SYSTÈME MUTUEL D INFORMATION SUR LA PROTECTION SOCIALE DU CONSEIL DE L EUROPE (MISSCEO) 17 e Réunion Strasbourg, 2-3 juillet 2015 RAPPORT DE RÉUNION

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "SYSTÈME MUTUEL D INFORMATION SUR LA PROTECTION SOCIALE DU CONSEIL DE L EUROPE (MISSCEO) 17 e Réunion Strasbourg, 2-3 juillet 2015 RAPPORT DE RÉUNION"

Transcription

1 SECRETARIAT GENERAL DIRECTION GENERALE DROITS DE L HOMME ET ETAT DE DROIT DIRECTION DES DROITS DE L HOMME SERVICE DE LA CHARTE SOCIALE EUROPEENNE Strasbourg, le 12 octobre 2015 MISSCEO(2015)6 SYSTÈME MUTUEL D INFORMATION SUR LA PROTECTION SOCIALE DU CONSEIL DE L EUROPE (MISSCEO) 17 e Réunion Strasbourg, 2-3 juillet 2015 RAPPORT DE RÉUNION

2 I. OUVERTURE DE LA RÉUNION La réunion est ouverte sous la présidence de M. Karl-Friedrich Bopp, Chef de Division, qui souhaite la bienvenue aux participants, en particulier à ceux qui sont nouveaux dans le réseau. La liste des participants et des membres du Secrétariat figure à l Annexe I. II. III. ADOPTION DE L ORDRE DU JOUR L ordre du jour, qui figure à l Annexe II, est adopté. INFORMATIONS COMMUNIQUÉES PAR LE SECRÉTARIAT MISSCEO(2015)1 MISSCEO(2015)2 M. Karl-Friedrich Bopp donne des informations sur les récents développements au Conseil de l Europe qui présentent un intérêt pour le réseau MISCCEO. Les projets de résolutions sur l application du Code européen de sécurité sociale, établis sur la base des Conclusions du Comité d experts du BIT, ont été adoptés par le Comité gouvernemental de la Charte sociale européenne et du Code européen de sécurité sociale à sa réunion du 18 au 22 mai 2015 et seront soumises pour adoption au Comité des Ministres du Conseil de l Europe dans le courant de l année. Des informations sont aussi communiquées au sujet de la promotion du Code européen de sécurité sociale («le Code») lors des réunions sur les dispositions non acceptées de la Charte sociale européenne («la Charte»), qui se sont tenues à Belgrade, Serbie, le 4 novembre 2014, et à Podgorica, Monténégro, le 5 mai Un séminaire tripartite a également eu lieu à Kiev le 30 juin 2015 en vue de la ratification par l Ukraine du Code et de la Convention n o 102 de l OIT. Une autre réunion pour promouvoir la ratification du Code doit se tenir à Zagreb, Croatie, les 22 et 23 septembre De plus, une autre manifestation pourrait être organisée en Bulgarie dans la suite de l année, dans le cadre de la présidence bulgare du Comité des Ministres du Conseil de l Europe. M. Bopp informe aussi les participants de la Conférence à haut niveau sur la Charte sociale européen, qui s est déroulée à Turin les 17 et 18 octobre Les débats ont porté essentiellement sur les mesures d austérité en période de crise et le rôle de la Charte dans la protection des droits sociaux, sur la contribution de la procédure de réclamation collective de la Charte au respect des droits sociaux et sur les synergies entre le droit de l Union européenne et la Charte sociale européenne. Cette conférence a été le point de départ du «processus de Turin», dans le cadre duquel une conférence sur l avenir de la protection des droits sociaux en Europe s est tenue à Bruxelles les 12 et 13 février 2015, sous l égide de la présidence belge du Comité des Ministres. Un objectif clé du processus de Turin est d améliorer la mise en œuvre des droits économiques et sociaux en Europe, parallèlement aux droits civils et politiques garantis par la Convention européenne des droits de l homme. Les principaux piliers du processus de Turin sont la promotion de ratifications supplémentaires de la Charte sociale européenne révisée, une acceptation plus large de la procédure de réclamation collective et l amélioration des synergies entre la Charte et le droit de l Union, ainsi que l augmentation du nombre de membres du Comité européen des droits sociaux (CEDS). Des informations plus détaillées figurent sur le site web IV. INFORMATIONS RELATIVES AU MISSOC Des membres de la nouvelle équipe du MISSOC, M. Terry Ward, Directeur du projet MISSOC, et Mme Loredana Sementini, Coordinatrice du MISSOC, assistent à la réunion. Mme Sementini présentent les développements en cours au MISSOC. Le Réseau européen sur les politiques sociales (ESPN), établi en 2014, associe deux réseaux d experts indépendants sur la protection sociale et l inclusion sociale au MISSOC. Ce projet est conduit par le Luxembourg Institute of Socio- 2

3 Economic Research (LISER) (anciennement CEPS-Instead) et Applica. Son objectif premier est d éviter la répétition inutile des travaux et d exploiter les synergies entre experts indépendants et pouvoirs publics. Le fonctionnement du MISSOC reste largement inchangé et les activités de coopération avec le Conseil de l Europe et l AISS se poursuivront sur les mêmes bases. Le principal résultat de la participation de ces experts indépendants est la réalisation des profils nationaux des politiques sociales, la publication de rapports européens semestriels et de bulletins mensuels sur les principaux développements des politiques sociales, ainsi que de trois rapports thématiques par an. Les deux premiers rapports de l année dernière portaient sur les investissements sociaux (publié en avril) et sur le soutien aux chômeurs de longue durée (à paraître à la mi-juillet). Le troisième rapport, prévu pour l automne, sera consacré à l impact de la crise sur les retraites. Ces rapports peuvent être consultés sur la page web de l ESPN sur le site de la Commission européenne. Les tableaux comparatifs MISSOC continueront d être mis à jour deux fois par an. La mise à jour de janvier 2015 sera en ligne à la mi-juillet 2015 et celle de juillet 2015 en janvier Sur le plan méthodologique, l un des objectifs premiers étant d améliorer l utilité des tableaux, des mesures ont été prises pour garantir la comparabilité et l exhaustivité des informations, tenir compte des besoins des utilisateurs et remédier aux difficultés. La révision des lignes directrices vise à clarifier des rubriques données et à répondre aux besoins politiques de la Commission. La mise à jour périodique des lignes directrices les différents tableaux se poursuit sur la base d une analyse approfondie. Des exemples de clarification de la terminologie, des définitions et des informations souhaitées dans les tableaux VI «Vieillesse» et XII «Soins de longue durée» sont fournis. Des exemples sont également donnés en ce qui concerne la réponse apportée aux préoccupations politiques de la Commission, notamment sur les écarts des prestations de retraite entre les hommes et les femmes et les prestations de logement. La mise à jour périodique des lignes directrices porte actuellement sur le tableau VII relatif aux prestations de survivants. Elle est motivée en partie par l intérêt porté aux écarts des prestations de retraite entre les hommes et les femmes. Des propositions de révision seront examinées à la prochaine réunion du réseau. Des explications sont fournies au sujet de la communication avec les correspondants et les utilisateurs, qui est assurée par la mise à jour régulière du site web, un outil d enquête en ligne et la constitution de groupes de travail pour la révision des lignes directrices. Des mesures sont à l examen pour passer d une communication basée essentiellement sur les lignes directrices à une approche reposant sur des questionnaires. Le Président remercie Mme Sementini pour son exposé très instructif sur les développements du MISSOC. Une discussion s engage sur plusieurs points mentionnés lors de cet exposé, notamment à propos des questionnaires, d une possible transformation visant à refléter la politique de l Union européenne, qui va au-delà de la coopération technique, de la difficulté de fournir des informations concernant les prestations de logement et d identifier les utilisateurs potentiels du site web. M. Ward explique que plusieurs questions ont été traitées au moyen de questionnaires afin de garantir la meilleure comparaison possible entre les différents régimes nationaux et l exhaustivité des informations, les lignes directrices portant essentiellement sur les définitions et les concepts. V. INFORMATIONS RELATIVES AU MISSCEO MISSCEO(2013)6 Mme Sheila Hirschinger souhaite la bienvenue aux participants, en particulier à Mme Godinjak, qui remplace actuellement le correspondant de la Bosnie-Herzégovine et qui a effectué précédemment des travaux précurseurs pour le réseau MISCCEO, ainsi qu à M. Ward et Mme Sementini du MISSOC, qu elle remercie pour leur présentation très intéressante des développements en cours au MISSOC. S agissant des travaux du MISSCEO réalisés depuis la dernière réunion du réseau, la mise à jour des contributions nationales s est déroulée sans problème et conformément au plan établi. Tous les tableaux ont été finalisés en 2014 et les versions anglaise et française ont été intégrées à la base de données, consultable sur le site web Le document MISSCEO Info 2014, établi par le professeur Paul Schoukens sur la base des informations communiquées par les correspondants et qui recense les tendances et développements récents, a également été publié sur le site web. La préparation des tableaux comparatifs 2015 est en bonne voie. La mise à 3

4 jour des tableaux en est à divers stades de finalisation. L édition 2015 des tableaux comprend une nouvelle catégorie, qui figure aussi dans le MISSOC et concerne le «rachat de périodes d assurance». Une autre évolution est en cours, conformément à la décision prise lors de la dernière réunion, à savoir l élaboration d un document d information sur les accords de coordination. Il est rappelé aux correspondants que les annexes aux tableaux (organigrammes et informations sur les travailleurs indépendants) doivent aussi être mises à jour en Mme Hirschinger explique aussi les méthodes de travail du MISSCEO à l intention de la nouvelle équipe du MISSOC. Les tableaux sont actualisés une fois par an par les correspondants, puis transmis au secrétariat et au consultant pour vérification et questions éventuelles avant révision finale. Les modifications apportées à la structure des tableaux pour s aligner sur les changements intervenus dans le MISSOC sont décidées lors de la réunion annuelle du MISSCEO. C est pourquoi il est utile de disposer de la version révisée des lignes directrices du MISSOC, qui expose les changements introduits. La réunion annuelle est aussi l occasion pour les correspondants de travailler en petits groupes sur la comparabilité de tableaux sélectionnés. Mme Hirschinger exprime le souhait que la visibilité de MISSCEO soit améliorée par l intermédiaire du site web du MISSOC et remercie pour finir les correspondants et le consultant pour l excellent travail qui a été accompli. VI. COMMENTAIRES GÉNÉRAUX SUR LA COMPARABILITÉ Le consultant, M. Schoukens, déclare que la comparabilité des tableaux s est améliorée avec le temps et qu un compromis a été trouvé sur la plupart des aspects, notamment pour ce qui est des définitions et des concepts. Il est décidé que le consultant donnera des indications sur les informations à fournir dans les tableaux et que les correspondants jugeront par eux-mêmes de l étendue de ces informations, par exemple pour ce qui est de l énumération des textes de loi. M. Schoukens soulève les points suivants : - Les informations relatives aux pensions posent problème depuis des années, en particulier les méthodes de calcul, souvent très détaillées, qui comportent parfois des formules mathématiques, alors que la logique sous-jacente est souvent peu claire, notamment pour ce qui est du lien avec le nombre d années travaillées ou le niveau de revenus. Il est demandé aux correspondants de s intéresser à cet aspect au cours de l exercice comparatif qui aura lieu pendant la réunion, afin de comparer, par exemple, les principes de base. - S agissant des informations relatives aux accords de coordination, il a été décidé d élaborer un document sur ce sujet, sur le modèle de ce qui a été fait par le MISSOC. L élaboration d un tableau d information est en cours. L objectif premier est de fournir au lecteur les principes de base. Il reste à décider de la quantité d informations à intégrer à ce tableau. Nous y reviendrons ultérieurement au cours de cette réunion (voir point VIII). - Pour ce qui est de la nouvelle catégorie relative au rachat de cotisations, ajoutée aux tableaux en 2015, des problèmes de définition se sont posés, qui sont similaires aux difficultés relevées pour les pensions partielles. Dans la plupart des cas, les correspondants ont rempli la case. Des précisions ont parfois été demandées. Lorsqu aucune information n a été fournie, il a été demandé aux correspondants d indiquer dans le tableau si ces cotisations existent ou non. M. Schoukens contactera individuellement les correspondants pour des points précis concernant les tableaux. VII. ÉVOLUTION DES RÉGIMES NATIONAUX DE PROTECTION SOCIALE Les correspondants sont invités à fournir une brève description des principaux développements de leurs régimes nationaux de protection sociale. Les principaux points qui sont ressortis des exposés lors des tables-rondes concernent essentiellement les mesures visant à améliorer la protection sociale des catégories de population les plus vulnérables, comme l augmentation des prestations 4

5 minimum d aide, les dispositifs ciblés d assistance sociale, l aide aux personnes déplacés, aux enfants à risques et aux Roms, ainsi que les projets relatifs aux personnes handicapées, comme les quotas d embauches obligatoires. Les réformes des régimes de retraite sont importantes pour mieux protéger les retraités vulnérables et améliorer la communication avec le public. Plusieurs réformes prévoient la restructuration de ces régimes et l amélioration de leur efficacité, avec le recul de l âge de la retraite et des mesures destinées à assurer leur viabilité financière. Des mesures sont prises pour améliorer les systèmes informatiques de sécurité sociale et simplifier les procédures administratives. Des réformes du travail ont été introduites dans le but d améliorer l accès des chômeurs au marché du travail, d intégrer les travailleurs indépendants aux régimes d assurance sociale et de faciliter la déclaration des employés de maison. Des réformes sont aussi en cours dans le secteur de la santé, avec des mesures visant à améliorer la couverture et des changements dont le but est d harmoniser la situation avec les normes internationales. Le Secrétariat remercie les correspondants pour leurs exposés et rappellent à ceux qui ne l ont pas encore fait d envoyer leurs textes sur l évolution de leur système national de protection sociale, ces derniers devant servir de base au bulletin MISSCEO Info sur lequel travaille le consultant. VIII. DOCUMENT D INFORMATION SUR LES INSTRUMENTS DE COORDINATION MISSCEO(2015)3 M. Schoukens rappelle l historique du document d information sur les instruments de coordination, qui s inspire des travaux du MISSOC et de l Union européenne dans ce domaine et a pour objectif de fournir des informations relatives aux articles 12 4 et 13 4 de la Charte sociale européenne. L an dernier, un questionnaire avait été rempli par deux correspondants et avait servi de base de discussion à la réunion. Pour la présente réunion, M. Schoukens a établi un tableau d analyse des traités existants, que les correspondants ont été priés de remplir avant la réunion. Ce tableau indique le pays avec lequel l accord a été conclu, la date à laquelle il a été signé, sa date d entrée en vigueur et renseigne sur son champ d application personnel et matériel. Une discussion a ensuite lieu sur les différents aspects du tableau, l étendue des informations à fournir et l objectif principal de l exercice. Le Secrétariat rappelle que les informations seront utiles pour l examen des rapports nationaux à soumettre au titre de la Charte sociale européenne en 2016 pour le groupe thématique 2 sur la santé, la sécurité sociale et la protection sociale, qui englobe les articles 12 et 13. Les correspondants ont adopté des approches différentes pour remplir les tableaux, se contentant parfois de cocher les cases et donnant parfois quelques brèves informations complémentaires, tandis que d autres ont fourni des informations détaillées. M. Schoukens indique que certains aspects de la coordination entre les pays de la CEI ne sont pas clairs. La correspondante de «l ex-république yougoslave de Macédoine» explique qu elle a préparé deux versions du tableau : une version courte indiquant les grands principes des accords de coordination et une version plus détaillée. Le correspondant de la Serbie fait état de difficultés à décider quelles informations inclure et estime qu il serait utile d avoir un modèle de tableau. Le réseau décide d adopter une approche en deux étapes. Dans un premier temps, en 2015, les tableaux donneront uniquement des informations de base sur les accords existants, sous forme de croix dans les cases, et seront publiés sur le site web à la fin de l année. Dans un second temps, en 2016, les tableaux seront étoffés avec d autres informations en s inspirant de la version courte préparée par la correspondante de «l ex-république yougoslave de Macédoine» et fourniront un résumé des principes de base sur lesquels se fondent les accords. Cette version sera publiée sur le site web à la fin de l année

6 IX. EXERCICE COMPARATIF L exercice comparatif porte sur les chapitres VI Vieillesse et VII Survivants. Les correspondants sont répartis en groupes et examinent les informations figurant dans ces deux tableaux, extraits de la base de données 2014, à des fins de comparaison. Le premier groupe (Albanie, Arménie et Bosnie-Herzégovine) constate que les tableaux révèlent une approche similaire. Il n y a pas de régime obligatoire dans ces trois pays et les principes de base sont analogues, malgré les différences constatées entre les systèmes. Ainsi, les conditions ouvrant droit à prestations varient, les pensions sont plafonnées en Albanie et en Bosnie- Herzégovine, mais pas en Arménie, et les méthodes de revalorisation en fonction du coût de la vie diffèrent. Les modes de calcul sont aussi présentés de manières différentes, figurant tantôt sous forme de formule, tantôt sous forme de texte descriptif. M. Schoukens fait remarquer que dans les cas où une formule est indiquée, elle doit être explicitée. De plus, lorsque la possibilité de pensions partielles existe, il serait utile de fournir des explications plus détaillées. Le deuxième groupe (Géorgie, République de Moldova, Monténégro et Ukraine) relève que le système géorgien est plus simple que celui des autres pays car les pensions se basent sur un taux forfaitaire pour tous les bénéficiaires. Des possibilités de simplification sont dégagées, comme la référence à l âge de départ en retraite pour la pension standard en République de Moldova et à la pension minimum en Ukraine. Des différences sont constatées pour ce qui est de l égalité entre les hommes et les femmes, l Ukraine étant le seul pays où l âge de la retraite est identique pour tous, alors qu il est plus précoce pour les femmes dans les autres pays. Des différences sont aussi relevées en ce qui concerne les droits des conjoints à une pension de survivant. S agissant des pensions, M. Schoukens souligne l importance d expliquer clairement les pourcentages et les calculs. Le troisième groupe (Fédération de Russie, Serbie, «l ex-république yougoslave de Macédoine» et Turquie) constate que les informations figurant dans les tableaux sont de nature similaire, bien que le niveau de détail varie, ce qui s explique essentiellement par la plus ou moins grande complexité des différents systèmes. Il y a aussi des différences dans la présentation des principes de base, en particulier pour la source des cotisations et le financement des régimes. S agissant des calculs, la majorité des pays indiquent des formules ; des définitions aideraient le lecteur à comprendre le raisonnement. Sur certains points, des informations complémentaires paraissent nécessaires, par exemple en ce qui concerne les demandeurs et les délais pour demander la liquidation des droits en cas de pension partielle. Dans le cas de la Fédération de Russie, M. Schoukens relève que la pension partielle aurait davantage sa place dans une autre catégorie, en lien avec la pension anticipée ou la durée minimale de cotisation. X. PRÉPARATION DE L ÉDITION 2015 MISSCEO(2015)4 Le calendrier de préparation de l édition 2015 des tableaux, avec les différentes étapes de production, est confirmé : - Les informations dans les tableaux devraient refléter la situation au 1 er janvier Les correspondants du MISSCEO réviseront leurs contributions nationales pour le 25 septembre 2015 à la lumière des discussions tenues lors de la présente réunion et des commentaires faits par le coordinateur de contenu. - La version définitive des contributions finales après révision éventuelle par les correspondants sera soumise par le coordinateur éditorial au Secrétariat pour le 16 octobre Les données 2015 du MISSCEO seront traduites en français en octobre

7 - Le Secrétariat intégrera les données 2015 du MISSCEO (version anglaise) dans la base de données du Conseil de l Europe en décembre La version française des données MISSCEO 2015 sera enregistrée dans la base de données en décembre 2015/janvier XI. PRÉPARATION DE L ÉDITION 2016 MISSCEO(2014)6 Le calendrier suivant est approuvé pour la préparation de l édition 2016 : - Les informations dans les tableaux devraient refléter la situation au 1 er janvier Le Secrétariat demandera les contributions nationales en janvier Les correspondants MISSCEO feront une mise à jour des contributions nationales pour le 8 avril Les commentaires sur les contributions nationales seront prêts pour le 16 mai La 18 e réunion du MISSCEO aura lieu les 7 et 8 juillet Les correspondants du MISSCEO réviseront leurs contributions nationales à la lumière des discussions tenues lors de la réunion annuelle et des commentaires du coordinateur de contenu pour le 23 septembre Les versions finales des contributions nationales, vérifiées par le coordinateur de contenu et le Secrétariat, seront prêtes pour le 14 octobre Les données seront envoyées pour traduction vers le français en octobre La version anglaise des données sera enregistrée dans la base de données du Conseil de l Europe en décembre La version française des données sera chargée dans la base en décembre 2016/janvier XII. DATE ET LIEU DE LA PROCHAINE RÉUNION La 18 e réunion du MISSCEO est prévue les 7 et 8 juillet 2016, à Strasbourg. 7

8 ANNEXE I LIST OF PARTICIPANTS*/ LISTE DES PARTICIPANTS ALBANIA / ALBANIE Ms Diana BEQIRI Specialist - Expert Directory of Social Insurance and Wage Ministry of Social Welfare and Youth Rruga e Kavajes nr 53, Tirana, ALBANIA Cel: Tel.: d_beqiri@yahoo.com ARMENIA / ARMÉNIE Ms Gayane VASILYAN Chief Specialist, Monitoring and Analytic Department Ministry of Labour and Social Issues Government House 3, Yerevan 0010 Tel.: ; Fax gayane.vasilyan@mlsa.am; internationaldivision@yahoo.com;vasilyang@yahoo.com Web : AZERBAÏJAN / AZERBAÏDJAN Ms Sabina JAFAROVA Head of Social Protection Policy Department Ministry of Labour and Social Protection of Population 85, Salatin Asgarova str., Baku AZ 1009 Tel : Fax : Cell ph: sabina.jafarova@mlspp.gov.az BOSNIA AND HERZEGOVINA / BOSNIE-HERZÉGOVINE Ms Serifa GODINJAK Head of Department European Integration and International Cooperation Health Department Ministry of Civil Affairs of Bosnia and Herzegovina Sarajevo, Trg BiH 3 Bosnia and Herzegovina Tel: serifa.godinjak@mcp.gov.ba GEORGIA / GÉORGIE Mr Amiran DATESHIDZE Head of Social Issues and Program Division Department of Social Protection Ministry of Labour, Health and Social Affairs 144 Tsereteli Avenue, Tbilisi 0159, Georgia Tel.: (0511) adateshidze@moh.gov.ge; adateshidze@yahoo.com 8

9 REPUBLIC OF MOLDOVA / REPUBLIQUE DE MOLDOVA Ms Lilia CURAJOS Head of external relations Department Ministry of Social Protection, Family and Child V. Alecsandri Str. 1, 2009 Kishinev, Republic of Moldova Tel: Fax: liliacurajos@yahoo.fr. ;lilia.curajos@mmpsf.gov.md MONTENEGRO Ms Ana STIJEPOVIC Director PI Center for Social Work in Podgorica IV Proleterske 18, Podgorica Montenegro Tel Fax ana.stijepovic@czsr.me RUSSIAN FEDERATION / FÉDÉRATION DE RUSSIE Mr Igor ZEMLYANSKIY Senior Specialist-Expert for the Department of Legal Regulation and International Cooperation Ministry of Labour and Social Protection Russian Federation Tel: +7(495) ext Cell phone: +7 (925) zemlyanskiyln@rosmintrud.ru; cronus34@mail.ru SERBIA / SERBIE Mr Nenad RAKIC Department for Assurance in cases of Retirement and Invalidity Ministry of Labour and Social Policy Nemanjina Street, Belgrade Tel: nenad.rakic@minrzs.gov.rs THE FORMER YUGOSLAV REPUBLIC OF MACEDONIA / "L'EX-REPUBLIQUE YOUGOSLAVE DE MACEDOINE" Ms Aleksandra SLAVKOSKA Department for European Integration Ministry of Labour and Social Policy Ul. Dame Gruev 14, 1000 Skopje Tel: a_slavkoska@yahoo.com aslavkoska@mtsp.gov.mk 9

10 TURKEY / TURQUIE Varol DUR Social Security Expert Social Security Institution EU and Foreign Relations Department Ziyabey Cad. N Balgat Ankara - Turkey Tel: Fax: vdur@sgk.gov.tr UKRAINE Ms Iouliia IAKUBOVSKA International Agreements Division Department of International Relations and Informational Technologie Ministry of Social Policy of Ukraine 8/10, Esplanadna str , Kiev, Ukraine Tel/fax: mailto:yyv@mlsp.gov.ua CONSULTANT Prof. dr. Paul SCHOUKENS Representing the Consultancy Europe and Social Security (CESS) bvba Brouwerstraat 33, 3000 Leuven Belgium Tel.: +32 (16) paul.schoukens@law.kuleuven.be MISSOC Mr Terry WARD MISSOC Project Director 31, rue Van Campenhout, B-1000 Brussels Tel: Fax: missoc@applica.be Ms Loredana SEMENTINI Coordinator MISSOC Secretariat 31, rue Van Campenhout, B-1000 Brussels Tel: Fax: missoc@applica.be INTERPRETERS : Christine TRAPP Pascale MICHLIN Monique PALMIER 10

11 SECRETARIAT CONSEIL DE L EUROPE / COUNCIL OF EUROPE F Strasbourg Cedex Tel : + 33 (0) Fax : +33 (0) /82/ Direction générale I Droits de l homme et Etat de droit / Directorate General I Human Rights and Rule of Law SERVICE DE LA CHARTE SOCIALE EUROPÉENNE / DEPARTMENT OF THE EUROPEAN SOCIAL CHARTER Mr Karl-Friedrich BOPP Chef de Division / Head of Division Service de la Charte sociale européenne/ Department of the European Social Charter Tel: +33 (0) Fax: + 33 (0) karl-friedrich.bopp@coe.int Ms Sheila HIRSCHINGER Assistante administrative principale Service de la Charte sociale européenne/ Department of the European Social Charter Tel: + 33 (0) Fax: + 33 (0) sheila.hirschinger@coe.int Ms Caroline LAVOUE Assistante Service de la Charte sociale européenne Department of the European Social Charter Tel : Fax : caroline.lavoue@coe.int Ms Thea CHUBINIDZE Assistante administrative Service de la Charte sociale européenne/ Department of the European Social Charter Mr Alberto BARRIO FERNANDEZ Stagiaire / Study visitor Service de la Charte sociale européenne/ Department of the European Social Charter 11

12 ANNEXE II ORDRE DU JOUR JEUDI 2 JUILLET 2015 I. OUVERTURE DE LA RÉUNION II. ADOPTION DE L ORDRE DU JOUR III. INFORMATIONS COMMUNIQUÉES PAR LE SECRÉTARIAT IV. INFORMATIONS RELATIVES AU MISSOC V. INFORMATIONS RELATIVES AU MISSCEO VI. COMMENTAIRES GÉNÉRAUX SUR LA COMPARABILITÉ VII. ÉVOLUTION DES RÉGIMES NATIONAUX DE PROTECTION SOCIALE VIII. DOCUMENT D INFORMATION SUR LES INSTRUMENTS DE COORDINATION VENDREDI 3 JUILLET 2015 VIII. DOCUMENT D INFORMATION SUR LES INSTRUMENTS DE COORDINATION (suite) IX. EXERCICE COMPARATIF X. PRÉPARATION DE L ÉDITION 2015 XI. PRÉPARATION DE L ÉDITION 2016 XII. QUESTIONS DIVERSES XIII. DATE ET LIEU DE LA PROCHAINE RÉUNION 12

GROUPE POMPIDOU GROUPE D EXPERTS AD HOC SUR LA PREVENTION DES USAGES DE DROGUES EN MILIEU PROFESSIONNEL. 3 ème réunion

GROUPE POMPIDOU GROUPE D EXPERTS AD HOC SUR LA PREVENTION DES USAGES DE DROGUES EN MILIEU PROFESSIONNEL. 3 ème réunion Groupe de Coopération en matière de lutte contre l abus et le trafic illicite des stupéfiants Strasbourg, 9 mars 2012 P-PG/Work(2012)2rev 1_fr GROUPE POMPIDOU GROUPE D EXPERTS AD HOC SUR LA PREVENTION

Plus en détail

Deuxième Cycle d Evaluation. Addendum au Rapport de Conformité sur la Hongrie

Deuxième Cycle d Evaluation. Addendum au Rapport de Conformité sur la Hongrie DIRECTION GENERALE DES DROITS DE L HOMME ET DES AFFAIRES JURIDIQUES DIRECTION DES MONITORINGS Strasbourg, 11 juin 2010 Public Greco RC-II (2008) 4F Addendum Deuxième Cycle d Evaluation Addendum au Rapport

Plus en détail

La pension de vieillesse au Luxembourg: réglementation et modalités de calcul. Florence Navarro

La pension de vieillesse au Luxembourg: réglementation et modalités de calcul. Florence Navarro La pension de vieillesse au Luxembourg: réglementation et modalités de calcul Déjeuner-débat ELSA Florence Navarro 2 juillet 2014 Le principe des 3 piliers en matière de pension 1 er pilier Sécurité sociale

Plus en détail

DOCUMENT DE CONSULTATION

DOCUMENT DE CONSULTATION COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 10.4.2015 C(2015) 2303 final DOCUMENT DE CONSULTATION Première phase de consultation des partenaires sociaux au titre de l article 154 du TFUE concernant une consolidation

Plus en détail

BELGIQUE. 1. Principes généraux.

BELGIQUE. 1. Principes généraux. BELGIQUE Les dépenses de protection sociale en Belgique représentent 27,5%PIB. Le système belge est de logique bismarckienne. La principale réforme récente concerne le risque maladie. 1. Principes généraux.

Plus en détail

Quel est le régime d assurance maladie applicable à l artiste de spectacle vivant, mobile dans la Grande Région?

Quel est le régime d assurance maladie applicable à l artiste de spectacle vivant, mobile dans la Grande Région? www.frontalierslorraine.eu www.espaceculturelgr.eu Quel est le régime d assurance maladie applicable à l artiste de spectacle vivant, Novembre 2011 2 Introduction Le CRD EURES Lorraine est une association

Plus en détail

(Lettre du Gouvernement japonais)

(Lettre du Gouvernement japonais) (Lettre du Gouvernement japonais) Traduction Paris, le 11 janvier 2007 Votre Excellence, Me référant à la Convention entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement du Japon en vue

Plus en détail

Pension AOW pour les assurés hors des Pays-Bas

Pension AOW pour les assurés hors des Pays-Bas Pension AOW pour les assurés hors des Pays-Bas Sommaire Qu est-ce que la pension AOW? 2 A qui est destinée la pension AOW? 2 Quand aurez-vous droit à la pension AOW? 4 Résider dans un pays et travailler

Plus en détail

Document d information 1. Principaux aspects de la proposition de la Commission COM (2000) 716 du point de vue de l alimentation animale

Document d information 1. Principaux aspects de la proposition de la Commission COM (2000) 716 du point de vue de l alimentation animale Proposition de la Commission COM (2000) 716 établissant les principes généraux et les prescriptions générales du droit alimentaire, instituant l Autorité Alimentaire Européenne et fixant des procédures

Plus en détail

OBSERVATIONS INTRODUCTION

OBSERVATIONS INTRODUCTION Comité d experts gouvernementaux d UNIDROIT sur l applicabilité des clauses de compensation avec déchéance du terme Deuxième session FR UNIDROIT 2013 C.E.G/Netting/2/W.P. 5 Original: anglais Rome, 4-8

Plus en détail

Fiche récapitulative de Doing Business 2011 Sommaire des réformes en Europe de l Est et en Asie centrale

Fiche récapitulative de Doing Business 2011 Sommaire des réformes en Europe de l Est et en Asie centrale Fiche récapitulative de Doing Business 2011 Sommaire des réformes en Europe de l Est et en Asie centrale L Albanie a rendu le paiement des taxes et impôts plus facile et moins cher pour les entreprises

Plus en détail

REPONSE SUISSE AU QUESTIONNAIRE RELATIF A LA PROTECTION SOCIALE

REPONSE SUISSE AU QUESTIONNAIRE RELATIF A LA PROTECTION SOCIALE REPONSE SUISSE AU QUESTIONNAIRE RELATIF A LA PROTECTION SOCIALE DES PERSONNES AGEES ADRESSE AUX GOUVERNEMENTS PAR L'EXPERTE INDEPENDANTE SUR LA QUESTION DES DROITS DE L'HOMME ET L'EXTREME PAUVRETE (i)

Plus en détail

Régimes publics de retraite État de la situation. Perspectives des différents régimes publics de retraite. Plan

Régimes publics de retraite État de la situation. Perspectives des différents régimes publics de retraite. Plan Régimes publics de retraite État de la situation Perspectives des différents régimes publics de retraite 79 e congrès de l ACFAS 10 mai 2011 Plan Portrait des régimes publics de retraite La pression démographique

Plus en détail

La retraite en Suisse : le 2 ème pilier

La retraite en Suisse : le 2 ème pilier La retraite en Suisse : le 2 ème pilier Conférence du Vendredi 27 mars 2015 présentée par le Service Juridique du GTE Suzanne Ruiz-Berthet LA PLACE DU 2EME PILIER DANS LE SYSTÈME DE RETRAITE SUISSE 1 er

Plus en détail

Nom. les. autres États. n de l aviation. Organisation. ATConf/6-WP/49 14/2/12. Point 2 : 2.2. Examen de. des accords bilatéraux. consultées.

Nom. les. autres États. n de l aviation. Organisation. ATConf/6-WP/49 14/2/12. Point 2 : 2.2. Examen de. des accords bilatéraux. consultées. Nom Organisation n de l aviation civile internationale NOTE DE TRAVAIL ATConf/6-WP/49 14/2/12 SIXIÈME CONFÉRENCE MONDIALE DE TRANSPORT AÉRIEN Montréal, 18 22 mars 2013 Point 2 : 2.2 Examen de questions

Plus en détail

CONVENTION EUROPEENNE DU PAYSAGE Convention de Florence

CONVENTION EUROPEENNE DU PAYSAGE Convention de Florence Strasbourg, 19 février 2007 T- FLOR (2007) 12 CONVENTION EUROPEENNE DU PAYSAGE Convention de Florence CONFERENCE DU CONSEIL DE L EUROPE SUR «LA CONVENTION EUROPEENNE DU PAYSAGE» Conseil de l Europe Palais

Plus en détail

KOMPAS Groupe international

KOMPAS Groupe international KOMPAS Groupe international Présentation MICE Marjan Gostič Réseau international Kompas Présentation du réseau international La société KOMPAS a été créée en 1951 Kompas est une entreprise internationale

Plus en détail

Réformes socio-économiques

Réformes socio-économiques Réformes socio-économiques Le 27 novembre 2011, suite à la dégradation de la note belge par l agence Standard & Poor s, les six partis ont conclu, dans l urgence, un accord sur le budget et sur la réforme

Plus en détail

Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. Charte

Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. Charte Comité de Bâle sur le contrôle bancaire Charte Janvier 2013 La présente publication est disponible sur le site de la BRI (www.bis.org). Banque des Règlements Internationaux 2013. Tous droits réservés.

Plus en détail

Mobilisation en faveur de l emploi des seniors

Mobilisation en faveur de l emploi des seniors Mobilisation en faveur de l emploi des seniors Mesures retenues par le Gouvernement à l issue de la concertation avec les partenaires sociaux dans le cadre du rendez-vous 2008 sur les retraites Dès la

Plus en détail

NOTICE D INFORMATION. Régime Complémentaire

NOTICE D INFORMATION. Régime Complémentaire NOTICE D INFORMATION Régime Complémentaire STATUT JURIDIQUE DU RCAR Le RCAR est une institution de prévoyance sociale : dotée de la personnalité morale et de l autonomie financière, créée par le Dahir

Plus en détail

QUATRE-VINGT-DIXIÈME SESSION

QUATRE-VINGT-DIXIÈME SESSION Original: anglais 20 octobre 2005 QUATRE-VINGT-DIXIÈME SESSION RÉGIME DE SÉCURITÉ SOCIALE DE L OIM Amendement au Statut du personnel pour les fonctionnaires et les employés Page 1 RÉGIME DE SÉCURITÉ SOCIALE

Plus en détail

EIP L engagement individuel de pension pour le dirigeant d entreprise indépendant Fiche technique

EIP L engagement individuel de pension pour le dirigeant d entreprise indépendant Fiche technique EIP L engagement individuel de pension pour le dirigeant d entreprise indépendant Fiche technique Nom du produit Description Engagement de Pension - EIP Un engagement individuel de pension d une société

Plus en détail

Conseil exécutif Quatre-vingt-quinzième session Belgrade (Serbie), 27-29 mai 2013 Point 3 I) c) de l ordre du jour provisoire

Conseil exécutif Quatre-vingt-quinzième session Belgrade (Serbie), 27-29 mai 2013 Point 3 I) c) de l ordre du jour provisoire Conseil exécutif Quatre-vingt-quinzième session Belgrade (Serbie), 27-29 mai 2013 Point 3 I) c) de l ordre du jour provisoire CE/95/3 I) c) Madrid, le 12 mars 2013 Original : anglais Rapport du Secrétaire

Plus en détail

FÉDÉRATION FRANÇAISE DES SOCIÉTÉS D'ASSURANCES

FÉDÉRATION FRANÇAISE DES SOCIÉTÉS D'ASSURANCES FÉDÉRATION FRANÇAISE DES SOCIÉTÉS D'ASSURANCES 26, boulevard Haussmann 75311 Paris Cedex 09 Téléphone : 01 42 47 90 00 - Télécopie : 01 42 47 93 11 - Internet : http://www.ffsa.fr 12 juillet 2007 Observations

Plus en détail

ASSEMBLÉE PARLEMENTAIRE EURO-MÉDITERRANÉENNE GROUPE DE TRAVAIL SUR LE FINANCEMENT DE L ASSEMBLÉE ET LA RÉVISION DU RÈGLEMENT DE L APEM

ASSEMBLÉE PARLEMENTAIRE EURO-MÉDITERRANÉENNE GROUPE DE TRAVAIL SUR LE FINANCEMENT DE L ASSEMBLÉE ET LA RÉVISION DU RÈGLEMENT DE L APEM ASSEMBLÉE PARLEMENTAIRE EURO-MÉDITERRANÉENNE GROUPE DE TRAVAIL SUR LE FINANCEMENT DE L ASSEMBLÉE ET LA RÉVISION DU RÈGLEMENT DE L APEM DMED_PV(2010)1202_1 PROCÈS-VERBAL de la réunion du 2 décembre 2010

Plus en détail

COMMENTAIRE DU FORMULAIRE DE DEMANDE 2015

COMMENTAIRE DU FORMULAIRE DE DEMANDE 2015 COMMENTAIRE DU FORMULAIRE DE DEMANDE 2015 Après avoir lu la circulaire, nous vous invitons à suivre le présent guide pour vous aider à remplir les différentes rubriques de votre (vos) formulaire(s) de

Plus en détail

LISTE PROVISOIRE DES MEMBRES ET AUTRES PARTICIPANTS PROVISIONAL LIST OF MEMBERS AND OTHER PARTICIPANTS

LISTE PROVISOIRE DES MEMBRES ET AUTRES PARTICIPANTS PROVISIONAL LIST OF MEMBERS AND OTHER PARTICIPANTS 0 WORLD HEALTH ORGANIZATION vûir EB91/PC/DIV/1 CONSEIL EXECUTIF EXECUTIVE BOARD Quatre-vingt-onzième session Ninety-first Session Comité du Programme du Conseil executif Programme Committee of the Executive

Plus en détail

Programme «Lecteurs Formateurs»

Programme «Lecteurs Formateurs» [Objectifs : Programme «Lecteurs Formateurs» Promotion de la langue française par l internationalisation des jeunes Jeunes diplômés en philologie romane, en traduction, en philologie classique ou autres

Plus en détail

Les actions internationales pour l enseignement supérieur Un objectif de coopération internationale entre pays programmes et partenaires

Les actions internationales pour l enseignement supérieur Un objectif de coopération internationale entre pays programmes et partenaires Les actions internationales pour l enseignement supérieur Un objectif de coopération internationale entre pays programmes et partenaires Pays programmes Pays membres de l UE Autres pays programmes : Iceland,

Plus en détail

CREDIT AGRICOLE SUD RHONE ALPES

CREDIT AGRICOLE SUD RHONE ALPES CREDIT AGRICOLE SUD RHONE ALPES Société coopérative à capital et personnel variables Siège social : 15-17, rue Paul Claudel - 381 GRENOBLE Siret 42 121 958 19 - APE 651 D Note d information émise à l occasion

Plus en détail

CREDIT AGRICOLE DE CENTRE LOIRE

CREDIT AGRICOLE DE CENTRE LOIRE CREDIT AGRICOLE DE CENTRE LOIRE Société coopérative à capital et personnel variables Siège social : 8 Allée des Collèges 18 BOURGES Siret 398 824 714 - APE 651 D Note d information émise à l occasion de

Plus en détail

Nécessité d un «électrochoc» fiscal

Nécessité d un «électrochoc» fiscal Les Analyses du Centre Jean Gol Nécessité d un «électrochoc» fiscal Janvier 2014 Administrateur délégué : Richard Miller Directrice : Laurence Glautier Directeur scientifique : Corentin de Salle Les analyses

Plus en détail

GRÈCE. Les dépenses sociales sont exprimées en millions d Euros (EUR).

GRÈCE. Les dépenses sociales sont exprimées en millions d Euros (EUR). GRÈCE Nomenclature IKA LAEK OAED OGA TEAM TEBE Organisme d assurance sociale Fonds pour l'emploi et la formation professionnelle Agence pour l emploi et la main-d œuvre Organisme d assurance de l agriculture

Plus en détail

OFFICE DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne

OFFICE DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne OFFICE DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne Mécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base NATIONS UNIES Vienne, 2010 Résolutions

Plus en détail

Accord relatif à l activité de portage salarial

Accord relatif à l activité de portage salarial Accord relatif à l activité de portage salarial Préambule Le présent accord a pour finalité d organiser l activité du portage salarial et s applique aux personnes titulaires d un contrat de travail en

Plus en détail

formation Des formations pour enrichir vos compétences Février - Mars 2011

formation Des formations pour enrichir vos compétences Février - Mars 2011 Des formations pour enrichir vos compétences formation Février - Mars 2011 1 rue de la Paix BP 0506 53005 LAVAL CEDEX 02 43 59 24 00-02 43 59 24 01 cga.mayenne@cgamayenne.org - e www.cgamayenne.org GESTION

Plus en détail

Une étude de différentes analyses réalisées par le BIT

Une étude de différentes analyses réalisées par le BIT Association internationale de la sécurité sociale Quinzième Conférence internationale des actuaires et statisticiens de la sécurité sociale Helsinki, Finlande, 23-25 mai 2007 Comparaison des hypothèses

Plus en détail

NATIONS UNIES COMMISSION ECONOMIQUE POUR L AFRIQUE Bureau pour l Afrique du Nord/ Centre Africain pour le Genre et le Développement

NATIONS UNIES COMMISSION ECONOMIQUE POUR L AFRIQUE Bureau pour l Afrique du Nord/ Centre Africain pour le Genre et le Développement Distr.: Limitée CEA-AN/RABAT/GENDER/Inf. Décembre 2005 Original: FRANÇAIS NATIONS UNIES COMMISSION ECONOMIQUE POUR L AFRIQUE Bureau pour l Afrique du Nord/ Centre Africain pour le Genre et le Développement

Plus en détail

Le guide. juridique. www.menages-prevoyants.fr LA MUTUELLE QUI VA BIEN!

Le guide. juridique. www.menages-prevoyants.fr LA MUTUELLE QUI VA BIEN! Le guide juridique www.menages-prevoyants.fr LA MUTUELLE QUI VA BIEN! sommaire Contexte de l évolution de la «Loi Fillon»... 3 Comment bénéficier des avantages de la «Loi Fillon»?... La participation de

Plus en détail

Ordre du jour et programme

Ordre du jour et programme BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL Conseil d administration 320 e session, Genève, 13-27 mars 2014 GB.320/(Rev.1) et programme Section institutionnelle INS 1. Adoption des procès-verbaux de la 319 e session

Plus en détail

Accord négocié régissant les relations entre la Cour pénale internationale et l Organisation des Nations Unies. Préambule

Accord négocié régissant les relations entre la Cour pénale internationale et l Organisation des Nations Unies. Préambule Accord négocié régissant les relations entre la Cour pénale internationale et l Organisation des Nations Unies Préambule La Cour pénale internationale et l Organisation des Nations Unies, Ayant à l esprit

Plus en détail

CURRICULUM VITAE. Degree(s) or Diploma(s) obtained: Doctorat en droit (Honor). LL.M., Master in Laws (Honor).

CURRICULUM VITAE. Degree(s) or Diploma(s) obtained: Doctorat en droit (Honor). LL.M., Master in Laws (Honor). CURRICULUM VITAE Family name: BOURGOIGNIE First names: Thierry, Michel Date of birth: 28 October 1948 Nationality: Belgian Country of permanent residence: Québec, Canada Civil status: married, 5 children

Plus en détail

Écoutez ce qui se dit sur l épargne-retraite au Canada

Écoutez ce qui se dit sur l épargne-retraite au Canada MARS 2014 ÉCHEC ET MAT! LES RÉGIMES D ÉPARGNE EN MILIEU DE TRAVAIL : UNE SOLUTION GAGNANTE POUR LES CANADIENS EN VUE DE LA RETRAITE Notre 6 e sondage annuel Indice canadien de report de la retraite montre

Plus en détail

Administration de la Sécurité sociale Informations importantes

Administration de la Sécurité sociale Informations importantes Administration de la Sécurité sociale Informations importantes CETTE PAGE EST UNIQUEMENT UNE ANNEXE EXPLICATIVE. NE PAS REMPLIR LES PAGES QUI SUIVENT. CECI N EST PAS UN FORMULAIRE DE DEMANDE. Vous pouvez

Plus en détail

S informer sur. Investir votre épargne : étape par étape

S informer sur. Investir votre épargne : étape par étape S informer sur Investir votre épargne : étape par étape Autorité des marchés financiers Investir votre épargne : étape par étape Sommaire Se poser les bonnes questions avant d investir 03 Prendre contact

Plus en détail

CANADA. Les dépenses sociales sont exprimées en millions de dollars canadiens (CAD).

CANADA. Les dépenses sociales sont exprimées en millions de dollars canadiens (CAD). CANADA Nomenclature AC Assurance chômage AE Assurance emploi (remplace l AC depuis le 1 er juillet 1996) RAPC Régime d'assistance publique du Canada RPC et RRQ Régime de pensions du Canada et Régime de

Plus en détail

> Guide 28 juillet 2008

> Guide 28 juillet 2008 > Guide 28 juillet 2008 Le travailleur frontalier Dans notre région frontalière, environ 5600 personnes résidant en Belgique traversent chaque jour la frontière pour venir travailler en France. Se pose

Plus en détail

PARTICIPANTS LIST. SICKNESS, DISABILITY AND WORK: BREAKING THE BARRIERS Australia, Luxembourg, Spain and the United Kingdom

PARTICIPANTS LIST. SICKNESS, DISABILITY AND WORK: BREAKING THE BARRIERS Australia, Luxembourg, Spain and the United Kingdom PARTICIPANTS LIST SICKNESS, DISABILITY AND WORK: BREAKING THE BARRIERS Australia, Luxembourg, Spain and the United Kingdom Discussion of the draft report and general policy issues 28-29 JUNE 2007, Novotel

Plus en détail

Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption

Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption Nations Unies CAC/COSP/IRG/2015/2 Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption Distr. générale 24 mars 2015 Français Original: anglais Groupe d examen de l application

Plus en détail

Conférence des Parties à la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée

Conférence des Parties à la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée Nations Unies CTOC/COP/WG.5/2012/1 Conférence des Parties à la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée Distr. générale 14 novembre 2011 Français Original: anglais Groupe

Plus en détail

ARRANGEMENT ET PROTOCOLE DE MADRID CONCERNANT L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL DES MARQUES DEMANDE D ENREGISTREMENT INTERNATIONAL RELEVANT

ARRANGEMENT ET PROTOCOLE DE MADRID CONCERNANT L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL DES MARQUES DEMANDE D ENREGISTREMENT INTERNATIONAL RELEVANT MM1(F) ARRANGEMENT ET PROTOCOLE DE MADRID CONCERNANT L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL DES MARQUES DEMANDE D ENREGISTREMENT INTERNATIONAL RELEVANT EXCLUSIVEMENT DE L ARRANGEMENT DE MADRID (Règle 9 du règlement

Plus en détail

Mécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base

Mécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base Mécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base NATIONS UNIES Office DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne Mécanisme d examen

Plus en détail

Numéro du rôle : 3717. Arrêt n 36/2006 du 1er mars 2006 A R R E T

Numéro du rôle : 3717. Arrêt n 36/2006 du 1er mars 2006 A R R E T Numéro du rôle : 3717 Arrêt n 36/2006 du 1er mars 2006 A R R E T En cause : la question préjudicielle relative aux articles 147, 148, 149 et 152 du Code des droits de succession, posée par le Tribunal

Plus en détail

FORTUNA di GENERALI. Fiche info financière assurance-vie pour la branche 23. FORTUNA di GENERALI 1

FORTUNA di GENERALI. Fiche info financière assurance-vie pour la branche 23. FORTUNA di GENERALI 1 FORTUNA di GENERALI 1 TYPE D ASSURANCE-VIE GARANTIES Assurance-vie dont le rendement est lié à des fonds d investissement (branche 23). Fortuna di Generali garantit des prestations en cas de vie ou en

Plus en détail

PERMIS DE TRAVAIL A, B, C. Viktor BALLA Juriste, Ce.R.A.I.C. asbl Le 7 Mai 2013

PERMIS DE TRAVAIL A, B, C. Viktor BALLA Juriste, Ce.R.A.I.C. asbl Le 7 Mai 2013 PERMIS DE TRAVAIL A, B, C Viktor BALLA Juriste, Ce.R.A.I.C. asbl Le 7 Mai 2013 Loi du 30 avril 1999 relative à l occupation des travailleurs étrangers Arrêté royal du 9 juin 1999 portant exécution de la

Plus en détail

GUIDE POUR L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL DES DESSINS ET MODÈLES INDUSTRIELS EN VERTU DE L ARRANGEMENT DE LA HAYE

GUIDE POUR L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL DES DESSINS ET MODÈLES INDUSTRIELS EN VERTU DE L ARRANGEMENT DE LA HAYE GUIDE POUR L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL DES DESSINS ET MODÈLES INDUSTRIELS EN VERTU DE L ARRANGEMENT DE LA HAYE (mis à jour en janvier 2015) Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle GENÈVE

Plus en détail

1. Censure constitutionnelle de la contribution exceptionnelle sur les hauts revenus CEHR

1. Censure constitutionnelle de la contribution exceptionnelle sur les hauts revenus CEHR Information Rappel : Cette newsletter a pour objectif d attirer votre attention sur des points d actualité, des nouvelles dispositions légales et des lacunes éventuelles dans votre exploitation sur lesquelles

Plus en détail

FIP ISATIS DÉVELOPPEMENT N 2

FIP ISATIS DÉVELOPPEMENT N 2 NOTE SUR LA FISCALITÉ DU FONDS FIP ISATIS DÉVELOPPEMENT N 2 Fonds d Investissement de Proximité agréé par l Autorité des Marchés Financiers (Article L. 214-31 du Code Monétaire et Financier) Société de

Plus en détail

Contrat d adaptation professionnelle INFORMATIONS A L USAGE DE L ENTREPRISE FORMATRICE ET DE SON SECRETARIAT SOCIAL

Contrat d adaptation professionnelle INFORMATIONS A L USAGE DE L ENTREPRISE FORMATRICE ET DE SON SECRETARIAT SOCIAL Contrat d adaptation professionnelle INFORMATIONS A L USAGE DE L ENTREPRISE FORMATRICE ET DE SON SECRETARIAT SOCIAL Si vous vous posez des questions en matière de PROCESSUS DE FORMATION, voyez les rubriques

Plus en détail

Quand arrive la retraite La rente de retraite du Régime de rentes du Québec et les autres sources de revenu à la retraite

Quand arrive la retraite La rente de retraite du Régime de rentes du Québec et les autres sources de revenu à la retraite Quand arrive la retraite La rente de retraite du Régime de rentes du Québec et les autres sources de revenu à la retraite Tout sur le Web Les renseignements contenus dans ce document se trouvent également

Plus en détail

La recherche d assurance maladie à l étranger Procédure à l usage des CPAS

La recherche d assurance maladie à l étranger Procédure à l usage des CPAS La recherche d assurance maladie à l étranger Procédure à l usage des CPAS CAAMI Service Relations internationales (iri.enquete@caami.be) www.caami.be Introduction La Caisse Auxiliaire d Assurance Maladie-Invalidité

Plus en détail

1. Contexte. 2. Dresser le bilan : expériences et nouveaux développements

1. Contexte. 2. Dresser le bilan : expériences et nouveaux développements Renforcer la redevabilité mutuelle pour améliorer l efficacité et les résultats en matière de développement pour la santé : accords conclus à Nairobi par les signataires du IHP+ sur la future approche

Plus en détail

ACCORDS BILATERAUX DES REGLEMENTS COMMUNAUTAIRES LA FRANCE ET LES PAYS-BAS

ACCORDS BILATERAUX DES REGLEMENTS COMMUNAUTAIRES LA FRANCE ET LES PAYS-BAS ACCORDS BILATERAUX POUR L APPLICATION DES REGLEMENTS COMMUNAUTAIRES ENTRE LA FRANCE ET LES PAYS-BAS 11, rue de la Tour des Dames 75436 Paris cedex 09 Tél. 01 45 26 33 41 Fax 01 49 95 06 50 - www.cleiss.fr

Plus en détail

JAPON. Nomenclature. nationale (prestations de maladie) Pension nationale Assurance pension des salariés. Assurance maladie gérée par des sociétés

JAPON. Nomenclature. nationale (prestations de maladie) Pension nationale Assurance pension des salariés. Assurance maladie gérée par des sociétés JAPON Nomenclature CHIHO-KOMUIN-KYOSAI CHIHO-KOMUIN-ONKYU CHIHO-KOMUIN-SAIGAI HOSYO CHIHO-KOKUMINN-KYOSAI- KYUGYO-KYUFU-TO IZOKU-NENKIN JIDEO-TEATE JIDO-FUYO-TEATE KOKKA-KOMUIN-KYOSAI KOKKA-KOMUIN-ONKYU

Plus en détail

Société de services en ressources humaines spécialisée dans le domaine de l énergie

Société de services en ressources humaines spécialisée dans le domaine de l énergie Société de services en ressources humaines spécialisée dans le domaine de l énergie Concept Autonomie, indépendance, flexibilité Le portage salarial est basé sur une relation tripartite entre une personne

Plus en détail

Economical présente un aperçu du projet de règlement sur la démutualisation des sociétés d assurances multirisques

Economical présente un aperçu du projet de règlement sur la démutualisation des sociétés d assurances multirisques COMMUNIQUÉ DE PRESSE Economical présente un aperçu du projet de règlement sur la démutualisation des sociétés d assurances multirisques Processus à quatre étapes avec une participation importante des souscripteurs

Plus en détail

Retraité d un régime français d assurance vieillesse

Retraité d un régime français d assurance vieillesse Retraité d un régime français d assurance vieillesse Bulletin d adhésion Identification N de Sécurité sociale Nom... Nom de jeune fille... Prénoms... Date de naissance... Lieu... Nationalité... Je suis

Plus en détail

Le coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011

Le coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011 Le coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011 Un article de la loi de financement de la sécurité sociale 2010 aligne le coût de ce rachat

Plus en détail

CREDIT AGRICOLE SUD RHONE ALPES

CREDIT AGRICOLE SUD RHONE ALPES CREDIT AGRICOLE SUD RHONE ALPES Société coopérative à capital et personnel variables Siège social : 15-17, rue Paul Claudel 381 GRENOBLE Siret 42 121 958 19 - APE 651 D Note d information émise pour faire

Plus en détail

LA LETTRE DES ADHÉRENTS

LA LETTRE DES ADHÉRENTS LA LETTRE DES ADHÉRENTS NUMÉRO SPÉCIAL LOI DE FINANCES - 15 JANVIER 2014 N 2/2014 LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE POUR 2013 INTRODUCTION La loi de finances rectificative pour 2013, définitivement adoptée

Plus en détail

BULLETIN DE SOUTIEN A LA FONDATION DES PROMOTEURS IMMOBILIERS DE FRANCE

BULLETIN DE SOUTIEN A LA FONDATION DES PROMOTEURS IMMOBILIERS DE FRANCE BULLETIN DE SOUTIEN A LA FONDATION DES PROMOTEURS IMMOBILIERS DE FRANCE Je fais un don à la Fondation de France / Fondation des promoteurs immobiliers de France de : 1.500 5.000 Engagement de soutien :

Plus en détail

Notre système de retraite par répartition est au cœur du pacte républicain qui lie les différentes générations.

Notre système de retraite par répartition est au cœur du pacte républicain qui lie les différentes générations. 27 août 2013 Notre système de retraite par répartition est au cœur du pacte républicain qui lie les différentes générations. Il est aujourd hui confronté à la fois au départ en retraite des générations

Plus en détail

Une distinction peut être faite entre différents types de plans de pension en fonction de la méthode de financement.

Une distinction peut être faite entre différents types de plans de pension en fonction de la méthode de financement. boulevard du Souverain 280-1160 Bruxelles - Belgique T +32 2 761 46 00 F +32 2 761 47 00 info@claeysengels.be Avocats Date : Août 2015 Sujet : L assurance de groupe I QU EST UNE ASSURANCE DE GROUPE? Pour

Plus en détail

with the support of EFMET cooperation partners:

with the support of EFMET cooperation partners: Recommandations à la Commission Européenne sur le rôle de l enseignement musical et de la formation musicale professionnelle dans le nouveau programme européenne pour la culture with the support of EFMET

Plus en détail

RETRAITES : Y A-T-IL UNE SOLUTION IDÉALE EN EUROPE POUR UN AVENIR?

RETRAITES : Y A-T-IL UNE SOLUTION IDÉALE EN EUROPE POUR UN AVENIR? RETRAITES : Y A-T-IL UNE SOLUTION IDÉALE EN EUROPE POUR UN AVENIR? Une question européenne mais traitée dans chaque Etat membre L avenir des systèmes de retraite et ses conséquences sur la zone euro, internationalise

Plus en détail

SPF Sécurité Sociale DG Indépendants

SPF Sécurité Sociale DG Indépendants SPF Sécurité Sociale DG Indépendants NOTE CONCERNANT LE NOUVEAU STATUT DES CONJOINTS AIDANTS Depuis le 1er juillet 2005 les conjoints aidants doivent s'affilier au statut social complet (maxi-statut).

Plus en détail

CAMELEON JUNIOR CAMELEON Dynamico JUNIOR

CAMELEON JUNIOR CAMELEON Dynamico JUNIOR CAMELEON JUNIOR CAMELEON Dynamico JUNIOR CAMELEON JUNIOR - CAMELEON Dynamico JUNIOR 1 TYPE D ASSURANCE-VIE GARANTIES Assurance-vie combinant un rendement garanti (branche 21) et un rendement lié à des

Plus en détail

VÍCTOR PEY CASADO ET AUTRE REPUBLIQUE DU CHILI. (Affaire CIRDI ARB/98/2) Procédure de révision

VÍCTOR PEY CASADO ET AUTRE REPUBLIQUE DU CHILI. (Affaire CIRDI ARB/98/2) Procédure de révision VÍCTOR PEY CASADO ET AUTRE c. REPUBLIQUE DU CHILI (Affaire CIRDI ARB/98/2) Procédure de révision PROCES-VERBAL DE LA PREMIERE SESSION DU TRIBUNAL ARBITRAL Tenue par conférence téléphonique le 10 septembre

Plus en détail

Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section sécurité sociale

Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section sécurité sociale Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section sécurité sociale CSSS/12/280 DÉLIBÉRATION N 12/078 DU 4 SEPTEMBRE 2012 RELATIVE À L ÉCHANGE MUTUEL DE DONNÉES D IDENTIFICATION ENTRE L OFFICE

Plus en détail

NOTE SUR LA FISCALITÉ DU FONDS

NOTE SUR LA FISCALITÉ DU FONDS NOTE SUR LA FISCALITÉ DU FONDS Société de Gestion ixo PRIVATE EQUITY 34, rue de Metz 31 0 00 Toulouse Site : www.ixope.fr Dépositaire Réalisation : ixo Private Equity Illustration : Ronald Curchod Graphisme

Plus en détail

SYSTEME NATIONAL DE RETRAITE

SYSTEME NATIONAL DE RETRAITE SYSTEME NATIONAL DE RETRAITE I.- PRINCIPES FONDAMENTAUX DU SYSTEME NATIONAL DE RETRAITE L assurance vieillesse n a été instituée pour l ensemble des salariés qu en 1953 ; avant cette date, quelques corporations

Plus en détail

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR

Plus en détail

Les problématiques des régimes d assurance vieillesse. des professions libérales

Les problématiques des régimes d assurance vieillesse. des professions libérales CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 08 avril 2009 à 9 h 30 «Les régimes de retraite des indépendants : les problématiques spécifiques» Document N 14 Document de travail, n engage pas

Plus en détail

Les régimes d avantages sociaux au Canada

Les régimes d avantages sociaux au Canada Les régimes d avantages sociaux au Canada Les Canadiens vivent de plus en plus longtemps et doivent plus que jamais faire face à leur responsabilité d épargner pour la retraite. Leur espérance de vie étant

Plus en détail

Tableaux comparatifs des régimes de protection sociale :

Tableaux comparatifs des régimes de protection sociale : Système mutuel d information sur la protection sociale du Conseil de l Europe (MISSCEO) Tableaux comparatifs des régimes de protection sociale : Guide du correspondant 2011 2 Système mutuel d information

Plus en détail

«La réforme des retraites en France» Présentation de Gérard Rivière Rencontres de l AFERP1, 18 février 2014, GIE AGIRC-ARRCO

«La réforme des retraites en France» Présentation de Gérard Rivière Rencontres de l AFERP1, 18 février 2014, GIE AGIRC-ARRCO «La réforme des retraites en France» Présentation de Gérard Rivière Rencontres de l AFERP, 8 février 204, GIE AGIRC-ARRCO Ref : 204-7 Le 8 février 204, Gérard Rivière, Directeur de la Caisse Nationale

Plus en détail

Les Règles Contraignantes d Entreprise francophones (RCEF) Foire aux questions (FAQ) Version pour les entreprises décembre 2014

Les Règles Contraignantes d Entreprise francophones (RCEF) Foire aux questions (FAQ) Version pour les entreprises décembre 2014 Les Règles Contraignantes d Entreprise francophones (RCEF) Foire aux questions (FAQ) Version pour les entreprises décembre 2014 Résumé Ce document a été rédigé à l attention des entreprises candidates

Plus en détail

STATUTS DU RÉGIME DE PENSION COMPLÉMENTAIRE DE LA BANQUE DU CANADA. (RÈGLEMENT ADMINISTRATIF N o 18)

STATUTS DU RÉGIME DE PENSION COMPLÉMENTAIRE DE LA BANQUE DU CANADA. (RÈGLEMENT ADMINISTRATIF N o 18) STATUTS DU RÉGIME DE PENSION COMPLÉMENTAIRE DE LA BANQUE DU CANADA (RÈGLEMENT ADMINISTRATIF N o 18) Le présent document est une version refondue des Statuts du Régime de pension complémentaire de la Banque

Plus en détail

Conférence sur les meilleures pratiques dans l administration publique, Lisbonne, 10 au 12 Mai 2000

Conférence sur les meilleures pratiques dans l administration publique, Lisbonne, 10 au 12 Mai 2000 Conférence sur les meilleures pratiques dans l administration publique, Lisbonne, 10 au 12 Mai 2000 EUROPAplus, l intranet de la Commission Européenne Du partage de l information à la gestion des connaissances

Plus en détail

Conseil économique et social

Conseil économique et social NATIONS UNIES E Conseil économique et social Distr. GÉNÉRALE ECE/CECI/CONF.5/1 17 mars 2009 FRANÇAIS Original: ANGLAIS COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L EUROPE COMITÉ DE LA COOPÉRATION ET DE L INTÉGRATION ÉCONOMIQUES

Plus en détail

Western Innovation Forum 2015

Western Innovation Forum 2015 Western Innovation Forum 2015 April 16 17, 2015 Fairmont Hotel Vancouver 900 West Georgia St, Vancouver, BC April 16, 2015 8:00 9:00 Registration Innovation Marketplace 9:00 9:30 Panel 1: 9:30 10:30 The

Plus en détail

PROJET EUROMED JUSTICE III. Droit pénal et droit pénitentiaire. Deuxième réunion du GT 3 GT 3.2

PROJET EUROMED JUSTICE III. Droit pénal et droit pénitentiaire. Deuxième réunion du GT 3 GT 3.2 Projet financé par l Union européenne PROJET EUROMED JUSTICE III Droit pénal et droit pénitentiaire Deuxième réunion du GT 3 GT 3.2 Groupe de travail sur le droit pénal en vue de préparer un instrument

Plus en détail

DEMANDE D INSCRIPTION A LA LISTE DES STAGIAIRES EXPERIENCE PROFESSIONNELLE

DEMANDE D INSCRIPTION A LA LISTE DES STAGIAIRES EXPERIENCE PROFESSIONNELLE I.P.I. - demande STAGIAIRE-expérience professionnelle / 2014 - page 1 / 6 rue du Luxembourg 16 B - 1000 Bruxelles - Tél. 02/505.38.50 - Fax 02/503.42.23 - www.ipi.be DEMANDE D INSCRIPTION A LA LISTE DES

Plus en détail

Ghana, de l Inde, de la Jordanie, du Kenya, du Mexique, de New Zélande, du Portugal, de Serbie et du Royaume Uni.

Ghana, de l Inde, de la Jordanie, du Kenya, du Mexique, de New Zélande, du Portugal, de Serbie et du Royaume Uni. Principes de Belgrade sur la relation entre les Institutions nationales des droits de l Homme et les Parlements (Belgrade, Serbie, les 22-23 février 2012) Le séminaire international de février 2012 sur

Plus en détail

SERIE OCDE LES PRINCIPES DE BONNES PRATIQUES DE LABORATOIRE ET LA VERIFICATION DU RESPECT DE CES PRINCIPES. Numéro 2 (révisé)

SERIE OCDE LES PRINCIPES DE BONNES PRATIQUES DE LABORATOIRE ET LA VERIFICATION DU RESPECT DE CES PRINCIPES. Numéro 2 (révisé) DIFFUSION GÉNÉRALE OCDE/GD(95)66 SERIE OCDE LES PRINCIPES DE BONNES PRATIQUES DE LABORATOIRE ET LA VERIFICATION DU RESPECT DE CES PRINCIPES Numéro 2 (révisé) ORIENTATIONS A L INTENTION DES AUTORITES DE

Plus en détail