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1 Ateliers techniques Cadre réglementaire, changements comptables et enjeux actuariels kpmg.ca

2 Simulations de crise et crédit pour couverture Exigences réglementaires Jocelyn Grira Conférence annuelle de l'assurance Québec, le16 mai 2013

3 Agenda 1. Simulations de crise 2. Crédit pour couverture 3. Questions 2

4 1. Simulations de crise 2. Crédit pour couverture 3. Questions

5 Simulations de crise Objectifs: 1- Évaluer la capacité des assureurs à faire face à des situations extrêmes qui mettent leur solvabilité sous tension. 2- Compléter les analyses déjà effectuées par les assureurs (EDSC). 3- Amener les assureurs à aller plus loin dans la confection des scénarios de crise. 4- Amener la Haute Direction et le Conseil d administration à prendre part à la connaissance des risques de l assureur afin d avoir une meilleure prise de décision. - Les assureurs doivent mettre en place un «Programme de simulation de crise». - La ligne directrice sur les simulations de crise est effective depuis le 1 er juin Date limite de conformité: 1 er juin

6 Simulations de crise «Un programme de simulation de crise est composé de l ensemble des procédures et processus dans lesquels les simulations sont développées, évaluées et utilisées comme intrants à la prise de décision.» Source: Autorité des marchés financiers Composantes minimales du programme de simulation de crise: - les techniques et la mécanique d exécution de chacune des simulations; - les portefeuilles et activités concernés par les simulations; - l ensemble des scénarios élaborés; - les modèles utilisés dans l opérationnalisation des scénarios; -les rapports explicitant t les résultats aux instances décisionnelles. es 5

7 Simulations de crise Trois approches de simulation de crise: 1- Analyse de sensibilité: consiste à faire varier un seul ou un sousensemble restreint de facteurs de risques et à analyser l impact sur les variables d intérêt (solvabilité, rentabilité, etc.) 2- Analyse de scénarios: vise à évaluer l impact de la variation simultanée d un ensemble complet de facteurs. Elle intègre à la fois le choc initial et tous ses effets secondaires sur l ensemble des facteurs pertinents pour l assureur. 3- Scénarios inversés («reverse stress-testing testing»): vise à identifier les événements ou conjonctures qui pourraient mettre en péril la solvabilité d une institution. - Scénarios/risques pertinents pour l institution et qui prennent en compte la nature, la taille et la complexité de ses activités. - Scénarios extrêmes mais plausibles ( scénarios défavorables). 6

8 Simulations de crise - Importance du rôle du CA et de la Haute Direction. - Importance de documenter l ensemble du processus qui régit l exécution et la mise en place du programme de simulation de crise. - Importance d analyser des scénarios avec des pressions simultanées sur les facteurs de risque pertinents. -Importance d intégrer le profil de risque de l assureur dans l exercice de simulation. - Le programme de simulation de crise fait partie du cadre de GIR. - Le programme de simulation de crise doit être validé régulièrement de façon indépendante. - Le programme de simulation de crise appuie les décideurs et supporte la gestion des fonds propres et des liquidités. 7

9 1. Simulations de crise 2. Crédit pour couverture 3. Questions

10 Crédit pour couverture - Les assureurs qui ont des fonds distincts assortis de garanties et qui utilisent un modèle interne approuvé par le régulateur pour le calcul du TBFPR ont la possibilité de se prévaloir du crédit pour couverture. - Le régulateur exige le dépôt d une demande officielle pour l obtention du crédit. - Montant du crédit = 50% x Taux d efficacité x Capital. Pour des fins de planification, les délais (à rebours) sont: - Il faut que le programme de couverture soit opérationnel et efficace 3 mois avant le dépôt de la demande. - Il faut prévoir environ 4 mois pour l analyse de la demande par le régulateur. - Il faut prévoir les délais liés à la validation indépendante requise par le régulateur (environ 10 semaines). 9

11 Crédit pour couverture Le «package» de la demande auprès du régulateur contient: - Autorisation du conseil d administration - Documentation du programme de couverture - Preuve de satisfaction des exigences opérationnelles - Rapports et analyses techniques - Rapport d'examen dexamen et d'évaluation indépendants - Lettre d appui de l actuaire désigné - Tout autre document pertinent 10

12 Crédit pour couverture Dans le cas d une demande de crédit de capital pour couverture, les lignes directrices de l Autorité des marchés financiers qui seraient à considérer sont: - Ligne directrice sur les EMSFP - Ligne directrice sur la gouvernance - Ligne directrice i sur la gestion intégrée é des risques - Ligne directrice sur la gestion des risques liés à l impartition - Ligne directrice sur la gestion du risque de liquidité - Ligne directrice sur la gestion des placements - Ligne directrice sur la gestion des risques liés aux instruments dérivés - Ligne directrice sur les simulations de crise Processus plus complexe que celui d approbation d un modèle interne. 11

13 Crédit pour couverture Quelques points importants à considérer: - Les hypothèses: volatilité, corrélations, réplication des fonds, monde réel vs. risque neutre, etc. - Les données: fréquence, profondeur des historiques, etc. - Le risque de base: risque d utilisation des modèles qui engendre un écart par rapport à la réalité observée. - Modélisation des risques financiers et actuariels: cohérence avec la modélisation utilisée dans les modèles internes. - Approximations: expliquer leur justesse, adéquation et pertinence. - Simulations de crise: présenter des scénarios extrêmes pertinents. - Choix de la mesure d efficacité. - Gouvernance du programme de couverture. 12

14 1. Simulations de crise 2. Crédit pour couverture 3. Questions

15 Gouvernance des modèles actuariels Conférence annuelle de l assurance KPMG Québec 16 mai 2913

16 Politique relative aux modèles Fait partie de la politique globale relative à la gestion des risques. L équipe Gestion des risques établit la politique en tenant compte des commentaires des groupes Services actuariels, Audit interne et (ou) Technologies de l information (TI). Surveillance formelle de la conformité. Prend en considération le contrôle des changements. S applique aux modèles élaborés par des tiers, aux modèles internes et aux feuilles de calcul justificatives essentielles. Précise la fréquence des révisions du modèle. 15

17 Intégration des modèles Applications au Canada 1. Tarification 2. Évaluation (MCAB) 3. Projections 4. Résultats par source (EBS) 5. Gestion du capital* 6. Valeur implicite (embedded value) 7. EDSC, dispositif ORSA * Par exemple, MMPRCE, capital économique et Ratios cible internes (A-4) Source : SOA Actuarial Modeling Controls Report (décembre 2012) Équipe de recherche sous la direction de Jason Morton. 16

18 Contrôles de l intégrité des modèles Les contrôles de l intégrité des modèles seraient une série de procédures de contrôle mises en œuvre au moment de chaque nouveau cycle d évaluation (p. ex., sur une base trimestrielle) : procéder à la validation statique des éléments des stocks, tels que la valeur nominale, la valeur du compte, le dénombrement et la prime brute sur une base annuelle; avoir des seuils de tolérance bien définis en ce qui a trait aux dénombrements et aux montants liés à des problèmes de données, pour que le processus de production ne soit pas entravé inutilement; obtenir du chef des services administratifs une lettre de fiabilité (reliance letter) qui atteste de l exactitude des données du système administratif; identifier les mappages erronés d hypothèses existantes qui sont liés à de nouveaux codes de plan et à de nouveaux paramètres («détection d erreurs»). 17

19 Exemples de modèles de détection d erreur Option 1 : aucun code clair de «détection d erreur» Option 2 : code clair de «détection d erreur» Exemple au moyen de GGY AXIS Conséquence : Si un nouveau plan est entré ou une erreur est commise dans le fichier source, les polices seront exécutées sans la table de mortalité, ce qui pourrait avoir une incidence importante sur les résultats présentés dans le rapport. Exemple au moyen de GGY AXIS Conséquence : Si un nouveau plan est entré ou une erreur est commise dans le fichier source, le modèle relèvera la disparité. Ainsi, l erreur sera détectée, et le modèle pourra être ajusté en conséquence avant la présentation des résultats dans le rapport. 18

20 Gestion et contrôle des feuilles de calcul justificatives Le but ultime consiste à minimiser l utilisation de feuilles de calcul justificatives i en intégrant autant que possible le flux des travaux du cycle de production au sein de la plateforme principale du modèle actuariel. Il est impossible d éviter complètement l utilisation de feuilles de calcul l justificatives. Par conséquent, il est impératif d avoir une solide discipline en ce qui concerne les contrôles ainsi qu une documentation adéquate. Protéger les onglets et les cellules qui contiennent des formules. Présenter clairement le processus et la documentation relativement aux onglets et cellules qui nécessitent des entrées de données par l utilisateur. Faire en sorte que l accès soit limité aux utilisateurs autorisés. 19

21 Gestion et contrôle des feuilles de calcul justificatives (suite) Les feuilles de calcul d extrants sont souvent utilisées pour : consolider les résultats t du modèle principal i avec les ajustements t externes : ajustements permanents p. ex., réassurance prise en charge; ajustements temporaires p. ex., correction d erreurs dans des rapports produits tardivement; calculer les composantes de la petite réserve : p. ex., exonérations des primes, avenants temporaires, montant supplémentaire inférieur à la norme. Contrôles supplémentaires à l égard des feuilles de calcul : examiner l inventaire des ajustements externes du dernier cycle et classer les ajustements comme étant temporaires ou permanents; examiner et appliquer une mesure corrective pour les ajustements temporaires et pour la mise en œuvre des leçons tirées des erreurs passées; dans la mesure du possible, intégrer les composantes de la petite réserve directement dans le modèle afin de minimiser l utilisation de feuilles de calcul ne faisant pas partie du modèle. 20

22 Exemple d erreur de modèle de feuille de calcul «Et si une erreur de calcul avait imposé la rigueur budgétaire» Problème: les travaux publiés cette semaine par les trois économistes du Massachusetts aboutissent à une conclusion radicalement différente. Pour l'anecdote, "tout cela est parti du travail d'un de nos étudiants qui n'arrivait pas aux mêmes résultats que Rogoff et Reinhart", a expliqué Michael Ash, professeur d'économie à l'université Amherst du Massachusetts. Avant de poursuivre: "nous avons travaillé dur sur la question pour finir par découvrir qu'ils avaient commis une série d'erreurs". En étudiant la même période, les trois économistes estiment que la croissance économique des pays avec ce ratio de dette a en réalité été de +2,2%. 2% Source: La Tribune (le 23 avril 2013) 21

23 Gestion du contrôle des changements La gestion du contrôle des changements devrait comprendre la discipline nécessaire à l exécution d une analyse détaillée des incidences (approche dite «en cascade») des changements importants apportés aux modèles. Cette analyse permet à la direction d obtenir le niveau de confort nécessaire à l égard de l incidence relative de chaque changement sur les résultats finaux, avant de mettre un modèle en mode production. Voici quelques exemples de changements aux modèles : modification des hypothèses relatives à un nouveau cycle d évaluation; ajout de nouveaux produits ou de codes de plan; révision d un fichier d extraction de données, correction d erreurs, amélioration de fonctionnalités d un logiciel, etc. 22

24 Mises à niveau de logiciels Une bonne pratique consiste à mettre à niveau régulièrement le logiciel d un fournisseur en le remplaçant par une version plus récente, de préférence une version «entretenue» par le fournisseur : effectuer un test de régression afin d identifier les changements inexpliqués dans les résultats ou les effets non prévus de la mise à niveau d un logiciel sur le modèle; pour de meilleurs résultats, effectuer le test pendant une période creuse, de préférence au début du prochain cycle annuel d évaluation. 23

25 Manuel des procédures du cycle d évaluation Un manuel des procédures doit présenter les instructions relatives à l entretien lentretien de routine du cycle d évaluation évaluation. Il doit : être solide et suffisamment clair pour qu un actuaire habitué à la modélisation soit immédiatement en mesure d utiliser le modèle et d effectuer son entretien dans le futur; présenter les mises à jour des normes pour le nouveau cycle d évaluation; fournir une description des processus de dépannage; comprendre les noms des personnes habilitées à approuver des solutions temporaires de contournement. 24

26 Examen indépendant formel (examen détaillé des modèles) «Indépendance» s entend de l indépendance de l équipe externe et/ou interne de services-conseils actuariels qui ne participe pas à la conception ou à la production des modèles. Vérification au trois ans, ou plus fréquemment, des intrants, des extrants et des calculs des modèles. Examen, par l équipe de services-conseils il actuariels, d un échantillon représentatif des couvertures évaluées. Sous-produits du processus d examen détaillé : rapport d évaluation du modèle qui confirme que le modèle est conforme aux caractéristiques et qui identifie les problèmes à traiter; amélioration de la documentation et de l intégrité des modèles de la société; utilisation du rapport d évaluation du modèle et de la documentation appropriée par les auditeurs externes. 25

27 Risque lié aux employés clés Risque auquel est exposée une société lorsqu un employé clé quitte cette société. Risque courant chez les petites sociétés. Les applications ciblées sont également possibles dans les grandes sociétés. Les applications maison sont davantage vulnérables (p. ex., programmes APL, feuilles de calcul complexes). Solutions possibles pour minimiser le risque : élaboration d une documentation rigoureuse des flux des travaux, laquelle peut être effectuée par un employé clé et/ou par des ressources ou des conseillers externes; formation d autres ressources à l interne relativement aux flux des travaux et aux modèles de production. 26

28 Gardien des modèles Une société devrait envisager de nommer un «gardien des modèles» et de lui fournir des responsabilités clairement définies afin d assurer l adhésion aux normes de gouvernance des modèles. Les responsabilités du gardien des modèles pourraient comprendre les suivantes : «maîtriser» les différents modèles ou, en dernier ressort, les modèles intégrés; vérifier la conformité des modèles aux politiques de la société; surveiller et communiquer les pratiques exemplaires; servir de «point d entrée entrée» des modèles de production, en approuvant tous les changements qui leur seront apportés; concevoir, tenir à jour et communiquer une liste de toutes les demandes de changements aux modèles; fournir des mises à niveau périodiques de logiciels; examiner les contrôles régissant les modèles de production. 27

29 Situation future souhaitée modèle intégré Le passage de l état actuel à l état souhaité Figure 1 : Actuarial Modeling Control Spectrum Source : SOA Actuarial Modeling Controls Report (décembre 2012) Équipe de recherche dirigée par Jason Morton. 28

30 L'information publiée dans le présent document est de nature générale. Elle ne vise pas à tenir compte des circonstances de quelque personne ou entité particulière. Bien que nous fassions tous les efforts nécessaires pour assurer l'exactitude de cette information et pour vous la communiquer rapidement, rien ne garantit qu'elle sera exacte à la date à laquelle vous la recevrez ni qu'elle continuera d'être exacte dans l'avenir. Vous ne devez pas y donner suite à moins d'avoir d'abord obtenu un avis professionnel se fondant sur un examen approfondi des faits et de leur contexte KPMG s.r.l./s.e.n.c.r.l., société canadienne à responsabilité limitée et cabinet membre du réseau KPMG de cabinets indépendants affiliés à KPMG International Cooperative («KPMG International»), entité suisse. Tous droits réservés. KPMG, le logo de KPMG et le slogan «simplifier la complexité» sont des marques déposées ou des marques de commerce de KPMG International.

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