LE CARNET SANITAIRE POUR LA PRÉVENTION ET LA MAÎTRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN BALNÉOTHÉRAPIE. Etablissement d une Organisation Humaine

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1 LE CARNET SANITAIRE POUR LA PRÉVENTION ET LA MAÎTRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN BALNÉOTHÉRAPIE Etablissement d une Organisation Humaine

2 EMPLOYER DE L EAU POUR LES SOINS Balnéothérapie : immersion Hydrothérapie : application d eau Risque infectieux

3 RISQUE INFECTIEUX ET PRÉVENTION Contamination des installations par un usager Transmission croisée Colonisation/infection d un usager Respect des règles d hygiène et des contre-indications Conception des locaux Entretien, surveillance, maintenance des installations

4 RÉGLEMENTATION Pas de texte spécifique aux piscines de réadaptation fonctionnelle La politique de gestion des risques s appuie sur les textes règlementaires opposables aux piscines publiques Ex: arrêté du 7 avril 1981 fixant les dispositions techniques applicables aux piscines, modifie par l arrêté du 18 janvier 2002

5 ACTEURS IMPLIQUÉS De l établissement de santé : - administratifs - soignants - techniciens Et éventuellement d une structure extérieure - maintenance - entretien - surveillance

6 RFCLIN et groupe de travail régional pluridisciplinaire réunissant tous les SSR Document pour les ES Données de base permettant aux établissements concernés d élaborer leur carnet sanitaire pour la prévention et la maîtrise du risque infectieux en balnéothérapie qui visera à: décrire l installation d hydro-balnéothérapie décrire les modalités d accès identifier les points critiques associés à l installation décrire les modalités d entretien décrire les modalités de surveillance programmer des actions préventives et correctives, tracer les interventions réalisées et archiver l'ensemble des données relatives a l installation.

7 LES INSTALLATIONS Descriptif attendu avec caractéristiques techniques influant sur l entretien la maintenance et la surveillance Pour exemple : Cuve Bassin Piscine

8 LES INSTALLATIONS (2) Caractéristique technique essentielle des cuves et baignoires : Ces installations sont alimentées par de l eau du réseau non traitée qui nécessite une vidange et une désinfection systématique après chaque utilisation

9 Vestiaires Douches Pédiluve Plage Siphon AUTRES INSTALLATIONS (3)

10 Entretien matériels, locaux, surfaces - Démarche de type HACCP et procédure - Hors présence des patients - Identification, formation des personnels - Compatibilité des produits - Identification des traitements - Matériels dédiés - Planification traçabilité de l entretien - Stockage - Dotation matériel / conformité entretien

11 Rythme d entretien des matériels Matériels /fonction A l utilisation 2x/jour 1x/jour 1x/semaine Transfert Type masque dédiés Type masque non dédiés Rééducation Flottaison

12 Rythme d entretien des surfaces et locaux : quelques exemples Surfaces Utilisation 2x/jour 1x/jour 1x/sem 1x/mois Vidange Sols Vapeur ou auto laveuse ou manuel Escaliers, pédiluves, sols Bassin Vapeur ou manuel Murs intérieurs Margelles

13 Rythme d entretien surfaces Au total 7 espaces considérés : - Sols - Sanitaires - Vestiaires / cabines - Douches - Bassins - Baignoires - Autres (mobilier, chariot.) 41 surfaces différentes

14 Entretien du linge Rappel : méthode RABC Objectif contributif à la maîtrise du risque infectieux : assurer l absence de micro organismes dans le linge utilisé

15 Différents types de linge Peignoirs Draps et serviettes Maillots Bonnets en tissus

16 Gestion du linge mis à disposition Stockage Distribution / hygiène des mains Séchage : préconisation du groupe Collecte Traitement NB : respect des procédures établissement

17 Gestion du linge personnel des utilisateurs Lavage Séchage à chaque utilisation Devoir d information des professionnels

18 CARACTÉRISTIQUES DE L EAU (1) - L eau utilisée en balnéothérapie doit être filtrée, désinfectée et désinfectante. - La température doit être adaptée au type de geste rééducatif réalisé; pour les bassins, pour des raisons de confort et de détente musculaire, habituellement 32 à 35 C. - L eau des bassins et piscines doit être renouvelée a raison d au moins 30 litres par jour et par baigneur ayant fréquenté l installation. - Chaque bassin dispose d un système de désinfection qui lui est propre. - Produits de désinfection autorisés par le Ministère de la santé : Les produits chlorés et l ozone

19 CARACTÉRISTIQUES DE L EAU (2) Paramètres microbiologiques Valeurs cibles Bactéries aérobies revivifiables a 37 C Coliformes totaux Coliformes fécaux Escherichia coli Staphylocoques pathogènes Pseudomonas aeruginosa Entérocoques fécaux < 100 UFC/ml <10 UFC/100 ml Absence dans 100 ml Absence dans 100 ml Absence dans 100 ml Absence dans 100 ml Absence La recherche de Legionella pneumophila est effectuée - pour les douches : niveau cible <1000 UFC/L. - Pour les douches à jets et les bains à remous : en dessous du seuil de détection.

20 CARACTÉRISTIQUES DE L AIR Le traitement de l air des piscines vise à : - réduire la teneur en polluants présents dans l air (chloramines, haloformes) - réduire le taux d humidité - et contribuer au confort des personnes exposées (patients et professionnels) en assurant une température d environ 27 C. Avoir une atmosphère de qualité satisfaisante nécessite de maîtriser le volume d air neuf, le débit d extraction, la température ambiante, et le degré d hygrométrie (50 à 80%). Les paramètres que sont le taux de CO2 et celui de Chloramine doivent être situés dans des normes définies.

21 Maintenance et suivi Identification et formation des professionnels Recommandations constructeur Planification et traçabilité Archivage

22 Surveillance Au quotidien En surface : ph, T C, transparence, impuretés, Chlore En sous-station : ph, Chlore, pression filtre, compteur eau, stabilisant Contrôles mensuels / annuels (laboratoire) Affichage des résultats

23 Laboratoire extérieur A noter : le carnet sanitaire doit contenir l accréditation COFRAC du laboratoire qui réalise les analyses.

24 Opérations de maintenance Deux niveaux de périodicité : Hebdomadaire > filtres Semestrielle > détartrage, nettoyage, désinfection

25 Conduite à tenir / surveillance de l eau En résumé Les 4 paramètres physico-chimiques pris en compte sont : - Le ph - Chlore - Chlore combiné - Stabilisant

26 Conduite à tenir / surveillance de l eau En résumé Les 6 paramètres bactériologiques pris en compte sont - Bactéries revivifiables a 37 C - Coliformes totaux - Entérocoques fécaux - Escherichia coli - Staphylocoques pathogènes - Pseudomonas aéruginosa

27 Conduite à tenir / surveillance de l eau Non-conformité et décision : exemple du chlore libre Valeur trop faible : prolifération microbienne Valeur trop élevée : irritation des yeux et des muqueuses

28 Conduite à tenir / surveillance de l eau Circuit de l information : - Identification des personnes et partage Alerte : - Laboratoire non-conformité physico chimique - Tout professionnel concerné

29 Conduite à tenir / surveillance de l eau Gestion des anomalies : - Corrections des défauts - Suspension des séances Actions correctrices (fermeture éventuelle) - Choc chloré - Vidange - Ecumage - Décolmatage des filtres 9 fiches réflexes DDASS Puy de Dôme (2008)

30 RÈGLES D ACCÈS EN HYDRO- BALNÉOTHÉRAPIE

31 INDICATIONS ET CONTRE-INDICATIONS Indications multiples : l activité de balnéothérapie relève d une prescription médicale tracée. Le médecin vérifie l absence de contre-indication initiale et tout au long de la prise en charge en balnéothérapie. En cas de contreindication temporaire, la durée est précisée et réévaluée. Le respect des contre-indications vise à prévenir la contamination de l environnement, prévenir les risques inhérents à l hydrobalnéothérapie pour le patient et éventuellement prévenir les risques psycho-émotionnels. Il existe des contre indications absolues et d autres relatives; Il est important de savoir qu une évaluation du bénéfice/risque est nécessaire avant toute prise en charge en balnéothérapie. (à la charge du médecin en concertation avec l équipe de rééducation et l équipe opérationnelle en hygiène si besoin)

32 CONTRE-INDICATIONS (1) 1. Pour prévenir la contamination de l environnement CI absolues : - conjonctivite infectieuse (virale ou bactérienne) - infections respiratoires - incontinence fécale - nausées et risque de vomissements - patient non compliant aux règles d hygiène définies par l établissement CI relatives - infections ORL - patients stomisés : pas de contre-indication pour les patients qui gèrent bien leur appareillage - plaie, ulcère ou escarre ne pouvant être isolé de façon étanche

33 CONTRE-INDICATIONS (2) - une lésion cutanée colonisée/infectée par une BMR ne constitue pas en soi une contre-indication si cette lésion peut être isolée de façon étanche. En cas de colonisation/infection a BMR, le respect des précautions complémentaires de type contact est indiqué en complément des précautions standard. - mycose cutanée ou muqueuse (porteur d onychomycose : possible si port de chaussons adaptés en caoutchouc) - verrues: possible si pansement étanche en place ou chaussons en caoutchouc pour verrue plantaire - incontinence urinaire sauf si le patient est continent lorsqu il vient de vider sa vessie et pendant la durée théorique d une séance (att si incontinence à l effort). A noter que la prise en charge des patients sévèrement incontinents urinaires peut être réalisée dans un bassin individuel pouvant être vidé puis désinfecté après usage.

34 CONTRE-INDICATIONS (3) 2. Pour prévenir les risques inhérents à l hydro-balnéothérapie pour le patient En l absence de textes règlementaires, de recommandations spécifiques et de données publiées dans la littérature, la conduite a tenir repose sur des avis de chirurgiens et dermatologue interroges spécifiquement sur ce point. CI absolues : - cicatrice chirurgicale non fermée (à moins d une possibilité technique d étanchéité totale assurée) - fistule artério-veineuse - trachéotomie - fixateurs externes

35 CONTRE-INDICATIONS (4) CI relatives - dermatose non infectée (ex : eczema, psoriasis) - plaie, ulcère ou escarre à risque d aggravation sous pansement étanche. CI pour l accès aux piscines d eau chaude les patients présentant des maladies thrombotiques, certaines atteintes neurologiques (sclérose en plaques ) ou pathologies cardiorespiratoires. 3. Pour prévenir les risques psycho-émotionnels : Certaines pathologies (dermatoses étendues,...), ni a risque d aggravation pour le patient lui-même, ni a risque de contamination pour l environnement sont susceptibles de générer un risque psychoémotionnel. Une évaluation de l impact est a réaliser de manière collégiale avant de permettre l accès a la balnéothérapie.

36 MODALITÉS D ACCÈS À LA BALNÉOTHÉRAPIE (1) Le patient doit être informé des consignes à respecter avant l accès a la balnéothérapie par plaquettes et affichage. Prérequis pour accéder à la balnéothérapie - Port de bijoux non recommande, pas de maquillage. - Douche au savon doux soigneuse en insistant sur les zones pileuses avant d accéder a la balnéothérapie. - Cheveux propres. Le port d un bonnet de bain ou charlotte a usage unique est conseille pour éviter l encrassement des préfiltres, filtres et goulottes. - Les shorts de bain et caleçons sont proscrits.

37 MODALITÉS D ACCÈS À LA BALNÉOTHÉRAPIE (2) - Les vêtements (peignoir, serviette, maillot de bain, bonnet de bain...) portés sont propres. - Friction des mains avec un produit hydro-alcoolique. - Nourriture, bonbons et chewing-gum sont interdits dans l enceinte de la balnéothérapie. - Tout symptôme ou toute lésion cutanée constatée par le patient doit être signale a l équipe soignante qui définira la conduite a tenir ad hoc. Le maillot de bain doit être revêtu juste avant la séance de balnéothérapie. - Après la séance :Un équipement technique permettant le séchage du maillot de bain, du peignoir ou de la serviette de bain est mis a disposition. Le linge n est pas mis en contact avec celui du voisin.

38 MODALITÉS D ACCÈS À LA Principe de l accueil du patient BALNÉOTHÉRAPIE (3) Prérequis vérifiés par l équipe soignante en amont de l accès a la balnéothérapie Absence de contre-indication vérifiée par l équipe soignante en amont (plan de soin, + vérification visuelle + interrogatoire). Les raisons de non prise en charge sont tracées. Circuit de déplacement codifié dans l enceinte de la balnéo (accès libre interdit, accueil fait par un membre du personnel veillant au respect des règles, chaussures et aides techniques extérieures laissées à l entrée et remplacées, respect du circuit propre/sale, accès au bassin après la mise en tenue, passage sous la douche et dans le pédiluve.

39 MODALITÉS D ACCÈS À LA BALNÉOTHÉRAPIE (4) Après la séance passage dans le pédiluve, douche et rinçage a l eau claire. Essuyage soigneux avant que le patient s habille (aide possible par l aidesoignante) Règles d accès pour les professionnels - les professionnels qui ne vont pas dans le bassin : accès au bord du bassin avec une tenue propre, des chaussures propres et réservées à cet usage et une hygiène soignée. - les professionnels qui vont dans le bassin :respect des mêmes règles que les patients : douche au savon doux, cheveux propres, maillot de bain propre. Les contre-indications a la balnéothérapie citées pour les patients s appliquent également aux soignants. Ils respectent le circuit de déplacement tel que propose aux patients.

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