INSTITUTIONS ADMINISTRATIVES L ADMINISTRATION DE L EDUCATION NATIONALE. A. La liberté de l'enseignement
|
|
- Sabine Lamothe
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 INSTITUTIONS ADMINISTRATIVES L ADMINISTRATION DE L EDUCATION NATIONALE I. LES GRANDS PRINCIPES Le système d'enseignement français est fondé sur de grands principes, certains inspirés de la Révolution de 1789, de lois votées entre 1881 et 1889 et sous les IV e et V e Républiques ainsi que de la Constitution du 4 octobre 1958 : «l'organisation de l'enseignement public obligatoire gratuit et laïc à tous les degrés est un devoir de l'état». A. La liberté de l'enseignement En France, le service public d'enseignement coexiste avec des établissements privés, soumis au contrôle de l'état et pouvant bénéficier de son aide - en contrepartie d'un contrat signé avec l'état. La liberté d'organiser et de dispenser un enseignement est une manifestation de la liberté d'expression : elle est définie par la «loi Debré» n du 31 décembre 1959 sur la liberté de l'enseignement et les rapports avec l'enseignement privé. Cependant l'état est le seul à délivrer diplômes et grades universitaires : les diplômes délivrés par les écoles privées n'ont pas de valeur officielle sauf s'ils sont reconnus par l'état. La réglementation des examens se fait à l'échelle nationale. B. La gratuité Le principe de gratuité de l'enseignement primaire public a été posé dès la fin du XIX e siècle par la loi du 16 juin La gratuité a été étendue à l'enseignement secondaire par la loi du 31 mai L'enseignement dispensé dans les écoles et les établissements publics est gratuit. Les manuels scolaires sont gratuits jusqu'à la classe de troisième, ainsi que les matériels et fournitures à usage collectif. Dans les lycées, les manuels sont le plus souvent à la charge des familles. C. La neutralité L'enseignement public est neutre : la neutralité philosophique et politique s'impose aux enseignants et aux élèves. D. La laïcité Le principe de laïcité en matière religieuse est au fondement du système éducatif français depuis la fin du XIX e siècle. L'enseignement public est laïc depuis les lois du 28 mars 1882 et du 30 octobre Elles instaurent l'obligation d'instruction et la laïcité des personnels et 1/1
2 des programmes. L'importance de la laïcité dans les valeurs scolaires républicaines a été accentuée par la loi du 9 décembre 1905 instaurant la laïcité de l'état. Le respect des croyances des élèves et de leurs parents implique : l'absence d'instruction religieuse dans les programmes, la laïcité du personnel, l'interdiction du prosélytisme. La liberté religieuse a conduit à instituer une journée libre par semaine laissant du temps pour l'enseignement religieux en dehors de l'école. E. L'obligation scolaire Depuis la loi Jules Ferry du 28 mars 1882, l'instruction est obligatoire. Cette obligation s'applique à partir de 6 ans, pour tous les enfants français ou étrangers résidant en France. À l'origine, la scolarisation était obligatoire jusqu'à l'âge de 13 ans, puis 14 ans à partir de la loi du 9 août Depuis l'ordonnance n du 6 janvier 1959, elle a été prolongée jusqu'à l'âge de 16 ans révolus. Une entorse à ce principe de scolarité obligatoire jusqu'à 16 ans existe depuis l'adoption de la loi du 31 mars 2006 sur les dispositifs d'apprentissage qui peuvent être proposés aux jeunes à partir de 14 ans. La famille a deux possibilités : assurer elle-même l'instruction des enfants (avec déclaration préalable) ou les scolariser dans un établissement scolaire public ou privé. II. LE PARTAGE DES COMPETENCES Depuis les années 1980, l'état a engagé une opération de décentralisation des compétences qui renforce le poids des collectivités locales. A. L'État L'État a pour missions : o la définition des voies de formation, la fixation des programmes nationaux, l'organisation et le contenu des enseignements, o la définition et la délivrance des diplômes nationaux et la collation des grades et titres universitaires, o le recrutement et la gestion des personnels qui dépendent de sa responsabilité, o la répartition des moyens qu'il consacre à l'éducation, afin d'assurer en particulier l'égalité d'accès au service public, o le contrôle et l'évaluation des politiques éducatives, en vue d'assurer la cohérence d'ensemble du système éducatif. B. La région La région est responsable : o des constructions et travaux dans les lycées d'enseignement général, technologique et professionnel, o des subventions pour leurs dépenses d'équipement et de fonctionnement, 2/2
3 o du recrutement et de la gestion des personnels techniciens, ouvriers et de service (TOS) des lycées, o de l'organisation des activités éducatives, sportives et culturelles dans les locaux scolaires, o du financement partiel des établissements universitaires, o de la politique régionale d'apprentissage et de formation professionnelle des jeunes et des adultes à la recherche d'un emploi ou d'une nouvelle orientation professionnelle. C. Le département Le département est responsable : o des constructions et travaux dans les collèges, des subventions pour l'équipement et le fonctionnement des collèges, o du recrutement et de la gestion des personnels techniciens, ouvriers et de service (TOS) des collèges, o de l'organisation les activités éducatives, sportives et culturelles dans les locaux scolaires, o de l'organisation et du fonctionnement des transports scolaires. Le conseil général définit les secteurs de recrutement des différents collèges publics du département, c'est-à-dire qu'il précise dans quel collège public doivent être scolarisés les élèves qui habitent dans telle zone du département. D. La commune La commune est responsable : o de l'implantation, de la construction, de l'équipement, du fonctionnement et de l'entretien des écoles maternelles et élémentaires, o de la gestion des crédits d'équipement et de fonctionnement des écoles, o de l'organisation des activités éducatives, sportives et culturelles dans les locaux scolaires. o o Elle peut modifier les horaires d'entrée et de sortie des élèves, ainsi que les rythmes scolaires et instaurer, par exemple, la semaine de 4 jours. Elle gère les personnels non enseignants. Une délibération du conseil municipal peut créer, dans chaque commune, une caisse des écoles destinée à faciliter la fréquentation de l'école par des aides aux élèves en fonction des ressources de leur famille. Investissement (construction, reconstruction) et fonctionnement matériel Fonctionnement pédagogique (microinformatique...) Récapitulatif des compétences École Collège Lycée Université commune département région commune État Personnels enseignants (recrutement, formation, État État État État État État et partenariat État et partenariat 3/3
4 rémunération) Personnels administratifs, techniques, de santé État État région État Personnels ouvriers commune département région État Programmes d'enseignement État État État État Validation des diplômes / État État État III. L ORGANISATION ADMINISTRATIVE A. L administration centrale Le ministre de l'education nationale prépare et met en œuvre la politique du gouvernement relative à l'accès de chacun aux savoirs et au développement de l'enseignement préélémentaire, élémentaire et secondaire. Il veille, conjointement avec les autres ministres intéressés, au développement de l'éducation artistique et culturelle des enfants et des jeunes adultes tout au long de leurs cycles de formation. Pour l'exercice de ses attributions, le ministre de l'education nationale a autorité sur la direction générale de l'enseignement scolaire, sur l'inspection générale de l'education nationale et sur le bureau du cabinet. Il a autorité, conjointement avec le ministre de l'enseignement supérieur et de la Recherche, sur le secrétariat général, sur l'inspection générale de l'administration de l'education nationale et de la Recherche ainsi que sur le médiateur de l'education nationale et sur le haut fonctionnaire de défense et de sécurité. Pour l'exercice de ses attributions, il dispose, en tant que de besoin, de la direction générale de l'enseignement supérieur et de la délégation aux usages de l'internet. Le ministre de l'education nationale assure, conformément à ses dispositions statutaires, la tutelle des établissements publics relevant de ses attributions. 4/4
5 Source ministère de l'education nationale ( B. Les services déconcentrés L'administration de l'éducation nationale est présente dans chaque région et dans chaque département : ce sont les services déconcentrés du ministère de l'éducation nationale. 5/5
6 a) Au niveau de l'académie L'académie est la circonscription administrative de l'éducation nationale. Il existe 30 académies en France. Le recteur Nomination Nommé par décret du président de la République en Conseil des ministres, le recteur représente le ministre de l'éducation nationale au niveau de l'académie. Il est responsable de la totalité du service public de l'éducation dans l'académie, de la maternelle à l'université, et exerce aussi des compétences dans le domaine de l'enseignement privé sous contrat. Missions Le recteur : o veille à l'application de toutes les dispositions législatives et réglementaires se rapportant à l'education nationale ; o définit les objectifs de la politique académique, en particulier la nature des formations et les conditions d'affectation des élèves ; o a compétence sur la gestion des personnels et des établissements ; o est responsable des relations avec les milieux politiques, économiques, socioprofessionnels et notamment avec les collectivités territoriales ; o intervient dans le programme régional de formation conduit par le conseil régional ; o en tant que chancelier des universités, il assure la coordination des établissements d'enseignement supérieur ; o informe le ministère sur l'académie qu'il dirige. Le recteur est secondé dans sa tâche par le secrétaire général de l'académie, un directeur de cabinet, des inspecteurs d'académie, des conseillers techniques, des corps d'inspection et une administration rectorale. L'administration du rectorat Placés sous la responsabilité du secrétaire général d'académie, les services administratifs académiques constituent le rectorat. Leur organisation, qui relève de la compétence du recteur, peut varier d'une académie à une autre. Le secrétariat particulier, le cabinet, le service de communication et la chancellerie des universités sont directement rattachés au recteur, de même que les conseillers techniques. 6/6
7 Le secrétaire général dirige les services administratifs : informatique, statistique, documentation, organisation et vie scolaire, personnels, programmes de construction et d'équipement, examens et concours, services financiers. Missions : Les services rectoraux assurant des fonctions de gestion sont chargés des missions suivantes : o tutelle administrative et financière des universités, o organisation scolaire du second degré (collèges et lycées), o propositions concernant les constructions d'établissements du second degré, suivi des travaux, o tutelle administrative et pédagogique des lycées, o gestion des personnels enseignants du second degré, o gestion et contrôle des actions de formation continue et de l'apprentissage, o organisation des examens et concours, o pour l'enseignement privé, gestion des personnels et contrôle des établissements privés du second degré sous contrat. b) Au niveau du département L'inspecteur d'académie, directeur des services départementaux de l'education nationale (I.A.-D.S.D.E.N.) L'inspecteur d'académie, nommé par décret du président de la République, sur proposition du ministre de l'éducation nationale, représente le recteur au niveau départemental. Missions : L'inspecteur d'académie : o a pouvoir de décision pour l'ouverture et la fermeture des classes et des écoles et pour l'implantation des emplois d'instituteurs et de professeurs des écoles, o est compétent en matière de gestion des personnels des écoles, o approuve les programmes pédagogiques de construction des écoles, o est responsable des moyens d'enseignement et des personnels administratifs, techniques, ouvriers, de service, sociaux et de santé (ATOS) des collèges, o définit les secteurs des collèges et des lycées en liaison avec le recteur. Il est assisté d'un inspecteur d'académie adjoint (dans les départements de taille importante), d'inspecteurs de l'éducation nationale (enseignement primaire, technique, information et orientation) chargés chacun d'une circonscription pour l'enseignement du premier degré. Les services départementaux de l'education nationale Ces services sont regroupés au sein de l'inspection académique de chaque département. 7/7
8 La structure des inspections académiques varie d'un département à l'autre. Les services suivants s'y trouvent le plus souvent : le centre départemental de traitement de l'information, les statistiques et prévisions, l'organisation scolaire, la gestion des personnels, les examens et concours, l'enseignement privé, le service financier. Missions : o gestion totale des personnels du premier degré, o gestion partielle de tous les autres personnels, o gestion de l'affectation des élèves, o vie scolaire : suivi des expériences pédagogiques, des classes transplantées, etc. o contrôle ou gestion des établissements et des personnels de l'enseignement privé, o organisation des examens et concours. IV. LES ETABLISSEMENTS D ENSEIGNEMENT PUBLICS A. Les écoles maternelles et élémentaires Les écoles primaires comportent des classes maternelles et des classes élémentaires. Les écoles maternelles regroupent les classes maternelles. Les écoles élémentaires regroupent uniquement les classes élémentaires. En 2011, la France compte écoles maternelles ou élémentaires publiques. Elles ont pour mission la scolarisation des enfants avant l'entrée en collège, de façon facultative en école maternelle (à partir de 3 ans et plus rarement de 2 ans) et obligatoire à l'école élémentaire (à partir de 6 ans). Les locaux des écoles appartiennent aux communes qui ont la charge de leur entretien. Le directeur d'école exerce des responsabilités administratives, pédagogiques et représente l'institution auprès de la commune et des parents d'élèves. Le conseil des maîtres réunit le directeur et les maîtres affectés à l'école. Il se réunit au moins une fois par trimestre. Le conseil des maîtres de cycle permet notamment de faire le point sur la progression des élèves et d'élaborer le projet pédagogique de chacun des trois cycles (cycle des apprentissages premiers, cycle des apprentissages fondamentaux, cycle des approfondissements) de la scolarité primaire. Le conseil d'école réunit le directeur, le maire et le conseiller municipal chargé des affaires scolaires, les professeurs de chaque classe, les représentants des parents d'élèves, le délégué départemental de l'éducation, l'inspecteur de l'education nationale. Il se réunit au moins une fois par trimestre et vote, en particulier, le règlement intérieur de l'école, donne des avis et des suggestions sur le fonctionnement de l'école. 8/8
9 B. Les collèges et lycées publics : des établissements publics locaux d'enseignement (E.P.L.E.) En tant que bâtiments, les collèges et lycées relèvent des collectivités territoriales. Les lois de décentralisation ont rattaché les collèges au département, les lycées à la région. À partir de 1989, les collèges et lycées ont défini et mis en œuvre un projet d'établissement, qui leur permet de prendre des initiatives. Leur autonomie s'est accrue en matière pédagogique et éducative. Elle porte notamment sur l'organisation de l'établissement en classes, l'emploi des dotations en heures d'enseignement, l'organisation du temps scolaire, la préparation de l'orientation, la définition des actions de formation complémentaire et de formation continue, l'ouverture de l'établissement sur son environnement économique et social, les activités facultatives. Le projet d'établissement est élaboré en commun par les différents partenaires et adopté par le conseil d'administration : il définit les modalités particulières de mise en œuvre des orientations et programmes nationaux. Il permet à chaque établissement de contribuer aux objectifs nationaux de réussite des élèves, en tenant compte de la diversité des publics scolaires. Il exprime les choix pédagogiques et éducatifs de l'établissement. Pour fonctionner les établissements disposent : d une équipe de direction constituée du chef d'établissement et de son adjoint, du gestionnaire et des conseillers principaux d'éducation, d un conseil d'administration composé de 30 membres (24 dans les collèges de moins de 600 élèves) : 1/3 de représentants du personnel de l'établissement, 1/3 de représentants des parents d'élèves et des élèves, 1/3 de représentants des collectivités territoriales, de l'administration de l'établissement et de personnalités qualifiées. Le conseil d'administration règle, par ses délibérations, les affaires de l'établissement et fixe notamment le projet d'établissement, les règles d'organisation et le budget, des équipes pédagogiques, constituées par classe, ont notamment pour mission de favoriser la concertation entre les enseignants, d'assurer le suivi et l'évaluation des élèves et d'organiser l'aide au travail personnel. Les équipes pédagogiques constituées par discipline favorisent les coordinations nécessaires entre les enseignants, d un conseil de classe qui examine les questions pédagogiques intéressant la vie de la classe et se prononce sur les conditions dans lesquelles se poursuit la scolarité de chaque élève. Il est présidé par le chef d'établissement et composé des enseignants, de deux délégués de parents d'élèves, de deux délégués des élèves, du conseiller principal d'éducation, du conseiller d'orientation et éventuellement du personnel médico-social, d un comité d'éducation à la santé et à la citoyenneté qui exerce les missions concernant l'éducation à la citoyenneté, la prévention de la violence, l'aide aux parents en difficulté et l'éducation à la santé, à la sexualité et à la prévention des conduites à risques, 9/9
10 d une assemblée générale des délégués des élèves (dans les lycées) : dans chaque classe sont élus deux délégués des élèves ; leur réunion forme l'assemblée générale des délégués présidée par le chef d'établissement, d un conseil des délégués pour la vie lycéenne, composé de 10 lycéens élus, et auquel 10 représentants des personnels et des parents d'élèves assistent à titre consultatif, qui donne son avis notamment sur l'organisation du temps scolaire, du travail personnel, l'information sur l'orientation, la santé. Le conseil est réuni au moins trois fois par an. V. LES ETABLISSEMENTS D ENSEIGNEMENT PRIVES Les établissements d'enseignement privés scolarisent élèves, soit 17 % de l'ensemble des effectifs (dont 13,4% des élèves dans le premier degré et 21,3 % dans le second degré). Le nombre d'écoles et établissements scolaires privés est de en Cela représente 13,7 % du nombre total d'écoles et établissements. 9,9 % des écoles sont privées. 31,9 % des collèges et lycées sont des établissements privés. A. Le statut des établissements d'enseignement privés Dans une décision rendue le 23 novembre 1977, le Conseil constitutionnel a considéré que la liberté de l'enseignement faisait partie des principes fondamentaux reconnus par les lois de la République. Trois lois fondamentales fixent le statut juridique des établissements d'enseignement privés : - la loi Goblet du 30 octobre 1886 relative à l'enseignement primaire ; - la loi Falloux du 15 mars 1850 sur l'enseignement secondaire ; - la loi Astier du 25 juillet 1919 sur l'enseignement technique. La loi n du 31 décembre 1959, dite "loi Debré", a permis de définir les rapports actuels entre l'état et les établissements d'enseignement privés, instituant un certain équilibre. La loi ne reconnaît pas d'"enseignement privé" en tant que tel, mais uniquement une pluralité d'établissements. a) Les conditions de création d'un établissement d'enseignement privé Les règles sont les mêmes pour les établissements du premier degré et du second degré. Les Français ou les ressortissants des États membres de l'union européenne ou de l'espace économique européen sont tenus de déclarer la création d'un établissement privé aux autorités compétentes. Les autres ressortissants étrangers doivent obtenir une autorisation, délivrée après avis du conseil académique de l'education nationale. 10/10
11 b) Le statut des diplômes octroyés L'État détient le monopole des grades et des titres universitaires : les établissements d'enseignement privés ne peuvent donc délivrer à leurs élèves que des certificats de scolarité qui ne sont pas des diplômes. Ils préparent en revanche leurs élèves aux examens officiels en vue des diplômes délivrés par l'état. B. Les relations entre les établissements d'enseignement privés et l'état a) Les contrats passés entre les établissements privés et l'état Les établissements privés peuvent être hors contrat, ou bien liés à l'état par un contrat simple (pour les écoles primaires) ou un contrat d'association. Le contrat d'association s'est généralisé et témoigne d'un fort rapprochement des établissements d'enseignement privé avec l'état : l'enseignement est dispensé dans les mêmes conditions que dans le système public, et les professeurs ont la qualité d'agents publics. Les pouvoirs publics prennent en charge tout ou partie des dépenses de fonctionnement des établissements privés, en échange d'obligations de service public. - Le contrat simple pour les écoles primaires ou spécialisées. Les classes doivent avoir fonctionné pendant au moins 5 ans, et les locaux doivent répondre aux exigences de salubrité. L'établissement sous contrat simple doit ensuite organiser l'enseignement des matières de base par référence aux programmes et aux horaires de l'enseignement public. Les maîtres sont nommés par l'autorité privée et salariés de droit privé, mais rémunérés par l'état. - Le contrat d'association. Les conditions préalables sont plus exigeantes : un besoin scolaire reconnu doit exister, les locaux et installations doivent être appropriés. L'établissement est tenu de dispenser les enseignements selon les règles et programmes de l'enseignement public. Les enseignants de ces établissements sont recrutés par concours, selon les mêmes modalités que les enseignants du secteur public. Depuis 1995, les maîtres des collèges et lycées privés sous contrat sont formés dans les I.U.F.M. et recrutés à l'issue d'un concours, le CAFEP (analogue du CAPES ou du C.A.P.L.P.). b) Le contrôle de l'état sur les établissements privés Tous les établissements privés, quelles que soient leurs relations avec l'état, sont soumis à un régime d'inspection. - L'inspection des établissements privés hors contrat se limite aux titres exigés des directeurs et des maîtres, à l'obligation scolaire, à l'instruction obligatoire, au respect de l'ordre public et des bonnes mœurs, à la prévention sanitaire et sociale. Le contrôle sur le contenu de l'instruction obligatoire a été renforcé par la loi n du 18 décembre /11
12 - Le contrôle est plus étendu pour les établissements sous contrat : il porte sur le respect des programmes et horaires d'enseignement ainsi que sur le respect total de la liberté de conscience des élèves. Les enseignants font en outre l'objet d'une notation pédagogique. Les établissements privés sous contrat sont par ailleurs soumis à un contrôle financier et administratif. Les principaux chiffres de l'education nationale en 2011France métropolitaine + DOM Élèves et apprentis Nombre Nombre d'inscrits Nombre d'élèves des premier et second degrés (MENJVA) Nombre d'élèves des premier et second degrés scolarisés dans le public Nombre d'écoliers Nombre de collégiens (premier cycle et SEGPA) Nombre de lycéens (second cycle général et technologique) Nombre de lycéens professionnels (2nd cycle professionnel) Nombre d'apprentis du second degré (y compris CPA de CFA) Autres élèves (second degré agriculture et scolarisation dans un établissement de santé) Source : ministère de l'education nationale, de la Jeunesse et de la Vie associative France métropolitaine + DOM Personnels Nombre Nombre de personnels (MENJVA) dont exerçant en écoles, collèges et lycées (y compris CNED) Enseignants (y compris privé sous contrat) dont enseignants des établissements publics dont fonctionnaires stagiaires Non-enseignants des établissements publics (y compris assistants d'éducation) Personnel administratif académique et en administration centrale Source : ministère de l'education nationale, de la Jeunesse et de la Vie associative France métropolitaine + DOM Écoles et établissements scolaires Nombre Nombre d'écoles et d'établissements du second degré (MENJVA) dont public dont écoles dont collèges dont lycées professionnels dont autres lycées, y compris polyvalents dont établissements régionaux d'enseignement adapté 80 Source : ministère de l'education nationale, de la Jeunesse et de la Vie associative France métropolitaine + DOM La dépense pour l'éducation Dépense totale, en milliards d'euros (État, collectivités territoriales, entreprises, ménages, etc.) en ,8 dont enseignement scolaire (en milliards d'euros) 95,5 Dépense moyenne par habitant en euros Dépense moyenne par élève en euros (élève ou apprenti scolarisé dans le premier ou le second degré) Source : ministère de l'education nationale, de la Jeunesse et de la Vie associative 12/12
13 Les principaux diplômes délivrés en 2010 France métropolitaine + DOM Diplômes Admis Admis / présentés (%) Brevet (DNB) ,5 dont série collège ,5 CAP ,5 BEP ,0 Total baccalauréat général ,3 Bac L ,1 BAC ES ,1 BAC S ,7 Total baccalauréat technologique ,6 Bac STI ,0 Bac STL ,1 Bac ST2S ,1 Bac STG ,8 Total baccalauréat professionnel ,5 Production ,6 Services ,3 Total tous baccalauréats ,6 Lecture : à la session 2010, candidats au baccalauréat ont été admis, soit un taux de réussite de 85,6 % toutes séries confondues. Source : ministère de l'education nationale, de la Jeunesse et de la Vie associative Le coût de l'éducation Dépense intérieure d'éducation en ,8 milliards d'euros (France métropolitaine + DOM) soit 7,0 % du produit intérieur brut (PIB) La dépense intérieure d'éducation (DIE) représente le total des dépenses effectuées en France métropolitaine et dans les DOM pour les activités d'éducation (enseignement ou activités annexes : administration générale, restauration, médecine scolaire...) et pour l'achat des biens et des services liés à l'éducation. Lecture : en 2010, la contribution de l'état à la dépense intérieure d'éducation s'élève à 80,2 milliards d'euros, tous ministères confondus. Source : ministère de l'education nationale, de la Jeunesse et de la Vie associative Répartition des dépenses selon leur nature en /13
14 Lecture : en 2010, 72,1 % des dépenses d'éducation ont été consacrées aux salaires, charges et pensions. Source : ministère de l'education nationale, de la Jeunesse et de la Vie associative 14/14
L enseignement scolaire en France
DOSSIERS DE L ENSEIGNEMENT SCOLAIRE L enseignement scolaire en France 2012 2012 EDUSCOL. EDUCATION.FR/ DOSSIERS Sommaire Les grands principes Les domaines de compétence Les enseignants Le socle commun
Plus en détailQUESTIONS/REPONSES. Oui, si vous êtes ressortissant de l un des États membres de la Communauté européenne ou de l espace économique européen.
QUESTIONS/REPONSES SUR LES CONCOURS DE RECRUTEMENT 1. Diplômes requis pour les concours de recrutement 2012? Au moment de l inscription aux concours de recrutement : M1 acquis et inscription en M2 ou possession
Plus en détailSanté et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE)
Point réglementation N 1 Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE) (anciennement TOS, exerçant dans les lycées et collèges) Mis à jour en septembre
Plus en détailLes métiers de l enseignement
Les secteurs qui recrutent Les dossiers de la MOIP Les métiers de l enseignement Dossier n 1 Date de parution : mai 12 Transmettre le savoir. Sommaire : Le professeur des écoles Le professeur de collège
Plus en détailBulletin officiel n 44 du 27 novembre 2014
Annexe I Année : calendrier de l'orientation et de l'affectation des élèves Collèges Conseils de classe Commissions d appel Calendrier de l'affectation 6 e, 5 e, 4 e, 3 e (1) À compter du vendredi 12 juin
Plus en détailRecrutement d enseignants du second degré. Que vaut-il mieux présenter : CAFEP (Privé) ou CAPES (Public)?
SYNEP Le syndical SYNDICAT NATIONAL DE L ENSEIGNEMENT PRIVE Maison de la CFE-CGC 63 rue du Rocher 75008 PARIS tél. : 01 55 30 13 19 Fax : 01 55 30 13 20 Email : synep@synep.org Recrutement d enseignants
Plus en détailLes dossiers de l enseignement scolaire. l Éducation nationale et la formation professionnelle en France
Les dossiers de l enseignement scolaire 2010 l Éducation nationale et la formation professionnelle en France ministère éducation nationale L Éducation nationale et la formation professionnelle en France
Plus en détail2004-166 du 5 octobre 2004 relative à la simplification du régime d'entrée en vigueur, de transmission et de contrôle des actes des EPLE
Circulaire du 27 décembre 1985 1 (Intérieur et Décentralisation : Collectivités locales ; Economie, Finances et Budget ; Education nationale ; Budget et Consommation) Texte adressé aux commissaires de
Plus en détailL ORGANISATION GENERALE DE LA FONCTION PUBLIQUE
L ORGANISATION GENERALE DE LA FONCTION PUBLIQUE I - LES SOURCES DU DROIT DE LA FONCTION PUBLIQUE A - La Constitution et le bloc de constitutionnalité Certains grands principes du droit de la fonction publique
Plus en détailREFERENCE : B.O N 2832 DU 8/12/1967
SONT ABROGES PAR DECRET N 2-06-620 DU 13/4/2007 B.O N 5524 DU 10/5/2007 LES DISPOSITIONS RELATIVES AUX ADJOINTS DE SANTE DIPLOMES D'ETAT ET AUX ADJOINTS DE SANTE BREVETES REFERENCE : B.O N 2832 DU 8/12/1967
Plus en détailLE BIEN-ETRE AU TRAVAIL DANS LE SECTEUR PUBLIC
LE BIEN-ETRE AU TRAVAIL DANS LE SECTEUR PUBLIC LES ACTEURS INTERNES I. Les relations collectives sont fixées par le statut syndical Dans le secteur public, les relations collectives du travail trouvent
Plus en détailConditions d inscription au concours
Conditions d inscription au concours 1. Comment accéder au concours? 2. Quelles sont les conditions d inscription au concours? Le rédacteur territorial est un fonctionnaire de catégorie B (voir lexique
Plus en détailÉdition du 4 mars 2011 Annule et remplace l édition précédente
1 Édition du 4 mars 2011 Annule et remplace l édition précédente TOUT SAVOIR SUR LE CONTRAT D APPRENTISSAGE 2 TOUT SAVOIR SUR LE CONTRAT D APPRENTISSAGE SOMMAIRE Qui peut embaucher un apprenti et quelles
Plus en détailA) L'AMÉLIORATION DES CONDITIONS DE L'ENSEIGNEMENT DANS LES ZEP.
Circulaire n o 92-360 du 7 décembre 1992 (Education nationale et Culture) La politique éducative dans les zones d'éducation prioritaires. NOR : MENL9250492C La politique éducative dans les zones d'éducation
Plus en détailLoi du 11 floréal an X (1 e mai 1802)
Loi du 11 floréal an X (1 e mai 1802) La loi du 11 floréal an X spécifie que l'enseignement comporte trois degrés : primaire, secondaire, spécial et qu'il est dispensé dans quatre catégories d'établissements
Plus en détailLE MINISTERE DU COMMERCE DANS LES DERNIERES ANNEES DU XIX ème SIECLE (extraits des cahiers du Chatefp n 1, octobre 1998)
LE MINISTERE DU COMMERCE DANS LES DERNIERES ANNEES DU XIX ème SIECLE (extraits des cahiers du Chatefp n 1, octobre 1998) Comme indiqué plus haut, l'ordonnance de 1828 avait organisé l'administration centrale
Plus en détailRéférencement du cadre national de certification français vers le cadre européen de certification pour la formation tout au long de la vie
Rapport Référencement du cadre national de certification français vers le cadre européen de certification pour la formation tout au long de la vie Auteur : Groupe de travail français du projet octobre
Plus en détailL AVANCEMENT DE GRADE DANS LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE
139, Rue Guillaume Fouace CS 12309 50009 SAINT-LO CEDEX 02.33.77.89.00 02.33.57.07.07 E-Mail : cdg50@cdg50.fr L AVANCEMENT DE GRADE DANS LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE JANVIER 2015 SOMMAIRE Avancement
Plus en détailLoi concernant le régime linguistique dans l'enseignement L. 30-07-1963 M.B. 22-08-1963
Lois 04329 p.1 Loi concernant le régime linguistique dans l'enseignement L. 30-07-1963 M.B. 22-08-1963 modifications : L. 26-07-1971 (M.B. 24-08-71) L. 27-07-1971 (M.B.22-10-71) L.10-07-1973 (M.B. 14-07-73)
Plus en détailPERSONNELS ENSEIGNANTS PERSONNELS ADMINISTRATIFS, D INSPECTION ET DE DIRECTION
PERSONNELS ENSEIGNANTS PERSONNELS ADMINISTRATIFS, D INSPECTION ET DE DIRECTION RECLASSEMENT DES PERSONNELS ENSEIGNANTS STAGIAIRES, DES CONSEILLERS D'ORIENTATION PSYCHOLOGUES ET DES CONSEILLERS PRINCIPAUX
Plus en détailCONCOURS D OUVRIER PROFESSIONNEL SPÉCIALITÉ "AGENCEMENT INTÉRIEUR" CONCOURS EXTERNE ET INTERNE
CONCOURS D OUVRIER PROFESSIONNEL SPÉCIALITÉ "AGENCEMENT INTÉRIEUR" CONCOURS EXTERNE ET INTERNE NATURE DES ÉPREUVES Arrêté du 24 janvier 1992 (publié au Journal officiel du 14 février 1992) Les épreuves
Plus en détailAutorité compétente pour prendre la décision. Régime actuel : le silence gardé vaut rejet (SVR) ou le silence gardé vaut accord (SVA)
Notice de lecture du document : - le document est organisé en fonction des catégories suivantes, indiquées en rose : Enseignement scolaire / enseignement privé / enseignement supérieur opérateurs publics/
Plus en détailL'EXEMPLE BELGE. Comme le note Valérie Létard, dans son rapport sur l'évaluation du plan autisme 2008-2010 remis au Gouvernement en décembre dernier1:
L'EXEMPLE BELGE La scolarisation des enfants autistes en Belgique Grande Cause Nationale 2012, l'autisme touche près de 440 000 personnes en France. Chaque année, ce sont 5 000 à 8 000 enfants qui naissent
Plus en détailDécret définissant la formation initiale des instituteurs et des régents D. 12-12-2000 M.B. 19-01-2001
Lois 25501 p.1 Décret définissant la formation initiale des instituteurs et des régents D. 12-12-2000 M.B. 19-01-2001 modifications : D. 20-12-01 (M.B. 31-01-02) D. 17-07-02 (M.B. 24-08-02) D. 27-02-03
Plus en détailDepuis 2009, l'éducation nationale s'est déjà mobilisée pour développer des banques de stages et des outils associés.
Pôles de stages Mise en place dans les académies de pôles de stages NOR : MENE1505070C circulaire n 2015-035 du 25-2-2015 MENESR - DGESCO A2-2 Texte adressé aux rectrices et recteurs d'académie Que ce
Plus en détailTél. : 49.55.48.30. Le Ministre de l'agriculture et de la pêche. Messieurs les directeurs régionaux de l'agriculture et de la forêt
Sous-Direction de l'administration de la Communauté Educative Mission de réglementation et de conseil juridique aux autorités académiques 1 ter ave de Lowendal 75349 PARIS Note de Service DGER/FOPDACE/N96-2006
Plus en détailLOI GENERALE SUR L'INSTRUCTION PUBLIQUE
LOI GENERALE SUR L'INSTRUCTION PUBLIQUE 1 ER MAI 1802 (FLOREAL AN X) TITRE I DIVISION DE L'INSTRUCTION Art.1. L'instruction sera donnée : 1 Dans les Écoles primaires établies par les commu nes ; 2 Dans
Plus en détailCode de l'éducation. Article L131-1 En savoir plus sur cet article...
Page 1 sur 5 Code de l'éducation Version consolidée au 31 mars 2011 Partie législative Première partie : Dispositions générales et communes Livre Ier : Principes généraux de l'éducation Titre III : L'obligation
Plus en détailCe document à été créé par la direction de la communication de l Université Catholique de l Ouest à Angers, en collaboration avec les SAAR et les
. Ce document à été créé par la direction de la communication de l Université Catholique de l Ouest à Angers, en collaboration avec les SAAR et les ISFEC de l Ouest, et validé par le SGEC. 2 QUESTIONS/RéPONSES
Plus en détailSection 1. Actions de formation organisées ou agréées par l administration en vue de la préparation aux concours et examens professionnels
section temps de travail LES AUTORISATIONS D ABSENCE LIEES A LA FORMATION PROFESSIONNELLE TITRE I : LES TITULAIRES TROISIEME PARTIE : LES AUTORISATIONS D ABSENCE DEUXIEME CHAPITRE : LA FORMATION PROFESSIONNELLE
Plus en détailDécision n 2014-246 L. Dossier documentaire
Décision n 2014-246 L Nature juridique de l article L. 723-23 du code rural et de la pêche maritime Dossier documentaire Source : services du Conseil constitutionnel 2014 Sommaire I. Normes de référence...
Plus en détail-15/0396 10AOU LE MINISTRE DE L'ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR
RÉPUBLIQUE DU CAMEROUN P AIX- TRA VAIL-PATRIE -15/0396 10AOU ARRETE N /A/MINESUP DU 2015 portant ouverture du concours d'entrée en 1ère année du 2 nd cycle de l'ecole Normale Supérieure de l'université
Plus en détailFILIERE CULTURELLE. Adjoint territorial du patrimoine de 1 ère classe
FILIERE CULTURELLE Adjoint territorial du patrimoine de 1 ère classe Extraits du décret n 2006-1692 du 22 décembre 2006 portant statut particulier du cadre d'emplois des adjoints territoriaux du patrimoine
Plus en détailCirculaire Départementale - Avril 2008 Inspection Académique de l AIN. Gestion d argent dans le cadre scolaire (premier degré)
Gestion d argent dans le cadre scolaire (premier degré) Introduction Sommaire P 2 Les différentes compétences des institutions ou des partenaires en ce qui concerne le financement des écoles I. Différentes
Plus en détailRAPPORT DE PRESENT A TION
République du Sénégal Un Peuple -un But -une Foi Décret modifiant le décret n 2004-1038 du 23 Juillet 2004 portant création et fixant les règles d'organisation et de fonctionnement de l'agence de l'informatique
Plus en détailCOMMISSION SCOLAIRE DE LA BEAUCE-ETCHEMIN
COMMISSION SCOLAIRE DE LA BEAUCE-ETCHEMIN Page 1 de 7 DIRECTIVE RÉGISSANT LES ACTIVITÉS FINANCIÈRES DÉCOULANT DE LA PERCEPTION DES REVENUS DANS LES ÉTABLISSEMENTS 1.0 FONDEMENTS 1.1 Devoir d'établissement
Plus en détailLes concours de l Assemblée nationale
A S S E M B L É E N A T I O N A L E Les concours de l Assemblée nationale Les informations contenues dans cette brochure ont été mises à jour en septembre 2012 ASSEMBLÉE NATIONALE Service des Ressources
Plus en détailPrincipales autorisations d absence. Référence : circulaire n 2002-168 du 02 août 2002 r elative aux autorisations d absence de droit et facultatives
Principales autorisations d absence Référence : circulaire n 2002-168 du 02 août 2002 r elative aux autorisations d absence de droit et facultatives Les autorisations d'absence de droit Travaux d'une assemblée
Plus en détailCONVENTION DE STAGE EN ENTREPRISE EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ANNÉE SCOLAIRE... /...
CONVENTION DE STAGE EN ENTREPRISE EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ANNÉE SCOLAIRE... /... Concernant le stagiaire: Nom : Prénom : Adresse : Date de naissance : Nationalité : Formation : Entre: Nom et adresse complète
Plus en détailCONSEIL GENERAL DE TARN-ET-GARONNE. Séance du 16 février 2006 PERSONNEL DEPARTEMENTAL INSTAURATION D'UN COMPTE EPARGNE TEMPS
CONSEIL GENERAL DE TARN-ET-GARONNE EXTRAIT DU REGISTRE DES DELIBERATIONS DE L ASSEMBLEE 1 ère REUNION DE 2006 Séance du 16 février 2006 CG 06/1 ère /I-11 PERSONNEL DEPARTEMENTAL INSTAURATION D'UN COMPTE
Plus en détailMASTER Mention MEEF. «Métiers de l Enseignement, l Education et la Formation Second Degré». Spécialité : HISTOIRE-GEOGRAPHIE
MASTER Mention MEEF «Métiers de l Enseignement, l Education et la Formation Second Degré». Spécialité : HISTOIRE-GEOGRAPHIE Nouveau master mis en place à compter de septembre 2013 pour les M1. Pour le
Plus en détailUNIVERSITE PARIS 10 (NANTERRE) Référence GALAXIE : 4184
UNIVERSITE PARIS 10 (NANTERRE) Référence GALAXIE : 4184 Numéro dans le SI local : 0817 Référence GESUP : Discipline : H0422 - Anglais Civilisation britannique Implantation du poste : 0921204J - UNIVERSITE
Plus en détail[L argent à l école, les coopératives scolaires la gestion de fait]
CONSTAT Nombre de coopératives scolaires, associatives ou OCCE, servent de relais aux crédits municipaux qui sont versés sur leurs comptes par les municipalités. Cette pratique est majoritairement constatée
Plus en détailNOTE DE SERVICE DGER/SDPOFE/N2013-2111 Date: 20 août 2013
MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE, DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT Direction Générale de l'enseignement et de la Recherche Service de l enseignement technique Sous-direction des politiques de formation et
Plus en détailDossier de presse BASE ELEVES
Dossier de presse BASE ELEVES Afin de répondre aux interrogations légitimes d une partie des parents d élèves aveyronnais qui nous sont relayées par les syndicats, nous vous transmettons un dossier de
Plus en détailFICHE PRATIQUE MAISON DES LYCEENS
FICHE PRATIQUE MAISON DES LYCEENS La Maison des lycéens (MDL) est une association qui rassemble les élèves qui souhaitent s engager dans des actions citoyennes et prendre des responsabilités au sein de
Plus en détailD. 12-01-2007 M.B. 20-03-2007. Le Parlement de la Communauté française a adopté et Nous, Gouvernement, sanctionnons ce qui suit :
Lois 31723 p.1 Décret relatif au renforcement de l'éducation à la citoyenneté responsable et active au sein des établissements organisés ou subventionnés par la Communauté française D. 12-01-2007 M.B.
Plus en détailDEMANDE DE RECLASSEMENT
DEMANDE DE RECLASSEMENT DOSSIER A RENVOYER MEME SI VOUS N AVEZ AUCUN SERVICE A FAIRE RETENIR Division du Personnel Enseignant DPE3 AVANT LE 21 SEPTEMBRE 2009 Vous êtes personnel stagiaire : en IUFM en
Plus en détailFILIERE ADMINISTRATIVE
FILIERE ADMINISTRATIVE Au 9 avril 2015 1 Centre de gestion de la Fonction Publique Territoriale de Vaucluse 80 rue Marcel Demonque AGROPARC CS 60508, 84908 AVIGNON CEDEX 9 - Tel : 04.32.44.89.30 / Fax
Plus en détailLe Golf, à l école...
Le Golf, à l école... Limites et perspectives Orientations de la ff.golf dans le cadre de l intégration de la pratique du golf en milieu scolaire et universitaire Claude ANACKIEWICZ, CPC EPS Marvejols
Plus en détailC.39. 1 Date d'entrée en vigueur : 8 novembre 1946.
C.39 CONVENTION N 39 Convention concernant l'assurance-décès obligatoire des salariés des entreprises industrielles et commerciales, des professions libérales, ainsi que des travailleurs à domicile et
Plus en détailCONCOURS DE BIOLOGISTE VETERINAIRE PHARMACIEN TERRITORIAL DE CLASSE NORMALE
CENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE DE VAUCLUSE CONCOURS DE BIOLOGISTE VETERINAIRE PHARMACIEN TERRITORIAL DE CLASSE NORMALE 80, Rue Marcel Demonque AGROPARC CS 60508 84908 AVIGNON Cedex
Plus en détailLES INTERVENANTS EXTERIEURS GUIDE PRATIQUE ET PRECONISATIONS DEPARTEMENTALES Groupe départemental ARTS/EPS
LES INTERVENANTS EXTERIEURS GUIDE PRATIQUE ET PRECONISATIONS DEPARTEMENTALES Groupe départemental ARTS/EPS Table des matières LES TEXTES DE REFERENCE... 3 POURQUOI UN GUIDE PRATIQUE?... 4 L INTERVENTION
Plus en détailLYCEE GRANDMONT Avenue de Sévigné 37000 TOURS Tel : 02.47.48.78.78 Fax : 02.47.48.78.79 Site : www.grandmont.fr
LYCEE GRANDMONT Avenue de Sévigné 37000 TOURS Tel : 02.47.48.78.78 Fax : 02.47.48.78.79 Site : www.grandmont.fr Dans un parc de 17 ha 2160 élèves 560 internes 9 sections post-bac 21 classes de terminale
Plus en détailArcueil, le 21 février 2011. Le Directeur du Service Interacadémique des Examens et Concours. Madame la Directrice générale des ressources humaines,
Arcueil, le 21 février 2011 Le Directeur du Service Interacadémique des Examens et Concours à Madame la Directrice générale des ressources humaines, OBJET : EXAMEN PROFESSIONNEL D ACCES AU GRADE DE SECRETAIRE
Plus en détailLe Conseil des Ministres
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE -------------- Le Conseil des Ministres UEMOA DIRECTIVE N 0 2 / 07 /CM/UEMOA PORTANT CREATION D'UN ORDRE NATIONA DES EXPERTS-COMPTABLE ET DES COMPTABLES AGREES
Plus en détailEnquête nationale sur la mise en place des Écoles supérieures du professorat et de l éducation
Enquête nationale sur la mise en place des Écoles supérieures du professorat et de l éducation Enquête menée du 1 er décembre 2013 au 15 janvier 2014 par le Bureau de liaison du Les 30 écoles supérieures
Plus en détailLes écoles supérieures du professorat et de l'éducation
LETTRE INFOS ONISEP Les écoles supérieures du professorat et de l'éducation Sommaire Les missions élargies des Espé Pour quel public? 4 mentions de master MEEF L'architecture des masters MEEF L'organisation
Plus en détailCOMITÉS DE LA COMMISSION SCOLAIRE. Commission scolaire Chapitre V Section IV Articles 179 à 197
COMITÉS DE LA COMMISSION SCOLAIRE Commission scolaire Chapitre V Section IV Articles 179 à 197 {Comité exécutif.} Article 179. Le conseil des commissaires institue un comité exécutif formé de cinq à sept
Plus en détail2S insérer dans. l enseignement agricole. 1 à 6. 7 à 9. venez d être nommé(e) 2.1 dans l enseignement agricole. êtes en fonction. 2.
2S insérer dans l enseignement agricole 2 Vous venez d être nommé(e) fiches 2.1 dans l enseignement agricole 1 à 6 2 Vous êtes en fonction fiches 2.2 dans un EPLEFPA 7 à 9 22.1 Vous venez d être nommé(e)
Plus en détailPOLITIQUE DE BIOSÉCURITÉ
Date d entrée en vigueur: Mai 2006 Remplace/amende: VRS-52/s/o Origine: Vice-rectorat aux services Numéro de référence: VPS-52 DÉFINITION Une substance biologique dangereuse se définit comme un organisme
Plus en détailAvis et communications
Avis et communications AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D EMPLOIS MINISTÈRE DE LA FONCTION PUBLIQUE Avis relatif au calendrier prévisionnel complémentaire des recrutements pour 2006 (fonction publique de
Plus en détailLes textes officiels pour l École Primaire www.formapex.com LE NOUVEAU CONTRAT POUR L ÉCOLE 158 DÉCISIONS
Les textes officiels pour l École Primaire www.formapex.com LE NOUVEAU CONTRAT POUR L ÉCOLE 158 DÉCISIONS 1994 2 Le Ministre de l'éducation Nationale 1 er septembre 1994 Madame, Mademoiselle, Monsieur,
Plus en détailN 23 SENAT PREMIÈRE SESSION ORDINAIRE DE 1982-1983 PROJET DE LOI MODIFIÉ PAR LE SÉNAT. (Urgence déclarée.)
PROJET DE LOI adopté le 27 octobre 1982 N 23 SENAT PREMIÈRE SESSION ORDINAIRE DE 1982-1983 PROJET DE LOI MODIFIÉ PAR LE SÉNAT relatif aux études médicales et pharmaceutiques. (Urgence déclarée.) Le Sénat
Plus en détailCOMPTE-RENDU SOMMAIRE DE LA SÉANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 24 AVRIL 2014
1 VILLE DE SAINTE FOY-LÈS-LYON ---------- Secrétariat Général ---------- BI/NC COMPTE-RENDU SOMMAIRE DE LA SÉANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 24 AVRIL 2014 Le conseil municipal, sous la présidence du Maire,
Plus en détailFiche 37 Notions clés sur le temps de travail des agents de la FPT
Fiche 37 Notions clés sur le temps de travail des agents de la FPT La réglementation relative au temps de travail s applique à tous les agents des collectivités territoriales et de leurs établissements
Plus en détailLoi n 2011-893 du 28 Juillet pour le développement de l alternance et la sécurisation des parcours professionnels
Loi n 2011-893 du 28 Juillet pour le développement de l alternance et la sécurisation des parcours professionnels La loi n 2011-893 du 28 juillet 2011 comporte différentes mesures visant notamment à développer
Plus en détailA.R. 13-08-1962 M.B. 25-08-1962/10-10-1963
Lois 08527 p.1 Intitulé Arrêté royal organique des centres psycho-médico-sociaux A.R. 13-08-1962 M.B. 25-08-1962/10-10-1963 modifications : A.R. 21-03-63 (M.B. 30-04-63) A.R. 28-10-64 (M.B. 11-11-64) A.R.
Plus en détailGUIDE PYRAMIDE DES CONDITIONS D'AVANCEMENT DE GRADE ET DE PROMOTION INTERNE
VOS CONTACTS Marie-Christine DEVAUX Responsable de la direction «développement des carrières» Christine DEUDON 03.59.56.88.48 Sylvie TURPAIN 03.59.56.88.58 Communes de l arrondissement de : Lignes directes
Plus en détailCONVENTION POUR L'ACTIVITE HANDISPORT A L'ECOLE
CONVENTION POUR L'ACTIVITE HANDISPORT A L'ECOLE ENTRE : L'Inspecteur d'académie, Directeur des services départementaux de l'education Nationale, Le Président du Comité Départemental U.S.E.P. de l'ain,
Plus en détailRèglements généraux de la Cité internationale universitaire de Paris
Règlements généraux de la Cité internationale universitaire de Paris Les présents règlements dits règlements généraux de la Cité Internationale Universitaire de Paris, Fondation Nationale C.I.U.P., sont
Plus en détailLe Président, à Mesdames et Messieurs les Maires et Présidents
Circulaire n 05/2013 Cl. C 4311 Colmar, le 25/01/2013 C E N T R E d e G E S T I O N d u H A U T - R H I N F o n c t i o n P u b l i q u e T e r r i t o r i a l e 2 2, r u e W i l s o n 6 8 0 27 C O L M
Plus en détailCharte de travail DES AGENTSTERRITORIAUX SPÉCIALISES DES ÉCOLES MATERNELLES Et de personnels faisant fonction
Charte de travail DES AGENTSTERRITORIAUX SPÉCIALISES DES ÉCOLES MATERNELLES Et de personnels faisant fonction Le présent règlement a pour objet de préciser les dispositions législatives et règlementaires
Plus en détailDevenez expert en éducation. Une formation d excellence avec le master Métiers de l Enseignement, de l Education et de la Formation
Institut Universitaire de Formation des Maîtres Université de Provence - Aix-Marseille Université 20 ans d expérience dans la formation des professionnels dans les métiers de l enseignement, de l éducation
Plus en détailUnion Suisse des Fiduciaires USF
Union Suisse des Fiduciaires USF Règlement sur l approbation des statuts des sections et la qualité de membre d une section de l USF (Règlement des membres) du 26 novembre 2005 Préambule Conformément à
Plus en détailSur le rapport du ministre du travail et de la sécurité sociale, Vu la Constitution, notamment ses articles 85-4 et 125 (alinéa 2);
Décret exécutif n 2006-223 du 25 Joumada El Oula 1427 correspondant au 21 juin 2006 portant création, attributions, organisation et fonctionnement de l'organisme de prévention des risques professionnels
Plus en détailL École réduit-elle les inégalités sociales?
L École réduit-elle les inégalités sociales? 16 Chacun sait que le niveau de qualification et les diplômes obtenus au cours de la scolarité déterminent, en grande partie, la position sociale future. On
Plus en détailLE TEMPS PARTIEL DANS LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE
CENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE 6 bis rue Olivier de Clisson B.P. 161 56005 VANNES CEDEX Tél. : 02.97.68.16.00 Fax : 02.97.68.16.01 Site Internet : www.cdg56.fr Circulaire n 10-15
Plus en détailCirculaire du 20 avril 2015 relative au délai de transmission des arrêts de maladie des fonctionnaires dans la fonction publique de l État
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de la décentralisation et de la fonction publique Circulaire du 20 avril 2015 relative au délai de transmission des arrêts de maladie des fonctionnaires dans la fonction
Plus en détailLivret d accueil MISSIONS TEMPORAIRES. Centre Interdépartemental de Gestion de la Grande Couronne de la Région d Île-de-France
Centre Interdépartemental de Gestion de la Grande Couronne de la Région d Île-de-France MISSIONS TEMPORAIRES Livret d accueil 15 rue Boileau 78008 Versailles cedex Téléphone : 01 39 49 63 00 Fax : 01 39
Plus en détailPièces à joindre RENTREE 2015-2016. Qui peut bénéficier de la bourse de lycée?
INFORMATIONS PRATIQUES A DESTINATION DES FAMILLES Ouverture de la campagne de bourse de lycée RENTREE 2015-2016 Pièces à joindre Qui peut bénéficier de la bourse de lycée? Où peut- on retirer un formulaire
Plus en détailA. Compétences et attributions. 1. Une institution nationale est investie de compétences de protection et de promotion des droits de l'homme.
PRINCIPES DE PARIS PRINCIPES CONCERNANT LE STATUT ET LE FONCTIONNEMENT DES INSTITUTIONS NATIONALES POUR LA PROTECTION ET LA PROMOTION DES DROITS DE L'HOMME En octobre 1991, le Centre pour les droits de
Plus en détailCahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré
Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Référence : Circulaire n 2010-037 du 25 février 2010 relative au dispositif d'accueil, d'accompagnement et de formation des enseignants
Plus en détailN 57 SÉNAT SECONDE SESSION ORDINAIRE DE 1967-1963 PROJET DE LOI MODIFIÉ PAR LE SÉNAT. modifiant le statut de VOrdre
PROJET DE LOI adopte le 25 avril 1968. N 57 SÉNAT SECONDE SESSION ORDINAIRE DE 1967-1963 PROJET DE MODIFIÉ PAR LE SÉNAT LOI modifiant le statut de VOrdre des experts-comptables et des comptables agréés.
Plus en détailAssistants d éducation, Assistants Vie Scolaire, Assistants pédagogiques Texte En date
Assistants d éducation, Assistants Vie Scolaire, Assistants pédagogiques Circulaire n 2008-108 21 août 2008 concernant le recrutement et l emploi des assistants d éducation. Abroge et remplace toutes les
Plus en détailRECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS
PREFECTURE DE L ESSONNE RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS SPÉCIAL OCTOBRE 2008 N 2 Issn 0758 3117 I II PREFECTURE DE L ESSONNE RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS SPÉCIAL OCTOBRE 2008 N 2 L intégralité du
Plus en détailUNIVERSITE PARIS 10 (NANTERRE) Référence GALAXIE : 4306
UNIVERSITE PARIS 10 (NANTERRE) Référence GALAXIE : 4306 Numéro dans le SI local : 0647 Référence GESUP : Discipline : H0433 - Portugais Langue, litterature et civilisation portugaise Implantation du poste
Plus en détailLes Contrats Collectifs face aux nouvelles normes sociales et fiscales
En clair COMPLÉMENTAIRES SANTÉ / PRÉVOYANCE Les Contrats Collectifs face aux nouvelles normes sociales et fiscales Quand la Prévoyance vous appartient. Sommaire Exonération des cotisations Sociales...
Plus en détailFormation professionnelle continue
Formation professionnelle continue La formation professionnelle continue comprend deux types d actions : - les actions figurant dans le plan de formation de l établissement ; - les actions choisies par
Plus en détailA.T.S.E.M. -Note de service n 91-065 du 11 mars 1991 (BO no 1 2 du 21 mars 1991)
A.T.S.E.M. Le statut très particulier des ATSEM conduit les directrices(teurs) des écoles maternelles à travailler en étroite collaboration avec le service du personnel des communes. En effet, les ATSEM
Plus en détail2014 - AT4- RESTAURATION ET HEBERGEMENT
2014 - AT4- RESTAURATION ET HEBERGEMENT L article L4424-2 du code général des collectivités territoriales stipule que la collectivité territoriale de Corse assure l'accueil, la restauration, l'hébergement
Plus en détailDépartement de l'éducation, de la culture et des sports
Département de l'éducation, de la culture et des sports Règlement concernant la formation de Designer dipl. ES, orientation Design de produit, spécialisation Objets horlogers Le conseiller d Etat, chef
Plus en détailBrochure n 3258. Considérant
Brochure n 3258 Convention collective nationale IDCC : 1597. - BÂTIMENT Ouvriers (Entreprises occupant plus de 10 salariés) (13 édition. - Avril 2005) ACCORD DU 8 FÉVRIER 2005 RELATIF AU STATUT DE L'APPRENTI
Plus en détailCirculaire du 5 janvier 2012 Relative au Règlement intérieur type des comités techniques NOR : MFPF1200536C
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de la fonction publique Circulaire du 5 janvier 2012 Relative au Règlement intérieur type des comités techniques NOR : MFPF1200536C Le ministre de la fonction publique à
Plus en détailJ EMMENE MA CLASSE A LA PISCINE
J EMMENE MA CLASSE A LA PISCINE Textes de référence : Circulaire n 2011-090 du 7 juillet 2011-BO n 28 du 14 juillet 2011 PEAMBULE : - La natation est partie intégrante de l enseignement de l EPS à l école
Plus en détailCONFÉRENCE INTERAFRICAINE DES MARCHÉS D'ASSURANCES. C () N SEI L n E S M l!\ 1 S T l{ l': S J) E S A S S II [{ A NeE S
I~,0:.----------, c 1 M A CONFÉRENCE INTERAFRICAINE DES MARCHÉS D'ASSURANCES.'.- 1. ~ 0 0 0 SI: C () N SEI L n E S M l!\ 1 S T l{ l': S J) E S A S S II [{ A NeE S REGLEMENT N,.ICIMAlPCMA/ CE/ SG/ 2DD9
Plus en détailSANTÉ ET PRÉVOYANCE DES AGENTS TERRITORIAUX
Circulaire n 23/2012 Cl. C 451 / C 456 Colmar, le 05 juin 2012 CENTRE de GESTION du HAUT-RHIN FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE 22, rue Wilson - 68027 COLMAR CEDEX 03 89 20 36 00-03 89 20 36 29 - cdg68@calixo.net
Plus en détailJOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
N 53 50 ème ANNEE Mercredi 30 Chaoual 1432 correspondant au JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE CONVENTIONS ET ACCORDS INTERNATIONAUX - LOIS ET DECRETS ARRETES, DECISIONS,
Plus en détailAGENTS NON TITULAIRES et LA LOI DE RESORPTION DE L'EMPLOI PRECAIRE
NON TITULAIRES Note d'information N 2012-32 du 18 juin 2012 AGENTS NON TITULAIRES et LA LOI DE RESORPTION DE L'EMPLOI PRECAIRE REFERENCES Loi n 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des
Plus en détail