Découvrez le nouveau système de câbles. modulaires pour la fermeture des sternotomies SOMMAIRE. Numéro 4 / La newsletter de Synthes
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- Jean-Louis Patel
- il y a 8 ans
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1 Numéro 4 / La newsletter de Synthes Câblez vos sternums! Découvrez le nouveau système de câbles modulaires pour la fermeture des sternotomies SOMMAIRE 2 ÉDITO - Le mot du Directeur Général 2 FOCUS - DAVOS Interview du Docteur Alix 3 FOCUS - Interview du Docteur Bertiaux 4 FOCUS - Interview DHS, M. CHELIUS 5 ACTU - L ostéoporose et la prise en charge des patients âgés. 6 ACTU - Une gamme complète de substitut osseux 6 ACTU Câblez vos sternums! Découvrez le nouveau système de câbles modulaires pour la fermeture des sternotomies 7 FOCUS - Interview du Docteur de SOULTRAIT 8 PRODISC-L - Interview d une patiente 10 AU QUOTIDIEN CHEZ SYNTHES 11 SYNTHES SOUTIENT 11 SYNTHES SERA PRÉSENT CONCOURS Instruments et implants approuvés par l AO Foundation 1078 av. Oehmichen B.P ETUPES Cedex France info.france@synthes.com
2 Les cours de Davos, en Décembre, sont l occasion d un grand rassemblement : des centaines de chirurgiens de nationalités et de ÉDITO Un nouveau format pour cette première Newsletter 2008 et une nouvelle spécialité : la chirurgie thoracique avec le nouveau système de câbles, vis et plaques pour la fermeture des sternotomies. Encore une fois, nous avons donné la parole aux chirurgiens de retour de Davos afin qu ils nous fassent partager leur expérience des cours des différentes spécialités. Enjeu majeur pour la chirurgie orthopédique des années à venir : l ostéoporose et la prise en charge des patients âgés. Le Docteur Chelius nous fera partager ses solutions dans ce domaine. Enfin, vous lirez le témoignage d une patiente souffrant de lombalgie chronique et opérée par une prothèse discale lombaire. spécialités différentes se retrouvent dans le berceau de l AO. Nous avons rencontré 3 chirurgiens qui nous font partager leur expérience de Davos Bonne lecture, Bernard CHAMINADOUR Directeur Général de Synthes France Focus DAVos INTERVIEW DU DOCTEUR ALIX Docteur Thomas Alix Le Docteur Thomas Alix est Assistant-Chef de Clinique en Chirurgie Maxillo-Faciale et Stomatologie dans le service du Professeur Pierre Seguin au Centre Hospitalier Universitaire Bellevue de Saint-Etienne. Que représentent pour vous les cours AO? Dr. Alix : Ils sont pour moi des sessions de formation chirurgicale de grande qualité, présentant un triple intérêt. Tout d abord, ces cours conviennent tant au novice, pour les cours de base, auquels j ai participé en spécialité maxillo-faciale à Sainte-Maxime, qu au chirurgien chevronné avec les cours avancés. ensuite, ils sont animés par des intervenants de grande expérience très pédagogues et enfin ils offrent un panel assez exhaustif des différents points de vue sur un thème donné. Par ailleurs, l ambiance très cosmopolite de ces cours est assez sympathique et la possibilité pour chaque participant de réaliser les nombreux travaux pratiques prévus, avec de l excellent matériel, est pour moi inédite. Quels bénéfices allez-vous en retirer dans votre pratique quotidienne? Dr. Alix : Bien entendu, en plus des petits «trucs» qu on ne manque pas de glaner lors de l observation des autres, j en retiendrai aussi quelques techniques plus inédites pour moi, comme l utilisation plus extensive de l endoscopie. Quels conseils donneriez-vous à vos confrères qui n ont pas encore participé à ce cours AO? Dr. Alix : Celui d y aller, évidemment! et ce, dès le milieu de l internat pour le cours de base si c est possible. Pour ma part, la qualité de ces sessions m incite à participer dans l avenir à d autres symposiums plus spécialisés.
3 3 INTERVIEW DU DOCTEUR BERTIAUX Docteur Simon Bertiaux Le Docteur Simon Bertiaux a assisté au 86 ème cours AO Avancé de Traumatologie à Davos. Il nous en a parlé. Qui êtes-vous en quelques mots? Dr. Bertiaux : Je suis interne en chirurgie, en 2 ème année, et depuis 2 ans au CHU de Rouen (j ai effectué mon 1 er cycle à Lille). L orthopédie est la spécialité qui me motive le plus : j y ai déjà effectué 3 semestres. Qui vous a conseillé les cours de Davos? Dr. Bertiaux : Suite aux cours de base de Ste Maxime (lors de ma 1 ère année d internat), aux discussions avec des chirurgiens du service et le staff Synthes, j ai profité de cette opportunité qui m a été proposée par un des PH du service pour m inscrire au cours de Davos. J ai aussi beaucoup apprécié le point sur l historique des pratiques chirurgicales Cette formation vous donne-t-elle envie de devenir membre de l AO? Dr. Bertiaux : Absolument! S appuyer sur une structure organisée ayant fait ses preuves est un gage de sérieux et me permettrait d être plus à l aise, de mieux appréhender les cas les plus difficiles, avec une technique plus fine. Conseilleriez-vous cette formation à d autres jeunes chirurgiens? Dr. Bertiaux : Bien sûr! Je pense qu elle est particulièrement pertinente et profitable afin de confirmer la validation de ses connaissances et pouvoir la confronter aux pratiques d autres participants ainsi que celles préconisées par les orateurs. L interaction avec les orateurs et le travail au sein de petits groupes sont propices à la stimulation des connaissances. Qu attendez-vous d une formation sur l ostéosynthèse en général et plus particulièrement de celle dispensée par l AO? Dr. Bertiaux : en tant qu interne, je souhaite approfondir mes connaissances sur les principes de l ostéosynthèse, disposer des points clés pour avoir des pistes de réflexion validées, des pistes thérapeutiques et choisir les solutions les plus appropriées. J attends également d avoir accès à des informations actualisées sur la pratique quotidienne en traumatologie. Quels sont les points clefs de ces cours AO? Dr. Bertiaux : La qualité des orateurs et leur proximité. Ceci est tout à fait propice aux échanges, aux réflexions La qualité de l organisation (formation pratique et technique s appuyant sur les cours) est un atout indéniable! Accéder à des cours magistraux sur l ostéosynthèse sur une période dédiée permet de tirer pleinement profit de ce cours. Nous avons en effet travaillé une semaine durant (6 jours consécutifs) avec chaque jour mise en pratique et encadrement par des référents. La disponibilité du matériel, des orateurs, la grande variété des thèmes traités et l approfondissement sur certaines fractures plus complexes en font une formation très pertinente. La mise en pratique immédiate favorise l assimilation des connaissances.
4 4 Focus DAVOS DAVOS Focus INTERVIEW DU DOCTEUR DE SOULTRAIT Docteur de Soultrait et son équipe Le Docteur François de Soultrait, chef du service de Neurochirurgie à l hôpital d Instruction des Armées Percy à Clamart (92), a participé au cours AOSpine Trauma et Tumeur. Quel training vous a le plus intéressé? Dr. de Soultrait : Pour ma part, il y en a 3 qui m ont beaucoup intéressé. Tout d abord, celui sur les tumeurs. La gestion des tumeurs rachidiennes, qu elles soient primitives ou secondaires, est intéressante parce que l on a l occasion d en prendre en charge à Percy. Il est toujours très instructif de voir comment font les experts exerçant dans des centres spécialisés et notamment, de prendre en compte leurs repères et leurs astuces qui les aident dans des situations difficiles mais aussi leur mode de raisonnement face à ces différentes tumeurs. Ensuite, le cours sur les fractures où il a été redémontré l importance des classifications des mécanismes lésionnels dans la prise en charge thérapeutique des fractures. Cela permet d aider chacun à prendre les décisions les mieux adaptées aux différentes situations pathologiques. Il est évident que ce sont également l expérience du clinicien et l état général du patient qui vont conditionner la prise de décision finale : nous ne pouvons pas mettre les malades dans des cadres rigides! Enfin, j ai beaucoup apprécié l enseignement sur la vertébroplastie. Un des chirurgiens du service s est lancé il y a quelques temps dans ce mode de traitement et nous en voyons aujourd hui les bénéfices apportés au patient, moyennant un grand respect des indications. C est une grande aide pour la prise en charge de la douleur, notamment pour les fractures chez le patient ostéoporotique. D une manière générale, que vous a apporté cette formation à Davos? Dr. de Soultrait : Une fois de plus, je dirais que j ai ressenti l intérêt des rencontres informelles, en dehors des séances plénières. Nous pouvons, entre spécialistes et avec des experts par discipline, progresser dans la prise en charge des pathologies et conforter certains choix thérapeutiques sur lesquels nous n avons pas toujours de certitude absolue. Qu est-ce qui résume le plus l AO à Davos? Dr. de Soultrait : Nous avons été très impressionnés par la qualité de l organisation ainsi que par le caractère international de ces cours, de nombreuses nationalités convergent vers Davos! Cependant, si je devais noter un point à améliorer, il s agirait de la qualité inégale des interventions, sans doute du fait que le staff AO a le souci de faire parler les différentes composantes de l AOSpine International. De ce fait, certains cours ne sont pas à la hauteur de ce que l on pourrait espérer ou au contraire beaucoup trop ésotériques pour les jeunes chirurgiens. Quelle formation continue suivez-vous habituellement? Quels sont les avantages des cours AO? Dr. de Soultrait : Notre formation continue est basée sur la fréquentation des congrès de notre discipline et les rencontres avec les confrères qui nous transmettent des techniques que nous maîtrisons moins que d autres comme la chirurgie des tumeurs du rachis ou des abords mini-invasifs. Les avantages des cours AO reposent essentiellement sur leur caractère exhaustif et le fait que les différentes pathologies soient abordées de façon à favoriser un langage unique entre cliniciens. Le caractère exhaustif met en lumière un panorama complet sur les différentes pathologies et méthodologies possibles. Etes-vous membre de l AO? Si non, pensezvous vous inscrire? Dr. de Soultrait : Je ne suis pas encore membre de l AO mais j y réfléchis. Je pense qu il peut être intéressant, dans un service qui fait de la chirurgie du rachis, qu un des membres soit inscrit à l AO. L abord des pathologies chirurgicales du rachis que propose l AO est très systématique et aide à y voir plus clair notamment au travers des classifications qui ont été mises en place pour comprendre et choisir les traitements les mieux adaptés à chaque cas. Ainsi la fréquentation de l AO et la pratique d un langage commun entre chirurgiens du rachis sont des incitations logiques à intégrer une telle structure. Il est très probable que je m y inscrive très prochainement.
5 5 TRAUMA L ostéoporose et la prise en charge des patients âgés Un enjeu majeur pour la chirurgie orthopédique des 30 prochaines années? Les chutes chez les personnes âgées sont fréquentes. La Direction Générale de la Santé estime que plus d une personne âgée de plus de 65 ans sur 5 ferait une chute par an (sans que celle-ci provoque pour autant une fracture) (1). Chaque année, parmi les personnes de plus de 75 ans, font un séjour hospitalier à cause d une fracture du fémur et des membres supérieurs. Et 4 sur 5 subissent une intervention chirurgicale (1). Le risque de décès (20%) ou d incapacité et de perte d autonomie (50%) après une fracture du col du fémur est important, surtout chez les personnes âgées ; il est dû, non seulement à l acte chirurgical et ses complications mais aussi aux conséquences de la perte d autonomie lors de la mise en institution (2). Ces chiffres sont l effet d une même cause : l ostéoporose. L ostéoporose touche actuellement 1 femme sur 3 et 1 homme sur 12. Après 50 ans, au moins 1 femme sur 3 et 1 homme sur 8 aura à souffrir d une fracture liée à l ostéoporose (2). Chez la femme, c est une maladie qui débute au moment de la ménopause (en général, ans) et qui va se prolonger sur plusieurs décennies. Les fractures font toute la gravité de l ostéoporose. Le risque de fracture augmente avec l âge : 90% des femmes et 70% des hommes qui présentent une fracture du col du fémur ont plus de 70 ans (2). La période du baby boom en France s est étalée de 1946 à En 2000, la part de la population dont l âge était supérieur à 60 ans était de 20,6%. En 2040, elle sera de 31%, soit une augmentation de plus de 75%. A cette date les enfants du baby boom auront entre 66 et 94 ans (3). Dans ce contexte, la prise en charge des personnes âgées devrait nécessairement devenir un enjeu majeur. La dernière table de ronde de la SofCot, «L ostéoporose et l orthopédiste en 2007», montre tout l intérêt que portent les chirurgiens orthopédistes à cette problématique. Rendre autonome et permettre une restitution de la fonction des patients victimes de fractures de fatigue sont les principaux objectifs dans la prise en charge de ces patients. Les évolutions récentes et à venir des matériels d ostéosynthèse des os longs et du rachis font partie des moyens mis à disposition des orthopédistes pour mieux répondre à la montée en puissance de l ostéoporose. Dans ce contexte, Synthes met à la disposition des équipes chirurgicales depuis de nombreuses années des implants dont le design est notamment établi pour obtenir des ostéosynthèses stables, permettant un retour à la fonction rapide, y compris dans les situations de traitement de fractures des patients atteints d ostéoporose. L enjeu des ostéosynthèses des 30 prochaines années nécessitera de prendre en compte le facteur ostéoporose dans sa globalité, et notamment dans les solutions de traitement chirurgicales. Références : 1. Chutes des personnes âgées. DGS/GTNO. Version du 10/03/03, Site internet : site du ministère de la santé et des solidarités, 2. L ostéoporose. DGS/GTNO. Version du 27/03/03 Site internet : site du ministère de la santé et des solidarités, 3. Institut National d Etudes Démographiques.
6 6 BIOMATÉRIAUX Une gamme complète de substituts osseux : ChronOS Perfusion Concept et ChronOS Inject Utilisé déjà depuis plus de 20 ans en chirurgies cranio maxillo-faciale, rachidienne, traumatologique et orthopédique, le substitut osseux chronos est indiqué pour le comblement des défauts osseux d origine chirurgicale ou traumatologique ainsi que pour les arthrodèses. Céramique de phosphate tricalcique ß poreuse, présentée sous différentes formes et tailles, le substitut osseux chronos joue le rôle de trame pour la repousse osseuse par invasion cellulaire et vasculaire progressive et aide à la formation d os naturel en 6 à 18 mois. L imprégnation complète de chronos par la moelle osseuse du patient, riche en facteurs de croissance et cellules ostéoprogénitrices, permet d obtenir un implant possédant des propriétés mécaniques et biologiques similaires au greffon d os spongieux prélevé sur la crête iliaque du patient, tout en évitant le taux de complication souvent sous-estimé de ce geste chirurgical. Ainsi, un système de prélèvement de moelle osseuse et un conditionnement des substituts osseux chronos dans une seringue adaptée permettant leur imprégnation éventuelle par la moelle osseuse en per-opératoire sont disponibles et constituent la nouvelle génération des substituts osseux chronos : le chronos Perfusion Concept. en parallèle, la version injectable de chronos, appelée chronos Inject, est indiquée pour faciliter les comblements de cavités osseuses irrégulières ou pour un comblement en miniinvasif. Ciment de bruschite et de microgranules de phosphate tricalcique ß, chronos Inject possède les mêmes propriétés de résorption que chronos. ChronOS Inject vient ainsi compléter la gamme des substituts osseux disponibles et permet d élargir encore leur champ d utilisation. Post op - 6 semaines ChronoOS inject Post op - 6 mois CMF CÂBLEZ VOS STERNUMS! Système de câbles modulaire pour sternum Le système de câbles modulaire pour sternum est un système innovant et polyvalent pour la fermeture des sternotomies, principalement pour les patients, ayant un capital osseux de qualité médiocre, diabétiques, obèses, insuffisants rénaux, ou insuffisants pulmonaires chroniques. Ce système assure une fixation stable dans toutes les configurations, ce qui réduit de façon importante le risque d infections. Il se compose d un ensemble combinable et permet un choix per-opératoire en fonction des besoins du patient, soit par câbles seuls, câbles + vis canulées, ou câbles + vis + plaques. Le câble est composé de 7x19 brins, il assure un contact homogène de la pression du câble sur le sternum. Grâce à sa souplesse et à son excellente résistance, il évite tous risques de cisaillement de l os. La tension du câble est calibrée par un instrument dédié, et permet de sertir l extrémité du câble dans la même opération, réduisant ainsi le temps d intervention et en garantissant la stabilité du sternum. Ce câble peut être associé, le cas échéant, avec un système de vis canulées, pour un renforcement de l os spongieux. Ces vis assurent un passage pour le câble, garantissant la stabilité de la sternotomie et donc une meilleure récupération du patient. Les vis de longueurs différentes sont auto-taraudantes et ne nécessitent pas l utilisation d un moteur. elles sont disponibles en plusieurs longueurs, et s adaptent à la morphologie de chaque sternum. enfin, le système de câble et vis canulées peuvent être combinés avec des plaques permettant de réduire une fracture transverse du sternum ; ces fractures étant provoquées, soit par cisaillement de l os lors d une première pose par fil d acier, soit lors de la découpe d un sternum de mauvaise qualité osseuse. Ces plaques de longueurs différentes se conforment et s adaptent, grâce à un ancillaire simple, à la morphologie du patient. La bonne stabilité d une fracture est primordiale pour éliminer le risque de pseudarthrose. Ce système répond en routine aux exigences des praticiens en chirurgie thoracique, et réduit le temps d hospitalisation des patients en unités de soins intensifs.
7 7 L INTERVIEW Docteur Philippe Chelius Co-chairman du cours avancé français 2007 de l AO à Davos et ancien chef de service de chirurgie orthopédique et médecine du sport depuis 20 ans au Centre Hospitalier de Troyes, Monsieur le Docteur Philippe Chelius vient de créer un service de chirurgie d orthopédie et traumatologie dans une clinique privée. Convaincu de la nécessité de développer des réseaux de prise en charge de la personne âgée et concerné par le retour rapide à la mobilité et à la fonction de ces patients, le Docteur Philippe Chelius travaille et communique depuis plusieurs années sur les fractures en situation ostéoporotiques dont les plus fréquentes actuellement sont celles du fémur proximal. Nous avons souhaité aborder avec lui ce sujet et comprendre comment il réussit à répondre aujourd hui aux différentes problématiques de ce type de fracture. Pour traiter les fractures de la région trochantérienne, vous utilisez les deux systèmes les plus courants : la vis plaque de hanche et le clou proximal de fémur. Comment dissociez-vous ces deux implants en termes d indication? Dr. Chelius : Un peu à la différence des arguments, l un historique qui privilégie la vis plaque par son antériorité, l autre ayant trait à l ostéosynthèse dite à foyer fermé du clou proximal, j établis mes indications sur l aspect anatomique de la fracture et de son retentissement fonctionnel. La nécessité de devoir réaliser des gestes de réduction et de fixation complémentaires dans les fractures compliquées m ont fait préférer la voie d abord de la vis plaque. Les conséquences fonctionnelles de l introduction d un clou centromédullaire, quel qu il soit, à travers le trochanter majeur dans les premières semaines postopératoires m ont toujours incité à préserver ou restaurer l insertion du gluteus medius. Cette attitude n est pas prônée par tous et les indications d école doivent être prises en considération. Plus précisément, si les clous proximaux ont prouvé leur meilleure efficacité dans les fractures sous-trochantériennes pures, sans trait de refend dans le trochanter majeur, dans les fractures simples, ils ont aussi leur indication au même titre que la vis plaque. Il existe un autre argument qui me fait préférer la vis plaque, c est de pouvoir positionner aisément l implant cervico-céphalique avec une grande facilité de correction per-opératoire, puis son tuteur, la plaque, contrairement au clou proximal, avec lequel, on place d abord le tuteur, c est-à-dire le clou, puis l implant cervicocéphalique ; cet aspect d ordre pratique n est pas négligeable. Vous fixez fréquemment le trochanter majeur par une plaque à vis verrouillées. Pouvez-vous nous apporter des précisions sur ce geste? Dr. Chelius : Mes travaux sur l analyse en trois dimensions des fractures de la région trochantérienne m ont montré que le trochanter majeur était fracturé dans 88% des cas avec des déplacements très variables. Le retentissement fonctionnel de la fracture du point d insertion du gluteus medius m apparaît fondamental dans la récupération de la marche. C est pourquoi je réduis et je fixe volontiers le trochanter majeur, les patients sont beaucoup moins douloureux et peuvent mobiliser plus facilement leur articulation. en outre, la reconstitution de l anatomie facilite la pose éventuelle ultérieure de prothèse. Le système DHS a évolué depuis plusieurs mois à travers la LCP DHS et la DHS Blade. Que pensez-vous de la version LCP de la DHS? Dr. Chelius : La conformation des trous de vis de la plaque selon le principe LCP, utilisant les vis verrouillées, améliore la stabilité de la plaque dans un os porotique. De plus, ce système de verrouillage autoriserait un nombre moindre de vis et donc un abord moins extensif en cas d os de bonne qualité. L utilisation de ces vis verrouillées est une option intéressante dans le cas du fémur proximal et un vrai progrès pour la traumatologie en général. Vous faites aussi partie des premiers utilisateurs de la lame hélicoïdale pour la DHS. Quel en est, pour vous, le bénéfice? Dr. Chelius : J estime que la lame hélicoïdale est un progrès fondamental car elle s est montrée en mesure de stabiliser en rotation le fragment proximal, laquelle rotation est considérée comme un facteur majeur de varisation et de balayage du matériel. La pénétration de la lame hélicoïdale compacte l os spongieux céphalique améliorant ainsi sensiblement l ancrage et la stabilité, et supprime la nécessité d une vis anti-rotatoire supplémentaire. Une série multicentrique européenne a confirmé l efficacité du système DHS Blade alors qu une autre étude comparative a montré la supériorité de la lame hélicoïdale sur la vis. Comment analysez-vous l évolution de la prise en charge de ces fractures? Dr. Chelius : Les exigences fonctionnelles et l impact socio-économique de ces fractures nous imposent d aller toujours de l avant, et il faut nous attacher à briser les habitudes qui, pour certaines d entre elles, datent de plusieurs dizaines d années. Toutes les évolutions actuelles en termes de stabilité et de reconstruction proche de l anatomie, avec la possibilité d adapter l implant à la fracture, me semblent actuellement réunies dans le système DHS dont on peut considérer les résultats préliminaires comme très encourageants.
8 8 RACHIS PRODISC-L : Interview d une patiente Age de la patiente : 37 (S.S.) Activité professionnelle : employée à mi-temps Loisir : Cyclisme, rugby Situation familiale : célibataire Date de l intervention : juin 2004 (à l âge de 34 ans) Docteur Srour et son équipe En 2007, le Rugby était à l honneur en France grâce à la coupe du Monde. Nous avons rencontré à Colmar une jeune pratiquante de Rugby opérée par une prothèse discale lombaire Prodisc-L. Le Docteur Robin Srour, qui a réalisé l opération à l hôpital Louis Pasteur de Colmar, et sa patiente nous ont fait part de cette expérience, chacun avec son propre point de vue Le Docteur Srour se souvient de sa patiente, présentant une lombalgie chronique : «A sa première consultation, en mai 2004, au Service de Neurochirurgie à l hôpital de Colmar, la patiente décrivait des douleurs lombaires évoluant depuis plusieurs années, s aggravant régulièrement et rendant de plus en plus pénible son activité quotidienne. Plusieurs traitements ont été entrepris sur le plan médical mais également à l Ecole du Dos de Colmar avec un résultat tout à fait partiel et éphémère. A ces lombalgies, s associaient de temps en temps quelques irradiations douloureuses au niveau des membres inférieurs sans véritable topographie radiculaire bien précise. Son examen neurologique ne montrait pas de déficit sensitivomoteur des membres inférieurs. Les images radiologiques, scanners et IRM, montraient une discopathie mono-segmentaire à l étage L5-S1 avec des articulaires postérieures de bonne qualité. Une arthroplastie lombaire a été proposée à cette patiente avec mise en place d une prothèse Prodisc L. Cette intervention a permis de bien améliorer sa symptomatologie algique. Après 3 ans, les radiographies de contrôle réalisées montrent une bonne mobilité au niveau de cette prothèse discale». La patiente, quant à elle, voit surtout l après opération. Qu est ce qui vous a décidé à accepter l opération chirurgicale? S.S. : Avant mon intervention, tous les gestes du quotidien devenaient un calvaire, j avais du mal à me baisser, je ne pouvais plus soulever la moindre charge. J étais régulièrement en arrêt de travail. Je ne pouvais plus rester debout après quelques minutes seulement. Pour marcher, je devais faire des pauses fréquentes. La douleur devenait insupportable et handicapante. Après réflexion et plusieurs consultations, je me suis «lancée». Combien de temps après l opération estimezvous avoir récupéré? S.S. : Je me suis fait opérer en juin 2004 par Mr Srour. En septembre de la même année, j ai recommencé à faire du vélo. J ai donc récupéré très vite, tout en reprenant mon activité professionnelle avec douceur. Avez-vous suivi une rééducation particulière? S.S. : En fait, j ai été suivie par un kinésithérapeute immédiatement après mon opération alors que j étais encore à l hôpital. J ai travaillé avec lui les gestes du quotidien comme la descente d un escalier. Quels sont pour vous les bénéfices d une telle intervention? S.S. : Ce n est que du bonheur. J ai retrouvé ma vie d avant tout simplement. Je travaille et surtout, je peux à nouveau pratiquer du sport. Aujourd hui, je pratique du sport en moyenne 4 fois par semaine. Mr Srour m a d ailleurs donné son feu vert lors de la dernière consultation pour reprendre le rugby, je suis en effet membre d un club. «Vous auriez quand même pu choisir un autre sport», m a-t-il dit en souriant. Recommenceriez-vous cette opération? S.S. : Un grand oui, sans souci, je le conseille même.
9 Prodisc, la maîtrise du mouvement retrouvé. Prodisc-C Prodisc-L - Préservation de la mobilité : flexion / extension, rotation et inclinaison latérale, restauration de la hauteur du segment concerné tout en limitant les contraintes sur les articulations facettaires par des mouvements guidés et controlés. - Une expérience démontrée : plus de implantations depuis Adaptation anatomique : choix de la taille, de l angle de lordose, insert en Pe disponible en 3 hauteurs, design anatomique de la plaque. - Excellente fixation : primaire grâce à une quille centrale, secondaire grâce à un revêtement en titane poreux pour une croissance osseuse optimale. Instruments et implants approuvés par l AO Foundation 1078 av. Oehmichen B.P etupes Cedex France Tél. : Fax :
10 10 AU QUOTIDIEN CHEZ SYNTHES pendant 3 jours. L objectif est de valider et d approfondir les connaissances acquises, et partager avec mes homologues européens les cas cliniques rencontrés sur le terrain. Mais cette formation ne s arrête pas là, puisque qu elle est complétée tout au long de l année par des formations lors des cours de base de chirurgie maxillo-faciale de l AO (plan théorique et pratique) et des cours dispensés par des chirurgiens français (séances au laboratoire d anatomie). Un programme de contrôle continu des connaissances, incluant des questionnaires et des présentations de cas, se déroulent tout au long de l année. Docteur Jacques Yachouh et Eric Malsert Formation des commerciaux Synthes : une formation en plusieurs étapes Responsable commercial Cranio Maxillo- Faciale de la région Sud-est, eric MALSeRT nous décrit les étapes de formation et de suivi. J ai intégré l équipe Synthes CMF en Septembre 2005 et, dès mon arrivée, j ai bénéficié d un programme de formation très complet en trois étapes : Introductory training, Basic training et Intermediate training. Tout d abord, j ai reçu un manuel de formation comprenant les bases anatomiques et cliniques (voies d abord, pathologies, techniques chirurgicales). Ce manuel m a préparé à l «introductory training» d une durée de 5 jours à Oberdorf (Suisse) pour apprendre les techniques et manipuler le matériel d ostéosynthèse pour la chirurgie maxillo-faciale, cardiaque et aussi neuro. Cette formation, validée par un examen final, est complétée par un stage au bloc opératoire afin d observer les interventions quotidiennes pratiquées. elle m a permis de commencer sur le terrain avec des bases solides. Après trois mois sur le terrain, j ai abordé la deuxième formation : le «basic training» qui se déroule à Paoli (USA) pendant 15 jours. elle est composée de sessions théoriques, pratiques, ainsi que d une présentation d un produit Synthes devant un jury. Un contrôle continu et un examen final valident ce basic training. L «Intermediate training» se déroule au moins six mois après le basic training. Cette formation a lieu à Oberdorf (Suisse) Mon quotidien est de rencontrer les différents interlocuteurs (chefs de service, assistants, cadres de santé, infirmières de bloc opératoire, direction des services économiques, pharmacie, ingénieurs biomédicaux) des hôpitaux et cliniques de ma région. Je présente une gamme de produits d ostéosynthèse destinée à la chirurgie maxillo-faciale, neurochirurgie, ainsi que la chirurgie cardio-thoracique, mais aussi des moteurs et des substituts osseux utilisés dans ces domaines. Cette formation me permet de connaître parfaitement les produits Synthes et leurs applications, pour comprendre les besoins de mes clients et répondre à leurs attentes en leur apportant des solutions concrètes. La formation chez Synthes est un atout qui me permet d être reconnu par mes clients et de me positionner comme un interlocuteur professionnel. Solution p. 11 SUDOKU PETITS PLUS UTILES un seul numéro pour : COMMANDES ,15 TTc / MN ,15 TTc / MN PRÊTS Téléphone : Fax : SAV Téléphone : Fax : Pour toute autre information, le numéro du standard est : Téléphone : Fax : Encore disponible! Procurez-vous les newsletters n 1, 2 et 3 auprès d Emeline Vaillaut au
11 SYNTHES SERA PRÉSENT... SYNTHES SOUTIENT 2-4 Avril ème Cours Supérieur et Pratique sur la Chirurgie Rachidienne (BORDEAUX) 3-4 Avril ème Séminaire SOFOP (AMIENS) 3-4 Avril ème Journées Printemps GETRAUM (STRASBOURG) 3-5 Avril 2008 Congrès de l AFCMF (PARIS) 19 Avril 2008 Journée Plaque LCP Hanche Pédiatrique - Trousseau (PARIS) 6-9 Mai 2008 SAS (MIAMI) Mai 2008 UNAIBODE (CLERMONT-FERRAND) 29 Mai - 1er Juin 2008 EFORT (NICE) 2-6 Juin 2008 Cours de Traumatologie (TOURS) 4-8 Juin ème Congrès de la SFCTCV (VERSAILLES) 6-7 Juin 2008 SFCR (BORDEAUX) Juin 2008 SOO - 41 ème réunion (LE HAVRE) Juin 2008 SOTEST (COLMAR) 2-5 Juillet ème Congrès Français de Stomatologie et Chirurgie Maxillo-Faciale (ROUEN) SOLUTION SUDOKU CONCOURS concours Newsletters n 3 Nous avons le plaisir de communiquer le nom du gagnant du concours organisé dans la newsletter n 3. Dr Laurent Pidhorz, exerçant au CHR de Mans (72) a gagné une place au cours de base AO Trauma du 29 mars au 1er avril A gagner 3 exemplaires du livre AO BON-E APPETIT - THE AO COOKBOOK. Soyez les premiers à répondre! Renvoyez le coupon réponse ci-joint dûment complété avant le 26 mai 2008 et participez au tirage au sort du 30 mai Règlement déposé chez Nathalie Tuaillon, Huissier de Justice à Montbéliard (25) et disponible sur simple demande. Directeur de la publication : Bernard CHAMINADOUR Rédacteur en chef : elisabeth WRZeSINSKI Coordinateur : emeline Vaillaut Crédit photos : Synthes Fondation AO Gerhard Krischker - photo zermatt Getty Images Conception et réalisation :
12 Système d enclouage Expert et si vous pouviez enfin aller plus loin? expert TN expert LFN expert HN expert RAFN Un concept, un système, quatre clous - Des implants aux multiples possibilités de verrouillage pour traiter des fractures encore plus distales ou proximales, plus complexes et /ou ostéoporotiques. - Des implants anatomiques avec différents abords pour un respect des structures musculaires, vasculaires et nerveuses. - Une technique opératoire toujours simple et intuitive. - Une instrumentation aboutie pour une chirurgie optimisée. Instruments et implants approuvés par l AO Foundation 1078 av. Oehmichen B.P etupes Cedex France Tél. : Fax :
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