DE LA PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR À L ENSEIGNEMENT CLINIQUE INFIRMIER Quelle place pour les Infirmiers Ressource Douleur?

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1 Société Française d Etude et de Traitement de la Douleur Groupe de travail Infirmier I DE LA PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR À L ENSEIGNEMENT CLINIQUE INFIRMIER Quelle place pour les Infirmiers Ressource Douleur? Genèse du projet : Lors des universités infirmières de mars 2010, des infirmières et infirmiers ressource douleur ont exprimé leur préoccupation concernant leur rôle dans l enseignement clinique des étudiants en soins infirmiers formés dans le cadre du programme de formation 1 mis en place en septembre La place de la douleur dans l enseignement théorique, la mise en place de tuteurs de stage, l évaluation des étudiants avec le portfolio constituaient autant d éléments de questionnement à clarifier. Il a alors été proposé de constituer un groupe de travail spécifique au sein de la SFETD 2 pour travailler cette thématique. Constitution du groupe : Le groupe initial est constitué de : - Christine BERLEMONT, CH de Meaux - Joelle DEVOT, CH de Calais - Christel GUILLON, CH de Niort - Dominique LOPEZ, CHIC d Amboise/Chateaurenault - Muriel PERRIOT, CHG de Chateauroux - Bernadette LABBE, réseau douleur du Mans Au cours de l évolution du travail, Mme LABBE a été remplacée par - François HABUDA, Centre hospitalier de Millau/St Affrique. Deux formateurs en Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) ont rejoint le groupe : - Patrice JUIN, IFSI de Niort 1 Arrêté du 31 juillet 2009 relatif au diplôme d Etat d Infirmier 2 Société Française d Etude et de Traitement de la Douleur 1

2 - Sylvie MONCAYO, IFSI de Villeneuve Saint Georges Le groupe est animé par Nathalie FOURNIVAL et Pascale THIBAULT, cadres de santé, membres de la commission professionnelle infirmière de la SFETD, formatrices consultantes - Amaé-Santé, Issy-les-Moulineaux. Motivations initiales : Au démarrage du groupe de travail, les motivations exprimées par ces professionnels, spécialistes de la prise en soin des patients douloureux étaient les suivantes : - Apporter une aide : o Aux professionnels des services en charge de l enseignement clinique : infirmier ressource douleur, référent douleur, tuteur de stage, encadrant de proximité, o Aux professionnels libéraux et des structures telles que maisons de retraite, établissements médico-sociaux, etc., o Aux formateurs d Institut de Formation en Soins Infirmiers ; - Valoriser le rôle propre infirmier dans la prévention et la prise en charge des patients douloureux ; - Partager le savoir et le savoir faire des professionnels en charge de la douleur (utilisation de compétences et expériences différentes tant dans le domaine de la douleur que dans le cadre de l encadrement des étudiants) ; - Mettre en adéquation les demandes institutionnelles, les demandes du patient et les réponses des soignants dans un objectif de prise en charge et d évaluation de la douleur satisfaisante pour tous. - Réaliser et proposer un document de référence au niveau national en travaillant en collaboration avec les Instituts de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) et les services de soins ; Objectifs du groupe de travail spécifique : Le groupe de travail a retenu les objectifs suivants : 1 Proposer un référentiel d activités de l infirmier concernant la prévention et la prise en charge de la douleur, ce document devant constituer une aide à la mise en place des programmes de formations, 2 Faire des propositions concernant la formation initiale et continue des infirmiers, 3 Faire des propositions en matière de tutorat et de compagnonnage des étudiants en soins infirmiers et des infirmiers. 2

3 Méthodologie de travail : Pour y parvenir, le groupe a : 1 - Réalisé une enquête permettant d identifier l offre clinique, relative à la prévention et la prise en charge de la douleur, mise à la disposition de l apprentissage des étudiants en soins infirmiers dans les unités de soins. (Annexe 1) ; Cette enquête a été élaborée à partir de celle réalisée au Centre Hospitalier de Niort, qui a servi d enquête pilote. 2 - Déterminé les activités que doit maitriser un infirmier/ère dans le domaine de la prise en charge et la prévention de la douleur lors de l obtention de son diplôme d Etat d infirmier ; 3 - Identifié la place de la douleur dans le programme et l évaluation de l étudiant en soins infirmiers ; 4 - Identifié les modalités d apprentissage clinique et d évaluation adaptées à ces activités. Résultats : 1 - Place de la douleur dans le programme d enseignement des étudiants en IFSI I 3 Le référentiel de formation 4 des infirmier(e)s, mis en place en septembre 2009, dans le cadre du cursus LMD (obtention d un diplôme d état et d un grade Licence), implique pour l étudiant de développer les moyens d acquisition des compétences définies pour pouvoir exercer le métier d infirmier. L acquisition de ces compétences se fait à travers l enseignement théorique réparti en unités d enseignement et les acquisitions pratiques et théoriques lors des enseignements cliniques en stage. Le référentiel de formation a été élaboré à partir des activités de l infirmier, celles-ci ont permis de déterminer les compétences nécessaires pour mettre en œuvre ces activités. Ces compétences ont engendré la détermination des éléments d enseignement théoriques et clinique. ACTIVITÉS COMPÉTENCES ENSEIGNEMENTS THÉORIQUES ET CLINIQUES 3 Travail réalisé à la demande de Mme Jocelyne Le Gall, membre du groupe d évaluation du plan douleur 2006/ Arrêté du 31 juillet 2009 relatif au diplôme d Etat d Infirmier 3

4 Pour réaliser cette recherche, les termes «douleur», «douloureux», «antalgique» et «souffrance» ont été retenus. Dans l ensemble des documents constituant le référentiel, on retrouve : - 12 fois le terme douleur - 6 fois le terme antalgiques - 4 fois le terme souffrance - 1 fois le terme douloureux Dans le référentiel de formation des étudiants en soins infirmiers, l enseignement de la prise en charge de la douleur apparaît de la façon suivante : Concernant les activités 5 «L entretien d évaluation de la douleur» apparaît dans l activité 5 «soins et d activités à visée préventive, diagnostique et thérapeutique». Les activités détaillées concernant la prévention et la prise en charge de la douleur sont les suivantes : Activité 1 : Observation et recueil de données cliniques - Mesure de la douleur sur les plans quantitatif (échelles de mesure) et qualitatif (nature de la douleur, localisation...) - Mesure du retentissement de la douleur sur les activités de la vie quotidienne - Activité 2 : Soins de confort et de bien être - Réalisation de soins visant le bien être et le soulagement de la souffrance physique et psychologique - Activité 5 : Soins et activités à visée préventive, diagnostique, thérapeutique Réalisation de soins à visée diagnostique - Entretien d évaluation de la douleur 1-2 Concernant les compétences 6 - La compétence 4 «Mettre en œuvre des actions à visée diagnostique et thérapeutique» doit permettre à l étudiant de : - «initier et adapter l administration des antalgiques dans le cadre des protocoles médicaux». 5 Annexe 1 du référentiel de formation des étudiants infirmiers Annexe 2 Référentiel de compétences 4

5 L évaluation permettant de garantir que cette compétence est acquise s effectue lors de l enseignement clinique de la façon suivante : Critères d évaluation : Qu est-ce qui permet de dire que la compétence est maîtrisée? Que veut-on vérifier? 1 Justesse dans les modalités de mise en œuvre des thérapeutiques et de réalisation des examens, et conformité aux règles de bonnes pratiques 4 Pertinence dans la surveillance et le suivi des thérapeutiques et réalisation d examens Indicateurs : Quels signes visibles peut-on observer? Quels signes apportent de bonnes indications? - - La prévention de la douleur générée par le soin est mise en œuvre La douleur est évaluée de manière fiable et une réponse appropriée est mise en œuvre - Les thérapeutiques antalgiques sont adaptées dans le cadre des protocoles Concernant les enseignements théoriques 7 Les enseignements théoriques concernant la douleur sont intégrés dans les unités d enseignements suivantes : Unité d Enseignement (UE) 1.1.S1 intitulée «Psychologie, sociologie, anthropologie» (semestre 1 compétence 6) Un des objectifs de cette UE est d «Identifier les caractéristiques psychologiques pouvant influencer la représentation de la santé et de la maladie chez une personne ou un groupe de personnes, et la participation aux soins.» Les éléments de contenus sont : «Psychologie et santé : approche psychosomatique, schéma et image corporels, qualité de vie, souffrance psychique, mécanismes d adaptation et de défense, résilience, vulnérabilité». Dans les éléments de contenus, on peut noter que le terme «douleur» n est pas mentionné Unité d Enseignement (UE) 2.3.S2 intitulée «Santé, maladie, handicap, accidents de la vie» (semestre 2 compétence 1) Un des objectifs de cette UE est d «Intégrer les concepts de santé, maladie, handicap, accident de la vie, douleur». Les éléments de contenus sont «les concepts en santé, bien-être, qualité de vie, maladie, accident, handicap, douleur,» «La maladie chronique Chronicité douleur et souffrance,» Unité d enseignement (UE) 2.11.S3 intitulée «Pharmacologie et 7 Annexe V Unités d enseignement 5

6 thérapeutiques» (semestre 3 compétence 4) Les objectifs de cette UE sont de : - Repérer les familles thérapeutiques, leurs moyens d action et leurs interactions, - Expliciter les risques et dangers des interactions médicamenteuses, - Citer les précautions de la médication pour des populations spécifiques Les éléments de contenus sont «les familles thérapeutiques et les interactions médicamenteuses, antibiothérapie, chimiothérapie anticancéreuse, psychotropes, anticoagulants, anti-inflammatoires, antalgiques, anesthésiques» Unité d enseignement (UE) 4.7.S5 intitulée «Soins palliatifs et fin de vie» (semestre 5 compétence 4) Les objectifs sont d «Identifier les besoins spécifiques d'une personne et de son entourage en situation de fin de vie, de deuil, de déni, de refus, Conduire une démarche de communication adaptée à ces situations, Développer des connaissances et des habiletés visant à la réalisation de soins de confort et de soins palliatifs en situation de fin de vie» Les éléments de contenu sont «la douleur et son évaluation, la souffrance» Unité d Enseignement (UE) 5.5.S5 intitulée «Mise en œuvre des thérapeutiques et coordination des soins» (semestre 5, compétence 4 et 9) Les objectifs sont d «initier et adapter l administration des antalgiques dans le cadre des protocoles médicaux». Les contenus sont «Les familles thérapeutiques et les interactions médicamenteuses, antibiothérapie, chimiothérapie anticancéreuse, psychotropes, anticoagulants, antiinflammatoires, antalgiques, anesthésiques» Unité d enseignement (UE) 4.3.S4 intitulée «Soins d urgence» (semestre 4 compétence 4) Les objectifs sont : «Hiérarchiser les urgences, Mettre en œuvre des soins d urgence dans un environnement médicalisé» Les éléments de contenu sont : «la prise en charge des patients douloureux en situation d urgence» Commentaires : On peut noter que : - dans le référentiel d activités, la prévention et la prise en charge de la douleur ne sont pas mentionnés, - l enseignement de la prévention et la prise en charge de la douleur ne fait pas partie 6

7 d unités d enseignement transversales qui couvriraient l ensemble des situations enseignées, alors que la majorité des personnes soignées présentent de la douleur, - les moyens antalgiques relevant du rôle autonome (rôle propre) de l infirmier ne sont ni enseignés ni évalués alors qu ils sont préconisés dans les plans de lutte contre la douleur et les recommandations de bonne pratique, ils sont absents de l activité 2, - les contenus concernant les UE 2.11.S3 et 5.5.S5 sont identiques alors que la mise en œuvre d un protocole en matière de prévention et prise en charge de la douleur implique des connaissances différentes de la connaissance des antalgiques (compréhension des mécanismes de la douleur, connaissances en matière de législation, organisation du travail, responsabilité professionnelle, etc.). Pour assurer des propositions relatives à l enseignement clinique des étudiants, le groupe de travail a réalisé une enquête dans les unités de soins. 2 - Enquête relative à l offre clinique dans les services : Cette enquête a été réalisée entre octobre et décembre 2010, dans 4 centres hospitaliers situés sur 5 sites : Calais, Amboise/Chateaurenault, Meaux, Chateauroux. (Annexe 1) Elle a pour objectif d identifier l offre d apprentissages cliniques qui peut être proposée aux étudiants dans le domaine des activités de prévention et prise en charge de la douleur. Dans ces 4 établissements, 85 services ont répondu. Leur répartition est la suivante : - Identification des services : Tableau 1 Identification des services HAD/SSIAD 5% Autres 7% Médecine 24% Mère-Enfant 18% Chirurgie 12% Psychiatrie 7% MPR 6% Gériatrie 13% Urgences 6% 7

8 - Répartition des patients en fonction de l âge L âge des patients accueillis s étend de la naissance à 100 ans. Tableau 2 - Accueil des patients en fonction de leur capacité de communication 95,3% des services accueillent des patients communicants 91,8% des services accueillent des patients non communicants. - Identification et répartition des types de douleurs prises en charge Tableau 3 8

9 - Répartition des outils d auto-évaluation Tableau 4 Commentaires : On constate que c est l Echelle Visuelle Analogique (EVA) qui est majoritairement proposée au patient pour effectuer une auto-évaluation de sa douleur. On note la présence d outils d auto-évaluation permettant d effectuer une évaluation quantitative, mais une utilisation extrêmement faible d outils permettant de qualifier les douleurs (QDSA) et d en préciser leur localisation (silhouette). On note la présence de la DN4 dans un seul service alors que 58/85 d entre eux disent accueillir des patients présentant des douleurs neuropathiques. Parmi les outils intitulés «autres» qui représentent 5,6% des réponses proposées, sont notés «les indicateurs de qualité de vie, Algoplus, l observation, le toucher, le dialogue, EDIN, DAN, EOC». Il existe dans ces situations une confusion entre auto et hétéroévaluation de la douleur, ainsi qu entre l utilisation d un moyen d évaluation et les compétences nécessaires pour la réaliser. 9

10 - Répartition des outils d hétéro ro-évaluation Tableau 5 Pour les «autres outils», sont cités : «l appréciation du comportement, la modification du faciès en lien avec les constantes hémodynamiques, la connaissance de l enfant, l échelle des patientes en travail». On note donc une confusion entre les signes d alerte de la douleur (faciès, comportement, constantes) et l utilisation d un outil permettant de quantifier ces douleurs et d en apprécier l évolution en fonction de la mise en œuvre d un traitement. - Identification des services n utilisant pas d outil d hétéro-évaluation évaluation Tableau 6 10

11 Commentaires : 12/85 services n utilisent aucun outil d hétéro-évaluation : 4/21 services de médecine, 8/10 services de chirurgie répartis comme suit : - 6/15 services des pôles mère-enfant, - 5/5 services des urgences, - 4/6 autres, - 2/11 services de gériatrie, - 2/5 services MPR, - 1/2 salle de surveillance post-interventionnelle, - ¼ service d HAD/SSIAD. Au total 5/85 services n utilisent aucun outil d évaluation de la douleur (1 SSPI, 1 service d un pôle mère/enfant, 1 service de gériatrie, 2 autres = services de radiologie). - Réévaluation de la douleur après administration d un antalgique : 54,1% des services déclarent réévaluer la douleur après l administration d un antalgique - Ident dentification des traitements non médicamenteux utilisés dans les services Tableau 7 Pour les solutions sucrées et la succion, 14 services utilisent cette technique soit : Services du pôle mère-enfant, 11

12 - 1 - Service d urgences HAD Tableau 8 - Identification des traitements médicamenteux utilisés dans les services Tableau 9 12

13 Tableau 10 - Ide dentification des ressources ou supports pédagogiques Tableau 11 13

14 - Identification des moyens de prévention p des douleurs induites par les soins Tableau 12 Commentaires : On peut noter une faible identification des moyens de prévention des douleurs induites par les soins, en particulier en ce qui concerne les moyens relevant du rôle propre infirmier (toucher, massage, utilisation du Gate-control, distraction, relaxation, hypnose, etc.), ainsi qu une utilisation encore limitée du Meopa. Par ailleurs, ne sont pas cités les moyens médicamenteux tels que la crème analgésiante (citée dans les moyens médicamenteux disponibles dans près de 65% des services). Ces résultats sont à mettre en relation avec l indicateur du portfolio des étudiants qui permet d évaluer si «l étudiant a mis en œuvre les moyens de prévention de la douleur provoquée par le soin». L évaluation de cet indicateur implique que les professionnels aient identifié et utilisent eux-mêmes ces moyens de prévention. - Support de transmission On peut noter que 91,8% des services déclarent que les étudiants participent aux transmissions concernant la prise en charge de la douleur. 14

15 3 - Détermination des activités relatives à la douleur maitrisées par l infirmier débutant Le groupe de travail a retenu les activités suivantes : 1 INFORMATION DE LA PERSONNE SOIGNÉE, IDENTIFICATION ET ÉVALUATION DE LA DOULEUR 2 MISE EN ŒUVRE DES THÉRAPEUTIQUES NON MÉDICAMENTEUSES ET MÉDICAMENTEUSES 3 ÉDUCATION ET PRÉVENTION DE LA DOULEUR 4 TRANSMISSIONS DES INFORMATIONS 6 CONTRIBUTION À L AMÉLIORATION DE LA QUALITÉ DE LA PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR L objectif a été d identifier, les tâches de l infirmier, l enseignement théorique et clinique nécessaires pour y parvenir, les modalités d évaluation qui peuvent être mises en place dans le cadre de la formation clinique des étudiants en soins infirmiers. Ces activités sont développées dans les tableaux ci-dessous. 15

16 1. ACTIVITÉ CLÉ / Information de la personne soignée, Identification et Evaluation de la douleur en lien avec les compétences 1 (Evaluer une situation clinique et établir un diagnostic dans le domaine infirmier), 2 (Concevoir et conduire un projet de soins infirmiers), 3 (Accompagner une personne dans la réalisation de ses soins quotidiens), 4 (Mettre en œuvre des actions à visée diagnostique et thérapeutique), 6 (Communiquer et conduire une relation dans un contexte de soins) et 9 (Organiser et coordonner les interventions soignantes) ACTIVITÉ TACHES RESSOURCES A MOBILISER Information de la personne soignée Identification de l existence de douleur - Accueillir la personne (et/ou son entourage) en situation de douleur ou non en tenant compte de son histoire de vie et de son contexte - Conduire une démarche de communication adaptée à la personne et à son entourage et de la situation clinique identifiée - Informer le patient (et/ou son entourage) des modalités de prise en charge de la douleur, des outils d évaluation et des thérapeutiques (médicamenteuses et non médicamenteuses), dès son arrivée et tout au long de sa prise en charge - Rechercher les antécédents douloureux et les informations préalables (histoire du patient, documents, entourage ) - Ecouter et observer les patients communicants et dyscommunicants - Identifier les situations potentiellement douloureuses : pathologies, soins, types de douleur, etc. - Communication : techniques d écoute, communication verbale et non verbale, entretiens infirmiers, réactions comportementales et leurs manifestations, distance relationnelle, relation d aide - Législation : Loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité des soins Charte de l enfant hospitalisé 9 Charte de la personne hospitalisée 10 Charte des droits et libertés de la personne âgée en situation de handicap ou de dépendance 11 - Recueil de données : utilisation des outils de recueil - Raisonnement clinique : identification du problème, synthèse de la situation du patient - Physiopathologie de la douleur LIEN(S) AVEC LES U.E. 8 DU RÉFÉRENTIEL 2009 U.E. 4.2 S2, 3, 5. : Soins relationnels. U.E. 1.3 S1 : Législation, éthique, déontologie. U.E. 3.1 S2 : Raisonnement clinique et démarche infirmière. U.E. 4.2 S2, 4.2 S3 : Soins relationnels. U.E. 2.3 S2: Santé, maladie, handicap, accident de la vie. U.E. 5.2 S2: Soins infirmiers et gestion des risques. U.E. 4.1 S1: Soins de confort et de bien-être. CRITÈRES D ÉVALUATION DU PORTFOLIO C1 : - Pertinence des informations recherchées au regard d une situation donnée - Cohérence des informations recueillies et sélectionnées avec la situation de la personne ou du groupe C2 : - Pertinence du contenu du projet et de la planification en soins infirmiers C6 : - Pertinence de l analyse de la situation relationnelle - Cohérence dans la mise en œuvre d une communication adaptée aux personnes soignées et leur entourage - Justesse dans la recherche du consentement du patient C1 : - Pertinence des informations recherchées au regard d une situation donnée - Cohérence des informations recueillies et sélectionnées avec la situation de la personne ou du groupe - Pertinence du diagnostic de situation clinique posé C6 : - Pertinence de l analyse de la situation relationnelle - Cohérence dans la mise en œuvre d une communication adaptée aux personnes soignées et à leur entourage C3 : - Pertinence dans l identification des risques et adéquation des mesures de prévention 8 U.E. : Unité d Enseignement 9 Charte européenne des droits de l enfant hospitalisé adoptée par le Parlement européen le 13 mai Circulaire n DHOS/E1/DGS/SD1B/SD1C/SD4A/2006/90 du 2 mars 2006 relative aux droits des personnes hospitalisées et comportant une charte de la personne hospitalisée 11 Version révisée, Fondation nationale de gérontologie, 49, rue Mirabeau, Paris. 16

17 Evaluation de la douleur du patient - Déterminer la localisation de la douleur, sa nature, les circonstances et son mode d apparition - Analyser la plainte douloureuse (modalités d expression, répercussions sur la qualité de vie, environnement psychosocial, données culturelles) - Utiliser des outils validés et adaptés pour obtenir une évaluation quantitative et qualitative - Évaluer les effets des mesures antalgiques mises en place (réévaluation de la douleur, recherche des effets secondaires et indésirables, échanges avec les soignants) - Démarche d évaluation de la douleur - Entretien d évaluation - Connaissance des outils d évaluation (autoévaluation et hétéroévaluation) - Connaissances des thérapeutiques médicamenteuses et non médicamenteuses - Connaissance des facteurs de risque U.E. 3.2 S2 : Projet de soins infirmiers. U.E. 4.2 S2, 4.2 S3 : Soins relationnels. U.E. 2.3 S2: Santé, maladie, handicap, accident de la vie. U.E S1, S2 et S5 : Pharmacologie et thérapeutiques. U.E. 3.2 S2 : Raisonnement clinique et démarche infirmière. C1 : - Pertinence des informations recherchées au regard d une situation donnée - Cohérence des informations recueillies et sélectionnées avec la situation de la personne - Pertinence du diagnostic de situation clinique posée C4 : - Pertinence dans la surveillance et le suivi des thérapeutiques et des examens Evalue correctement la douleur et met en œuvre une action appropriée C9 : - Pertinence dans l identification et la prise en compte du champ d intervention des différents acteurs - Cohérence dans la continuité des soins - Identifier une situation douloureuse complexe - Faire appel à une personne ressource (IRD par exemple) ou une équipe expérimentée (équipe mobile douleur) Transmission des informations Cf. Activité 4 / Transmissions des informations 17

18 2. ACTIVITÉ CLÉ / Mise en œuvre des thérapeutiques non médicamenteuses et médicamenteuses 12 en lien avec les compétences 1 (Evaluer une situation clinique et établir un diagnostic dans le domaine infirmier), 2 (Concevoir et conduire un projet de soins infirmiers), 4 (Mettre en œuvre des actions à visée diagnostique et thérapeutique) et 6 (Communiquer et conduire une relation dans un contexte de soins) ACTIVITÉ TACHES RESSOURCES A MOBILISER LIEN(S) AVEC LES U.E. 13 DU RÉFÉRENTIEL 2009 Identification de la pertinence des thérapeutiques au regard de la situation et de l évaluation de la douleur Réalisation de l acte ou du soin douloureux Traitement des patients douloureux - Proposer les actions du rôle propre - Analyser la pertinence de la prescription médicale - Mettre en œuvre des moyens de prévention de la douleur et de l anxiété générées par les soins - Mettre en œuvre l analgésie multimodale en associant les thérapeutiques non médicamenteuses et médicamenteuses - Projet de soins individualisé à la personne soignée - Connaissance des thérapeutiques (non médicamenteuses et médicamenteuses) et de leurs modalités d utilisation : prescription médicale ou application du rôle propre infirmier - Connaissance des procédures et protocoles spécifiques du service - Savoir faire collectif : Travail en équipe pluridisciplinaire, Organisation des soins en équipe, Application des prescriptions anticipées - Applications du rôle propre infirmier : Information du patient, Satisfaction des besoins fondamentaux, Utilisation des ressources de la famille et du patient, Installation confortable, Application des méthodes psychocorporelles adaptées au patient - Installations - MOYENS NON PHARMACOLOGIQUES : * Méthodes physiques et physiologiques, * Méthodes cognitivo-comportementales * Méthodes psycho-corporelles - ANTALGIQUES : les 3 paliers U.E.3.2. S2, 3, 5 : Projet de soins infirmiers U.E.4.2. S2, 3, 5 : Soins relationnels U.E S2 : Thérapeutiques et contribution au diagnostic médical U.E. 3.3 S3, 5 : Rôles infirmiers, organisation du travail et interprofessionnalité U.E. 4.5.S2 : Soins infirmiers et gestion des risques U.E. 2.4 : processus traumatiques U.E.2.5 : inflammatoires et infectieux U.E. 2.6 : psychopathologiques U.E.2.7 : défaillances organiques et processus dégénératif U.E. 2.8 : obstructifs U.E. 2.9 : tumoraux CRITÈRES D ÉVALUATION DU PORTFOLIO C1 : - Pertinence des informations recherchées au regard d une situation donnée C4 : - Pertinence dans la surveillance et le suivi des thérapeutiques et des examens * Adapte les thérapeutiques antalgiques dans le cadre des protocoles C6 : - Justesse dans la recherche du consentement du patient C4 : - Justesse dans les modalités de mise en œuvre des thérapeutiques et de réalisation des examens, et conformité aux règles de bonnes pratiques - Pertinence dans la surveillance et le suivi des thérapeutiques et réalisation d examens * La douleur est évaluée de manière fiable et une réponse appropriée est mise en œuvre * Les thérapeutiques antalgiques sont adaptées dans le cadre des protocoles C1 : - Pertinence des informations recherchées au regard d une situation donnée C2 : - Pertinence du contenu du projet et de la planification en soins infirmiers - Justesse dans la recherche de participation et de consentement du patient au projet de soins U.E. : Unité d Enseignement 18

19 - Prévoir et réaliser des techniques de soins pour assurer le confort de la personne - Si thérapeutique relevant de la prescription médicale, analyser et appliquer le traitement - Prévenir et surveiller la survenue des effets indésirables et secondaires - Evaluer l efficacité de la thérapeutique utilisée et réajuster le cas échéant - Identifier les risques liés aux thérapeutiques - Les co-antalgiques : corticoïdes, antiinflammatoires, antispasmodiques, myorelaxants, biphosphonates, antidépresseurs, anti épileptiques, etc.) - Les anesthésiques locaux - Calculs de doses et de débits - Les modes d administration des traitements - Titration morphine - Techniques d administration d antalgiques et/ou d anesthésiques locaux : P.C.A., KT péri-nerveux, P.C.E.A. - Protocoles et procédures validés par le C.L.U.D Ressources externes : Vidal, IRD 15, E.M.S.P 16., Consultation douleur, etc. - Connaissance des matériels - Les effets iatrogènes U.E S1, 3, 5 : Pharmacologie et thérapeutiques U.E.3.1. S2 : Raisonnement et démarche Clinique infirmière U.E S3 : Projet de soins infirmiers U.E.4.2. S2, 3, 5 : Soins relationnels U.E.4.3. S4 : Soins d urgences U.E S2 : Thérapeutiques et contribution au diagnostic médical U.E. 4.7 : Soins palliatifs et fin de vie - Pertinence et cohérence dans les modalités de réalisation du soin - Rigueur et cohérence dans l organisation et la répartition des soins C4 : - Justesse dans les modalités de mise en œuvre des thérapeutiques et de réalisation des examens, et conformité aux règles de bonnes pratiques - Justesse dans le respect de la prescription après repérage des anomalies manifestes - Exactitude dans le calcul des doses - Justesse dans l utilisation des appareillages et dispositifs médicaux conforme aux bonnes pratiques - Faire appel à une personne ressource si nécessaire - Observation clinique en regard des différents processus - Les antidotes - Surveillance clinique en regard de la prescription - Communication (Voir contenu ci-dessus) - Ressources externes : Vidal Recommandations de bonne pratique (RBP) Transmission des informations - Travail en équipe pluridisciplinaire : collaboration, coopération, délégation, autonomie professionnelle, compétences, réseau Cf. Activité 4 / Transmissions des informations 14 C.L.U.D. : Comité de Lutte contre la Douleur 15 I.R.D. : Infirmière Ressource Douleur 16 E.M.S.P. : Equipe Mobile de Soins Palliatifs 19

20 3. ACTIVITÉ CLÉ / Education et Prévention de la douleur en lien avec la compétence 3 (Accompagner une personne dans la réalisation de ses soins quotidiens) et 5 (Initier et mettre en œuvre des soins éducatifs et préventifs) ACTIVITÉ TACHES RESSOURCES A MOBILISER LIEN(S) AVEC LES U.E. 17 DU RÉFÉRENTIEL 2009 CRITÈRES D ÉVALUATION DU PORTFOLIO Identification des besoins et des attentes du patient en matière d éducation thérapeutique Evaluation des capacités du patient à s inscrire dans une démarche éducative Mise en place du projet éducatif - Analyser si la situation de la personne douloureuse relève d une éducation thérapeutique - Mener un entretien éducatif - Réaliser un bilan éducatif partagé avec la personne soignée et/ou son entourage - Formuler avec le patient les compétences d auto-soins et d adaptation à acquérir au regard de son projet éducatif et de la stratégie thérapeutique - Communication : techniques d écoute, communication verbale et non verbale, entretiens infirmiers, réactions comportementales et leurs manifestations, distance relationnelle, relation d aide - Le recueil de données : utilisation des outils de recueil - Raisonnement clinique : identification du problème, synthèse de la situation du patient - Communication - La démarche éducative - Communication - Les techniques et les outils pédagogiques éducatifs U.E. 3.1 S2 : Raisonnement et démarche clinique infirmière U.E. 4.6 S3 et 4 : Soins éducatifs et préventifs U.E. 4.2 S2, 4.2 S3 : Soins relationnels. U.E. 2.3 S2: Santé, maladie, handicap, accident de la vie. U.E. 4.1 S1: Soins de confort et de bien-être. U.E. 4.6 S3 et 4 : Soins éducatifs et préventifs U.E. 4.6 S3 et 4 : Soins éducatifs et préventifs C3 : - Adéquation des activités proposées avec les besoins et les souhaits de la personne - Cohérence des modalités de réalisation des soins avec les règles de bonnes pratiques - Pertinence dans l identification des risques et adéquation des mesures de prévention Evaluation des résultats - Aider le patient à acquérir des connaissances théoriques et pratiques (syndrome douloureux, thérapeutique antalgique, autoévaluation de la douleur, etc.) et à gérer son traitement antalgique - Analyser les actions réalisées - Les indicateurs et les critères de qualité U. E. 4.6.S3 : Soins éducatifs et préventifs U.E. 4.8 S6 : Qualité des soins, évaluation des pratiques C5 : - Pertinence de la séquence éducative - Pertinence dans la mise en œuvre des soins éducatifs - Pertinence de la démarche de promotion de la santé 17 U.E. : Unité d Enseignement 20

21 4. ACTIVITÉ CLÉ / Transmissions des informations en lien avec la compétence 4 (Mettre en œuvre des actions à visée diagnostique et thérapeutique) et 9 (Organiser et coordonner les interventions soignantes) ACTIVITÉ TACHES RESSOURCES A MOBILISER LIEN(S) AVEC LES U.E. 18 DU Transmission des informations liées à l information, à l identification et à l évaluation de la douleur cf. Activité 1 Transmission des informations liées aux thérapeutiques non médicamenteuses et médicamenteuses cf. Activité 2 Transmission des informations liées à l éducation et à la prévention de la douleur cf. Activité 3 Réaliser les : - Transmissions orales précises, synthétiques - Transmissions écrites, horodatées, nominatives et identifiées, ciblées sur différents supports adéquats du dossier de soins -Transmissions informatisées en fonction du logiciel choisi Préciser le type d outil d évaluation utilisé Tracer l évaluation de la douleur Réaliser les : - Transmissions orales précises, synthétiques - Transmissions écrites, horodatées, nominatives et identifiées, ciblées sur différents supports adéquats du dossier de soins -Transmissions informatisées en fonction du logiciel choisi Réaliser les : - Transmissions orales précises, synthétiques - Transmissions écrites, horodatées, nominatives et identifiées, ciblées sur différents supports adéquats du dossier de soins -Transmissions informatisées en fonction du logiciel choisi - Communication : techniques, attitudes, entretiens IDE, réactions comportementales et leurs manifestations, distance relationnelle, relation d aide - Travail en équipe pluridisciplinaire : collaboration, coopération, délégation, autonomie professionnelle, compétences, réseau - La confidentialité et le secret professionnel, l accès aux documents, le secret partagé et la continuité des soins - Les transmissions écrites et orales : le dossier de soins, le diagramme de soins, les transmissions ciblées RÉFÉRENTIEL 2009 U.E. 1.3 S1 : Législation, éthique, déontologie U.E.3.1. S2 : Raisonnement et démarche clinique infirmière U.E.3.2. S3 : Projet de soins infirmiers U.E.3.3. S3, 5 : Rôles infirmiers, organisation du travail et interprofessionalité U.E.4.2. S2, 3, 5 : Soins relationnels CRITÈRES D ÉVALUATION DU PORTFOLIO C4 : - Pertinence dans la surveillance et le suivi des thérapeutiques et réalisation d examens - Pertinence dans l identification des risques et des mesures de prévention - Fiabilité et pertinence des données de traçabilité C9 : - Cohérence dans la continuité des soins - Fiabilité et pertinence des informations transmises 18 U.E. : Unité d Enseignement 21

22 5. ACTIVITÉ CLÉ / Contribution à l amélioration de la qualité de la prise en charge de la douleur en lien avec la compétence 7 (Analyser la qualité et améliorer sa pratique professionnelle) et 8 (Rechercher et traiter des données professionnelles et scientifiques) ACTIVITÉ TACHES RESSOURCES A MOBILISER LIEN(S) AVEC LES U.E. 19 DU RÉFÉRENTIEL 2009 CRITÈRES D ÉVALUATION DU PORTFOLIO Veille documentaire et identification des obligations et des recommandations Mise en œuvre des critères qualité de la référence «Prise en charge de la douleur» - Identifier les ressources dans l établissement : * projet d établissement, projet de pôle * personne(s) ressource(s), CLUD 20, groupe de travail «douleur», etc. * résultats de la certification de l établissement * protocoles antalgiques - Connaître les critères - Analyser et évaluer sa pratique professionnelle - Les orientations politiques en matière de douleur dans l organisation des soins - La législation dans la pratique des soins en matière de douleur - Plans douleur et/ou programmes - CLUD - Les recommandations de bonne pratique (RBP) - Organismes de référence : AMM 21, HAS 22, ANSM 23, CNRD 24 - Sociétés savantes : SFETD 25, SFAP 26, SFAR 27, SFGG 28, SFP 29, FNCLCC 30. U.E. 1.3 S1 : Législation, éthique, déontologie U.E. 1.2 S2 : Santé publique et économie de santé U.E. : 4.8 S6 Qualité des soins, évaluation des pratiques - Utilisation des données contenues dans des publications scientifiques et/ou professionnelles - Evaluation des pratiques professionnelles U.E. 4.8 S6 : Qualité des soins, évaluation des pratiques C7 : - Pertinence de l analyse dans l utilisation du protocole pour une situation donnée - Pertinence dans la démarche d analyse critique d une situation de travail C8 : - Pertinence des données recherchées au regard d une problématique posée - Pertinence dans la qualité du questionnement professionnel Contribution à l amélioration de la qualité de la prise en charge de la douleur - Contribuer au recueil de données d enquête : Enquête de satisfactionpatient Enquête-patient Audit des dossiers 19 U.E. : Unité d Enseignement 20 C.L.U.D. : Comité de Lutte contre la Douleur 21 AMM : Autorisation de Mise sur le Marché 22 HAS : Haute Autorité de Santé 23 ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé 24 CNRD : Centre National de Ressources de lutte contre la Douleur 25 SFETD : Société Française d Etude et de Traitement de la Douleur 26 SFAR : Société Française d Anesthésie et de Réanimation 27 SFAP : Société Française d Accompagnement et de soins Palliatifs 28 SFGG : Société Française de Gériatrie et Gérontologie 29 SFP : Société Française de Pédiatrie 30 FNCLCC : Fédération Nationale des Centres de lutte contre le cancer - La certification des établissements de soins : Pratique Exigible Prioritaire 12 U.E. 4.8 S6 : Qualité des soins, évaluation des pratiques U.E. 5.6 S6 : Analyse de la qualité et traitement des données scientifiques et professionnelles 22

23 Perspectives et conclusion : Ce travail permet de : - mettre à disposition des établissements l outil d enquête afin de recenser l offre de formation clinique des infirmiers en formation ; - mieux identifier les difficultés actuellement existantes dans la formation initiale et continue des infirmiers en particulier l insuffisance de prise en considération des pratiques infirmières relevant du rôle propre ou autonome ; - Identifier les pratiques inadaptées en matière de prévention et de prise en charge des douleurs ; - Proposer une harmonisation des pratiques de formation tant en ce qui concerne les contenus théoriques que l enseignement clinique. Cette harmonisation concerne la formation initiale mais aussi la formation continue ; il se veut une aide pour la mise en œuvre des projets pédagogiques comme de l élaboration des cahiers des charges pour la formation permanente ; - Prendre conscience de la nécessité d identifier les situations représentatives des tâches et activités de l infirmier(ère) en matière de prévention et prise en charge des patients douloureux. - Concernant ce dernier point, le groupe de travail poursuit ses activités et a retenu les situations cliniques à développer afin que les étudiants et les personnels diplômés puissent s aider d une démarche de raisonnement clinique adaptée à chaque situation. 23

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