Commentaires de l Association des intervenants en toxicomanie du Québec à la ministre de l Emploi et de la Solidarité sociale

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1 Projet de règlement Loi sur l aide aux personnes et aux familles Chapitre A , a. 131 à 136 et 190 Commentaires de l Association des intervenants en toxicomanie du Québec à la ministre de l Emploi et de la Solidarité sociale Mars , rue Sainte-Hélène, 2 e étage, Longueuil (Québec) J4K 3R5 Téléphone : Télécopieur : Courriel : info@aitq.com

2 2 L Association des intervenants en toxicomanie du Québec inc. (AITQ) Fondée en 1977, l AITQ est un organisme national, sans but lucratif, regroupant 472 individus et 120 organismes des réseaux public, privé et communautaire, qui œuvrent dans le domaine de la toxicomanie et du jeu excessif. Ses membres interviennent dans les différents domaines reliés à la toxicomanie (prévention, aide et soutien, réadaptation, traitement, réhabilitation, réinsertion, recherche et formation) et s affairent dans différents milieux (centre de traitement, centres de réadaptation, écoles, programmes d aide aux employés, maisons de jeunes, organismes communautaires, etc.). La mission de l AITQ L AITQ a pour objectifs de favoriser la concertation, d assurer la formation continue de ses membres, de travailler à l amélioration de la qualité des services offerts aux personnes toxicomanes, de diffuser de l information auprès des groupes cibles et du grand public, de produire des documents et des outils, de sensibiliser la collectivité à l usage et à l abus des substances psychotropes et des jeux de hasard et d argent. Les membres de l AITQ offrant du traitement avec hébergement Parmi les 120 membres ressources de l association, 60 organismes offrent des services d aide et de traitement en milieu interne aux personnes ayant un problème de toxicomanie. À leur façon, chacun d'eux contribue au rétablissement de la personne en difficulté, en offrant des approches distinctes, en desservant des clientèles diverses, puis en offrant des services différents et complémentaires. La personne au bon endroit, avec le bon appariement de service La dépendance aux substances psychoactives est une problématique complexe. D'autant plus qu'elle se présente fréquemment sous la forme d'une polytoxicomanie, associée à 2

3 3 d'autres problèmes tels que la santé mentale, l'itinérance 1 ou la criminalité. Les personnes vivant ces difficultés ont donc besoin de traiter de multiples problèmes psychologiques, sociaux et professionnels. L'orientation du type de traitement (externe ou avec hébergement), de l'intensité et de sa durée, est variable et dépend de l'évaluation du niveau de soin requis. Choix du type et de la durée de traitement Selon Guyon, Landry, Brochu et Bergeron (1998) «... une des orientations qui s est imposée avec le plus de force dans le champ du traitement en toxicomanie est celle de l appariement. Cette orientation s appuie sur la nature multidimensionnelle de la toxicomanie et sur la diversité qui caractérise ses manifestations et son évolution selon les individus. Selon la stratégie d appariement, on devrait offrir une gamme variée de services et sélectionner les plus appropriés en fonction des besoins spécifiques de chaque individu en traitement. 2» «En termes d efficacité, une durée minimale de l interne long terme autour de jours est préférable. [Par contre] les études démontrent constamment qu une durée de 90 jours et plus est plus performante qu une durée de moins de 90 jours de présence au sein des programmes internes long terme (résultats prometteurs), ce délai pouvant même être situé à six mois (résultats novateurs). Cependant il y a un essoufflement possible du traitement après six mois, mais certaines données indiquent que les clients peuvent s améliorer jusqu à 18 mois en interne. Donc, conclusion difficile au sujet des durées maximales (résultats novateurs). 3» 1 (...) parmi les facteurs structurels [de l itinérance), soulignons des dimensions socioculturelles telles que la stigmatisation des personnes aux prises avec un problème de santé mentale ou de toxicomanie ainsi que de celles ayant un passé institutionnel. (...) À ces facteurs structurels se combinent des facteurs individuels : des histoires de vie marquées par des échecs, des situations de crise, de difficultés profondes, de ruptures, des problèmes de santé mentale, de dépendances (toxicomanie, jeu compulsif, alcoolisme, etc.), de violence familiale. RSIQ, Pour une politique en itinérance, décembre 2012, p Sous la direction de L. Guyon, M. Landry, S. Brochu et J. Bergeron (1998). L évaluation des clientèles alcooliques et toxicomanes. L indice de gravité d une toxicomanie (ASI/IGT) p ACRDQ, Guide de pratique et offre de service de base, les services de réadaptation en toxicomanie auprès des adultes dans les centres de réadaptation en dépendance, p. 76 3

4 4 Ceci nous démontre qu on ne peut appliquer une règle uniforme pour toutes les personnes toxicomanes et qu un certain nombre d'entre elles ont besoin d un traitement de plus de 90 jours. «... dans la mesure où cela prend généralement plusieurs années pour développer [une] dépendance, il devient incontournable de relativiser le temps accordé au processus d intervention et éviter ainsi la devise de la panacée prédéterminée à l avance.» 4 De plus, «Le post traitement peut être plutôt compris comme une nécessité de suivi au long cours [car] le suivi post traitement augmente généralement l efficacité des traitements. 5». Ainsi, «l offre d un suivi à long terme en réinsertion sociale, pouvant se prolonger audelà de la période de réadaptation, semble déterminante (Bond, 2004; Bond, Becker, Drake et Volger, 1997; Carron et Ecoeur, 2003; OEDT, 2010; SAMHSA, 2003; Schutt et Hursh, 2009). La fréquence et la durée de ce suivi peuvent varier selon les usagers et leurs besoins respectifs. Les interventions utilisées pour favoriser la réinsertion et les objectifs qu elle poursuit doivent être adaptées aux besoins des usagers desservis (Carron et Ecoeur, 2003; OEDT, 2010; SAMHSA, 2003). De là l importance [encore ici] d avoir une évaluation précise des besoins afin de faciliter cet appariement (Boivin et de Montigny, 2002).» 6 Le temps investi en intervention de réinsertion sociale, pour atteindre les objectifs visés par le traitement, peut donc augmenter la période où se manifeste un besoin d'hébergement, à plus de 90 jours. Conclusion Il nous importe que les changements proposés aux points 3 et 4 du règlement 88 sur l aide aux personnes et aux familles tiennent compte de la spécificité des besoins de la personne présentant une problématique de dépendance aux substances psychoactives. 4 Suissa, A. (2013) dans L intervenant, vol 29, no 3, avril Sous presse. 5 Idem 3 6 ACRDQ (2012), Guide de pratique et offre de services de base, les services de réinsertion sociale, p.25 4

5 5 Ces changements devraient considérer qu un certain nombre de personnes peuvent présenter un profil pour lequel le traitement indiqué en soit un, d une part, avec hébergement, d autre part, de plus de 90 jours. Nos ressources membres, qui offrent des services de traitement interne ou de réinsertion sociale, avec hébergement, ont toutes reçues, ou sont en processus pour recevoir la certification des ressources en toxicomanie ou en jeu pathologique offrant de l hébergement du MSSS. Pour obtenir cette certification, les ressources doivent avoir du personnel qualifié 7,8 et leur programme doit être basé sur des approches reconnues. Elles doivent obligatoirement évaluer les besoins de la personne toxicomane et la gravité de sa consommation à l aide d un outil reconnu tel l IGT, etc. 9 ou RESO pour le volet de la réinsertion sociale. Le personnel clinique est ainsi en mesure d établir des objectifs spécifiques servant à la rédaction d un plan d intervention personnalisé 10, en collaboration avec l individu. Conséquemment, nous sommes d'avis que ces ressources, certifiées par le ministère de la Santé et des Services sociaux, possèdent toute la compétence utile afin d assurer un appariement adéquat entre les besoins de la personne et les services qui lui sont offerts. Lors de la consultation auprès de nos organismes membres, quelques directeurs ont mentionné qu ils référaient à une ressource plus adaptée aux besoins de l individu si leur organisme n était pas en mesure d offrir les services nécessaires à sa réhabilitation. Nous sommes confiants que vous allez prendre une décision éclairée dans les changements concernant les personnes toxicomanes, pour le mieux-être de l individu et les meilleures chances de réussite de sa réinsertion sociale, dont l intégration ou le retour à l emploi. Car, «si des cures de désintoxication sont nécessaires d un point de 7 Article 23 L exploitant doit s assurer qu au moins 75 % des intervenants à temps plein possède l une des formations suivantes : formation universitaire admissible en matière d intervention (...), un certificat universitaire en toxicomanie ou une formation collégiale admissible en matière d intervention (...). 8 Article 24 L exploitant doit s assurer que chacun des intervenants a reçu une formation concernant le programme d intervention qu il offre (...). 9 Article 37 L exploitant doit procéder, selon les pratiques reconnues, à l évaluation personnalisée de tout nouveau résident. 10 Article 38 L exploitant doit élaborer, pour chaque résident, un plan d intervention individualisé comprenant notamment : les objectifs à atteindre (...), la participation du résident (...), la révision du plan d intervention (...), la désignation d un intervenant responsable du plan d intervention (...). 5

6 6 vue médical dans le processus de réhabilitation, cela ne devrait pas poser problème avec le processus de réinsertion qui met l emphase sur les compétences des personnes et de leur réseau, à savoir le développement de leur pouvoir d agir. (LeBossé, 2007; 2008)» 11 L'Association des intervenants en toxicomanie du Québec étant impliquée depuis plusieurs années dans l amélioration des services offerts aux personnes ayant un problème de toxicomanie ou de jeu excessif. C est pourquoi nous vous assurons de notre disponibilité et de notre intérêt à collaborer avec les représentants de votre ministère, si vous le jugez à propos. 11 Suissa, A. (2013) dans L intervenant, vol 29, no 3, avril Sous presse. 6

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