Mots clés: Cameroun, Rentabilité privée, Education, Model Tobit de type III, Structurel, Secteurs Public, Privé Formel et Informel, ECAM II.

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1 Une Analyse Emprque de la Rentablté Prvée de l Educaton au Cameroun : estmaton d un Modèle Tobt de Type III Structurel par Patrck Mare Nga Ndjobo, Bernadette Kamgna Da et Bonface Ngah Epo Faculté des Scences Economques et de Geston, Unversté de Yaoundé II, Cameroun B.P 65 Yaoundé Emal: patrckndjobo@yahoo.fr, dkamgna@yahoo.com et epongahb@yahoo.fr Résumé Cet artcle effectue une analyse emprque des taux de rendements prvés de l éducaton au Cameroun à travers un modèle Tobt de type III structurel. En effet, le contexte du marché du traval au Cameroun est caractérsé par la prédomnance du secteur nformel sur celu formel. Un taux de chômage relatvement élevé, mas auss une précarté des emplos exstants caractérsent également ce marché. Auss, les ndvdus et partculèrement les dplômés du système éducatf ne dsposent-ls pas très souvent d emplos permanents, mas plutôt d emplos transtores ou provsores de quelques heures. De manère spécfque, les taux de rendements prvés assocés aux dfférents nveaux d éducaton ne sont en général pas statstquement sgnfcatfs dans le secteur prvé formel ; ceux assocés aux dfférents dplômes spécfés ne sont quant à eux, pour la plupart, pas statstquement sgnfcatfs dans le secteur nformel. De plus, les taux de rendements prvés de l éducaton, quelle que sot l approche spécfée, sont en général plus élevés dans le secteur publc que dans le secteur prvé formel. Enfn, les taux de rendements prvés assocés aux dfférents dplômes sont en général, plus élevés que ceux assocés aux dfférents nveaux d éducaton correspondants Mots clés: Cameroun, Rentablté prvée, Educaton, Model Tobt de type III, Structurel, Secteurs Publc, Prvé Formel et Informel, ECAM II. Patrck Mare Nga Ndjobo est un étudant en thèse de Doctorat à l Unversté de Yaoundé II, Professeur Bernadette Kamgna Da est ensegnante dans cette même nsttuton, Bonface Ngah Epo est un étudant en thèse de Doctorat dans cette même nsttuton.

2 I. Introducton L analyse des taux de rendements prvés de l éducaton n est pas un phénomène nouveau. La théore du captal human sous jacente à ce concept, stpule que les dépenses effectuées par les ndvdus dans le but d acquérr des connassances et des compétences, ont pour conséquence d augmenter leur productvté et leurs revenus futurs, de la même façon que l nvestssement dans le captal réel par une entreprse, entraîne une augmentaton de sa producton et de ses recettes extéreures. Becker (964) dans ses travaux montre l mportance du manque à gagner et du temps dans l nvestssement en captal human. Les années passées à poursuvre des études sont consdérées comme des années de prvaton de salares qu seront compensées par des salares élevés, le prx du temps augmentant au fur et à mesure des années. Mncer (974) et (99) suggère une méthode smplfée d évaluaton de l éducaton permettant d obtenr les effets de la formaton et de l expérence sur les gans. Schultz (96) soutent que la contrbuton des travalleurs à l actvté économque dépend tout autant de leur nombre que de leur qualté. Les avantages de l éducaton sont donc, non pas mmédats, mas futurs. En Afrque, quelques études récentes ont estmé les taux de rendements prvés de l éducaton. Utlsant des échantllons représentatfs de la populaton, Schultz (004) arrve à la concluson que les taux de rendements prvés de l éducaton crossent avec le nveau d éducaton dans sx pays d Afrque Subsaharenne (taux de rendements prvés de l éducaton convexes). Psacharopoulos et Patrnos (00) dont l analyse conclue que les taux de rendements prvés de l éducaton en Afrque Subsaharenne sont postfs mas décrossent avec le nveau d éducaton à travers tous les pays (taux de rendements prvés de l éducaton concaves) n utlsent quant à eux pas des échantllons représentatfs de la populaton pour pluseurs pays. Nous contrbuons à cette lttérature à travers la suggeston d une méthode d analyse basée sur la défnton d un modèle Tobt de type III structurel permettant d analyser la rentablté prvée de l éducaton et ses détermnants au Cameroun. Nous utlsons pour cela les données prmares ssues de la deuxème enquête camerounase auprès des ménages (ECAM II) recuelles en 00 et portant sur ndvdus. On pourrat noter des smlartés et des dfférences entre notre étude et les tros prncpales études sur la rentablté prvée de l éducaton au Cameroun. Lanot et Muller (997), Bgsten et al. (000) et Ewoudou et Vencatachellum (006) arrvent à la concluson que les taux de rendements prvés de l éducaton sont convexes dans le cas du Cameroun. Toutefos, la prncpale dfférence entre la présente étude et les autres précédemment ctées et qu à notre avs est à l orgne des autres dfférences et partculèrement, celle relatve aux résultats, a trat d une part à la talle de l échantllon utlsé et d autre part au modèle d analyse ms en œuvre. Dans la présente étude, l a été défn un modèle Tobt de type III structurel d une part, dans le but de trater de la sélectvté (la sélecton est détermnée par un modèle Tobt standard plutôt En ce qu concerne la talle de l échantllon, elle est d envron 00 ndvdus (unquement des femmes) lors de l estmaton de l équaton de salare dans l étude de Lanot et Muller (997). Bgsten et al. (000) utlsent pour leur étude, un échantllon de travalleurs ssus unquement du secteur manufacturer. Ces deux échantllons n auraent pas été représentatfs de la populaton totale du Cameroun. L étude réalsée par Ewoudou et Vencatachellum (006) utlse comme d alleurs la présente étude, les données prmares ssues de la deuxème enquête camerounase auprès des ménages (ECAM II). En outre, Bgsten et al. (000) ne tennent pas compte de la sélecton d échantllon dans leur méthode d analyse des taux de rendements prvés de l éducaton. Les autres études tratent quant à elles de la sélectvté. Ans, Lanot et Muller (997) tratent de la sélectvté à travers l estmaton d un modèle ntégré dans lequel tous les chox de secteurs sont estmés de façon smultanée. Ewoudou et Vencatachellum (006) tratent également dans leur étude de la sélectvté relatvement aux secteurs d actvté dans lesquels sont employés les ndvdus.

3 que par un modèle à varable dépendante bnare comme dans le cas des études précédemment ctées) et de l endogénété de certanes varables explcatves (éducaton et salare en partculer) et, d autre part pour prendre en compte dans l analyse, non seulement les ndvdus employés effectvement et à plen temps dans un secteur d actvté ou dans un autre à un pont donné du temps, mas également ceux dont les heures travallées et rémunérées sont observables et non nulles au cours d un ntervalle de temps donné (le mos, en l occurrence). Les taux de rendements prvés de l éducaton dérvés des résultats de l estmaton dudt modèle sont globalement statstquement sgnfcatfs, élevés et convexes. Le reste de l artcle est organsé comme sut. La secton présente les données utlsées. La secton décrt notre méthodologe à travers la descrpton de la sélecton d échantllon et des varables explcatves endogènes dans notre modèle (secton.), et une applcaton du modèle Tobt de type III structurel à l estmaton de la rentablté prvée de l éducaton au Cameroun (secton.). La secton 4 présente les résultats obtenus. La secton 5 conclue l artcle et propose dfférentes recommandatons de poltques économques. Enfn, les références bblographques sont présentées. II. Données La deuxème enquête camerounase auprès des ménages (ECAM II) réalsée en 00, porte sur un échantllon représentatf de la populaton qu content à la fos des données prmares sur les ménages et sur les ndvdus. L échantllon fnal comprend 0 99 ménages correspondant à ndvdus. Toutefos, pour vérfer nos hypothèses, nous avons utlsé la base de données ECAM II ndvdus. L évaluaton du modèle Tobt de type III structurel est réalsée sur la verson 8 du logcel STATA. Dans le cadre de cet artcle, l âge de l ndvdu exprmé en nombre d années révolues est utlsé dans l équaton de salare comme une varable proxy de l expérence professonnelle. Le genre de l ndvdu égal à s l ndvdu est de sexe masculn et snon. Le statut matrmonal de l ndvdu égal à s l ndvdu est maré ou en unon lbre et 0 snon (c'est-àdre, égal à 0 s l ndvdu est célbatare, veuf ou dvorcé/séparé). Le marché du traval au Cameroun est caractérsé par la prédomnance du secteur nformel sur celu formel (envron 90% des emplos occupés se retrouvent dans le secteur nformel (INS, 005)). Auss avonsnous jugé utle de dstnguer les secteurs Formel (Publc, Prvé Formel) et Informel afn de ne pas exclure ceux dont les heures travallées sont non nulles et observables dans ce derner secteur. Le secteur d actvté de l ndvdu est relatf au secteur nsttutonnel (admnstraton publque et entreprses publques (secteur publc) ; entreprses prvées formelles (secteur prvé formel) ; entreprses nformelles agrcoles (secteur nformel agrcole) ; entreprses nformelles non agrcoles (secteur nformel non agrcole)), dans lequel est/ou pourrat être employé un ndvdu. Le mleu de résdence de l ndvdu est représenté par une varable catégorelle à tros modaltés ( = Urban ; = Sem Urban ; = Rural). Les varables représentant l éducaton (nveau d éducaton, dplôme le plus élevé, années d études réusses) du chef de ménage ont été créées suvant une procédure smlare. Les dépenses par tête au sens de la comptablté natonale ont été prses en compte comme un ndcateur du nveau de ve de l ndvdu et par conséquent du ménage dont l est ssu. Ces dépenses par tête sont utlsées pour approxmer le revenu des parents du ménage dont est ssu l ndvdu et qu est censé avor une nfluence sur son éducaton. La relgon du chef de ménage où est ssu l ndvdu est représentée par une varable catégorelle à sx modaltés ( = Catholque ; = Protestant(e) ; = Autre Chréten(ne) ; 4 = Musulman(e) ; 5 = Anmste ; 6 = Autres). Une varable a été créée

4 pour détermner l échantllon (sélectonné) des ndvdus en âge de travaller pour lesquels les heures travallées sont observables et non nulles au cours d un ntervalle de temps équvalent au mos. Deux seuls de censure ont été prs en compte : 0 et 70, respectvement seul à gauche et seul à drote. Le seul à gauche se justfe par le fat qu un salare n est octroyé qu à un ndvdu qu travalle effectvement au mons une heure de temps par mos, tands que le seul à drote, représente le nombre total d heures pour un mos de trente jours. III. Méthodologe Nous décrvons à la Secton III. la sélecton d échantllon et l exstence de varables explcatves endogènes qu résultent de la défnton de notre modèle. Nous mettons ensute en œuvre à la Secton III., notre stratége d estmaton à travers une applcaton du modèle Tobt de type III structurel à l estmaton de la rentablté prvée de l éducaton au Cameroun. III.. Sélecton d échantllon et varables explcatves endogènes La défnton d un modèle d offre de traval de type Tobt généralsé soulève la plupart du temps un certan nombre de problèmes lés d une part à la sélectvté (III..) et d autre part à la présence de varables explcatves endogènes (III..). III... Sélectvté L analyse de la rentablté prvée de l éducaton au Cameroun nécesste que sot spécfée une foncton d offre de salare qu par défnton est supposée représenter toute la populaton en âge de travaller, qu un ndvdu at ou non un salare au moment de l étude. Ans, s l offre de salare état observée pour tous les ndvdus de la populaton (en âge de travaller), l utlsaton de la méthode des mondres carrés ordnares (MCO) serat la voe naturelle pour obtenr des estmateurs robustes. Cependant, l offre de salare ne peut être observée que pour les seuls ndvdus qu partcpent effectvement, d une manère ou d une autre au marché du traval. Un état de chose qu entraîne une potentelle présence de bas due à la sélecton de l échantllon de l étude et par conséquent, résulte sur des estmateurs des MCO qu peuvent être basés. Toutefos, la sélecton est très souvent détermnée par des modèles à varable dépendante bnare : modèles de type Probt ou Logt. Dans de tels modèles, on modélse la probablté pour un ndvdu de partcper ou non au marché du traval. Ans, un ndvdu fera parte de l étude s sa probablté de partcper au marché du traval est non nulle en un pont précs du temps spécfé dans l étude. On aura donc à travers l utlsaton de ce type de modèles, sot des ndvdus qu partcpent, sot des ndvdus qu ne partcpent pas au marché du traval en un pont précs du temps. Auss, lorsqu on éprouve le beson de segmenter le marché du traval en secteurs d actvtés (par exemple secteurs publc, prvé formel, nformel), a-t-on le chox entre un modèle Logt condtonnel, un modèle Logt multnomal ou encore un modèle Probt multnomal, etc. On pourrat cependant, avor une alternatve (que propose d alleurs le présent artcle) qu permette de dsposer de plus d nformatons sur la sélecton d échantllon. En effet, la sélecton peut également être détermnée par des modèles à varable dépendante lmtée ou plus précsément, à varable dépendante quanttatve dscontnue. Dans ce type de modèles, la varable dépendante est contnue mas n est observable que sur un certan ntervalle. Dans ce cas précs, on dot modélser la probablté que la varable dépendante appartenne à

5 l ntervalle pour lequel elle est observable. Ans, à travers ce type de modèles, les ndvdus qu partcpent au marché du traval sont ceux dont les heures travallées au cours d un ntervalle de temps donné, sont non nulles. Toutefos, on devrat effectuer un test de sélectvté pour pouvor conclure à l exstence ou non de la sélecton d échantllon. Une concluson ndspensable à la défnton d une méthode d estmaton approprée. Le bas de sélectvté est testé par la statstque t usuelle des MCO sur le résdu obtenu à l ssue de la régresson de la forme rédute de l équaton de sélecton (foncton d offre de traval), dans la régresson effectuée à la premère étape de la méthode à deux étapes mse en œuvre (Vella, 99). Cette procédure permet également de résoudre le problème de sélecton quand le coeffcent estmé de ce derner résdu est statstquement dfférent de zéro (Wooldrdge, 998), et cec lorsque les varables explcatves sont exogènes. Dans le cas où on a des varables explcatves endogènes, l hypothèse nulle d absence de bas de sélecton peut être testée à l ade de la statstque t des Doubles Mondres Carrés (DMC). Lorsque le coeffcent estmé de ce derner résdu est statstquement dfférent de zéro, les termes d erreurs peuvent être corrgés par la méthode d estmaton à deux étapes. III... Endogénété des varables explcatves La défnton d un modèle Tobt de type III structurel révèle la présence potentelle de varables explcatves endogènes dans les prncpales équatons du modèle. a. Equaton de salare et endogénété de l éducaton Les modèles d analyse des taux de rendements prvés de l éducaton consdèrent habtuellement cette dernère comme une varable exogène. Cependant, cette hypothèse d exogénété de l éducaton est en contradcton avec le pont de vue théorque pour lequel, l éducaton est envsagée comme une varable endogène et par conséquent, comme le résultat d nvestssement optmal (Grlches, 977), et par voe de conséquence, pluseurs facteurs tels que les apttudes ndvduelles et les caractérstques socales sont mportants pour sa détermnaton. En ne prenant pas en compte ces facteurs à l ade d une régresson smultanée, on rsque de baser l estmaton des taux de rendements prvés de l éducaton qu est une varable explcatve du salare. Auss ne saurat-on conclure à l endogénété de l éducaton sans effectuer au préalable un test d endogénété qu, étant donné la forme de l équaton de salare (modèle à varable dépendante quanttatve dscontnue), est le test de Smth-Blundell (986). b. Foncton d offre de traval et endogénété du salare L endogénété des varables explcatves dans notre modèle pourrat également être relevée à un second nveau. Nous savons que le salare n est observé que s l ndvdu travalle, c'est-àdre s l a accepté une offre d emplo correspondant au salare proposé. Ans, lorsqu on suppose que les heures travallées par les ndvdus sont foncton du salare, le modèle d offre de traval défn devent un modèle structurel. Le salare est donc par hypothèse une varable explcatve endogène des heures travallées exprmées sous la forme d un modèle à varable dépendante lmtée et partculèrement, sous la forme d un modèle Tobt standard. Le cadre d analyse appropré pour tester l endogénété du salare est également l approche de Smth- Blundell (986) qu permet de corrger auss ben les écarts types que les effets margnaux. 4

6 III. Applcaton du modèle Tobt de type III structurel à l estmaton de la rentablté prvée de l éducaton au Cameroun Les hypothèses du modèle sont les suvantes : () les varables z et observées, tands que les varables perturbatons v et moyenne zéro ; () y sont toujours y sont observées quand y 0 ; () les y et > µ sont ndépendantes de z et suvent une dstrbuton normale jonte de z content au mons un élément dont le coeffcent est dfférent de zéro et qu n appartent pas à z ; (v) z content au mons deux éléments dont les coeffcents sont dfférents de zéro et qu n appartennent pas à z ; (v) E ( z v ) 0 et z δ = z δ + zδ, avec δ 0 ; (v) E( v µ ) = γ µ. = L hypothèse () résume la nature du problème de sélecton de l échantllon. L hypothèse () assure l exogénété de z. L hypothèse () est nécessare pour dentfer les paramètres structurels α et δ. L hypothèse (v) est nécessare pour dentfer les paramètres structurels δ et α. L hypothèse (v) résulte de l endogénété de y dans l équaton ayant pour varable dépendante y. L hypothèse (v) requert la lnéarté dans la régresson de la populaton de sur µ. Elle permet de tester le bas de sélecton. Les varables endogènes du modèle sont y, le logarthme du salare mensuel ; y, l éducaton de l ndvdu (nveau d éducaton, dplôme le plus élevé, années d études réusses) ;, le logarthme du nombre d heures mensuelles travallées. Les varables y explcatves exogènes du modèle sont z, le vecteur des varables explcatves exogènes de y qu comprend l âge et l âge au carré, le sexe, le statut matrmonal et le mleu de résdence de l ndvdu ; z, le vecteur des varables explcatves exogènes de y qu est consttué de l éducaton du chef de ménage, du mleu de résdence, de la relgon, du sexe, du logarthme des dépenses par tête au sens de la comptablté natonale, de l âge et de l âge au carré de l ndvdu ; z, le vecteur des varables explcatves exogènes de y qu comprend le sexe, le secteur nsttutonnel, l âge et l âge au carré, le mleu de résdence et la relgon de l ndvdu. Utlsant un modèle Tobt de type III structurel, nous estmons la rentablté prvée de l éducaton au Cameroun ans qu l sut, sot : v y = z + αy + v y = j s υ j < y υ j y max 0, α y + z δ + µ δ () avec y = zδ + v () = () ( ) où : () représente l équaton de salare () représente l équaton d éducaton () représente l équaton des heures travallées 5

7 y représente la varable latente de d erreurs respectfs de y, y et y ; j =,,, J ; y ; v, v et µ représentent les termes v sut une lo normale centrée rédute ; et les υ représentent des paramètres nconnus qu ndquent les valeurs seuls entre lesquelles se déplacent les chox ndvduelles d éducaton; et υ j < υ j assure la postvté des probabltés. L équaton () est de forme rédute. Les deux équatons () et () sont de forme structurelle. En outre, la varable y est potentellement endogène dans l équaton (), tands que, la varable y est potentellement endogène dans l équaton ( ) L estmaton du modèle spécfé nécesste que l on détermne tout d abord la forme rédute de l équaton () du modèle, que l on utlsera dans le but de détermner les valeurs estmées des paramètres δ et α : On substtue y dans y, on obtent ans la forme rédute de y suvante: = z δ + α z δ + (5) ( ) y µ v αv avec µ + Ensute, on substtue la forme rédute de y dans y, on obtent : y = max 0, z δ + α z δ + α z δ + v = max [ [ ( )] ] [ 0, z δ + α( z δ) + α( z δ ) + v ] ( 0 z v ) y max, + π (6) qu correspond à la forme rédute de avec α = α α v µ + αµ y, L estmaton de cette forme rédute a été effectuée par une régresson Tobt standard sur la base d échantllons comprenant respectvement ; et 9 89 observatons suvant les dfférentes approches de l éducaton spécfées à savor : le nveau d éducaton, le dplôme le plus élevé et les années d études réusses. Il est à noter qu aux fns de détermner les rendements prvés de l éducaton assocés à chaque nveau d éducaton spécfé, on estmera le modèle précédent pour y = j, à l ade de la procédure à deux étapes suvante : La premère étape a pour objectf de détermner ˆ δ et ˆα qu représentent respectvement les valeurs estmées des paramètres δ et α. Pour cela, on utlse le système suvant : = z δ + α y v y + y = j υ < y max 0, z π + v s j y υ j avec y = zδ + v ( ) Auss, obtent-on tout d abord la valeur estmée du paramètre rédutπ, à partr de la régresson Tobt (standard) de y sur z utlsant toutes les observatons. Ensute à l ssue de la précédente régresson, on détermne le résdu Tobt vˆ ˆ = y z π, pour y > 0.. 6

8 Enfn, utlsant le sous échantllon sélectonné consttué des ndvdus dont le nombre d heures mensuelles travallées est comprs entre 0 et 70, on estme l équaton suvante : y z δ + α y + γ v + erreur par la régresson des Doubles Mondres Carrés (DMC) = ˆ, ˆ utlsant comme nstruments ( v ) z. La valeur estmée ˆα qu en résultera, va représenter le rendement prvé du nveau d éducaton y = j spécfé. La deuxème étape de l estmaton a pour objectf de détermner les valeurs estmées des paramètres structurels α et δ de l équaton () du modèle orgnal précédent. Ans, étant donné les valeurs estmées ˆ δ et ˆα détermnées à l étape précédente, on consttue les varables z ˆ δ et ˆ α y. On obtent ensute ˆα et ˆ δ à partr de la régresson Tobt (standard) de y sur ( z ˆ δ + ˆ α y ) (et non sur y ) et z. La valeur estmée ˆα permettra quant à elle, de détermner le nveau de varaton du salare mensuel et des heures mensuelles travallées par les ndvdus, relatf au nveau d éducaton y = j spécfé. IV. Résultats Les détermnants de la rentablté prvée de l éducaton au Cameroun ont été analysés sur la base des estmatons des équatons de salare réalsées à l ade des technques des varables nstrumentales (VI). La méthode d estmaton à deux étapes partculère utlsée à travers laquelle des estmatons robustes ont pu être détermnées, nous a permt d obtenr à l ssue de la deuxème étape, les rendements prvés de l éducaton par secteur d actvté, selon la procédure décrte précédemment. L estmaton de l équaton de salare mensuel pour le secteur publc, révèle un R ajusté d envron 0,5 ; 0,56 et 0,57 pour les estmatons relatves respectvement au nveau d éducaton, au dplôme le plus élevé et aux années d études réusses par les ndvdus. Le R ajusté est d envron 0,88 ; 0,8 ; 0,85 pour les estmatons de l équaton de salare mensuel effectuées pour le secteur prvé, relatves respectvement au nveau d éducaton, au dplôme le plus élevé et aux années d études réusses par les ndvdus. Dans le cas des estmatons de l équaton de salare mensuel, effectuées pour le secteur nformel, le R ajusté est d envron 0,64 ; 0,6 ; 0,65 respectvement pour les estmatons relatves au nveau d éducaton, au dplôme le plus élevé et aux années d études réusses par les ndvdus. Le terme de correcton de la sélectvté n est en général pas statstquement sgnfcatf pour ceux qu travallent dans le secteur publc. Par contre, ce terme est postf et statstquement sgnfcatf pour ceux qu travallent dans le secteur prvé formel ou dans le secteur nformel. La postvté du terme de correcton de la sélectvté sgnfe que les caractérstques non observées de ceux qu travallent dans le secteur prvé formel ou dans le secteur nformel, sont négatvement corrélées avec les éléments non observés qu affectent leur salare de réservaton. Le salare de réservaton est le nveau de rémunératon mnmum en deçà duquel, un chômeur ne peut accepter d occuper un emplo. 7

9 Nous notons que les taux de rendements prvés de l éducaton crossent de manère générale, et quel que sot le secteur d actvté, avec l éducaton des ndvdus. Ces taux de rendements sont donc convexes. Toutefos de façon partculère, ces taux de rendements prvés de l éducaton sont globalement postfs et crossants suvant le nveau d éducaton des ndvdus. Ans, dans le secteur publc par exemple, le taux de rendement prvé assocé au nveau prmare est de 0,75. Il est statstquement sgnfcatf. Les taux de rendements prvés assocés aux nveaux d éducaton secondare général premer et second cycles sont respectvement de,5 et de,55. Ils sont statstquement sgnfcatfs et supéreurs à ceux assocés aux nveaux d éducaton secondare technque premer et second cycles qu sont quant à eux, respectvement égaux à,4 et,46. Le nveau supéreur enfn, est assocé à un taux de rendement prvé plus élevé que les autres (,9). Il est également statstquement sgnfcatf. Dans le secteur prvé formel, les taux de rendements prvés assocés aux nveaux d éducaton sont également convexes, ben qu on note un taux de rendement prvé négatf et sgnfcatf assocé au nveau d éducaton prmare (-0,66). Les taux de rendements prvés assocés aux dfférents nveaux d éducaton secondare dans ce secteur ne sont en général pas statstquement sgnfcatfs. Enfn, le taux de rendement prvé assocé au nveau d éducaton supéreur est quant à lu postf et sgnfcatf (0,65) dans ce secteur d actvté. Il est également à noter que, les taux de rendements prvés assocés aux dfférents nveaux d éducaton dans le secteur publc, sont en général plus élevés que ceux obtenus dans le secteur prvé formel. Dans le secteur nformel, les taux de rendements prvés assocés aux dfférents nveaux d éducaton sont en général négatfs, ben que convexes. Ils ne sont pour la moté d entre eux, pas statstquement sgnfcatfs. L estmaton du modèle et partculèrement de l équaton de salare relatve aux dfférents dplômes spécfés, révèle également des taux de rendements prvés de l éducaton convexes. Ans, dans le secteur publc, le taux de rendement prvé assocé aux dplômes CEPE/FSLC est postf (0,79) et statstquement sgnfcatf. Ce taux est plus élevé que celu assocé au nveau d éducaton prmare non sanctonné par un dplôme. Les taux de rendements prvés assocés aux dfférents dplômes allant du BEPC/CAP/GCEOL (,) aux Doctorat/PHD (,09) sont statstquement sgnfcatfs, postfs, crossants et très élevés. Dans le secteur prvé formel, le taux de rendement prvé assocé aux dplômes CEPE/FSLC n est pas statstquement sgnfcatf. Les taux de rendements prvés assocés aux dfférents dplômes allant du BEPC/CAP/GCEOL (0,66) aux dplômes Maîtrse/DEA (,65) sont statstquement sgnfcatfs, postfs et crossants. Cependant, ls sont mons élevés que ceux obtenus pour le secteur publc. Le taux de rendement prvé assocé aux dplômes Doctorat/PHD n est quant à lu pas statstquement sgnfcatf dans le secteur prvé formel. Dans le secteur nformel, les taux de rendements prvés assocés aux dfférents dplômes spécfés, sont en général convexes. Le taux de rendement prvé assocé aux dplômes CEPE/FSLC (-0,57) est statstquement sgnfcatf et négatf, tands que celu assocé aux dplômes BAC/GCEAL/BEP (0,5) est statstquement sgnfcatf et postf. Les taux de rendements prvés assocés aux autres dplômes ne sont pas statstquement sgnfcatfs dans le secteur nformel. On pourrat à l ssue des dfférents résultats précédents, conclure qu l serat plus rentable pour les ndvdus, de prvléger l obtenton des dplômes sanctonnant les dfférents cycles d ensegnement plutôt que de se lmter aux années d études non certfées correspondantes à ces cycles d ensegnement. En partculer, l ensegnement supéreur dans tous les secteurs d actvté est très rentable. 8

10 Enfn, l estmaton de l équaton de salare mensuel relatve à l éducaton prse comme le nombre d années d études réusses confrme la tendance des résultats déjà détermnés à l ssue des dfférentes estmatons précédentes relatves respectvement aux dfférents nveaux d éducaton et aux dfférents dplômes spécfés. On pourrat en défntve dre au regard des résultats obtenus à l ssue des dfférentes estmatons du modèle spécfé, que la rentablté prvée de l éducaton au Cameroun est globalement statstquement sgnfcatve, postve et crossante suvant le nveau d éducaton, le dplôme le plus élevé ou les années d études réusses par les ndvdus. En ce qu concerne les autres varables explcatves de l équaton de salare mensuel spécfée dans le cadre du présent artcle, on constate qu elles ont sensblement la même nfluence d une estmaton à l autre. On peut ans noter de manère générale que l équaton de salare mensuel est dans toutes les estmatons effectuées, une foncton concave de l âge des ndvdus (ce qu ndque que le salare croît avec l âge des ndvdus, mas à taux décrossant). Ans, l âge pour lequel le logarthme du salare mensuel est maxmum est respectvement de 5,5 ans dans le secteur publc ; de 5,7 ans dans le secteur prvé formel et de 60 ans dans le secteur nformel 4. On pourrat également noter que les femmes gagnent globalement et sgnfcatvement mons que leurs homologues masculns dans tous les secteurs d actvté. On note également que les ndvdus marés ou en unon lbre gagnent sgnfcatvement plus que les autres (célbatares, veufs (ves), dvorcés (ées)/ séparés (ées)). La même comparason pourrat être fate entre les ndvdus qu travallent en mleu urban et ceux qu travallent en mleu sem urban et en mleu rural. Ans, les ndvdus vvant en mleu sem urban gagnent sgnfcatvement plus que leurs homologues du mleu urban, dans le secteur prvé, mas mons, dans le secteur nformel. Dans le secteur publc, la dfférence dans les gans n est pas statstquement sgnfcatve. Quant aux ndvdus vvant en mleu rural, ls gagnent sgnfcatvement mons dans les secteurs publc et nformel que leurs homologues vvant en mleu urban. Dans le secteur prvé formel, la dfférence dans les gans n est pas statstquement sgnfcatve. V. Concluson De manère générale, les taux de rendements prvés de l éducaton au Cameroun sont très élevés et convexes, partculèrement dans les secteurs publc et prvé formel. Des taux de rendements qu convergent avec ceux détermnés dans de récentes études pour de nombreux pays d Afrque subsaharenne 5. Les autres varables explcatves des gans dans le présent artcle, sont en accord avec la lttérature emprque. Des recommandatons de poltques économques pourraent être dérvées de nos résultats. Les taux de rendements prvés de l éducaton postfs, statstquement sgnfcatfs et très élevés dans les secteurs publc et prvé formel ; négatfs et modérément postfs dans le secteur nformel devraent ncter l Etat à meux organsé et réglementé ce derner secteur. L Etat devrat également s nvestr dans la réducton des négaltés de rémunératons entre les hommes et les femmes qu sont sgnfcatves dans tous les secteurs d actvtés. De plus, la convexté des taux de rendements prvés de l éducaton en général, devrat ncter les ndvdus à effectuer de plus en plus d études et à prvléger l obtenton de dplômes, étant donné que les taux de rendements prvés assocés aux dfférents dplômes sont en général, plus élevés que ceux assocés aux dfférents nveaux d éducaton correspondants. En outre, les budgets alloués par les pouvors 4 Vor la procédure de détermnaton en Annexe. 5 Schultz (004) ; Kazanga, 00 et Ewoudou et Vencatachellum, 006 par exemple 9

11 publcs à l éducaton devraent être accrus à tous les nveaux, afn que s accrossent à la fos la qualté et le nombre de dplômés. Ces derners pourront ans vértablement trer proft des taux de rendements prvés de l éducaton qu sont en général élevés, et partant, contrbuer à l améloraton qualtatve de l apparel productf nterne. 0

12 Références Bblographques Arestoff, F. (000), «Taux de rendement de l éducaton sur le marché du traval d un pays en développement : Un réexamen du modèle de gans de Mncer», DIAL, Unversté Pars IX- Dauphne, Document de Traval. Barro, R. (00) «Inequalty and growth n a panel of countres», Journal of Economc Growth 5(), 5-. Baudelot, C., et al. (004), «les effets de l éducaton» (Rapport à l ntenton du PIREF), S.l., Sans éd. Becker, G. S. (964), «Human Captal», New-York, NBER and Columba Unversty Press. Belzl, C., et J. Hansen (004), «A Structural Analyss of the Correlated Random Coeffcent Wage Regresson Model», GATE Workng Paper, Avrl. Bgsten, A., et al. (000), «Rates of return on physcal and human captal n Afrca s manufacturng sector», Economc Development and Cultural Change 48, Bourbonnas, R. (998), Econometre, Dunod, ème édton. Cahuzac, E., et V. d Paola (004), «Overeducaton and Wages Downgradng: Condtons of Spatal Dfferentaton», Sans éd., Workng Paper, jullet. Chen, S. H. (00), «Is Investng n College Educaton Rsquy?», New-York, Unversty of Rochester and State Unversty of New-York at Albany. Chennouf, S., Lévy-Garboua, L., et C. Montmarquette (997), «les effets de l appartenance à un groupe de traval sur les salares ndvduels», Econométre Applquée, Pars, Presses HEC/Economca, PP Dagenas, M., Montmarquette, C., Vennot-Brot, N., et M. Meuner (000), «Le décrochage scolare, la performance scolare et le traval pendant les etudes: un modèle à groupe hétérogène», Sére Scentfque, CIRANO, 000s-55. Davdson, R., et J. G. Macknnon (99), Estmaton and Inference n Econometrcs, New- York, Oxford Unversty Press. Davs, R. (979), «Plannng Educaton for Employment», Harvard Insttute for Internatonal Development, Document d étude sur le développement no 60, jun. Dagne, A., Boccanfuso, D., et D. Gassama Barry (00), «La Rentablté de l Investssement dans l Educaton au Sénégal», CIRPEE Workng Paper, décembre. Ettner, S. L., «Methods for Addressng Selecton Bas n Observatonal Studes», S.d., Sans éd., Dvson of General Internal Medecne and Health Servces Research, UCLA. Ewoudou, J., et D. Vencatachellum (006), «An Emprcal Analyss of Prvate Rates of Returns to Educaton n Cameroon», Workng Paper, Novembre. Fsher, I. (906), The Nature of Captal and Income, New-York, Macmllan. Fredman, M. (96), Captalsm and Freedom, Chcago, Unversty of Chcago Press. Glls, M., Perkns, D. H., Roemer, M., et D. R. Snodgrass (004), Econome du Développement, De boeck, ème édton. Goureroux, C. (989), Econométre des Varables Qualtatves, Pars, ème édton, Economca. Hanchane, S., et C. Lemeln (000), «Le débat autour de l effcacté des systèmes Educatfs et de Formaton en France», IDEP Document de Traval, janver. Hanchane, S., et S. Moullet (999), «Accumulaton du captal human et relaton Educaton Salare», S.l., Sans éd. Heckman, J. (979), «Sample selecton bas as a specfcaton error», Econometrca 47, 5-6. Heckman, J., et P. Carnero (00), «The evdence on credt constrants n post-secondary schoolng», NBER Workng Paper, jullet. Hugon PH. (005), «Que produt l éducaton?», S.l., Sans éd.

13 Hugon, PH. (005), «La Scolarsaton et l Educaton Catalyseurs du Développement», Colloque ATM, Marrakech, avrl. Hurln, C. (00), «Modèles à varables dépendante lmtée : Modèles Tobt Smples et Tobt Généralsés», Unversté d Orleans. Jun Jo, S. (005), «Human Captal: Theory and Applcaton», S.l., Sans éd. Kazanga, H. (00), «Schoolng returns for wage earners n Burkna faso: Evdence from 994 and 998 prorty surveys», Techncal Report, Economc Growth Center Yale Unversty, New Haven, Connectcut. Lanot, G., et C. Muller (997), «Dualstc sector choce and female labour supply: Evdence from formal and Informal sectors n Cameroon», Center for Study of Afrcan Economes, WPS Lemeln, C. (998), L Economste et l Educaton, Presses de l Unversté du Québec. Manga Engama, E., «Educaton et Salare au Cameroun : Quelle relaton?», S.d., S.l., Sans éd. Mncer, J. (958), «Investments n Human Captal and Personal Income Dstrbuton», Journal of Poltcal Economy, 56 (4): 8-0. Mncer, J. (974), Schoolng, Experence and Earnngs, New-York, Natonal Bureau of Economc Research and Columba Unversty Press. Mncer, J. (99), «Educaton and Unemployment», n Studes n Human Captal, Cambrdge. Montmarquette, C., Mourj, F., et A. Garn (996), «L Inserton des Dplômés de la Formaton Professonnelle dans le Marché du Traval Marocan : Une Applcaton des Modèles de Durée», revue Régon & Développement no. Mwabu, G., et T. P. Schultz (996), «Educaton returns across quntles of the wage functon: Alternatve explanatons for returns to educaton n South afrca», Amercan Economc Revew 86(), 5-9. Psacharopoulos, G., et H. A. Patrnos (00), «Returns to nvestment n educaton: A further update», Workng Paper 88, World Bank, Washngton D. C., Septembre. Schultz, T. W. (96), «Investment n Human Captal», Amercan Economc Revew 5, no., mars, -7. Tass, PH. (985), Méthodes Statstques, Economca. Thurow, L. C. (970), Investment n Human Captal, Belmont, Cal., Wadsworth. Wlls, R. S., et S. Rosen (979), «Educaton and self-selecton», Journal of Poltcal Economy, vol. 87, no 5, part. Wolfe, B. et S. Zuvekas (995), «Nonmarket Outcomes of Schoolng», Insttute for Research on Poverty, Dscusson Paper , Ma. Wooldrdge, J. M. (00), Econometrc Analyss of Cross Secton and Panel Data, Cambrdge, Massachussets, The MIT Press.

14 Annexes I. Tableaux Tableau : Equaton de salare mensuel, par secteur d actvté, nveau d éducaton attent Secteurs d Actvté Nveaux d éducaton Publc Prvé formel Informel Prmare 0,75 * (0,) - 0,66 ** (0,5) - 0,75 *** (0,09) Secondare général premer cycle,5 *** (0,) 0,07 (0,6) - 0,65 *** (0,4) Secondare général second cycle,55 *** (0,) 0, (0,8) - 0,4 (0,0) Secondare technque premer cycle,4 ** (0,5) 0,0 (0,) -,07 *** (0,) Secondare technque second cycle,46 *** (0,7) 0, (0,) - 0,5 (0,4) Supéreur,9 *** 0,65 * 0,6 (0,) (0,8) (0,) Age potentel Age Age au carré Genre et statut matrmonal Fémnn Maré ou en unon lbre Mleu de résdence Sem urban Rural 0, *** 0, *** (0,0) (0,0) - 0,00 *** - 0,00 *** (0,000) (0,000) - 0,9 * - 0,67 *** (0,09) (0,) 0,8 ** 0, * (0,) (0,) - 0,06 0,8 * (0,09) (0,) - 0,64 *** - 0,8 (0,) (0,7) 0,4 *** (0,008) - 0,00 *** (0,00009) -,5 *** (0,05) 0,57 *** (0,06) - 0,49 *** (0,08) -,7 *** (0,06) Terme de correcton de la sélectvté 0,4 0,48 *** (0,0) (0,0) 0,55 *** (0,0) R Ajusté 0,5 0,88 0,64 Note : Les écarts-types sont reportés entre parenthèses. *, ** et *** tradut le fat que le paramètre est statstquement dfférent de zéro, respectvement aux nveaux de sgnfcatvté 0%, 5% et %. Source : Estmatons des auteurs à partr de ECAM II.

15 Tableau : Equaton de salare mensuel, par secteur d actvté, dplôme le plus élevé attent Secteurs d Actvté Dplôme le plus élevé Publc Prvé formel Informel CEPE/FSLC (Certfcats d études prmares) 0,79 *** (0,) 0,0 (0,7) - 0,57 *** (0,09) BEPC/CAP/GCEOL (Dplôme de fn de premers cycles secondares) Probatore/BP BAC/GCEAL/BEP (Dplôme de fn de cycles secondares) DEUG/BTS (Dplôme de fn des deux premères années unverstares) Lcence Maîtrse/DEA Doctorat/PHD Age potentel Age Age au carré Genre et statut matrmonal Fémnn Maré ou en unon lbre Mleu de résdence Sem urban Rural Terme de correcton de la sélectvté,0 *** 0,66 ** (0,) (0,),0 *** 0,57 * (0,6) (0,8),9 *** 0,6 ** (0,) (0,),58 *** 0,99 * (0,) (0,4),55 *** 0,57 * (0,4) (0,),86 ***,65 *** (0,6) (0,40),09 *** 0,57 (0,7) (0,78) 0,0 *** 0, *** (0,0) (0,04) - 0,00 *** - 0,00 *** (0,000) (0,000) 0,0 * - 0,70 *** (0,09) (0,) 0,0 ** 0, * (0,) (0,) - 0,04 0, * (0,09) (0,) - 0,6 *** - 0,9 (0,) (0,7) 0,6 0,44 *** (0,0) (0,0) - 0,6 (0,8) - 0, (0,5) 0,50 * (0,9) 0,6 (0,97) 0,0 (0,6) 0,84 (,0) 0,7 (,9) 0,4 *** (0,008) - 0,00 *** (0,00009) -, *** (0,05) 0,59 *** (0,06) - 0,50 *** (0,08) -,5 *** (0,06) 0,56 *** (0,0) R Ajusté 0,56 0,8 0,6 Note : Les écarts-types sont reportés entre parenthèses. *, ** et *** tradut le fat que le paramètre est statstquement dfférent de zéro, respectvement aux nveaux de sgnfcatvté 0%, 5% et %. Source : Estmatons des auteurs à partr de ECAM II. 4

16 Tableau : Equaton de salare mensuel, par secteur d actvté, années d études réusses Secteurs d Actvté Années d études réusses Publc Prvé formel Informel Années d études réusses 0,5 *** (0,04) - 0,0 (0,04) - 0,4 *** (0,0) Années d études réusses au carré - 0,00 0,006 * 0,0 *** (0,00) (0,00) (0,00) Age potentel Age Age au carré Genre et statut matrmonal Fémnn Maré ou en unon lbre Mleu de résdence Sem urban Rural 0,0 *** 0, *** (0,0) (0,0) - 0,00 *** - 0,00 *** (0,000) (0,000) - 0,9 * - 0,67 *** (0,09) (0,) 0,9 ** 0, * (0,) (0,) - 0,04 0,0 * (0,09) (0,) - 0,6 *** - 0,8 (0,) (0,7) 0,4 *** (0,008) - 0,00 *** (0,000) -,4 *** (0,05) 0,58 *** (0,06) - 0,50 *** (0,08) -,8 *** (0,06) Terme de correcton de la sélectvté 0,5 0,44 *** (0,0) (0,0) 0,56 *** (0,0) R Ajusté 0,57 0,85 0,65 Note : Les écarts-types sont reportés entre parenthèses. *, ** et *** tradut le fat que le paramètre est statstquement dfférent de zéro, respectvement aux nveaux de sgnfcatvté 0%, 5% et %. Source : Estmatons des auteurs à partr de ECAM II. II. Procédure de détermnaton de l âge pour lequel le logarthme du salare mensuel est maxmum Sot la foncton d offre de salare suvante : log revp = α + rs + α x + α x + µ 0 Sot x l âge de l ndvdu. S logrevp le logarthme du salare mensuel est une foncton concave de l âge des ndvdus, alors le sgne deα est postf et celu deα est négatf, ndquant que le salare mensuel croît avec l âge des ndvdus mas à taux décrossant. * Ans, sot log f ( x ) revp =, alors : 5

17 f * * * ( x ) = α 0 + rs + αx + α x + avec α + rs = constante f 0 * * ( x ) = 0 α + α x = 0 x * α = α ε Ans l âge pour lequel le logarthme du salare mensuel (logrevp) est maxmum est donné par : x * α = α Auss avons-nous : Pour le secteur publc α 0, et α = 0, 00 α 0, 0, Ans, = = = 5, 5 α 0,004 0,004 Pour le secteur prvé formel α = 0, et α = 0, 00 α 0, 0, Ans, = = = 5, 7 α 0,006 0,006 Pour le secteur nformel α = 0,4 et α = 0, 00 α 0,4 0,4 Ans, = = = 60 α 0,004 0,004 L âge pour lequel le logarthme du salare mensuel est maxmum au Cameroun est donc de 5,5 ans ; 5,7 ans et 60 ans, respectvement pour les secteurs publc, prvé formel et nformel. 6

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