DIAGNOSTIC DE L AGRICULTURE ET DE L ELEVAGE ET PROJET POUR CONFORTER ET REDEPLOYER LES DIFFERENTES FILIERES AGRICOLES A SAINT-MARTIN
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- Ghislain Beauséjour
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1 DIAGNOSTIC DE L AGRICULTURE ET DE L ELEVAGE ET PROJET POUR CONFORTER ET REDEPLOYER LES DIFFERENTES FILIERES AGRICOLES A SAINT-MARTIN SEPTEMBRE / NOVEMBRE 2011 AUDITEURS GROUPE AGENA : MAURICE LACROIX : CHARGE DE MISSION AGENA - EXPERT AGENA THIERRY MARUEJOULS : EXPERT AGENA ET DIRECTEUR CAP VIANDE.
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3 * Préambule * La Chambre Inter consulaire interprofessionnelle de Saint-Martin : Fait le constat d une agriculture et de l élevage à Saint-Martin en situation de régression Veut profiter de l effet d opportunité lié à la construction et à la mise en fonctionnement d un abattoir Et a une vraie volonté politique professionnelle En conséquence, a demandé à AGENA de faire un diagnostic de la situation. 3
4 I- SITUATION ACTUELLE DE SAINT-MARTIN 1) L environnement général a) Présentation générale de la collectivité d Outre-Mer de Saint-Martin L île de Saint-Martin est une île caractérisée par de multiples spécificités : - Une histoire complexe (traité du mont Concorde) - L existence sur le même territoire de deux nationalités - Une position stratégique dans les Caraïbes - Le rôle des monnaies courantes - Son statut de collectivité d Outre-Mer - Son administration française 4
5 I- SITUATION ACTUELLE DE SAINT-MARTIN b) Situation physique de Saint-Martin - Des reliefs de massifs volcaniques - Entourés de reliefs mouvementés avec des mornes, des fonds et des plaines. Sur le plan agricole, on trouve des zones riches en calcaires (craignant la sécheresse) et d autres en cendres volcaniques (sols riches pour la production agricole). c) Situation climatique et ressources en eau 5 Tropical caractérisé par une saison sèche (décembre à mai) et une saison humide (entre juin et novembre). 15 à 35 C. 1m de précipitations. Abondantes pluies sur les reliefs, sur leurs versants sous le vent - Captages - désalinisation - Forages - la récupération des eaux de pluie - nappes phréatiques
6 I- SITUATION ACTUELLE DE SAINT-MARTIN 2) Situation de l agriculture a) L élevage des ruminants a1 Les bovins 800 bovins, 300 vaches et 200 animaux abattus (7.5 % de la consommation locale) 25 troupeaux Pâtures naturelles, Savanes, herbe de Guinée a2 Les ovins caprins l effectif d ovins caprins est de l ordre de a3 Typologie des éleveurs de ruminants Ils sont de deux types : -Des élevages spécialisés bovins ou ovins-caprins. Troupeaux qui ont le plus d avenir - Des élevages très diffus, atomisés, de petite taille avec des aires de pâtures indéterminées. peuvent développer et structurer un troupeau dans l avenir. Les freins de développement de la spécialisation peuvent être : *Le problème de l eau. *L accès au marché *Le foncier. *sécurité alimentaire *L alimentation 6
7 I- SITUATION ACTUELLE DE SAINT-MARTIN b) L élevage de porcs atomisé et non spécialisé. c) L élevage des volailles, production d œufs et la cuniculture Production atomisée, diffuse, faible, peu spécialisée d) La culture maraichère ornementale et vivrière Nombreuses pépinières Exploitation agricole de Bellevue (vente de légumes bio et détail) sur une surface de 8 ha Une Association «Rasta : we agree with culture» - Jardins créoles. e) L apiculture Quelques producteurs de miel sur Saint Martin. 7
8 I- SITUATION ACTUELLE DE SAINT-MARTIN f) Les structures existantes f1 La Chambre Consulaire Interprofessionnelle de Saint-Martin avec son Statut d établissement public -Ses avis aux pouvoirs publics -Ses études mises en chantier pour le développement. -la formation professionnelle et agricole. - l installation des agriculteurs -la responsabilité de l identification -Service élevage qui assurerait la responsabilité d un établissement de l élevage. f2 Le Groupement de Défense Sanitaire de bétail de Saint-Martin Programme sanitaire pour garantir la sécurité sanitaire des produits. La Charte des bonnes pratiques d élevage de Saint-Martin. 8
9 I- SITUATION ACTUELLE DE SAINT-MARTIN f3) L association pour le développement de l élevage et la promotion agricole locaux Affermage de l abattoir de Saint-Martin l agrément sanitaire en tant qu exploitant. f4) La Sica Alliance : plus d activité à ce jour. Les éleveurs ne souhaitent pas qu un nouveau projet soit construit sur ses bases. f5) Organisation pour gérer les intrants Pas de Structure organisée gérant les intrants 9
10 PARTIE II - PERSPECTIVES DE DEVELOPPEMENT 1) Les tendances - une terre d élevage des ruminants, foncier disponible, abreuvement possible, réserves fourragères. - Compte tenu de sa densité démographique très forte et de son nombre de consommateurs potentiels (83 000), la production hors sol est indispensable (porcin, volailles, œufs, lapins. - La culture ornementale, vivrière et maraichère - l apiculture 2) Eléments de projet de développement a) Quelques chiffres concernant les potentialités de Saint-Martin de production et de besoin de consommation b) Besoins de production pour assurer l autoconsommation à Saint- Martin zone française- à partir des statistiques Guadeloupe
11 POTENTIALITES DE PRODUCTION ET DE CONSOMMATION A ST-MARTIN Population (INSEE 2008) : habitants Nuitées d Hôtellerie : Environ habitants équivalents Besoin total de consommation France habitants ha -685 hab/km2 Nombre habitants Zone hollandaise habitants ha-1320 hab/km2 Surface Saint-Martin ha Zone cultivée (DAAF 2010) 473 ha Appréciation surface disponible Et à reconquérir pour l agriculture : 473 ha + = 779 ha Effectif bovin estimé : 800 bovins 300 vaches 200 animaux abattus par an 7.5 % consommation locale Effectif ovins caprin estimé ovins / caprins 11
12 12 POTENTIALITES DE PRODUCTION ET DE CONSOMMATION A ST-MARTIN Consommation par habitant : Source Chambre Agriculture Guadeloupe 2008 et DAAF IGUAVIE 2010 Viande bovine par hab/an Viande ovine-caprine par hab/an, Viande porcine par hab/an Viande volaille par hab/an Viande lapin par hab/an Œufs consommés par hab/an Consommation salade par hab/an Consommation tomate par hab/an Consommation concombre par hab/an Consommation aubergine par hab/an Consommation pastèque par hab/an Consommation de produits de cultures vivrières par hab/an Nombre de fleurs consommées par hab/an Miel 16 kgs 3,8 kgs 9,1 kgs 33 kgs 0.15 kgs 152 œufs 9 kgs 11,7 kgs 15,7 kgs 20 kgs 12,5 kgs 45,6 kgs 40 fleurs?
13 BESOINS DE PRODUCTION POUR ASSURER L AUTOCONSOMMATION ZONE FRANCAISE A SAINT-MARTIN Production Besoins de consommation des habitants de St-Martin Bases statistiques Guadeloupe 2010 Nombre d Unités de production pour produire à 100 % sur place. Bovins 608 T (230 kgs) bovins abattus Ovins Caprins 144 T (10 kgs) ovins caprins abattus Porcs 345 T (70 kgs) porcs abattus Volailles T (1,7 kgs) volailles abattues Lapins 4.5 T (2kgs) lapins abattus Œufs œufs poules en production arrondi à poules Cultures maraîchères Salade 342 T (12 T/ha) 28,5 ha Tomate 444 T..(13 T/ha) 34,2 ha Concombre 760 T (18 t/jha) 42,20 ha Aubergine 597 T..(20 t/ha) 29,80 ha Pastèque 475 T (20 t/ha 23,70 ha Cultures vivrières T (15 T/ha) 115 ha Fleurs fleurs 8 ha
14 H 2 OBJECTIFS BOVINS A 10 ANS 7.5 % à 20 % de la production 800 bovins bovins 300 vaches 700 vaches 200 animaux abattus 528 animaux abattus 704 ha sont nécessaires OBJECTIFS OVINS CAPRINS A 10 ANS ovins caprins Organiser 30 % de la production 600 ovins caprins 300 mères 430 ovins abattus 70 hectares 14
15 OBJECTIFS PORCINS à 10 ANS H % de la production Porcs soit 82 truies Trois Unités de production ou une seule Objectifs œufs à 10 ans : 100 % de la production œufs poules 3 Unités de poules - SOUMIS A DECLARATION 15
16 Objectifs volailles de chair à 10 ans : Objectif 10 ans 20 % de la consommation poulets/an 8 poulaillers de 200 m2 Un poulailler = X 6 bandes = poulets NON SOUMIS A DECLARATION + 1 tuerie pour abattage si vente à intermédiaire : SOUMIS A DECLARATION 16
17 Objectifs lapins à 10 ans : 100 % du marché lapins 100 mères Deux élevages de 50 mères ou 1 élevage de cent mères NON SOUMIS A DECLARATION +1 tuerie pour abattage NON SOUMIS A DECLARATION Objectifs apiculture à 10 ans : 6 Apiculteurs 60 Ruches OBJECTIFS PRODUCTION VEGETALE A 10 ans : CULTURES VIVRIERES 10 % DE LA CONSOMMATION 10 HA TONNES
18 PRODUCTION DE LEGUMES - EN PLEIN CHAMP 4 % DE LA CONSOMMATION 5 HA = 75 TONNES - PAR HYDROPONIE à 10 % DE LA CONSOMMATION EQUIVALENT 10 HA MARAICHAGE (EN SERRES) : 18 TONNES X 10 ha = 180 TONNES TOTAL PRODUCTION LEGUMIERE = 15 HA DE PLEIN CHAMP : 180 TONNES + 75 TONNES = 255 TONNES. 18
19 Récapitulatif de l occupation des sols PRODUCTION H1 H2 H3 H OVIN, CAPRIN ET LEGUMES BOVINS PORCINS OVINS CAPRINS ŒUFS, VOLAILLES ET LAPINS PRODUCTION VEGETALE TOTAL 533 ha 704 ha 0 85 ha H1 + ovins, caprins et légumes : = 618 ha H2 + ovins, caprins et légumes : = 789 ha On constate en effet qu il n y a pas grande différence et que la conquête de terrain agricole est nécessaire pour obtenir le meilleur développement. 19
20 LES BESOINS EN INTRANTS A 10 ANS à TONNES d'aliment pour les animaux BESOINS EN EQUIPEMENTS POUR LES EXPLOITATIONS Clôtures Bâtiments Equipements 20
21 PARTIE II - PERSPECTIVES DE DEVELOPPEMENT 3) Arguments de ce projet a) Ce Projet est réaliste : surface, sol, climat, savoir-faire existant b) Le marché des produits existe différences de prix sont faibles pour des produits présentant moins de sécurité alimentaire c) Ce projet va permettre de développer la consommation de produits de qualité, frais, tracés d) projet favorable à la cohésion sociale. e) programme respectueux de l environnement f) valeur ajoutée locale pour la production g) une certaine autonomie à l ile et diminue sa dépendance par rapport aux fournisseurs extérieurs et aux transporteurs. h) tourisme vert 21
22 PARTIE III LES MOYENS NECESSAIRES 1) Les moyens pour la structuration de la filière a) Un abattoir gros bétail b) Un laboratoire de découpe c) Une tuerie pour volailles et lapins d) Un entrepôt de stockage e) Des moyens de livraison 2) La création d une structure collective 3) L encadrement technique a) Un chef de projet b) Des techniciens c) Frais de fonctionnement 22
23 PARTIE III LES MOYENS NECESSAIRES 4) Les moyens environnementaux a) Le foncier b) La gestion de l eau - Forages - Désalinisation c) La gestion des fourrages 5) Les investissements au niveau des exploitations a) Production bovine a) Cheptel : 200*4 b) Clôture : 570*3 c) Aire d alimentation : 25*31 d) Mise en valeur des savanes : 400*.7 23
24 PARTIE III LES MOYENS NECESSAIRES 5) Les investissements au niveau des exploitations b) Ovins caprins Clôture : 70*3 Bâtiments : 7*70 c) Porcs 3*315 (9 000 /truie) d) Volaille de chair 8*60 (bâtiments de 200m²) e) Œuf 3*70 (10 /poule) f) Lapin 2*70 g)apiculture Ruches 6*20 Formation 30 h) Production végétale - plein champ : 15*30 - Hydroponie : 10*30 24
25 PARTIE III LES MOYENS NECESSAIRES 6) La communication a ) la création d une marque : 30 b ) Communication institutionnelle 7) Les sources de financements a ) Le FEADER Mesures b ) Le POSEI Primes animales RSA IAV Structuration c) Aides à la formation FAFSEA VIVEA 25
26 PARTIE III : LES MOYENS NECESSAIRES COUT SUR 10 ANS DU PROGRAMME AGRICOLE DE SAINT-MARTIN nb Montant unitaire Total 26 Dossier agrément abattoir Laboratoires Tueries Entrepôt Camions Constitution SICA Chef de projet Techniciens Communication Frais de fonctionnement Matériel de fauche
27 PARTIE III : LES MOYENS NECESSAIRES COUT SUR 10 ANS DU PROGRAMME AGRICOLE DE SAINT-MARTIN NB Montant Unitaire Total FORAGES DESALINISATION BOVINS Cheptel Clôture Aires d'alimentation Mise en valeur des savanes 400 0,7 280 OVINS CAPRINS Clôtures Bâtiments PORCS VOLLAILES ŒUFS APICULTURE LAPIN APICULTURE FORMATION MARAICHAGE plein champ MARAICHAGE hydroponie TOTAL INDIVIDUEL 6 871
28 PARTIE III : LES MOYENS NECESSAIRES COUT SUR 10 ANS DU PROGRAMME AGRICOLE DE SAINT-MARTIN PROJET DE FINANCEMENT PRODUCTEURS TOTAL % PUBLIC % PRIVE PROJET DE FINANCEMENT COLLECTIF TOTAL % PUBLIC % PRIVE 716 ORIGINE DES FONDS PUBLICS PRIVES TOTAUX DESTINATION DES FINANCEMENTS Financements producteurs Financements collectifs
29 PARTIE IV - LA MISE EN ŒUVRE DES DIFFERENTS MOYENS DU PROJET AGRICOLE DE SAINT MARTIN CONTRIBUTION Accord sur ce projet entre la Chambre Consulaire interprofessionnelle de Saint- Martin, la Collectivité d Outre-Mer de Saint-Martin et les institutions représentant l état français. 1) La Chambre Consulaire Interprofessionnelle de Saint-Martin et les agriculteurs et éleveurs * discuter et faire adopter le projet (en accord avec la Collectivité Territoriale de Saint-Martin) * présenter ce projet aux différentes instances de l état concernées : * provoquer la création de la SICA * embauche Chef de Projet *se faire parrainer par une Organisation économique d un département d Outre- Mer et par une Chambre d Agriculture métropolitaine *dimensionnement du Projet, financements *étapes, processus d évaluation * partenariats * Service Elevage type SUAD-EDE. 29
30 PARTIE IV - LA MISE EN ŒUVRE DES DIFFERENTS MOYENS DU PROJET AGRICOLE DE SAINT MARTIN CONTRIBUTION 2) Collectivité d Outre-Mer de Saint-Martin * discuter ce projet, l affiner et l adopter. * plan local d urbanisme (PLU). * foncier ( 800 ha - 20 % du Territoire environ) * accord financier * bon fonctionnement de l abattoir et des tueries collectives * préfinancement des subventions 3) Administration de l état français * avis * contribuer à la recherche des sources de financements * chercher les solutions de gestion, de circulation de biens et de produits agricole avec la zone hollandaise. 4) Organisations agricoles locales 30 a) ADEPAL b) GDS
31 PARTIE V - CONCLUSION DE 2012 A ) Le projet agricole de Saint-Martin a de nombreux atouts - Les conditions de milieu peuvent être maitrisées à hectares (20 % du Territoire) consommateurs - agriculteurs et éleveurs un vrai savoir-faire - une vraie volonté des acteurs 2) Le projet agricole de Saint Martin est réaliste et crédible * les structures et les hommes ont déjà une partie du savoir-faire. *d autres acteurs *un chef de projet, une structure d organisation, un abattoir * c est le projet des agriculteurs, et des éleveurs de l île 31
32 PARTIE V - CONCLUSION DE 2012 A ) Le projet agricole de Saint-Martin est très bénéfique à toute la Communauté des habitants de Saint-Martin ( consommateurs). * aménagement cohérent du territoire et de l espace *une partie de son auto consommation * fabriquer sa propre valeur ajoutée * respectueux de l environnement * tourisme vert * une forte cohésion sociale 4) Les conditions de réussite du projet agricole de Saint-Martin vont dépendre très étroitement : a) De l engagement (tripartite) des acteurs b) Des résultats, les meilleurs opérationnels et meilleures stratégies. c) De l anticipation permanente des équipes 32
33 La réalisation de l ensemble de ces conditions rend le projet accessible et réaliste. Le projet agricole de Saint-Martin est un bon projet. Il doit être défendu par des personnes tenaces et compétentes et soutenu par une volonté forte de l entourage et de ses financeurs en particulier. C est à ce prix que ce projet réussira! Alors!!! Bonne route et long chemin!! 33
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