Gaston Bergeret. 26 e 26 e CAMPAGNE

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1 Gaston Bergeret L Essentiel des Restos 26 e 26 e CAMPAGNE DES RESTOS DU CŒUR

2 LE PROJET ASSOCIATIF DES RESTOS DU CŒUR Objet de l association L association a pour objet d aider et d apporter une assistance bénévole aux personnes en difficultés, en luttant contre la pauvreté et l exclusion, notamment dans le domaine alimentaire par la distribution de denrées, et d une manière générale par toute action d insertion dans la vie sociale et l activité économique. (Extraits des statuts des Associations Départementales - à compléter) L aide à la personne est la priorité aux Restos du Coeur. Dans ce cadre, le projet associatif national est la formulation concrète des missions que l association se fixe pour les années à venir : «Ce que nous faisons, ce que nous allons faire» > Nos missions sociales 1/ Généraliser les Projets Associatifs départementaux. 2/ Généraliser l intercampagne pour que l aide alimentaire fonctionne toute l année et partout en France et mener une action d équilibre nutritionnel dans chacun des 2000 Centres de distribution. 3/ Tout faire pour favoriser l insertion par l emploi dans toutes les associations départementales. 4/ Pérenniser les structures d hébergement et de logement existantes, développer l accueil de jour et promouvoir de nouveaux projets dès lors qu ils sont construits autour d un projet social fort et qu ils sont menés par des bénévoles. 5/ Prendre en compte toute les dimensions de la personne, poursuivre et développer, quand c est possible, les actions d Aide à la Personne existantes ou en expérimentation. «Les moyens à mettre en œuvre pour remplir nos missions» > La gestion et l organisation 6/ Maintenir le ratio des Frais Généraux combiné en dessous de 9% et le ratio des Frais de Collecte en dessous de 6%. 7/ Poursuivre la professionnalisation des fonctions clés, bénévoles et salariés, du siège national. 8/ Mettre en place le nouveau Compte Emplois Ressources dans le respect de la lisibilité de l information transmise aux donateurs (demande de la Cour des Comptes). 9/ Informatiser la comptabilité et la gestion des approvisionnements des Associations Départementales (AD), parvenir à piloter le processus budgétaire combiné (du siège national avec les AD). «Message des Restos et collecte de fonds» 10/ Défendre le PEAD (Programme Européen d Aide aux plus Démunis) et négocier la redistribution de sa répartition. 11/ Défendre la Loi Coluche et le principe du contrôle public de la générosité. 12/ Maintenir une communication forte et indépendante pour témoigner et alerter les pouvoirs publics sur la situation des personnes accueillies par les Restos. 2 3

3 ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT DES RESTOS Les membres de l association nationale «Les Restaurants du Cœur» se réunissent une fois par an en Assemblée Générale (A.G.) pour approuver les comptes, le rapport moral et élire le nouveau Conseil d Administration (C.A.). Le C.A. désigne un bureau comprenant le Président, le Trésorier, le Secrétaire général, et ses autres membres. Le siège social de l association nationale est situé au 8, rue d Athènes, Paris 9 e où sont implantés : Les services généraux : Secrétariat Général Service Approvisionnements et Logistique Service Financier, comptabilité et gestion Les missions sociales : sous la coordination du Comité Missions Sociales La Vie Associative Les Réseaux d Insertion Le service Formation La communication et recherche de ressources : Le service Communication Le service Donateurs Le service des Legs Le service Manifestations Le service Mécénat et partenariats d entreprises Les 116 associations départementales ou locales présentes sur tout le territoire sont liées à l association nationale par un contrat d agrément et fonctionnent sur le même principe (AG, CA, bureau, etc.). Et 10 antennes nationales (qui coordonnent plusieurs départements chacune) constituent le relais par l intermédiaire de Chargés de mission entre l association nationale et les associations départementales. Composition du Conseil d Administration de l association nationale, entièrement bénévole (membres du bureau ) : > Bernard Achard > Irène Altmeyer > Michel Augry > Sophie Bazou > Olivier Berthe, Président > Antoine Bour > Véronique Colucci > Loïc Cormier > François Danré > Bernard Denerier > Paul Derveaux, Secrétaire Général > Alain Faucher > Raymonde Fernandez > Hervé Guerin, Trésorier > Nathalie Le Dorze > Daniel Lesort > Dominique Lobjois > Franck Lorenzi > Solange Minguez > William Omari > Anny Robin > Bernard Roussel > Hugues Seghi > Marie Sisco LA CHARTE DES BÉNÉVOLES 1. Respect et solidarité envers toutes les personnes démunies 2. Bénévolat, sans aucun profit direct ou indirect 3. Engagement sur une responsabilité acceptée 4. Convivialité, esprit d équipe, rigueur dans l action 5. Indépendance complète à l égard du politique et du religieux 6. Adhésion aux directives nationales et départementales. Nous rappelons que les Restos s interdisent et interdisent toute quête sur la voie publique. Les structures qui dépendent des Restaurants du Cœur : Les Restos du Cœur - Les Relais du Cœur Les Jardins des Restos du Cœur Les Ateliers des Restos du Cœur Les Relais Bébés du Cœur - Les Restos Bébés du Cœur Les Toits du Cœur La Péniche du Cœur La Petite Ruche des Restos du Cœur 4 5

4 26 e CAMPAGNE LA LETTRE DU PRéSIDENT Coluche, lors de la seule campagne qu il a menée, a bataillé sur deux terrains pour donner à la jeune association ses moteurs de longue durée économique : par la promulgation d une loi fiscale, la Loi Coluche (cf. p.21) par l ouverture des stocks européens, le PEAD (cf. p. 18) 25 ans révolus Année après année, à espérer que nous assisterions à la fin des Restos, nous avons aujourd hui franchi le cap de la 25 e campagne annuelle de cette association! Le 25 septembre 1985, Coluche lance «sa petite idée» depuis la station de radio Europe 1. Le 25 septembre 2010, cette «petite idée» a 25 ans. Qu ont fait les Restos? Grâce à un fort réseau de bénévoles (passés de au début à aujourd hui) les centres de distributions alimentaires maillent aujourd hui tout le territoire, et ceci permet de donner des denrées de qualité et en nombre à plus de personnes. A travers ces points de contact avec les personnes accueillies, les bénévoles, formés à écouter ces personnes qu elles côtoient tout l hiver, peuvent alors les orienter vers des actions d aide à l insertion sous toutes ses formes (jardins ou ateliers, hébergements, lutte contre l illettrisme, alphabétisation, sorties culturelles, microcrédits, etc.). Car, à mesure de l accroissement des populations forcées de fréquenter les Restos, il est apparu que le plus sûr moyen de les aider à ne plus en avoir besoin était de tout faire pour leur donner ou redonner les outils de leur autonomie. L aide à l insertion permet ainsi de retrouver un emploi pour les uns, de récupérer la garde de leurs enfants pour les autres, de comprendre ce qui se dit ou se compte, de renouer avec la société De vivre parmi les êtres humains. Comment a-t-on fait? En considérant avec autant de respect les personnes accueillies que les bailleurs de fonds des Restos et en veillant à ne jamais trahir la confiance ni des uns ni des autres. Un franc, ou euro donné doit bénéficier à celui pour qui il est donné. Les frais généraux des Restos sont toujours restés inférieurs à la barre des 10%. Aujourd hui, ces frais généraux ne s élèvent qu à 7,6% des ressources. Aujourd hui, ces deux avancées sont menacées : La loi permettant de réduire le montant de ses impôts bénéficie à toutes les associations et fondations, même celles sans rapport avec l aide humanitaire : dès lors, elle se voit taxée de «niche fiscale» alors qu il n existe aucun retour sur investissement suite à un don! Quant au Plan Européen d Aide aux plus Démunis (PEAD), qui est violemment combattu par quelques pays européens, il n évolue plus et le manque de diversité des produits fournis met en péril les équilibres nutritionnels. Que refuse-t-on de faire? Au-delà de la volonté commune des bénévoles, une charte de six points indéfectibles soude leur engagement à venir en aide aux personnes accueillies par les Restos (cf. p. 5). La vigilance s exerce également vis-à-vis des mouvements qui tendraient à «saper» la neutralité et l autonomie des Restos. Soit de la part d individus tentés d infléchir leur politique. Soit de la part des pouvoirs publics, désireux d avoir la main mise sur le monde associatif et de «mutualiser» (mot à la mode signifiant «réduction des subventions») ses moyens, au péril des économies d échelle réalisées par les Restos. Quel devenir pour les Restos? Ces 25 révolutions ont apporté la preuve que chaque individu est un être à part entière auquel ne s appliquent que des solutions personnelles et que seule l attention répétée et désintéressée d une équipe de bénévoles aidés de quelques salariés, permet de reconstruire dans la durée ce qui a été brisé. Ce ne sont donc pas les chiffres exponentiels qui doivent focaliser l attention, mais l application humble et quotidienne de la fameuse sentence de Térence* : «Je suis homme, rien de ce qui est humain ne m est étranger». *Térence : esclave africain affranchi -173 av. J.C. Olivier Berthe Président 6 7

5 BILAN DE LA 25 e CAMPAGNE personnes aidées toute l année En 2009/2010, les Restos ont accueilli personnes, soit de plus que l an passé, qui avait déjà connu un accroissement «record». C est le signe évident que l association doit faire face à des situations de plus en plus précaires et alarmantes. Au total, 103 millions de repas ont été distribués durant cette seule campagne. L aide alimentaire continue de représenter la plus grosse part du budget de l association et, bien que les volumes distribués soient en constante augmentation, les Restos ont réussi à stabiliser les dépenses alimentaires sans rogner sur la qualité des denrées. Grâce à une optimisation de notre politique d achat, mais aussi à une logistique dont l efficacité et le sens de l économie sont unanimement reconnus. Cette année encore, les Restos sont parvenus à maintenir une politique d équilibres nutritionnels et améliorer la gamme distribuée tout en conservant un prix de repas à 1 euro. Dans le même temps, la grande collecte nationale, qui s est déroulée les 5 et 6 mars 2010 dans magasins, a mobilisé bénévoles et permis de collecter de quoi offrir 5,1 millions de repas supplémentaires tout l été (30 % de plus que l an passé.) Sanctuarisation des lieux d aide humanitaire, et respect de l accueil inconditionnel Suite à plusieurs interventions des forces de police en 2008/2009 à proximité immédiate de sites des Restos, et face à l inquiétude des bénévoles, l association s est fortement mobilisée pour qu une «sanctuarisation» de fait voie le jour. Ce combat a porté ses fruits et contribué à la publication, en novembre 2009, de deux circulaires répondant favorablement à ce principe. Etape qui constitue un progrès et protège mieux les personnes accueillies et les bénévoles qui leur viennent en aide. Mais les Restos resteront vigilants et continueront à dénoncer toute tentative de contournement de la circulaire par les autorités. Réforme de l accueil des sans abris Fin 2009, dans le cadre du Plan national prioritaire pour l hébergement et l accès au logement, Benoit Apparu, Secrétaire d Etat au Logement lançait «la refondation» : 20 mesures pour désengorger le système. Désormais, les Préfets de régions ont sous leur tutelle les activités de veille sociale. Un nouveau dispositif de coordination des acteurs de l urgence et de l insertion a donc vu le jour : les Services Intégrés d Accueil et d Orientation (SIAO). Les «anciennes» DDASS sont quant à elles remplacées pour une partie de leurs compétences par les DDCSPP (Direction Départementale de la Cohésion Sociale et Protection de la Personne) et pour les aspects sanitaires par les ARS (Agences Régionales de Santé). En pratique : Service Intégré d Accueil et d Orientation (SIAO) Ce dispositif est chargé d organiser le parcours vers le logement des personnes sans domicile ou à risque de l être. Un ou deux opérateurs uniques sur chaque département, après concertation locale, seront liés à l Etat par une convention. Ces opérateurs coordonneront deux niveaux de prises en charge : l urgence et/ ou l insertion. Ils ne seront pas en place avant le début de l hiver voire pas avant janvier Direction Départementale de la Cohésion Sociale et Protection de la Personne (DDCSPP) Elle est chargée de l accueil et de l hébergement des personnes sans abri, de l accueil et l hébergement des demandeurs d asile, de l accès au logement des publics en situation de précarité et du maintien dans le logement des personnes en difficulté sociale. Agences Régionales de Santé (ARS) Elles ont pour mission d améliorer la santé de la population en incluant promotion et prévention, veille et sécurité sanitaire, organisation des soins hospitaliers et ambulatoires, etc. Sur le secteur des personnes de la rue, elles ont donc vocation à organiser, piloter et gérer l accès aux soins et notamment à la santé mentale. En 2009, les Restos ont appelé les pouvoirs publics à débloquer rapidement les moyens pour accueillir les personnes vivant dans la rue. Si l humanisation des places d hébergement va dans ce sens, et si la mise en œuvre des SIAO d urgence constitue un progrès pour la coordination et une meilleure prise en charge des sans-abri, cette politique reste très insuffisante en matière de logement. En outre, la volonté affichée du Gouvernement de mutualiser les moyens, risque d écraser les initiatives et les petites structures à taille humaine et de faire perdre beaucoup d autonomie au monde associatif. Dans ce domaine, nous aurons probablement encore à nous battre. 8 9

6 CHIFFRES DE LA 25 e CAMPAGNE Age des demandeurs * 8% 18/24 ans 16% 25/31 ans 18% 32/38 ans 18% 39/45 ans Situation des demandeurs * 3% CDI 1% Contrats aidés 16% 46/52 ans 1% Pré retraités 13% 53/59 ans 7% 60/66 ans 9% Au foyer 9% Handi. 4% > 66 ans 6% Autres millions personnes accueillies. bébés de moins de 12 mois aidés. de repas distribués. bénévoles. centres et antennes. Restos Bébés du Cœur. lits d hébergement d urgence. personnes abritées. camions et points repas chauds. logements en sous-location. personnes en difficulté logées. ateliers et jardins d insertion ouverts toute l année. personnes en contrats aidés dans les chantiers d insertion Restos. premiers départs en vacances. rendez-vous au cinéma. ateliers d accompagnement scolaire et de lutte contre l illettrisme. donateurs. euros de dons et legs reçus. Composition famiale * (M = famille monoparentale) % CDD de à > à 2 millions de 1 à 1.9 million > à 2 millions 59% Demandeurs d emploi 14% M 1 enfant ATLANTIQUES 64 HAUTES- PYRENEES 65 9% Retraités 6% M 3 enfants AUDE 11 ARIEGE 09 PYRENEES- ORIENTALES 66 6% Couples PAS- DE-CALAIS 62 1% Etudiants 9% Cpl 2 enfants 3% Cpl >3 enfants NORD 59 33% 12 % SOMME 8% 6% Personnes seules M 2 enfants SEINE- 80 Cpl 1 enfant AISNE Cpl 3 enfants ARDENNES MARITIME 3% OISE * Statistiques Restos du Coeur effectuées sur un échantillon M > 3 enfants 60 CALVADOS de familles lors de la 25 e MARNE MOSELLE EURE campagne, 2009/ MEUSE MANCHE PAS- 55 MEURTHE- 50 ORNE DE-CALAIS ILE-DE-FRANCE FINISTERE ET-MOSELLE CÔTES NORD 54 D'ARMOR 59 MAYENNE EURE-ET AUBE VOSGES Nombre de repas 22 servis ILLE-ET- SOMME SEINE- 53 -LOIRE HAUTE- 88 VILAINE SARTHE AISNE PAS- ARDENNES MARITIME 28 HA MORBIHAN 02 MARNE 35 DE-CALAIS 08 LOIRET OISE R VAL-D'OISE par département YONNE 52 HAUTE- NORD 6 95 CALVADOS 59 MARNE MOSELLE EURE LOIR-ET- 89 SAÔNE LOIRE- 14 SOMME 51 MEUSE 57 YVELINES 27 en 2009/2010 MAINE-ET- CHER MANCHE MEURTHE- BAS- 70 ATLANTIQUE INDRE- TER ORNE LOIRE SEINE- ILE-DE-FRANCE AISNE ARDENNES ET-MOSELLE RHIN SEINE- FINISTERE 41 CÔTE-D'OR CÔTES MARITIME ET BEL DOUBS ET-MARNE D'ARMOR OISE MAYENNE EURE-ET 76 LOIRE AUBE CHERVOSGES NIEVRE ILLE-ET LOIRE ESSONNE HAUTE- 88 VILAINE CALVADOS 37 SARTHE 28 MARNE 18 MOSELLE 58 HAUT- MORBIHAN EURE MARNE MEUSE 57 VAL-D'OISE 72 LOIRET RHIN 56 VENDEE 27 INDRE MANCHE DEUX- YONNE 52 HAUTE- 55 MEURTHE- BAS- SAÔNE-ET- JURA ORNELOIR-ET- ILE-DE-FRANCE 89 SAÔNE ET-MOSELLE RHIN FINISTERE LOIRE YVELINES CÔTES- MAINE-ET- SEVRES LOIRE CHER ATLANTIQUE INDRE- ALLIER TER.-DE- 78 SEINE- D'ARMOR LOIRE 4179 VIENNE CÔTE-D'OR MAYENNEET- EURE-ET AUBE VOSGES BELFORT ET-MARNE 22 ILLE-ET LOIRE DOUBS 03 LOIRE CHER NIEVRE 10 HAUTE HAUTE- 25 VILAINE SARTHE 28 HAUT- ESSONNE 77 MORBIHAN CREUSE AIN LOIRET MARNE 35 RHIN SAVOIE VAL-D'OISE VENDEE INDRE 45 YONNE DEUX-CHARENTE- HAUTE- SAÔNE-ET- 23 JURA 52 HAUTE- 68 RHÔNE LOIR-ET LOIRE 39 PUY-DE- 74 SAÔNE LOIRE-SEVRES MARITIME YVELINES MAINE-ET- VIENNE INDRE- CHER ALLIER SEINE ATLANTIQUE79 CÔTE-D'OR TER.-DE- 78 LOIRE SEINE CHARENTE VIENNE 69 DOME LOIRE ET HAUTE- 21 DOUBS BELFORT SAINT-DENIS 49 CREUSE AIN SAVOIE ET-MARNE LOIRE CHER NIEVRE SAVOIE CHARENTE- 23 ESSONNE 77 HAUTE- 37 PUY-DE RHÔNE HAUTS 93 PARIS MARITIME COREZE 73 ISERE 91 SEINE- VENDEE INDRE 17 CHARENTE VIENNE 69 DEUX- DOME LOIRE SAÔNE-ET- JURA DE SEINE 75 SAINT-DENIS SEVRES CANTAL HAUTE LOIRE 39 SAVOIE DORDOGNE 93 VIENNE ALLIER HAUTS PARIS COREZE 73 LOIRE ISERE DE SEINE HAUTE- HAUTE CANTAL HAUTES- VAL-DE-MARNE CREUSE AIN 92 DORDOGNE GIRONDE 15 LOIRE SAVOIE CHARENTE- 24 HAUTE- 23 RHÔNE MARITIME PUY-DE- 43LOT ARDECHE ALPES HAUTES-74 VAL-DE-MARNE GIRONDE 33 DRÔME SEINE- 17 CHARENTE VIENNE ARDECHE LOT LOT-ET- ALPES DOME 46 LOZERE 05 LOIRE 33 DRÔME 26 SAINT-DENIS LOZERE 07 LOT-ET- 05 GARONNE SAVOIE HAUTS 93 GARONNE AVEYRON PARIS COREZE AVEYRON ALPES-DE- 73 ALPES-DE- ISERE DE SEINE TARN-ET- TARN-ET- HAUTE CANTAL VAUCLUSE 12 VAUCLUSE HAUTE- 38 HAUTE- ALPES- 92 LANDES LANDES DORDOGNE GARONNE GARONNE 15 GARD LOIRE 84 PROVENCE MARITIMES GARD 84 PROVENCE TARN HAUTES- VAL-DE-MARNE GIRONDE 06 GERS40 82 ARDECHE TARN 94 HAUTE- LOT 81 BOUCHES- ALPES DRÔME moins de GERS HÉRAULT 46 LOZERE DU-RHÔNE 07 VAR LOT-ET- GARONNE BOUCHES- HAUTE- 26 PYRENEES moins de GARONNE HÉRAULT DU-RHÔNE HAUTE- VAR ATLANTIQUES AVEYRON GARONNE ALPES-DEde à HAUTES- 47 TARN-ET- AUDE CORSE 64 PYRENEES VAUCLUSE HAUTE ALPES- LANDES PYRENEES GARONNE B ARIEGE GARD 84 ATLANTIQUES PROVENCE MARITIMES de de à million à PYRENEES- TARN GERS HAUTES- AUDE HAUTE- 81 BOUCHES- ORIENTALES moins de HÉRAULT DU-RHÔNE VAR CORSE PYRENEES 11 GARONNE 66 ARIEGE PYRENEES DU SUD > à 2 millions A HAUTEde 1 à 1.9 million 09 PYRENEES- ORIENTALES 66 CORSE 2B CORSE DU SUD 2A

7 Compte Emplois et ressources 2009/2010 Emplois () Co m p t e d e r é s u ltat Em p l o i s d e s r e s s o u r c e s d e l a g p* utilises en n Fo r m u l e s Ressources () Co m p t e d e r é s u ltat Em p l o i s d e s r e s s o u r c e s d e l a g p utilises en n Fo r m u l e s Report des ressources de la GP*, non affectées, non utilisées en début d exercice 0 T1 1. Missions sociales Distribution alimentaire et Relais Logement et hébergement d urgence Culture, loisirs et illettrisme Accompagnement retour à l emploi Accompagnement des gens de la rue Aides diverses et pilotage national des missions sociales Formation des bénévoles 2. Frais de recherche de fonds Frais d appel à la générosité du public 3. Frais Activité «Enfoirés» 4. Frais de fonctionnement ST1 ST2 ST3 T3 = ST1 + ST2 + ST3 1.Ressources collectées auprès du public 1.1 Dons & Legs Dons manuels non affectés Dons manuels affectés Legs et autres libéralités non affectées Legs et autres libéralités affectées 1.2 Autres produits liés à la GP* Manifestations 2. Autres fonds privés 3. Subventions Union Européenne Etat Français Collectivités territoriales Autres 4. Autres produits Produits de l activité «Enfoirés» Autres T2 I. Total des emplois de l exercice inscrits au compte de résultat II. Dotations aux provisions III. Engagements à réaliser sur ressources affectées IV. Excedent de ressources sur l exercice Total général V. Part des acquisitions immos brutes de l exercice financée par la GP* VI. Neutralisation des dotations aux amortissements des immos financées par la GP* T5 T5 bis (négatif) 1. Total des ressources de l exercice inscrites au compte de résultat II. Reprises de provisions III. Report des ressources affectées non utilisées des exerc. antérieurs IV. Variation des fonds dédiés de la GP* V. Insuffisance de ressources sur l exerc. Total général Maximum T6 VII. Total des emplois financés par la GP* T6 = VII. Total des emplois financés par la GP* T3 + T5 + T5 bis T6 Solde des ressources de la GP* non T7 = * GP : Générosité du Public affectées, non utilisées au cours d exercice 0 T1 + T2 + T4 - T T4 T2 + T4 T1 + T2 + T3

8 ANNEXE EXPLICATIVE DE L EMPLOI DES RESSOURCES A quoi ont servi 100 euros de ressources? Divers 5,6 0,3 Formation des bénévoles Charges liées aux concerts des Enfoirés et aux CD/DVD 3,6 Frais Généraux 7,6 20,4 Actions d insertion et pilotage des actions 62,5 Distribution alimentaire d où proviennent 100 euros de ressources? Autres produits 4 Fonds propres 0,8 Concerts des Enfoirés, ventes CD/DVD, etc. 17,8 Dons & Legs 42,8 Autres organismes 21,1 Union Européenne 13,5 Les frais généraux ( + + ) ne représentent que 7,6% des ressources. Em p l o i s Re s s o u r c e s Charges opérationnelles liées aux missions sociales Distribution alimentaire et Relais Culture, loisirs et illettrisme Logement, hébergement d urgence et aide aux Gens de la rue Accompagnement retour à l emploi Formation des bénévoles Aides diverses Ressources affectées aux missions sociales non utilisées Produits de la générosité du public Dons Legs Manifestations organisées au profit des Restos du Cœur Report des ressources affectées aux missions sociales et non utilisées Charges liées aux concerts des Enfoirés, aux disques et aux activités annexes Frais d appel à la générosité Frais d information et de communication Frais de fonctionnement Fonds social statutaire Charges exceptionnelles Provision pour retour disques Enfoirés Excédent de l exercice Produits des concerts des Enfoirés, des disques et des activités annexes Subventions et autres concours publics Union Européenne Autres organismes Autres produits Insuffisance de l exercice Total des emplois Total des ressources

9 LA GENEROSITé DU PUBLIC LES PRINCIPAUX POSTES DU BILAN Les fonds issus de la générosité du public comprennent les dons (y compris les abandons de frais des bénévoles de l association), les legs, les donations et les produits des manifestations des associations départementales. En 2009/2010, ils s élèvent à 66,4 millions d euros contre 59 millions d euros en 2008/2009, soit une croissance de 12,5 %. Legs 4,8% Manifestations 1,4% A L ACTIF Actifs immobilisés (1) Stocks et en-cours Total des créances Liquidités et valeurs mobilières Total général Au 30/04/ Au 30/04/ Les produits de la générosité du public représentent 43,4 % du total des ressources de l association pour l exercice 2009/2010 (41,3 % en 2008/2009). Les frais de collecte des dons ne représentent que des dons et legs reçus (inclus dans les frais généraux). Dons 93,8 % 4,3% a quoi ont servi 100 de générosité du public? (1) L évolution du poste immobilisation est en majeure partie due aux travaux d aménagements des divers locaux occupés par l association. AU PASSIF Fonds associatifs Fonds de prévoyance - réserves - résultat Subventions d équipement Fonds dédiés Dettes Total général Au 30/04/ Au 30/04/ Sur les cinq dernières années, les produits de la générosité publique sont inférieurs aux dépenses des missions sociales restant après imputation des subventions affectées. Les ressources de la générosité du public financent donc en priorité les dépenses opérationnelles des missions sociales après utilisation des subventions affectées obtenues. Les abandons de frais des bénévoles des sièges sont mentionnés en frais de fonctionnement. Actions d insertion et pilotage des actions 14 Frais de fonctionnement (notamment abandon des frais des bénévoles des sièges) 1 85 Distribution alimentaire Réserves-résultat AN Charges AN Mois d activité EVOLUTION DES réserves Le montant des fonds issus de la générosité du public étant inférieur à celui des missions sociales après imputation des subventions, on peut en déduire que les réserves ne comprennent pas de fonds issus de la collecte publique. Il n y a pas de dons collectés au cours des campagnes antérieures non utilisés. Les réserves de l association sont destinées à assurer la pérennité de son fonctionnement et son autonomie. Elles représentent 7 mois d activité de l Association Nationale au 30 avril Leur niveau se réduit régulièrement depuis 3 ans. 2009/ mois 2008/ mois 2007/ mois

10 PERSPECTIVES ET ACTIONS POUR LA 26 e CAMPAGNE Une nécessité absolue : sauver l aide européenne et l aide de l Etat Il y a 25 ans, Coluche a convaincu Jacques Delors d ouvrir les «frigos de l Europe». En 1987, cela devient une réalité et pratiquement le seul élément de la politique sociale sur notre continent. Depuis cette date, les 80 millions d européens vivant en dessous du seuil de pauvreté peuvent avoir accès à cette aide d urgence. Cet hiver, les Restos du Cœur demanderont sans relâche au Gouvernement français de se battre pour sauver ce programme contre les coups de boutoirs de l Allemagne et de l Angleterre. La réforme de la PAC, prévue pour 2013, peut même devenir une opportunité pour faire évoluer le PEAD (Programme Européen d Aide aux plus Démunies) afin qu il s ouvre à toutes les denrées alimentaires et permette de vrais progrès en matière d équilibres nutritionnels. En attendant, l aide complémentaire de l Etat (PNAA) doit absolument être maintenue : comment expliquer qu au cœur de la crise économique et de la remontée des prix des matières premières, les associations soient moins soutenues alors qu elles n ont jamais eu autant de personnes à aider? L aide au retour à l emploi n est pas une «variable d ajustement» L objet social des Restos n est pas uniquement de distribuer des repas : il consiste à aider tous ceux qui fréquentent ses centres de distribution à ne plus avoir besoin d y revenir. Loin d être de l assistanat, c est pour la plupart des personnes accueillies le fait de retrouver un emploi qui permettra la sortie de crise. Depuis des années, les 93 chantiers d insertion (ACI) de l association, répartis dans une cinquantaine de départements, construisent des parcours de retour dans Un timbre collector au profit des Restos Le 29 novembre 2010, La Poste met en vente un Collector de quatre timbres autocollants au profit des Restos du Cœur. Au tarif de 4,90, ce Collector sera disponible auprès des facteurs, dans 1000 bureaux de Poste, sur la boutique du Timbre ( timbres) ou via le site web de l association : la vie active avec leurs contrats aidés, et permettent à plus de 27 % d entre-eux une sortie positive. Tout cela n est possible que dans la durée, avec un soutien financier pérenne et constant de l Etat et des départements. Les politiques publiques, en la matière, ne doivent pas «jouer au yoyo» avec le professionnalisme des encadrants, l engagement des bénévoles et la volonté des salariés en insertion. Au mois d octobre, les changements brusques et non concertés de politique des Pôles Emplois ont mis en péril plusieurs chantiers et, ce qui est bien plus grave, menacé des centaines de parcours de retour à l emploi de s interrompre brusquement. Au moment même où le chômage est au plus haut! Les Restos demandent à l Etat de respecter sa parole et sa signature (convention de janvier 2009), de donner des consignes écrites aux Pôles Emplois et de mener, avec les acteurs de l IAE qui ont prouvé leur efficacité, une politique pluriannuelle qui ne varie pas au gré des réserves budgétaires des Préfets de régions. La liberté associative est-elle menacée? Un Député qui cherche à nous intimider pour imposer un bénévole ami à la tête d un centre, un Adjoint au Maire qui réclame les adresses des bénéficiaires ainsi qu un poste dans les instances de l association, un Conseiller Général qui exige l ouverture ou la fermeture d un centre dans son secteur : les exemples ne manquent pas d élus qui confondent les Restos du Cœur avec les services publics qu ils administrent. Nous avons toujours répondu par une neutralité politique indéfectible et une indépendance jalousement conservée, car les bénévoles des Restos ne sont qu au service des plus démunis. Mais la volonté de contrôle du monde associatif par le pouvoir politique semble vouloir s étendre : service unique départemental d orientation des sans-abri, proposition plus ou moins appuyées de regrouper les moyens logistiques, demandes pressantes de statistiques, menaces sur les financements à défaut de signature de conventions Tout cela au mépris de l esprit de la loi de 1901 qui a permis l originalité, le dynamisme et la diversité du tissu associatif français. Les Restos ont toujours prouvé leur rigueur de gestion ainsi que l utilité et l efficacité de leur action, comme l attestent nos 25 campagnes et les deux rapports de la Cour des Comptes. Ils ont également démontré qu avec un euro d argent public confié, ils permettaient au moins cinq fois plus d aides directes, ce qu aucune administration ne pourrait faire à si faible coût. Mais l association fondée par Coluche a toujours refusé, et continuera de le faire, de devenir une institution ou une simple délégation de service public

11 LES ENFOIRés 2010 Les Enfoirés... La crise de nerfs! COMMENT AIDER LES RESTOS En donnant de son temps Les personnes qui se proposent de rejoindre les bénévoles des Restos du Cœur peuvent apporter leur aide au niveau départemental : aide alimentaire, repas chauds, aide à l insertion, aide au soutien et à l accompagnement scolaire, aide administrative, juridique, comptable, etc. En adressant des dons En effectuant un don en ligne sécurisé, par carte bleue, par prélèvement automatique ou par virement sur rubrique «Faire un don». En 2010, les Enfoirés ont piqué une retentissante crise de nerfs! Installés au Palais Nikaïa de Nice fin janvier, 37 artistes* ont répondu présents et rallié les rangs du combat contre l exclusion initié par Coluche il y a 25 ans. Outre les spectateurs qui sont venus encourager les Enfoirés en concert à Nice, ce sont 11,6 millions de téléspectateurs qui ont suivi la retransmission télévisée du 12 mars ,4 millions de téléspectateurs ont également suivi la 2e partie de soirée consacrée aux missions sociales de l association : «La faim justifie les moyens». Quatre reportages qui ont mis en images le cruel constat de ce que vit une partie de la population au quotidien. *Alizée, Jean-Louis Aubert, Bénabar, Amel Bent, Patrick Bruel, Francis Cabrel, Julien Clerc, Thomas Dutronc, Patrick Fiori, Liane Foly, Garou, Jean-Jacques Goldman, Grégoire, Jenifer, Michael Jones, Gérard Jugnot, Patricia Kaas, Claire Keim, Lââm, Catherine Lara, Michèle Laroque, Maxime Leforestier, Nolwenn Leroy, Lorie, Renan Luce, Christophe Maé, Mimie Mathy, Jean-Baptiste Maunier, Maurane, Kad Merad, Pascal Obispo, Hélène Ségara, Mc Solaar, Natasha St-Pier, Patrick Timsit, Christophe Willem et Zazie, dirigés par Guy Delacroix et ses musiciens. En 2011 : Les Enfoirés... à Montpellier En 2011, c est à l Arena de Montpellier qu auront lieu les concerts «Dans l oeil des Enfoirés», du mercredi 26 au lundi 31 janvier. Retrouvez toute l actualité des Enfoirés sur le site officiel : JM Sureau En envoyant un chèque à l ordre des Restaurants du Cœur, à l adresse suivante : Les Restaurants du Cœur Paris Cedex 15 Pour toute information complémentaire, n hésitez pas à contacter le service Donateurs au Ceux qui souhaitent faire un don matériel (moyens logistiques, prêts de locaux, denrées alimentaires, mobilier, etc.) peuvent prendre contact avec les Restos du Cœur de leur département. En devenant entreprise mécène Dons en nature, en numéraire, dons de compétences, aide à l insertion... Les entreprises aussi aident les Restos du Cœur. Legs par testament et assurance vie Les Restos du Cœur, reconnus d utilité publique, recevront l intégralité des sommes que vous leur destinerez, sans aucun prélèvement fiscal. La loi Coluche Dans tous les cas de dons en argent, les donateurs recevront un reçu fiscal à joindre à leur déclaration d impôts. Pour les particuliers, la déduction fiscale est de 75 % du montant du don si celui-ci ne dépasse pas 513 (en 2010). Au-delà de ce montant, et dans la limite de 20 % des revenus imposables, la réduction est encore de 66 %. Pour les entreprises assujetties à l impôt sur les revenus ou à l impôt sur les sociétés, la déduction fiscale est égale à 60 % du montant des dons pris 20 dans la limite de cinq pour mille du chiffre d affaires. 21

12 Principaux mécènes 2009/2010 : Boeing - Caisse des Dépôts et Consignations - Carrefour - Danone - EDF - Macif - La Poste - Sodexo -... Contacts presse : Maya Paumelle, Agathe Revol, Maude Julien Tél : Fax : Mail : communication@restosducoeur.org 8, rue d Athènes Paris Pour nous aider : Adressez vos dons par courrier : Restaurants du Coeur Paris Cedex 15 ou en ligne sur notre site : Le Comité de la Charte du don en confiance est un organisme d agrément et de contrôle des associations et fondations faisant appel à la générosité du public.

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