FORMATION EN CONSEIL MEDICAL DES ACTEURS MUTUELLES DE SANTE

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1 Programme Germano Camerounais de Santé SIDA (PGCSS) Volet Micro Assurance et Mutuelles de Santé (MAMS) Partner Für Perspektiven. Weltweit. N du projet : N du contrat : 001/2010 FORMATION EN CONSEIL MEDICAL DES ACTEURS MUTUELLES DE SANTE RAPPORT FINAL Janvier 2010 Consultant : Dr Njoh Njoh BP : Tel : Courriel : emnjoh@yahoo.fr Auteurs : Dr Njoh Njoh Peggy KOPNANG Dr Gerd EPPEL

2 Sommaire I- Introduction.3 II Objectifs de la Formation.. 3 III- Résultats attendus.4 IV-Attentes des apprenants 4 V-Participants..4 VI-Déroulement de la Formation Phase théorique : Acquisition des connaissances Phase pratique 8-9 VII- Evaluation...9 VIII- Conclusion/Recommandations/Suggestions Recommandations des participants 6.2-Suggestions des formateurs 6.3-Concernant le document 6.4-Conclusion VIII- Annexes :.11 Page 2 sur 13

3 I- Introduction Dans le cadre du renforcement des compétences des personnels en charge du suivi des mutuelles de santé et de leurs relations avec les formations de santé partenaires, une formation en conseil médical a été organisée du 28 au 31 janvier 2010 par le programme Germano- Camerounais de Santé SIDA (PGCSS), à, travers le volet MAMS Il s agit de la deuxième programmation de cette activité qui normalement aurait dû avoir lieu en septembre 2009, malheureusement à la même période le Ministère de la Santé Publique procédait à un grand mouvement de personnels imposant d attendre la stabilisation de l effectif concerné dans son nouveau poste de travail ; aujourd hui encore un décalage est nécessaire en raison de la conférence des responsables du Ministère de la Santé, planifiée au même moment! Le présent rapport rend compte du déroulement (malgré les aléas de calendrier) de cette activité. II- But et Objectifs de la Formation 2.1-But : Contribuer à l amélioration de l accessibilité financière aux soins de santé de qualité des populations défavorisées à travers les systèmes de micro assurance et mutuelle de santé. 2.2-Objectif général de l atelier: De manière globale, outiller les acteurs impliqués dans le suivi des prestations des soins fournies aux mutuelles de santé à la démarche du conseil médical. 2.3-Objectifs spécifiques de l atelier A la fin de la formation, les participants doivent être capables de : 1. Définir le rôle et le profil du conseiller médical 2. Décrire la démarche du médecin conseil. 3. Utiliser les outils et méthodes du conseil médical. 4. Présenter l importance de la qualité des soins (SQI) dans le conseil médical. 5. Eduquer les mutualistes à l utilisation rationnelle des soins 6. Décrire le rôle d interface du conseiller médical avec les formations sanitaires. 7. Etudes de cas. Page 3 sur 13

4 III- Résultats attendus Les compétences des participants sont améliorées et ces derniers appréhendent mieux les missions du médecin conseil. *Les conditions nécessaires ont été mises en place par GTZ/MAMS. IV- Attentes des apprenants Elles portent sur : -La connaissance de la mutuelle de santé. -La connaissance du conseil médical. V- Participants 5.1 Formateurs - Dr NJOH NJOH, Médecin Conseil, Consultant & formateur principal. - Mme NDIM Catherine, Inspecteur au Ministère de la Santé Publique, - Dr NGUM John, ST Ministère de la Santé Publique, 5.2 Apprenants -Nombre total: 45 Répartition par origine N Origine Nombre 1 Délégation Régionale SP/ Centre 08 2 Délégation Régionale SP/ Littoral 10 3 Délégation Régionale SP/ Sud Ouest 12 4 Délégation Régionale SP/ Nord Ouest 12 5 Délégation Régionale SP/ Sud 01 6 Délégation Régionale SP/ Ouest 01 7 Ministère Travail & Sécurité Sociale 01 VI- Déroulement de la Formation La formation se déroule essentiellement en phase théorique, le stage sur le terrain est remplacé par l analyse documentaire effective en raison de la prolongation le week-end de la période de la formation. 6.1 Phase théorique : Méthodologie : Transmission des connaissances par : -Brainstorming/Synthèse -Mini exposés avec vidéo projection -Travaux de groupe Page 4 sur 13

5 -Etudes de cas *Le document de base est le Guide du conseiller médical des mutuelles de santé Synthèse des modules Jour 1 : Module1 : Il porte sur la définition, le rôle, le profil du conseiller médical et le secret médical. Définition du conseiller médical : Toute personne apportant un appui technique dans le domaine de la santé à des MS et systèmes de micro assurance maladie. Rôle du conseiller médical : En général, le conseiller médical est un professionnel de santé médical ou paramédical (Médecin, Infirmier, etc.) intervenant dans l interface entre les systèmes de Micro Assurance Santé (MAS) et les formations sanitaires(fs) à tous les niveaux qui apporte des conseils aux prestataires et aux patients, et un appui précieux lors des négociations entre les FS et les structures de MAS en vue ou non de la signature d une convention, tout ceci, dans le but d améliorer l accès des populations défavorisées aux soins de qualité. Il fournit des informations rationnelles aux mutualistes et aux prestataires. Ses activités sont administratives et éducatives. Selon les circonstances, il peut avoir des activités cliniques (Cas de MAS disposant de leurs propres formations sanitaires). Le profil du conseiller médical est variable selon le niveau de soins. Une description de poste est utile pour son choix. Le secret médical : Variante du secret professionnel, il vise à conserver ou ne pas divulguer des informations médicales d un malade détenues par un personnel de santé dans le but de protéger les intérêts de ce dernier. Des dispositions légales et réglementaires concourent à sa protection et prévoient des sanctions en cas de plainte pour sa violation prouvée. Enfin la gestion du secret médical pose régulièrement problème dans la relation entre les prestataires et le staff de la mutuelle de santé Page 5 sur 13

6 Module 2 : Outils et méthodes du conseil médical - Les outils du conseiller du médical sont constitués des documents administratifs et cliniques. Les méthodes de travail sont : ~l analyse documentaire, ~l interview, ~l observation directe, ~le feed-back ou rétro information des résultats, ~le suivi-évaluation. Ces méthodes permettent de relever des anomalies puis de faire des propositions objectives. - Les procédures & Phases Le conseiller médical doit avoir un contrat permanent ou à temps partiel avec la mutuelle de santé. Pour une bonne exécution de sa mission il devra disposer de temps suffisant à consacrer aux travaux de conseil et passer au moins une fois par mois à la mutuelle de préférence à la fin du mois, pour examiner certains documents administratifs. Le travail du conseiller se déroule en quatre phases : ~la phase d information, ~la phase de discussion, ~la phase d accompagnement, ~la phase de prévention. Jour 2 : Module 3 : Education aux soins des mutualistes Elle vise à familiariser les mutualistes aux problèmes pouvant compromettre l existence -même de la mutuelle. Elle permet également d aider les mutualistes à mieux utiliser la MS comme outil d amélioration de l accès financier aux soins de santé de qualité. L objectif poursuivi est de réduire les fraudes / abus en tout genre (venant des mutualistes), d améliorer l utilisation par les mutualistes des activités de santé communautaire telles que la vaccination notamment des enfants, la nutrition, l utilisation de la moustiquaire imprégnée d insecticide, etc. Les fraudes/abus et les plaintes des prestataires constituent la matière pour l élaboration des messages de sensibilisation et de promotion de la mutuelle de santé. Module 4 : Promotion de la qualité des services /soins et relations entre acteurs. La qualité des services /soins reste l objectif fondamental de tout système de Micro-Assurance Santé. Le conseiller médical est un régulateur entre les différents acteurs du processus mutualiste. Page 6 sur 13

7 A ce titre il veille à ~l information des mutualistes et des gestionnaires de la mutuelle, ~l offre des services/ soins de qualité conformément aux termes de la convention entre la mutuelle et la formation sanitaire, ~la réduction des fraudes/abus, etc. Il arbitre les conflits entre les acteurs et participe aux négociations impliquant la mutuelle. Enfin doit promouvoir l auto évaluation et ne pas hésiter à recourir à l audit, lorsque les circonstances l imposent. Module 5 : Plaidoyer. De par sa place dans la société le conseiller médical est un excellent acteur dans le plaidoyer. Démarche communicationnelle visant à défendre une cause le plaidoyer est un processus d échange d arguments pour convaincre les leaders d opinion à adhérer à activement la promotion des mutuelles de santé. Il permet de mettre en place un lobbying pour le développement harmonieux des MS. Module 6 Interface entre les services de santé : Le conseiller joue un rôle important d interface entre la mutuelle et les services de santé. En effet, en tant que technicien en matière de santé, il peut grandement réduire l asymétrie d information entre les mutualistes et les prestataires. C est une véritable courroie de transmission des informations pertinentes entre les deux parties, principalement lors : des négociations pour la définition du partenariat et la contractualisation entre les formations sanitaires et les mutuelles de santé; de la rétro information pour l amélioration de la qualité de soins ; de l éducation aux soins des mutualistes. Module7 : Systemic Quality Improvement (SQI) Dans ce module le présentateur insiste sur la place de la qualité des soins dans l offre. Il fait la relation entre la disponibilité des ressources et le processus pour un service et des soins de qualité. En conclusion le processus est nécessaire pour l atteinte des résultats de qualité avec des ressources pas toujours importantes. Module8 : Généralités sur les mutuelles de santé. Suivant les attentes des nouveaux participants, il s est avéré nécessaire de faire une présentation générale sur les mutuelles de santé. Il apparaît clair d introduire dorénavant ce module dans les prochaines formations afin de briefer systématiquement les participants sur le sujet. Page 7 sur 13

8 6.2 Phase Pratique: Jour 3: Il a été meublé uniquement par les travaux de groupe qui ont occupé toute la matinée. La restitution a été faite dans l après-midi après la pause déjeuner. En effet les changements intervenus dans le calendrier n ont pas permis la descente sur le terrain initialement prévue dans les mutuelles de Sa a, Eséka & Obala mais plutôt une application pratique de l analyse des factures, fiches de soins, etc. (documents venant des MS sus citées), selon les termes de référence ciaprès : TDR des travaux de groupe pour la Formation/Recyclage des acteurs des MS : 1. Analyser toutes les factures et fiches de soins des malades préparées par le volet MAMS en provenance des mutuelles de santé de Sa a, Obala et Eséka (période couverte : de juin à décembre 2009) ; 2. Relever toutes les anomalies dans les prescriptions ; 3. Formuler des recommandations aux personnels prescripteurs et aux mutuelles pour la modification de leur comportement ; 4. Donner des orientations pour aider les mutualistes dans la négociation avec les formations sanitaires lors d éventuelles réclamations, ou renégociations des conventions. Pour ce travail, cinq groupes d environ 08 personnes chacun ont été constitués. La restitution des travaux a eu lieu dans l après midi. Le produit obtenu fait l objet d une annexe. Jour 4 : Présentation du contrôle des soins de septembre 2009 réalisé par le consultant pour montrer aux participants ce qu on attendait de leur analyse. Test final : Même si un pré-test n a malheureusement pas été fait, il a paru pertinent de faire une évaluation finale. VII- Evaluation Evaluation des participants : Analyse des résultats : Elle porte sur un test de niveau dont voici les résultats : -Sur les 39 participants ayant fait le test : Page 8 sur 13

9 ~Les notes vont de 100% à 36,25%. ~Seules personnes n ont pas atteint 80% considéré comme le Niveau Acceptable de Compétence (NAC) ~Trois participants ont 100%. ~La note moyenne du groupe est de 88,12%. *Les conditions de démarrage n ont pas permis l organisation du pré test en raison du retard accusé et surtout de l arrivée très progressive des participants. En effet 10h30mn, seul à peine le tiers de l effectif était présent! VIII- Conclusion/Recommandations/Suggestions 8.1 Recommandations des participants Au Ministère de la Santé Publique : ~The ministry of public health should ensure the harmonisation of prices and elaboration of treatment protocols to facilitate MHO activities. ~MHO partnership agreements should be endorsed by the Minister /or delegate of public health. Au volet MAMS & autres structures d appui : ~Organiser une formation du personnel sanitaire et des gestionnaires de la mutuelle à l utilisation des outils. ~Faire imprimer la version anglaise du Guide Aux médecins conseils : ~All Medical advisers should be members of MHO to serve as example to their targeted population and control fraud. ~All medical advisors/dmo in collaboration with their respective MHOs, should organise feedback /prescribers forum to facilitate improvement and conflict resolution. Aux Mutuelles de santé : ~ Associer le Médecin conseil à toutes les étapes de la négociation /Renégociation de la convention (ou tout autre problème de relation entre la MS et la formation sanitaire (Définition du paquet de soins, barème des tarifs, etc.), dans le respect de la réglementation en vigueur et sur la base d une analyse situationnelle préalable. ~MHO partnership agreement should be revised by the different stakeholders Page 9 sur 13

10 ~ MHO management upon reception should screen all bills (beneficiary status, confidentiality, mathematical, price and partnership clause verification) to facilitate therapeutic verification by the medical advisor. Aux Formations sanitaires : ~Respecter la politique nationale qui recommande la prescription des MEG sous la DCI. ~ Préciser les quantités des médicaments prescrits pour faciliter la dispensation et la facturation, ~Respecter les protocoles de traitement en vigueur, ~Préciser les formes galéniques, ~Remplir complètement les factures complètement! 8.2 Recommandations du formateur principal : ~Remettre une attestation de formation à tous les participants, y compris les formateurs (pour qui on précisera sa qualité de formateur)! ~Rétablir la logique de deux formations (une en zone francophone & une en zone anglophone). Ceci a l avantage de réduire les effectifs et surtout de permettre à ceux qui sont très loin d assister plus promptement au début du cours. ~Imprimer également le guide révisé en anglais, pour les anglophones. ~Augmenter le nombre de formateurs principaux ; en effet un seul formateur principal pour gérer plus de 35 adultes cela relève de l exploit! ~Maîtriser désormais le calendrier des activités du Ministère de la santé publique avant de planifier une session de formation, pour éviter les couacs à répétition récemment vécus! 8.3-Conclusion Au terme de cette formation les conclusions suivantes peuvent être dégagées: - Le processus de mutualisation de la prise en charge des soins est mieux connu au niveau opérationnel malgré la demande de la connaissance de la mutuelle de santé. - L engouement est réel autour du concept du conseil médical, découvert par certains participants tandis que d autres approfondissent ses caractéristiques. - L intérêt porté à la formation est net. - Le passage en revue, en fin de cours, des attentes & objectifs assignés au démarrage, atteste la prise en compte de toutes les préoccupations. Page 10 sur 13

11 Enfin la remise des attestations aux participants (fût-elle partielle) a ajouté un plus à la satisfaction générale. VIII- Annexes: 1. Résultats des travaux de groupes 2. Liste des participants. Fait à Yaoundé le 03/02/2010 Dr NJOH NJOH Page 11 sur 13

12 Annexe 1 : Résultat des travaux de groupe Page 12 sur 13

13 Annexe 2 : Liste des participants Page 13 sur 13

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