7 métiers d avenir pour renforcer la compétitivité du secteur financier africain Avril 2012
|
|
- Geoffroy Gervais
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 7 métiers d avenir pour renforcer la compétitivité du secteur financier africain Avril 2012 Fabrice KOM TCHUENTE Fabrice.kom-tchuente@finafrique.com
2 Deux chiffres pour caractériser le marché financier africain : Plus d une vingtaine de places boursières, et moins de 5% des investissements des pays émergents sont dirigés vers l Afrique. Les raisons de ce manque d engouement des investisseurs sont l insuffisance de liquidité sur les principaux marchés financiers, la faiblesse du nombre de titres côtés et la rareté des opérations d introduction. On constate plutôt ces dernières années un phénomène d extraterritorialité de la part de grands opérateurs économiques africains qui ont dû s introduire sur les bourses parisiennes et londoniennes pour lever des fonds. Ces places financières très dynamiques leur permettent généralement (mais pas toujours suivant les tendances du marché) de financer leur développement, et de plus, ils y trouvent des intervenants spécialisés et très qualifiés en analyses et conseils financiers pour les accompagner. Pour palier à ces différents problèmes, il serait nécessaire de mettre en route assez rapidement, la machine de concentration, d intégration du marché financier africain et d harmonisation des différentes réglementations adossées à chacun de ces marchés. Pour ce qui est de la création d un marché financier panafricain, il est bel et bien prévu dans les textes de l union africaine même s il tarde dans sa phase d implémentation. Et en ce qui concerne les réglementations des différents marchés, elles sont pour bon nombres d entre elles assez restrictives en investissements sur le plan régional et de ce fait, n encourage pas beaucoup à une coopération active des bourses régionales, ce qui constituerait les prémices d une future intégration. Il y a également des efforts supplémentaires à faire dans la promotion, la formation et la vulgarisation de la culture de marché auprès des investisseurs locaux que sont les banquiers, les assureurs et les autres opérateurs économiques et étatiques, ainsi que les populations africaines au sens large (étudiants, société civile, secteur informel). En d autres termes, le vendeur de pagne au marché Sandaga de Dakar, doit savoir qu en dehors de son matelas, il y a d autres placements sécurisés qui lui seraient encore plus bénéfique tel qu une souscription à un emprunt obligataire émis par son état. Car pour dynamiser sa bourse, l Afrique aura fortement besoin de l épargne de ses petits porteurs. Fort des constats énoncés ci-dessus, plusieurs métiers apparaissent comme vitaux pour une émergence du secteur financier africain dans le proche futur : Analystes financiers : Le marché financier africain recouvre aujourd hui de nombreuses SGI (Société de Gestion et d Intermédiation) plus précisément en Afrique l ouest, en Afrique anglophone et en Afrique du Nord. Il y a aujourd hui une soixantaine de Sociétés de gestion et d Intermédiation qui opèrent sur le marché financier d Afrique francophone. Ce sont des sociétés dont les principales activités sont la négociation de valeurs mobilières en bourse, la conservation de titres pour le compte de la clientèle (des particuliers, des institutions financières ou des entreprises). Elles sont également habilitées à faire de la gestion sous mandat ainsi que du Conseil Financier. Sur ce dernier point qui est le conseil financier, on constate que très peu d entre elles en font réellement. Elles sont censées publier des études et analyses financières
3 pour les épargnants et les investisseurs. Et pour celles qui en font, les études se concentrent souvent uniquement sur les valeurs africaines les plus en vue. Ce manque de disponibilité de l information financière constitue un véritable obstacle et frein à l investissement local et étranger. Il sera donc plus que nécessaire de se doter de véritables éclaireurs qui émettraient un jugement argumenté sur l attractivité des secteurs, des ressources et des régions africaines. Ces travaux sont en partie réalisés par des institutions telles que la BAD (Banque Africaine de Développement) sous forme de notes de recherche, mais il faudra aller encore plus loin en ayant des études et analyses régulières sur les tendances des valeurs africaines. Ces analystes financiers travaillent directement au sein d une grande banque, une société de capital-investissement ou d une société de gestion et d intermédiation, ou alors ils officient de façon indépendante en revendant leurs papiers de recherche auprès des institutions suscités. Mise en place d une Bibliothèque numérique : A l exemple des fournisseurs de données que sont Bloomberg et Reuters, l Afrique a besoin d un annuaire de données statistiques, démographiques, économiques et financières recouvrant l ensemble du continent. Toutes ces données sont bien présentent mais sont très difficile d accès. Les institutions qui les détiennent sont les commissions bancaires, les banques centrales, les instituts nationaux de statistiques, les communautés économiques régionales, institutions de Bretton Woods etc. Il faudrait donc un centralisateur de données afin de constituer une bibliothèque numérique payante qui s enrichirait grâce à des partenariats avec diverses institutions citées ci-dessus. A ce jour, les banquiers, assureurs, chercheurs ont beaucoup de mal à accéder à ces données. Il est très fastidieux pour eux d établir des études de marché avant le lancement d un nouveau produit. Ils sont donc souvent contraints à établir leur propre base de données en fonction du sujet qui les préoccupe. Conseil en investissement : Pour définir ce métier, nous allons d abord évoquer un maux qui gangrène l économie africaine qui est la «surliquidité». Si les banques sont très liquides et surtout sur le court terme du fait des dépôts à vue, les assurances quant à elles sont très liquides sur le long terme. Sans parler des banques centrales en surliquidité, «grâce ou à cause» des revenus d exportation des matières premières (dont 50% sont directement géré par le trésor français). Un chiffre pour l illustrer : en 2008 lors d une conférence de la Banque Africaine d importexport il a été révélé que le montant des réserves de change agrégées des pays du continent avait atteint 461 milliards de dollars. Ces institutions surliquides n investissent pas beaucoup en Afrique parce qu ils trouvent les opportunités économiques peu compétitives. Pour ceux qui investissent sur des produits financiers hors d Afrique, ils ont souvent une méconnaissance des caractéristiques de leurs placements. Les caractéristiques des placements (actifs) doivent être en phase avec les engagements du passif des différentes structures investisseuses.
4 Nous pouvons prendre l exemple du cas dramatique d une grande banque centrale africaine qui a perdu en 2008 la somme de 25 millions d Euros à cause d un placement dont elle ignorait visiblement les caractéristiques. Il devient donc nécessaire pour les grandes institutions africaines qui sont très liquides de recourir à des cabinets de consultants indépendants qui interviendront auprès d eux pour les accompagner dans leurs problématiques de gestion de trésorerie, de dette, d allocation d actifs et de sélections de gestionnaires. Ils se chargeront de sélectionner le meilleur produit / investissement en fonction du profil investisseur (Risque/Performance/Maturé/Liquidité) de leur client. Capital-Investment : Le continent africain est dominé par une prépondérance du secteur informel et une abondance des petites et moyennes entreprises (autrement dit, en Afrique tout le monde est «Entrepreneur») qui éprouvent des difficultés de financement via les banques locales. Celles-ci préfèrent octroyer généralement des prêts à court terme, moins risqués pour elles, à des taux d intérêt élevés, et exigent des garanties importantes. D autre part, les PME africaines peinent à trouver des compétences qualifiées. Ainsi, en usant de prises de participation, les fonds d investissement (Capital-Investment) soutiennent le secteur informel par le biais des PME locales. Ils leur octroient un financement long terme doublé d un accompagnement et d une assistance en termes de stratégie et de gestion. Ce métier totalement méconnu dans les années 90 est entrain d évoluer depuis peu par l intérêt grandissant des investisseurs envers l Afrique (arrivée récente d investisseur israéliens, ). Il faut toutefois préciser que, pour la plupart, ces fonds d investissement ne sont pas des philanthropes. Une fois leur objectif de performance et leur horizon de placement (cinq ans en moyenne) atteints, ils se désengagent de l entreprise en cédant leur part de capital sur le marché boursier, à la direction, à un autre fonds ou à un tiers. Notation financière : Trois agences de notation règnent sur les marchés financiers mondiaux : Il s agit de Fitch, Moody s et Standard & Poors (S&P) qu on appelle les «Big Three». La notation financière fournit un ensemble de normes et de repères qui permettent d évaluer la performance et la situation financière d une entreprise ou d un état. Il s agit là d un indicateur d importance qui permet aux investisseurs de percevoir les niveaux de risque auxquels ils pourraient s exposer : la solvabilité, la qualité du crédit ou qualité emprunteur d une entreprise ou d un état. Bien entendu, il faudrait un système de notation adapté à l environnement régional. Les états africains qui empruntaient souvent auprès des bailleurs de fonds tels que la Banque Mondiale ou le FMI, se sont rendu compte que ce système n était pas toujours très adapté à leurs besoins. Ils se sentaient quelques fois un peu étriqués dans leurs choix d investissement par certains principes de conditionnalité. D où leur désir de diversifier leurs sources de
5 financement en empruntant sur le marché financier. Afin d être attractifs et de réduire le coût de leur emprunt, plusieurs pays africains ont fait appel à Standard & Poors en 2010 pour la notation de leur dette. Les pays les mieux notés étaient le Botswana, l Afrique du Sud, la Tunisie, la Libye avec une notation située entre A+ et A-, et les pays les moins bien notés étant le Gabon, le Cameroun, le Sénégal, le Burkina avec une notation de BBB-. Une réglementation sur la notation financière publiée en Novembre 2009 par l organe régulateur de la BRVM (Bourse régionale de valeurs mobilières) qui s intitule CREPMF (Conseil régional de l épargne publique et des marchés financiers) avait fixé l échéance de Novembre 2011 pour une première notation des émetteurs intervenant en bourse. Ainsi, les émetteurs bénéficiant d une bonne notation attireraient bien que leurs taux d intérêt soient plus bas que ceux actuellement pratiqués par le marché. Toutefois, ce concept dynamiserait considérablement le marché financier, car une fois la crédibilité et l expertise des agences de notations établies, les entreprises bien notées n auront pas de difficultés à lever des fonds auprès du marché financier sous-régional. Pour accompagner cette transition vers la notation, l Union économique et monétaire ouestafricaine a instauré une législation en novembre Jusqu alors, les prêts devaient être garantis en totalité notamment en contractant une assurance assez chère pouvant atteindre 3 % du prêt. Maintenant, un émetteur qui obtiendrait une note égale ou supérieure à BBB pourrait s en passer. Contrôle Interne / Gestion des risques Le Contrôle interne constitue un instrument essentiel dans la politique de gestion et maîtrise des risques d une institution financière. Il veille au respect des réglementations, ainsi qu aux règles et procédures internes affectant les différentes tâches et responsabilités d un établissement financier. Cette fonction aura de plus en plus son importance dans un contexte financier international qui s aligne aux nouvelles règles prudentielles Bâle 2 et Solvency 2. Car ces règles prudentielles exigent des moyens humains et informatiques importants puisque chaque établissement devrait disposer de systèmes d information robustes pour l archivage et le traitement de gros historiques de données financières de leurs clients. D autre part, dans un contexte de fébrilité économique avec des crises financières souvent imprévisibles, il sera indispensable de se doter de fortes compétences techniques au sein des équipes de risques, capable par exemple de développer des scénarios de stress (worse case scenario) tel que c est aujourd hui le cas dans quelques pays tels que le Ghana, le Nigéria. Qu est ce que c est qu un scénario de stress? Dans le cadre d un portefeuille, il s agit d un exercice consistant à simuler des dégradations de variables de marchés (Volatilités, devises, taux d intérêt, ) afin d évaluer les pertes potentielles d un portefeuille d actifs. Dans le cadre d une banque, il s agit d un exercice consistant à simuler des conditions économiques et financières extrêmes mais plausibles afin d en étudier les conséquences sur la banque et de mesurer sa capacité de résistance à de telles situations.
6 Micro Assurance : Dans un contexte dominé par les travailleurs de l informel, la micro-assurance serait un métier d avenir en Afrique. Elle est une particularité de l assurance et a vocation à protéger les personnes à faibles revenus contre les risques (accident, maladie, décès familiaux, catastrophe naturelle) en échange du paiement d une prime calculée en fonction de leurs besoins, de leurs revenus et du niveau du risque concerné. Selon une étude réalisée en 2009 par le Fonds pour l innovation en micro-assurance de l Organisation internationale du travail (OIT), en collaboration avec l Organisation des assurances africaines (OAA) et la Fédération des sociétés d assurances de droit national africaines (FANAF), il n y a que 2,6% d africains vivants avec moins de 2 dollars par jour qui sont actuellement couverts par des produits de micro-assurance. Sachant que L Afrique du Sud couvre à elle seule 56% de ce total. Ainsi Le marché potentiel de la micro-assurance représente une opportunité non négligeable pour les assureurs. D après cette même étude, la micro-assurance cible les travailleurs pauvres, qui constituent un marché en Afrique d environ 700 millions de personnes soit environ 25 milliards de dollars. Cependant, l expansion de la micro-assurance éprouve des difficultés d attractivité d une part, du manque de culture et de compréhension des mécanismes de l assurance et d autre part, du fait d un problème d image dû à des pratiques douteuses se traduisant par l incapacité pour certaines compagnies d assurance à faire face à leurs engagements. Il s ensuit donc la nécessité d investir dans l éducation des futurs consommateurs parallèlement à un travail d assainissement des pouvoirs publics dans ce secteur.
LE REFINANCEMENT PAR LE MARCHE HYPOTHECAIRE
LE REFINANCEMENT PAR LE MARCHE HYPOTHECAIRE J O U R N É E S A J B E F N I A M E Y M A I 2 0 1 2 P R É S E N T É P A R M R D A O B A B A ( F G H M. S A / M A L I ) Préambule L objectif de la présente communication
Plus en détailNOTE D'INFORMATION SUR L'ÉMISSION OBLIGATAIRE DE $.US 1 MILLIARD SUR 10 ANS (JANVIER 2015)
NOTE D'INFORMATION SUR L'ÉMISSION OBLIGATAIRE DE $.US 1 MILLIARD SUR 10 ANS (JANVIER 2015) En vue d éclairer l opinion publique tunisienne, initiée et non initiée, sur l opportunité de l émission obligataire
Plus en détailHausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada
Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des
Plus en détailGESTION DES TITRES PUBLICS EN ZONE UEMOA
GESTION DES TITRES PUBLICS EN ZONE UEMOA Présenté par Mame Marie Sow SAKHO SEMINAIRE CONSUMAF 4,5 et 6 décembre 2006 1 SOMMAIRE CONTEXTE MARCHE DES TITRES PUBLICS : OBJECTIFS VISES LES DIFFERENTS TITRES
Plus en détailTotal Sélection Période de souscription : Durée d investissement conseillée Éligibilité
Total Sélection Instrument financier émis par Natixis SA (Moody s : A2, Fitch : A, Standard & Poor s : A au 20 novembre 2014) dont l investisseur supporte le risque de crédit. Total Sélection est une alternative
Plus en détailFCPE AG2R LA MONDIALE ES CARMIGNAC INVESTISSEMENT. Notice d Information
FCPE AG2R LA MONDIALE ES CARMIGNAC INVESTISSEMENT Fonds Commun de Placement d Entreprise (FCPE) - Code valeur : 990000097549 Compartiment oui non Nourricier oui non Notice d Information Un Fonds Commun
Plus en détailalpha sélection est une alternative à un placement risqué en actions et présente un risque de perte en capital, en cours de vie et à l échéance.
alpha sélection alpha sélection est une alternative à un placement risqué en actions et présente un risque de perte en capital, en cours de vie et à l échéance. Instrument financier émis par Natixis (Moody
Plus en détailRENDEMENT ACTION BOUYGUES JUILLET 2015
RENDEMENT ACTION BOUYGUES JUILLET 2015 Titres de créance présentant un risque de perte en capital en cours de vie et à l échéance 1 Durée d investissement conseillée : 8 ans (hors cas de remboursement
Plus en détailRécapitulatif: Du 17 au 28 Août 2015. Mesures de développement de la place de Paris. Retard dans l implémentation du format SWIFT au Maroc.
Du 17 au 28 Août 2015 Récapitulatif: Mesures de développement de la place de Paris. Retard dans l implémentation du format SWIFT au Maroc. Accord de partenariat entre la Bourse de Casablanca et London
Plus en détailPrésenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
EXPERIENCE SENEGALAISE DE LA MICROASSURANCE: DEFIS ET OPPORTUNITES Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème sera abordé en cinq
Plus en détailLE FINANCEMENT DES ENTREPRISES
Copyright Duhamel Blimbaum. Introduction La création récente de la Banque Publique d Investissement reflète la nécessité d une refonte des processus mais aussi et surtout des moyens de financement des
Plus en détailPRESENTATION DES FONDS COMMUNS DE PLACEMENT DE CGF BOURSE
00 PRESENTATION DES FONDS COMMUNS DE PLACEMENT DE CGF BOURSE SOMMAIRE QU EST-CE QU UN FONDS COMMUN DE PLACEMENT?...04 QUELS SONT LES AVANTAGES LIES AUX FONDS COMMUNS DE PLACEMENT?...04 Y-A-T IL DES RISQUES
Plus en détailREGLEMENTS FINANCIERS DE L AGIRC ET DE L ARRCO. (avril 2014)
REGLEMENTS FINANCIERS DE L AGIRC ET DE L ARRCO (avril 2014) PREAMBULE REGLEMENT FINANCIER DE L AGIRC L Association générale des institutions de retraite des cadres (Agirc) a pour objet la mise en œuvre
Plus en détailRéforme du Code des assurances :
Réforme du Code des assurances : orienter l épargne des Français vers les entreprises Pierre Moscovici, ministre de l économie et des finances «Une des priorités de mon action est de réconcilier l épargne
Plus en détailUFF PRESENTE UFF OBLICONTEXT 2021, NOUVEAU FONDS A ECHEANCE D OBLIGATIONS INTERNATIONALES, en partenariat avec La Française AM
COMMUNIQUE de Presse PARIS, LE 13 JANVIER 2015 UFF PRESENTE UFF OBLICONTEXT 2021, NOUVEAU FONDS A ECHEANCE D OBLIGATIONS INTERNATIONALES, en partenariat avec La Française AM UFF Oblicontext 2021 est un
Plus en détailGLOSSAIRE. ASSURÉ Personne dont la vie ou la santé est assurée en vertu d une police d assurance.
GLOSSAIRE 208 RAPPORT ANNUEL 2013 DU MOUVEMENT DESJARDINS GLOSSAIRE ACCEPTATION Titre d emprunt à court terme et négociable sur le marché monétaire qu une institution financière garantit en faveur d un
Plus en détailInvestissements et levées de fonds en Afrique Enjeux et perspectives
1 Compte Rendu de Conférence Investissements et levées de fonds en Afrique Enjeux et perspectives 24 octobre 2013 Auditorium de Deloitte En partenariat avec 2 CONTEXTE ET OBJECTIFS: La levée de fonds est
Plus en détailESSEC. Cours «Management bancaire» Séance 3 Le risque de crédit
ESSEC Cours «Management bancaire» Séance 3 Le risque de crédit Plan de la séance 3 : Le risque de crédit (1) Les opérations de crédit Définition d un crédit La décision de crédit Les crédits aux petites
Plus en détailEn Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures
En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures 1 Introduction I Cette étude considère l urbanisation comme
Plus en détail26 avril 2013. Réglementation et contrôle appuyant les marché d'assurance inclusifs. Lomé Togo 1
Questions sur la réglementation et le contrôle de la Micro-assurance (2007) et le Papier d'application sur la réglementation et le contrôle appuyant les marchés (2012) 3 ème Congrès Actuariel Africain
Plus en détailComment les pauvres gèrent-ils le risque?
Comment les pauvres gèrent-ils le risque? Le présent dossier donne un aperçu de la manière dont les ménages pauvres gèrent les risques. Fondé sur les recherches effectuées via les journaux financiers dont
Plus en détailInstitut pour le Développement des Capacités / AFRITAC de l Ouest / COFEB. Cours régional sur la Gestion macroéconomique et les
Institut pour le Développement des Capacités / AFRITAC de l Ouest / COFEB Cours régional sur la Gestion macroéconomique et les questions de dette Dakar, Sénégal du 4 au 15 novembre 2013 S-7 Cours et rendement
Plus en détailLe cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs?
Le cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs? Me Pierre MARLY Avocat CMS Bureau Francis Lefebvre E-mail : pierre.marly@cms-bfl.com 1 - Le cadre
Plus en détailPrésenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
PERSPECTIVES DES MARCHES D ASSURANCES AFRICAINS Présenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème qui nous a été confié porte sur les
Plus en détailFCPE EP ECHIQUIER PATRIMOINE. Notice d Information
FCPE EP ECHIQUIER PATRIMOINE Fonds Commun de Placement d Entreprise (FCPE) - Code valeur : 990000097559 Compartiment oui non Nourricier oui non Notice d Information Un Fonds Commun de Placement d Entreprise
Plus en détailBoussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue!
Boussole Juin 2015 Divergence des indicateurs avancés Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Les règles du placement financier - Partie III Votre patrimoine,
Plus en détailÀ quoi sert une banque?
À quoi sert une banque? Trois fonctions clés La banque remplit trois fonctions essentielles. Elle collecte, gère vos dépôts, et vous fournit des moyens de paiement (chéquier, carte bancaire, ordre de virement
Plus en détailla solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire
la solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire HISTORIQUE Le Centre pour le Développement des Exportations Africaines CEDEXA S.A. CEDEXA
Plus en détailTARGET ACTION TOTAL MARS 2015
TARGET ACTION TOTAL MARS 2015 Titres de créance présentant un risque de perte en capital en cours de vie et à l échéance 1 Durée d investissement conseillée : 8 ans (hors cas de remboursement automatique
Plus en détailÉnoncé de la politique et des règles de placement de la trésorerie (ÉPRPT)
Portefeuille de trésorerie de l Université d Ottawa Énoncé de la politique et des règles de placement de la trésorerie (ÉPRPT) 1. But L Énoncé de la politique et des règles de placement de la trésorerie
Plus en détailMonnaie, banques, assurances
Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d
Plus en détailTarification. Mise à jour du 1 er juillet 2010
BRVM - DC / BR Bourse Régionale des Valeurs Mobilières Afrique de l Ouest Dépositaire Central Banque de Règlement Afrique de l Ouest Mise à jour du 1 er juillet 2010 Objet de la mise à jour La mise à jour
Plus en détailFinance de marché Thèmes abordés Panorama des marches de capitaux Fonctionnement des marchés de capitaux Le marché des obligations Le marchés des
FINANCE DE MARCHE 1 Finance de marché Thèmes abordés Panorama des marches de capitaux Fonctionnement des marchés de capitaux Le marché des obligations Le marchés des actions Les marchés dérivés Les autres
Plus en détailAnalyse Financière. Tunis Re en Bourse. En toute Ré Assurance. Souscrire à l OPF
Analyse Financière Tunis Re en Bourse En toute Ré Assurance Souscrire à l OPF Mars 2010 2A n a l y s e F i n a n c i è r e I n t r o d u c t i o n e n b o u r s e : O f f r e à p r i x f e r m e Secteur
Plus en détailBRIEFING NOTE 1 ETATS DES LIEUX DE LA MICRO-ASSURANCE EN AFRIQUE. 1. Dénombrer les bénéficiaires de la micro-assurance sur le continent africain
BRIEFING NOTE 1 Microinsurance Innovation Facility ETATS DES LIEUX DE LA MICRO-ASSURANCE EN AFRIQUE 1. Dénombrer les bénéficiaires de la micro-assurance sur le continent africain En Afrique, la micro-assurance
Plus en détail(Bangui, les 30 et 31 mars 2007) EMISSION OBLIGATAIRE EN ZONE UEMOA : EXPERIENCE DE LA BANQUE OUEST AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT
Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) Atelier régional - Zone CEMAC sur «l émission des titres publics par appel public à l épargne» (Bangui, les 30 et 31 mars 2007) EMISSION OBLIGATAIRE EN ZONE
Plus en détaill eri Communication à caractère promotionnel
l eri Titres de créance présentant un risque de perte en capital en cours de vie et à l échéance. L investisseur supporte le risque de crédit de NATIXIS (Moody s : A2 / Fitch : A / Standard & Poor s :
Plus en détailb ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales)
b ) La Banque Centrale Notre système bancaire se complexifie puisqu il se trouve maintenant composer d une multitude de banques commerciales et d une Banque Centrale. La Banque Centrale est au cœur de
Plus en détailLes valeurs mobilières. Les actions 3. Les droits et autres titres de capital 5. Les obligations 6. Les SICAV et FCP 8
Les actions 3 Les droits et autres titres de capital 5 Les obligations 6 Les SICAV et FCP 8 2 Les actions Qu est-ce qu une action? Au porteur ou nominative, quelle différence? Quels droits procure-t-elle
Plus en détailLA CRH EST LA CENTRALE FRANCAISE DE REFINANCEMENT DU LOGEMENT. son unique activité est le refinancement des prêts acquéreurs au Logement des banques
LA CRH EST LA CENTRALE FRANCAISE DE REFINANCEMENT DU LOGEMENT son unique activité est le refinancement des prêts acquéreurs au Logement des banques 1 PRÉSENTATION DE LA CRH La CRH est un établissement
Plus en détailEPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER
EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER Chapitre 25 Mankiw 08/02/2015 B. Poirine 1 I. Le système financier A. Les marchés financiers B. Les intermédiaires financiers 08/02/2015 B. Poirine 2 Le système
Plus en détail4,50 % Obligation Crédit Mutuel Arkéa Mars 2020. par an (1) pendant 8 ans. Un placement rémunérateur sur plusieurs années
Obligation Crédit Mutuel Arkéa Mars 2020 4,50 % par an (1) pendant 8 ans Souscrivez du 30 janvier au 24 février 2012 (2) La durée conseillée de l investissement est de 8 ans. Le capital est garanti à l
Plus en détailDORVAL FLEXIBLE MONDE
DORVAL FLEXIBLE MONDE Rapport de gestion 2014 Catégorie : Diversifié International/Gestion flexible Objectif de gestion : L objectif de gestion consiste à participer à la hausse des marchés de taux et
Plus en détailLES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO
LES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO La BCEAO dispose dans chaque Etat membre de l UEMOA, d une agence nationale et des agences auxiliaires. L agence nationale du Niger comprend trois représentations
Plus en détailCONSERVATEUR OPPORTUNITÉ TAUX US 2
Placements financiers CONSERVATEUR OPPORTUNITÉ TAUX US 2 Profitez de la hausse potentielle des taux de l économie américaine et d une possible appréciation du dollar américain (1). (1) Le support Conservateur
Plus en détailNature et risques des instruments financiers
1) Les risques Nature et risques des instruments financiers Définition 1. Risque d insolvabilité : le risque d insolvabilité du débiteur est la probabilité, dans le chef de l émetteur de la valeur mobilière,
Plus en détailBourse Régionale des Valeurs Mobilières de l UMOA : orientations et actions stratégiques pour le développement
Bourse Régionale des Valeurs Mobilières de l UMOA : orientations et actions stratégiques pour le développement Conférence de presse Abidjan, le 30 novembre 2012 Plan 1 - Présentation de la Bourse Régionale
Plus en détailrelatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances
COMITE DE LA REGLEMENTATION COMPTABLE Règlement n 2003-03 du 2 octobre 2003 relatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances (Avis n 2003-09 du 24 juin 2003 du compte rendu CNC)
Plus en détailentreprises. Ensuite, la plupart des options d achat d actions émises par Corporation
28RE_chap_EP4.qx:quark de base 7/16/09 7:37 PM Page 858 Troisième partie : Le financement des ressources Les principales caractéristiques des travaux suggérés Questions de révision (N os 1 à 25) Exercices
Plus en détailDeutsche Bank AG (DE) (A / A2) Fund Opportunity Coupon 2023 VI. Type d investissement A QUOI VOUS ATTENDRE? Public cible
Deutsche Bank AG (DE) (A / A2) Fund Opportunity Coupon 2023 VI A QUOI VOUS ATTENDRE? Titre de dette structuré émis par Deutsche Bank AG. Coupon brut annuel variable lié à la performance annualisée d un
Plus en détailLa finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012
La finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012 Sommaire I - Le rôle prépondérant des marchés financiers I.1 - Financiarisation de l'économie mondiale I.2 Lien avec l'entreprise
Plus en détailGuide de l investisseur
Guide de l investisseur Sommaire 2 Les principes d investissement 5 Les différentes formes d investissement 6 Les obligations 16 Les actions 24 Les fonds d investissement 36 Les produits dérivés 42 Les
Plus en détailETUDE AFRIQUE AUPRES DU RESEAU BPIFRANCE EXCELLENCE
NOTE INTERNE DIRECTION DE L INTERNATIONAL ET DE L UNIVERSITE POLE AFRIQUE ET MEDITERRANEE DECEMBRE 2014 ETUDE AFRIQUE AUPRES DU RESEAU BPIFRANCE EXCELLENCE Bpifrance accompagne le développement des entreprises
Plus en détailCREATION MONETAIRE ET SON CONTROLE
CREATION MONETAIRE ET SON CONTROLE PAR LES AUTORITES MONETAIRES SECTION 1 : LA CREATION MONETAIRE A Acteurs et modalités de création monétaire : La création monétaire consiste à accroître la quantité de
Plus en détailCAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES
Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications
Plus en détailChapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 décembre 2014 à 14:22 Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale? Ce chapitre ne fait plus partie du programme, mais il est conseillé de
Plus en détailL actuariat et les nouveaux horizons de l assurance en Afrique
L actuariat et les nouveaux horizons de l assurance en Afrique Application à l assurance vie Février 2014, version 1.1 Aymric Kamega, Actuaire Directeur associé, PRIM ACT aymric.kamega@primact.fr www.primact.fr
Plus en détailCommission des finances
Autorité internationale des fonds marins ISBA/21/FC/5 Commission des finances Distr. limitée 4 juin 2015 Français Original : anglais Vingt et unième session Kingston (Jamaïque) 13-24 juillet 2015 État
Plus en détailÉtude d impact quantitative No 3 Risque de crédit - Instructions
Étude d impact quantitative No 3 Risque de crédit - Instructions Nous vous remercions de votre participation à cette étude d impact quantitative (EIQt n o 3), qui a pour but de recueillir de l information
Plus en détailEmprunt Obligataire «Tunisie Leasing 2013-1»
EMISSION D UN EMPRUNT OBLIGATAIRE VISA du Conseil du Marché Financier : Portée du visa du CMF : Le visa du CMF, n implique aucune appréciation sur l opération proposée. Le prospectus est établi par l émetteur
Plus en détailRepères n 7. Le financement des PME en Afrique. par Céline Kauffmann. www.oecd.org/dev/reperes CENTRE DE DÉVELOPPEMENT DE L OCDE
CENTRE DE DÉVELOPPEMENT DE L OCDE www.oecd.org/dev/reperes Repères n 7 Le financement des PME en Afrique par Céline Kauffmann Repères n 7 découle des Perspectives économiques en Afrique 2004/2005, une
Plus en détailBanque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013
Banque Zag Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation 31 décembre 2013 Le présent document présente les informations au titre du troisième pilier que la Banque Zag (la «Banque») doit communiquer
Plus en détail1. La fonction de règlement ne peut être assurée au niveau international que dans des conditions bien différentes. D une part, les agents concernés
Introduction La notion de système évoque l idée d organisation. Un système monétaire national est l organisation des relations monétaires dans un pays : comment les agents économiques peuvent-ils utiliser
Plus en détailTARGET ACTION GDF SUEZ
TARGET ACTION GDF SUEZ NOVEMBRE 2014 Titres de créance présentant un risque de perte en capital en cours de vie et à l échéance 1 Durée d investissement conseillée : 8 ans (hors cas de remboursement automatique
Plus en détailAnnexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif
Annexe 1 Stratégie de gestion de la dette 2014 2015 Objectif La Stratégie de gestion de la dette énonce les objectifs, la stratégie et les plans du gouvernement du Canada au chapitre de la gestion de ses
Plus en détailCORRECTION BANQUE DUPONT-DURAND
CORRECTION BANQUE DUPONT-DURAND DOSSIER A : GESTION DES COMPTES 20 points A.1 Conservation des relevés de compte 2 A.2 Démarche en cas d anomalie sur relevé 3 A.3 Calcul montant des agios (annexe A) 7
Plus en détailFIP PATRIMOINE & HÔTEL N 5. Investir dans des PME du SECTEUR HÔTELIER
FIP PATRIMOINE & HÔTEL N 5 Investir dans des PME du SECTEUR HÔTELIER Jean-Marc Palhon Président d Extendam Pourquoi investir dans des PME du secteur hôtelier?
Plus en détailLancement de l Appel à Projets
Lancement de l Appel à Projets dans toute la France pour relever les nouveaux défis du secteur financier 21 Janvier 2015 1 Les objectifs de l Appel à Projets Identifier et soutenir, par l attribution du
Plus en détailChapitre 2 : l évaluation des obligations
Chapitre 2 : l évaluation des obligations 11.10.2013 Plan du cours Flux monétaires, prix et rentabilité Bibliographie: caractéristiques générales Berk, DeMarzo: ch. 8 obligations zéro-coupon obligations
Plus en détailCadre de référence de la gestion du patrimoine de l Institut Pasteur
Cadre de référence de la gestion du patrimoine de l Institut Pasteur Préambule Fondation privée reconnue d utilité publique à but non lucratif, l Institut Pasteur dispose de différents types de ressources
Plus en détailLes marchés financiers en Afrique Subsaharienne : Etat des lieux, problématiques, enjeux et perspectives
Subsaharienne : Etat des lieux, problématiques, enjeux et perspectives Publication PMC Mars 2009 Performances Management Consulting est une société de conseil en management stratégique, créée en 1995 par
Plus en détailLA CRRH-UEMOA ET LES PLACEMENTS DES COMPAGNIES D ASSURANCE
LA CRRH-UEMOA ET LES PLACEMENTS DES COMPAGNIES D ASSURANCE Plan I. La CRRH-UEMOA : Quinze mois d activités opérationnelles II. Cadre institutionnel et organisation III. Règles d intervention : Critères
Plus en détailLettre d information aux porteurs de parts du FCP INTRINSEQUE FLEXIBLE
3, rue Boudreau 75009 PARIS Tél +33 (0)1 44 94 29 24 / Fax +33 (0)1 44 94 23 35 Paris, le 19/6/2013 Lettre d information aux porteurs de parts du FCP INTRINSEQUE FLEXIBLE Part I : FR0010758722 / Part P
Plus en détailL histoire de l assurance en Algérie
POINT DE VUE POINT OF VIEW Assurances et gestion des risques, vol. 81(3-4), octobre-décembre 2013, 285-290 Insurance and Risk Management, vol. 81(3-4), October-December 2013, 285-290 L histoire de l assurance
Plus en détailLOOKBACK TO MAXIMUM NOTE 2
Société Générale (Paris) LOOKBACK TO MAXIMUM NOTE Un instrument de créance structuré émis par Société Générale S.A. (Paris) Durée de 8 ans. Mécanisme d observation annuelle dès la ème année égale à la
Plus en détailENTREPRENEURS EN AFRIQUE
Entrepreneurs ENTREPRENEURS EN AFRIQUE Entrepreneurs Campus France Agence nationale qui a une double tutelle Ministère des affaires étrangères et du développement international Ministère de l éducation
Plus en détailMAE/BRH DI-002 DOCUMENT D INFORMATION. Les Banques dans l economie nationale Un apercu
LLa Banque de la République d Haïti a le plaisir de vous présenter le second numéro de la série «Document d Information». Cette dernière a pour but d informer le public en général, et les opérateurs économiques
Plus en détailFAIRE DE LA PUB AVEC NOUS
FAIRE DE LA PUB AVEC NOUS QUI SOMMES NOUS? Inspire Afrika Magazine est un webzine créé par des jeunes pour les jeunes. Notre but est de promouvoir les entrepreneurs africains de moins de 40 ans basés sur
Plus en détailPRESENTATION AFD- juin 2004
PRESENTATION AFD- juin 2004 Présentation de FINADEV Bénin- Groupe FINANCIAL AFD Paris - juin 2004 1 1. PRESENTATION GENERALE Si vous le permettez, avant de vous exposer la situation de FINADEV BENIN, première
Plus en détailNOTICE D INFORMATION
FCP A FORMULE PULPAVIE NOTICE D INFORMATION Forme Juridique de l'opcvm : F.C.P. Etablissements désignés pour recevoir les souscriptions et les rachats : Agences des CAISSES REGIONALES de CREDIT AGRICOLE,
Plus en détailSOMMAIRE. Bulletin de souscription
SOMMAIRE Flash-emprunt subordonné «Tunisie Leasing 2011-2» Chapitre 1 : Responsables de la note d opération 1.1. Responsables de la note d opération 1.2. Attestation des responsables de la note d opération
Plus en détailPOLITIQUE GÉNÉRALE D INVESTISSEMENT Ordre des conseillers en ressources humaines agréés
POLITIQUE GÉNÉRALE D INVESTISSEMENT Ordre des conseillers en ressources humaines agréés Présentée par Krzysztof Kuzniar Directeur, finances et administration Le lundi 29 mars 2010 Table des matières 1.
Plus en détailAsset Quality Review
Asset Quality Review Eclairage, par Harwell Management 1 Table des Matières En quelques mots... 3 Contexte : une confiance sur la santé des bilans des banques européennes fragile... 3 Objectifs et Enjeux...
Plus en détailARIAL OBLIGATIONS ENTREPRISES. Notice d Information
ARIAL OBLIGATIONS ENTREPRISES Fonds Commun de Placement d Entreprise (FCPE) - Code valeur : 990000092149 Compartiment oui non Nourricier oui non Notice d Information Un Fonds Commun de Placement d Entreprise
Plus en détailOPCVM. Organisation, Risques et Responsabilités
Séminaire Régional de La COSUMAF Libreville Décembre 2006 OPCVM Organisation, Risques et Responsabilités Mr Fadhel Abdelkéfi Directeur Général de Tunisie Valeurs OPCVM: Organisation, Risques et Responsabilités
Plus en détailLe revenu et le pouvoir d achat
Le revenu et le pouvoir d achat Le revenu & le pouvoir d achat Le revenu d une personne est la somme d argent perçue en contrepartie du travail fourni, de ses placements, d un service rendu ou d une situation
Plus en détailAVIS D OUVERTURE DE L OFFRE SUR LES ACTIONS DE LA SOCIETE MANUFACTURE DE PANNEAUX BOIS DU SUD «MPBS»
AVIS D OUVERTURE DE L OFFRE SUR LES ACTIONS DE LA SOCIETE MANUFACTURE DE PANNEAUX BOIS DU SUD «MPBS» ADMISSION DES ACTIONS DE LA SOCIETE «MPBS» AU MARCHE PRINCIPAL DE LA BOURSE : La Bourse a donné, en
Plus en détailAttijariwafa bank : un Groupe au service d une Afrique qui avance
Attijariwafa bank : un Groupe au service d une Afrique qui avance En bref : Président Directeur Général: Mohamed EL KETTANI Siège Social : 2. Bd Moulay Youssef - BP: 11141 20000 Casablanca - Maroc Capital:
Plus en détailPROSPECTUS SIMPLIFIÉ LE 7 MAI 2014
LE 7 MAI 2014 PROSPECTUS SIMPLIFIÉ Fonds de revenu Fonds Desjardins Revenu à taux variable (parts de catégories A, I, C et F) Aucune autorité en valeurs mobilières ne s est prononcée sur la qualité de
Plus en détailQU EST-CE QU UNE BANQUE? 1 RE PARTIE Questions et réponses sur le thème des banques
Les banques en tant qu intermédiaires financiers Qu est-ce qu une banque? Une banque est une entreprise dont l activité principale consiste à recevoir l épargne en dépôt, à accorder des crédits et à fournir
Plus en détailActivités et résultats 2011
Activités et résultats rci en bref RCI Banque est la captive financière de l Alliance Renault Nissan et assure à ce titre le financement des ventes des marques Renault, Renault Samsung Motors (RSM), Dacia,
Plus en détailOffre Isf 2013. 2013 fonds d investissement de proximité
Offre Isf 2013 2013 fonds d investissement de proximité du fip 123ISF 2013 Fiscalité La souscription au FIP 123ISF 2013 offre : Une réduction d ISF immédiate de 50% des versements effectués (déduction
Plus en détailCertificat BNP Paribas Double Avantage 2017 Placement d une durée maximale de 4 ans et 9 mois à capital non garanti
Certificat BNP Paribas Double Avantage 2017 Placement d une durée maximale de 4 ans et 9 mois à capital non garanti Cette offre peut être close à tout moment. ANNEXE À LA NOTICE : CARACTÉRISTIQUES PRINCIPALES
Plus en détailAttijariwafa bank Présentation. Conseil d administration. Chiffres-clés Consolidés / IFRS. Réseau et effectifs Décembre 2014
Février 2015 Attijariwafa bank Présentation Attijariwafa bank est le premier groupe bancaire et financier du Maghreb et de l UEMOA (Union Économique et Monétaire Ouest Africaine) et acteur de référence
Plus en détailL activité financière des sociétes d assurances
L activité financière des sociétes d assurances Les marchés boursiers ont repris au cours de l année 2003. Par conséquent, les plus-values latentes sur actifs des sociétés d assurances augmentent. Les
Plus en détailp s den Titres de créance de droit français présentant un risque de perte en capital en cours de vie et à l échéance(1).
p s den 1 / 12 Titres de créance de droit français présentant un risque de perte en capital en cours de vie et à l échéance(1). ériode de commercialisation : du 18 mai au 17 juillet 2015. La commercialisation
Plus en détailSemaine de la finance pour les enfants et les jeunes Journées portes ouvertes du 10 au 14 mars 2014
Semaine de la finance pour les enfants et les jeunes Journées portes ouvertes du 10 au 14 mars 2014 La monnaie Les moyens de paiement La banque La bourse Qui protège l épargne et les dépôts du public dans
Plus en détailLOI FÉDÉRALE SUR LES PLACEMENTS COLLECTIFS DE CAPITAUX (LPCC) DU 23 JUIN 2006
LOI FÉDÉRALE SUR LES PLACEMENTS COLLECTIFS DE CAPITAUX (LPCC) DU 23 JUIN 2006 NEUFLIZE USA OPPORTUNITES $ Société d investissement à capital variable de droit français Fusion-absorption de la SICAV NEUFLIZE
Plus en détail