le marché de la vidéo

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "le marché de la vidéo"

Transcription

1 les dossiers du CNC nº 321 mars 2012 une publication du Centre national du cinéma et de l image animée 12 rue de Lübeck Paris Cedex 16 direction des études, des statistiques et de la prospective tél / fax direction de la communication tél / fax le marché de la vidéo les dossiers du CNC nº 321 mars 2012 les dossiers du CNC nº 321 mars 2012 le marché de la vidéo le marché de la vidéo la vidéo physique, les pratiques, l équipement, la vidéo à la demande, la télévision de rattrapage

2

3

4

5 les dossiers du CNC nº 321 mars 2012 le marché de la vidéo le marché de la..... vidéo physique en p les pratiques vidéo en p l équipement audiovisuel des ménages en p la..... télévision de rattrapage (tvr) p le marché de la..... vidéo à.... la demande p le..... marché européen de la vidéo en p

6

7 01 le marché de la vidéo physique en

8 01 le marché de la vidéo physique en Précisions méthodologiques Les dépenses des ménages en vidéo physique sont évaluées par l institut GfK à partir des ventes réalisées dans les grandes surfaces alimentaires, les grandes surfaces spécialisées, de la vente par correspondance et des ventes sur internet. Ces chiffres n incluent pas les ventes en kiosques ni dans les stations services. Ils excluent également le segment de la location. Les évaluations de GfK sur les dépenses des ménages français en vidéo physique s entendent hors films ou programmes pour adultes. À chaque support (VHS, DVD, Blu-ray) sont associés un genre (film ou hors film, fiction, animation, documentaire, humour, ) et une nationalité. Ce rapprochement est effectué à partir des données du CNC. Sont considérées comme «films» toutes les œuvres ayant fait l objet d une exploitation en salles préalable à l exploitation sur le marché de la vidéo. Les nationalités et les genres retenus pour les œuvres cinématographiques sont ceux enregistrés par le CNC. Depuis 2007, les données de GfK présentent deux modifications par rapport aux années précédentes : le segment de la VHS est exclu du périmètre d analyse car il ne génère quasiment plus de recettes et les supports haute définition sont inclus. Le Blu-ray, support développé par Sony, est depuis 2008 le support de référence pour la haute définition. en ce qui concerne les points de vente, le marché des ventes sur internet est distingué de l ensemble des «autres points de vente». A Évolution du marché : -8,2 % en volume, -9,2 % en valeur En, les Français ont dépensé 1,26 Md en achats de DVD et de Blu-ray. Après deux années relativement stables, la dépense des ménages en vidéo physique diminue de 9,2 %. Sur l ensemble vidéo constitué par le DVD et les supports haute définition, le DVD capte 83,4 % du marché en (87,5 % en 2010) et ses recettes reculent de 13,5 %. En volume, près de 120 millions de DVD sont vendus en, soit 11,1 % de moins qu en Le chiffre d affaires du Blu-ray progresse de 20,4 % entre 2010 et pour atteindre 209,1 M et plus de 12,8 millions de disques vendus. Contrairement aux années précédentes, les ventes de Blu-ray ne compensent pas la baisse du chiffre d affaires des DVD. En raison de la disparition du support, les ventes de VHS sont désormais exclues de la mesure du marché de la vidéo. En, la VHS génère 0,5 M de recettes pour un peu plus de unités vendues, contre 0,9 M et unités en A Évolution du chiffre d affaires du marché vidéo de détail (M ) 1 VHS DVD Blu-ray 2 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. 2 Ce support, développé par Sony, s est imposé en 2008 comme le support de référence pour la haute définition. Source : CNC GfK évol. 11/10 A évol. 11/10 A VHS DVD Blu-ray 2 total 114, ,58 _ 1 958,82 26, ,30 _ 1 784,18 4, ,69 _ 1 659,17 _ 1 479,86 14, ,13 _ 1 330,98 51, ,44 _ 1 277,06 107, ,39 _ 1 211,68 173, ,42 _ 1 048,37 209, ,51 _ -13,5 % +20,4 % -9,2 % Chiffre d affaires vidéo selon le support (M ) 1 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. 2 Ce support, développé par Sony, s est imposé en 2008 comme le support de référence pour la haute définition. Source : CNC GfK. VHS DVD Blu-ray 2 total 10,38 121,73 _ 132,11 3,62 139,79 _ 143,41 1,01 135,36 _ 136,37 _ 130,50 0,54 131,04 _ 126,02 2,16 128,18 _ 135,58 5,28 140,87 _ 134,44 9,69 144,13 _ 119,54 12,82 132,36 _ -11,1 % +32,3 % -8,2 % Vidéogrammes vendus selon le support (millions) 1 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. 2 Ce support, développé par Sony, s est imposé en 2008 comme le support de référence pour la haute définition. Source : CNC GfK. 6 le marché de la vidéo / le dossier du CNC numéro 321 / mars 2012

9 B Poursuite de la baisse des prix En, le prix moyen de vente d un DVD de catalogue vendu à l unité progresse de 0,7 % à 8,41 (8,35 en 2010). Celui des nouveautés (références vendues depuis moins de six mois) recule de 0,4 % à 18,29. Tous conditionnements inclus, le prix moyen des nouveautés présente une diminution de 3,5 % à 13,43 en. Les ventes de DVD entre 17 et 20 représentent la principale tranche de prix du marché avec 25,9 % du chiffre d affaires total, contre 28,3 % en En volume, les DVD vendus entre 3 et 8 constituent la principale tranche de prix avec 32,4 % des volumes en, contre 29,9 % en En, les ventes de DVD à moins de 3 représentent 0,6 % du chiffre d affaires (0,8 % en 2010) et 4,5 % des volumes (5,7 % en 2010). Le prix moyen d un support Blu-ray de nouveauté vendu à l unité est en baisse de 2,9 % à 23,65 (24,37 en 2010). Le prix d un Blu-ray de catalogue vendu à l unité est en baisse de 10,5 % en à 12,85. L essentiel des supports Blu-ray est vendu entre 10 et 17 (40,0 % des volumes). Toutefois, la plus grande part du chiffre d affaires du Blu-ray (46,1 %) est réalisée sur des supports vendus entre 20 et 30 (56,1 % en 2010) qui représentent 38,6 % du volume total des supports Blu-ray (47,2 % en 2010) évol. 11/10 B nouveautés 3 catalogue nouveautés 3 catalogue 22,70 11, ,99 9, ,99 9, ,66 9, ,85 8,56 25,41 23, ,13 7,49 22,65 16, ,92 6,98 22,35 13, ,43 6,95 20,16 12, ,5 % -0,4 % -9,8 % -5,6 %... Évolution du prix moyen des supports ( ) 1 1 Prix moyen calculé en volume éclaté. 2 Ce support, développé par Sony, s est imposé en 2008 comme le support de référence pour la haute définition. 3 Références vendues depuis moins de 6 mois. Source : CNC GfK. DVD Blu-ray 2 C Nouvelle diminution des recettes du hors film Pour la cinquième année consécutive, le hors film affiche un recul de ses recettes vidéo (-9,5 % par rapport à 2010). Il représente 35,6 % du marché (448,1 M ), contre 35,7 % en En volume, les ventes de hors film diminuent également de 8,8 % avec près de 59 millions d unités vendues en et sont inférieures à celles du film pour la troisième année consécutive. En valeur, le cinéma continue de dominer le marché de la vidéo. Les films cinématographiques réalisent 767,4 M de recettes, soit 61,0 % du total en. Cette part de marché est en diminution par rapport à 2010 (61,3 %). Soutenues par le Blu-ray (+16,5 % en valeur entre 2010 et ), les recettes des films en vidéo affichent néanmoins une diminution de 9,7 % par rapport à En volume, plus de 65 millions des supports vendus contiennent une œuvre cinématographique en, soit une diminution de 7,6 % par rapport à l année précédente. est également marquée par une légère progression du chiffre d affaires des opérations promotionnelles (+3,1 %) qui représentent 3,3 % des recettes du secteur (2,9 % en 2010). Les opérations promotionnelles sans indication de titre demeurent limitées et concernent principalement des opérations réalisées dans les solderies. 100 % 80 % 60 % 40 % 20 % 0 C 6,6 33,2 60,2 5,3 38,4 56,2 3,0 44,5 52,5 2,7 44,4 53,0 2,4 41,7 55, Répartition du chiffre d affaires vidéo selon le contenu (%) 1 films hors film opérations promotionnelles 2 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. 2 Opérations promotionnelles sans indication de titre. Source : CNC GfK. 3,1 38,5 58,4 2,9 3,3 35,7 35,6 61,3 61, évol. 11/10 C évol. 11/10 C opérations films hors film promotionnelles 2 total 1 179,62 650,52 128, , ,23 685,63 95, ,18 870,44 738,39 50, ,17 791,20 663,20 39, ,13 772,56 576,44 33, ,44 808,40 532,74 43, ,39 849,60 495,00 40, ,42 767,35 448,05 42, ,51-9,7 % -9,5 % +3,1 % -9,2 % Chiffre d affaires vidéo selon le contenu (M ) 1 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. 2 Opérations promotionnelles sans indication de titre. Source : CNC GfK. opérations films hors film promotionnelles 2 total 65,43 43,40 23,28 132,11 63,47 53,25 26,68 143,41 59,62 65,10 11,65 136,37 58,43 65,49 7,11 131,04 58,45 63,47 6,26 128,18 66,73 65,39 8,74 140,87 71,35 64,66 8,12 144,13 65,94 58,97 7,46 132,36-7,6 % -8,8 % -8,2 % -8,2 % Vidéogrammes vendus selon le contenu (millions d unités) 1 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. 2 Opérations promotionnelles sans indication de titre. Source : CNC GfK. Le marché de la vidéo / le dossier du CNC numéro 321 / mars

10 01 le marché de la vidéo physique en D Diminution des recettes des films français En, la part de marché des films français sur le marché de la vidéo s établit à 21,5 % en valeur, contre 21,3 % en ,26 millions de DVD et de Blu-ray de films français ont été vendus en, contre 15,84 millions en 2010 (-3,6 %). Le cinéma français génère 164,7 M de recettes en, en baisse de 9,1 % par rapport à l année précédente. Les films français réalisent 10,0 % du chiffre d affaires des ventes de films en Blu-ray en et 25,0 % du chiffre d affaires des ventes de films en DVD. Quatre films français figurent parmi les vingt meilleures ventes en valeur de films en vidéo en (deux en 2010) : Rien à déclarer (4 e du classement des films), les Petits Mouchoirs (7 e ), Des hommes et des dieux (11 e ) et Arthur 3 la guerre des deux mondes (13 e ). Forte diminution des ventes de films américains Le chiffre d affaires des films américains en vidéo affiche une baisse de 15,1 % à 464,1 M en. Leur part de marché diminue à 60,5 % (64,3 % en 2010). En volume, plus de 40 millions de DVD et Blu-ray de films américains ont été achetés en (-11,5 % par rapport à 2010). Les films américains réalisent 71,3 % du chiffre d affaires des ventes de films en Blu-ray et 57,1 % de chiffre d affaires des ventes de films en DVD. En, les films américains réalisent six des dix meilleures performances des films en vidéo physique (huit en 2010). Star Wars l intégrale se place en troisième position du classement en valeur. Raiponce (5 e ), Pirates des Caraïbes la fontaine de jouvence (6 e ), Cars 2 (8 e ), le Roi Lion (9 e ) et Fast and Furious 5 (10 e ) complètent la liste des meilleurs succès américains de l année. En, le chiffre d affaires des films européens non français en vidéo augmente pour la deuxième année consécutive (+14,9 % par rapport à 2010). La part de marché des films européens s établit à 15,2 %, contre 11,9 % en Elle est notamment assurée par trois films britanniques : Harry Potter et les reliques de la mort partie 2, premier du classement des films en valeur, Harry Potter et les reliques de la mort partie 1, qui occupe la 2 e place et Inception à la 16 e place. La part de marché des films non européens et non américains progresse à 2,9 % (2,4 % en 2010). films films films français américains européens 2 autres films total évol. 11/10 D 253,37 719,00 85,59 121, , ,96 645,32 70,28 58, , ,69 523,31 106,84 41,60 870, ,08 497,80 78,67 32,65 791, ,03 483,52 93,29 19,71 772, ,89 519,31 90,04 22,16 808, ,17 546,36 101,40 20,68 849, ,68 464,07 116,47 22,13 767, ,1 % -15,1 % +14,9 % +7,0 % -9,7 %... Chiffre d affaires des films en vidéo selon la nationalité (M ) 1 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. 2 Europe continentale (de l Atlantique à l Oural), hors France. Source : CNC GfK. 100 % 80 % 60 % 40 % 20 % 0 D 10,3 5,8 4,8 4,1 2,6 2,7 2,4 2,9 7,0 7,3 12,3 9,9 12,1 11,1 11,9 15,2 64,3 61,0 60,1 62,9 62,6 64,2 64,3 60,5 21,5 22,8 22,8 23,0 22,8 21,9 21,3 21, Répartition du chiffre d affaires des films en vidéo selon la nationalité (%) 1 films français films américains films européens 2 autres films 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. 2 Europe continentale (de l Atlantique à l Oural), hors France. Source : CNC GfK. 8 le marché de la vidéo / le dossier du CNC numéro 321 / mars 2012

11 E F En, le segment des programmes de fiction En, les longs métrages d animation réalisent 17,4 % du chiffre d affaires du cinéma en vidéo, contre 13,9 % en Les recettes associées au genre progressent de 12,8 % à 133,3 M. Raiponce, Cars 2, le Roi Lion, Arthur 3 la guerre des deux mondes et Rio, respectivement 5 e, 8 e, 9 e 13 e et 20 e au classement des ventes de films en, contribuent notamment au niveau atteint par l animation cinématographique en vidéo. Le documentaire cinématographique affiche une forte diminution de son chiffre d affaires vidéo (-34,9 %). Il génère moins de 7 M de recettes et réalise 0,9 % de l ensemble des revenus des œuvres cinématographiques en vidéo. Aucun documentaire ne figure parmi les vingt meilleures ventes en valeur de films en vidéo en (un film en 2010). Le premier documentaire du classement, Océans, se situe à la 74 e place évol. 11/10 E fiction animation documentaire total 1 027,39 147,35 4, ,62 824,46 154,35 24, ,23 736,13 125,32 8,99 870,44 676,46 109,42 5,32 791,20 654,72 109,71 8,13 772,56 681,33 118,48 8,59 808,40 720,82 118,16 10,61 849,60 627,04 133,34 6,91 767,30-13,0 % +12,8 % -34,9 % -9,7 % Chiffre d affaires des films en vidéo selon le genre (M ) 1 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. Source : CNC GfK. Hors film : tous les genres en recul En, tous les segments du marché du hors film affichent une baisse de leur chiffre d affaires. Les recettes de la fiction en vidéo reculent de 6,1 % à 233,5 M en. La fiction représente 52,1 % des recettes du hors film en vidéo et demeure le genre le plus vendu sur ce segment (50,2 % en 2010). Depuis 2004, la part de marché de la fiction au sein du hors film a progressé de 22,0 points. Les recettes de la fiction française progressent de 6,8 % en (25,6 M ). Son chiffre d affaire représente 11,0 % des recettes de l ensemble de la fiction, contre 9,7 % en La première fiction française, Braquo saison 2, se classe au 27 e rang du classement en valeur des programmes hors film. Le chiffre d affaires de la fiction étrangère recule de 7,5 % à 207,9 M. Les œuvres étrangères, notamment américaines, sont largement majoritaires et génèrent 89,0 % des recettes de la fiction en vidéo (90,3 % en 2010). La première saison de la série The Vampire Diaries se classe au 6 e rang du classement en valeur des programmes hors film. Les saisons 4 et 5 de Dexter, les saisons 6 et 7 de Desperate Housewives, la sixième et la septième saisons de Grey s Anatomy et la sixième saison de Dr House contribuent également au succès de la fiction américaine en évol. 11/10 F et d animation à destination des enfants reste le deuxième du hors film avec 19,7 % des ventes en valeur (19,6 % en 2010). Il affiche une baisse de 9,1 % par rapport à Les titres les plus performants en sont américains et se composent notamment des prolongements, uniquement sortis en vidéo, d œuvres cinématographiques ayant rencontré un très grand succès en salles (Clochette et l expédition féérique). La part de marché des programmes français progresse dans l animation et la fiction jeunesse (20,4 % en, contre 18,5 % en 2010). Le chiffre d affaires des programmes français sur ce segment est stable en (+0,1 %) et s établit à 18,0 M. Le segment «musique» est celui qui baisse le plus en (-22,5 %). Il conserve cependant la troisième place du marché hors film en valeur avec 12,6 % (14,7 % en 2010). La part de marché des programmes français diminue sur ce segment et atteint 56,6 % en, contre 59,0 % en Elle s appuie sur les très bonnes ventes de DVD des Enfoirés dans l œil des Enfoirés et de Mozart l opéra rock, respectivement premier et onzième du classement hors film en valeur. documentaire enfants fiction humour musique autres total 41,91 140,59 195,78 125,27 131,19 15,78 650,52 33,72 139,03 247,25 114,28 138,44 12,90 685,63 42,96 124,46 317,44 109,35 130,75 13,43 738,39 36,28 108,74 314,38 83,17 109,71 10,92 663,20 30,26 104,16 283,96 72,80 73,69 11,56 576,44 34,26 101,08 266,70 50,19 71,54 8,97 532,74 25,62 97,03 248,64 42,93 72,82 7,96 495,00 22,85 88,24 233,51 40,14 56,46 6,84 448,05-10,8 % -9,1 % -6,1 % -6,5 % -22,5 % -14,0 % -9,5 % Chiffre d affaires du hors film en vidéo selon le genre (M ) 1 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. Source : CNC GfK. Le marché de la vidéo / le dossier du CNC numéro 321 / mars

12 01 le marché de la vidéo physique en En quatrième position, les spectacles d humour captent 9,0 % des recettes vidéo hors film en (8,7 % en 2010). À 40,1 M de chiffre d affaires, le segment de l humour perd 6,5 % de ses recettes par rapport à Les humoristes français assurent la quasi-totalité des ventes (97,2 % en, 98,9 % en 2010). Les performances de Laurent Gerra (2 e du classement hors film ), de Florence Foresti (3 e ), de Jamel Debbouze (4 e ) et de Dany Boon (5 e ) en sont les meilleurs exemples. Le documentaire audiovisuel demeure un genre marginal du hors film en vidéo (5,1 % des recettes en ). Son chiffre d affaires diminue de 10,8 % en. Le documentaire français demeure nettement majoritaire avec 80,0 % des recettes totales du documentaire audiovisuel en (80,2 % en 2010), notamment grâce à Apocalypse, Hitler qui se classe au 10 e rang du classement en valeur des programmes hors film. 100 % 90 % 80 % 70 % 60 % 50 % 40 % 30 % 20 % 10 % 0 F 2,4 1,9 1,8 1,6 2,0 1,7 1,6 1,5 20,2 20,2 17,7 16,5 12,8 13,4 14,7 12,6 19,3 30,1 21,6 16,7 36,1 20,3 14,8 43,0 16,9 12,5 47,4 16,4 12,6 49,3 18,1 6,4 4,9 5,8 5,5 5,3 6,4 5,2 5, Répartition du chiffre d affaires du hors film en vidéo selon le genre (%) 1 documentaire enfants fiction humour musique autres 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. Source : CNC GfK. 9,4 50,1 19,0 8,7 50,2 19,6 9,0 52,1 19,7 G Les grandes surfaces spécialisées demeurent le premier circuit de vente En, les hypermarchés et supermarchés captent 38,4 % du chiffre d affaires total de la vente de vidéo physique (hors kiosques et stations services), contre 40,1 % en Les grandes surfaces spécialisées (FNAC, Virgin, etc.) dominent ainsi le marché vidéo pour la troisième année consécutive : leur part de marché passe de 45,6 % en 2010 à 46,7 % en. Depuis 2004 (34,5 %), la part du marché vidéo captée par les grandes surfaces spécialisées a progressé de 12,2 points. Observé séparément depuis 2007, le segment de la vente de vidéo physique par internet affiche une part de marché en valeur de 13,2 % en, contre 12,5 % en 2010 (+3,9 points par rapport à 2007). Le poids des autres circuits de distribution (notamment la vente par correspondance) est stable et représente 1,7 % des achats en valeur en. À noter que tous les circuits de distribution voient leur chiffre d affaires baisser en : -4,1 % pour internet, -7,2 % pour les grandes surfaces spécialisées et -13,2 % pour les grandes surfaces alimentaires F documentaire enfants fiction humour musique autres total 77,8 9,1 15,2 99,1 48,8 44,7 41,6 98,1 17,0 16,9 98,8 48,3 84,3 42,2 95,0 16,8 14,3 98,7 53,2 82,8 40,0 92,9 20,7 9,9 98,2 49,4 81,1 35,0 90,0 18,4 9,5 97,8 47,0 85,0 32,8 85,2 18,5 9,5 98,9 52,4 83,8 31,5 80,2 18,5 9,7 98,9 59,0 78,0 31,1 80,0 20,4 11,0 97,2 56,6 72,2 30, Part de marché des programmes français du hors film en vidéo selon le genre (%) 1 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. Source : CNC GfK. 100 % 80 % 60 % 40 % 20 % 0 G 11,3 34,5 54,2 13,0 37,3 49,7 12,7 39,3 48,0 2,9 2,8 1,9 1,7 1,7 9,3 10,4 11,4 12,5 13,2 41,0 42,8 46,2 45,6 46,7 46,8 44,0 40, Répartition du chiffre d affaires vidéo selon les lieux de vente (%) 1 40,1 38,4 GSA 2 GSS 2 internet autres points de vente 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. Par ailleurs, à partir de 2007, les ventes par internet sont distinguées de la catégorie «autres points de vente». 2 GSA = grandes surfaces alimentaires ; GSS = grandes surfaces spécialisées. Source : CNC GfK. 10 le marché de la vidéo / le dossier du CNC numéro 321 / mars 2012

13 H Une offre toujours plus large Au total, environ références de DVD et références de Blu-ray sont proposées en dans les grandes surfaces spécialisées. Gage d une plus grande diversité de l offre, ces dernières mettent en vente 1,45 fois plus de références vidéo que les hypermarchés et supermarchés (1,41 en 2010). Pour la troisième année consécutive, le nombre de références disponibles sur internet (plus de ) est inférieur à celui des grandes surfaces spécialisées en. Internet propose notamment environ références Blu-ray, soit presque autant que les grandes surfaces spécialisées et 17,5 % de plus que les hypermarchés et supermarchés. En complément, moins de 700 références de cassettes VHS ont été proposées dans les grandes surfaces spécialisées en (750 en 2010), contre 200 dans les grandes surfaces alimentaires (300 en 2010) et 30 sur internet (40 en 2010). DVD GSA 2 GSS 2 internet autres points de vente Blu-ray 3 GSA 2 GSS 2 internet autres points de vente VHS GSA 2 GSS 2 internet autres points de vente _ _ _ _ _ _ _ _... total GSA 2 GSS 2 internet autres points de vente H _ Offre vidéo selon les lieux de vente (nombre de références) 1 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. Par ailleurs, à partir de 2007, les ventes par internet sont distinguées de la catégorie «autres points de vente». 2 GSA = grandes surfaces alimentaires ; GSS = grandes surfaces spécialisées. 3 Ce support, développé par Sony, s est imposé en 2008 comme le support de référence pour la haute définition. Source : CNC GfK. Le marché de la vidéo / le dossier du CNC numéro 321 / mars

14 01 le marché de la vidéo physique en I Grandes surfaces alimentaires : davantage de recettes sur les films américains et les DVD pour enfants En, 60,4 % du chiffre d affaires vidéo des hypermarchés et supermarchés sont générés par les ventes de films cinématographiques. La part des films américains (64,2 %) y est toujours sensiblement supérieure à celle constatée dans les grandes surfaces spécialisées (58,1 %). Les films français représentent 19,9 % des recettes du cinéma en vidéo des grandes surfaces alimentaires, contre 19,5 % en Les films d animation sont surreprésentés dans le chiffre d affaires des hypermarchés et supermarchés : ils concentrent 22,2 % des recettes des films en vidéo, contre 14,2 % dans les grandes surfaces spécialisées. L achat d œuvres d animation dans les grandes surfaces alimentaires est souvent spontané et répond à une demande des enfants plus souvent présents lors de l achat. Sur le segment du hors film (31,6 % du chiffre d affaires vidéo des grandes surfaces alimentaires en ), les productions françaises constituent 32,2 % des ventes en valeur des hypermarchés et supermarchés, soit une part en légère baisse par rapport à 2010 (33,2 %). Le genre le plus rémunérateur du hors film est la fiction qui capte 46,4 % des recettes hors film des grandes surfaces alimentaires en. Pour les raisons précédemment mentionnées, les œuvres pour enfants (hors films cinématographiques) recueillent également une part conséquente du chiffre d affaires des hypermarchés et supermarchés (26,1 % en ). Plus que les autres circuits de vente de vidéo, les hypermarchés et supermarchés misent sur les opérations promotionnelles qui représentent 7,9 % des ventes en valeur en, contre 0,5 % pour les grandes surfaces spécialisées et 0,7 % pour internet. Part de marché plus élevée pour le hors film dans les grandes surfaces spécialisées En, le hors film génère 36,6 % du chiffre d affaires vidéo des grandes surfaces spécialisées, contre 31,6 % de celui des hypermarchés et supermarchés. Le public plus ciblé des grandes surfaces spécialisées est un atout majeur pour le hors film. Les productions françaises y obtiennent une part de marché (30,9 % en ) légèrement inférieure à celle constatée dans les grandes surfaces alimentaires (32,2 %). La fiction (52,5 % en ), les programmes jeunesse (16,8 %) ainsi que la musique (13,4 %) captent l essentiel du chiffre d affaires hors film. 63,0 % du chiffre d affaires vidéo des grandes surfaces spécialisées résultent de la vente de films cinématographiques en. 58,1 % de ces recettes sur les films cinématographiques sont captés par les films américains. La part de marché des films français est plus élevée dans les grandes surfaces spécialisées (22,8 % en ) que dans les grandes surfaces alimentaires (19,9 %). Les films de fiction génèrent 84,6 % des recettes vidéo des films dans les grandes surfaces spécialisées. Le documentaire, genre cinématographique très ciblé, y recueille une part de marché (1,2 % en ) sensiblement supérieure à celle constatée dans les grandes surfaces alimentaires (0,4 %). Internet : un moyen privilégié pour l achat de DVD de programmes étrangers Pour la deuxième année consécutive, les ventes de vidéo physique par internet concernent majoritairement les films cinématographiques qui captent 54,4 % des recettes en. Les œuvres américaines y réalisent 60,5 % des recettes et les films français 19,3 %. Les films européens non français (14,7 % en ) et ceux d autres nationalités (5,4 %) enregistrent de meilleures performances sur internet qu en grandes surfaces alimentaires (respectivement 14,6 % et 1,3 % en ). Les films de fiction génèrent 84,9 % des recettes vidéo des films sur internet et les films d animation 13,7 %. Parallèlement, les programmes hors film constituent 44,9 % des ventes en valeur de vidéo physique par internet. Au sein de cet ensemble, la fiction apparait comme le segment privilégié par les internautes. Elle concentre 63,1 % des ventes de hors film par internet en valeur en. Le deuxième segment favorisé par les acheteurs de vidéo physique hors film en ligne est celui des programmes pour les enfants avec 14,8 % du marché en. Les programmes hors film vendus sur internet sont essentiellement étrangers (74,2 % en valeur en ). 12 le marché de la vidéo / le dossier du CNC numéro 321 / mars 2012

15 GSA 2 opérations films hors film promotionnelles 3 total GSA 2 films films films autres français américains européens 3 films total ,6 28,1 10,3 100,0 57,6 32,6 9,8 100,0 54,1 40,5 5,4 100,0 54,6 40,5 4,9 100,0 57,7 37,5 4,8 100,0 58,9 34,7 6,4 100,0 62,6 31,3 6,2 100,0 60,4 31,6 7,9 100, ,5 61,6 6,9 10,0 100, ,4 67,4 6,0 4,2 100, ,6 62,3 11,6 3,5 100, ,9 66,1 8,0 3,0 100, ,5 65,2 10,8 1,6 100, ,8 69,0 9,4 1,8 100, ,5 69,1 10,1 1,4 100, ,9 64,2 14,6 1,3 100,0... GSS 2 opérations films hors film promotionnelles 3 total GSS 2 films films films autres français américains européens 3 films total ,1 40,5 2,4 100,0 53,8 45,0 1,2 100,0 50,4 48,6 1,0 100,0 52,2 47,0 0,8 100,0 55,9 43,4 0,6 100,0 60,4 38,9 0,7 100,0 62,7 36,8 0,5 100,0 63,0 36,6 0,5 100, ,4 61,4 8,3 4,9 100, ,1 60,8 8,2 7,9 100, ,1 57,6 13,0 6,3 100, ,1 59,5 12,1 5,3 100, ,4 61,2 13,0 3,4 100, ,8 60,4 12,3 3,5 100, ,0 60,6 13,3 3,1 100, ,8 58,1 15,5 3,6 100,0... internet opérations films hors film promotionnelles 3 total internet films films films autres français américains européens 3 films total I 47,7 52,0 0,3 100,0 46,9 52,8 0,3 100,0 47,8 50,6 1,6 100,0 51,0 47,1 1,9 100,0 54,4 44,9 0,7 100,0 Répartition du chiffre d affaires selon le contenu des vidéogrammes (%) 1 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. Par ailleurs, à partir de 2007, les ventes par internet sont distinguées de la catégorie «autres points de vente». 2 GSA = grandes surfaces alimentaires ; GSS = grandes surfaces spécialisées. 3 Opérations promotionnelles sans indication de titre I 21,7 61,1 11,8 5,4 100, ,1 60,9 13,0 4,1 100, ,6 62,9 12,0 3,5 100, ,7 61,8 13,8 3,8 100, ,3 60,5 14,7 5,4 100,0... Répartition du chiffre d affaires des films selon la nationalité (%) 1 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. Par ailleurs, à partir de 2007, les ventes par internet sont distinguées de la catégorie «autres points de vente». 2 GSA = grandes surfaces alimentaires ; GSS = grandes surfaces spécialisées. 3 Europe continentale (de l Atlantique à l Oural), hors France. Source : CNC GfK. Source : CNC GfK. Le marché de la vidéo / le dossier du CNC numéro 321 / mars

16 01 le marché de la vidéo physique en GSA 2 fiction animation documentaire total GSA 2 documentaire enfants fiction humour musique autres total ,6 15,1 0,3 100,0 78,5 19,4 2,1 100,0 82,1 17,1 0,8 100,0 83,2 16,4 0,4 100,0 82,0 17,3 0,7 100,0 81,4 18,3 0,3 100,0 82,4 16,6 1,0 100,0 77,4 22,2 0,4 100, ,3 30,0 22,2 25,3 16,6 1,6 100,0... 2,7 27,2 27,5 22,6 18,9 1,1 100,0... 4,3 20,0 37,4 19,3 17,8 1,2 100,0... 3,5 19,4 43,3 16,1 16,7 1,0 100,0... 2,7 22,3 45,4 16,1 12,1 1,3 100,0... 3,8 24,8 45,1 11,9 13,6 0,9 100,0... 3,0 26,2 43,1 10,4 16,5 0,9 100,0... 2,4 26,1 46,4 11,2 13,2 0,8 100,0... GSS 2 fiction animation documentaire total GSS 2 documentaire enfants fiction humour musique autres total ,5 8,9 0,6 100,0 86,3 10,9 2,8 100,0 87,2 11,5 1,3 100,0 88,2 10,9 0,9 100,0 87,1 11,6 1,4 100,0 86,7 11,6 1,7 100,0 86,8 11,8 1,4 100,0 84,6 14,2 1,2 100, ,6 13,6 33,8 15,6 25,6 2,8 100,0... 6,8 14,8 39,6 13,8 23,0 2,0 100,0... 7,5 14,1 44,1 12,8 19,5 2,0 100,0... 7,4 13,5 47,0 11,5 18,6 2,0 100,0... 7,3 15,1 48,1 12,3 14,9 2,4 100,0... 8,2 16,0 49,2 9,4 15,2 2,1 100,0... 6,4 16,6 50,5 9,1 15,5 1,9 100,0... 6,4 16,8 52,5 9,2 13,4 1,8 100,0... internet fiction animation documentaire total internet documentaire enfants fiction humour musique autres total I 86,6 12,4 1,0 100,0 88,1 10,7 1,2 100,0 87,2 11,5 1,3 100,0 87,0 11,6 1,3 100,0 84,9 13,7 1,4 100,0 Répartition du chiffre d affaires des films selon le genre (%) 1 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. Par ailleurs, à partir de 2007, les ventes par internet sont distinguées de la catégorie «autres points de vente». 2 GSA = grandes surfaces alimentaires ; GSS = grandes surfaces spécialisées. Source : CNC GfK I 5,5 14,7 63,6 4,2 10,2 1,8 100,0 6,3 14,4 64,6 4,3 8,4 2,0 100,0 7,2 13,7 65,5 3,2 8,5 1,9 100,0 6,0 13,9 65,0 4,1 9,1 1,9 100,0 6,8 14,8 63,1 4,0 9,2 2,1 100, Répartition du chiffre d affaires du hors film selon le genre (%) 1 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. Par ailleurs, à partir de 2007, les ventes par internet sont distinguées de la catégorie «autres points de vente». 2 GSA = grandes surfaces alimentaires ; GSS = grandes surfaces spécialisées. Source : CNC GfK. 14 le marché de la vidéo / le dossier du CNC numéro 321 / mars 2012

17 GSA programmes programmes français étrangers total 47,7 52,3 100, ,5 53,5 100, ,8 55,2 100, ,0 62,0 100, ,6 65,4 100, ,5 67,5 100, ,2 66,8 100, ,2 67,8 100,0... GSS programmes programmes français étrangers total 39,1 60,9 100, ,6 60,4 100, ,5 62,5 100, ,0 66,0 100, ,9 67,1 100, ,4 67,6 100, ,3 68,7 100, ,9 69,1 100,0... internet I programmes programmes français étrangers total 24,4 75,6 100,0 23,8 76,2 100,0 23,7 76,3 100,0 24,5 75,5 100,0 25,8 74,2 100, Répartition du chiffre d affaires du hors film selon la nationalité (%) 1 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. Par ailleurs, à partir de 2007, les ventes par internet sont distinguées de la catégorie «autres points de vente». 2 GSA = grandes surfaces alimentaires ; GSS = grandes surfaces spécialisées. Source : CNC GfK. Le marché de la vidéo / le dossier du CNC numéro 321 / mars

18

19 02 les pratiques vidéo en

20 02 les pratiques vidéo en Depuis 2005, le CNC et Médiavision réalisent tout au long de l année une enquête permanente sur le public du cinéma nommée PubliXiné. Mise en œuvre par l institut Harris Interactive, l enquête est administrée par internet auprès de 800 à individus deux fois par mois. Elle permet de recueillir des informations sur les spectateurs de 3 ans et plus. Cet outil barométrique a pour principal objectif la mesure et l analyse de la composition hebdomadaire du public du cinéma et de celle du public de près de 300 films par an. Outre des informations sur le profil des spectateurs, PubliXiné permet d administrer des questions complémentaires, notamment sur les pratiques en matière d achat et de location de vidéo physique des Français âgés de 15 ans et plus. Voici une synthèse des principaux résultats constatés au cours de l année. Définitions Dans le cadre de l enquête PubliXiné, la population cinématographique comprend l ensemble des individus âgés de 15 ans et plus étant allés au cinéma au moins une fois dans l année. Les acheteurs assidus achètent des DVD au moins une fois par semaine, les acheteurs réguliers en achètent au moins une fois par mois (et moins d une fois par semaine) et les occasionnels au moins une fois par an (et moins d une fois par mois). Les habitués de l achat regroupent les assidus et les réguliers. Les loueurs de DVD disposent de la même définition de leurs habitudes que celle des acheteurs, de même que les spectateurs de cinéma. D après Harris Interactive, en, 68,6 % des spectateurs de cinéma possèdent un lecteur de DVD. 28,9 % sont tout à fait satisfaits de la qualité de l image et du son restitués par leur lecteur (32,9 % en 2010) et 54,2 % en sont satisfaits (57,3 % en 2010). Selon GfK, 7,3 % des foyers français sont équipés d un lecteur de Blu-ray de salon en, 13,4 % possèdent une PlaySation 3 et 3,0 % sont équipés de la Freebox Révolution depuis début, permettant également de lire des Blu-ray. A Une très large majorité des possesseurs de lecteurs de Blu-ray de salon sont satisfaits de l image et du son : 57,6 % se déclarent tout à fait satisfaits (63,3 % en 2010) et 38,2 % sont satisfaits (32,9 % en 2010). À fin novembre, 12,1 % des interviewés déclarent avoir l intention d acheter un lecteur de Blu-ray. Moins de 4 DVD visionnés chaque mois En, les spectateurs de cinéma déclarent regarder 3,8 DVD par mois en moyenne. Ce nombre est en baisse par rapport à 2010 (4,1 DVD par mois en moyenne) mais retrouve le niveau de Le nombre de DVD visionnés varie selon l âge. Les ans présentent la plus forte consommation en (4,8 DVD par mois), devant les ans (3,6). Les jeunes ont une consommation plus collective des DVD. 70,3 % des moins de 25 ans regardent des DVD en groupe, avec des amis ou des proches autres que les membres de leur foyer, contre 27,6 % des plus de 25 ans. Les plus de 50 ans et les CSP+ visionnent moins fréquemment des DVD que le reste de la population, puisqu ils regardent respectivement 3,0 DVD et 3,2 DVD par mois. Les habitants de la région parisienne visionnent légèrement plus de DVD que ceux habitant en régions (3,9 DVD, contre 3,8 DVD par mois). En, la fréquence de visionnage progresse à mesure que le rythme de fréquentation cinématographique augmente. Ainsi, les spectateurs occasionnels du cinéma regardent-ils en moyenne 3,5 DVD par mois, contre 4,2 DVD pour les spectateurs réguliers et 5,4 DVD pour les spectateurs assidus. Les assidus de l achat et de la location vidéo visionnent également plus de 10 DVD par mois (respectivement 11,5 DVD et 10,5 DVD en ) et le font majoritairement en groupe (respectivement 60,9 % et 66,7 %). sexe homme femme âge ans ans ans 50 ans et plus CSP CSP+ CSPinactif dont étudiant habitat région parisienne autres régions habitudes de fréquentation cinématographique assidu régulier occasionnel non spectateur habitudes d achat vidéo assidu régulier occasionnel non acheteur habitudes de location vidéo assidu régulier occasionnel non loueur ensemble A ,3 4,3 4,1 4,3 4,3 4,2 4,4 3,6 4,0 3, ,6 5,1 4,2 5,7 4,8 4,7 4,8 4,8 3,6 3,6 4,3 4,1 3,4 3,4 3,5 3,3 3,4 3,1 3,2 3, ,0 3,9 3,5 3,5 3,2 4,2 4,7 4,2 4,0 4,0 4,5 4,5 3,8 4,6 4,1 4,5 4,8 3,9 6,1 4, ,2 4,5 4,1 4,6 3,9 4,3 4,3 3,8 4,0 3, ,1 5,5 3,6 7,2 5,4 4,5 4,9 3,9 5,2 4,2 4,0 4,0 3,9 3,5 3,5 5,0 4,2 3,4 1,8 3, ,1 8,2 13,2 12,0 11,5 7,1 5,2 5,9 8,9 6,4 3,5 4,1 3,6 3,3 3,3 3,7 4,1 2,7 2,6 3, ,2 12,0 8,9 7,3 10,5 5,4 6,9 4,8 4,9 4,3 3,7 3,8 3,6 3,6 3,8 4,0 3,7 3,8 4,1 3, ,3 4,3 3,8 4,1 3,8... Nombre moyen de visionnages de DVD par mois Lecture : en, les hommes regardent, en moyenne, 4,3 DVD par mois. Source : CNC Harris Interactive (Français âgés de 15 ans et plus étant allés au cinéma au moins une fois au cours des 12 derniers mois). 18 le marché de la vidéo / le dossier du CNC numéro 321 / mars 2012

21 B Près de 30 % des spectateurs visionnent souvent les bonus des DVD S ils sont désormais plus de 25 % à ne jamais regarder les bonus des DVD qu ils visionnent (23,9 % en 2010), 29,0 % des personnes interrogées le font systématiquement ou souvent en (28,9 % en 2010). Ils sont par conséquent 44,9 % à ne regarder que rarement les bonus des DVD. Lorsqu ils les visionnent, ils le font après le visionnage du contenu principal (94,3 % en, 96,1 % en 2010). La hiérarchie des bonus considérés comme importants dans un DVD montre qu en premier lieu, viennent les bonus issus du contenu lui-même : scènes coupées ou fins alternatives (74,0 %, contre 76,7 % en 2010) et bêtisier (69,4 %, contre 70,0 % en 2010). 66,1 % des spectateurs déclarent également que le making of est un bonus important dans un DVD. Les bonus autour du tournage (bonus musicaux, documentaires, etc.) sont importants pour plus de 50 % des Français et les bonus techniques (interviews, biographies, filmographies, commentaires audio et analyse des scènes), plus prisés des cinéphiles, le sont pour 36 % à 54 % des Français. systématiquement souvent rarement jamais total B Bonus considérés comme importants les scènes retirées du film ou fins alternatives le bêtisier le making of les interviews les documentaires autour du sujet du film les bonus musicaux les commentaires audio (réalisateurs, acteurs, etc.) les courts métrages autour du sujet du film les bandes annonces l analyse de scènes les biographies ou filmographies des acteurs ou du réalisateur le story-board les photos, les affiches B ,3 9,0 8,8 8,4 28,7 22,6 20,1 20,6 41,8 48,4 47,2 44,9 19,2 20,0 23,9 26,1 100,0 100,0 100,0 100,0 Fréquence de visionnage des bonus (%) Lecture : en, 8,4 % des Français déclarent visionner systématiquement les bonus des DVD. Source : CNC Harris Interactive (Français âgés de 15 ans et plus étant allés au cinéma au moins une fois au cours des 12 derniers mois) ,6 75,1 76,7 74,0 74,7 75,5 70,0 69,4 71,7 69,3 69,5 66,1 58,5 48,1 51,7 53,6 57,1 50,5 54,6 53,3 56,9 56,4 52,5 52,8 51,4 46,4 46,4 48,3 48,4 45,2 46,0 47,2 46,7 43,0 52,2 45,1 45,3 41,5 45,4 43,1 39,6 34,3 36,2 39,5 34,4 34,2 34,3 36,9 37,0 33,5 34,0 35,7 Perception du contenu des bonus (%) Lecture : en, 74,0 % des Français déclarent que les scènes retirées du film ou les fins alternatives sont importantes parmi les bonus d un DVD. Source : CNC Harris Interactive (Français âgés de 15 ans et plus étant allés au cinéma au moins une fois au cours des 12 derniers mois). Le marché de la vidéo / le dossier du CNC numéro 321 / mars

22 02 les pratiques vidéo en C Les assidus de l achat vidéo possèdent plus de 60 DVD En moyenne, la DVDthèque des spectateurs de cinéma contient 38,3 DVD en, soit un nombre en diminution par rapport à 2010 (41,5 DVD). Les ans détiennent en moyenne 40,2 DVD en, soit 5,4 DVD de moins qu en 2010, tandis que le nombre de DVD possédés par les ans est relativement stable à 37,6 DVD en (37,9 DVD en 2010). La DVDthèque est plus importante dans les foyers des spectateurs de cinéma assidus (50,9 DVD, 52,1 DVD en 2010). Les acheteurs assidus de DVD en détiennent naturellement le plus grand nombre et déclarent posséder en moyenne 63,5 DVD au sein de leur foyer en, contre 53,0 pour les acheteurs réguliers et 38,8 pour les occasionnels. Par ailleurs, les personnes équipées d un appareil permettant la lecture des disques Blu-ray déclarent posséder en moyenne 8,2 disques Blu-ray en (9,1 en 2010). Les plus de 35 ans en détiennent plus de 9 (9,6 disques Blu-ray pour les ans et 9,1 pour les plus de 50 ans). Les spectateurs assidus des salles de cinéma et les assidus de l achat vidéo possèdent plus de 13 disques Blu-ray en (respectivement 13,1 et 13,2 disques Blu-ray). sexe homme femme âge ans ans ans 50 ans et plus CSP CSP+ CSPinactif dont étudiant habitat région parisienne autres régions habitudes de fréquentation cinématographique assidu régulier occasionnel non spectateur habitudes d achat vidéo assidu régulier occasionnel non acheteur habitudes de location vidéo assidu régulier occasionnel non loueur DVD Blu-ray ,6 43,3 40,6 8,4 9,4 8, ,8 39,8 36,2 5,2 8,7 7, ,8 37,9 37,6 3,9 9,4 7, ,3 44,1 38,6 9,7 9,2 7, ,4 45,6 40,2 7,3 11,7 9, ,9 40,0 37,2 7,7 6,1 9, ,4 45,6 40,6 12,1 9,3 9, ,5 41,8 39,0 4,3 9,9 8, ,2 38,7 36,5 3,5 8,0 7, ,9 38,6 37,9 2,5 8,4 8, ,7 50,4 39,3 10,4 7,5 8, ,1 39,3 38,1 6,4 9,8 8, ,1 52,1 50,9 3,8 11,8 13, ,5 44,2 39,9 9,7 8,4 8, ,3 40,1 36,8 5,8 9,0 7, ,1 25,3 31,1 0,0 12,0 4, ,8 99,0 63,5 12,5 14,3 13, ,7 67,5 53,0 12,6 10,7 10, ,2 39,2 38,8 4,3 8,4 7, ,7 25,6 26,6 5,1 6,7 6, ,4 35,5 38,1 18,8 2,0 10, ,2 36,3 40,4 7,9 6,2 7, ,5 31,0 33,1 6,7 8,8 8, ,0 44,1 39,2 6,6 9,4 8,3... ensemble C 39,8 41,5 38,3 7,5 9,1 8,2... Nombre moyen de DVD et de disques Blu-ray possédés Lecture : parmi les Français équipés d un lecteur de DVD, les hommes possèdent, en moyenne, 40,6 DVD en. Parmi les Français équipés d un appareil permettant la lecture des disques Blu-ray, les hommes possèdent, en moyenne, 8,6 Blu-ray en. Source : CNC Harris Interactive (Français âgés de 15 ans et plus étant allés au cinéma au moins une fois au cours des 12 derniers mois). 20 le marché de la vidéo / le dossier du CNC numéro 321 / mars 2012

23 D L achat : première source d approvisionnement en DVD Comme les années précédentes, l achat est la première source d approvisionnement des foyers en DVD : en, sur 100 DVD arrivés dans un foyer, 43 ont été achetés (comme en 2010). Parallèlement, 17 % des DVD qui entrent dans les foyers proviennent d actes locatifs. Les approvisionnements non marchands constituent 40 % des DVD entrant dans les foyers en (39 % en 2010). Il convient de souligner que depuis 2006, les équilibres entre les différentes sources d approvisionnement sont relativement stables. L emprunt : deuxième source d approvisionnement En moyenne, 21 % des DVD qui entrent dans un foyer en sont empruntés (20 % en 2010). L emprunt s opère le plus souvent auprès de proches, d amis ou de membres de la famille. 77,7 % des spectateurs de cinéma déclarent emprunter des DVD à des amis en (83,2 % en 2010) dont 44,3 % déclarent le faire régulièrement (7,4 % souvent et 36,9 % de temps en temps). L emprunt peut également se faire auprès d établissements spécialisés. Ainsi, 33,7 % des Français empruntent-ils des DVD dans des médiathèques ou des vidéothèques (34,2 % en 2010). Toutefois, seuls 14,5 % d entre eux pratiquent ce type d emprunt régulièrement. L emprunt est une pratique plutôt féminine : 55,0 % des personnes qui empruntent des DVD auprès d amis et 53,4 % de celles qui empruntent dans des médiathèques sont des femmes. E Le DVD, un cadeau idéal Le DVD constitue toujours un cadeau particulièrement apprécié des Français. 19 % des DVD d un foyer proviennent de cadeaux en (19 % en 2010). Parallèlement, 90,5 % des personnes interrogées déclarent avoir déjà acheté des DVD pour les offrir en cadeau (87,5 % en 2010) et 63,1 % le font régulièrement. Le DVD est également un objet prêté à son entourage afin d en faire découvrir le contenu. 71,3 % des Français déclarent prêter des DVD (76,8 % en 2010) dont 46,1 % le font régulièrement. Le prêt est plus répandu chez les femmes : elles sont 55,5 % à le faire souvent. Les spectateurs de cinéma sont attachés à l objet DVD L achat de DVD d occasion est peu pratiqué par les Français. 84,4 % d entre eux déclarent ne jamais le faire, ou très rarement (82,6 % en 2010). Ils sont seulement 3,7 % à achèter souvent des DVD d occasion. En général, les spectateurs de cinéma préfèrent conserver leurs DVD pour constituer une DVDthèque plutôt que de les vendre après visionnage. Ainsi, 90,1 % des personnes interrogées ne revendent-elles jamais ou rarement leurs DVD (88,7 % en 2010). En effet, plus de 70 % des acheteurs de DVD déclarent les collectionner. Moins d acheteurs de DVD L achat de DVD reste particulièrement répandu en France, même si une diminution de cette pratique se dessine progressivement depuis 2007 (-2,5 points en moyenne par an). 59,5 % des spectateurs de cinéma déclarent avoir acheté au moins un DVD en, contre 62,4 % en 2010 et 71,8 % en Seuls 1,2 % des acheteurs de DVD sont des assidus de l achat (-0,4 point par rapport à 2007), alors que la part des acheteurs occasionnels est en progression à 81,4 %, soit +5,0 points par rapport à achat location emprunt cadeau total D acheteurs assidus réguliers occasionnels non acheteurs total E Sources d approvisionnement des foyers en DVD (%) Lecture : en, sur 100 DVD arrivés dans un foyer français, 43 ont été achetés. Source : CNC Harris Interactive (Français âgés de 15 ans et plus étant allés au cinéma au moins une fois au cours des 12 derniers mois) ,8 68,8 66,3 62,4 59,5... 1,6 1,6 1,4 1,1 1, ,0 19,1 18,1 18,5 17, ,4 79,3 80,5 80,3 81, ,2 31,2 33,7 37,6 40, ,0 100,0 100,0 100,0 100,0 Habitudes d achat vidéo (%) Lecture : en, 59,5 % des Français ont acheté au moins un DVD. 1,2 % des acheteurs de DVD pratiquent au moins un achat par semaine en. Source : CNC Harris Interactive (Français âgés de 15 ans et plus étant allés au cinéma au moins une fois au cours des 12 derniers mois). Le marché de la vidéo / le dossier du CNC numéro 321 / mars

les études du CNC septembre 2013 les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français

les études du CNC septembre 2013 les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français les études du CNC septembre 2013 les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français 2013 Les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français septembre 2013 Cette étude a été réalisée par : 138

Plus en détail

Les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français

Les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français Les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français Rappel de la méthodologie mise en œuvre Echantillon Mode de recueil Dates de terrain 2800 individus âgés de 6 à 65 ans. Plus précisément : 2000

Plus en détail

LE MARKETING DU CINEMA et de l AUDIOVISUEL. Présentation du Marketing appliqué au cinéma & à l audiovisuel

LE MARKETING DU CINEMA et de l AUDIOVISUEL. Présentation du Marketing appliqué au cinéma & à l audiovisuel LE MARKETING DU CINEMA et de l AUDIOVISUEL Présentation du Marketing appliqué au cinéma & à l audiovisuel Sommaire PRESENTATION GENERALE DU MARKETING: Qu est-ce que le Marketing? Introduction et définition

Plus en détail

La diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française

La diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française La diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française Étude réalisée par le Centre de Recherche pour l'étude et l'observation des Conditions de Vie (CREDOC) pour

Plus en détail

Sondage d opinion sur les livres, les longs métrages, les périodiques canadiens et les œuvres musicales

Sondage d opinion sur les livres, les longs métrages, les périodiques canadiens et les œuvres musicales Sondage d opinion sur les livres, les longs métrages, les périodiques canadiens et les œuvres musicales Sommaire exécutif Préparé pour le ministère du Patrimoine canadien 4 septembre 2012 Date d attribution

Plus en détail

Encaissement moyen du distributeur sur une entrée en salle de cinéma (1998-2007)

Encaissement moyen du distributeur sur une entrée en salle de cinéma (1998-2007) Encaissement moyen du distributeur sur une entrée en salle de cinéma (1998-2007) Avril 2009 Centre national de la cinématographie Direction des études, des statistiques et de la prospective 12, rue de

Plus en détail

La diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française

La diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française La diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française Étude réalisée par le Centre de Recherche pour l'étude et l'observation des Conditions de Vie (CREDOC) pour

Plus en détail

BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMÉRIQUE

BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMÉRIQUE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMÉRIQUE Chaire Économie numérique de Paris-Dauphine Réalisé par Médiamétrie Cinquième édition 4 e trimestre 2012 Un outil : Initié par la chaire Économie numérique de l Université

Plus en détail

Tablette tactile : la nouvelle nounou?

Tablette tactile : la nouvelle nounou? Observatoire Orange - Terrafemina Tablette tactile : la nouvelle nounou? Sondage de l institut CSA Fiche technique du sondage L institut CSA a réalisé pour Orange et Terrafemina la 13 ème vague d un baromètre

Plus en détail

Sylvain Dejean, Raphaël Suire, Eric Darmon, Thierry Pénard Juillet 2012

Sylvain Dejean, Raphaël Suire, Eric Darmon, Thierry Pénard Juillet 2012 Sylvain Dejean, Raphaël Suire, Eric Darmon, Thierry Pénard Juillet 2012 Depuis la fin des années 90 et l apparition de Napster, les pratiques audio/vidéo en ligne n ont cessé de se développer. Face à une

Plus en détail

BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMERIQUE

BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMERIQUE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMERIQUE Chaire Économie numérique de Paris-Dauphine Réalisé par Médiamétrie Première édition - 4 e trimestre 2011 Un nouvel outil : Initié par la chaire Économie numérique de

Plus en détail

Le profil des acheteurs à distance et en ligne

Le profil des acheteurs à distance et en ligne Le profil des acheteurs à distance et en ligne Étude réalisée pour le compte de La FEVAD, La Poste, Reed Exhibitions, CCI Grand Lille 24 octobre 2012 Synthèse de l étude - 1 LES HABITUDES DE CONSOMMATION

Plus en détail

QUELS ÉCRANS UTILISENT LES 13-24 ANS ET POUR QUELS USAGES?

QUELS ÉCRANS UTILISENT LES 13-24 ANS ET POUR QUELS USAGES? QUELS ÉCRANS UTILISENT LES 13-24 ANS ET POUR QUELS USAGES? Colloque «Les écrans et les jeunes : quelle place, quelle offre, quelles évolutions?» 9 décembre 2014 Direction des études et de la prospective

Plus en détail

MMORPG (Massively Multiplayer Online Role Playing Game) ou MMO (Massively Multiplayer Online)

MMORPG (Massively Multiplayer Online Role Playing Game) ou MMO (Massively Multiplayer Online) 1 Les genres de jeux vidéo sur support physique Extrait de l'étude du CNC "Le marché du jeu vidéo en 2012" La diversité des jeux vidéo disponibles et la segmentation du marché ont conduit les professionnels

Plus en détail

mission. Le premier poste du programme de travail du DREV vise la qualification, la quantification et le suivi

mission. Le premier poste du programme de travail du DREV vise la qualification, la quantification et le suivi Dans le cadre de la mission le DREV est chargé de conduire des études et expérimentations permettant de mieux comprendre les usages en matière de consommation de produits culturels en ligne et de produire

Plus en détail

Service Economie du SNE. Economie du livre. Repères statistiques 2011 et tendances 2012. Mars 2013

Service Economie du SNE. Economie du livre. Repères statistiques 2011 et tendances 2012. Mars 2013 Economie du livre Repères statistiques 2011 et tendances 2012 Mars 2013 0 Sommaire 1 Marché de l'édition en 2011 Un marché de l'édition stable Dynamisme de la production éditoriale Des relais de croissance

Plus en détail

Collège d autorisation et de contrôle. Avis n 02/2011

Collège d autorisation et de contrôle. Avis n 02/2011 Collège d autorisation et de contrôle Avis n 02/2011 Première évaluation de la Recommandation du 24 juin 2010 relative à la mise en valeur des œuvres européennes et de la Communauté française dans les

Plus en détail

les études du CNC avril 2014

les études du CNC avril 2014 les études du CNC avril 2014 le marché du jeu vidéo en 2013 Cette étude a été réalisée par : GfK Consumer Choices Rémi Gironnay, Jean-François Boone 40, rue Pasteur 92156 Suresnes Cedex France Tél : +33

Plus en détail

La vidéo : Perceptions et attentes du public. Analyse qualitative

La vidéo : Perceptions et attentes du public. Analyse qualitative La vidéo : Perceptions et attentes du public Analyse qualitative Service des études, des statistiques et de la prospective Décembre 2003 Cette étude a été réalisée par : Daniel Bô en collaboration avec

Plus en détail

Observatoire des Moyens de Communication (OMC) Rapport de résultats - Vague 1 Mars 2010

Observatoire des Moyens de Communication (OMC) Rapport de résultats - Vague 1 Mars 2010 Observatoire des Moyens de Communication (OMC) Rapport de résultats - Vague 1 Mars 2010 Sommaire 1. Présentation de l'étude p. 3 2. Résultats détaillés p. 6 3. Le contexte : attitudes envers les marques

Plus en détail

Société française des intérêts des auteurs de l écrit

Société française des intérêts des auteurs de l écrit Découvrez la Sofia Le droit de prêt La rémunération pour copie privée numérique La retraite complémentaire des écrivains et des traducteurs L action culturelle Société française des intérêts des auteurs

Plus en détail

Convergence de A à Z 10000

Convergence de A à Z 10000 Convergence de A à Z 10000 second screen : la convergence entre en jeu, atouts, questions l 21,4 millions de mobinautes au 2 ème trimestre 2012 (Médiamétrie) l 45% des équipés mobiles ont un smartphone

Plus en détail

Baromètre Allopass Le micro-paiement : quelle réalité aujourd hui?

Baromètre Allopass Le micro-paiement : quelle réalité aujourd hui? pour Baromètre Allopass Le micro-paiement : quelle réalité aujourd hui? Eric Giordano, Directeur Général Pôle Paiement Hi-media Yves-Marie Cann, Directeur d Etudes Ifop 22 octobre 2009 Section 1 : La méthodologie

Plus en détail

BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMÉRIQUE

BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMÉRIQUE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMÉRIQUE Chaire Économie numérique de Paris-Dauphine Réalisé par Médiamétrie Sixième édition 1 er trimestre 2013 Un outil : Initié par la chaire Économie numérique de l Université

Plus en détail

Evolution de l équipement technologique des ménages Bretons entre 2008 et 2012 : Chiffres clés Emilie Huiban et Adrien Souquet, OPSIS, M@rsouin.

Evolution de l équipement technologique des ménages Bretons entre 2008 et 2012 : Chiffres clés Emilie Huiban et Adrien Souquet, OPSIS, M@rsouin. Evolution de l équipement technologique des ménages Bretons entre 2008 et 2012 : Chiffres clés Emilie Huiban et Adrien Souquet, OPSIS, M@rsouin. Les principaux points à retenir La fracture numérique de

Plus en détail

De la loi DADVSI (2005) à la loi Hadopi (2009) Les enjeux des échanges de contenus culturels numériques sur les réseaux «P2P»

De la loi DADVSI (2005) à la loi Hadopi (2009) Les enjeux des échanges de contenus culturels numériques sur les réseaux «P2P» De la loi DADVSI (2005) à la loi Hadopi (2009) Les enjeux des échanges de contenus culturels numériques sur les réseaux «P2P» Schéma d un mouvement social déclencheur Fin de l action collective institutionnalisation

Plus en détail

METTRE LE NUMÉRIQUE AU SERVICE D UN NOUVEAU MODÈLE DE BIBLIOTHÈQUE

METTRE LE NUMÉRIQUE AU SERVICE D UN NOUVEAU MODÈLE DE BIBLIOTHÈQUE 1 METTRE LE NUMÉRIQUE AU SERVICE D UN NOUVEAU MODÈLE DE BIBLIOTHÈQUE Architectures Numériques d'informations. Usages, Contenus et Technologies. Paris, 2 juillet 2010 L emprunteur se fait rare 2 Evolution

Plus en détail

Baromètre de l innovation Janvier 2015

Baromètre de l innovation Janvier 2015 Baromètre de l innovation Janvier 2015 Les pratiques culturelles des français et leurs usage s numériques Un baromètre BVA Syntec numérique Sondage réalisé par pour le Méthodologie Recueil Enquête réalisée

Plus en détail

deux niveaux 750 m² 45 000 ordinateurs tablettes liseuses lecteurs MP3. programmation culturelle accueille

deux niveaux 750 m² 45 000 ordinateurs tablettes liseuses lecteurs MP3. programmation culturelle accueille mode d emploi Un lieu de vie La médiathèque est un lieu de vie, d information, de formation, de culture et de loisirs ouvert à tous, librement et gratuitement. Seul le prêt nécessite une inscription.

Plus en détail

LA PROLIFERATION DES TABLETTES

LA PROLIFERATION DES TABLETTES LA PROLIFERATION DES TABLETTES édition 2013 v1.0 Edito Pour notre étude de marché, nous avions regroupé des informations de différentes études concernant les utilisateurs de tablettes tactiles et l évolution

Plus en détail

Le marché du Livre en France

Le marché du Livre en France Le marché du Livre en France État des lieux des circuits de distribution GfK Mai 2013 1 Sommaire Synthèse de l étude Poids des circuits de distribution L offre vendue par circuit Structure des ventes par

Plus en détail

12 ème Baromètre. de la Création TV. En partenariat avec

12 ème Baromètre. de la Création TV. En partenariat avec 12 ème Baromètre de la Création TV 2015 En partenariat avec Le Baromètre de la Création TV est réalisé chaque année dans le cadre des Journées de la Création TV organisées par l APA (Association pour la

Plus en détail

Les salariés de l économie sociale et solidaire

Les salariés de l économie sociale et solidaire L'Économie sociale et solidaire Les salariés de l économie sociale et solidaire L'EMPLOI SALARIÉ L ESS, un employeur déterminant de l économie régionale 20 Relative précarité de l emploi dans l ESS 22

Plus en détail

BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMÉRIQUE

BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMÉRIQUE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMÉRIQUE Chaire Économie numérique de Paris-Dauphine Réalisé par Médiamétrie Huitième édition 3 e trimestre 2013 Un outil : Initié par la chaire Économie numérique de l Université

Plus en détail

LE MARCHÉ FRANÇAIS DU MEUBLE DE SALLE DE BAINS 2013-2020 BON DE COMMANDE

LE MARCHÉ FRANÇAIS DU MEUBLE DE SALLE DE BAINS 2013-2020 BON DE COMMANDE LE MARCHÉ FRANÇAIS DU MEUBLE DE SALLE DE BAINS 2013-2020 Une grande étude IPEA Vous voulez cerner le marché du meuble de salle de bains et explorer les pistes prospectives à l horizon 2020? A partir de

Plus en détail

Portail : mode d emploi

Portail : mode d emploi Portail : mode d emploi Le Portail culturel de Dunkerque, qu est-ce que c est? C est un site Internet à partir duquel on peut s authentifier et accéder à des services. Il est subdivisé en 3 parties : un

Plus en détail

Les internautes et les comparateurs de prix

Les internautes et les comparateurs de prix FM N 19410 Contact L Atelier : Sandra Edouard Baraud Tél : 01 43 16 90 22 sandra.edouardbaraud@atelier.net, Contact Ifop : Frédéric Micheau Tél : 01 45 84 14 44 frederic.micheau@ifop.com pour Les internautes

Plus en détail

La distribution physique de vidéo en France

La distribution physique de vidéo en France La distribution physique de vidéo en France mars 2010 Cette étude a été réalisée par : Romain Corler, Jérôme Habauzit, Henri Pollet 71 rue Marx Dormoy 75018 Paris Tél : 0140.388.898 - Fax : 0140.388.889

Plus en détail

Le portrait budgétaire

Le portrait budgétaire ACEF du Haut-Saint-Laurent 340 boul. du Havre, bur. 203 Salaberry-de-Valleyfield, Québec J6S 1S6 Téléphone : 450-371-3470 Courriel : acefhsl@hotmail.com Page web : www.acefhsl.org Les bureaux de l ACEF

Plus en détail

Communiqué de presse

Communiqué de presse Communiqué de presse Nouveau record pour la télévision en ligne Le 07 novembre 2013 Résultats du baromètre de la TV en ligne, septembre 2013 Suresnes, le 07 novembre 2013 Canal+ Régie, France Télévisions

Plus en détail

Société française des intérêts des auteurs de l écrit

Société française des intérêts des auteurs de l écrit Société française des intérêts des auteurs de l écrit Le droit de prêt La rémunération pour copie privée numérique La retraite complémentaire des écrivains et des traducteurs L action culturelle Les livres

Plus en détail

L observation du parc existant et de ses évolutions récentes informe sur les équilibres sociaux et démographiques.

L observation du parc existant et de ses évolutions récentes informe sur les équilibres sociaux et démographiques. LE PARC DE LOGEMENTS À PARIS Le parc existant La construction neuve Le marché immobilier Juillet 2007 Préfecture de Paris / DULE / Bureau de l habitat Section analyse et prospective habitat 1. INTRODUCTION

Plus en détail

Utilisation et usage d Internet

Utilisation et usage d Internet 1 résultats Utilisation et usage d Internet Internet s est imposé Quelque soit leur âge ou leur sexe, près de neuf jeunes sur dix déclarent utiliser Internet. Cette imposante proportion indique indubitablement

Plus en détail

Observatoire des loisirs des Français

Observatoire des loisirs des Français Observatoire des loisirs des Français 8 e édition avril 2015 Rapport d étude Les loisirs, créateurs de lien social TNS 2015 Sommaire 1 Présentation de l étude 3 2 Principaux enseignements 5 3 Résultats

Plus en détail

Médiathèque Numérique, mode d emploi

Médiathèque Numérique, mode d emploi Médiathèque Numérique, mode d emploi 1) Se connecter au service Il vous suffit de vous rendre sur le site Internet de votre médiathèque, de vous connecter avec l identifiant et le mot de passe délivrés

Plus en détail

outil RÉFÉRENCE GLOSSAIRE Agrégateur (n. m.) : logiciel qui permet de recevoir tous les fils RSS auxquels on est abonné.

outil RÉFÉRENCE GLOSSAIRE Agrégateur (n. m.) : logiciel qui permet de recevoir tous les fils RSS auxquels on est abonné. outil RÉFÉRENCE 8 GLOSSAIRE Agrégateur (n. m.) : logiciel qui permet de recevoir tous les fils RSS auxquels on est abonné. Ambiance sonore (n. f.) : ensemble des bruits ambiants et des bruits de fond qui

Plus en détail

Grégory Bressolles L E-MARKETING

Grégory Bressolles L E-MARKETING Grégory Bressolles L E-MARKETING Conseiller éditorial : Christian Pinson Dunod, Paris, 2012 ISBN 978-2-10-057045-4 SOMMAIRE Avant-propos 5 CHAPITRE 1 Qu est-ce que l e-marketing? I COMMENT INTERNET A-T-IL

Plus en détail

Les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français

Les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français Les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français Le 18 novembre 2014 Combien de joueurs? Enquête en ligne, réalisée par TNS Sofres, entre le 13 et le 25 septembre 2014, auprès d un échantillon

Plus en détail

9.11 Les jeux de hasard et d argent

9.11 Les jeux de hasard et d argent 9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,

Plus en détail

Comment évolue le Category

Comment évolue le Category Comment évolue le Category Management dans les enseignes multicanal? 5e rendez-vous du category management - paris 12-14 décembre 2012 Remerciements Florence Guittet et Serge Cogitore, enseignants du Master

Plus en détail

Etude du modèle économique de sites ou services de streaming et de téléchargement direct de contenus illicites

Etude du modèle économique de sites ou services de streaming et de téléchargement direct de contenus illicites Etude du modèle économique de sites ou services de streaming et de téléchargement direct de contenus illicites Note de synthèse avril 2012 A l'attention de la Haute Autorité pour la diffusion des œuvres

Plus en détail

Observatoire des écrans connectés

Observatoire des écrans connectés Observatoire des écrans connectés Poursuivre l Observatoire de l internet mobile et aller plus loin! Smartphones, tablettes la multiplication des écrans connectés modifie la consommation des médias Comment

Plus en détail

L accès à Internet. Votre fournisseur d accès à Internet 1/2. Box internet. Box internet. Décodeur TV. Décodeur TV. Freebox. Livebox.

L accès à Internet. Votre fournisseur d accès à Internet 1/2. Box internet. Box internet. Décodeur TV. Décodeur TV. Freebox. Livebox. # $ % "!" #! #&!' L accès à Internet Votre fournisseur d accès à Internet 1/2 Freebox Livebox Freebox Révolution Livebox Play Freebox Crystal Neufbox Bbox Boxde SFR / Neufbox Bbox Sensation Box Evolution

Plus en détail

Toujours pas de reprise

Toujours pas de reprise 2 ème TRIMESTRE JUILLET 2015 CHIFFRE D AFFAIRES 2 ème TRIM 2015 Toujours pas de reprise La conjoncture est encore une fois perçue par près de 80 % de nos dirigeants comme défavorable voire très défavorable.

Plus en détail

La télévision numérique par votre ligne téléphonique. Guide d utilisation. Les services MaLigne TV. http://abonnes.malignetv.fr

La télévision numérique par votre ligne téléphonique. Guide d utilisation. Les services MaLigne TV. http://abonnes.malignetv.fr La télévision numérique par votre ligne téléphonique Guide d utilisation Les services MaLigne TV http://abonnesmalignetvfr Bienvenue sur MaLigne TV Sommaire Page 4 Pages 5-9 Pages 10-17 Page 18 Page 19

Plus en détail

Culture Sector. United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization

Culture Sector. United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization Culture Sector 10 Contrats pour la musique écrit par JEAN VINCENT en collaboration avec GERARD LOUISE Maquette et design : Christine Hengen

Plus en détail

La télé, le second écran, et nous Résultat et analyse de l enquête réalisée début 2015 auprès d un panel de téléspectateurs français

La télé, le second écran, et nous Résultat et analyse de l enquête réalisée début 2015 auprès d un panel de téléspectateurs français TiVine Technologies La télé, le second écran, et nous Résultat et analyse de l enquête réalisée début 2015 auprès d un panel de téléspectateurs français Mosaïque représentant l icon de l application TiVipedia,

Plus en détail

Médiathèque Numérique, mode d emploi

Médiathèque Numérique, mode d emploi Médiathèque Numérique, mode d emploi 1) Inscription Sur la page d accueil du site, cliquez sur «Inscrivez vous» Remplissez le formulaire d inscription, et validez le. 1 Votre inscription est alors bien

Plus en détail

Quelles perspectives en 2013 pour le e-commerce?

Quelles perspectives en 2013 pour le e-commerce? Quelles perspectives en 2013 pour le e-commerce? Présentation du 24 janvier 2013 Une étude qui a pour but de mesurer l achat sur Internet en 2013 et comprendre l usage du Smartphone dans les achats (on-line

Plus en détail

Sommaire. Rentabilité du retour d une franchise de baseball de la Ligue majeure de baseball à Montréal (les «Expos»)

Sommaire. Rentabilité du retour d une franchise de baseball de la Ligue majeure de baseball à Montréal (les «Expos») Sommaire Rentabilité du retour d une franchise de baseball de la Ligue majeure de baseball à Montréal (les «Expos») Novembre 2013 Table des matières 1. CONTEXTE ET OBJECTIFS... 3 2. MÉTHODES DE RECHERCHE...

Plus en détail

3C HAPITRE. 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties

3C HAPITRE. 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties IEOM RAPPORT ANNUEL 2008 3C HAPITRE 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties 54 3 < L ÉVOLUTION MONÉTAIRE EN 2008 L ÉVOLUTION

Plus en détail

Sommaire. Astuce : cliquer sur la question qui vous intéresse vous renvoie directement au chapitre concerné.

Sommaire. Astuce : cliquer sur la question qui vous intéresse vous renvoie directement au chapitre concerné. Un certain nombre de questions reviennent régulièrement lorsque les lecteurs fréquentent la médiathèque de Tours sur Marne. Voici donc une FAQ (Foire Aux Questions / Frequently Asked Questions) pour y

Plus en détail

Filière de la musique enregistrée : quels sont les véritables revenus des artistes interprètes?

Filière de la musique enregistrée : quels sont les véritables revenus des artistes interprètes? Filière de la musique enregistrée : quels sont les véritables revenus des artistes interprètes? Principaux résultats Combien un interprète gagne t-il lorsqu il enregistre et vend des CD? Les sources et

Plus en détail

Les médias en quelques statistiques

Les médias en quelques statistiques Les médias en quelques statistiques Daniel Giroux Secrétaire général, Centre d études sur les médias, Université Laval Avec la collaboration de Sébastien Charlton Le fait que les Québécois passent de plus

Plus en détail

Echantillon interrogé en ligne sur système CAWI (Computer Assistance for Web Interview)

Echantillon interrogé en ligne sur système CAWI (Computer Assistance for Web Interview) Les idées reçues sur la sécurité informatique Contact : OpinionWay 15 place de la République 75003 Paris http://www.opinion-way.com Juillet 2014 1 Méthodologie Méthodologie Echantillon de représentatif

Plus en détail

Observatoire Orange Terrafemina

Observatoire Orange Terrafemina Observatoire Orange Terrafemina Vague 7 M-Commerce : Quand le mobile réinvente le shopping n 1100905 Juillet 2011 Etude réalisée conformément à la norme internationale ISO 20252 2, rue de Choiseul CS 70215

Plus en détail

Toutefois, elles éprouvent de réelles difficultés à mettre en place. les résultats ne sont pas mesurés systématiquement.

Toutefois, elles éprouvent de réelles difficultés à mettre en place. les résultats ne sont pas mesurés systématiquement. Les entreprises sont conscientes de l intérêt du canal web pour leurs campagnes marketing. Elles l utilisent pour différents types d opérations et prévoient de poursuivre leurs investissements sur le marketing

Plus en détail

Les archives. On conserve ces documents pour faire des recherches historiques, administratives ou généalogiques.

Les archives. On conserve ces documents pour faire des recherches historiques, administratives ou généalogiques. Les archives Les Archives sont : les documents les administrations qui conservent ces documents les bâtiments dans lesquels sont conservés les documents. Tous les documents produits par les services municipaux

Plus en détail

Conversion et e-commerce : la fidélité prime

Conversion et e-commerce : la fidélité prime Conversion et e-commerce : la fidélité prime Etude réalisée du 1 er au 28 février 2010 sur un périmètre de 8 sites d e-commerce audités par AT Internet. Les sites d e-commerce ont de plus en plus le vent

Plus en détail

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-* Note détaillée Baromètre européen du rapport aux paiements Des pratiques uniformisées en Europe? Sondage Harris Interactive pour Crédit Agricole Cards & Payments Enquête réalisée en ligne du 19 au 29 septembre

Plus en détail

COMPTE RENDU. Billetterie en ligne : Une solution miracle pour le spectacle vivant? 6 décembre 2011

COMPTE RENDU. Billetterie en ligne : Une solution miracle pour le spectacle vivant? 6 décembre 2011 COMPTE RENDU 6 décembre 2011 Billetterie en ligne : Une solution miracle pour le spectacle vivant? EN PRÉAMBULE Grâce aux évolutions technologiques, il est désormais facile de se procurer un billet de

Plus en détail

La plus grande régie publicitaire sur mobile indépendante au monde. Confiden'el : Ne pas diffuser 1!

La plus grande régie publicitaire sur mobile indépendante au monde. Confiden'el : Ne pas diffuser 1! La plus grande régie publicitaire sur mobile indépendante au monde Confiden'el : Ne pas diffuser 1! Point de vue du consommateur sur le M Commerce et la publicité Mobile associée InMobi: Hier et Aujourd'hui

Plus en détail

«COMMENT PROSPECTER ET FIDÉLISER VOS CLIENTS GRÂCE À LA COMMUNICATION ET AU MARKETING DIRECT?»

«COMMENT PROSPECTER ET FIDÉLISER VOS CLIENTS GRÂCE À LA COMMUNICATION ET AU MARKETING DIRECT?» «COMMENT PROSPECTER ET FIDÉLISER VOS CLIENTS GRÂCE À LA COMMUNICATION ET AU MARKETING DIRECT?» Sommaire 1. Introduction : les clients, les Médias et la Publicité 2. Construire une Stratégie de Communication

Plus en détail

Observatoire de l e-tourisme. Sommaire

Observatoire de l e-tourisme. Sommaire 2 Sommaire Présentation de Next Content... 9 Nos activités... 9 NC Etudes... 9 NC Event... 10 NC Factory... 11 NC Formation... 12 NC Conseil... 13 Qui sommes-nous?... 13 L Observatoire des décideurs de

Plus en détail

note d Temps de travail des enseignants du second degré public : pour une heure de cours, une heure de travail en dehors 13.13

note d Temps de travail des enseignants du second degré public : pour une heure de cours, une heure de travail en dehors 13.13 note d informationjuillet 13.13 Les enseignants du second degré public à temps complet ont déclaré, en moyenne, exercer 41 heures de travail par semaine dont la moitié avec les élèves, principalement en

Plus en détail

Etude OpinionWay pour Axys Consultants Les Réseaux Sociaux d Entreprise : degré d appropriation & bénéfices perçus par les utilisateurs

Etude OpinionWay pour Axys Consultants Les Réseaux Sociaux d Entreprise : degré d appropriation & bénéfices perçus par les utilisateurs Octobre 2014 Etude OpinionWay pour Axys Consultants Les Réseaux Sociaux d Entreprise : degré d appropriation & bénéfices perçus par les utilisateurs Méthodologie de l étude Étude réalisée auprès d un échantillon

Plus en détail

Edition 2015. Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section J Division 60

Edition 2015. Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section J Division 60 Edition 2015 Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section J Division 60 60 PROGRAMMATION ET DIFFUSION Cette division comprend les activités d édition de chaines

Plus en détail

Les Médiévales de Provins Edition 2012

Les Médiévales de Provins Edition 2012 Étude sur les retombées économiques d un évènement culturel Les Médiévales de Provins Edition 2012 Provins xx/xx/2013 1 1 - Introduction : objectifs de l étude Une méthodologie nationale pour le calcul

Plus en détail

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11

Plus en détail

LE CONTRAT DE COPRODUCTION

LE CONTRAT DE COPRODUCTION LE CONTRAT DE COPRODUCTION 1. Parties 2. Objet 3. Durée 4. Responsabilité de la production 5. Budget et financement de la production 6. Répartition des recettes d exploitation 7. Livraison des masters

Plus en détail

Observatoire des écrans connectés

Observatoire des écrans connectés Observatoire des écrans connectés Poursuivre l Observatoire de l internet mobile et aller plus loin! Smartphones, tablettes la multiplication des écrans connectés modifie la consommation des médias Comment

Plus en détail

Cet article s attache tout d abord

Cet article s attache tout d abord Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de

Plus en détail

Les comportements d achats multicanaux des internautes 9 ème baromètre FEVAD-Médiamétrie//NetRatings. extraits

Les comportements d achats multicanaux des internautes 9 ème baromètre FEVAD-Médiamétrie//NetRatings. extraits Les comportements d achats multicanaux des internautes 9 ème baromètre FEVAD-Médiamétrie//NetRatings extraits Juillet 2013 Contexte 2013 Un consommateur de plus en plus connecté 42,2 millions d internautes

Plus en détail

METTRE LE NUMÉRIQUE AU SERVICE D UN NOUVEAU MODÈLE DE BIBLIOTHÈQUE

METTRE LE NUMÉRIQUE AU SERVICE D UN NOUVEAU MODÈLE DE BIBLIOTHÈQUE METTRE LE NUMÉRIQUE AU SERVICE D UN NOUVEAU MODÈLE DE BIBLIOTHÈQUE Bibliothèque Publique Centrale pour la Région de Bruxelles-Capitale Les journées du livre numérique. Bruxelles, 4 octobre 2010 L emprunteur

Plus en détail

Le droit d'auteur. Lire. Voyager avec sa tablette. ipad : Qrafter. Les conseils avant de partir INFO

Le droit d'auteur. Lire. Voyager avec sa tablette. ipad : Qrafter. Les conseils avant de partir INFO Le droit d'auteur Rappel : les œuvres littéraires, musicales et audiovisuelles sont protégées par le droit d'auteur. Voyager avec sa tablette s'occuper pendant les transports Afin de retrouver rapidement

Plus en détail

La Réunion, terre d images et de tournages

La Réunion, terre d images et de tournages TOP RÉSA 2011 / 20-23 SEPTEMBRE 2011 À PARIS www.regionreunion.com La Réunion, terre d images et de tournages LA RÉUNION AU PATRIMOINE MONDIAL DE L HUMANITÉ cirques, pitons, remparts Terre d images Terre

Plus en détail

COMMUNIQUE DE PRESSE. Après l entourage, Internet est le media le plus influent sur la consommation des internautes français.

COMMUNIQUE DE PRESSE. Après l entourage, Internet est le media le plus influent sur la consommation des internautes français. COMMUNIQUE DE PRESSE Après l entourage, Internet est le media le plus influent sur la consommation des internautes français. PARIS le 19 Novembre 2009 pour diffusion immédiate L influence d Internet dans

Plus en détail

20 ans de conseil, stratégie et création en VAD et marketing opérationnel.

20 ans de conseil, stratégie et création en VAD et marketing opérationnel. 20 ans de conseil, stratégie et création en VAD et marketing opérationnel. OPTIMISATION DES PERFORMANCES VAD STRATEGIE ET PLANS D ACTION POSITIONNEMENT MARKETING ELABORATION DES PLANS DE CAMPAGNE VAD EXPERTISE

Plus en détail

OBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE

OBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE OBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE Edition 2013 Perception du risque et comportement d investissement (point 5) 16 octobre 2013 Pourquoi un Observatoire UFF/IFOP de la clientèle patrimoniale?

Plus en détail

Consumer. Fiche Synthétique. Journey. Enquête sur les parcours d achat Secteur Automobile Véhicules neufs

Consumer. Fiche Synthétique. Journey. Enquête sur les parcours d achat Secteur Automobile Véhicules neufs Fiche Synthétique Consumer Journey Enquête sur les parcours d achat Secteur Automobile Véhicules neufs Février 2014 1 1 CONTEXTE En 2013, le marché automobile français a réalisé sa pire performance depuis

Plus en détail

1 er Baromètre DIRECT ASSURANCE des Cyberconsommateurs

1 er Baromètre DIRECT ASSURANCE des Cyberconsommateurs Dossier de Presse Février 2011 1 er Baromètre DIRECT ASSURANCE des Cyberconsommateurs Etude IFOP pour DIRECT ASSURANCE menée du 22 au 30 décembre 2010 auprès d un échantillon national de 1035 Français

Plus en détail

Enquête Individus 2014 : smartphone, tablette & cloud. Nicolas Deporte Observatoire du GIS M@rsouin. Bretagne 2012 (Marsouin)

Enquête Individus 2014 : smartphone, tablette & cloud. Nicolas Deporte Observatoire du GIS M@rsouin. Bretagne 2012 (Marsouin) Enquête Individus 2014 : smartphone, tablette & cloud Nicolas Deporte Observatoire du GIS M@rsouin Evolution de l équipement 2011-2014 France 2011 (Credoc) Bretagne 2012 (Marsouin) France 2013 (Credoc)

Plus en détail

P opulation. ATLAS DES POPULATIONS IMMIGRÉES en Ile-de-France / Regards sur l immigration / Population 2. Photo : Philippe Desmazes/AFP

P opulation. ATLAS DES POPULATIONS IMMIGRÉES en Ile-de-France / Regards sur l immigration / Population 2. Photo : Philippe Desmazes/AFP P opulation Photo : Philippe Desmazes/AFP Près de 40 % des immigrés résidant en métropole vivent en Ile-de-France en 1999. Environ 15 % de la population francilienne est immigrée, c est une proportion

Plus en détail

PaquetPLUS - votre partenaire asile colis Présentation des services

PaquetPLUS - votre partenaire asile colis Présentation des services vous présente PaquetPLUS - votre partenaire asile colis Présentation des services Fondée début 2009 par deux anciens salariés d ebay, la société berlinoise a su étendre son réseau de distribution à plus

Plus en détail

Français. La PBZ en bref

Français. La PBZ en bref Français La PBZ en bref 2 La PBZ vous souhaite la bienvenue La PBZ est la bibliothèque publique de Zurich. ---------------------------------------------------------------------------- Toutes les informations

Plus en détail

Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011

Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011 Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011 Baromètre établi à partir des sources suivantes: 2010 - Données transmises par la Direction

Plus en détail

PRINT, TABLETTES, AUTRES ÉCRANS Les nouveaux usages des moins de 20 ans

PRINT, TABLETTES, AUTRES ÉCRANS Les nouveaux usages des moins de 20 ans PRINT, TABLETTES, AUTRES ÉCRANS Les nouveaux usages des moins de 20 ans OBJET DE L ÉTUDE Comportements de consommation DRESSER LE PORTRAIT DES JEUNES DE MOINS DE 20 ANS Loisirs, styles de vie Équipement

Plus en détail

Etudes publics des stades Ligue 1 et Ligue 2. mars 2014

Etudes publics des stades Ligue 1 et Ligue 2. mars 2014 Etudes publics des stades Ligue 1 et Ligue 2 mars 2014 Objectifs Fournir aux 40 clubs des Outils personnalisés et sortir des études nationales inexploitables au niveau local Avoir une approche club à club

Plus en détail

développement culturel

développement culturel développement culturel Ministère Direction de l administration générale Département des études et de la prospective Développement culturel est téléchargeable sur le serveur du ministère de la Culture et

Plus en détail

Voici la newsletter de l Adéic. Retrouvez la totalité de ces brèves, articles ou interviews sur notre site www.adeic.fr

Voici la newsletter de l Adéic. Retrouvez la totalité de ces brèves, articles ou interviews sur notre site www.adeic.fr Bonjour à tous, Voici la newsletter de l Adéic. Retrouvez la totalité de ces brèves, articles ou interviews sur notre site www.adeic.fr Si vous êtes intéressés, l Adéic est toujours à la recherche de bénévoles

Plus en détail