piscines en Languedoc- Roussillon
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- Basile Dumas
- il y a 8 ans
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1 BILAN 2010 DES CONTRÔLES EFFECTUÉS PAR L AGENCE RÉGIONALE DE SANTÉ LANGUEDOC-ROUSSILLON La qualité de l eau des piscines en Languedoc- Roussillon
2 Sommaire UNE PISCINE: COMMENT CELA FONCTIONNE? LES RISQUES SANITAIRES EN PISCINE LE PARC DES PISCINES CONTROLÉES EN LANGUEDOC-ROUSSILLON BILAN DU CONTRÔLE DE LA QUALITÉ DE L EAU PAR L ARS EN 2010 PAGE 1 PAGE 2 PAGE 3 PAGE 4-6 RÉFÉRENCES LÉGISLATIVES ET RÉGLEMENTAIRES QUALITÉ DE L EAU DANS LES BASSINS : NORMES SANITAIRES PAGE 7
3 Une piscine doit être alimentée en eau par le réseau public d eau potable. L eau dans un bassin de piscine subit : un recyclage des traitements (filtration, désinfection et corrections) Exemple de schéma de principe de la circulation hydraulique d un bassin Les étapes de la recirculation de l eau > La reprise des eaux de surface du bassin Son intérêt est d évacuer le film d eau en surface qui contient beaucoup de particules (cheveux, graisses, matières diverses ). Cette reprise s effectue par des goulottes gravitairement vers le bac tampon ou par des écumeurs de surface (skimmers). > Le bac tampon Le bac tampon est une cuve ou réserve d eau qui récupère l eau venue par gravitation de la reprise des eaux de surface. Il est obligatoire si la reprise en surface s effectue par des goulottes. Ce bac tampon assure la disconnexion entre le réseau public et celui de la piscine, lors de son remplissage et sert à compenser les pertes de volume d eau. Il doit être correctement dimensionné et ventilé. L eau est ensuite dirigée vers la filtration. L eau des piscines Une piscine: comment cela fonctionne? > Le pompage et la filtration La filtration est un traitement mécanique qui permet de nettoyer l eau de la piscine en éliminant ses impuretés et particules polluantes. La dimension du filtre doit être proportionnelle au volume d eau et au débit de pompage. Il existe plusieurs types de filtres : filtre à sable, à cartouche, à diatomées > Le rééquilibrage chimique de l eau Ce rééquilibrage est nécessaire afin d optimiser les traitements de filtration et de désinfection. Il consiste en l injection par exemple de correcteurs de ph. > La désinfection Cette étape est indispensable car l eau des bassins doit être désinfectée et désinfectante. Elle ne peut se faire directement au niveau du bassin. L injection automatique est obligatoire. Plusieurs produits agréés par le ministère de la santé peuvent être utilisés. Ils sont à base de chlore. A noter que les problématiques liées à la désinfection sont différentes selon que le bassin est en extérieur ou couvert. > Le refoulement des eaux dans le bassin Après filtration et désinfection l eau est refoulée dans le bassin par le fond et/ ou les côtés. Elle a été traitée et en partie renouvelée. 1
4 La piscine est un milieu humide et chaud recevant des apports de pollutions organiques et micro-organiques dont les origines sont multiples : principalement les baigneurs, C est pourquoi ils sont invités à passer à la douche, puis par le pédiluve et à s abstenir de fréquenter la piscine s ils présentent des affections cutanées ou autres. l environnement, l utilisation de matériel d animation L eau des piscines Les risques sanitaires en piscine Les milieux contaminés sont l eau mais aussi les plages ou le matériel d animation. Les échanges microbiens peuvent être directs entre individus ou indirects via l eau ou par contact avec des objets souillés (matériel pédagogique, revêtements muraux, sols, ). Le milieu de la piscine offre plusieurs conditions favorisant ces échanges de germes entre individus comme la promiscuité, la nudité, les revêtements anti-dérapants. > La piscine est un milieu très favorable aux développements et aux échanges microbiens : Types de pathologies Cutanéo-muqueuses Oculaires Oto-rhino-laryngées Pathologies développées Granulomes, suppurations, mycoses, verrues plantaires Conjonctivites, kératites Rhinites, rhino-pharyngites, sinusites, angines, otites Causes Bactéries, champignons, virus ph de l eau ou traitement au chlore, parasites Bactéries, comportement (coup de froid) Digestives (plus rares) Diarrhées, gastroentérites Bactéries, virus, parasites Certains publics sont plus sensibles : enfants, personnes âgées, immunodéprimés, porteurs de lentilles de contact Pour prévenir les risques liés à des agents pathogènes, le responsable de la piscine a une obligation de moyens et de résultats. Ils sont précisés par le code de santé publique et ses textes d application. Moyens Vérification Résultats Eau filtrée Eau désinfectée et désinfectante Recyclage et renouvellement de l eau Par l ARS 1 fois / mois Pour chaque bassin Par l exploitant Plusieurs fois / jour Pour chaque bassin = Contrôle sanitaire = Autosurveillance La qualité de l eau respecte les normes sanitaires Les exigences de qualité pour l eau des bassins sont précisées en annexe ainsi que les paramètres contrôlés Les exigences de qualité pour l eau des bassins sont précisées en annexe ainsi que les paramètres contrôlés. L Agence Régionale de Santé fait procéder une fois par mois à des prélèvements et des analyses de l eau des bassins afin de contrôler les paramètres physico chimiques (ph, teneur en désinfectant ) et bactériologiques de l eau. Ce contrôle sanitaire concerne tous les établissements mettant à disposition du public un ou plusieurs bassins. Les résultats de ce contrôle, avec les observations de l ARS, doivent être affichés au sein de l établissement, de façon visible pour les usagers. 2! D autres types de risques existent : noyade, chutes, insolations, nuisances sonores.
5 L ARS contrôle sur la région 1781 établissements. Ils représentent 2900 bassins. Etablissements permanents Résidences 601 Etablissements saisonniers 9% Campings 429 Hôtels-Restaurants 296 Piscines de collectivités territoriales % 91 % des établissements soit 1629 sont saisonniers, ils représentent 90 % des bassins. Village de vacances Gites - Chambre d hôtes Centres de remise en forme Centres de loisirs ou aérés Un établissement est saisonnier lorsque sa période d ouverture est inférieure à 6 mois. Parcs aquatiques Nb établissements Le grand nombre d établissements saisonniers reflète l importance du secteur touristique en Languedoc Roussillon. Ainsi, campings, résidences et hôtels restaurants concentrent la majeure partie des piscines (75 %). Ils sont principalement implantés sur le littoral. Les problématiques rencontrées sont différentes selon le type d établissement : saisonniers ou permanents. Elles sont liées notamment à l environnement et à la fréquentation des bassins. Pataugeoire 468; 16% SPA 154; 5% Toboggan 145; 5% L eau des piscines Le parc des piscines controlées en Languedoc-Roussillon Petit bain 326; 11% Grand bain 1802; 63% Les bassins sont principalement de 5 types : Les grands bains (profondeur > 150 cm) Les petits bains (profondeur < 150 cm) Les pataugeoires (profondeur < 40 cm) Les bains à remous (spas et jacuzzi) Les toboggans On observe une diversification assez faible des bassins qui restent «classiques» par rapport à ce qui peut être observé sur l ensemble du territoire national. (spas en forte augmentation, bassins ludiques, toboggans ) 3
6 L eau des piscines Bilan du contrôle de la qualité de l eau par l ARS en ! SUR L ENSEMBLE DE L ANNÉE Prélèvements d eau en 2010 Total : % réalisés pendant l été 52 % de non-conformité globale 50 % de non-conformité physico chimique 9 % de non-conformité bactériologique Un prélèvement est qualifié de «non-conforme» lorsqu au moins un des paramètres recherchés ne satisfait pas à la limite de qualité. Ce sont les paramètres physico chimiques de l eau comme la teneur en désinfectant, en produits dérivés de la chloration et le ph qui sont responsables de la grande partie des non conformités. Si l eau n est pas correctement désinfectée, il y a un risque de développement microbien. Si le ph n est pas optimal il influe sur la désinfection et la limpidité de l eau. SELON LA PÉRIODE DE L ANNÉE 39,54 57,16 37,21 55,31 Hors été Eté INDICATEURS Le taux de non-conformité globale = le pourcentage de prélèvements présentant au moins un paramètre non-conforme aux limites de qualité. Le taux de non-conformité physico chimique = le pourcentage de prélèvements présentant au moins un paramètre physico chimique nonconforme aux limites de qualité. Le taux de non-conformité bactériologique = le pourcentage de prélèvements présentant au moins un paramètre bactériologique (sur les 4 recherchés) excédant la limite de qualité. Hors été 30% Nombre de prélèvements Non conformité globale 4,46 10,53 Non conformité bactériologique Non conformité physicochimique Eté 70% 70 % des prélèvements sont effectués du 01 juillet au 31 août. Les prélèvements non conformes sont plus importants l été. Eléments d explication : Les conditions environnementales extérieures (soleil, accès aux plages des bassins) et la fréquentation impactent les conditions de désinfection et le taux de matières organiques dans l eau des bassins. Le caractère très temporaire des installations rend également leur maîtrise plus difficile. 4
7 SELON LE TYPE D ÉTABLISSEMENT Nombre de prélèvements Centre loisirs 2% Village vacances 2% Gîte 2% résidence 19% Camping 26% Camping Collectivité Résidence Hôtel restaurant Remise en forme Parc aquatique Village Vacacnces Centre loisirs Gîte Parc aquatique 5% Collectivité 24% Hôtel-restaurant 10% Remise en forme 9% Environ 50 % des prélèvements réalisés en 2010 ont concerné les piscines de campings et de collectivités territoriales. Eléments d explication : Les campings ont une activité saisonnière mais sont en si grand nombre sur la région qu ils cumulent sur 2 mois environ un quart des prélèvements de l année. Les piscines de collectivités territoriales sont en moins grand nombre mais sont ouvertes généralement toute l année, ce qui explique le nombre élevé de contrôles de l eau de leurs bassins Pourcentage de non-conformité % de non-conformité bactériologique % de non-conformité globale % de non-conformité physico chimique L eau des piscines Bilan du contrôle de la qualité de l eau par l ARS en Gîte Centre loisirs Hôtel restaurant Camping Résidence Village Vacances Parc aquatique Remise en forme Collectivité Les non-conformités globales sont fréquentes dans les établissements saisonniers (gîtes, hôtels, campings, centres de loisirs) : 57 % en moyenne contre 39 % pour les établissements permanents. Elles sont dues en grande partie à un non respect des limites de qualité des paramètres physico chimiques (ph, désinfection ). Les non-conformités bactériologiques sont moins fréquentes mais le sont toujours d avantage dans ces mêmes établissements saisonniers (entre 10 et 20 % de non-conformités). A l opposé, les piscines de collectivités territoriales présentent moins de nonconformités, tant sur le plan physicochimique (32 %) que bactériologique (4%). Eléments d explication : Ces dernières sont parfois moins soumises aux aléas environnementaux et les personnels techniques chargés de leur fonctionnement y sont affectés en permanence. 5
8 SELON LE TYPE DE BASSIN Nombre de prélèvements L eau des piscines Bilan du contrôle de la qualité de l eau par l ARS en Les prélèvements en 2010 ont concerné principalement des bassins de type grand bain (profondeur moyenne supérieure à 1,5 m) Grands bains Petits bains Pataugeoires Spas Toboggans Les non conformités de tous types sont plus fréquentes au niveau des SPAS. Elles atteignent 55 % pour les non-conformités physico chimiques et 18% pour les non-conformités bactériologiques. Eléments d explication : La particularité de ces bassins (à remous, fréquentation importante, petite taille, température de l eau élevée) implique des conditions particulières de traitement rarement mises en œuvre. Il est souvent plus difficile d y maîtriser l ensemble des paramètres. Le risque sanitaire y est donc plus important. CONCLUSION Pourcentage de non-conformité Spas Pataugeoires Grands bains Toboggans Petits bains % de non-conformité bactériologique % de non-conformité globale % de non-conformité physico chimique Le Languedoc Roussillon, région fortement touristique, possède un grand nombre d établissements mettant à disposition du public des bassins de natation et d activités aquatiques. Le caractère principalement saisonnier de ces établissements implique une activité de contrôle de l ARS particulièrement intense sur les 2 mois d été. La qualité de l eau des établissements de la région présente un taux de conformité global (tous paramètres confondus) de 48 % par rapport aux prélèvements effectués par l ARS. La très grande majorité des non-conformités constatées concerne la qualité physico chimique de l eau. A contrario, 90 % des bassins sont conformes vis-à-vis de la qualité bactériologique. 6 La très grande majorité des non-conformités constatées concerne la qualité physico chimique de l eau. Si ces non-conformités n entraînent souvent pas par elles-mêmes d incidences graves sur la santé des usagers, elles peuvent avoir des effets irritants à court terme, voire plus graves à long terme, du fait de la présence de substances chimiques en quantités indésirables. Ces nonconformités nuisent en outre à l efficacité de la désinfection et peuvent être suivies de non-conformités microbiologiques si des mesures de correction ne sont pas prises rapidement. L ARS intervient donc fréquemment auprès des gestionnaires de piscines pour les inciter à surveiller attentivement la qualité de l eau des différents bassins et à réagir à toute dérive, afin de faire progresser la qualité de l ensemble des piscines de la région.
9 RÉFÉRENCES LÉGISLATIVES ET RÉGLEMENTAIRES Code la santé publique : Articles L à L et D à D Code du sport : Articles L à L , D à D , A à A , A à A Arrêté du 7 avril 1981 modifié par l arrêté du 18 janvier 2002 fixant les dispositions techniques applicables aux piscines Arrêtés préfectoraux fixant les modalités de surveillance et de contrôle des piscines. QUALITÉ DE L EAU DANS LES BASSINS : NORMES SANITAIRES Paramètre Limite de qualité Valeur guide Coliformes totaux Escherichia coli Bactéries aérobies revivifiables à 36 C < 10 / 100 ml 0 / 100 ml < 100 / ml Tous types de bassins Spas Staphylocoques pathogènes Carbone organique total Transparence Chlore libre actif Chlore combiné ph 0 / 100 ml Le fond du bassin doit être visible 0.4 mg/l 1.4 mg/l 0.6 mg/l 6.9 et 7.7 (désinfection au chlore) 7.5 et 8.2 (désinfection au brome) 5 mg/l Chlore disponible 2 mg/l 4 mg/l Acide isocyanurique Brome Ozone Pseudomonas aeruginosa 75 mg/l 1 mg/l et 2 mg/l absence < 1 UFC / 100 ml Température < 39 C 7
10 La qualité de l eau des piscines en Languedoc- Roussillon Agence Régionale de Santé Languedoc-Roussillon Siège Parc Club du Millénaire 1025 rue Henri Becquerel CS MONTPELLIER CEDEX 2 Téléphone : Délégation territoriale de l Aude 14, rue du 4 septembre BP CARCASSONNE CEDEX Téléphone : Délégation territoriale du Gard 6, rue du Mail NIMES CEDEX 2 Téléphone : Délégation territoriale de l Hérault Parc Club du Millénaire 1025 rue Henri Becquerel CS MONTPELLIER CEDEX 2 Téléphone : Délégation territoriale de la Lozère Avenue du 11 novembre 1918 Immeuble le Saint-Clair BP MENDE CEDEX Téléphone : Délégation territoriale des Pyrénées-Orientales 12, boulevard Mercader BP PERPIGNAN CEDEX Téléphone : % ars LR juin 2011
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