Quatre interviews pour éclairer ce sujet majeur de l'évolution du droit.
|
|
- Angélique Garon
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Quand le gouvernement oublie de consulter les praticiens. Comment articuler enjeux économiques, politiques et juridiques? Quatre interviews pour éclairer ce sujet majeur de l'évolution du droit. Le projet de loi autorisant le gouvernement à procéder par ordonnance sur ce point vient d'être censuré par le Sénat et l'assemblée nationale. Un bras de fer Exécutif / Parlement en vue. Les principaux professionnels du droit des affaires semblent avoir été oubliés de la consultation. Sont-ils les seuls? Constat n 1 La qualité de rédaction du projet de loi est élevée, et de nombreuses réformes positives sont saluées par la plupart des observateurs. Constat n 2 Mais des choix pour le moins contestables et aux effets majeurs sont poussés par le gouvernement, conduisant à une place accrue du juge et reconsidérant la notion même d'autonomie des parties. Constat n 3 Contrairement à ce qui a été déclaré par le Garde des sceaux, les principales organisations des professionnels du droit des contrats n'ont pas été consultées. La recommandation du Business & Legal Forum. Améliorer le processus de consultation en associant davantage, avant que le projet de loi n'arrive en Conseil des ministres, en incluant ceux qui seront confrontés à l'application des textes, par leur fonction : une voie de progrès concrète, qui fait sens. Philippe Coen, président de l Ecla Hervé Delannoy, président de l AFJE Stéphane Lefer, secrétaire général du Cercle Montesquieu Grégory Mouy, président de la commission droit des sociétés de l ACE Prochaines rencontres : - 13 mars, 18h/20h - Say on pay : à l'heure de sa mise en place. Benchmark international. - 2 avril, 18h/20h Compliance concurrence : ce qui coûte, ce qui marche, ce qui compte. Contact : Karol Van Horton kvh@businessandlegalforum.eu
2 Interview de Philippe Coen président de European Company Lawyers Association Philippe Coen : En tant que représentant des juristes de notre association, je ne peux que le déplorer mais nous n avons pas été consultés. Or, quand on parle d attractivité du droit français, que le gouvernement prenne l avis de ceux qui nous regardent depuis l étranger, qui sont juristes, cela fait sens. On ressent bien que la priorité absolue pour les e n t r e p r i s e s, c e s t l a s é c u r i t é d e s investissements et l attractivité d un pays à l autre, mais aussi l harmonisation ou la cohérence entre les droits au sein de l Union européenne. Or, plus on distingue la France de ses voisins par un droit qui s éloigne de ces objectifs, plus on réduit son attractivité. Quid aussi de la soumission de ce projet à la Commission européenne également, en raison de son influence potentielle sur l économie de l Union. P.C. : C est un bon moyen pour accélérer le mouvement alors qu il faut surtout beaucoup réfléchir. Bien consulter en amont, en associant à ce travail ceux qui écrivent les contrats, les font évoluer, les voient vivre. Les juristes d entreprises de France ne demandent que cela. P.C. : Sur la place que l on envisage de donner au juge, l effet peut être négatif. En donnant l impression que l on veut atteindre l autonomie contractuelle, le cadre juridique français serait plus anxiogène pour les investisseurs étrangers et pour les entreprises françaises aussi d ailleurs! Cela va pousser à analyser les rapports de force entre les contractants. Or, ces rapports évoluent dans le temps et il sera bien difficile, pour ne pas dire impossible, d avoir une grille précise permettant de savoir si, lors de la conclusion, l équilibre atteint était en accord avec l esprit de la loi poussée par le gouvernement. A trop défendre ceux qui se disent faibles contre ceux qui ont l air fort, on risque de porter atteinte à la culture économique du contrat. Enfin, le texte fait référence au projet européen du droit de la vente. Ce texte repose sur une approche optionnelle ; il est par ailleurs truffé de problèmes de définitions, d impasses Citer ce texte, c est s inscrire dans une approche simplificatrice qui n est pas au niveau des enjeux. 2
3 Interview de Hervé Delannoy président de l Association française des juristes d entreprises (A.F.J.E.) Hervé Delannoy : Sauf erreur de ma part, je n ai aucun souvenir d une consultation du gouvernement sur la réforme du droit des contrats. Quand nous sommes sollicités, c est très cadré avec l envoi d un projet, de questions précises et un calendrier. En outre, dans les deux rapports mis en avant par le gouvernement (ceux de François Terré et de Pierre Catala, ndlr), tout à fait intéressants par ailleurs, il est fait référence à des consultations de place qui ne nous évoquent rien. H. D. : Le droit des obligations est presque la grammaire de notre droit. Au premier réflexe je me dis que c est donc du domaine privilégié du législateur. Et puis au regard des lois de plus en plus mal rédigées et du patchwork des amendements opportunistes je m inquiète de ce qui pourrait en résulter pour cette partie essentielle du droit. Le projet se fonde sur les rapports faits collectivement par les meilleurs spécialistes universitaires, l ordonnance est une faculté ouverte par la Constitution, peutêtre est-il préférable pour une refonte de cette importance de préserver ainsi une cohérence et une qualité indispensables à la matière. H. D. : La voie de l ordonnance n exclue pas une consultation des praticiens. Les analyses des professeurs de droit doivent être conjuguées avec celles des magistrats ayant à connaître des contentieux dans ce domaine, des avocats concernés et des juristes d entreprise. De nombreux points du projet sont positifs. Mais certains soulèvent de très délicates questions et risquent de changer des équilibres de fond d un point de vue de l organisation de notre vie économique. Deux exemples parmi d autres. L article 50 introduit l état de faiblesse de manière générale, hors cadre spécifique du droit de la consommation. Cela risque d engendrer une insécurité importante. L article 77 fait quant à lui référence au déséquilibre significatif, tout en précisant que son appréciation ne peut porter ni sur la définition de l objet du contrat, ni sur l adéquation du prix à la prestation. C est aussi dangereux. 3
4 Interview de Stéphane Lefer secrétaire général, Cercle Montesquieu. Stéphane Lefer : Nous n avons pas été du tout consultés. Or, habituellement, nous le sommes régulièrement, directement ou indirectement via l Afep et le Medef. Ce fut le cas récemment pour la réforme sur les tribunaux de commerce ou bien encore en décembre par l Autorité de la concurrence dans le cadre du rapport sur le contrôle des concentrations. Le Cercle peut apporter une vision éclairée de la praticabilité juridique d un texte, donner un avis pertinent je crois sur la mise en œuvre d un dispositif. Comme directeurs juridiques nous sommes soucieux d améliorer la productivité des entreprises pour lesquelles nous travaillons et une réforme du droit des contrats y participe. Plus encore dans un contexte international le droit français et plus particulièrement le droit des contrats doit être adapté à la réalité des entreprises. En conséquence, que les praticiens du droit que nous sommes soient sollicités pour donner leur avis sur le fond des choses nous semblerait pertinent. S.L. : L ordonnance, c est le temps de l urgence et d une concertation limitée. Or, il faut mettre en œuvre une grande concertation sur un sujet comme celui-là, d autant plus qu il s agit de modifier un texte qui a 200 ans et qui a su démontrer son efficacité. De la concertation débouchera l adhésion des praticiens. Procéder par ordonnance est donc surprenant. S.L. : Pourquoi pas une grande conférence réunissant tous les professionnels concernés pour permettre tout d abord une explication de texte et ensuite laisser un délai court à ces praticiens pour réagir. Ensuite il pourrait s agir d un débat parlementaire venant pour le moins, continuer le travail pédagogique. Il n est peut être pas trop tard! Evitons absolument de découvrir dans les années à venir une disposition de cette réforme qui s avérerait impraticable et qui ferait que nos entreprises se détournent du droit des obligations françaises pour choisir dans leurs relations commerciales internationales le droit anglais ou américain. 4
5 Interview de Grégory Mouy président de la commission droit des sociétés de l Association des avocats conseils d entreprises (A.C.E.) Interview de Grégory Mouy, avocat, président de la commission droit des sociétés de l ACE, Association des avocats conseils d entreprises Grégory Mouy : Nous n avons pas été consultés du tout. Et, pour ce que nous en savons, nous n avons pas l impression que les consultations aient été nombreuses. Nous entendons dire qu il faut cependant s attendre à une consultation renforcée par la suite. Nous verrons alors. G.M. : Cette voie est certainement la plus rapide. Elle n est pas du tout incompatible avec une consultation large des intervenants les plus à même de guider le gouvernement sur les sujets abordés. Par opposition, la voie parlementaire peut apparaître à certains comme plus fastidieuse. G.M. : Sur le fond du projet, je note que celuici consiste principalement à codifier le patient travail jurisprudentiel accompli par la Cour de cassation depuis des décennies. A cet égard, aucune révolution du droit des contrats n est à attendre. Mais il y a tout de même des évolutions importantes, allant dans le sens de l affaiblissement de la force obligatoire du contrat. Ce mouvement se dessine depuis trente ans. Avec ce projet, le gouvernement veut aller plus loin, notamment par deux biais. Le premier, en autorisant le juge considérer comme non écrites des clauses créant un déséquilibre significatif entre les droits et obligations des parties, y compris dans les rapports entre professionnels. Or, la notion de déséquilibre significatif, floue et malléable, rendrait imprévisibles les évolutions jurisprudentielles et fragiliserait la sécurité juridique à laquelle aspirent les contractants. En outre, si la volonté du gouvernement de lutter contre les comportements abusifs est salutaire, il reste que cette évolution remettrait en cause l idée fondatrice du Code civil selon laquelle il appartient aux parties contractantes de fixer elles-mêmes librement, par la négociation et les concessions réciproques, les stipulations de leur contrat. L un des autres aspects importants du projet vise à accueillir en droit français la théorie de l imprévision. Le juge serait autorisé à résilier un contrat dont l exécution serait devenue excessivement onéreuse pour le débiteur en raison de l avènement de circonstances nouvelles. Cette proposition devrait recevoir un accueil favorable. 5
LawLex. L excellence en droit économique
LawLex L excellence en droit économique L INFORMATION DE RÉFÉRENCE en droit économique LawLex, société d édition juridique spécialisée en droit économique, offre en ce domaine les produits les plus complets,
Plus en détailCONSIDÉRATIONS SUR LA MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE
Nicolae Cochinescu Juge à la Cour constitutionnelle de la Roumanie CONSIDÉRATIONS SUR LA MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE 1. Conformément à l article 146 de la Constitution de la
Plus en détailMOBILISATION DU NOTARIAT CONTRE LA REFORME DES PROFESSIONS REGLEMENTEES
1 MOBILISATION DU NOTARIAT CONTRE LA REFORME DES PROFESSIONS REGLEMENTEES CONFERENCE DE PRESSE CHAMBRE DES NOTAIRES DE L'ISERE 15 Septembre 2014 Intervention de David AMBROSIANO, président de la Chambre
Plus en détailresponsable? Qui est Sinistres «Nous tenons compte des circonstances de chaque cas»
Sinistres Qui est responsable? «Nous tenons compte des circonstances de chaque cas» Comment l expert en sinistres détermine la responsabilité L incidence de la responsabilité Possibilités d appel Mars
Plus en détailA LA UNE. L indemnisation due en cas de licenciement nul pour violation du statut protecteur est plafonnée à trente mois
NEWSLETTER SOCIALE M A I 2 0 1 5 A LA UNE L indemnisation due en cas de licenciement nul pour violation du statut protecteur est plafonnée à trente mois La loi du 2 août 2005 a porté la durée des mandats
Plus en détail4. Espace serveur et transfert de données
1 CONDITIONS GENERALES WHOMAN WHOMAN : WHISE : Client : Utilisateur(s) : Distributeur WHOMAN : Conditions générales : Annexes : Le logiciel est une plateforme de service telle que décrite sur la page d
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA JUSTICE ET DES LIBERTÉS Décret n o 2010-148 du 16 février 2010 portant application de la loi organique n o 2009-1523 du 10 décembre 2009 relative
Plus en détailLoi N 1/018 du 19 décembre 2002 portant ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE AINSI QUE LA PROCEDURE APPLICABLE DEVANT ELLE
Loi N 1/018 du 19 décembre 2002 portant ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE AINSI QUE LA PROCEDURE APPLICABLE DEVANT ELLE TABLE DES MATIERES CHAPITRE I. DE L ORGANISATION... 4 CHAITRE
Plus en détailN 249552 Section du Contentieux Publié au recueil Lebon M. Stirn, président M. Bernard Stirn, rapporteur SCP BOUZIDI ; BLONDEL, avocats
Conseil d'état N 249552 Section du Contentieux Publié au recueil Lebon M. Stirn, président M. Bernard Stirn, rapporteur SCP BOUZIDI ; BLONDEL, avocats Lecture du 16 août 2002 REPUBLIQUE FRANCAISE AU NOM
Plus en détailN 2345 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE LOI
N 2345 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 DOUZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 25 mai 2005. PROPOSITION DE LOI abrogeant l article 434-7-2 du code
Plus en détailCONDITIONS SPÉCIALES DE L OFFRE INDESIT COMPANY BENELUX
CONDITIONS SPÉCIALES DE L OFFRE INDESIT COMPANY BENELUX Veuillez lire attentivement les présentes Conditions Spéciales de l Offre et les Conditions Générales de l Offre correspondantes. Dans la mesure
Plus en détailIntervention ADRHESS Qu est-ce qu une gestion informatisée du temps de travail réussie?
Intervention ADRHESS Qu est-ce qu une gestion informatisée du temps de travail réussie? Qu est-ce qu une gestion informatisée du temps de travail réussie? Vanessa FAGE- MOREEL, DRH du CHU de Bordeaux et
Plus en détailColloque AJAR du 5 décembre 2013 Le conseil constitutionnel et l assurance
1 Colloque AJAR du 5 décembre 2013 Le conseil constitutionnel et l assurance Principes constitutionnels et assurances de personnes Le cas des assurances de groupe et des assurances sur la vie par Luc Mayaux
Plus en détailCHECKLIST POUR LE CONTRAT D AGENCE COMMERCIALE
CHECKLIST POUR LE CONTRAT D AGENCE COMMERCIALE 1. Introduction Précisez clairement la nature du contrat (agence commerciale autonome, zelfstandige handelsagentuur, Handelsvertretung, commercial agency,
Plus en détailLe financement participatif : L état du droit luxembourgeois
Revue générale du droit Etudes et réflexions 2015 numéro 7 Actes du colloque organisé le 27 juin 2014 par le Centre juridique franco-allemand de l Université de la Sarre : Le Crowdfunding ou financement
Plus en détailAssemblée des États Parties
Cour pénale internationale Assemblée des États Parties Distr. : générale 29 octobre 2013 ICC-ASP/12/47 FRANÇAIS Original : anglais Douzième session The Hague, 20-28 novembre 2013 Rapport de la Commission
Plus en détailSGS ICS - CONDITIONS GÉNÉRALES POUR LES SERVICES DE CERTIFICATION
SGS ICS - CONDITIONS GÉNÉRALES POUR LES SERVICES DE CERTIFICATION 1. DISPOSITIONS GENERALES 1.1 Sauf accord contraire écrit, toute offre faite ou service rendu ainsi que toutes les relations contractuelles
Plus en détailCONSEIL D'ETAT statuant au contentieux N 374699 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE. UNION NATIONALE DES ASSOCIATIONS DE SANTÉ A DOMICILE et autre
CONSEIL D'ETAT statuant au contentieux N 374699 UNION NATIONALE DES ASSOCIATIONS DE SANTÉ A DOMICILE et autre RÉPUBLIQUE FRANÇAISE AU NOM DU PEUPLE FRANÇAIS Ordonnance du 14 février 2014 LE JUGE DES RÉFÉRÉS
Plus en détailCONSEIL DE LA CONSOMMATION AVIS
CC- 441 CONSEIL DE LA CONSOMMATION AVIS Sur une proposition de loi modifiant la loi du 6 avril 2010 relative aux pratiques du marché et à la protection du consommateur (Doc 53-0831/001 à 004) Bruxelles,
Plus en détailAtelier 4: Assurance vie et gestion patrimoniale : nouvelle donne?
Atelier 4: Assurance vie et gestion patrimoniale : nouvelle donne? Président : Brice Leibundgut, Secrétaire général, Predica Intervenants : Philippe Baillot, Directeur banque privée, Bred Maître Michel
Plus en détailALGERIE Loi de finances complémentaire pour 2009 Mesures fiscales
Août 2009 ALGERIE Loi de finances complémentaire pour 2009 Mesures fiscales Comme tous les ans le gouvernement algérien a adopté fin juillet une loi de finances complémentaires (LFC) pour 2009 (Ordonnance
Plus en détailFOCUS: CONFLITS ENTRE MEDECINS : CONCILIATION OU ARBITRAGE?
FOCUS: CONFLITS ENTRE MEDECINS : CONCILIATION OU ARBITRAGE? Fort heureusement, tous les litiges entre médecins ne se terminent pas par une procédure judiciaire. Il existe des moyens juridiques souvent
Plus en détailLa pertinence du choix français de la question préjudicielle de constitutionnalité. Marie Pierre ROUSSEAU
La pertinence du choix français de la question préjudicielle de constitutionnalité Marie Pierre ROUSSEAU Avec l existence du seul contrôle a priori des lois l ordre juridique français n a jusqu à présent
Plus en détailConclusions de Madame l'avocat général Béatrice De Beaupuis -------------------
1 DEMANDE D AVIS N G 13-70.002 (Art. L. 441-1 du code de l'organisation judiciaire) (Art. 1031-1 à 1031-7 du code de procédure civile) (Art. 706-64 et suiv. du code de procédure pénale) TRIBUNAL DES AFFAIRES
Plus en détailOn vous réclame une dette : ce qu il faut savoir
Dessins : Gérard Gautier - Création et réalisation : Esprit Graphique F. Fullenwarth - Impression : Hauts de Vilaine On vous réclame une dette : ce qu il faut savoir Maison de la consommation et de l environnement
Plus en détailCommentaire. Décision n 2014-444 QPC du 29 janvier 2015. Association pour la recherche sur le diabète
Commentaire Décision n 2014-444 QPC du 29 janvier 2015 Association pour la recherche sur le diabète (Acceptation des libéralités par les associations déclarées) Le Conseil constitutionnel a été saisi le
Plus en détail1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!
Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure
Plus en détailLE MAGAZINE DU POKER EN EUROPE MEDIA KIT
LE MAGAZINE DU POKER EN EUROPE MEDIA KIT UN MAGAZINE SPÉCIALISÉ, HAUT DE GAMME ET GRATUIT - Un mensuel gratuit consacré au poker en France et en Europe, 84 pages A4 dos carré, 90g/m². - Une maquette raffinée
Plus en détailLA DÉCISION D'URGENCE PROPOS INTRODUCTIFS
LA DÉCISION D'URGENCE PROPOS INTRODUCTIFS L exécution d un chantier ou d une prestation de service sur une période relativement longue conduit quasi-inévitablement à des divergences de points de vue entre
Plus en détailCONVENTIONS D HONORAIRES EN MATIERE DE DIVORCE MODÈLES
COMMISSION DES TEXTES CONVENTIONS D HONORAIRES EN MATIERE DE DIVORCE MODÈLES Depuis le 1er janvier 2013, la conclusion de conventions d honoraires est devenue obligatoire en matière de divorce, par application
Plus en détailAdresse : Ville : Pays : Code Postal:
En tant que société «équitable», c'est la politique de RusticCo, LLC, (la «Compagnie») de traiter tous les employé(e)s et tous les candidats à l'emploi de façon égale sans tenir compte de leur race, religion,
Plus en détailDélais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM
Délais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM Septembre 2012 Table des matières : 1. Facts and figures :...2 1.1. Lien entre retards de paiement et faillites :... 2 1.2. Délais de paiement...
Plus en détailRésumé du projet (french) http://www.univie.ac.at/phc. Karl Krajic Jürgen Pelikan Petra Plunger Ursula Reichenpfader
Résumé du projet (french) http://www.univie.ac.at/phc Karl Krajic Jürgen Pelikan Petra Plunger Ursula Reichenpfader Institut Ludwig Boltzmann de sociologie de la santé et de la médecine Avril 2001 Introduction
Plus en détailTRIBUNAL ADMINISTRATIF DE LA BANQUE AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT. QUORUM: Professeur Yadh BEN ACHOUR Président
TRIBUNAL ADMINISTRATIF DE LA BANQUE AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT QUORUM: Professeur Yadh BEN ACHOUR Président Juge Salihu Modibo Alfa BELGORE Vice-président Juge Anne L. MACTAVISH Membre Juge Benjamin Joses
Plus en détailRAPPORT DE STAGE ET RÉSUMÉ
RAPPORT DE STAGE ET RÉSUMÉ Instructions: 1. Le rapport doit être renvoyé au REFJ (exchanges@ejtn.eu) dans le mois suivant le stage. 2. Veuillez utiliser le formulaire ci-dessous pour rédiger votre rapport
Plus en détailLA FAUTE MEDICALE : L assurance de responsabilité civile UIA SOFIA 2014
LA FAUTE MEDICALE : L assurance de responsabilité civile UIA SOFIA 2014 Assurance des praticiens Un praticien peut être amené à répondre de ses actes (ou omissions) à un triple niveau selon l objectif
Plus en détailFORUM FRANCO ALLEMAND du 10 décembre 2008. Participation de Me Jean TARRADE, notaire à PARIS à la 3 ème table ronde
FORUM FRANCO ALLEMAND du 10 décembre 2008 Participation de Me Jean TARRADE, notaire à PARIS à la 3 ème table ronde QUESTION : Commentaires sur la pratique notariale en France On présente souvent le notaire
Plus en détailComment ouvrir son capital à. investisseurs.
Comment ouvrir son capital à des investisseurs? Introduction La vie d une entreprise et son développement connaîtront de nombreuses étapes qui constitueront pour son actionnaire dirigeant autant d occasions
Plus en détailPROTOCOLE DE LA COUR DE JUSTICE DE L UNION AFRICAINE
PROTOCOLE DE LA COUR DE JUSTICE DE L UNION AFRICAINE 1 PROTOCOLE DE LA COUR DE JUSTICE DE L UNION AFRICAINE Les Etats membres de l Union africaine : Considérant que l Acte constitutif a créé la Cour de
Plus en détailL accès aux soins dans l Union européenne. Information sur les droits des patients en Europe. Finances. Achats. e-commerce. Santé. Tourisme.
Finances Achats e-commerce Santé Tourisme Véhicules Immobilier énergie Justice L accès aux soins dans l Union européenne Information sur les droits des patients en Europe Sommaire L accès aux soins La
Plus en détailDillenschneider Favaro & Associés
Dillenschneider Favaro & Associés cabinet d avocats paris luxembourg une histoire commune Des expériences professionnelles différentes et des expertises complémentaires ont fondé une histoire commune quand
Plus en détailConsolidation et codification, simplifier et faciliter l accès au droit
FORUM EUROPEEN DES JOURNAUX OFFIICIIELS Grroupe de Trravai ill "Aveniir des publliicattiions offffiiciielllles" Consolidation et codification, simplifier et faciliter l accès au droit Rééuunni iioonn aannnnuueel
Plus en détailTABLE DES MATIERES. Section 1 : Retrait... 20-22 Section 2 : Renonciation... 23-25 Section 3 : Nullité... 26-28
Ordonnance n 03-08 du 19 Joumada El Oula 1424 correspondant au 19 juillet 2003 relative à la protection des schémas de configuration des circuits intégrés TABLE DES MATIERES Articles Titre I : Dispositions
Plus en détailBig Data: les enjeux juridiques
Big Data: les enjeux juridiques J O S Q U I N L O U V I E R, A V O C A T S C P L E C L E R E & L O U V I E R J O U R N É E R N B «BIG D A T A» C L U S T R N U M E R I Q U E 2 8 / 0 4 / 2 0 1 5 INTRODUCTION
Plus en détailDroit civil anglais et automobiliste étranger. Justice ou profit pour les avocats?
Droit civil anglais et automobiliste étranger Justice ou profit pour les avocats? Programme Les principes de base La procédure civile L usage du droit Principes de base La loi anglaise se fonde sur des
Plus en détailI. INTRODUCTION : II. ANALYSE DE QUELQUES DISPOSITIONS DU CODE JUDICIAIRE :
LA COPROPRIETE ET SON CONTENTIEUX : SUITE DE L ANALYSE ET DES POSSIBLES REFORMES DE LA LOI. De Pierre ROUSSEAUX, avocat,président S.N.P. CHARLEROI I. INTRODUCTION : Conférer des droits et des obligations
Plus en détailLa suppression du poste de gardien
La suppression du poste de gardien Comment ça marche Comment ça marche? Pourquoi supprimer? Avantages et inconvénients? Quelles économies? Cadre légal et réglementaire Réduction n est pas suppression Si
Plus en détailLEGAL FLASH I BUREAU DE PARÍS
LEGAL FLASH I BUREAU DE PARÍS Décembre 2014 SOMMAIRE PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE ENTREE EN VIGUEUR LE 1ER OCTOBRE 2014 DU DECRET N 2014-917 DU 19 AOUT 2014 (ARTICLE D.411-1-3 CPI) 3 ORDONNANCE 2014-1348 DU
Plus en détailAccord d Hébergement Web Mutualisé
Les Conditions qui suivent s appliquent aux services d hébergement Web mutualisé et aux services associés de Radiant achetés sur le site Web de Radiant ou sur les sites d autres partenaires. D autres services
Plus en détailCAP Assurance de Protection juridique
Clients privés/clients entreprises CAP Assurance de Protection juridique Protection juridique globale pour tous: privalex, firmalex et contrat spécial w.cap.ch A company of Il est important d avoir des
Plus en détailREPUBLIQUE FRANCAISE. Contentieux n A.2009.002 et A.2009.007
REPUBLIQUE FRANCAISE 1 COUR NATIONALE DE LA TARIFICATION SANITAIRE ET SOCIALE Contentieux n A.2009.002 et A.2009.007 Président : M. DURAND-VIEL Rapporteur : Mme WOLF Commissaire du gouvernement : Mme PICARD
Plus en détailRapport remis à Monsieur Pascal Clément, Garde des Sceaux, Ministre de la Justice
RAPPROCHEMENT ENTRE LES PROFESSIONS D AVOCAT ET DE JURISTE D ENTREPRISE REFLEXIONS ET PROPOSITIONS Rapport remis à Monsieur Pascal Clément, Garde des Sceaux, Ministre de la Justice TABLE DES MATIERES Introduction
Plus en détailProposition de directive relative au timeshare 1
Proposition de directive relative au timeshare 1 - Avis de l ULC - Les sollicitations et engagements de timeshare concernant les consommateurs luxembourgeois s effectuent essentiellement à l étranger d
Plus en détailFédération Nationale des Organismes de Gestion des Établissements de l Enseignement Catholique Questions Réponses Le mandat
277 rue Saint-Jacques 75240 PARIS Cedex 05 Tél. : 01.53.73.74.40 - Fax : 01.53.73.74.44 - mail : contact@fnogec.org Questions Réponses Le mandat 2 La référence unique de mandat (RUM) 3 La prénotification
Plus en détailEtude réalisée dans le contexte de la conférence AFCDP sur la NOTIFICATION DES «ATTEINTES AUX TRAITEMENT DE DONNEES PERSONNELLES»
Etude réalisée dans le contexte de la conférence AFCDP sur la NOTIFICATION DES «ATTEINTES AUX TRAITEMENT DE DONNEES PERSONNELLES» Palais du Luxembourg Paris - 23 mars 2010 Pilote du questionnaire : Bruno
Plus en détailDiscours d ouverture de Michèle Bourque présidente et première dirigeante Société d assurance-dépôts du Canada Ottawa mercredi 6 février 2013
1 Première conférence du Comité régional de l AIAD (Association internationale des assureurs-dépôts) pour l Amérique du Nord sur les règlements transfrontières et les institutions-relais Discours d ouverture
Plus en détailPosition de la COFACE en matière de prévention du surendettement: le «Fichier positif» ou la centrale des historiques de crédit
Confédération des Organisations Familiales de l Union européenne Confederation of Family Organisations in the European Union Position de la COFACE en matière de prévention du surendettement: le «Fichier
Plus en détailContrat de création d un site web
http://www.droitbelge.net infos@droitbelge.net Contrat de création d un site web Auteur: Me Frédéric Dechamps, avocat AVERTISSEMENT Ce document est une version d évaluation du contrat. Il a pour seul objectif
Plus en détailCirculaire de la DACG n CRIM 08-01/G1 du 3 janvier 2008 relative au secret de la défense nationale NOR : JUSD0800121C
Secret de la défense nationale Circulaire de la DACG n CRIM 08-01/G1 du 3 janvier 2008 relative au secret de la défense nationale NOR : JUSD0800121C Textes source : Articles 413-5, 413-7, 413-9 à 413-12,
Plus en détailPrise de position du CNUE concernant la proposition de directive horizontale relative aux droits des consommateurs
Prise de position du CNUE concernant la proposition de directive horizontale relative aux droits des consommateurs Les notaires d Europe réunis au sein du CNUE suivent avec grand intérêt les travaux des
Plus en détailLa saisie-contrefaçon Présentation générale
SciencesPo Master Droit Économique, Spécialité Propriété Intellectuelle Assurer la preuve (2/6), Présentation générale Isabelle ROMET Paris Lyon www.veron.com Plan 1. Les textes 2. Principes généraux 3.
Plus en détailDélais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM
Délais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM Mars 2013 RÉSUMÉ :... 2 NOTE INTÉGRALE :... 3 1. LIEN ENTRE RETARDS DE PAIEMENT ET FAILLITES :... 3 2. DÉLAIS DE PAIEMENT... 4 3. RETARDS
Plus en détailFinancement et régulation des pensions
Faculté de droit et de criminologie Faculté des Sciences (Institut de Statistique, Biostatistique et Sciences Actuarielles -ISBA) CERTIFICAT D UNIVERSITÉ (12 CRÉDITS ECTS) Financement et régulation des
Plus en détailBelgique et migration. L Office des Étrangers
FR Belgique et migration L Office des Étrangers Table des matières Avant-propos 1 Mission et valeurs 2 Structure et organisation 3 Compétences 4 Accès et séjour 4 Asile 6 Retour 7 Litiges et recours 8
Plus en détailQuelles sont les règles d or : réseaux sociaux, référencement, CGV, plate-forme, site e-commerce
////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////// Peut-on encore réussir sur internet en 2014? //////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailExpert. en Protection Sociale Complémentaire
Expert en Protection Sociale Complémentaire Notre métier _Optimiser les régimes de protection sociale dans l intérêt mutuel des employeurs et des salariés. COLLECteam La force d un groupe Filiale du groupe
Plus en détailF RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S. sur
F RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S sur L AVANT-PROJET DE PLAN D ACTION EN MATIERE DE RESPONSABILITE SOCIETALE DES ENTREPRISES EN BELGIQUE *** 2 Dans sa lettre du 10 juillet
Plus en détailLE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand
LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand Guillaume Wicker Professeur à l Université Montesquieu - Bordeaux IV 1 Je commencerais par cette interrogation : est-il
Plus en détailBulletin de Litige. Le nouveau Code de procédure civile : une approche favorisant la négociation entre les parties, la médiation et l arbitrage
Mai 2014 Bulletin de Litige Le nouveau Code de procédure civile : une approche favorisant la négociation entre les parties, la médiation et l arbitrage Le projet de Loi numéro 28 instituant le nouveau
Plus en détailCONVENTION ENTRE LA REPUBLIQUE FRANCAISE ET LE ROYAUME DU MAROC RELATIVE AU STATUT DES PERSONNES ET DE LA FAMILLE ET A LA COOPERATION JUDICIAIRE
CONVENTION ENTRE LA REPUBLIQUE FRANCAISE ET LE ROYAUME DU MAROC RELATIVE AU STATUT DES PERSONNES ET DE LA FAMILLE ET A LA COOPERATION JUDICIAIRE Décret n 83-435 DU 27 mai 1983 (publié au J.O du1er juin
Plus en détailMASTER DROIT, ECONOMIE, GESTION Mention DROIT PUBLIC
Adopté par le conseil d UFR le 10 juillet 2013 Voté au CA du 1 er octobre 2013 Adopté par la CFVU du 09 septembre 2013 MASTER DROIT, ECONOMIE, GESTION Mention DROIT PUBLIC Master année 1 Arrêté d habilitation
Plus en détailLE GUIDE DES E-CONSOMMATEURS
? Vous achetez en ligne Alors suivez notre guide! EDITION 2012 LE GUIDE DES E-CONSOMMATEURS VOUS SAUREZ TOUT SUR L'ACHAT EN LIGNE! AVEC NOTRE GUIDE DU CYBER SHOPPING! UN GUIDE DE LA «2 Éditorial Partant
Plus en détailArticle 1654 Le mariage est un contrat solennel entre deux personnes de sexe opposé qui souhaitent s unir et former une famille.
Concours European Law Moot Court 2013-2014 Affaire M- 564/13, Spyridon et autres c. le Ministre de l Immigration et de la Naturalisation et le Directeur Général de la Santé 1. La Principauté de Brandoa
Plus en détailLe rôle du syndic. Introduction
Le rôle du syndic Introduction Le syndic constitue un concept nouveau dans la société marocaine. Il est apparu avec l apparition de la copropriété. Celle ci a été régie pendant longtemps par le Dahir de
Plus en détailRevue d actualité juridique de la sécurité du Système d information
Revue d actualité juridique de la sécurité du Système d information Me Raphaël PEUCHOT, avocat associé FOURMANN & PEUCHOT 16 mars 2011 THÈMES ABORDÉS : 1. Cloud computing : les limites juridiques de l
Plus en détailLAR Police IZEO pour mandataires sociaux
Protection juridique DES MANDATAIRES SOCIAUX CONDITIONS SPECIALES Définition 1. Membre IZEO : Indépendant société qui o a payé pour la 1ère fois la cotisation annuelle au profit d IZEO en vue de faire
Plus en détail1 - Quels sont les principaux obstacles rencontrés à la mise en accessibilité?
1 Audition de Claire-Lise Campion C.E.S.E. 30 avril 2014 Seul le prononcé fait foi 1 - Quels sont les principaux obstacles rencontrés à la mise en accessibilité? Rappel : la loi du 11 février 2005 prévoit
Plus en détailLes nouvelles règles en matière de délais de paiement
Les nouvelles règles en matière de délais de paiement par M e Marc THEWES Avocat à la Cour Chargé de Cours à l Université du Luxembourg Le 6 mai 2004 a eu lieu la publication au Mémorial de la loi du 18
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES
RÉPUBLIQUE DU BÉNIN COUR CONSTITUTIONNELLE REGLEMENT INTERIEUR TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES Article 1 er : Le présent Règlement Intérieur est pris en application des dispositions de la Loi n 90-032
Plus en détailMÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC
MÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC Québec, le 21 février 2000 2. PRÉAMBULE La Fédération des médecins
Plus en détailQu est-ce que je dois faire lorsque je reçois une assignation à comparaître?
Être un témoin Qu est-ce qu un témoin? Le témoin est celui à qui il est demandé de se présenter devant le tribunal pour répondre à des questions sur une affaire. Les réponses données par un témoin devant
Plus en détail«Selon les chiffres de la BNS, l évasion fiscale prospère»
«Selon les chiffres de la BNS, l évasion fiscale prospère» * Précision apportée par l auteur, publiée le 26 novembre. Voir en fin d'article Gabriel Zucman vient de publier un livre, «La Richesse cachée
Plus en détailUn autre signe est de blâmer «une colère ouverte qui débute par le mot TU».
Le besoin de contrôler Le comportement compulsif de tout vouloir contrôler n est pas mauvais ou honteux, c est souvent un besoin d avoir plus de pouvoir. Il s agit aussi d un signe de détresse; les choses
Plus en détailACQUISITIONS EN CHINE : ACHAT D ACTIFS OU PRISE DE PARTICIPATION?
Le marché chinois des fusions-acquisitions offre chaque année davantage d opportunités aux investisseurs étrangers: en 2010, le montant de transactions impliquant des entreprises étrangères s élevait à
Plus en détailNous avons fixé 10 objectifs ambitieux repris sur notre site Internet www.iexpj.be sous la rubrique Accueil.
IEXPJ NEWSLETTER Institut des experts judiciaires N 1 JUILLET 2011 Voici le 1 er numéro de notre lettre d information dénommée «IEXPJ Newsletter», laquelle paraîtra mensuellement sauf en mars, juin, août,
Plus en détailCommande publique. 1. Une question délicate : la détermination du champ d application de l article 2.I. de la loi «MURCEF»
Compétence juridictionnelle à l égard des contrats d assurance souscrits par les personnes publiques : retour vers une interprétation raisonnable de la loi «MURCEF» Par Florence Caille La première chambre
Plus en détailCLAUSE DE NON CONCURRENCE (CNC)
CLAUSE DE NON CONCURRENCE (CNC) La concurrence est la situation dans laquelle se trouve une personne ou une entreprise par rapport à une ou plusieurs autres lorsque, tout en faisant des profits, elle peut
Plus en détailLES NOUVELLES CONTRAINTES EN MATIERE DE MARCHES PUBLICS
LES NOUVELLES CONTRAINTES EN MATIERE DE MARCHES PUBLICS I - PREAMBULE Jusqu à présent, la majorité des achats d équipements effectués par les services échappaient à la réglementation relative aux marchés
Plus en détailLe travail continue! Message du président
Bulletin / avril 2014 Section Télébec Message du président Le travail continue! L hiver est maintenant derrière nous et les beaux jours du printemps sont à notre porte. Enfin, diront certains. Mais, quelle
Plus en détailJOURNEES COLOMBIENNES
JOURNEES COLOMBIENNES 24 28 SEPTEMBRE 2007 Questionnaire relatif au thème n 1 LES CONTRATS DU CONSOMMATEUR Monsieur le Recteur Fernando HINESTROSA Professeur à l Université Externado de Colombie Calle
Plus en détailLes dispositions à prendre lors de la prise de fonction du tuteur
TRIBUNAL D INSTANCE D AMIENS Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction du tuteur Ces dispositions ne concernent pas les renouvellements à l identique des mesures de tutelle. Par contre, si
Plus en détailLes Licences Libres Ouverture et Protection des Logiciels. Plan
Les Licences Libres Ouverture et Protection des Logiciels Daniel Quintart Avocat au barreau de Bruxelles juris@belgacom.net CETIC 1 Plan Préliminaires Première partie Aperçu de la protection des logiciels
Plus en détail1 - Les conditions légales et réglementaires
LES REMPLACEMENTS 1. Les conditions légales et réglementaires 2. Formalités diverses - obligations 3. Responsabilités du médecin remplacé et du médecin remplaçant 1 1 - Les conditions légales et réglementaires
Plus en détailIFRS 10 États financiers consolidés
IFRS 10 États financiers consolidés PLAN DE LA PRÉSENTATION Aperçu Application Dispositions transitoires Prochaines étapes Ressources PRÉSENTATEURS Alex Fisher, CPA, CA Directeur de projets, Orientation
Plus en détailNuméro du rôle : 5263. Arrêt n 151/2012 du 13 décembre 2012 A R R E T
Numéro du rôle : 5263 Arrêt n 151/2012 du 13 décembre 2012 A R R E T En cause : la question préjudicielle relative à l article 334 de la loi-programme du 27 décembre 2004, tel qu il a été modifié par l
Plus en détailA C S E L L'ASSOCIATION DE L'ECONOMIE NUMERIQUE
Consultation ARCEP (janvier 2011) «Propositions afin d améliorer les offres faites aux consommateurs de services de communications électroniques» Les réponses de l ACSEL Préambule En réponse à la consultation
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE n 102 (1 er avril au 30 juin 2006)
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE n 102 (1 er avril au 30 juin 2006) Circulaires de la Direction des affaires criminelles Signalisation des circulaires du 1 er avril au 30 juin 2006 Circulaire
Plus en détail