Vues d'estuaire SOCIAL. Economie. Habitat. environnement. mobilité. [année 2012]

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1 Vues d'estuaire SOCIAL Economie Habitat environnement mobilité [Un marché immobilier diversifié et attractif] [Carene, Cap Atlantique, Loire et Sillon, Pont-Château Saint-Gildas, Pornic, Sud Estuaire] [année 2012]

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3 habitat >> 3 Une diversité de parcs immobiliers confortée par l évolution récente du marché immobilier du Pôle Ouest p. 5 Les fiches d identité des intercommunalités du Pôle Ouest p. 15 Carene, Cap Atlantique, Loire et Sillon, Pont-Château/St-Gildas des Bois, Pornic et Sud Estuaire Les atouts et les enjeux du territoire en matière d habitat p. 23 SOMMAIRE Pôle Ouest Dénomination adoptée dans le cadre de ce Vues d Estuaire et correspondant au périmètre des intercommunalités suivantes : Carene, Cap Atlantique, CC Loire et Sillon, CC Pornic, CC Pays de Pont-Château Saint-Gildas-des-Bois, CC Sud Estuaire. CAP ATLANTIQUE CC DU PAYS DE PONT-CHÂTEAU SAINT-GILDAS-DES-BOIS CARENE CC LOIRE ET SILLON CC SUD ESTUAIRE CC DE PORNIC

4 >> 4 habitat Introduction La question du logement est centrale pour les ménages, puisque aujourd hui il constitue pour eux le premier poste des dépenses. En 2010, un ménage sur deux consacre plus de 18,5 % de ses revenus à son habitation principale (Insee Première n mars 2012). Selon qu il soit propriétaire, propriétaire accédant ou locataire d un logement privé ou social, cette proportion varie de façon importante. Si cette part est liée aux revenus des ménages et à leur évolution, le contexte de crise économique et bancaire joue également un rôle (nature des aides, taux d intérêt ). Depuis 2008, début de la crise financière internationale, les impacts sur le marché du logement sont conséquents et complexes. Le contexte local participe aussi aux conditions d accès au logement. Les collectivités disposent de leviers d action en matière d aménagement du territoire au travers de documents d urbanisme fixant les objectifs stratégiques (Schéma de Cohérence Territoriale décliné en Schémas de Secteurs) et de documents de planification (les Plans Locaux d Urbanisme) qui établissent des règles en matière d usages du sol. Au cours de la dernière décennie au sein du Pôle Ouest, l habitat a constitué l un des plus gros consommateurs d espace : ha, soit deux tiers du total des surfaces artificialisées entre 1999 et 2009 (Vues d Estuaire environnement 2012).

5 Pole Ouest

6 >> 6 habitat Le Pôle Ouest regroupe 31 % des logements de Loire-Atlantique, dont 24 % des résidences principales et 89 % des résidences secondaires ou occasionnelles. Source : Insee RP 2009 Une diversité de parcs immobiliers confortée par l évolution récente du marché immobilier du Pôle Ouest Situation géographique et structure du parc de logements Bien que l estuaire de la Loire sépare les deux rives nord et sud du fleuve, les problématiques en matière de logement s expriment de manière semblable. Ainsi, les communes littorales connaissent une forte attractivité démographique stimulant l économie résidentielle. Les résidences secondaires y sont majoritaires quelle que soit la taille de la commune (La Baule, Pénestin, La Bernerieen-Retz, Préfailles, Camoël ). Le reste du territoire est constitué des secteurs ruraux et/ou périurbains situés en rétro littoral, où dominent les résidences principales occupées par des résidents à l année (Saint-Malo-de-Guersac, Sainte-Reine-de-Bretagne, Drefféac, Frossay ). Au sein des six intercommunalités, entre les communes situées sur la façade littorale et celles situées en secteur rétro littoral, le parc de logements révèle de grandes différences en matière de nature des résidences (principales ou secondaires) et de leur typologie (individuelle ou collective). Sur Cap Atlantique, ces contrastes se révèlent par exemple entre Le Croisic et Saint-Lyphard ; sur la CC de Pornic, entre la commune de Pornic et Chauvé ; sur la CC de Sud Estuaire entre Saint-Brevin-les-Pins et Saint-Viaud. Sur la Carene, cette distinction est également visible (entre Pornichet et Donges par exemple) mais la présence de Saint-Nazaire, deuxième plus grande ville du département après Nantes, impacte aussi le marché résidentiel local. En effet, ce pôle urbain majeur structure à lui seul un large territoire sur une grande partie du Pôle Ouest. Enfin, les CC de Loire et Sillon et du Pays de Pont-Château/ St-Gildas-des-Bois, territoires périurbains et ruraux, affichent un parc de logements plus homogène. Ce parc est occupé par de nombreux actifs et situé sur la partie nord du Pôle Ouest, il est structuré autour de centralités (Savenay, Pont-Château, Missillac, Saint-Gildas-des-Bois). Si les trois quarts des résidences principales sont des maisons individuelles, leur poids est variable selon les intercommunalités et selon les communes [carte]. 9 résidences sur 10 sur les EPCI de Pont-Château/Saint- Gildas-des-Bois, de Pornic et de Loire et Sillon, et seulement 6 résidences sur 10 sur la Carene. Par commune, les résidences principales représentent plus de 98 % du parc de logements à Sainte-Anne-sur-Brivet, Prinquiau ou Quilly, contre 46 % des logements à Saint-Nazaire, 60 % à La Baule, 62 % à Pornichet ou 66 % à Paimbœuf. O N S E Guérande logements La Baule résidences principales résidences secondaires Part des résidences Part des résidences principales principales et secondaires et secondaires en en 2009 Saint-Nazaire Pontchâteau Saint-Brévin-les-Pins Pornic Savenay Km Sources : Insee - Recensement 2009 BD Carto - IGN Paris Licence n 7656 Cartographie : ADDRN - Septembre 2012

7 Cette répartition du parc de logements est corrélée avec celle des statuts d occupation des logements. Le poids des propriétaires occupants est en effet plus fort là où la part des maisons individuelles l est aussi. A l inverse, la part des locataires (privés ou sociaux) est plus forte lorsqu un parc collectif existe [graphique]. Au moins un ménage sur deux est propriétaire de son logement dans chaque commune des intercommunalités du Pôle Ouest, alors que la répartition pour les locataires varie beaucoup d un EPCI à l autre : une vingtaine de communes comptent plus de 20 % de locataires du parc privé ; cinq communes comptent plus de 10 % de locataires dans le parc social (au sens Insee RP 2009). Il s agit de Montoir-de-Bretagne, Paimbœuf, Saint-Nazaire, Trignac et Savenay. Cette situation s explique par plusieurs facteurs, comme la politique volontariste de certaines communes à produire un logement abordable, la prégnance à être propriétaires dans les secteurs ruraux qui reste encore forte aujourd hui ; le contexte immobilier et foncier actuel pouvant parfois rendre plus complexe une production de logements mixtes Corrélation et accessibles entre Proprétaires à tous et Maisons les ménages individuelles % des propriétaires Corrélation entre proprétaires et maisons individuelles CC Pontchâteau/St-Gildas Loire et Sillon Cap Atlantique CC Pornic Pôle Ouest Sud Estuaire Loire-Atlantique Carene % des maisons individuelles Source : Insee RP 2009 Dynamique et nature des constructions récentes : des évolutions différenciées selon les intercommunalités Depuis le début des années 2000, la dynamique démographique est soutenue dans le département. Cela se retrouve sur les intercommunalités du Pôle Ouest, en particulier celles situées au sud de la Loire et à l est [graphique]. Profitant de ce contexte démographique et porté par des conditions favorables du marché immobilier, le nombre de logements construits et les mutations dans le parc ancien ont été très importants au sein du Pôle Ouest. Sept communes concentrent près de la moitié de la production de logements neufs au cours de la dernière décennie. Il s agit de Saint-Nazaire (entre 22 et 25 % de la production du Pôle Ouest), des principales centralités du littoral (Saint-Brevin-les-Pins, Guérande, Pornichet, La Baule, Pornic), ainsi que Pont-Château pour le secteur périurbain (entre 5 et 3 % dans chacun des cas). Depuis 2008, le taux de construction est plus faible en raison de la crise économique, bien que le Pôle Ouest affiche un niveau supérieur à la moyenne départementale (9,7 contre 8,4 ). Evolution de la population 1999/2009 (%/an) Evolution de la population 1999/2009 (%/an) Carene +0,50 % Cap Atlantique +1,14 % Pôle ouest +1,30 % CC Pontchâteau/ St-Gildas +2,10 % CC Sud Estuaire +2,26 % CC Loire et Sillon +2,27 % CC de Pornic +2,54 % 0 +1,0 % +2,0 % +3,0 % Source : Insee RP 1999 et 2009 habitat >> 7 25 des 56 communes du Pôle Ouest dénombrent plus de habitants, seules 4 d entre elles ont plus de habitants. Source : Insee RP 2009 Evolution démographique 1999/2009 (en %/an): Pôle Ouest : +1,30 Loire-Atlantique : +1,11 Source : Insee RP 2009 source : Insee RP 2009

8 >> 8 habitat Cette production de logements neufs s est développée selon les territoires sous des formes différentes et au cours de périodes successives [cartes]. Il s agit d abord des espaces périurbains, qui comme partout en France, sont plus propices à l accueil des maisons individuelles. En effet, ils disposent de davantage de foncier constructible, et ce à moindre coût. La production a aussi été portée par un contexte bancaire favorable jusqu en 2008 (taux d intérêt bas, allongement de la durée d emprunt, le Prêt à Taux Zéro (PTZ) particulièrement attractif pour les primo accédants). Au cours de la dernière période, le taux de construction a baissé sur une grande partie des communes du Pôle Ouest, conséquence des premières difficultés économiques et des contraintes bancaires plus restrictives. Le nord du Pôle Ouest (Assérac, Saint-Molf, Crossac, Sévérac ), le secteur de Savenay (Malville, Prinquiau ) et le Pays de Retz (Saint-Père-en-Retz, Chauvé, La Plaine-surmer, Arthon-en-Retz ) illustrent ce phénomène, avec une part élevée de maisons individuelles dans la production neuve [carte]. O N S E Piriac-sur-Mer Le Croisic La Turballe Part de la construction Part de la individuelle construction individuelle neuve entre neuve entre et et 2011 Pénestin Mesquer Batz-sur-Mer Guérande Le Pouliguen Camoël Assérac Saint-Molf La Baule Férel Pornic Donges Chauvé Guenrouët Drefféac Herbignac Quilly Pontchâteau Sainte-Reine-de-Bretagne Sainte-Anne-sur-Brivet La Chapelle-des-Marais Crossac Campbon Saint-Lyphard Saint-Joachim Besné Prinquiau Saint-André-des-Eaux Pornichet Part de la construction individuelle neuve des logements commencés moins de 23 % % % % % % Nb de maisons individuelles neuves commencées entre 2000 et ,5 Km Saint-Nazaire Montoir-de-Bretagne Trignac Corsept Saint-Brévin-les-Pins La Plaine-sur-Mer Préfailles Missillac Saint-Malo-de-Guersac Saint-Michel-Chef-Chef Sévérac Saint-Gildas-des-Bois Saint-Père-en-Retz Savenay La Chapelle-Launay Paimboeuf Saint-Viaud La Bernerie-en-Retz Les Moutiers-en-Retz Lavau-sur-Loire Bouée Frossay Arthon-en-Retz Malville Sources : SITADEL2 - DREAL des PDL BD Carto - IGN Paris Licence n 7656 Cartographie : ADDRN - Juillet 2012 Taux de Taux construction de pour pour habitants O N S E Pontchâteau Pontchâteau Pontchâteau Guérande Savenay Guérande Savenay Guérande Savenay La Baule Saint-Nazaire La Baule Saint-Nazaire La Baule Saint-Nazaire Saint-Brévinles-Pins Saint-Brévinles-Pins Saint-Brévinles-Pins Taux de construction Pornic moins de Pornic Pornic , Km plus de 30 Sources : SITADEL2 - DREAL des PDL BD Carto - IGN Paris Licence n 7656 Cartographie : ADDRN - Juillet 2012

9 habitat >> 9 Ensuite et à l inverse, sur les territoires littoraux et urbains, la production de logements neufs en collectifs est forte, notamment depuis Cette dynamique s appuie sur des orientations favorables en matière de maîtrise du foncier et de densification, et sur des dispositifs d investissements fiscaux (de Robien, Borloo et Scellier). Le dispositif Scellier devenant moins intéressant à partir du 1 er janvier 2012, les ventes se sont accélérées à la fin de l année Depuis, et en attendant sa fin programmée en décembre 2012, la production baisse, tout comme les réservations de logements. En outre, les abandons de programmes deviennent plus courants et les délais d écoulement s allongent, ce qui favorise l augmentation des stocks. Ces dispositifs fiscaux ne sont néanmoins pas sans impact sur la nature des appartements produits. Près d un logement collectif sur deux ne comporte qu une ou deux pièces, avec une accentuation de cette tendance ces deux dernières années [graphique]. En définitive, les conditions économiques, le contexte géographique local et le souhait d une grande partie des ménages d être propriétaires d une maison individuelle ont créé ou accompagné ces évolutions récentes et conforté le parc de logements dans sa nature et sa répartition. Marché littoral attractif et impacts sur les espaces rétro littoraux du Pôle Ouest Selon les estimations du Programme des Nations Unies pour l Environnement, 60 % de la population mondiale vit à moins de 60 km du littoral, taux qui devrait atteindre 75 % en Si l attractivité du littoral n est plus à démontrer, son accessibilité n est pas chose aisée pour tous les ménages, le principal frein étant celui du coût du logement. Ce coût progresse à mesure que l on se rapproche du trait de côte, à l image de ce qui est constaté sur les acquisitions de maisons anciennes [carte] (les prix de vente moyens en 2011 y sont supérieurs à ). En outre, la progression des prix au cours de ces dernières années est importante. Depuis 2004, le prix moyen d une maison ancienne a progressé de +41 % en moyenne sur le Pôle Ouest, voire jusqu à + 48 % sur Cap Atlantique et +46 % sur la Carene [graphique]. Certaines communes enregistrent des augmentations très conséquentes qui témoignent d une attractivité nouvelle et soutenue : Sainte-Anne-sur-Brivet +88 %, Férel +85 %, Préfailles +79 %... Prix des Prix maisons des maisons vendues en 2011 * * Logements disponibles en 2011 Pontchâteau 100 % 90 % 80 % 70 % 60 % 50 % 40 % 30 % 20 % 10 % 0 % Typologie des logements disponibles en 2011 moyenne 10 ans 2011 moyenne 10 ans 2011 moyenne 10 ans 2011 moyenne 10 ans 2011 Unité Urbaine Nantes Carene St-Nazaire Ville Presqu île Guérandaise 1 et 2 pièces 3 pièces 4 pièces et plus Source : DREAL PdL - ECLN Guérande N O E S Km La Baule Prix de mutation HT des maisons en 2011 moins de de à de à plus de non significatif * moyenne pondérée 2010/2011 Saint-Nazaire * Saint-Brévin-les-Pins Pornic * * Savenay Sources : Notaires PERVAL BD Carto - IGN Paris Licence n 7656 Cartographie : ADDRN - Juillet 2012 *

10 >> 10 habitat Pénestin Camoël Assérac Les prix de vente de maisons anciennes en 2011, comme pour l année 2012, sont marqués par un retour au niveau observé en moyenne en 2006, alors qu une très nette baisse avait été enregistrée en 2008 et surtout en Si les évolutions constatées sur les six intercommunalités offrent des tendances comparables, en revanche les valeurs littorales des maisons anciennes se situent toujours très largement au dessus des autres. Ce constat est identique pour les logements collectifs neufs vendus. La progression des prix au m 2 est observée sur tous les territoires, mais plus particulièrement sur le littoral de la presqu Île Guérandaise ( : +124 %) et sur celui du Pays de Retz (+101 %) [graphique]. Le niveau de loyers du parc privé constitue un autre indicateur relatif à la cherté des marchés immobiliers littoraux par rapport aux espaces rétro littoraux. C est ce qui est indiqué par l observation des niveaux des loyers par les agences immobilières de la région nazairienne et de la presqu Île Guérandaise [carte]. Férel Herbignac La Chapelle-des-Marais Loyer en Loyer /m² en /m en 2 en 2011 Prix au m² tous biens confondus moins de 8,5 /m² entre 8,5 et 9,2 /m² entre 9,3 et 10 /m² entre 10,1 et 12 /m² plus de 12 /m² En outre, le constat d une offre traditionnellement moins importante de logements locatifs (privé ou sociaux) dans le parc de logements des communes plus rurales, peut être un frein au parcours résidentiel des jeunes ménages souhaitant s installer sur ces territoires. Souvent, l accession à la propriété y reste encore le statut d occupation le plus fréquent. L ensemble de ces facteurs contribue à la répartition sociodémographique des populations au sein des six intercommunalités Evolution des prix moyens d'une maison ancienne Evolution des prix moyens d une maison ancienne +48 % +41 % +34 % +46 % +27 % +37 % +36 % Cap Atlantique Carene CC de Pornic CC Pontchâteau - St Gildas CC Loire et Sillon CC Sud Estuaire Pôle Ouest Evolution des prix des collectifs par Source m² : Notaire - Perval Piriac-sur-Mer Mesquer La Turballe Le Croisic Batz-sur-Mer Km Guérande Le Pouliguen Saint-Molf La Baule Saint-Lyphard Saint-André-des-Eaux Pornichet NS Saint-Joachim Saint-Nazaire Saint-Malo-de-Guersac Trignac Montoir-de-Bretagne Besné Donges N O E Sources : Enquête Loyers Addrn Cartographie : ADDRN - Novembre 2011 S Evolution des prix des collectifs par m Unité urbaine de Nantes Ville de Saint-Nazaire Littoral presqu'île Guérandaise Carene Littoral Pays de Retz Source : DREAL PdL - ECLN source : DREAL PdL ECLN

11 Des évolutions démographiques induites L attractivité littorale n est pas le seul critère de choix en matière d implantation résidentielle des ménages. La proximité des emplois, le rapprochement familial, la nature du logement sont d autres motifs tout aussi importants qui justifient l installation dans un lieu plutôt que dans un autre. Ensuite, à l échelle du quartier, d autres facteurs interviennent comme l environnement, les services et les commerces de proximité, les transports en commun... Enfin, dans le choix du produit, le rapport coût d investissement/budget disponible fera la différence finale. L ensemble de ces éléments participe de la répartition actuelle de la population sur le territoire. L accroissement démographique de ces dernières années a été important en particulier dans les parties sud et nord/est du Pôle Ouest. Il s illustre par l installation d une majorité de familles dans les communes rurales (plus d un ménage sur deux à Corsept, Besné, Quilly, La Chapelle- Launay, Lavau-sur-Loire, Prinquiau ou Saint-Molf), venues contrebalancer une population locale vieillissante. En revanche, à proximité du littoral, il s agit davantage de petits ménages, souvent plus âgés, originaires du territoire ou des nouveaux arrivants. Seul le territoire de Loire et Sillon est marqué par une attractivité plus importante pour les actifs par rapport aux autres EPCI, du fait de sa proximité et de sa bonne desserte avec les agglomérations nantaise et nazairienne. habitat >> 11 Parmi les 15/64 ans, part des personnes déclarées retraitées : 9,2 % en Loire-Atlantique, 12,6 % dans le Pôle Ouest, plus de 20 % à la Bernerie en Retz, au Croisic, aux Moutiers en Retz, à Préfailles, à Piriac-sur-Mer et à Pénestin. Source : INSEE RP 2009 % des retraités en % 35 % 30 % 25 % Poids des seniors par EPCI CC Pornic Cap Atlantique Pôle Ouest Sud Estuaire Carene CC Pont-Château St-Gildas Loire-Atlantique Loire et Sillon 20 % 15 % 0 % 0,5 % 1,0 % 1,5 % 2,0 % 2,5 % 3,0 % évolution 99/09 en % de la part des +75 ans Source : Insee RP 1999 et 2009 Part des Part ménages des ménages avec avec enfants en en 2009 N O E S Sévérac Saint-Gildas-des-Bois Pénestin Camoël Férel Guenrouët Missillac Drefféac Quilly Assérac Sainte-Reine-de-Bretagne Herbignac Sainte-Anne-sur-Brivet La Chapelle-des-Marais Pontchâteau Campbon Mesquer Crossac Saint-Molf Piriac-sur-Mer Saint-Lyphard Saint-Joachim Besné La Turballe Saint-Malo-de-Guersac Prinquiau Savenay La Chapelle-Launay Guérande Malville Saint-André-des-Eaux Donges Trignac Lavau-sur-Loire Le Croisic Montoir-de-Bretagne Batz-sur-Mer La Baule Bouée Le Pouliguen Saint-Nazaire Paimboeuf Pornichet Corsept Saint-Viaud Saint-Brévin-les-Pins Frossay Saint-Père-en-Retz Saint-Michel-Chef-Chef Part des ménages avec enfants entre 20 et 25% entre 25 et 35% entre 35 et 45% entre 45 et 55% entre 55 et 62% Préfailles La Plaine-sur-Mer Chauvé Arthon-en-Retz Pornic La Bernerie-en-Retz Les Moutiers-en-Retz Km Sources : Insee Recensement 2009 BD Carto - IGN Paris Licence n 7656 Cartographie : ADDRN - Juillet 2012

12 >> 12 habitat En Loire-Atlantique en 2010 : +75 % des bénéficiaires d un PTZ sont âgés de moins de 35 ans 58 % des ménages sont composés d une ou de deux personnes près de 60 % sont des ouvriers et des employés Source : SGFGAS, exploitation ANIL Les acquéreurs de maisons anciennes présentent des profils différents selon les territoires. En 2011 par exemple, la moyenne d âge des acquéreurs d une maison individuelle ancienne est de 53/54 ans à la Bernerie-en-Retz, au Croisic, au Pouliguen, à La Turballe et à Pénestin. Les intercommunalités littorales de Pornic et de Cap Atlantique attirent proportionnellement plus de ménages résidants hors du département [tableau]. Ces acquéreurs sont aussi plus âgés (plus de 52 ans en moyenne contre 47,5 ans pour le Pôle Ouest en 2011). C est également sur ces territoires que l âge des acquéreurs a le plus progressé : +2,8 ans entre 2004 et 2011, suivi par la Carene (+2,6 ans). La progression s est surtout réalisée entre 2009 et La corrélation est réelle entre l âge moyen de l acquéreur et le prix de vente [graphique]. Les ménages les plus jeunes, souvent des primo accédants, ont donc un accès plus restreint aux secteurs littoraux et/ou urbains. Part des acquéreurs originaires du même territoire (pour une maison individuelle en 2011) EPCI Part Carene 71 % CC Loire et Sillon 67 % Pôle Ouest 64 % CC Pont-Château/St-Gildas-des-Bois 62 % CC Sud Estuaire 54 % Cap Atlantique 50 % CC de Pornic 47 % Age moyen des acquéreurs et prix Source moyens : Notaires, des Perval 2011 transactions en 2011 (MI) Age moyen des acquéreurs et prix moyens des transactions en 2011 (maisons individuelles) Cap Atlantique Pôle Ouest Carene CC Pornic Loire et Sillon Sud Estuaire CC Pont-Château/St-Gildas ans Source : Notaires, Perval 2011 Le Prêt à Taux Zéro (PTZ) était encore délivré sous conditions de ressources en Les PTZ délivrés cette année là ont surtout servi à financer l acquisition de maisons neuves, excepté sur la Carene, et en particulier à Saint-Nazaire, où le logement ancien et le logement collectif constituent des éléments clés en matière d accession sociale. Les montants des opérations financées illustrent les différences de marchés entre les secteurs [tableau]. Mécanisme souvent soutenu par des aides des collectivités pour favoriser l accession à la propriété des ménages modestes, les bénéficiaires de PTZ sont souvent jeunes. Plus de 80 % ont ainsi moins de 35 ans sur les EPCI de Sud Estuaire ou de Loire et Sillon. A l inverse, ils sont plus âgés sur les EPCI de Pornic, Cap Atlantique et la Carene où plus du tiers a plus de 35 ans. A l exception de Cap Atlantique, il s agit en majorité de petits ménages d une ou deux personnes. Enfin, les bénéficiaires sont le plus souvent des ouvriers et des employés sur Cap Atlantique et la Carene, tandis que sur les autres intercommunalités, les ouvriers sont plus représentés (plus de 40 % des bénéficiaires). Prêts à Taux Zéro octroyés pour un logement individuel en 2010 Montant moyen de % PTZ/Montant % apport l'opération opération personnel Carene % 9 % Cap Atlantique % 15 % CC Loire et Sillon % 8 % CC Pays de Pont-Château/ St-Gildas-des-Bois % 7 % CC de Pornic % 10 % CC Sud Estuaire % 9 % Loire-Atlantique % 10 % Source : SGFGAS, exploitation ANIL

13 habitat >> 13 En fonction de ses revenus et de la composition de sa famille, chaque ménage peut bénéficier d une aide au logement versée par la Caisse d Allocation Familiale. En 2011, bénéficiaires étaient recensés sur le Pôle Ouest. Plus de la moitié d entre eux réside sur la Carene (dont 39 % à Saint-Nazaire) et 17 % à Cap Atlantique. Généralement, cette allocation constitue une aide pour les locataires. Mais les accédants à la propriété peuvent également y prétendre [graphique]. Si 13 % des bénéficiaires du Pôle Ouest sont ainsi concernés, ce taux atteint 28 % sur la CC du Pays de Pont-Château/St-Gildas-des-Bois et 24 % sur la CC de Loire et Sillon, ce qui s explique par : la faiblesse du parc locatif (social ou privé), la présence de logements encore relativement abordables dans ces secteurs 1. Statut d occupation des bénéficiaires d une allocation logement en 2011 Autre location que HLM Deux principales origines des revenus des ménages en 2010 CC Pays Pont-Château St Gildas Statut d'occupation des bénéficiaires d'une allocation logement en 2011 Autres 42 % 12 % 33 % 13 % Accession Location logements conventionnés APL Source : CAF Loire-Atlantique 2011 Deux principales origine des revenus des ménages en 2010 Loire-Atlantique Carene Cap Atlantique CC Loire &Sillon CC Pornic source : CAF Loire Atlantique 2011 CC Sud Estuaire 0 % 10 % 20 % 30 % 40 % 50 % 60 % 70 % 80 % % issus des retraites % issus des salaires Source : Insee DGI La répartition et le type de des revenus des ménages illustrent les conditions d offre du marché du logement sur les six intercommunalités. A quelques exceptions près, les ménages résidant sur le littoral disposent d un niveau de vie en adéquation avec les prix élevés qui s y pratiquent. Il s agit le plus souvent de revenus issus des retraites ou pensions. Sur le secteur de Savenay où le niveau de vie est certes relativement élevé, la part des revenus provenant de l activité (les salaires) est également plus forte. De nombreux actifs (cadres, professions intermédiaires) travaillant notamment dans l agglomération nantaise ont choisi de s y installer, participant ainsi à l augmentation du niveau de revenu (+6,4 % à Campbon et +6,2 % à Malville entre 2008 et 2009). O N S E Piriac-sur-Mer Le Croisic Source : Insee revenus Mesquer La Turballe Batz-sur-Mer Pénestin Camoël Férel Guérande Le Pouliguen Assérac Saint-Molf Km La Baule Sainte-Reine-de-Bretagne Herbignac Sainte-Anne-sur-Brivet La Chapelle-des-Marais Pontchâteau Saint-Lyphard Saint-André-des-Eaux Pornichet RUC annuel médian moins de entre et entre et entre et entre et entre et Revenu par Revenu unité de par consommation unité de consommation annuel annuel médian en en 2010 Saint-Joachim Saint-Nazaire Préfailles Missillac Crossac Saint-Malo-de-Guersac Trignac Montoir-de-Bretagne Saint-Brévin-les-Pins Corsept Saint-Michel-Chef-Chef La Plaine-sur-Mer Pornic Saint-Gildas-des-Bois Besné Donges Sévérac Drefféac Saint-Père-en-Retz Guenrouët Campbon Prinquiau La Chapelle-Launay Paimboeuf Chauvé La Bernerie-en-Retz Saint-Viaud Les Moutiers-en-Retz Quilly Lavau-sur-Loire Savenay Frossay Arthon-en-Retz Bouée Malville Sources : Données fiscales Insee DGI BD Carto - IGN Paris Licence n 7656 Cartographie : ADDRN - Septembre Lettre de l ONPES n 3 mai 2012.

14 >> 14 habitat Les Programmes Locaux de l Habitat (PLH) au sein des six intercommunalités : Carene : 2 ème PLH 2011/2016 ; Cap Atlantique : 1 er PLH 2007/2013 en révision ; CC Loire et Sillon : 2 ème PLH en cours de réalisation ; CC Sud Estuaire : 1 er PLH en cours d élaboration (diagnostic réalisé). Pour les autres EPCI, les réflexions sont en cours. Des outils et des actions mis en place par les collectivités Face à ces évolutions du marché et de la demande, les intercommunalités disposent d outils et de leviers d action divers, tels que le Programme Local de l Habitat (PLH). Le PLH est établi à la suite d un diagnostic. Il met en place une politique de l habitat, ses objectifs et son programme d actions, afin de répondre aux besoins en logements et hébergements des habitants (art. L302-1 du Code de la Construction et de l Habitat). Au sein du Pôle Ouest, la Carene, Cap Atlantique et la CC Loire et Sillon se sont d ores et déjà engagées dans cette démarche, pour les autres EPCI, des réflexions sont aujourd hui en cours. Pour autant, d autres dispositifs plus spécifiques ont déjà été utilisés par les intercommunalités et témoignent d une volonté d action sur l ensemble du parc de logements. Le dispositif le plus couramment utilisé fait porter son action sur les opérations d amélioration de l habitat (OPAH ou ORAH) dans un cadre partenarial avec l Etat ou la région. Tous les EPCI du Pôle Ouest ont utilisé cette mesure au cours de la dernière décennie. En 2012, seule la CC de Loire et Sillon a encore une OPAH active sur son territoire. Néanmoins, la mise en œuvre de ces politiques locales de l habitat ne suffit pas toujours à garantir le maintien ou l accès au logement de certains ménages. En effet en 2012, le marché du logement fonctionne à un rythme ralenti. Les encours de crédits immobiliers ont baissé de 33 % au 1 er semestre 2012 (-41 % pour le logement ancien et -21 % pour le logement neuf), malgré des taux d emprunt particulièrement bas (en moyenne 3,44 % hors assurance en octobre 2012). Même si l indicateur de solvabilité des ménages n a jamais été aussi bas depuis 10 ans 2, les primo accédants et les ménages aux revenus modestes sont les premiers concernés et ne sont plus en mesure d acheter facilement. Les acteurs du marché du logement sont également dans l attente de nouvelles dispositions législatives, actuellement en cours d élaboration. Elles questionnent à la fois le nouveau dispositif d investissement fiscal se substituant au dispositif Scellier, l évolution du PTZ+, le financement du logement locatif social (plafond du livret A, fiscalité des terrains à bâtir, foncier cessible de l Etat...). De nouvelles règles d encadrement des loyers du parc privé ont également récemment vu le jour. Au regard de ces évolutions structurelles et conjoncturelles, les fiches suivantes ont pour objectif de présenter les problématiques du logement et les enjeux principaux émergeant sur chaque intercommunalité, et à l échelle des six intercommunalités. Avant Après Maison rénovée à Besné avec le soutien des aides à l amélioration de l habitat proposées par la Carene, l ANAH et le Département. 2 Observatoire Crédit Logement / CSA sept 2012 Carene

15 Fiches d identité

16 >> 16 habitat [Indicateurs clés] La population (INSEE) Nombre d habitants en 2009 : Evolution démographique 1999/2009 : +0,50 %/an Poids en 2009 des habitants de Saint-Nazaire dans la Carene en 2009 : 57 % Taille moyenne des ménages en 2009 : 2,18 RUC médian en 2010 : Le parc de logements en 2009 (INSEE) Nombre total de logements : Résidences principales : Propriétaires occupants : 60 % Logements individuels : 61 % des RP Parc construit avant 1975 : 54 % (en 2008) L activité du marché immobilier Taux de construction 2008/2012 : 11,2 pour habitants (DREAL) Surface moyenne des terrains des maisons neuves : 715 m 2 en 2011 (DREAL) Prix de vente des maisons anciennes : en 2011 (Notaires) Prix de vente des appartements anciens : /m 2 en 2011 (Notaires) Prix de vente des appartements neufs : /m 2 en 2011 (DREAL) Communauté d Agglomération de la REgion Nazairienne et de l Estuaire Comptant près de résidences, le parc de logements de la Carene poursuit sa croissance afin de répondre aux besoins liés à l accroissement démographique de ces dernières années. Au sein du Pôle Ouest, la Carene offre la plus forte proportion de résidences principales (plus de 80 %), après les EPCI du Pays de Pont-Château/Saint-Gildas-des-Bois et de Loire et Sillon. L agglomération se caractérise aussi par la diversité de son parc de logements tant dans sa forme (40 % sont des appartements), que dans ses statuts d occupation entre propriétaires et locataires. Avec un taux de construction récent parmi les plus élevés du Pôle Ouest, cette dynamique a été soutenue par une forte production de logements collectifs, à Saint-Nazaire et Pornichet. Sur les autres communes, une majorité de logements individuels réponde, pour une part, au développement de pôles secondaires proches des lieux d emploi, et pour une autre part, à un phénomène plus classique de périurbanisation parce que financièrement ils sont plus abordables que sur le secteur littoral. Pour autant, sur l ensemble de la Carene, de nombreux services ont été créés pour répondre aux besoins de ces ménages (petite enfance, école, culture ). Le territoire est soumis à une augmentation nette de la part des ménages âgés, ce qui nécessite de renforcer les réponses en terme d adaptation des logements, de développement de services à domicile et de prise en charge complète liée à l avancée dans l âge. Ces questions ont été prises en compte dans le schéma de gérontologie et dans le PLH de l agglomération. Christiane Cabalé - Montoir-de-Bretagne Silène [ Quelques enjeux identifiés ] Accès des plus modestes au logement face à la hausse des coûts fonciers et immobiliers, en particulier sur les secteurs littoraux. Maîtrise de la consommation foncière et prise en compte du renouvellement urbain. Offre diversifiée de logements, y compris en cœur d agglomération (tant par sa nature que par sa forme). Enjeux énergétiques et de maintien de l attractivité d une partie du parc, notamment issu de la reconstruction.

17 habitat >> 17 Communauté d Agglomération de la Presqu Ile de Guérande Atlantique L accroissement démographique enregistré au cours des dernières décennies impacte directement les besoins en logements tant dans leur nature qu en termes quantitatifs. Avec près de logements recensés en 2009, Cap Atlantique offre le parc de logements le plus important du Pôle Ouest. La moitié concerne des résidences secondaires. Sur la dernière décennie, cette part s est stabilisée. Les résidences principales sont principalement des maisons individuelles et le poids des propriétaires est très élevé. Ce constat est conforté par la production récente plutôt orientée vers du logement individuel consommateur de foncier. L arrivée de populations extérieures au territoire a d autres incidences. L attractivité littorale s exerce surtout auprès des seniors et qui font l acquisition d une résidence secondaire pour la transformer en résidence principale à l heure de la retraite ; et auprès des cadres et des CSP+ 3 compte tenu des coûts élevés de l immobilier et du foncier. Ces nouveaux ménages tendent à accentuer les coûts d acquisition et les ménages locaux éprouvent parfois des difficultés à se loger. Un certain nombre d entre eux font le choix de s installer dans les communes rétro littorales, où de nombreuses constructions ont ainsi vu le jour (Herbignac, Saint-Molf ). Le faible taux de logements locatifs accessibles fragilise les parcours résidentiels des jeunes ménages. Enfin 45 % des logements datent d avant 1975 (l un des plus faibles taux du Pôle Ouest). Une partie d entre eux est concernée par les questions de consommation énergétique, mais également par celles de leur adaptabilité face au vieillissement de leurs occupants. Baie du Pouliguen et de La Baule [ Quelques enjeux identifiés ] Diversification de l offre de logements : en locatif social, en intermédiaire PLS, par la location/accession, pour le logement des saisonniers et celui des jeunes actifs. Gestion raisonnée de l espace par la maîtrise foncière et en favorisant l urbanisation dans des secteurs cibles (SCoT). Amélioration de l habitat : la rénovation thermique est au cœur des préoccupations. Habitat et vieillissement : maintien à domicile, habitat regroupé pour personnes âgées. [Indicateurs clés] La population (INSEE) Nombre d habitants en 2009 : Evolution démographique 1999/2009 : +1,14 %/an Poids en 2009 des habitants de La Baule : 22,6 % et Guérande : 21,5% Taille moyenne des ménages en 2009 : 2,18 RUC médian en 2010 : Le parc de logements en 2009 (INSEE) Nombre total de logements : Résidences principales : Propriétaires occupants : 72 % Logements individuels : 78 % des RP Parc construit avant 1975 : 45 % (en 2008) L activité du marché immobilier Taux de construction 2008/2012 : 9,8 pour habitants/an (DREAL) Surface moyenne des terrains des maisons neuves : 970 m 2 en 2011 (DREAL) Prix de vente des maisons anciennes : en 2011 (Notaires) Prix de vente des appartements anciens : /m 2 en 2011 (Notaires) Prix de vente des appartements neufs : /m 2 en 2011 (DREAL) 3 CSP : catégories socio-professionnelles

18 >> 18 habitat [Indicateurs clés] La population (INSEE) Nombre d habitants en 2009 : Evolution démographique 1999/2009 : +2,27 %/an Poids en 2009 des habitants de Savenay : 32 % ; de Campbon : 16 % ; de Malville : 14 % Taille moyenne des ménages en 2009 : 2,61 RUC médian en 2010 : Le parc de logements en 2009 (INSEE) Nombre total de logements : Résidences principales : Propriétaires occupants : 78 % Logements individuels : 92 % des RP Parc construit avant 1975 : 43 % (en 2008) L activité du marché immobilier Taux de construction 2008/2012 : 9 pour habitants/an (DREAL) Surface moyenne des terrains des maisons neuves : 840 m 2 en 2011 (DREAL) Prix de vente des maisons anciennes : en 2011 (Notaires) Prix de vente des appartements anciens : N.S. (Notaires) Prix de vente des appartements neufs : N.S. (DREAL) Communauté de Communes de Loire et Sillon L intercommunalité se situe à un carrefour routier et ferroviaire structurant, et bénéficie de la proximité des agglomérations nantaise et nazairienne ainsi que de plusieurs pôles d emploi. En conséquence, depuis , le territoire a connu une forte augmentation de sa population, impactant son parc de logements, notamment par l accroissement du nombre des résidences principales (plus de neuf logements sur dix sont une résidence principale). Le marché immobilier étant plus accessible que celui de l agglomération nantaise et des communes littorales, il permet aux nouvelles populations, souvent des actifs aux revenus moyens voire élevés, de s installer sur le territoire. Le fort potentiel en maisons individuelles et le foncier encore accessible des communes de Loire et Sillon contribuent à attirer des ménages constitués en grande partie de familles avec enfants. Cette dynamique s est accompagnée par une politique de l habitat visant à mettre sur le marché une offre régulière de logements (82 % des logements livrés entre 2008 et 2011 sont des maisons individuelles). Elle a également mis en place un dispositif d aide à la rénovation de l habitat ancien dont les résultats ont contribué au maintien à domicile des personnes âgées, à l amélioration énergétique des logements et à la production d une offre locative à loyer modéré. L offre de logements à loyer modéré reste néanmoins insuffisante au regard de l offre globale, alors que la collectivité mène une politique de soutien à cette offre et à l augmentation du nombre de logements locatifs mis sur le marché. En effet, ces logements constituent une réponse aux besoins liés au phénomène de décohabitation des ménages locaux tentés de s installer sur des communes situées au nord du territoire (Quilly, Campbon), plus accessibles financièrement que celles situées au bord de la Loire. Centre-bourg de Campbon [ Quelques enjeux identifiés ] Diversification de l offre et maintien ou accueil des jeunes ménages sur la partie sud du territoire où la pression immobilière et foncière s accentue. Développer l offre locative, l accession sociale Poursuite de l amélioration du parc privé : la question énergétique ; le parc ancien dans la campagne et le vieillissement de leurs occupants Elaboration d un second PLH. Gestion raisonnée de l espace très convoité pour de nombreux domaines d activité, et en ce sens, anticipation de l impact des grands équipements structurants. Réflexion engagée sur la taille des parcelles pour le logement individuel, notion de densités

19 Communauté de Communes du Pays de Pont-Château/Saint-Gildas-des-Bois Située sur un axe routier stratégique offrant un accès à plusieurs bassins d emploi (Nantes/Rennes/Vannes), l intercommunalité a vu sa population s accroître au cours des années Cette attractivité démographique et économique participe à l évolution du territoire. Une dynamique de rajeunissement est constatée avec l arrivée de populations nouvelles, en particulier de jeunes ménages actifs, venus s installer sur le territoire et susceptibles d y fonder une famille. Souvent issus des classes moyennes, ces nouveaux habitants disposent de revenus modérés. Le Pays de Pont-Château/Saint-Gildas-des-Bois propose les conditions matérielles les plus favorables en matière d habitat à l échelle du Pôle Ouest pour de nombreux jeunes ménages. Ce contexte favorise l accès à leur projet immobilier phare, qui reste aujourd hui encore celui de la maison individuelle. Ces évolutions se traduisent par l augmentation de la part et du nombre de résidences principales, sous forme de logements neufs individuels ou par l acquisition de biens anciens à des prix modérés. Aujourd hui, les coûts d accession dans l ancien progressent. Un début de tension sur le parc existant pourrait apparaître (baisse de la part des résidences secondaires et des logements vacants) et les questions relatives à une consommation foncière trop élevée se font désormais pressantes, interrogeant le mode d urbanisation du territoire. Enfin, l offre en logements sociaux reste modeste, tout comme la demande. Pourtant ces logements peuvent constituer une étape essentielle en matière de parcours résidentiel des jeunes ménages, dont le solde migratoire sur le territoire est déficitaire depuis Pont-Château, réaménagement du centre-ville Christophe Dréno [ Quelques enjeux identifiés ] Offre de solutions en matière de logements en nombre suffisant et en logements abordables, en veillant notamment aux besoins pour les jeunes, les ménages modestes et les personnes âgées. Diversification de l offre en logements, tout en préservant l équilibre du marché (accession sociale et logement locatif). Amélioration du parc existant comme alternative au logement neuf pour les jeunes ménages et comme alternative à la maison de retraite pour les personnes âgées pour favoriser le maintien à domicile. Gestion raisonnée de l espace, par la maîtrise de l offre de la production de logements neufs consommateurs de foncier, en jouant sur la taille des parcelles et sur des notions de densité. [Indicateurs clés] habitat >> 19 La population (INSEE) Nombre d habitants en 2009 : Evolution démographique 1999/2009 : +2,10 %/an Poids en 2009 des habitants de Pont-Château : 31 % ; de Saint-Gildasdes-Bois : 11 % ; de Missillac : 15 % Taille moyenne des ménages en 2009 : 2,44 RUC médian en 2010 : Le parc de logements en 2009 (INSEE) Nombre total de logements : Résidences principales : Propriétaires occupants : 79 % Logements individuels : 92 % des RP Parc construit avant 1975 : 48 % (en 2008) L activité du marché immobilier Taux de construction 2008/2012 : 9,7 pour habitants/an (DREAL) Surface moyenne des terrains des maisons neuves : m 2 en 2011 (DREAL) Prix de vente des maisons anciennes : en 2011 (Notaires) Prix de vente des appartements anciens : 1 600/1 700 /m 2 en 2011 (Notaires) Prix de vente des appartements neufs : NR /m 2 (DREAL)

20 >> 20 habitat [Indicateurs clés] La population (INSEE) Nombre d habitants en 2009 : Evolution démographique 1999/2009 : +2,54 %/an Poids en 2009 des habitants de Pornic : 42 % Taille moyenne des ménages en 2009 : 2,25 RUC médian en 2010 : Le parc de logements en 2009 (INSEE) Nombre total de logements : Résidences principales : Propriétaires occupants : 74 % Logements individuels : 92 % des RP Parc construit avant 1975 : 44 % (en 2008) L activité du marché immobilier Taux de construction 2008/2012 : 9,9 pour habitants/an (DREAL) Surface moyenne des terrains des maisons neuves : 900 m 2 en 2011 (DREAL) Prix de vente des maisons anciennes : en 2011 (Notaires) Prix de vente des appartements anciens : /m 2 en 2011 (Notaires) Prix de vente des appartements neufs : /m 2 en 2011 (DREAL) Communauté de Communes de Pornic Les communes de l intercommunalité bénéficient d une forte dynamique de développement, en lien avec l attractivité du littoral et la proximité de l agglomération nantaise. Ainsi depuis 1999, le territoire enregistre la plus forte croissance démographique du Pôle Ouest. L arrivée importante de populations extérieures a modifié le profil des habitants et a impacté le marché du logement. Néanmoins, le profil des actifs reste très diversifié (ouvriers, artisans, cadres ). La demande en logements demeure donc variée. Le caractère littoral du territoire se mesure à travers son parc de logements, constitué pour moitié de résidences secondaires. Cependant, au cours de la dernière décennie leur part a diminué au profit des résidences principales pour absorber cet apport démographique (à Saint-Michel- Chef-Chef, La Plaine-sur-mer ou Pornic). Les coûts de l immobilier et du foncier sont élevés à proximité de la mer. Certains logements sont devenus inaccessibles pour une partie des ménages, notamment les jeunes ménages qui reportent leur choix sur les communes rétro-littorales (comme Arthon-en-Retz ou Chauvé). Pour les accédants, le marché de la maison individuelle neuve est dynamique, soutenu nettement par le dispositif du PTZ, même si les réflexions actuelles en matière de consommation foncière raisonnée vont progressivement changer la donne. Le parc locatif privé, qui représente un quart des résidences principales, permet aux habitants d entamer leur parcours résidentiel, alors que le parc de logements abordables demeure faible. Les objectifs inscrits dans les documents d urbanisme devraient contribuer à améliorer cette offre nécessaire pour répondre aux phénomènes de décohabitation ou l accès au logement des ménages les plus modestes. Pornic [ Quelques enjeux identifiés ] Diversification de l offre, en particulier sur l offre locative abordable, pour offrir des possibilités de logements pour tous les ménages et assurer les parcours résidentiels au sein du parc. Mise en œuvre du PLH afin d en assurer ses actions, son suivi et son bilan. Gestion raisonnée de l espace pour maîtriser la consommation foncière face au modèle de la maison individuelle afin de préserver des terres agricoles pour maintenir une production locale.

21 habitat >> 21 Communauté de Communes Sud Estuaire Dès les années 1990, en lien avec la gratuité du pont de Saint-Nazaire, l intercommunalité enregistre une première phase de développement qui s est progressivement intensifiée, avec pour conséquence une forte hausse de sa population et de son parc de logements. Aujourd hui, des contrastes sociodémographiques s observent sur le territoire, marqué par une relative jeunesse de ses habitants et un vieillissement déjà engagé et aussi, par la présence d actifs aux profils diversifiés. Ces évolutions ont affecté le parc de logements, désormais constitué de 71 % de résidences principales. Elles sont issues, d une part, de mutations de résidences secondaires, dont le nombre et la part ont diminué, en lien avec l arrivée de seniors ou de retraités réinvestissant leur demeure, et d autre part, de constructions neuves. Toutes les communes ont accueilli des opérations de lotissements permettant à des ménages composés d actifs de s installer sur le territoire. La cherté du marché immobilier sur le secteur littoral et la relative faiblesse de l offre locative à loyer modéré constituent cependant un obstacle au parcours résidentiel des jeunes (forte évasion des 15/29 ans), des ménages modestes et à l accueil des saisonniers pour la période estivale. Enfin, plus de la moitié du parc de logements a été construite avant 1975, proportion élevée au sein du Pôle Ouest. Plusieurs opérations d amélioration de l habitat, essentielles à la lutte contre l insalubrité et à la mise aux normes des logements, ont déjà été réalisées. Elles ont permis leur maintien à niveau au sein du marché immobilier local et leur accessibilité aux personnes vieillissantes. Saint-Brevin-l Océan [ Quelques enjeux identifiés ] Gestion raisonnée de l espace : maîtriser l habitat et son modèle résidentiel très consommateur de foncier, face à un environnement diversifié à préserver. Amélioration de la qualité des logements, mises aux normes pour permettre leur adaptation au vieillissement de la population et une meilleure intégration des économies d énergie. Diversification de l offre, notamment par une politique d habitat à loyer modéré sur l ensemble du territoire pour permettre un parcours résidentiel à tous les ménages [Indicateurs clés] La population (INSEE) Nombre d habitants en 2009 : Evolution démographique 1999/2009 : +2,26 %/an Poids en 2009 des habitants de Saint- Brevin-les-Pins : 45 % Taille moyenne des ménages en 2009 : 2,34 RUC médian en 2010 : Le parc de logements en 2009 (INSEE) Nombre total de logements : Résidences principales : Propriétaires occupants : 69 % Logements individuels : 83 % des RP Parc construit avant 1975 : 50 % (en 2008) L activité du marché immobilier Taux de construction 2008/2012 : 9,4 pour habitants/an (DREAL) Surface moyenne des terrains des maisons neuves : 855 m 2 en 2011 (DREAL) Prix de vente des maisons anciennes : en 2011 (Notaires) Prix de vente des appartements anciens : /m 2 en 2011 (Notaires) Prix de vente des appartements neufs : /m 2 en 2011 (DREAL)

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