LA BRULOLOGIE CTB : QUELQUES CHIFFRES. Epidémiologie. Gravité d une brûlure, Quand hospitaliser un brûlé?

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LA BRULOLOGIE CTB : QUELQUES CHIFFRES. Epidémiologie. Gravité d une brûlure, Quand hospitaliser un brûlé?"

Transcription

1 SERVICE DE CHIRURGIE PLASTIQUE H.I.A. PERCY Définition LA BRULOLOGIE Epidémiologie CENTRE DE TRAITEMENT DES BRULES Gravité d une brûlure, Quand hospitaliser un brûlé? Dr. BEY Eric Chirurgien plasticien Prise en charge initiale : - gestes d urgence - recouvrement cutané - cas particuliers V.A.C. CARBONISATION ELECTRISATION Séquelles de brûlures BRULOLOGIE:UNE AFFAIRE DE SPECIALISTES Il y a 30 ans survie exceptionnelle SCB > 50%, aujourd hui 50 % de survie SCB > 80%. Pourquoi? Organisation spécifique des soins Orientation des patients vers des centres ultra-spécialisés : CTB Coopération multidisciplinaire ( SFETB 1980 ) CTB : QUELQUES CHIFFRES 1961 : hospitalisation des brûlés dans le service de chirurgie orthopédique : séparation des services et isolement des brûlés ( structure pavillonnaire ) 1982 : création d une unité stérile. architecture circulaire sur trois niveaux : RDC administratif - 1 hospitalisation - 2 locaux techniques la serre représentant le centre de la structure ( thermorégulation ) secteur hospitalisation : 20 lits air filtré, chauffé en surpression 4 baignoires ( 1 sas entrée, 1 décontamination ) 2 blocs opératoires équipés de flux laminaires Activité : 5 anesthésistes réanimateurs, 6 chirurgiens, 2 cadres infirmiers 28 IDE, 4 ISAR, 20 AS, 10 ASH. 200 entrées par an durée moyenne de séjour de 27 jours 1

2 Définition Epidémiologie LA BRULOLOGIE Gravité d une brûlure, Quand hospitaliser un brûlé? Prise en charge initiale : - gestes d urgence - recouvrement cutané - cas particuliers V.A.C. CARBONISATION ELECTRISATION Séquelles de brûlures EPIDEMIOLOGIE Incidence : brûlés par an hospitalisations / en CTB décès Circonstances : dominées par les accidents domestiques accidents domestiques 67 % accidents professionnels 17 % tentatives de suicide 6 % accidents de circulation 4 % agressions 6 % Causes : flamme 60 % liquides chauds 20 % autres 20 % ( électriques, chimiques, radiations ) Répartition : prédominance masculine ( 64 % ) âge : enfants 1-4 ans(20%), adultes jeunes ans (30%) Prévention Définition Epidémiologie LA BRULOLOGIE Gravité d une brûlure, Quand hospitaliser un brûlé? Prise en charge initiale : - gestes d urgence - recouvrement cutané - cas particuliers Séquelles de brûlures V.A.C. CARBONISATION ELECTRISATION GRAVITE D D UNE BRULURE 1 2 S 2 P 3 1 SURFACE règle des 9 de Wallace tête 9% tronc 4 x 9% membre supérieur 9% membre inférieur 2 x9% périnée 1% PROFONDEUR SUPERFICIELLES 1 degré : érythème ( coup de soleil ) 2 degré superficiel : guérison spontanée(15 à 21 jours) douleur, exsudat,phlyctène, poils adhérents, vitropression positive PROFONDES 2 degré profond : cicatrice rétractile définitive 3 degré : doivent être greffées indolores, sèches, texture de cuir GRAVITE D D UNE BRULURE AGE : indice de Baux :âge (ans) + surface brûlée (%) > 75 mauvais pronostic > 100 très mauvais pronostic LOCALISATION risque vital : face ( œdème+++, inhalation, épiglottite ) périnée ( risque infectieux ) risque fonctionnel : face (paupières exposition des globes occulaires, microstomie ) mains, pieds ( expositons articulaires et tendineuses, amputations ) membres : garrot des brûlures circulaire ( escarrotomies, aponévrotomies) risque esthétique : toutes les zones découvertes GRAVITE D D UNE BRULURE LESIONS ASSOCIEES Polytraumatisé Blasté Inhalation Electrisé Irradié QUI HOSPITALISER? > 10% risque d hypovolémie 3 degré intéressant plus de 2% brûlures profondes face et mains sujet âgé et nourrisson si inhalation si pathologie lourde associée 2

3 GRAVITE D D UNE BRULURE CLASSIFICATION ABA (American Burn Association) Définition Epidémiologie LA BRULOLOGIE Gravité d une brûlure, Quand hospitaliser un brûlé? Prise en charge initiale : - gestes d urgence - recouvrement cutané - cas particuliers V.A.C. CARBONISATION ELECTRISATION Séquelles de brûlures GESTES D URGENCED VENTILATION : intubation trachéotomie PERFUSION : cathéters fémoraux ALIMENTATION : entérale SNG DIURESE : sonde urinaire à demeure INCISION DE DECHARGE : ESCARROTOMIES / APONEVROTOMIES ESCARROTOMIES INCISIONS DE DECHARGE ESCARROTOMIES ESCARROTOMIES 3

4 APONEVROTOMIES RECOUVREMENT CUTANE PARAGE DES ZONES BRULEES Excision tangentielle respectant du derme Avulsion cutanéo-graisseuse jusqu à l aponévrose CICATRISATION DIRIGEE GREFFES CUTANEES Autogreffes : peau mince( 0.20 à 0.35mm) ou totale pleine ou expansée Culture d Epiderme Autologue Allogreffes : congelées, expansées Xénogreffes : cochon ( EZderm ) Greffes en sandwich INTEGRA substitut cutané bipartite : trame collagénique bovine : derme feuille de silicone : épiderme transitoire Nécessité d une autogreffe cutanée mince secondaire LAMBEAUX ( cutanés, fascio-cutanés, musculaires, musculo-cutanés ) V.A.C. (vacum assisted closure ) EXCISION TANGENTIELLE AVULSION PRELEVEMENT AUTOGREFFES CUTANEES MINCES AVULSION 4

5 PRELEVEMENT AUTOGREFFES CUTANEES MINCES PRELEVEMENT AUTOGREFFES CUTANEES MINCES 0,20 à 0,35 mm Cicatrisation spontanée PRELEVEMENT AUTOGREFFES CUTANEES MINCES PEAU MINCE PLEINE EXPANSEE EE EXPANSION PAR 9 HUMECA PEAU TOTALE de pleine épaisseur pas de cicatrisation spontanée 5

6 EXCISION GREFFE PRECOCE EXCISION GREFFE PRECOCE EXCISION GREFFE PRECOCE COMPRESSION EXCISION GREFFE PRECOCE COMPRESSION EXCISION GREFFE PRECOCE COMPRESSION EXCISION GREFFE PRECOCE COMPRESSION 6

7 EXCISION GREFFE PRECOCE COMPRESSION EXCISION GREFFE PRECOCE COMPRESSION PRISE EN CHARGE CHIRURGICALE D D UN GRAND BRULE Gestion des sites donneurs restants J 3 FACE INTEGRA Premier temps : INTEGRA face et mains nécessitera une greffe de peau mince autologue secondaire Deuxième temps :couverture de la face postérieure du tronc Autogreffes, Allogreffes, Xénogreffes, lit fluidisé. Prélèvements cutanés C.E.A. (21 j. premier set de cultures +15 j. deuxième set ) Troisième temps : préparation des sites receveurs des C.E.A. ( membres, face antérieure du tronc ) avulsion allogreffes Quatrième temps : pose des cultures, «take down» entre le 7 et 10 jour J 7 J 7 J J 10 7

8 J J Mois 10 Mois 24 Mois MAINS INTEGRA 8

9 MAINS INTEGRA MAINS INTEGRA IMMOBILISATION MAINS A 2 ANS MAINS A 2 ANS COUVERTURE FACE POSTERIEURE DU TRONC : HUMECA SANDWICH AUTOGREFFE ALLOGREFFE 9

10 HUMECA SANDWICH EZDERM SANDWICH AUTOGREFFE X 4 / ALLOGREFFE X 2 ASPECT A 3 MOIS ASPECT A 7 MOIS ASPECT A 9 MOIS ASPECT A 2ANS BIOPSIES CUTANEES / C.E.A. C.E.A. 10

11 CICATRISATION COMPLETE DEPART CRF 6 SEMAINES APRES CEA 3 MOIS APRES ADMISSION A 2 ANS CAS PARTICULIERS CARBONISATION FACE MAINS CARBONISATION V.A.C ELECTRISATION CARBONISATION FACE MAINS CARBONISATION FACE MAINS 11

12 CARBONISATION FACE MAINS CARBONISATION FACE MAINS CARBONISATION FACE CARBONISATION FACE CARBONISATION FACE CARBONISATION FACE 12

13 CARBONISATION FACE CARBONISATION FACE CARBONISATION FACE MAINS CARBONISATION FACE MAINS J 45 CARBONISATION FACE MAINS CARBONISATION M 9 13

14 CARBONISATION CAS PARTICULIERS CARBONISATION V.A.C ELECTRISATION VACUM ASSISTED CLOSURE V.A.C. TRAITEMENT PAR PRESSION D AIR D NEGATIVE V.A.C. et préparation paration du site receveur V.A.C. et préparation paration du site receveur ( 21 jours ) V.A.C. et préparation paration du site receveur ( 3 mois ) 14

15 V.A.C. et exposition osseuse V.A.C. et exposition osseuse J 30 V.A.C. et exposition osseuse V.A.C. et sauvetage de lambeau J 60 J 10 6 MOIS J 60 CAS PARTICULIERS ELECTRISATION CARBONISATION V.A.C ELECTRISATION 15

16 ELECTRISATION ELECTRISATION ELECTRISATION ELECTRISATION 6 mois Définition LA BRULOLOGIE SEQUELLES DE BRULURES Epidémiologie Gravité d une brûlure, Quand hospitaliser un brûlé? Prise en charge initiale : - gestes d urgence - recouvrement cutané - cas particuliers V.A.C. CARBONISATION ELECTRISATION Séquelles de brûlures 16

17 SEQUELLES DE BRULURES SEQUELLES DE BRULURES CONSEQUENCES FONCTIONNELLES ET ESTHETIQUES : prise en charge chirurgicale précoce dans l enfance PLAIDOYER POUR LES GREFFES DE PEAU TOTALE : moins de rétraction secondaire meilleur résultat fonctionnel et esthétique ( face et mains ) PLASTIES CUTANEES LOCALES : présence de peau saine indispensable ( Z, VY, Trident ) EXPANSION CUTANEE : PLACE DES LAMBEAUX : exposition de structures anatomiques non greffables intérêt pour des zones fonctionnelles articulaires et / ou de grande surface INTEGRA : reconstruction du derme solution «riche» GREFFE DE PEAU TOTALE SEQUELLES DE BRULURES GREFFE DE PEAU TOTALE GREFFE DE PEAU TOTALE GREFFE DE PEAU TOTALE 17

18 GREFFE DE PEAU TOTALE GREFFE DE PEAU TOTALE GREFFE DE PEAU TOTALE GREFFE DE PEAU TOTALE ECTROPION GREFFE DE PEAU TOTALE GREFFE DE PEAU TOTALE 18

19 GREFFE DE PEAU TOTALE SEQUELLES DE BRULURES IMMOBILISATION DES MAINS ET DES PIRDS IMMOBILISATION IMMOBILISATION RESULTAT A UN AN SEQUELLES DE BRULURES PLASTIES CUTANEES LOCALES : présence de peau saine indispensable ( Z,VY,TRIDENT ) 19

20 PLASTIES CUTANEES ( plastie en Z, plastie en V-Y, V plastie en trident ) PLASTIES CUTANEES ( plastie en Z, plastie en V-Y, V plastie en trident ) PLASTIES CUTANEES ( plastie en Z, plastie en V-Y, V plastie en trident ) PLASTIES CUTANEES ( plastie en Z, plastie en V-Y, V plastie en trident ) PLASTIES CUTANEES ( plastie en Z, plastie en V-Y, V plastie en trident ) SEQUELLES DE BRULURES PLACE DES LAMBEAUX : exposition de structures anatomiques non greffables intérêt pour des zones fonctionnelles / fonction du site donneur! 20

21 LAMBEAU MUSCULO-CUTANE CUTANE DE GRAND DORSAL LAMBEAU MUSCULO-CUTANE CUTANE DE GRAND DORSAL 2 ANS LAMBEAU MUSCULO-CUTANE CUTANE DE GRAND DORSAL LAMBEAU SUPRAMALLEOLAIRE LATERAL DE NECESSITE 2 ans LAMBEAU PARASCAPULAIRE LAMBEAU PARASCAPULAIRE 21

22 LAMBEAU SURAL LAMBEAU SURAL LAMBEAU INGUINAL LAMBEAU SCALPANT DE CONVERSE LAMBEAU SCALPANT DE CONVERSE CARBONISATION FACE 5 mois M 9 22

23 CARBONISATION FACE CARBONISATION FACE CARBONISATION FACE ASPECT A 1 AN Lambeau deltopectoral Lambeau delto-pectoral 23

24 Lambeau delto-pectoral Lambeau supra claviculaire Lambeau supra claviculaire EXPANSION CUTANEE SEQUELLES DE BRULURES EXPANSION CUTANEE : lambeaux cutanés site donneur de greffe de peau totale 24

25 EXPANSION CUTANEE EXPANSION CUTANEE EXPANSION CUTANEE EXPANSION CUTANEE EXPANSION CUTANEE EXPANSION CUTANEE 25

26 EXPANSION CUTANEE OTOPOIESE OTOPOIESE SEQUELLES DE BRULURES INTEGRA : reconstruction du derme solution «riche» INTEGRA INTEGRA 26

27 INTEGRA INTEGRA ALTERNATIVE A CETTE SOLUTION «RICHE» : laisser la zone cicatricielle, inciser en périphèrie au niveau du bras et/ou de l avant bras et greffer en zone non fonctionnelle. INTEGRA INTEGRA INTEGRA INTEGRA 27

28 INTEGRA INTEGRA INTEGRA GENIE EVOLUTIF : la brûlure = une maladie séquelles esthétiques et fonctionnelles retentissement psychologique risque néoplasique SOUVENT CONSOLIDEE JAMAIS GUERIE? BRULE UN JOUR, BRULE TOUJOURS? 28

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT

Plus en détail

Traitement chirurgical des brûlures

Traitement chirurgical des brûlures Traitement chirurgical des brûlures Stan Monstrey (Gand) Michel Van Brussel (Louvain) Cynthia Lafaire (Anvers) Socorro Ortiz (Bruxelles) Denise Jacquemin (Liège) Nele Brusselaers (Gand) Chirurgie urgente

Plus en détail

PREPARATION DU PATIENT POUR UNE CHIRURGIE. Marcelle Haddad

PREPARATION DU PATIENT POUR UNE CHIRURGIE. Marcelle Haddad PREPARATION DU PATIENT POUR UNE CHIRURGIE Marcelle Haddad PLUSIEURS CATEGORIES DE CHIRURGIE 1-Perte d un d organe ou d une fonction Ex: cholecystectomie,appenticectomie 2-Ablation d une tumeur,, d un d

Plus en détail

Soins Inrmiers aux brûlés

Soins Inrmiers aux brûlés Soins Inrmiers aux brûlés Le 29/04/2009 1 Intro La gravité d'une brûlure dépend essentiellement de sa profondeur, de sa supercie de sa localisation et du ASA. Sa prise en charge doit être rapide pour limiter

Plus en détail

Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées

Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des

Plus en détail

Amputations partielles traumatiques de la main. Colette Gable - Ergothérapeute CDS - IRR Nancy

Amputations partielles traumatiques de la main. Colette Gable - Ergothérapeute CDS - IRR Nancy Amputations partielles traumatiques de la main Colette Gable - Ergothérapeute CDS - IRR Nancy Amputations partielles de la main Introduction Amputation et répercussions psychologiques Principes de rééducation

Plus en détail

va être opéré d un hypospadias

va être opéré d un hypospadias Votre enfant va être opéré d un hypospadias Introduction Le chirurgien urologue pédiatrique vous a confirmé le diagnostic d hypospadias et expliqué les avantages ainsi que les risques et complications

Plus en détail

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique

Plus en détail

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue

Plus en détail

LES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE. Comité pédagogique SAP SDIS 43

LES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE. Comité pédagogique SAP SDIS 43 LES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE Comité pédagogique SAP SDIS 43 DEFINITIONS Electrisation: manifestations physiopathologiques liées au passage du courant dans l organisme Electrocution: décès par électrisation

Plus en détail

Institut Régional de Réadaptation Nancy DUHAM 2010

Institut Régional de Réadaptation Nancy DUHAM 2010 C. Gable - DUHAM 2010 Les orthèses provisoires en pathologie traumatique LES FRACTURES DIGITALES LA MAIN COMPLEXE LES ENTORSES DIGITALES Institut Régional de Réadaptation Nancy DUHAM 2010 Colette Gable,

Plus en détail

Chirurgie articulaire secondaire Pr. Philippe PELISSIER

Chirurgie articulaire secondaire Pr. Philippe PELISSIER Pr. Philippe PELISSIER Service de Chirurgie Plastique Centre F.X. Michelet CHU de Bordeaux www.e-plastic.fr Introduction Kinésithérapie Dénervation Arthrolyse - Artholyse chirurgicale - Artholyse + ligamentotaxis

Plus en détail

APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras

APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras Didier FONTÈS Institut Main, Epaule et Sport Paris Espace Médical Vauban - Paris VII e Séminaire DIU d Arthroscopie 2012 Le

Plus en détail

LA GREFFE DE PEAU TOTALE DANS LE TRAITEMENT CHIRURGICAL DE L'ECTROPION CICATRICIEL PALPEBRAL SUPERIEUR

LA GREFFE DE PEAU TOTALE DANS LE TRAITEMENT CHIRURGICAL DE L'ECTROPION CICATRICIEL PALPEBRAL SUPERIEUR LA GREFFE DE PEAU TOTALE DANS LE TRAITEMENT CHIRURGICAL DE L'ECTROPION CICATRICIEL PALPEBRAL SUPERIEUR M.R. NDIAYE, P.A. NDIAYE, A. LAM, A. WADE RESUME Neuf patients, tous mélanodermes, ont bénéficié d'une

Plus en détail

Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)

Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances

Plus en détail

DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES

DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES Cette fiche d'information est un document remis aux patients avant une intervention chirurgicale. Les chirurgiens sont aujourd'hui tenus à fournir une information objective et compréhensible sur les risques

Plus en détail

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées

Plus en détail

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation. LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus

Plus en détail

KITSIOU Christos M.D.

KITSIOU Christos M.D. KITSIOU Christos M.D. DOB: 23/04/1980 Birth Country / City: Greece, Athens Nationality: Cypriot PLASTIC, RECONSTRUCTIVE AND AESTHETIC SURGERY MICROSURGERY PROFESSIONAL EXPERIENCE AND MEMBERSHIPS Medical

Plus en détail

Qu est-ce qu un sarcome?

Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs

Plus en détail

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication

Plus en détail

Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité :

Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité : Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité : DERMATOLOGIE ET VENEROLOGIE ADC - Acte de chirurgie BAFA005 1 (I, O) BAFA006 1 0 Exérèse non transfixiante de lésions multiples

Plus en détail

DÉFINITION OBJECTIFS. Information délivrée le : Cachet du Médecin : Au bénéfice de : Nom : Prénom :

DÉFINITION OBJECTIFS. Information délivrée le : Cachet du Médecin : Au bénéfice de : Nom : Prénom : Version 2 mise à jour nov 2011 Information délivrée le : Cachet du Médecin : Au bénéfice de : Nom : Prénom : Cette fiche d information a été conçue sous l égide de la Société Française de Chirurgie Plastique

Plus en détail

L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ

L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le

Plus en détail

Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations

Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a

Plus en détail

Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse

Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse 1. La moelle osseuse : un rôle vital pour le corps humain Page 2/23 1.1. Qu est ce que la moelle osseuse? La moelle osseuse est indispensable à la

Plus en détail

se reconstruire avec ou sans intervention chirurgicale

se reconstruire avec ou sans intervention chirurgicale Des questions que vous vous posez et que vous pouvez poser aux soignants Comment se reconstruire avec ou sans intervention chirurgicale Vous allez avoir ou vous avez eu une ablation du sein (mastectomie),

Plus en détail

Collection Soins infirmiers

Collection Soins infirmiers Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic

Plus en détail

Secteur Protégé d Hématologie

Secteur Protégé d Hématologie INFORMATIONS PATIENTS Secteur Protégé d Hématologie Centre accrédité de greffe de moelle osseuse et de cellules souches d hématopoïétiques Le Secteur d Hématologie est destiné à des patients atteints de

Plus en détail

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem

Plus en détail

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////

Plus en détail

Traumatologie de l enfant. Joël Lechevallier Saad Abu Amara

Traumatologie de l enfant. Joël Lechevallier Saad Abu Amara Traumatologie de l enfant Joël Lechevallier Saad Abu Amara Plan Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas particuliers Traitement Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas pa Physiologie

Plus en détail

Positionnement de l implant

Positionnement de l implant HORS SÉRIE Hors série - 2009 Positionnement de l implant Déterminants biologiques et précision NobelActive NobelGuide Chirurgie à minima et esthétique ESTHÉTIQUE ET CHIRURGIE GUIDÉE AVEC NOBELACTIVE PAR

Plus en détail

CHIRURGIE RESTAURATRICEDU CUIR CHEVELU : D.I.U Programme des cours pour 2009

CHIRURGIE RESTAURATRICEDU CUIR CHEVELU : D.I.U Programme des cours pour 2009 100 heures de cours enseignement théorique -60 heures) réparties en 4 sessions enseignement pratique (20 h) stage professionnel (20 heures) Les cours sont répartis sur 4 we L examen de contrôle a lieu

Plus en détail

5. TARIFS INTERPROVINCIAUX

5. TARIFS INTERPROVINCIAUX Services internes 5.1 TARIFS DES SERVICES Les tarifs interprovinciaux des services internes sont déterminés par le Comité de coordination des ententes interprovinciales en assurance santé (CCEIAS). Le

Plus en détail

La chirurgie dans la PC

La chirurgie dans la PC La chirurgie dans la PC GF PENNECOT Marchant ou déambulant Grand handicapé Kinésith sithérapie Appareillage Médicaments Chirurgie neuro ortho LESION NEUROLGIQUE STABLE Spasticité Perte de la sélectivit

Plus en détail

L opération de la cataracte. Des réponses à vos questions

L opération de la cataracte. Des réponses à vos questions L opération de la cataracte Des réponses à vos questions Qu est-ce que la cataracte? Quel objectif? Cette brochure vous donne toutes les informations utiles concernant l opération de la cataracte. Définition

Plus en détail

La maladie de Verneuil Hidrosadénite suppurée

La maladie de Verneuil Hidrosadénite suppurée Hidrosadénite suppurée La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée à vous informer

Plus en détail

LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE

LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Feuillet d'information complémentaire à l attention du patient LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée, il faudrait

Plus en détail

INFORMATION CONCERNANT L OSTEOTOMIE DU GENOU

INFORMATION CONCERNANT L OSTEOTOMIE DU GENOU INFORMATION CONCERNANT L OSTEOTOMIE DU GENOU Votre état nécessite la réalisation d'une ostéotomie au niveau du genou. Cette fiche est destinée à vous en expliquer les grands principes, le but et les bénéfices

Plus en détail

D.E.SU. «Parodontologie en Pratique Clinique» (2015-2016)

D.E.SU. «Parodontologie en Pratique Clinique» (2015-2016) D.E.SU. «Parodontologie en Pratique Clinique» (2015-2016) 1 er Séminaire : UE 1 : Les maladies parodontales : étiopathogénie, diagnostic et plan de traitement. UE 2 : La phase étiologique de la thérapeutique

Plus en détail

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise. Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se

Plus en détail

Gravité des brûlures [100]

Gravité des brûlures [100] ENCYCLOPÉDIE MÉDICO-CHIRURGICALE JM Rochet D Wassermann H Carsin A Desmoulière H Aboiron D Birraux C Chiron C Delaroa M Legall F Legall É Scharinger S Schmutz Rééducation et réadaptation de l adulte brûlé

Plus en détail

SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat

SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,

Plus en détail

Les postures, l appareillage Point de vue du médecin MPR. Dr. P. LUBLIN MOREL CMPR de COUBERT 2011

Les postures, l appareillage Point de vue du médecin MPR. Dr. P. LUBLIN MOREL CMPR de COUBERT 2011 Les postures, l appareillage Point de vue du médecin MPR Dr. P. LUBLIN MOREL CMPR de COUBERT 2011 Introduction Le rôle du médecin MPR : poser les indications Réflexion pluridisciplinaire Définir les objectifs

Plus en détail

Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003

Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures

Plus en détail

COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS

COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 Nom : Modèles et références retenus : Fabricant : Demandeur : Données disponibles

Plus en détail

Bureau de la Société Marocaine de Chirurgie Plastique, Reconstructrice et Esthétique (SMCPRE)

Bureau de la Société Marocaine de Chirurgie Plastique, Reconstructrice et Esthétique (SMCPRE) Bureau de la Société Marocaine de Chirurgie Plastique, Reconstructrice et Esthétique (SMCPRE) Président : IRAQI HOUSSAINI Kamal Vice-Président : BOUCHTA Abdellah Secrétaire Géneral : TERRAB Souad Trésorier

Plus en détail

Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) :

Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) : Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) : a) b) a) b) DERMATO-VENEREOLOGIE Art. 21 pag. 1 SECTION 9. Dermato-vénéréologie.

Plus en détail

Omnipraticiens INDEX F - PEAU - PHANÈRES - TISSU CELLULAIRE SOUS-CUTANÉ

Omnipraticiens INDEX F - PEAU - PHANÈRES - TISSU CELLULAIRE SOUS-CUTANÉ INDEX INDEX Page F - PEAU - PHANÈRES - TISSU CELLULAIRE SOUS-CUTANÉ Abcès......................................................... F-2 Hématome...................................................... F-2

Plus en détail

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus. AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une

Plus en détail

Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée

Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,

Plus en détail

FICHE DE DONNEES DE SECURITE

FICHE DE DONNEES DE SECURITE PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille

Plus en détail

Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable

Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical - Annie PAPON Cadre responsable 1 AFGSU Niveau 1 page 4 AFGSU Niveau 2 page 5 AFGSU face aux risques NRBC page 6 Recyclage AFGSU Niveau

Plus en détail

A - Nomenclature des préjudices de la victime directe

A - Nomenclature des préjudices de la victime directe ANNEXE NOMENCLATURE DES PREJUDICES RESULTANT D UNE ATTEINTE A LA PERSONNE A - Nomenclature des préjudices de la victime directe 1 ) Préjudices patrimoniaux a) Préjudices patrimoniaux temporaires (avant

Plus en détail

Le prélèvement d organes anticipé/prémédité. Ethique et Greffe Journée du 9 octobre 2012 Dr Laurent Martin-Lefèvre Réanimation La Roche-sur-Yon

Le prélèvement d organes anticipé/prémédité. Ethique et Greffe Journée du 9 octobre 2012 Dr Laurent Martin-Lefèvre Réanimation La Roche-sur-Yon Le prélèvement d organes anticipé/prémédité Ethique et Greffe Journée du 9 octobre 2012 Dr Laurent Martin-Lefèvre Réanimation La Roche-sur-Yon Déclaration des conflits d intérêt Médecin de la coordination

Plus en détail

Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims

Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims 12 2014 HEMATOPOIESE Progéniteurs puis précurseurs Stimulation par facteur : activation spécifique de leur récepteur Moelle

Plus en détail

La reprise de la vie active

La reprise de la vie active Prothèse de hanche Les conseils de votre chirurgien La reprise de la vie active Vous êtes aujourd hui porteur d une prothèse de hanche ; elle va vous permettre de reprendre vos activités sans gène ni douleur.

Plus en détail

IFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015. M. BLOT Ergothérapeute. CHU de NIMES

IFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015. M. BLOT Ergothérapeute. CHU de NIMES IFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015 M. BLOT Ergothérapeute CHU de NIMES Introduction Définition de l hémiplégie Causes Evolution Conséquences Description Prise en charge du patient en fonction de l activité

Plus en détail

L EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE

L EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE L EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE Depuis plus de 10 ans, l association Actis dentaire formation a pour objectif de former des praticiens à la chirurgie orale, parodontale et implantaire. L expérience pour

Plus en détail

ENDERMOTHÉRAPIE THÉRAPIE TISSULAIRE, ARTICULAIRE ET MUSCULAIRE

ENDERMOTHÉRAPIE THÉRAPIE TISSULAIRE, ARTICULAIRE ET MUSCULAIRE ENDERMOTHÉRAPIE THÉRAPIE TISSULAIRE, ARTICULAIRE ET MUSCULAIRE 1 Endermothérapie THÉRAPIE TISSULAIRE, ARTICULAIRE ET MUSCULAIRE DEPUIS PLUS DE 25 ANS, LPG SYSTEMS ACCOMPAGNE LES KINÉSITHÉRAPEUTES DANS

Plus en détail

Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37

Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Les CAP français en 2009 Réponse téléphonique Toxicovigilance Flesch Françoise QU EST CE QU UN CENTRE ANTIPOISON Art D.711-9-1 1 (Décret

Plus en détail

SOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles

SOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du

Plus en détail

Sinitres Responsabilité Civile Professionnelle déclarés. Rapport protection juridique

Sinitres Responsabilité Civile Professionnelle déclarés. Rapport protection juridique 2012 Sinitres Responsabilité Civile Professionnelle déclarés Rapport protection juridique NO - http://www.risque-medical.fr/protection-juridique/rapport-2012/pdfexport-10 NO - http://www.risque-medical.fr/protection-juridique/rapport-2012/pdfexport-19

Plus en détail

La version électronique fait foi

La version électronique fait foi Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.

Plus en détail

LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008

LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008 LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres

Plus en détail

Ablation de sutures. Module soins infirmiers

Ablation de sutures. Module soins infirmiers Ablation de sutures Module soins infirmiers Equipe enseignante de l IFSI du Centre Hospitalier de ROUBAIX Diaporama réalisé par : Stéphane Dubus, Formateur I. Définition Il s agit d ôter les sutures cutanées

Plus en détail

REEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE

REEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE REEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE REEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE Eric HALLARD, Kinésithérapeute La rupture du LCAE est de plus en plus fréquente

Plus en détail

Le don de moelle osseuse

Le don de moelle osseuse Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don

Plus en détail

Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se

Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées

Plus en détail

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée

Plus en détail

Unité d onco-hématologie pédiatrique. Procédure de recueil de consentements du donneur. Codification du document : PO 3.2.2 Rédacteur : Dr V Gandemer

Unité d onco-hématologie pédiatrique. Procédure de recueil de consentements du donneur. Codification du document : PO 3.2.2 Rédacteur : Dr V Gandemer PO 3.2.2 version n 1 page1/5 Unité d onco-hématologie pédiatrique Procédure de recueil de consentements du donneur Codification du document : PO 3.2.2 Rédacteur : Dr V Gandemer Date d application : 1/12/2007

Plus en détail

d une Dr Ei Eric Peterman

d une Dr Ei Eric Peterman d une Dr Ei Eric Peterman Implantations de MDM MALI: 1994-2010 TCHAD: 2009-2010 - 2-3 millions de fistules obstétricales dans le monde - 90% en Afrique (source OMS) MDM Yaoundé 2010 MOPTI MDM BERLIN 2010

Plus en détail

Modules optionnels. Passer à l acte en implantologie

Modules optionnels. Passer à l acte en implantologie Passer à l acte en implantologie Modules optionnels est un cycle de formation basé sur des travaux pratiques de chirurgie implantaire, permettant de confirmer les acquis théoriques. À l issue du cursus,

Plus en détail

Accidents des anticoagulants

Accidents des anticoagulants 30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER

Plus en détail

La main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab

La main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab La main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab Rappel anatomique! Phalanges: P1 P2 P3 = os longs! Articulations IP = trochléennes un seul degré de liberté. - tête

Plus en détail

DOSSIER DE PRÉSENTATION

DOSSIER DE PRÉSENTATION DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,

Plus en détail

Nous avons tous un don qui peut sauver une vie. D e v e n i r. donneur de moelle. osseuse

Nous avons tous un don qui peut sauver une vie. D e v e n i r. donneur de moelle. osseuse Nous avons tous un don qui peut sauver une vie D e v e n i r donneur de moelle osseuse Pourquoi s inscrire comme donneur de moelle osseuse? Pour des personnes atteintes de maladies graves du sang, la greffe

Plus en détail

Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients?

Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients? HigHligHts 2012: CHiRURgiE Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients? Lukasz Filip Grochola a, Hubert John b, Thomas Hess c, Stefan Breitenstein d a Clinique de chirurgie

Plus en détail

Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile

Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan

Plus en détail

Critères de suivi en rééducation et. d orientation en ambulatoire ou en soins de suite ou de réadaptation

Critères de suivi en rééducation et. d orientation en ambulatoire ou en soins de suite ou de réadaptation RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Critères de suivi en rééducation et Octobre 2007 Version pré-commission d orientation en ambulatoire ou en soins de suite ou de réadaptation Après chirurgie des ruptures

Plus en détail

news L évolution des dons d organes issus de donneurs vivants en Suisse

news L évolution des dons d organes issus de donneurs vivants en Suisse swisstransplant 4 L évolution des dons d organes issus de donneurs vivants en Suisse Sous dons d organes issus de donneurs vivants, on entend le prélèvement d un organe chez une personne saine avec une

Plus en détail

Aspects juridiques de la transplantation hépatique. Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat

Aspects juridiques de la transplantation hépatique. Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat Aspects juridiques de la transplantation hépatique Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat CONTEXTE - La greffe, longtemps image expérimentale, est une thérapeutique éprouvée - Première

Plus en détail

Prenez soin de votre dos. Informations et astuces contre les douleurs lombaires

Prenez soin de votre dos. Informations et astuces contre les douleurs lombaires Prenez soin de votre dos Informations et astuces contre les douleurs lombaires Prenez soin de votre dos 1 2 3 4 Des causes diverses, souvent liées au travail Plaintes et lésions Prévention: mieux vaut

Plus en détail

Enjeux psychologiques de la greffe pour le donneur et le receveur

Enjeux psychologiques de la greffe pour le donneur et le receveur Enjeux psychologiques de la greffe pour le donneur et le receveur Jessica FRIPPIAT Psychologue clinicienne Service d Hémato-oncologie Unité de Psychologie Hôpital Universitaire des enfants Reine Fabiola

Plus en détail

PROTHÈSE TOTALE DE GENOU

PROTHÈSE TOTALE DE GENOU Dr Alain CAZENAVE chirurgien orthopédiste traumatologie sportive 52 rue du Dr calot 62600 BERCK/mer FRANCE tel: 03 21 89 20 44 site web : www.orthopale.org PROTHÈSE TOTALE DE GENOU QUELQUES GÉNÉRALITÉS

Plus en détail

LES TROUBLES MUSCULO- SQUELETTIQUES

LES TROUBLES MUSCULO- SQUELETTIQUES LES TROUBLES MUSCULO- SQUELETTIQUES DE L EPAULE CHEZ DES TECHNICIENNES DE LABORATOIRE L. MERIGOT, F. MARTIN, Avec la participation des Drs G. DALIVOUST, G. GAZAZIAN 26 Janvier 2010 1 SOMMAIRE 1. Introduction

Plus en détail

LA PERTE DE CONSCIENCE

LA PERTE DE CONSCIENCE CES QUELQUES NOTIONS PEUVENT SAUVER DES VIES. PENSEZ Y SV D URGENCES Pompiers et service médical urgent : 100 Police : 101 L'HEMORRAGIE Comment reconnaître une hémorragie? Le sang s'écoule abondamment

Plus en détail

HERNIE DISCALE LOMBAIRE

HERNIE DISCALE LOMBAIRE Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire

Plus en détail

COMMENT EVALUER UN RISQUE

COMMENT EVALUER UN RISQUE COMMENT EVALUER UN RISQUE Rappel : danger et risque Le danger est la propriété ou capacité intrinsèque d un équipement, d une substance, d une méthode de travail, d un environnement à causer un dommage

Plus en détail

Ce projet de conférences-exposition est inédit ; il va sans aucun doute susciter votre curiosité.

Ce projet de conférences-exposition est inédit ; il va sans aucun doute susciter votre curiosité. Ce projet de conférences-exposition est inédit ; il va sans aucun doute susciter votre curiosité. Les images de l'univers sous la peau, réalisées in vivo et non plus en laboratoire, nous montrent notre

Plus en détail

Prépration cutanée de l opéré

Prépration cutanée de l opéré Prépration cutanée de l opéré Xème Journée d Hygiène Hospitalière de Bizerte. Bizerte le 3 décembre 2005 Conférence de Consensus de la Société Française d Hygiène Hospitalière 1 Définition: Ensemble de

Plus en détail

Laser CO2 fractionné. Dr Jean De Wan - Chirurgie et médecine esthétique. www.drjeandewan.be 1

Laser CO2 fractionné. Dr Jean De Wan - Chirurgie et médecine esthétique. www.drjeandewan.be 1 Laser CO2 fractionné Les lasers à dioxyde de carbone (CO2) sont des appareils à gaz, émis en infrarouge, ayant pour principe de détruire les lésions dermatologiques. Les lasers CO2 sont ulisés depuis plus

Plus en détail

Pourquoi deux Centres de Brûlés adultes en Suisse, dont un au CHUV?

Pourquoi deux Centres de Brûlés adultes en Suisse, dont un au CHUV? Pourquoi deux Centres de Brûlés adultes en Suisse, dont un au CHUV? M. M. Berger a, W. Raffoul b, P. Maravic a, V. Séchet b, R. Chioléro a Le nombre de patients brûlés graves est resté stable au cours

Plus en détail

Les avantages du programme complémentaire santé Meuhedet Adif

Les avantages du programme complémentaire santé Meuhedet Adif Les avantages du programme complémentaire santé Meuhedet Adif Chers adhérents, C est avec le souci de procurer un mieux-être à ses adhérents que Meuhedet a mis au point son programme complémentaire santé

Plus en détail

Programme «Implantologie en pratique privée» Ardentis Clinique Dentaire Lausanne Flon Hiver 2012 Lausanne, Suisse

Programme «Implantologie en pratique privée» Ardentis Clinique Dentaire Lausanne Flon Hiver 2012 Lausanne, Suisse Programme «Implantologie en pratique privée» Ardentis Clinique Dentaire Lausanne Flon Hiver 2012 Lausanne, Suisse Mardi 24 janvier2012 au vendredi 27 janvier 2012 Informations générales Intervenants Dr

Plus en détail

Insuffisance cardiaque

Insuffisance cardiaque Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles

Plus en détail

Cancer du sein in situ

Cancer du sein in situ traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome

Plus en détail