbituelles-suiteimmunistion/guide-utilisteur-remplir-soumettre-rpportsdeclrtion-mci.html 25. Interntionl Conference on Hrmonistion (ICH). Support Documenttion. Medicl Dictionry for Regultory Activities SAS Enterprise Guide version 5.1. Cry, NC, USA: SAS Institute Inc., Copyright All Rights Reserved. 27. Sttistique Cnd. Estimtions de l popultion u 1er juillet, pr âge et sexe (Tble ). CANSIM (bse de données). on?pid= &request_locle=fr 28. Dy A, Wng H, Quinn H, Cook J, Mcrthy K. Annul report: surveillnce of dverse events following immunistion in Austrli, Commun Dis Intell 2017;41(3):E Content/cdi4103-l 29. Hrris T, Nir J, Fediurek J, Deeks SL. Assessment of sex-specific differences in dverse events following immuniztion reporting in Ontrio, Vccine 2017 My;35(19): vccine PubMed ( gov/pubmed/ ) 30. Agence de l snté publique du Cnd. Couverture vccinle des dultes cndiens : résultts de l'enquête ntionle sur l vccintion des dultes de 2014 (ENVA). ASPC: services/publictions/helthy-living/vccine-uptkecndin-dults-results-2014-dult-ntionl-immuniztioncoverge-survey.html 31. Zhou W, Pool V, Isknder JK, English-Bullrd R, Bll R, Wise RP, Hber P, Pless RP, Mootrey G, Ellenberg SS, Brun MM, Chen RT. Surveillnce for sfety fter immuniztion: Vccine Adverse Event Reporting System (VAERS)-- United Sttes, MMWR Surveill Summ 2003 Jn;52(1):1 24. PubMed ( pubmed/ ?dopt=abstrct) 32. Lwrence GL, Artchige PE, Boyd I, McIntyre PB, Gold MS. Annul report on surveillnce of dverse events following immunistion in Austrli, Commun Dis Intell Q Rep 2007 Sep;31(3): PubMed ( gov/pubmed/ ?dopt=abstrct) 33. Helth Service (PHS). Food nd Drug Administrtion (FDA) / Centers for Disese Control (CDC), Vccine Adverse Event Reporting System (VAERS) lst month, CDC WONDER Online Dtbse. html 34. Bettinger JA, Hlperin SA, Vudry W, Lw BJ, Scheifele DW; Le progrmme cndien de surveillnce ctive de l'immunistion (IMPACT) : Surveillnce ctive des effets secondires suivnt l'immunistion et des mldies évitbles pr l vccintion. Relevé des mldies trnsmissibles u Cnd 2014;40(Suppl 3):41-4. PubMed ( nlm.nih.gov/pubmed/ ?dopt=abstrct) Pge 242 RMTC le 6 septembre 2018 Volume 44-9

Guide des bonnes pratiques

Guide des bonnes pratiques Livret 3 MINISTÈRE DE LA RÉFORME DE L'ÉTAT, DE LA DÉCENTRALISATION ET DE LA FONCTION PUBLIQUE 3 Guide des bonnes prtiques OUTILS DE LA GRH Guide des bonnes prtiques Tble des mtières 1. Introduction p.

Plus en détail

STI2D Logique binaire SIN. L' Algèbre de BOOLE

STI2D Logique binaire SIN. L' Algèbre de BOOLE L' Algère de BOOLE L'lgère de Boole est l prtie des mthémtiques, de l logique et de l'électronique qui s'intéresse ux opértions et ux fonctions sur les vriles logiques. Le nom provient de George Boole.

Plus en détail

- Phénoméne aérospatial non identifié ( 0.V.N.I )

- Phénoméne aérospatial non identifié ( 0.V.N.I ) ENQUETE PRELIMINAIRE ANALYSE ET REFEREWCES : Phénoméne érosptil non identifié ( 0VNI ) B8E 25400 DEF/GEND/OE/DOlRENS du 28/9/1992 Nous soussigné : M D L chef J S, OPJ djoint u commndnt de l brigde en résidence

Plus en détail

Influence du milieu d étude sur l activité (suite) Inhibition et activation

Influence du milieu d étude sur l activité (suite) Inhibition et activation Influence du milieu d étude sur l ctivité (suite) Inhibition et ctivtion Influence de l tempérture Influence du ph 1 Influence de l tempérture Si on chuffe une préprtion enzymtique, l ctivité ugmente jusqu

Plus en détail

Sommaire. 6. Tableau récapitulatif... 10. Sophos NAC intégré Vs. NAC Advanced - 17 Février 2009 2

Sommaire. 6. Tableau récapitulatif... 10. Sophos NAC intégré Vs. NAC Advanced - 17 Février 2009 2 Sommire 1. A propos de Sophos... 3 2. Comprtif des solutions Sophos NAC... 4 3. Sophos NAC pour Endpoint Security nd Control 8.0... 4 3.1. Administrtion et déploiement... 4 3.2. Gestion des politiques

Plus en détail

L'algèbre de BOOLE ou algèbre logique est l'algèbre définie pour des variables ne pouvant prendre que deux états.

L'algèbre de BOOLE ou algèbre logique est l'algèbre définie pour des variables ne pouvant prendre que deux états. ciences Industrielles ystèmes comintoires Ppnicol Roert Lycée Jcques Amyot I - YTEME COMBINATOIRE A. Algère de Boole. Vriles logiques: Un signl réel est une grndeur physique en générl continue, on ssocie

Plus en détail

Statuts ASF Association Suisse Feldenkrais

Statuts ASF Association Suisse Feldenkrais Sttuts ASF Assocition Suisse Feldenkris Contenu Pge I. Nom, siège, ojectif et missions 1 Nom et siège 2 2 Ojectif 2 3 Missions 2 II. Memres 4 Modes d ffilition 3 5 Droits et oligtions des memres 3 6 Adhésion

Plus en détail

Santé et sécurité psychologiques en milieu de travail

Santé et sécurité psychologiques en milieu de travail CAN/CSA-Z1003-13/BNQ 9700-803/2013 Norme ntionle du Cnd Snté et sécurité psychologiques en milieu de trvil Prévention, promotion et lignes directrices pour une mise en œuvre pr étpes Avilble in English

Plus en détail

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mthémtiques nnée 2009-2010 Chpitre 2 Le prolème de l unicité des solutions 1 Le prolème et quelques réponses : 1.1 Un exemple Montrer que l éqution différentielle :

Plus en détail

3- Les taux d'intérêt

3- Les taux d'intérêt 3- Les tux d'intérêt Mishkin (2007), Monnie, Bnque et mrchés finnciers, Person Eduction, ch. 4 et 6 Vernimmen (2005), Finnce d'entreprise, Dlloz, ch. 20 à 22 1- Mesurer les tux d'intérêt comprer les différents

Plus en détail

Correction de l épreuve CCP 2001 PSI Maths 2 PREMIÈRE PARTIE ) (

Correction de l épreuve CCP 2001 PSI Maths 2 PREMIÈRE PARTIE ) ( Correction de l épreuve CCP PSI Mths PREMIÈRE PARTIE I- Soit t u voisinge de, t Alors ϕt t s = ϕt ρt s ρs Pr hypothèse, l fonction ϕt ϕt est lorsque t, il en est donc de même de ρt s ρt s ρs cr ρ s est

Plus en détail

Tout ce qu il faut savoir en math

Tout ce qu il faut savoir en math Tout ce qu il fut svoir en mth 1 Pourcentge Prendre un pourcentge t % d un quntité : t Clculer le pourcentge d une quntité pr rpport à une quntité b : Le coefficient multiplicteur CM pour une ugmenttion

Plus en détail

EnsEignEmEnt supérieur PRÉPAS / BTS 2015

EnsEignEmEnt supérieur PRÉPAS / BTS 2015 Enseignement supérieur PRÉPAS / BTS 2015 Stnisls pour mbition de former les étudints à l réussite d exmens et de concours des grndes écoles de mngement ou d ingénieurs. Notre objectif est d ccompgner chque

Plus en détail

NEWS PRO ACTIV. www.activexpertise.fr. [Juillet 2015] Ce mois-ci on vous parle de. L arrêté est applicable à compter du 1er Juillet 2015.

NEWS PRO ACTIV. www.activexpertise.fr. [Juillet 2015] Ce mois-ci on vous parle de. L arrêté est applicable à compter du 1er Juillet 2015. Ce mois-ci on vous prle de i Rpport de repérge minte : Trnsmission u Préfet obligtoire à compter du 1 er juillet 2015 Simplifiction des formlités : De bonnes nouvelles pour les entreprises de dignostic

Plus en détail

Turbine hydraulique Girard simplifiée pour faibles et très faibles puissances

Turbine hydraulique Girard simplifiée pour faibles et très faibles puissances Turbine hydrulique Girrd simplifiée pour fibles et très fibles puissnces Prof. Ing. Zoltàn Hosszuréty, DrSc. Professeur à l'université technique de Kosice Les sites hydruliques disposnt de fibles débits

Plus en détail

Bloc notes. a À faire tout de suite. Gardez secret votre code confidentiel. À conserver précieusement. Protégez votre carte

Bloc notes. a À faire tout de suite. Gardez secret votre code confidentiel. À conserver précieusement. Protégez votre carte Q U O T I D I E N Crte Mestro Comment voir tous les touts de votre crte bien en min Guide mémo + Notice d Assistnce Octobre 2010 Bloc notes À fire tout de suite Votre crte est strictement personnelle,

Plus en détail

LOGICIEL FONCTIONNEL EMC VNX

LOGICIEL FONCTIONNEL EMC VNX LOGICIEL FONCTIONNEL EMC VNX Améliortion des performnces des pplictions, protection des données critiques et réduction des coûts de stockge vec les logiciels complets d EMC POINTS FORTS VNX Softwre Essentils

Plus en détail

Partie 4 : La monnaie et l'inflation

Partie 4 : La monnaie et l'inflation Prtie 4 : L monnie et l'infltion Enseignnt A. Direr Licence 2, 1er semestre 2008-9 Université Pierre Mendès Frnce Cours de mcroéconomie suite 4.1 Introduction Nous vons vu dns l prtie introductive que

Plus en détail

Toyota Assurances Toujours la meilleure solution

Toyota Assurances Toujours la meilleure solution Toyot Assurnces Toujours l meilleure solution De quelle ssurnce vez-vous besoin? Vous roulez déjà en Toyot ou vous ttendez s livrison. Votre voiture est neuve ou d occsion. Vous vlez les kilomètres ou

Plus en détail

Chapitre 11 : L inductance

Chapitre 11 : L inductance Chpitre : inductnce Exercices E. On donne A πr 4π 4 metn N 8 spires/m. () Selon l exemple., µ n A 4π 7 (8) 4π 4 (,5) 5 µh (b) À prtir de l éqution.4, on trouve ξ ξ 4 3 5 6 6,3 A/s E. On donne A πr,5π 4

Plus en détail

Techniques d analyse de circuits

Techniques d analyse de circuits Chpitre 3 Tehniques d nlyse de iruits Ce hpitre présente différentes méthodes d nlyse de iruits. Ces méthodes permettent de simplifier l nlyse de iruits ontennt plusieurs éléments. Bien qu on peut résoudre

Plus en détail

La réforme des soins de santé mentale en Belgique

La réforme des soins de santé mentale en Belgique 1 L réforme des soins de snté mentle en Belgique Isbel MOENS Cbinet de l Vice Première-Ministre Ministre des Affires sociles et de l Snté publique En prtenrit vec: Kristel KARLER Cbinet de l Ministre de

Plus en détail

LANGAGES - GRAMMAIRES - AUTOMATES

LANGAGES - GRAMMAIRES - AUTOMATES LANGAGES - GRAMMAIRES - AUTOMATES Mrie-Pule Muller Version du 14 juillet 2005 Ce cours présente et met en oeuvre quelques méthodes mthémtiques pour l informtique théorique. Ces notions de bse pourront

Plus en détail

Livret de l étudiant 2015-2016

Livret de l étudiant 2015-2016 Livret de l étudint 2015-2016 Le mot du directeur Soyez les bienvenus à l IUT Pris Descrtes. L'IUT ccueille chque nnée 3000 étudints, sur le site de l'venue de Versilles et, depuis cette nnée, sur le site

Plus en détail

Réalisation de sites Internet PME & Grandes entreprises Offre Premium. Etude du projet. Webdesign. Intégration HTML. Développement.

Réalisation de sites Internet PME & Grandes entreprises Offre Premium. Etude du projet. Webdesign. Intégration HTML. Développement. Rélistion de sites Internet PME & Grndes entreprises Offre Premium Etude du projet Réunions de trvil et étude personnlisée de votre projet Définition d une strtégie de pré-référencement Webdesign Définition

Plus en détail

Transfert. Logistique. Stockage. Archivage

Transfert. Logistique. Stockage. Archivage Trnsfert Logistique Stockge Archivge Trnsfert, logistique, stockge Pour fire fce ux nouveux enjeux, il est importnt de pouvoir compter sur l'expertise d'un spéciliste impliqué à vos côtés, en toute confince.

Plus en détail

CARDIOLOGIE. Conférences scientifiques

CARDIOLOGIE. Conférences scientifiques www.crdiologieconferences.c 0 4 v o l u m e X V, n u m é r o CARDIOLOGIE MD Conférences scientifiques Guide prtique sur l usge des nouveux nticogulnts pour prévenir l ccident vsculire cérébrl dns l fibrilltion

Plus en détail

Pour développer votre entreprise. Compta LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI!

Pour développer votre entreprise. Compta LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI! Pour développer votre entreprise Compt Avec EBP Compt, vous ssurez le suivi de l ensemble de vos opértions et exploitez les données les plus complexes en toute sécurité. Toutes les fonctionnlités essentielles

Plus en détail

Electrovanne double Dimension nominale Rp 3/8 - Rp 2 DMV-D/11 DMV-DLE/11

Electrovanne double Dimension nominale Rp 3/8 - Rp 2 DMV-D/11 DMV-DLE/11 Electrovnne double Dimension nominle 3/8 - DMV-D/11 DMV-DLE/11 7.30 M Edition 11.13 Nr. 223 926 1 6 Technique L électrovnne double DUNGS DMV intère deux électrovnnes dns un même bloc compct : - vnnes d

Plus en détail

Le canal étroit du crédit : une analyse critique des fondements théoriques

Le canal étroit du crédit : une analyse critique des fondements théoriques Le cnl étroit du crédit : une nlyse critique des fondements théoriques Rfl Kierzenkowski 1 CREFED Université Pris Duphine Alloctire de Recherche Avril 2001 version provisoire Résumé A l suite des trvux

Plus en détail

Pour développer votre entreprise LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI!

Pour développer votre entreprise LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI! Pour développer votre entreprise Gestion Commercile Gérez le cycle complet des chts (demnde de prix, fcture fournisseur), des stocks (entrée, sortie mouvement, suivi) et des ventes (devis, fcture, règlement,

Plus en détail

Classeur courtier d assurance. Comment organiser son activité et se préparer à un contrôle

Classeur courtier d assurance. Comment organiser son activité et se préparer à un contrôle Clsseur courtier d ssurnce Comment orgniser son ctivité et se préprer à un contrôle 67, venue Pierre Grenier 92517 BOULOGNE-BILLANCOURT CEDEX Tél : 01.46.10.43.80 Fx : 01.47.61.14.85 www.streevocts.com

Plus en détail

La paye. La comptabilité. Comparez et choisissez votre logiciel. Comparez et choisissez votre logiciel. Paye Bâtiment 2012. Paye Agricole 2013

La paye. La comptabilité. Comparez et choisissez votre logiciel. Comparez et choisissez votre logiciel. Paye Bâtiment 2012. Paye Agricole 2013 L comptbilité Comprez et choisissez votre logiciel L pye Comprez et choisissez votre logiciel TABLEAUX COMPARATIFS Compt Prtic Pour les créteurs et les entrepreneurs novice en Compt Compt Clssic Pour l

Plus en détail

Guide d'utilisation Easy Interactive Tools Ver. 2

Guide d'utilisation Easy Interactive Tools Ver. 2 Guide d'utilistion Esy Interctive Tools Ver. 2 Guide d'utilistion Esy Interctive Tools Ver.2 Présenttion de Esy Interctive Tools 3 Crctéristiques Fonction de dessin Vous pouvez utiliser Esy Interctive

Plus en détail

La pratique institutionnelle «à plusieurs»

La pratique institutionnelle «à plusieurs» L prtique institutionnelle «à plusieurs» mury Cullrd Février 2013 Nicols, inquiet: «Qund je suis seul vec quelqu un, il se psse des choses» Vlentin, à propos de l institution : «Ici, y beucoup de gens,

Plus en détail

Interview p.10. Francis Delpérée. Dossier pédagogique des Equipes Populaires Bimestriel n 154 Janvier-Février 2013

Interview p.10. Francis Delpérée. Dossier pédagogique des Equipes Populaires Bimestriel n 154 Janvier-Février 2013 Dossier pédgogique des Equipes Populires Bimestriel n 154 Jnvier-Février 2013 Belgique - België P.P. - P.B. 5000 - Nmur 1 BC 4854 Interview p.10 Frncis Delpérée Bureu de dépôt : 5000 Nmur mil. N d grétion

Plus en détail

semestre 3 des Licences MISM annnée universitaire 2004-2005

semestre 3 des Licences MISM annnée universitaire 2004-2005 MATHÉMATIQUES 3 semestre 3 des Licences MISM nnnée universitire 24-25 Driss BOULARAS 2 Tble des mtières Rppels 5. Ensembles et opértions sur les ensembles.................. 5.. Prties d un ensemble.........................

Plus en détail

1. 1.1. 1.2. 1.3. 1.4. 1.5. 1.6. 2. 2.1.

1. 1.1. 1.2. 1.3. 1.4. 1.5. 1.6. 2. 2.1. T/TR 01-01 Pge 3 r+ 1. EQUIPMENT CONCERNE L interconnexion numerique interntionl pour le service visiophonique et de visioconf&ence necessite l stndrdistion des principux prmttres num&iques tels que d~it,

Plus en détail

Synthèse de cours (Terminale S) Calcul intégral

Synthèse de cours (Terminale S) Calcul intégral Synthèse de cours (Terminle S) Clcul intégrl Intégrle d une onction continue positive sur un intervlle [;] Dns cette première prtie, on considère une onction continue positive sur un intervlle [ ; ] (

Plus en détail

Directives COV et alternative lipochimique : peintures, encres, nettoyage, dégraissage...

Directives COV et alternative lipochimique : peintures, encres, nettoyage, dégraissage... Directives COV et lterntive lipochimique : peintures, encres, nettoyge, dégrissge... Alin LEMOR Recherche & Développement, Novnce, BP 20609, Venette, 60206 Compiègne Cedex, Frnce, Fx. +33 (0)3 44 90 70

Plus en détail

Université Paris-Dauphine DUMI2E. UFR Mathématiques de la décision. Notes de cours. Analyse 2. Filippo SANTAMBROGIO

Université Paris-Dauphine DUMI2E. UFR Mathématiques de la décision. Notes de cours. Analyse 2. Filippo SANTAMBROGIO Université Pris-Duphine DUMI2E UFR Mthémtiques de l décision Notes de cours Anlyse 2 Filippo SANTAMBROGIO Année 2008 2 Tble des mtières 1 Optimistion de fonctions continues et dérivbles 5 1.1 Continuité........................................

Plus en détail

Théorème de Poincaré - Formule de Green-Riemann

Théorème de Poincaré - Formule de Green-Riemann Chpitre 11 Théorème de Poincré - Formule de Green-Riemnn Ce chpitre s inscrit dns l continuité du précédent. On vu à l proposition 1.16 que les formes différentielles sont bien plus grébles à mnipuler

Plus en détail

Séquence 8. Probabilité : lois à densité. Sommaire

Séquence 8. Probabilité : lois à densité. Sommaire Séquence 8 Proilité : lois à densité Sommire. Prérequis 2. Lois de proilité à densité sur un intervlle 3. Lois uniformes 4. Lois exponentielles 5. Synthèse de l séquence Dns cette séquence, on introduit

Plus en détail

Conseils et astuces pour les structures de base de la Ligne D30

Conseils et astuces pour les structures de base de la Ligne D30 Conseils et stuces pour les structures de bse de l Ligne D30 Conseils et stuces pour l Ligne D30 Ligne D30 - l solution élégnte pour votre production. Rentbilité optimle et méliortion continue des séquences

Plus en détail

ManSafe. pour les Utilitiés. La Protection antichute pour les Industries de l'energie. Français. TowerLatch LadderLatch

ManSafe. pour les Utilitiés. La Protection antichute pour les Industries de l'energie. Français. TowerLatch LadderLatch MnSfe pour les Utilitiés L Protection ntichute pour les Industries de l'energie Frnçis TowerLtch LdderLtch Les questions de protection nti-chute Les chutes de huteur sont l cuse de mortlité l plus importnte

Plus en détail

3 -Les traumatismes du membre inféri e u r

3 -Les traumatismes du membre inféri e u r 3 -Les trumtismes du memre inféri e u r C. Cytevl*, A. Cotten*, M-P.Srrère*, N. Tixedor* Le memre inférieur pour mission de supporter le poids du corps et de permettre de se m o i l i s e r; toute irrégulrité

Plus en détail

SYSTEME DE TELEPHONIE

SYSTEME DE TELEPHONIE YTEME DE TELEPHOIE LE OUVEUTE PTIE MOITEU COULEU Le système de téléphonie comporte un moniteur vec un écrn couleurs de intégré u téléphone. Cette prtie est disponile en lnc, nthrcite et Tech. TLE DE MTIEE

Plus en détail

Avant d utiliser l appareil, lisez ce Guide de référence rapide pour connaître la procédure de configuration et d installation.

Avant d utiliser l appareil, lisez ce Guide de référence rapide pour connaître la procédure de configuration et d installation. Guide de référence rpide Commencer Avnt d utiliser l ppreil, lisez ce Guide de référence rpide pour connître l procédure de configurtion et d instlltion. NE rccordez PAS le câle d interfce mintennt. 1

Plus en détail

Le vademecum de l apprentissage dans la fonction publique territoriale SERVICES À LA PERSONNE

Le vademecum de l apprentissage dans la fonction publique territoriale SERVICES À LA PERSONNE Le vdemecum de l pprentissge dns l fonction publique territorile SERVICES À LA PERSONNE 1 REMERCIEMENTS Nous tenons à remercier pour leur disponibilité et l richesse de nos échnges toutes les personnes

Plus en détail

/HVV\VWqPHVFRPELQDWRLUHV

/HVV\VWqPHVFRPELQDWRLUHV /HVV\VWqPHVFRPELQDWRLUHV I. Définition On ppelle système combintoire tout système numérique dont les sorties sont exclusivement définies à prtir des vribles d entrée (Figure ). = f(x, x 2,,, x n ) x x

Plus en détail

INSTALLATION DE DETECTION INCENDIE

INSTALLATION DE DETECTION INCENDIE reglement > > instlltion E ETECTON NCENE NSTALLATON E ETECTON NCENE Une instlltion de détection incendie pour objectif de déceler et signler, le plus tôt possible, d une mnière fible, l nissnce d un incendie,

Plus en détail

Meg Gawler Bréhima Béridogo. Mars 2002

Meg Gawler Bréhima Béridogo. Mars 2002 EVALUATION FINALE PROJET D APPUI A LA GESTION DES ZONES HUMIDES DANS LE DELTA INTERIEUR DU FLEUVE NIGER RAPPORT FINAL Meg Gwler Bréhim Béridogo ARTEMIS Services pour l conservtion de l nture et le développement

Plus en détail

Modification simultanée de plusieurs caractéristiques d un bien hédonique : une nouvelle méthode de calcul de la variation de bien-être des ménages

Modification simultanée de plusieurs caractéristiques d un bien hédonique : une nouvelle méthode de calcul de la variation de bien-être des ménages Modifiction simultnée de plusieurs crctéristiques d un bien hédonique : une nouvelle méthode de clcul de l vrition de bien-être des ménges Trvers Muriel * Version provisoire Résumé : De nombreuses situtions

Plus en détail

Weekly epidemiological record Relevé épidémiologique hebdomadaire

Weekly epidemiological record Relevé épidémiologique hebdomadaire 2014, 89, 389-400 No. 36 Weekly epidemiologicl record Relevé épidémiologique hebdomdire 5 SEPTEMBER 2014, 89th yer / 5 SEPTEMBRE 2014, 89 e nnée No. 36, 2014, 89, 389-400 http://www.who.int/wer Contents

Plus en détail

La plateforme Next Generation Mini guide

La plateforme Next Generation Mini guide L plteforme Next Genertion Mini guie Ce guie onis été réé pour vous permettre e vous fmiliriser rpiement ve les nomreuses fontionnlités et outils isponiles sur l plteforme Next Genertion. Apprenez où trouver

Plus en détail

FONDATION CLEMENTINE ET MAURICE ANTILLE

FONDATION CLEMENTINE ET MAURICE ANTILLE FONDATION CLEMENTINE ET MAURICE ANTILLE Règlement d ttriution de ourses et de prêts d études et de formtion du déemre 006 Artile premier Ojet et hmp d pplition Le présent règlement est étli en pplition

Plus en détail

MINIMUM DE DONNÉES STANDARDISÉES (MDS) POUR L ÉVALUATION DU RÉSIDANT EN INSTITUTION EN VUE D UN PLAN DE SOINS

MINIMUM DE DONNÉES STANDARDISÉES (MDS) POUR L ÉVALUATION DU RÉSIDANT EN INSTITUTION EN VUE D UN PLAN DE SOINS MINIMUM DE DONNÉES STANDARDISÉES (MDS) POUR L ÉVALUATION DU RÉSIDANT EN INSTITUTION EN VUE D UN PLAN DE SOINS ÉTAT DURANT LES SEPT DERNIERS JOURS (SAUF AUTRE INDICATION) 1/9 SECTION A IDENTIFICATION ET

Plus en détail

Thèse Présentée Pour obtenir le diplôme de doctorat en sciences En génie civil Option : structure

Thèse Présentée Pour obtenir le diplôme de doctorat en sciences En génie civil Option : structure République Algérienne Démocrtique et Populire Ministère de l enseignement supérieur et de l recherche scientifique Université Mentouri de Constntine Fculté des sciences et sciences de l ingénieur Déprtement

Plus en détail

ANALYSE NUMERIQUE NON-LINEAIRE

ANALYSE NUMERIQUE NON-LINEAIRE Université de Metz Licence de Mthémtiques - 3ème nnée 1er semestre ANALYSE NUMERIQUE NON-LINEAIRE pr Rlph Chill Lbortoire de Mthémtiques et Applictions de Metz Année 010/11 1 Tble des mtières Chpitre

Plus en détail

Chapitre VI Contraintes holonomiques

Chapitre VI Contraintes holonomiques 55 Chpitre VI Contrintes holonomiques Les contrintes isopérimétriques vues u chpitre précéent ne sont qu un eemple prticulier e contrintes sur les fonctions y e notre espce e fonctions missibles. Dns ce

Plus en détail

Notes de révision : Automates et langages

Notes de révision : Automates et langages Préprtion à l grégtion de mthémtiques 2011 2012 Notes de révision : Automtes et lngges Benjmin MONMEGE et Sylvin SCHMITZ LSV, ENS Cchn & CNRS Version du 24 octore 2011 (r66m) CC Cretive Commons y-nc-s

Plus en détail

Licence M.A.S.S. Cours d Analyse S4

Licence M.A.S.S. Cours d Analyse S4 Université Pris I, Pnthéon - Sorbonne Licence MASS Cours d Anlyse S4 Jen-Mrc Brdet (Université Pris 1, SAMM) UFR 27 et Equipe SAMM (Sttistique, Anlyse et Modélistion Multidisiplinire) Université Pnthéon-Sorbonne,

Plus en détail

Cours d Analyse IV Suites et Séries de fonctions

Cours d Analyse IV Suites et Séries de fonctions Université Clude Bernrd, Lyon I Licence Sciences, Technologies & Snté 43, boulevrd 11 novembre 1918 Spécilité Mthémtiques 69622 Villeurbnne cedex, Frnce L. Pujo-Menjouet pujo@mth.univ-lyon1.fr Cours d

Plus en détail

LICENCE DE MATHÉMATIQUES DEUXIÈME ANNÉE. Unité d enseignement LCMA 4U11 ANALYSE 3. Françoise GEANDIER

LICENCE DE MATHÉMATIQUES DEUXIÈME ANNÉE. Unité d enseignement LCMA 4U11 ANALYSE 3. Françoise GEANDIER LICENCE DE MATHÉMATIQUES DEUXIÈME ANNÉE Unité d enseignement LCMA 4U ANALYSE 3 Frnçoise GEANDIER Université Henri Poincré Nncy I Déprtement de Mthémtiques . Tble des mtières I Séries numériques. Séries

Plus en détail

Plan de formation Employée/Employé de commerce CFC du 26 septembre 2011 pour la formation initiale en entreprise. Tables des matières

Plan de formation Employée/Employé de commerce CFC du 26 septembre 2011 pour la formation initiale en entreprise. Tables des matières Plan de formation Employée/ du 26 septembre 2011 pour la formation Tables des matières LISTE DES BRÉVITIONS... 3 INTRODUCTION... 4 1. IMPORTNCE DE L FORMTION COMMERCILE POUR L ÉCONOMIE ET L SOCIÉTÉ...

Plus en détail

AUTOUR D UN MÉMOIRE INÉDIT : LA CONTRIBUTION D HERMITE AU DÉVELOPPEMENT DE LA THÉORIE DES FONCTIONS ELLIPTIQUES. Bruno BELHOSTE (*)

AUTOUR D UN MÉMOIRE INÉDIT : LA CONTRIBUTION D HERMITE AU DÉVELOPPEMENT DE LA THÉORIE DES FONCTIONS ELLIPTIQUES. Bruno BELHOSTE (*) Revue d histoire des mthémtiques, 2 (1996), p. 1 66. AUTOUR D UN MÉMOIRE INÉDIT : LA CONTRIBUTION D HERMITE AU DÉVELOPPEMENT DE LA THÉORIE DES FONCTIONS ELLIPTIQUES Bruno BELHOSTE (*) RÉSUMÉ. Dns cet rticle,

Plus en détail

LITE-FLOOR. Dalles de sol et marches d escalier. Information technique

LITE-FLOOR. Dalles de sol et marches d escalier. Information technique LITE-FLOOR Dlles de sol et mrches d esclier Informtion technique Recommndtions pour le clcul et l pose de LITE-FLOOR Générlités Cette rochure reprend les règles de se à respecter pour grntir l rélistion

Plus en détail

Convention for the Protection of Human Rights and Fundamental Freedoms, Convention de sauvegarde des Droits de l'homme et des Libertes fondamentales,

Convention for the Protection of Human Rights and Fundamental Freedoms, Convention de sauvegarde des Droits de l'homme et des Libertes fondamentales, Europen Trety Series No. 5 Série des trités européens - n o 5 Convention for the Protection of Humn Rights nd Fundmentl Freedoms, Convention de suvegrde des Droits de l'homme et des Liertes fondmentles,

Plus en détail

Guide de l'utilisateur

Guide de l'utilisateur Guide de l'utilisteur Symboles Utilisés Dns ce Guide Indictions de sécurité L documenttion et le projecteur utilisent des symboles grphiques qui indiquent comment utiliser l ppreil en toute sécurité. Veillez

Plus en détail

Clients légers IGEL et bureaux virtuels : synergie idéale et coût minimal

Clients légers IGEL et bureaux virtuels : synergie idéale et coût minimal Clients légers IGEL et bureux virtuels : synergie idéle et coût miniml Infrstructure de bureux virtuels vec clients légers IGEL Universl Desktop : Une plus grnde liberté de conception pour vos postes de

Plus en détail

L EUROPE ET L EAU. «Quelle idée d appeler cette planète Terre alors qu elle est clairement océan». Arthur C. Clarke.

L EUROPE ET L EAU. «Quelle idée d appeler cette planète Terre alors qu elle est clairement océan». Arthur C. Clarke. L EUROPE ET L EAU L eu est indispensble à l vie. Elle soutient nos écosystèmes et régule le climt. Agriculture, limenttion, énergie, trnsports : l eu est u cœur de notre existence. Cependnt, elle est inéglement

Plus en détail

IMMIGRATION Canada. Paris

IMMIGRATION Canada. Paris Citoyenneté et Immigration Canada Citizenship and Immigration Canada IIGRTION Canada Table des matières ppendice - Liste de contrôle ppendice B - Spécifications pour photos ppendice C - Instructions médicales

Plus en détail

Introduction à la modélisation et à la vérication p. 1/8

Introduction à la modélisation et à la vérication p. 1/8 Introduction à l modélistion et à l vériction Appliction ux systèmes temporisés Ptrici Bouyer LSV CNRS & ENS de Cchn Introduction à l modélistion et à l vériction p. 1/8 Modélistion & Vériction Introduction

Plus en détail

SOCIÉTÉ LINNÉENNE DE LYO N FONDEE EN 182 2

SOCIÉTÉ LINNÉENNE DE LYO N FONDEE EN 182 2 39 nnée N 6 Juin 197 0 BULLETIN MENSUE L DE LA SOCIÉTÉ LINNÉENNE DE LYO N FONDEE EN 182 2 RECONNUE D'UTILITE PUBLIQUE PAR DECRET DU 9 AOUT 193 7 des SOCIETES BOTANIQUE DE LYON, D'ANTHROPOLOGIE ET DE BIOLOGIE

Plus en détail

Algorithmes sur les mots (séquences)

Algorithmes sur les mots (séquences) Introduction Algorithmes sur les mots (séquences) Algorithmes sur les mots (textes, séquences, chines de crctères) Nomreuses pplictions : ses de données iliogrphiques ioinformtique (séquences de iomolécules)

Plus en détail

essais dossier Oser s équi Prothèses auditives

essais dossier Oser s équi Prothèses auditives essis dossier u LES AUDIOPROTHÉSISTES AU BANC D ESSAI p. 46 u UN APPAREIL ADAPTÉ À VOS BESOINS p. 50 u FAIRE BAISSER LA FACTURE? PAS SI SIMPLE p. 52 Prothèses uditives Oser s équi AUDIOPROTHÉSISTES Fe

Plus en détail

FIG. 1 Module de stockage en position horizontale ; positionnement des jauges de déformation.

FIG. 1 Module de stockage en position horizontale ; positionnement des jauges de déformation. Anlyse thermo-mécnique dun prototype de stockge hybride (solide-gzeux) dhydrogène D. CHAPELLE, O. GILLIA b, M. FELDIC. Institut FEMTO ST, UMR 6174, Déprt. Mécnique Appliquée, 24 rue de l Epitphe, 25000

Plus en détail

Magister en : Génie Mécanique

Magister en : Génie Mécanique الجمهورية الجزاي رية الديمقراطية الشعبية République Algérienne Démocrtique et Populire وزارة التعليم العالي و البحث العلمي Ministère de l enseignement supérieur et de l recherche scientifique Université

Plus en détail

Commencer DCP-7055W / DCP-7057W /

Commencer DCP-7055W / DCP-7057W / Guide d instlltion rpide Commencer DCP-7055W / DCP-7057W / DCP-7070DW Veuillez lire ttentivement le livret Sécurité et réglementtion vnt d'effectuer les réglges de votre ppreil. Consultez ensuite le Guide

Plus en détail

Réglementation de l'epa (agence américaine de protection de l'environnement) relative aux émissions

Réglementation de l'epa (agence américaine de protection de l'environnement) relative aux émissions Merci d'voir choisi l'un des meilleurs moteurs hors-bord disponibles sur le mrché. C'est un investissement judicieux dns l nvigtion de plisnce. Votre moteur hors-bord été fbriqué pr Mercury Mrine, l'un

Plus en détail

Bilan pédagogique / Projet ipad Contexte

Bilan pédagogique / Projet ipad Contexte t e j n r i t P t n e m i r é d p x d e es ip e d s s l c en gie. l chn, p s e g iss rent p p es ur l s é r cent t e j n pr Bil g g éd n p l2 vri, e iqu U d ps égrtin m t L sch en in tin duc en De gique

Plus en détail

COURS D ANALYSE. Licence d Informatique, première. Laurent Michel

COURS D ANALYSE. Licence d Informatique, première. Laurent Michel COURS D ANALYSE Licence d Informtique, première nnée Lurent Michel Printemps 2010 2 Tble des mtières 1 Éléments de logique 5 1.1 Fbriquer des énoncés........................ 5 1.1.1 Enoncés élémentires.....................

Plus en détail

La vaccination, une bonne protection

La vaccination, une bonne protection Vaccin contre l hépatite A et l hépatite B La personne qui reçoit ce vaccin se protège contre l hépatite A, l hépatite B et leurs complications. L hépatite A et l hépatite B sont des infections du foie

Plus en détail

Module 2 : Déterminant d une matrice

Module 2 : Déterminant d une matrice L Mth Stt Module les déterminnts M Module : Déterminnt d une mtrice Unité : Déterminnt d une mtrice x Soit une mtrice lignes et colonnes (,) c b d Pr définition, son déterminnt est le nombre réel noté

Plus en détail

Systèmes de plafonds

Systèmes de plafonds Systèmes de plfonds Sommire Une connissnce ultime des systèmes 4 2 Présenttion 5 Types de plfonds Gyproc 5 Applictions et vntes 6 Choix de l structure du plfond 7 Choix de l plque de revêtement 8 Pose

Plus en détail

FORMULAIRE UNIQUE DE CANDIDATURE

FORMULAIRE UNIQUE DE CANDIDATURE ORULIRE UNIQUE DE CNDIDTURE INSERER DNS LE REGISTRE DES CNDIDTURES SCRL Le Logis Dourois N d inscription : V O L E T ( R E P L I R P R L E D E N D E U R ) CNDIDT.1. COORDONNEES ET COPOSITION DU ENGE CONJOINT

Plus en détail

INSTRUCTIONS POUR L INSTALLATION ET LE FONCTIONNEMENT DES SERRURES À POIGNÉE BÉQUILLE

INSTRUCTIONS POUR L INSTALLATION ET LE FONCTIONNEMENT DES SERRURES À POIGNÉE BÉQUILLE INSTRUCTIONS POUR L INSTALLATION ET LE FONCTIONNEMENT DES SERRURES À POIGNÉE BÉQUILLE POUR LES SERRURES D ENTRÉE À CLÉ EXTÉRIEURES VERROUILLABLES, À POIGNÉE DE BRINKS HOME SECURITY. POUR LES PORTES DE

Plus en détail

TRam «Gestion de la Toxicité en zone Ramsar» Toxicity management in Ramsar area

TRam «Gestion de la Toxicité en zone Ramsar» Toxicity management in Ramsar area TRm «Gestion de l Toxicité en zone Rmsr» Toxicity mngement in Rmsr re Progrmme Evlution et réduction des risques liés à l utilistion des Pesticides Rpport finl- Juillet_2014 CIHEAM-IAMM 3191 Route de Mende

Plus en détail

Solutions IHM. Gammes Graphite et G3 Outils pour l'usine connectée

Solutions IHM. Gammes Graphite et G3 Outils pour l'usine connectée Solutions IHM Gmmes Grphite et G3 Outils pour l'usine connectée Des IHM ux fonctions étendues : > Conversion de plus de 250 protocoles > Serveur Web intégré > Enregistreur de données sécurisées > Modules

Plus en détail

Wieland-Werke AG, 89070 Ulm, Allemagne Février 2012

Wieland-Werke AG, 89070 Ulm, Allemagne Février 2012 Wieln-Werke AG, 89070 Ulm, Allemgne Février 2012 Conitions générles e livrison 1. Conitions ontrtuelles, roit pplile Nous livrons et fournissons es presttions onformément à notre onfirmtion e ommne érite

Plus en détail

Baccalauréat S Asie 19 juin 2014 Corrigé

Baccalauréat S Asie 19 juin 2014 Corrigé Bcclurét S Asie 9 jui 24 Corrigé A. P. M. E. P. Exercice Commu à tous les cdidts 4 poits Questio - c. O peut élimier rpidemet les réposes. et d. cr les vecteurs directeurs des droites proposées e sot ps

Plus en détail

Régression multiple : principes et exemples d application. Dominique Laffly UMR 5 603 CNRS Université de Pau et des Pays de l Adour Octobre 2006

Régression multiple : principes et exemples d application. Dominique Laffly UMR 5 603 CNRS Université de Pau et des Pays de l Adour Octobre 2006 Régression multiple : principes et eemples d ppliction Dominique Lffly UMR 5 603 CNRS Université de Pu et des Pys de l Adour Octobre 006 Destiné à de futurs thémticiens, notmment géogrphes, le présent

Plus en détail

Développement de l imagerie RMN par agents CEST : application à un modèle rongeur de tumeur cérébrale

Développement de l imagerie RMN par agents CEST : application à un modèle rongeur de tumeur cérébrale Développement de l imgerie RMN pr gents CEST : ppliction à un modèle rongeur de tumeur cérérle Julien Flment To cite this version: Julien Flment. Développement de l imgerie RMN pr gents CEST : ppliction

Plus en détail

IMPACT après 17 ans : Des leçons apprises au sujet d un réseautage réussi

IMPACT après 17 ans : Des leçons apprises au sujet d un réseautage réussi IMPACT après 17 ans : Des leçons apprises au sujet d un réseautage réussi Société canadienne de pédiatrie Comité des maladies infectieuses et d immunisation Paediatr Child Health 2009;14(1):44-8 Le Programme

Plus en détail

LE MINIMUM DE SALAIRE ET LES ADMINISTRATINS PUBLIQUES EN BELGIQUE RYAUME DE BELGIQUE MINISTÈRE DE L'INDUSTRIE ET DU TRAVAIL t/3c*'/"??ffice DU TRAVAIL LE MINIMUM DE SALAIRE ET LES ADMINISTEATIKS PUBLIQUES

Plus en détail

Titrages acidobasiques de mélanges contenant une espèce forte et une espèce faible : successifs ou simultanés?

Titrages acidobasiques de mélanges contenant une espèce forte et une espèce faible : successifs ou simultanés? Titrgs cidobsiqus d mélngs contnnt un spèc fort t un spèc fibl : succssifs ou simultnés? Introduction. L'étud d titrgs cidobsiqus d mélngs d dux ou plusiurs cids (ou bss) st un xrcic cournt [-]. Ls solutions

Plus en détail

dans Supply Chain sortir ERP commencent à de leur carcan prise de décision en temps réel au niveau des ateliers. La nouvelle génération de solutions

dans Supply Chain sortir ERP commencent à de leur carcan prise de décision en temps réel au niveau des ateliers. La nouvelle génération de solutions dvntge informtique Suppl commct Suppl tit sortir s i Ces N dte prution : 27-01/09/2008 Périodicité : Msuel Pge : 56 SupplCh3_27_57_337pdf T : 95 % Site Web : wwwsupplchinmgzinefr Le dns invite Suppl Chin

Plus en détail

McAfee Firewall Enterprise Control Center

McAfee Firewall Enterprise Control Center Guie e émrrge rpie Révision A MAfee Firewll Enterprise Control Center version 5.3.1 Ce guie e émrrge rpie fournit es instrutions générles sur l onfigurtion e MAfee Firewll Enterprise Control Center. 1

Plus en détail

L'trtr{SEXGNET}IEtrYT DE II\ COMPEIUYCE GH\'RALD 'ACIETER." A DES ADT'LTES HANDTCAPES MENTAUX

L'trtr{SEXGNET}IEtrYT DE II\ COMPEIUYCE GH\'RALD 'ACIETER. A DES ADT'LTES HANDTCAPES MENTAUX BVUÊ NANCPHN D A DCNC NCTU vum 1. NU[/R 2. 105-120 'trtr{sxgnt}tryt D \ CMPUYC GH\'RAD 'ACTR." A DS ADT'TS HANDTCAPS MNTAUX Nice Mntreui, Jen-Benît Abrssrt et Ghisin Mgertte uâtfe sdutes présentnt une

Plus en détail