Bonne saison des récoltes 2012 et bonne rentrée des classes à tous! Ce mois-ci

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1 Édition d août 2012 Volume MMXII Numéro 4 Tiré à 155 exemplaires GEST-INFO Ce mois-ci Analyse de groupe Lait Page 4 Analyse de groupe Grandes Cultures Page 10 Pertes au battage Pages 15 Pleins feux sur : PLUS QU UN AN POUR ÊTRE CERTIFIÉ LCQ Il ne reste plus qu un an avant la date d échéance pour obtenir la certification au programme Lait canadien de qualité (LCQ). Les producteurs recevront une lettre à cet effet dans les prochains jours. Les producteurs ayant déjà obtenu leur certification verront leur prime passer de 1,50 $/hl à 2,00 $/hl au 1er août Les conventions de mise en marché prévoient également des pénalités de 2,00 $/hl pour les producteurs qui ne seront pas titulaires d un certificat LCQ au 1er août Cette pénalité augmentera de 2,00 $/hl tous les trois mois, soit à 4,00 $/hl en novembre 2013, à 6,00 $/hl en février 2014 et à 8,00 $/hl en mai Conseil d administration 2 Mot du président 3 Mot de la conseillère 3 Analyse de groupe Lait 4-7 L endettement 8 Les anniversaires 8 Dix étapes pour réussir son Ensilages de maïs 9 Analyse de groupe Grandes Cultures Divers 14 Pertes au battage 15 Des conseillers indispensables 16 Les sites choux-choux 17 Assurances de ferme 18 Impact des rotations culturales courtes commandements en production laitière 20 Nos commanditaires Les membres intervenants 24 Nos coordonnées 24 Mot de la conseillère en page 3 Bonne saison des récoltes 2012 et bonne rentrée des classes à tous!

2 GEST EST-INFO Journal du Groupe Conseils Agricoles Des Basses-Laurentides (Publié 6 fois par année) G.C.A.B.L. Fondé en 1980 Affilié à la F.G.C.A.Q Organisme à but non lucratif, composé d entreprises agricoles s offrant principalement des services en gestion et des services neutres et professionnels CONSEIL D ADMINISTRATION PRÉSIDENT CÉDRIC CAMPEAU VICE-PRÉSIDENT GUILLAUME DAOUST ADMINISTRATEURS CHRISTIAN DESCHAMBAULT CLAUDE PROULX DANIEL CHARBONNEAU À VENDRE Tracteur David Broun, 1961 moteur 880, 4 cylinde Prix: 3800$ Info : (819) GASTON BLAIS JÉROME CHATELAIN JEAN-PIERRE ÉTHIER JULIE LACASSE SECRÉTAIRE AUDREY LEMAIRE TRÉSORIÈRE LUCIE LEROUX # 238

3 Mot du président Bonjour à tous Nous sommes à la fin de l été, les récoltes de céréales sont bien entamées et la rentrée des classes se fera sous peu! Espérant que les températures soient clémentes pour la saison de récolte 2012, car mère nature nous a amené toutes sortes de conditions cet été. N oublions pas de garder un œil sur la gestion, malgré l ampleur du travail qui nous attend aux champs prochainement! Si vous avez des projets ou des questions, n hésitez pas à contacter l équipe du GCABL, car ils sont là pour vous aider. Je vous souhaite une très belle fin d été et de belles récoltes 2012! Cédric Campeau, président Bonjour tout le monde, Vous passez un bel été à date??? Pour les gens en vacances, on ne peut pas trop se plaindre de la température. Pour vous les producteurs agricoles, avoir un peu plus de pluie serait bien apprécié!!! Le foin et les céréales ne poussent pas comme on voudrait... Dans cette édition du Gest-Info et dans la prochaine du mois d octobre, vous trouverez quelques articles sur l analyse de groupe lait et grandes cultures La présentation a été faite le 5 juillet dans notre région. Merci beaucoup à ceux qui se sont déplacés pour l occasion. Ceux qui n ont pas pu venir, vous devriez l avoir reçu par la poste. Alors prenez le temps de lire les articles et de faire le lien avec votre document. Si vous avez des questions, n hésitez pas à nous contacter et on peut regarder le tout ensemble. L été c est le temps des vacances! Alors juste pour vous avertir, voici l horaire des vacances pour nous tous. Rachel : 23 juillet au 10 août Jocelyne : 30 juillet au 17 août Jasmine : 6 août au 17 août et du 27 août au 4 sept Frédéric : 1 semaine à confirmer, plus tard cet automne Alors je vous souhaite une bonne fin d été à tous! Je vais prendre une partie du mois d août pour me reposer avant ma visite au Nouveau-Brunswick pour aller voir les 5 producteurs là-bas et pour être en forme pour le temps des fermetures qui recommence déjà en octobre!!! Alors bonne lecture à tous et bonnes récoltes! Jasmine Vincent, agr.

4 Analyse de groupe Lait 2011 Le 5 juillet dernier, les GCA des Laurentides et de Lanaudière ont présenté conjointement l analyse de groupe lait et grandes cultures dans la région des Laurentides. Une autre présentation a été faite la semaine suivante dans la région de Lanaudière. Ce sont les chiffres de la Rive-Nord (Ontario, Outaouais, Laurentides et Lanaudière) qui ont été présenté. À partir de maintenant, c est les chiffres de tous ces groupes qui vont être mis ensemble pour faire l analyse de groupe. Cela nous permet d avoir un échantillon plus large, des chiffres plus précis mais aussi de faire des sous-groupes et pousser plus loin certaines analyses. Je voudrais remercier tous ceux qui ont travaillé à préparer l analyse de groupe cette année. Sans eux, je n aurais pas réussi à tout faire à temps! Alors merci à Audrey Lemaire, Marie-Christine Tellier, Lyne Tarte, Rachel Gagnier, Mathieu Charbonneau, Pier-Luc Grégoire, Frédéric Jasmin, Salimou Bamba ainsi que Roger Asmar. Un gros merci également aux producteurs qui sont venus aux différentes présentations. Pour ceux qui n ont pas pu venir, je sais qu il faisait beau et que plusieurs d entrevous étiez dans les champs, vous devriez avoir reçu votre document par la poste. Si vous avez des questions, n hésitez pas à contacter votre conseiller en gestion pour prendre le temps de regarder votre analyse et bien la comprendre. À titre d information, comme mentionné plus haut, l analyse 2011 a été faite avec les chiffres des producteurs de la Rive-Nord. Pour ceux qui se posent la question si le fait d ajouter l Ontario par exemple change les chiffres dans les cultures. On a fait le test et fait des moyennes dans le lait comme dans les cultures avec et sans l Ontario. Il n y a pas eu de différence significative entre les deux, c est pourquoi à partir de maintenant on va toujours mettre les 4 régions ensemble. Voici donc quelques faits saillants pour l année Dans votre document vous pouvez voir qu on a ajouté une 3 ème moyenne, soit celle selon votre quantité de quota possédé. On a donc créé 3 groupes additionnels, soit un pour les 0-45kg, les 45-90kg et les 90kg et plus. Vous pouvez donc désormais vous comparer à une moyenne selon la quantité de quota possédé, à la moyenne de la Rive-Nord et au groupe de tête. Cela peut vous être utile selon les résultats que vous avez et peut vous donner de nouveaux objectifs à atteindre. Pour commencer, voici un tableau qui démontre les critères pour faire partie du groupe de tête. Vous pouvez voir les résultats de la moyenne ainsi que les résultats du groupe de tête. Il faut répondre à au moins 4 critères pour être dans le groupe de tête. C est 20% des entreprises qui en font partie. Critères pour être dans le groupe de tête Moy 2010 Moy 2011 Tête 2011 RST/UTP > $ % charges < 50% Rdmt actif > 5% RST/hl > 27$/hl Ch. Var./kgmg < 9.6$/kgmg Marge lait std > 4 100$/vache Lait/kg conc. > 3.okg Efficience alimentaire >

5 Passons maintenant à quelques résultats du côté de la production laitière. Prenez votre document et allez à la section lait (après la page bleu). Regardez plus en profondeur les pages 27 et 30. Ce sont les critères technico-économiques et le côté alimentation. Vous pouvez voir votre évolution des 3 dernières années et la comparaison avec les 3 différentes moyennes. Regardez vos propres chiffres et répondez aux questions suivantes: Au cours des dernières années, avez-vous fait votre quota? Avez-vous été capable de profiter de la marge et des journées additionnelles? Comment évaluez-vous la longévité de vos vaches? Comment évaluez-vous votre taux de réforme? Est-ce que votre marge std par vache augmente avec les années? Comment ce compare votre marge std par vache avec la moyenne? Vos coûts d alimentations ont-ils augmenté en 2011? Le lait/kg de concentré a-t-il augmenté au cours des dernières années? Êtes-vous surpris de vos coûts des fourrages? Combien vous coûte une taure premier veau? Êtes-vous satisfait de l âge au premier vêlage? Si vous aviez un âge au premier vêlage de 25 mois, combien d animaux auriez-vous besoin? Alors si on regarde les critères dans la page 27, on peut voir que le nombre moyen de vaches est de 84.5 vaches. C est un peu moins de vaches que l année dernière pour la même quantité de lait vendu. On peut donc en déduire que la moyenne de lait par vache a augmenté. Elle est passée de 8 639litres en 2010 à 8 897litres en Le pourcentage du quota vendu est passé de 101.9% à 103.2%. Les entreprises ont donc fait un peut plus de lait mais n ont pas pu profiter de la marge et des journées additionnelles. En 2011, avec la marge et toutes les journées, c est 11.8% de votre quota additionnel que vous auriez pu faire mais en moyenne c est seulement 3.2% qui a été fait. Du côté de la régie du troupeau, un point des points important à regarder est l âge moyen des vaches. Il est bas avec 4 ans et 1 mois. C est près de la moyenne provinciale mais c est tout de même bas. Avec un âge au premier vêlage moyen de 26.2 mois, cela signifie qu une vache reste en moyenne dans le troupeau 23 mois seulement. C est très court et vous n avez pas le temps de rentabiliser l élevage de la vache si vous la garder 2 ans en production seulement. En général, une vache commence à être payante et rentable à partir de sa 3 ème lactation. En relation avec ce point, il faut voir pourquoi vous gardez les vaches pour une si courte période. Regardez donc votre taux d élevage et votre taux de réforme. Il faut que les deux soient semblable et idéalement, près de 25%. Si vous sortez des vaches, c est souvent parce qu il y a des taures qui arrivent et qui manque de place dans l étable. Alors vous sortez des vaches qui commencent à peine à être rentable pour faire entrer des taures. Le taux de réforme de la moyenne est de 33.2% et le taux d élevage est de 34%. On voit donc que les deux se suivent, ce qui est bien. Par contre, le taux d élevage pourrait être diminué d au moins 7% sans problème. Si on prend le tableau de la page 29 dans votre analyse et qu on dit qu on baisse le taux d élevage à 25% et un âge au premier vêlage de 26 mois. Pour un troupeau de 85 vaches, cela signifie un besoin de 51 taures de 0 à 26 mois. Avec un taux d élevage à 35%, c est un besoin en taures de 71 taures. C est 20 taures de plus et avec un coût d élevage à 2 013$ (charges variables seulement), c est $. C est beaucoup d argent mais également du temps que vous pouvez sauvez en diminuant votre taux d élevage à 25%.

6 Si on regarde maintenant le côté efficacité laitière, on peut voir certains progrès en La marge standard par vache est passée de 3 614$ à 3 812$ entre 2010 et Cette hausse vient principalement de la hausse de la moyenne de lait mais également du meilleur prix reçu à l hectolitre. Les charges aussi ont augmenté mais pas autant que les revenus, ce qui est très bien. Le prix cible est passé de 68.87$/hl à 69.59$/hl alors que le prix reçu est passé de 78.14$/hl à 80.91$/hl pour un écart de 9.27$/hl en 2010 et un écart de 11.32$/hl en C est une bonne amélioration entre les deux années. Pour ce qui est du groupe de tête, ce dernier a un coût de 65.06$/hl et un prix reçu de 81.34$ pour un écart de 16.28$/hl. Plus l écart entre le coût et le prix reçu, mieux c est. À noter que les ristournes Agropur sont incluses dans le prix reçu. Critères d alimentation Moy 2010 Moy 2011 Tête 2011 Moyenne lait (litres) Lait/kg conc. (litres) Lait fourrager/vache (kg) Efficience alimentaire Coût alimentation ($/hl) Moulée/vache (T) Coût concentrés ($/T) Marge sur coût d alimentation Vous pouvez voir différents critères et résultats du côté de l alimentation pour les deux dernières années et le groupe de tête. Regardez vos résultats et comparez-vous, soit avec la moyenne, soit avec le groupe de tête. On peut observer qu il y a une amélioration pour la majorité des points dans le tableau en 2011, ce qui est très bien. L alimentation a peut-être coûté plus cher en 2011 mais la production a augmenté et la marge sur le coût d alimentation est meilleure. Donc parfois, avoir des charges plus élevées peut être bon si les revenus sont plus élevés et que la marge augmente par le fait même. Le lait par kg de concentré augmente avec les années mais il est encore loin des recommandations d être à 3kg minimum. Le groupe de tête est à 3.05kg en Le lait fourrager s améliore mais la moyenne est de loin inférieure au groupe de tête. Beaucoup moins de concentrés ont été donnés, c est une raison de la hausse du lait/kg de concentré. Un point à regarder attentivement c est l efficience alimentaire. Ce ratio explique comment une vache transforme l énergie et la protéine dans son alimentation pour en faire du lait. Le ratio doit être le plus élevé possible. On voit une évolution entre les deux dernières années mais encore une fois, la moyenne est loin du groupe de tête. Ce résultat pour être utilisé comme indice que quelque chose ne fonctionne pas bien. Parfois, le problème n est pas seulement dans l alimentation mais dans la régie globale du troupeau. Deux entreprises peuvent avoir des rations similaires mais une efficience alimentaire différente. Alors si votre efficience alimentaire est basse, il faut regarder avec votre nutritionniste ou conseiller technique pour voir pourquoi les vaches ne transforment pas bien l alimentation. Donc en résumé, l année 2011 a été bonne en général du côté de la production laitière. Le fait d ajouter d autres régions à notre analyse n a fait que renforcir les chiffres et nous donne une banque de donnée plus large et plus précise. La moyenne de lait est supérieure et il en est de même avec la marge standard par vache. Le coût de production est légèrement plus élevé mais le prix reçu l est encore plus alors l écart entre les deux

7 est plus grande en Encore une fois, le groupe de tête est beaucoup plus efficace que la moyenne. Alors selon vos résultats, vous pouvez vous comparer au groupe de tête pour trouver des points à vous améliorer dans les années à venir. J ai pu comparer les chiffres de la région avec deux autres grosses régions au Québec. Je dois vous dire que la région de la Rive-Nord a de bons résultats en général! Côté efficacité, vous avez un meilleur taux de charges et un meilleur solde résiduel. Sur le côté production laitière, en général la moyenne de lait est supérieure, de même que la marge sur l alimentation et la marge de lait standard. On a quelques points du côté technico-économique à travailler. Vous avez de belles entreprises mais il y a toujours place à l amélioration. Si vous voulez savoir quoi faire, lire mon autre article sur comment faire plus avec ce que vous avez déjà. Je termine en vous disant que vous devriez être fiers de vos entreprises laitières!!! Bravo pour vos efforts, vous pouvez voir que les résultats démontrent que vous ne travaillez pas en vain!!! Jasmine Vincent, agr. Conseillère en gestion agricole Récolte exceptionnelle de blé Publié le juillet 31, 2012 par Andre Dumont Plus de 7 tm/ha dans le blé d automne et jusqu à 5 tm/ha dans le blé de printemps biologique! La récolte de blé 2012 au Québec passera à l histoire. À l invitation de la Boulangerie Auger et des Moulins de Soulanges, le Bulletin.com a pu prendre place à bord d une moissonneuse-batteuse d Agri-Fusion 2000, mardi (31 juillet). Dans un champ en régie biologique à Sainte-Justine, en Montérégie-Ouest, le capteur de rendement montrait 4,5 tm/ha. «Les rendements cette année sont de 25 à 30 % supérieurs aux meilleurs années», a confié Rudy Laixhay, des Moulins de Soulanges, qui est en lien avec des producteurs dans plusieurs régions du Québec. Le blé de 2012 s avère complètement exempt de toxines, a-t-il ajouté. Le blé a été semé tôt en avril. Il a pu germer et commencer à croître pendant le temps frais et humide qui a suivi. Par la suite, les rares épisodes de pluie lui ont suffi et le temps sec était au rendez-vous au stade critique de la floraison, de sorte qu il n y a pas eu d infection à la fusariose.

8 L endettement : un Levier ou un Boulet? Les fermes et les entreprises en générale n ont pas le choix que de s endetter s ils veulent évoluer et progresser. Les dettes des fermes québécoises n ont pas cessées d augmenter : cette dette agricole a plus que quadruplé depuis 1981 passant de M$ à M$ en 2010 (Source Statistique Canada). L utilisation du levier financier (utiliser la dette pour réaliser des projets d investissement) permet aux entreprises d accélérer leur développement et de réaliser des projets autrement impossibles sans le recours à la dette. Pour que le levier ne se transforme pas en boulet, il faut s assurer que : -Les investissements que les fermes font soient rentables ou pour remplacer des actifs indispensable à la production (il faut que la rentabilité du projet dépasse le taux d intérêt que l entreprise paie). - Bien planifier les investissements majeurs afin d`éviter les erreurs et réduire les risques. - Préparer des budgets: basé sur une rentabilité moyenne (résultats historiques d au moins 4 ans et des prix moyen des produits) et garder une marge pour les imprévus. -Réduire la dette lorsqu on fait des bénéfices intéressants. -Conserver un solde résiduel positif avec une marge intéressante pour l-autofinancement ou pour des mises de fond. -le remboursement en capital est supérieur au montant des amortissements (pour être certain que le prêt sera fini avant la vie utile de l actif). Joyeux anniversaires Septembre 3 Julie Michaud Ferme Pioui 19 Rachel Gagnier Technicienne GCABL 23 Fernand Villeneuve Ferme Fernand & Irenea Villeneuve 24 Jacynthe Guindon Ferme Corbeil et Fils 27 Lise Proulx Ferme Claude & Lise Proulx 29 Daniel Charbonneau Ferme Vachalê Octobre 8 Julie Charbonneau Ferme Vachalê 10 Dominic Lauzon Ferme Martinic SENC 15 Guillaume Daoust Ferme F & D Daoust 18 Rémi Drouin Ferme Drouin & Fils 19 Daniel Campeau Ferme Camporet 19 Françis Forget Ferme Forget 2001 inc. 25 Marc-André Forget Ferme Forget 2001 inc. 27 Ginette Éthier Ferme Riky SENC Vos conseillers en gestion sont toujours disponibles pour vous aider à analyser et à panifier des projets, n hésitez pas à nous en parler Roger Asmar, agr Conseil en gestion au GCAL

9 Dix étapes pour réussir son ensilage de maïs Publié le mai 17, 2012 par Marie-Josée Parent Il est possible d obtenir d excellents résultats avec l ensilage de maïs, année après année. Il s agit tout simplement de suivre les conseils suivants, proposés par le docteur Ev Thomas, du Miner Institute, dans l état de New York. 1. Sélection de l hybride : La base pour réussir son ensilage de maïs est de choisir un excellent hybride à haut rendement qui a fait ses preuves. Haut rendement signifie beaucoup de plants, mais également un bon épi à chaque plant. Seuls les hybrides BMR font exception à cette règle, en raison de la plus haute digestibilité de leurs fibres. Malheureusement, ce type d hybride n est pas adapté à toutes les régions du Québec. 2. Hybride génétiquement modifié : Il ne faut pas payer pour des technologies qui ne seront pas utilisées, comme la résistance au glyphosate, si cet herbicide n est pas employé sur la culture. Par contre, les hybrides BT valent la peine d être achetés, car ils demeurent en santé plus longtemps et peuvent être récoltés plus rapidement qu un hybride qui n a pas cette particularité. 3. La population : La hausse des rendements dans les ensilages de maïs des dernières décennies est due, en majeure partie, à la capacité des nouveaux hybrides à produire un bon épi à chaque plant à un haut niveau de population. Dans la plupart des situations, un taux de semis de grains par hectare devrait être visé. 4. La fertilisation : Fertiliser le maïs sur la base d une analyse de sol et sur la recommandation d un agronome. Si aucun fumier n est utilisé, des oligo-éléments pourraient être requis, comme le zinc qui est souvent déficient chez le maïs et qui n est pas dispendieux à utiliser. 5. Bon contrôle des ennemis au semis : Les traitements d insecticide et de fongicide sont inclus avec la semence et doivent répondre aux problématiques identifiées par votre conseiller. Ils aident au contrôle des insectes et maladies, tout en favorisant un bon établissement de plants sains et vigoureux. 6. Maturité à la récolte : Une humidité de 70 % est trop haute. Une humidité variant entre 65 % et 67 % est idéale pour l obtention de hauts rendements d ensilage d excellente qualité. La récolte doit se faire avant la première gelée mortelle. 7. Finesse de mouture : Il ne devrait pas y avoir plus de 5 % de grains dont l enveloppe est intacte. Les rouleaux craqueurs doivent être bien ajustés, la barre de coupe neuve ou retournée et les couteaux affilés régulièrement selon la grosseur du chantier. 8. Compaction et distribution : Une compaction et une distribution adéquates de l ensilage dans le silo-couloir et le silo-tour sont essentielles à une bonne fermentation. L épaisseur étendue dans le silocouloir ne doit pas dépasser 15 cm (6 po) et il ne faut pas lésiner à compacter à plus d un tracteur, si la dimension du silo le permet. 9. Laisser l ensilage se stabiliser : L ensilage de maïs n est pas un fourrage stable et la dégradabilité de l amidon et de la protéine augmentera avec le temps. Si cela est possible, il est préférable d attendre au mois de janvier pour commencer l utilisation de l ensilage. 10. Tester, tester, tester : Tester la température du sol avant le semis, la matière sèche du fourrage à la récolte et l ensilage au moment de le servir. Les bons producteurs prennent les moyens pour que leurs projets se réalisent tandis que les mauvais éleveurs ne comprennent jamais ce qui leur arrive. Source : Miner Institute, Chazy,

10 Analyse de groupe Grandes Cultures 2011 Pour une 2 ème année consécutive, les résultats des grandes cultures ont été présentés la même journée que les résultats de la production laitière. Tout comme dans la production laitière, cette année les chiffres des producteurs de l Ontario, de l Outaouais et de Lanaudière ont été ajoutés à nos producteurs des Laurentides. Cela nous permet d avoir plus d entreprise et des résultats plus précis. Une moyenne avait été faite avant d ajouter les producteurs de l Ontario et il n y avait pas de différence significative quand on ajouter les producteurs de l Ontario. On peut donc utiliser ces chiffres et bien se comparer. Vous pouvez donc prendre votre document et regarder vos chiffres. Vous les trouverez après la feuille verte, à partir de la page 31. Finalement, prendre note que la moyenne des grandes cultures est faite à partir d entreprises qui sont principalement des producteurs laitiers qui font des cultures. Alors les chiffres peuvent varier selon votre production principale. Pour ceux qui sont intéressé, il y aurait la possibilité d avoir les chiffres des producteurs de la Montérégie. L analyse de gestion répartie inclus les produits de toutes les productions culturales, les charges et les bénéfices des cultures. Les chiffres sont en montant $ et également en $/ha pour pouvoir faire une comparaison. Tout ce qui est produit est considéré comme vendu aux prix standard pour obtenir le produit brut culture. Cela signifie que ce qui est mangé pour les vaches est calculé comme vendu à la division culture de l entreprise. Des produits bruts culture, on y retranche les charges d approvisionnement et les charges des opérations culturales pour obtenir la marge avant charges fixes ou la marge sur charges variables. De cette marge, on y soustrait les charges fixes dont les amortissements de la machinerie et des bâtiments. C est ainsi que le bénéfice réparti culture est obtenu. Voici le tableau qui résume l analyse de gestion répartie pour les années 2010 et Une autre nouveauté en 2011 est qu avec plus de producteurs, nous avons pu faire un groupe de tête. Ce groupe est formé à partir du RST/ha. Analyse de gestion répartie Moyenne 2010 Moyenne 2011 Tête 2011 Superficie 169 ha 169 ha 242 ha $ $/ha $ $/ha $ $/ha Produits Charges Variables Marge Charges fixes Charges Totales Bénéfices Cultures RST/ha

11 Il peut rapidement être remarqué que l année 2011 n a pas été aussi bonne que celle de Les revenus sont pratiquement les même mais les charges ont grandement augmenté pour terminer l année avec un bénéfice culture très bas. Par contre, quand on regarde du côté du groupe de tête, on voit une très grande différence entre la moyenne et le groupe de tête. Les produits sont supérieurs de 570$/ha, ce qui équivaut à $ pour selon la superficie cultivée de la moyenne. Les charges totales sont supérieures de 124$/ha (20 956$) alors le bénéfice culture est meilleur de 446$/ha (75 374$). C est des montants très important entre la moyenne et le groupe de tête. Les résultats sont moins bons en 2011 principalement suite à la baisse des rendements car les prix ont continué d augmenter. Il faut noter aussi que c est la 2 ème année seulement que les cultures ont un bénéfice positif et que la production laitière n a pas à absorber le déficit des cultures. Passons maintenant à l analyse des marges par hectare. Cette analyse vous permet de connaître vos produits en $/ha, vos charges variables et de voir quelle est votre marge sur charges variable et la marge nette après avoir enlevé les charges fixes. Ces marges sont calculées pour toutes les productions que vous faites. Voici un tableau résumé pour le maïs grain sec, le blé, l orge, le soya, le foin et l ensilage de maïs pour l année Analyse des marges $/HA Blé Maïs Sec Orge Soya Foin M. Ens. Produits totaux C. Variables Marge C. Fixes Marge nette Rendements Il peut donc être observé que aucunes des productions n est rentables pour les producteurs en moyenne. Chaque production a une marge sur charges variables positives. Cela signifie que les approvisionnements est les charges culturales peuvent être payées mais les revenus ne sont pas assez élevés pour couvrir les charges fixes. L année dernière, le maïs sec et le soya réussissaient à couvrir toutes leurs charges. Ce qui n a pas aidé en 2011 est la baisse de rendement car les prix de ventes ont tous augmenté. L analyse des résultats répartis par hectare ou par tonne permet de connaître votre coût de production, de connaître l écart entre le prix du marché et votre coût de production, d identifier vos points forts et vos points à améliorer. Avec ses chiffres, vous allez pouvoir les utiliser pour appuyer vos décisions sur le choix de vos cultures et vos stratégie de production (forfait vs achat machinerie). Vous allez voir ce qu est votre prix cible, vos charges totales et le prix minimum à recevoir. À prendre en note que le prix minimum à recevoir n inclus pas vos retraits et la rémunération de votre avoir.

12 Résultats répartis $/Tonne Blé Maïs Sec Orge Soya Foin M. Ens. Approvisionnement Opérations culturales C. Variables C. Fixes Charges totales Rendement Les charges dans le tableau sont exprimés en $/Tonne. En le calculant de cette façon, le rendement devient très important. Plus les rendements sont bons, plus les charges par tonne diminuent. En 2011, les rendements ont tous diminué alors en partant, il faut s attendre à une hausse des charges. De plus, les coûts des intrants continuent d augmenter, ce qui fait augmenter les charges variables encore plus. D un autre côté, les charges fixes restent stables. Reste donc à regarder la différence entre le coût de production, le prix minimum à recevoir pour couvrir toutes les charges. Prix cible VS Prix de vente ($/T) Blé Maïs Sec Orge Soya Foin M. Ens. Charges Totales Rev. Ass, ASRA, Paille, Forfait = Prix Cible Amort + remb. Cap = Prix Minimum Prix de vente Écart (vente min) Avec le tableau précédent, il peut être observé que pour tous les types de grains, le prix de vente est inférieur au prix minimum que l entreprise devrait recevoir pour payer toute ses charges. Pour certains grains, l écart est beaucoup plus important que d autre. Ce n est pas la première année que le blé et l orge sont loin derrière et ce ne sera pas la dernière. Souvent les petites céréales sont produites pour avoir une bonne rotation des cultures. C est comme un investissement pour garder une bonne qualité des sols en même temps. Par contre, il faut faire tout en son possible de les rentabiliser le plus possible. À noter que pour le foin et l ensilage de maïs, le prix de vente est le prix standardisé car il est difficile d avoir un prix de vente précis. Lors de la présentation des chiffres, deux exercices avaient été fait pour savoir soit quel est le rendement minimum à avoir pour couvrir toutes vos charges ou quel prix vendre. Voici les tableaux qui résument les exemples. Cela s appelle le seuil de rentabilité de vos cultures. Pour ce faire, il a fallu fixer les charges fixent au même coût pour tout le monde et pour toutes les productions. Pour savoir le rendement minimum, c est le prix de vente qui a été fixé. Pour avoir le prix minimum, c est le rendement qui a été fixé. Vous avez donc deux exemples et vous pouvez le faire avec vos propres chiffres pour voir sur votre entreprise, quel est le rendement à avoir ou le prix de vente.

13 Seuil de rentabilité (rendement) Maïs Sec Orge Soya Foin M. Ens. Rendement (T/ha)(moy 5 ans) Prix ($/T) Produits ($/ha) Ch. Variables ($/ha) Rdt pour couvrir c. variables (T/ha) Marge/Ch. Variable (T/ha) Ch. Fixes ($/ha) Rdt pour couvrir c. fixes (T/ha) Seuil rentabilité (T/ha) Différence (moy 5 ans) Rdt réel 2011 (T/ha) Différence (T/ha) L exercice a été fait en utilisant les rendements moyens des 5 dernières années et avec les prix de ventes selon l ASRA sauf pour les fourrages, qui est un prix standardisé. Les charges fixes ont été fixés à 739$/ha pour toutes les productions. Les résultats finaux sont similaires aux résultats de la moyenne Avec les rendements des 5 dernières années, seulement le maïs réussi à couvrir tout car le seuil de rentabilité est inférieur au rendement moyen. Les autres productions ont des rendements inférieurs au rendement du seuil de rentabilité. Comme toujours, l orge est loin derrière. Le foin suit de près. Il faut augmenter les rendements dans les foins. C est primordial pour vous, surtout que vous êtes des principalement des producteurs laitiers!!! Seuil de rentabilité (prix) Maïs Sec Orge Soya Foin M. Ens. Charges (var et fixes) ($/ha) Rendement (T/ha)(moy 5 ans) Seuil rentabilité ($/T) Prix moyen reçu 2011 (T/ha) Différence ($/T) L exercice en fixant les rendements et trouvant le prix de vente pour atteindre le seuil de rentabilité arrive à la même conclusion. Seul le maïs y arrive. Voilà donc en résumé les résultats des grandes cultures pour l année Le bénéfice est positif pour une 2 ème année consécutive mais la marge est très mince. C est encore la production laitière qui couvre la différence. D un autre côté, le groupe de tête s en sort très bien et il fait face aux mêmes conditions météo que la moyenne. Il est donc important de regarder en profondeur la régie de vos champs, quels produits vous utilisez et quand vous les appliquer. Contacter votre agronome pour voir avec lui ce qui peut être fait chez vous pour améliorer les rendements. Vous êtes capable de faire plus avec ce que vous avez!! Jasmine Vincent, agr. Conseillère en gestion agricole

14 Nous sommes à regarder pour organiser une formation sur la génétique et la régie en lien avec la rentabilité de nos entreprises. Ca vous intéresse?? Ce serait en novembre! Les maux de pieds affectent la reproduction Publié le juillet 30, 2012 par Marie-Josée Parent Bulletin des agriculteurs sur le web Appelez-nous! L équipe du GCABL Joke du mois Deux blondes sont en voitures. Un oiseau chie sur le parebrise L une dit : -Il va falloir l essuyer. L autre rétorque : -Il est déjà trop loin La fourbure est une inflammation du pododerme, qui est la couche productrice des cellules de la corne des onglons des bovins. C est une maladie qui cause beaucoup de douleur à l animal qui en est atteint. Ce type de problème est occasionné par de multiples facteurs liés à l alimentation, au logement, à la gestion des vaches au cours du vêlage, au taillage des onglons, aux mycotoxines, etc. Même si la fourbure entraîne beaucoup de douleur chez la vache, celle-ci tentera de cacher ce problème pour ne pas perdre son rang social dans le groupe. Ainsi, elle passe souvent inaperçue pour l éleveur. En plus d affecter la santé et le bien-être de la vache, la fourbure a des impacts considérables sur sa reproduction, comme démontré à la figure ci-contre. Et s il n avait que deux conseils à donner à un producteur en matière de gestion, quels seraient-ils? «La connaissance de ses coûts et la discipline». Source : Patrice Carle, agr Si la fourbure n est pas traitée rapidement, elle dégénère en fourbure chronique et peut occasionner la réforme de l animal. Plusieurs éleveurs assument qu une vache qui a mal aux pieds aura moins de signes de chaleur, incluant les signes de la monte pour les vaches en stabulation libre, mais ce n est pas le cas. Les vaches atteintes de fourbures modérées ne changeront pas leur activité liée aux signes de chaleur, mais seront moins attrayantes que celles qui n ont pas mal aux pieds. Par contre, les vaches dont la fourbure est sévère ou chronique diminueront leur activité sexuelle par rapport aux vaches saines. Il est donc important de les identifier tôt pour éviter que la situation ne dégénère. Source : Hoard s Dairyman

15 Pertes au battage Publié le juillet 18, 2012 par Andre Dumont Les pertes de grains à la récolte peuvent coûter cher! Vaut mieux bien ajuster la moissonneuse-batteuse, puis vérifier combien de grains se retrouvent au sol derrière elle une fois en action au champ. «Certains font un très bon travail, d autres sont trop pressés et ne regardent jamais derrière la batteuse», observe Annie DesRosiers, agronome pour l est du Québec chez Pioneer. Dans le cas du maïs, si vous trouvez 16 grains par pied carré au sol, cela représente une demi-tonne à l hectare de perdue! Multipliez ça par le nombre d hectares et par le prix du grain, et les pertes se chiffrent rapidement en milliers de dollars. Avec les dates de semis qui varient beaucoup d un champ à l autre cette année, il sera encore plus important de faire les bons ajustements à la moissonneuse-batteuse, pour tenir compte des conditions de chaque champ, ajoute Annie DesRosiers. Que vous battiez vous-même vos cultures ou que vous le fassiez faire à forfait, regarder au sol derrière la batteuse est aussi important que de s arrêter avec le semoir pour voir si la semence est bien placée, fait-elle valoir. En collaboration avec Pioneer, Le Bulletin.com vous propose ce tableau, pour évaluer les pertes dans le maïs et le soya. Nombre de grains au pied carré Perte de rendement Maïs (tm/ha) Perte de rendement Soya (tm/ha)

16 DES CONSEILLERS INDISPENSABLES Par Denise Proulx, agence QMI Détenteurs d'actifs valant des millions de dollars, les hommes et les femmes du milieu agricole rencontrent les mêmes défis que les autres propriétaires de PME québécoises. Au jour le jour, ils s'entourent de conseillers en financement, en gestion, en techniques agronomiques, en relations humaines et même en marketing pour assurer le succès de leurs affaires. «Se doter de ces ressources coûte cher. Les entreprises agricoles ne les utilisent donc pas toutes d'égale façon, déplore Raymond Racicot, un agroéconomiste au service du Groupe Conseil Agricole de Coaticook. Pourtant, les entreprises ont accès à divers programmes qui financent ces aides professionnelles. Ces subventions sont administrées par Agriculture, Pêcheries et Alimentation Québec ainsi qu'agriculture et Agroalimentaire Canada. Les agriculteurs reçoivent aussi l'appui de l'union des producteurs agricoles (UPA) et de clubs conseils auxquels ils sont invités à adhérer. UN MARCHÉ MONDIALE Bien des réalités économiques influencent la rentabilité d une entreprise agricole. Le soutien de l état est en décroissance constante et le prix des intrants en hausse draconienne. Jean-Louis Charbonneau La valeur marchande des céréales est déterminée sur divers marchés mondiaux, comme à la Bourse de Chicago. Plusieurs multinationales détiennent la capacité de casser les prix et de contrôler la distribution. «L'entrepreneur agricole est à la merci d'un prix déterminé par des conditions qu'ils ne maitrisent pas et qui banalisent le coût de production de sa ferme», poursuit le conseiller en gestion. S'OUTILLER POUR SURVIVRE Selon M. Racicot, dans ce contexte, même si tous les agriculteurs ont un comptable, ils doivent absolument travailler avec un conseiller en gestion. «C'est une priorité pour analyser adéquatement ses priorités", ses objectifs et ses conditions budgétaires», croit Raymond Racicot. C est un travail d'équipe qui peut soutenir la réduction du taux d endettement et collaborer au succès du transfert intergénérationnel des entreprises sans conflits. En conséquence, l entrepreneur agricole doit se former et aller chercher au minimum un diplôme d'études collégiales, propose le spécialiste du Groupe Conseil Agricole. Actuellement, à peine le tiers des entrepreneurs agricoles détiennent ce niveau d'éducation. Il comprend toutefois que plusieurs entrepreneurs préfèrent l'expérience sur le terrain à une formation académique. «Ça joue contre la rentabilité de leur entreprise», estime Raymond Racicot. Le 23 juillet 2012 à l'âge de 89 ans et 2 mois est décédé M Jean-Louis Charbonneau, natif de Sainte- Thérèse. Il était fils de feu Jonas Charbonneau et de feu Marie-Ange Gratton. Il laisse dans le deuil sa tendre épouse Mme Alice Cyr avec qui il à vécu les 67 dernières années. Il laisse ses huit enfants Guy (Louise Papineau), Pierre (Suzanne Labelle), Paul (Francine Simard), Daniel (Nicole Groulx), Luc (Jacinthe Payette), Sylvie (Yves Bédard), Monique (Richard Maheu), Benoit (Lise Courcelles) dix sept petitsenfants et vingt-six arrières-petits-enfants qui se souviendront également pour toujours. Il y a de ces gens qui laissent leurs marques, M. Charbonneau était de ces gens! Nos condoléances à la famille.

17 Nouveauté! Vous trouverez dans ces pages, et ce à toutes les parutions, les liens internet de plusieurs informations que nous trouvons utiles pour la gestion de vos entreprises agricoles. Si vous avez des suggestions pour les prochains numéros, n hésitez pas à entrer en contact avec nous! Nos sites chou-chous Site de la Fédération des producteurs de Bovins du QC Site de la Banque du Canada Les résultats des marchés Site de la Fédération des producteurs de lait Site de CME group (ÉU) Prix des grains et autres denrées agricoles Le site du Conseil canadien de la gestion d entreprise agricole Institutions financières Banque nationale Banque BMO Rbc Banque royale Banque Laurentienne Caisse Desjardins Td Canada Trust *Vérifier les taux d intérêts régulièrement, permet d être mieux outillé lorsque vient le temps de négocier auprès des institutions financières 28 au 30 août Expo-Champs Saint-Liboire Au menu: kiosques de semenciers, expositions d équipements, essais libres d équipements, démonstrations de déchaumeurs et de faucheuses papillon, etc. Information: ou expochamps.com Site internet du gouvernement de l Ontario. Très intéressant pour ses divers articles portant sur pleins de sujets agricoles.

18 Retour sur la conférence Assurances générales pour les entreprises agricoles Le 12 avril dernier avait lieu notre conférence sur les assurances agricoles. Parmi la vingtaine de personnes présentes, toutes sont parties ravies d avoir assister à cette conférence. C est l agronome-conseil Denis Larouche du GCA Lac St-Jean, spécialisé dans le domaine des assurances, qui est venu expliquer comment fonctionne le grand monde des assurances. Denis a développé cette expertise lors de sa première intervention auprès d un membre ayant tout perdu son bâtiment principal, ses animaux et ses équipements dans un feu à l hiver Sous peu, M.Larouche compilera 25 années d expérience, et depuis ses débuts, il est intervenu dans une quinzaine de sinistres majeurs : incendie, tornade, vent, etc. Le but premier de cette conférence était, avant tout, de faire prendre conscience des répercussions d un sinistre, comment y faire face, mais surtout comment se munir d une bonne assurance en fonction de notre entreprise. Il mentionnait aussi l avantage que les gens ont lorsqu ils sont suivis par un conseiller en gestion, car ce dernier compile, années après années, les valeurs des bâtisses, des équipements, des animaux. Souvent en cas de sinistre, les gens sont émotifs et ne savent pas trop, par quelle étape commencer; alors, ils peuvent se tourner vers leur conseiller en gestion qui les aidera dans cette épreuve. Un dossier de réclamation peut se faire par trois personnes, soit l expert en sinistre de la compagnie qui nous assure, un expert en sinistre privé ou bien, par votre conseiller en gestion, qui montera le dossier que vous pourrez, par la suite, présenter à vos assurances. Voici quelques règles d or : Valider le type d assurance pour le camion de la ferme. Il faut l assurer pour le transport sur route de machineries agricoles (clause : remorques agricoles diverses sur police automobile) Valider l intérêt d augmenter les franchises afin d abaisser la prime (attention aux petites réclamations qui augmentent les primes) Aviser immédiatement l assureur de tous les changements, les acquisitions, les nouvelles constructions et les rénovations. Réviser la protection à tous les trois ans au minimum (si la règle précédente a été respectée) sinon à tous les ans. Mettre un minimum de $ en dépenses supplémentaires pour couvrir les frais de maintien de l exploitation en cas de perte partielle. Ne pas oublier la devise de l assureur Un assureur s engage à remettre l entreprise dans un même état, soit ni pire ni mieux qu avant le sinistre. Donc, il ne faut pas penser que ceux qui subissent un sinistre auront la chance de rebâtir plus gros et plus beau qu avant tout dépend de ce qui est inclus, ou bien exclus, de notre police d assurance.

19 Impacts des rotations culturales courtes Par Frédéric Jasmin, agronome Ce texte a été rédigé en collaboration avec Valérie Campeau, agronome Lors de la journée de présentation des résultats technico-économiques des producteurs faisant partie de l analyse comparative du Groupe conseils agricoles des Basses-Laurentides qui avait lieu le cinq juillet dernier, une présentation abordait les impacts économiques des courtes rotations de cultures. Depuis plusieurs années, les rotations courtes soit celles qui incluent très peu ou encore pas du tout de prairies tout en incluant plusieurs années de maïs et soya en alternance sont de plus en plus populaires. En effet, avec les prix des grains, il peut être très intéressant au niveau économique de laisser de plus en plus place à ces cultures sur vos entreprises. Cependant, plusieurs intervenants, notamment en agroenvironnement, affirment qu il y a plusieurs impacts agronomiques négatifs liés aux rotations qui sont de plus en plus courtes. Mais au niveau économique, quels en sont les impacts? C est ce que nous tenterons d évaluer de façon très brève au cours des prochaines lignes. Dans un premier temps, nous vous présenterons les principaux impacts négatifs au niveau agronomique, pour ensuite évaluer les impacts économiques et finalement aborder les principaux moyens d en diminuer les impacts négatifs. Principaux impacts négatifs des cultures récurrentes Favorisent la propagation des insectes, des maladies bactériennes et des champignons et virus qui inhibent la croissance des plantes et diminuent les rendements; Des pratiques culturales similaires et les rotations moins diversifiées favorisent la croissance de certaines mauvaises herbes et augmentent les risques de résistance de certaines mauvaises herbes aux herbicides utilisés de façon récurrente; La structure du sol se détériore, car le sol est généralement travaillé de façon plus intensive (avec le même type de racines); Comportement inhabituel des mycorhizes (champignons aidant à capter nutriments). Le développement des mycorhizes n est pas favorisé lorsque le sol est travaillé à chaque année comme c est souvent le cas pour les cultures annuelles sauf dans le cas du semis direct ou du travail réduit où les microorganismes du sol sont moins bouleversés par les travaux. De 2001 à 2003, selon des estimations au niveau mondial, tous les éléments mentionnés précédemment auraient engendré dans le maïs des pertes variant entre 18 et 58 % pour une moyenne de 31 %. Dans le soya.durant la même période, il était question de pertes estimées à environ 26 % de la récolte mondiale (pertes variant entre 11 et 49 %). Il s agit là de pertes potentielles considérables. En effet, en supposant un rendement en maïs de 9,3 t/ha et un prix de vente moyen de 285 $/t, on pourrait donc s attendre à des pertes moyennes de plus de 800 $/ha cultivé en maïs. Au niveau du soya, avec un rendement de 3,3 t/ha et un prix moyen de 480 $/t, on pourrait observer des pertes de plus de 396 $/ha. Et pourtant direz-vous, les rendements historiques vont toujours en augmentant. Eh bien, vous n avez pas tort! La recherche tant au niveau génétique que celui des pratiques culturales est tellement intensive que les rendements moyens sont en augmentation à long terme. Imaginez donc ce que seraient les rendements (et surtout l impact économique) si les effets négatifs liés aux rotations courtes étaient réduits Idéalement, une rotation sur cinq ans devrait inclure une prairie à dominance de légumineuses durant deux à trois ans. En pratique par contre, il peut être difficile de faire ce type de rotation. Une autre option pourrait être d inclure dans la rotation une céréale pure contre-ensemencée d un engrais vert de légumineuse (intercalaire) qui continue de croître suite à la récolte des céréales ou encore de semer un engrais vert résistant aux températures fraîches automnales suite à la récolte des céréales.

20 Suite de la page 19 En conclusion, il y a plusieurs éléments à prendre en compte en ce qui concerne les rendements des cultures. Par exemple, certaines entreprises utilisant le semis direct obtiennent de bons résultats dans une rotation sans prairies. Les rotations ne sont donc qu un élément parmi d autres au niveau du maintien et de l amélioration des rendements. Pour de plus amples détails à ce sujet, n hésitez pas à en parler avec votre conseiller ou votre conseillère en agroenvironnement. Vos rendements ne pourront qu en bénéficier tout comme votre marge de profit! Ce texte a grandement été inspiré de E.-C. Oerke, Crop losses to pests, Journal of agricultural science, 2006 SIGA FORMATIONS PAR INTERNET Formation générale Mercredi 24 octobre 2012 Formation paies Mercredi 7 novembre 2012 Formation facturation Mardi 27 novembre 2012 Formation budget Mercredi 5 décembre 2012 Formations débutant Mercredi 12 septembre 2012 Jeudi 22 novembre 2012 IMPORTANT Les formations par internet sont en après-midi et se déroulent de 13h30 à 15h30. Tous les détails au «L expansion de l entreprise doit demeurer un véhicule pour s épanouir», rappelle la coach Pierrette Desrosiers LES 10 COMMAMDEMENTS DE LA GESTION EN PRODUCTION LAITIÈRE 1. Tes principaux postes de dépenses tu contrôleras. 2. Tes risques tu connaîtras, pour mieux les gérer. 3. Ton environnement d affaires tu connaîtras, afin d anticiper les changements. 4. Ta discipline tu développeras, pour éviter le surendettement. 5. Les mérites de tes associés ou employés tu reconnaîtras, pour qu ils en fassent pour toi tout autant. 6. Économie et environnement tu concilieras, afin de pratiquer l agriculture durablement. 7. Ton entreprise tu construiras, sur tes valeurs comme fondement. 8. Un plan B tu prévoiras, au cas où ça se passe autrement. 9. Ton plan de match tu planifieras avec ton entourage soigneusement. 10. Les avis contraires tu solliciteras, plutôt que de t entourer de gens complaisants.

21 ASSURANCES ASSURANCES MICHEL OUIMET Tél: NOS COMMANDITAIRES 2012 ACIER, GAZ ET ÉQUIPEMENTS DE SOUDAGE ACIER OUELLETTE inc. w w w.acier-saint-jerome.com Tél: Vente gros et détail, ponceaux, métal Mtl: ASSUREXPERTS FORGET inc. Michel Forget, courtier d'assurances Tél: GROUPE VÉZINA & ASSOCIÉS Ltée Tél: Jean-Yves Guilbault Cell: PROMUTUEL DEUX-MONTAGNES Tél: Éric Dugré, dir REBUTS DE MÉTAL RENÉ OUELLETTE Achat de rebuts fer et métal, vente de fer usagé ALIMENTATION ANIMALE ET SEMENCES Tél: BOUCANNERIE BELLE-RIVIÈRE enr. Frédéric Legault, propriétaire DÉBITAGE Tél: AGRI SERVICES SD Inc. (PIONEER) Cell: Sylvain Doré, T.P., Audrey Trottier, agr Cell: BÉLISLE SOLUTION NUTRITION inc Y.Provencher (secteur ruminant) B.Marsolais (secteur porcin) CÉRÉALEX (Grains, farine,engrais chimique) Tél.: Sylvain Chayer, dir. St-Roch Entrepôt: COMPTOIR AGRICOLE ST-ANDRÉ Tél: Jocelyn Sabourin, semences-fertilisants-pesticides DAVID GIRARD (PIONEER) Tél: DÉPUTÉ(E)S BENOIT CHARETTE, Assemblée Nationale du Québec Tél: Député de Deux-Montagnes w w w.benoitcharette.org Me DENISE BEAUDOIN, Assemblée Nationale du Québec Tél: Députée de Mirabel denise.beaudoin-mira@assnat.qc.ca LAURIN LIU, Chambre des communes Tél: Députée fédérale de Rivière-des-Milles-Iles laurinliu@parl.gc.ca MYLÈNE FREEMAN, Chambre des communes Tél: Députée fédérale d'argentueil-papineau-mirabel mylene.freeman@parl.gc.ca ENTRETIEN MÉCANIQUE JOCELYN ÉTHIER (PRIDE) Tél: St-Benoît Cell: LES ENTREPRISES J.P. ROBERT inc. F. Lemaire M. Lafontaine A. Bergeron Tél: LES ENTREPRISES DE GESTION GES Inc Tél: UNIPRO et MÉGAPNEUS, Mécanique automobile Fax: MÉCANIQUE ALAIN SAINDON Tél: Réparation de tracteurs à domicile Cell: MÉCANIQUE ET SOUDURE MOBILE enr. Tél: MARC LEMOINE ENTREPRISES inc Tél: PICKSEED Cell: ALIMENTATION ANIMALE ET SEMENCES (suite) MEUNERIE DEUX-MONTAGNES (PURINA) Tél: P.Vincent dta. B.Brault agr. I.Grenier agr Serge Sicotte MONSIEUR MÉCANIQUE inc. Pierre-Paul Lavigne, St-Placide ANALYSE MÉCANIQUE INDUSTRIELLE Réparation de moteur électrique, compresseur, pompes, ventilateur Cell: Tél: Cell: Tél: Cell: MEUNERIES MONDOU Moulin BGL Tél: Tél: Fertinor Tél: PROFID'OR COOP Tél: Alimentation animale Engrais Tél: RITCHIE FEED & SEED inc. Bruce Dew ar Tél: EXCAVATION, CHAUX, DRAINAGE EXCAVATION ANDRÉ ET M. LEMAY St-André Est Tél: EXCAVATION R. MAINVILLE Tél: tailles de pelle, bull, loader, terrassement, déneigement Cell: ST-JACQUES & FILS J-Paul, Nicole & J-Pierre St-Jacques Drainage souterrain, Épandage fumier solide Tél: Y. &.R. PAQUETTE (excavation, chaux, drainage, déneigement) Tél: et

22 FORMATION RÉNOVATION ET CONSTRUCTION (suite) CENTRE DE FORMATION AGRICOLE DE MIRABEL w w w.cfam.qc.ca Tél: ISOLATION PAQUETTE inc. Tél: Uréthane, laine soufflée isolationpaquette1@bellnet.ca GROUPE LAITIER AGRI-PLUS Gilles Lavoie, agr président Tél: LÉPINE ET LÉPINE, Alex Lépine propriétaire Portes et fenêtres, fermes de toit et poutrelles Tél: LES ENTREPRISES GILLES LAURIN INC Entrepreneur électricien Tél: QUINCAILLERIE ST-AUGUSTIN, Amélie Bélisle propriétaire Peinture Sico, Benjamin Moore, articles de sucrerie, matériaux Tél: HYDRAULIQUE, BEARINGS & USINAGE SERVICES AGRICOLES G.G.BEARING inc., FREINS G.G. enr. Bearings, chaînes, joints, boyaux hydrauliques, pièces Tél: HYDRAUMOBILE G.N.S. inc. (unité mobile) Tél: Conception et entretien hydraulique et pneumatique Cell: MULTIPIÈCES H & H inc. Hydraulique-pneumatique, industriel Tél: REMORQUES SYLMAR, Pièces, bearings, remorques sur mesure, Boisbriand Tél: TD USINAGE DION Usinage général, soudure et réparations de tout genre Tél: SOLUPLI.COM, Ghislain Proulx propriétaire Tél: Soudure mobile, pliage, usinage général Cell: LOCATION D'OUTILS LES OUTILS ATLAS LOCATION Mirabel, St-Colomban, Boisbriand Tél: Pierre Groulx, propriétaire w w w.location-outils-atlas.com Tél: PNEUS SERVICE DE PNEU SARRAZIN inc. Tél: Ville de St-Antoine PRODUITS PÉTROLIERS C.A.B. (INSÉMINATION) CLUB HOLSTEIN DES LAURENTIDES Sébastien Proulx, président CLUB PROFIT-EAU-SOL Deux Montagnes(F.Huot).. Tél: Argenteuil(M.Giroux) Tél: Lanaudière(B.Ricard) Tél: Tél: Services en agroenvironnement et cultures Tél: COMPTOIR AGRICOLE STE-ANNE inc. Tél: Équipement de ferme, Ste-Anne des Plaines DISTRIBUTIONS. J.Y. ST-PIERRE inc. Bou-Matic-Val-Métal-Ventec-Silo Supérieur-Jamesw ay-p.f.b. S.-Turgeon-RAD Tél: LAURENCE'S DAIRY SUPPLIES inc. Westfalia Surge, Houle LES ENTREPRISES M.S.K. inc. entreprisesmsk@videotron.ca Tél: Tél: Houle, Rovibec, Wic, Patz, IEL, Agri-Clé, Bâtiments agricoles clé en main VALACTA, Pierre-Luc Perreault, conseiller stratégique Tél: Audrey Trottier Tél: SERVICES FINANCIERS BANQUE LAURENTIENNE Daniel Gagné Tél: Sylvie Allaire, agr. dairy@ontarioeast.net Tél: LES PÉTROLES BÉLISLE & BÉLISLE inc. Huile à chauffage, essence, diesel, lubrifiants Tél: BANQUE NATIONALE Olivier Mathieu, agr. Tél: Joël Lavigne, agr. Tél: MARCHÉ ÉTHIER EXPRESS Serge Éthier, propriétaire Essence, diesel, dépanneur Tél: CFE LAURENTIDES-SUD Tél: Serge guérin agr, directeur principal RÉFRIGÉRATION FINANCEMENT AGRICOLE CANADA Tél: Réjean Landry, agr., Nadia Bensalah, agr RÉFRIGÉRATION J.G. LAMBERT (1989) inc. Climatisation, ventilation & Thermopompe Tél: SERVICES PROFESSIONNELS CENTRE RÉGIONAL D'ÉTABLISSEMENT EN AGRICULTURE Laval-Lanaudière w w w.lescrea.com Tél: RÉNOVATION ET CONSTRUCTION ÉLECTRICITÉ JEAN GUINDON Entrepreneur électricien Tél: HENRI COUSINEAU & FILS inc. Tél: Puits artésiens, pompe à eau, w w w.puitscousineau.com CONSEIL FINANCE MD-Michel Dubé CA TéL: Consultant en financement agricole-partenaire Pro vie JACQUES TREMBLAY, Notaire Mirabel, (St-Benoît) Tél:

23 SERVICES PROFESSIONNELS (suite) TRAVAUX À FORFAITS MARC CARRIÈRE, Comptable agréé Mirabel, (Ste-Scholastique) Tél: FERME ROBERT LADOUCEUR inc. Travaux à forfait: battage, arrosage Tél: NATHALIE LEVERT, Arpenteur-géomètre Mirabel (St-Augustin) Tél: ENTREPRISES DES FERMES CHATHAM inc. Épandage de fumier liquide par irrigation et mécanique agr. Tél: Tél: PIERRE DESJARDINS, CGA St-Eustache Tél: SERVICE DE COMPTABILITÉ ET DE FISCALITÉ Tél: Fédération de l'upa Outatouais-Laurentides BUREAU VÉTÉRINAIRE MIRABEL VÉTÉRINAIRES DRS S.Villeneuve, J. Mc Ouat, N. Desjardins, J-F Fortin, N. Bousquet, Tél: SERVICES SANITAIRES S. Dansereau, N.Dupuis, M. Lemire Urg: LAJEUNESSE FOSSES SEPTIQUES Richard Lajeunesse, propriétaire Tél: Tél: CLINIQUE VÉTÉRINAIRE ST-ALEXIS SENC J-P. Allard, J. Cloutier, M-H Forget, S. Forget, J-L Gaudet, Tél: Y. Lapierre, R. Laplante, E. MacCallum Tél: HANS FLUELER (Tailleur de sabots) Otterburn Park TAILLEUR DE SABOTS Tél: Cell: EMBRYOBEC, Clinique Vétérinaire St-Louis DRS R.Sauvé et G.Massicotte Fax: HÔPITAL VÉTÉRINAIRE LACHUTE DRS S.Despatie, S.Armstrong, V. Bernier-Gosselin, M.E.Carroll, J.Jobin, P.Y. Mulon, M. Pouliot, M-C.St-Louis Tél: TAILLAGE DE SABOTS (table hydraulique) André et Éric Ouellette Tél: TRACTEURS ET MACHINERIES CENTRE AGRICOLE J.L.D. inc.(john Deere) Tél: w w w.jld.qc.ca En partenariat: À l'an prochain CENTRE KUBOTA DES LAURENTIDES Tél: St-Janvier ÉQUIPEMENTS M.TOUCHETTE inc. Pièces et équipements w w w.equipementsmtouchette.com Tél: Tél: ou (450) GARAGE BIGRAS TRACTEUR inc. (Landini, McCormick) Stéphane Bigras Tél: J. RENÉ LAFOND inc. Tél: New -Holland, St-Hermas Mtl: LES ÉQUIPEMENTS YVON RIVARD inc. Massey-Ferguson, Claas, Hardi w w w.agcocorpdealers.com/rivardinc Tél: TRANSPORT ÉRIC DESJARDINS Transport d'animaux Tél: Cell: TRANSPORT SLB inc.(linda et Sylvain Bigras) Transport d'eau, lait et gravier Tél:

24 GROUPE CONSEILS AGRICOLES DES BASSES- LAURENTIDES BUREAU DE ST-EUSTACHE : 15 Chemin Grande-cote Bureau 200 Saint-Eustache, Qc J7P 5L3 BUREAU DE GATINEAU : 99 rue Dollard Gatineau, Qc J8L 3E6 ADRESSE ÉLECTRONIQUE : gcabl@fgcaq.com DIRECTEURS DE COMPTES AGRICOLES Olivier Mathieu, agr. (450) Joël Lavigne, agr TÉLÉPHONE : (450) #236 TÉLÉCOPIEUR : (450) AUDREY LEMAIRE Secrétaire audrey.lemaire@fgcaq.com FRÉDÉRIC JASMIN Conseiller en gestion frederic.jasmin@fgcaq.com CONSEILLERS EN FINANCEMENT Réjean Landry, agr Nadia Bensalah, agr JASMINE VINCENT Conseillère en gestion jasmine.vincent@fgcaq.com JOCELYNE JOURDAIN Conseillère en gestion jocelyne.jourdain@fgcaq.com RACHEL GAGNIER Technicienne rachel.gagnier@fgcaq.com Éric Dugré, CMA (450) Directeur Général Mirabel La fédération sur le Web! Prochaine parution en Octobre 2012 Merci!

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